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No de projet : 550-0743
Novembre 2001
Appels de l'ADRC
Aide aux clients et �tablissement des cotisations de l'ADRC
Citoyennet� et Immigration Canada
Service des d�l�gu�s commerciaux du Canada du MAECI
Services d'assurance‑emploi de DRHC
Bureau de la concurrence d'Industrie Canada (fusionnements)
Biblioth�que nationale du Canada
Secteur des sciences de la Terre de RNCan
Gendarmerie royale du Canada - Service des laboratoires judiciaires
Services conseils de Statistique Canada
Direction g�n�rale des services de gestion de la technologie et de l'information (DGSGTI)
Programme des anciens combattants
Secteur priv� et autres gouvernements
AMEX Canada Inc
AT&T Canada
La Compagnie d'Assurance du Canada sur la Vie
Minist�re des transports de l'Ontario - Bureau de l'am�lioration des services
Royal & SunAlliance
Financi�re Sun Life du Canada
TD Canada Trust
Walt Disney Company (Canada) Ltd. - Division des produits de consommation
Le secteur d'activit� des appels de l'Agence des douanes et du revenu Canada (ADRC) est un organe d'examen administratif mis � la disposition de tous les clients de l'Agence et qui leur procure un processus de recours et de r�glement des diff�rends �quitable et rapide. Ce processus vise les diff�rends en mati�re de douanes et d'�changes commerciaux, d'�tablissement de la cotisation des d�clarations d'imp�t sur le revenu, de taxe d'accise, de taxe sur les produits et services (TPS) et de taxe de vente harmonis�e (TVH), de m�me que les d�cisions et les cotisations concernant le R�gime de pensions du Canada (RPC) et l'assurance‑emploi (AE). L'ADRC s'engage � fournir aux Canadiens un examen impartial et rapide de ses d�cisions, ce qui contribue � l'�quit� de l'administration fiscale et douani�re au Canada.
L'ADRC a �mis un engagement envers l'�quit�, dans lequel elle d�clare que cet engagement s'appuie sur un service qui est efficace, uniforme et impartial et sur la reconnaissance du fait que chaque client a des pr�occupations et des besoins pr�cis. L'ADRC s'engage, entre autres choses, � fournir des renseignements exacts et compr�hensibles � ses clients, � les informer du temps qu'il lui faudra pour fournir le service demand� et � continuer � am�liorer son temps de r�ponse. Cet engagement envers l'�quit� est publi� sur le site Internet de l'ADRC.
En 1997, l'ADRC a diffus� sa Strat�gie en sept points pour l'�quit�, qui se compose des �l�ments suivants :
Pour donner suite au point 1, l'ADRC a r�cemment publi� une nouvelle d�claration sur les droits des clients intitul�e Vos droits, qui expose ce � quoi les clients peuvent s'attendre dans leurs rapports avec l'Agence. Dans cette nouvelle d�claration, l'ADRC s'engage envers les droits des clients et un traitement �quitable. La d�claration est affich�e dans tous les points de service � travers le Canada, imprim�e sur la couverture arri�re du formulaire d'imp�t T1 et publi�e sur le site Internet de l'ADRC. Les droits des clients sont les suivants :
La Direction g�n�rale des appels de l'ADRC �volue dans un environnement non accusatoire, sans d�pendre des autres directions g�n�rales. Ses employ�s ont re�u le mandat de r�gler les diff�rends entre les clients et l'ADRC en menant un examen impartial des d�cisions ant�rieures de l'Agence. Environ 70 000 oppositions, appels ou diff�rends sont trait�s chaque ann�e, le gros de ceux‑ci (50 000) visant l'imp�t sur le revenu.
La Direction g�n�rale des appels re�oit les appels et les diff�rends principalement par l'entremise d'un seul mode de prestation, � savoir le courrier et, � l'occasion, le t�l�copieur. Pour sa part, la Direction g�n�rale des appels informe les clients des d�cisions qu'elle a prises principalement par courrier et � l'occasion par t�l�copieur.
L'ADRC s'active � encourager les directions g�n�rales responsables des op�rations et les r�gions � appliquer les normes de service. En 1999, elle a mis sur pied le Comit� directeur des normes de service de l'Agence (CDNSA) et l'a charg� de coordonner l'�laboration de normes et d'aider toutes les directions g�n�rales responsables des op�rations et les r�gions � concevoir et � mettre en œuvre les normes relatives aux services qu'elles fournissent. Dans le contexte des initiatives strat�giques suivantes de l'ADRC, la Direction g�n�rale des appels �labore des normes pour les services qu'elle fournit conform�ment :
Dans la foul�e de l'Initiative de renouvellement des appels (IRA) lanc�e en 1997, la Direction g�n�rale des appels s'est engag�e � mener des sondages nationaux p�riodiques d'un �chantillon repr�sentatif de ses clients pour obtenir leurs impressions concernant l'impartialit�, l'accessibilit�, l'ouverture, la rapidit� d'ex�cution et la qualit� g�n�rale du processus de recours. La Division de l'�valuation des programmes de la Direction g�n�rale des affaires minist�rielles de l'ADRC a �t� pri�e de mener un tel sondage national en 1998 sur la satisfaction des clients � l'�gard du service fourni par quatre de ses cinq programmes d'appels, � savoir : TPS/TVH, RPC/AE, Arbitrage des douanes et Imp�t sur le revenu. L'Administration des politiques commerciales n'a pas �t� vis�e par le sondage puisqu'elle ne faisait pas partie de la Direction g�n�rale � l'amorce du sondage.
Aux fins du sondage, des questionnaires par courrier‑r�ponse (ou autoadministr�s) ont �t� utilis�s, un questionnaire distinct ayant �t� �labor� pour chacun des quatre programmes des appels afin de tenir compte des diff�rences entre eux. Deux questions principales demandaient aux r�pondants de coter leurs perceptions sur diff�rents crit�res de service li�s aux communications concernant le processus de recours, l'accessibilit�, la rapidit� de r�ponse, l'�quit� et la transparence du processus de recours, le service obtenu des employ�s ainsi que les connaissances et les qualit�s interpersonnelles des employ�s des Appels. Les r�sultats du sondage, publi�s en mars 1999 :
Plus pr�cis�ment, le sondage a fait ressortir que les clients de l'ADRC affichaient un niveau important d'insatisfaction concernant le temps qui s'�coule avant que soit �tabli un premier contact ainsi que concernant le manque de renseignements disponibles sur le diff�rend ou les d�lais de traitement. Pour donner suite aux commentaires formul�s par les clients dans le sondage et conform�ment au point 2 de la Strat�gie en sept points pour l'�quit�, la Direction g�n�rale des appels a d�cr�t� qu'� un premier contact utile devait se faire dans les 30 jours �, ce qui constitue sa premi�re norme de service et la seule qu'elle a actuellement mise en œuvre. Le premier contact avec les appelants (ou les clients) se fait par l'envoi d'une premi�re lettre utile dans les 30 jours civils de la date de r�ception d'une opposition, d'un r�glement ou d'un appel. La norme de service vise � augmenter la satisfaction de la client�le � l'�gard du processus de recours en am�liorant la prestation du service.
La norme de service et la premi�re lettre acc�l�rent le dialogue avec le client concernant son opposition, son appel ou son diff�rend, fournissent au client des renseignements utiles et pertinents, incitent les deux parties � s'entendre sur les faits et �tablissent des attentes r�alistes sur les services que le secteur d'activit� des Appels est en mesure de fournir. Bref, la norme de service pr�voyant un premier contact utile dans les 30 jours et la premi�re lettre font en sorte que les clients des Appels sachent � quel genre de service ils peuvent s'attendre, quand ils peuvent s'attendre � le recevoir et de qui ils le recevront.
La norme a fait l'objet d'un projet pilote dans 15 bureaux de services fiscaux, dont les secteurs d'activit� des Douanes et du Commerce, � l'�chelle du Canada. En d�cembre 2000, la Direction g�n�rale des appels a fait savoir qu'elle mettrait officiellement en œuvre cette norme de service dans toutes les r�gions du Canada en avril 2001. Cela a exig� le changement de certains processus de travail pour faciliter le respect de cette norme relative � la rapidit� d'ex�cution. La norme de service doit �tre saisie et examin�e par le Syst�me d'information et de rapport des Appels (SIRA). La Direction g�n�rale des appels se penche sur l'incidence du classement des affaires selon la complexit� et sur la modification de la norme de service en fonction des diff�rentes cat�gories.
Dans sa fa�on de proc�der pour �laborer, mettre en œuvre, surveiller et mettre en application ses normes de service, le secteur d'activit� des Appels de l'ADRC a d�montr� les pratiques exemplaires suivantes :
Les appelants sont dispos�s � fournir des commentaires.
Les appelants ont des attentes.
Il faut Consulter les employ�s.
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par le secteur d'activit� des appels de l'ADRC, veuillez communiquer avec :
Nathalie Dumais
Gestionnaire
Section de la consultation des clients et des services
Direction g�n�rale des appels
Agence des douanes et du revenu Canada
T�l�phone : 613-952-7400
T�l�copieur : 613-952-0197
Courrier �lectronique : nathalie.dumais@ccra-adrc.gc.ca
Le secteur d'activit� Aide aux clients et �tablissement des cotisations de l'Agence des douanes et du revenu Canada (ADRC) regroupe de nombreux programmes dont l'objet est de faire en sorte que les clients connaissent et comprennent � fond leurs droits et leurs obligations en vertu de la loi. Ce secteur d'activit� a pour objectif de promouvoir l'autocotisation et l'observation, et de traiter les d�clarations des clients. Il comprend les activit�s li�es aux conseils donn�s aux clients sur leurs droits et leurs obligations; � la communication des formulaires et des renseignements dont les clients ont besoin pour produire des d�clarations exactes et � temps; � la r�ponse aux demandes de renseignements des clients avec rapidit� et exactitude; � l'�tablissement des cotisations et au traitement des d�clarations en temps opportun; � la notification des r�sultats des cotisations aux clients; au traitement rapide et exact des paiements; � la cr�ation et � la tenue d'un registre des clients; et � l'ex�cution d'une v�rification limit�e des divers postes.
L'ADRC a �mis un engagement envers l'�quit�, dans lequel elle d�clare que cet engagement s'appuie sur un service qui est efficace, uniforme et impartial et sur la reconnaissance du fait que chaque client a des pr�occupations et des besoins pr�cis. L'ADRC s'engage, entre autres choses, � fournir des renseignements exacts et compr�hensibles � ses clients, � les informer du temps qu'il lui faudra pour fournir le service demand� et � continuer � am�liorer son temps de r�ponse. Cet engagement envers l'�quit� est publi� sur le site Internet de l'ADRC.
En 1997, l'ADRC a diffus� sa Strat�gie en sept points pour l'�quit�, qui se compose des �l�ments suivants :
Pour donner suite au point 1, l'ADRC a r�cemment publi� une nouvelle d�claration sur les droits des clients intitul�e Vos droits, qui expose ce � quoi les clients peuvent s'attendre dans leurs rapports avec l'Agence. Dans cette nouvelle d�claration, l'ADRC s'engage envers les droits des clients et un traitement �quitable. La d�claration est affich�e dans tous les points de service � travers le Canada, imprim�e sur la couverture arri�re du formulaire d'imp�t T1 et publi�e sur le site Internet de l'ADRC. Les droits des clients sont les suivants :
L'ADRC offre divers modes de prestation de ses services pour permettre � ses clients d'obtenir les renseignements et l'aide dont ils ont besoin pour se pr�valoir des avantages auxquels ils ont droit et respecter volontairement leurs obligations. La Direction des services � la client�le de la Direction g�n�rale des cotisations et des recouvrements joue un r�le cl� pour ce qui est de fournir aux clients les renseignements et les outils qui leur sont n�cessaires. Plus pr�cis�ment, les clients peuvent obtenir des renseignements sur la production et le traitement des d�clarations de revenus et de TPS/TVH ainsi que les versements, les remboursements et les retenues sur la paie aupr�s des bureaux des services fiscaux (BSF) et des centres de traitement fiscaux situ�s dans l'ensemble du pays. Les BSF offrent aussi, dans les deux langues officielles, des services de renseignements par t�l�phone et au comptoir.
Les agents de service � la client�le des BSF peuvent en outre fournir des explications sur les avis de cotisation, r�pondre aux demandes de renseignements touchant l'imp�t, le cr�dit pour la TPS/TVH ainsi que la Prestation fiscale canadienne pour enfants et les programmes semblables. Les clients peuvent �galement se procurer � ces bureaux les formulaires et les publications dont ils ont besoin. Les clients trouveront dans la trousse que l'Agence leur envoie par la poste chaque ann�e les num�ros de t�l�phone de leur bureau de services fiscaux, un num�ro pour le Programme de solution de probl�mes, ainsi que les num�ros de t�l�phone pour les demandes de renseignements g�n�raux et le Syst�me �lectronique de renseignements par t�l�phone (SERT).
L'ADRC fournit en outre des renseignements relatifs aux imp�ts et taxes au moyen de la correspondance, de l'extension des services dans les collectivit�s, d'activit�s d'enseignement, de partenariats et de formulaires et de guides. Bien que le public dispose de diff�rents modes d'acc�s pour obtenir de l'information, 85 % des clients communiquent avec l'ADRC par t�l�phone lorsqu'ils ont besoin d'aide ou de renseignements. En fait, l'ADRC a re�u environ 24 millions de demandes de renseignements par t�l�phone au cours de l'exercice 1999‑2000.
L'ADRC encourage activement l'application de normes de service au sein des directions g�n�rales responsables des op�rations et dans les r�gions. En 1999, elle a mis sur pied le Comit� directeur des normes de service de l'Agence (CDNSA), charg� de coordonner l'�laboration de normes et d'aider les directions g�n�rales responsables des op�rations et les r�gions � �laborer et appliquer des normes pour les services qu'elles offrent. La Direction des services � la client�le travaille � l'�laboration de normes s'appliquant � ses services dans le cadre des initiatives strat�giques suivantes de l'ADRC :
L'engagement de l'ADRC envers les communications et les services de qualit� d�coule de sa conviction qu'il est plus facile de promouvoir l'observation en entretenant une relation positive avec le client. � cet �gard, le secteur Aide aux clients et �tablissement des cotisations continue de mettre l'accent sur la prestation de services de qualit�, la simplification des processus et la r�duction du fardeau de l'observation pour les particuliers et les entreprises.
Conform�ment � l'engagement du gouvernement � am�liorer la prestation des services offerts aux Canadiens, la Direction des services � la client�le a men� quatre sondages afin de d�terminer le d�lai d'attente acceptable pour le service au comptoir, qui constitue l'un des premiers modes de service direct utilis�s par les clients. Les r�ponses de plus de 3 000 clients et les commentaires du personnel de premi�re ligne des services de renseignements ont �t� analys�s afin d'�tablir une norme nationale acceptable. L'ADRC s'engage � servir les clients dans les 20 minutes qui suivent leur arriv�e au comptoir, un engagement en mati�re de service mis en œuvre en mai 1997 dans tous les BSF pour les services de renseignements aux clients et aux entreprises. Selon un sondage men� r�cemment, les clients estiment que le d�lai d'attente de 20 minutes satisfait aux objectifs �tablis en mati�re d'accessibilit� et de rapidit� du service.
L'engagement � fournir un service courtois est un autre �l�ment essentiel de l'engagement de l'ADRC en mati�re de service � la client�le. Le service au comptoir est consid�r� comme une activit� li�e � l'observation volontaire � l'appui du Secteur de l'administration des recettes et des prestations. La norme de service relative au d�lai d'attente de 20 minutes est communiqu�e au public au moyen d'affiches plac�es dans les aires d'attente des BSF. Cet engagement permet aux clients de faire une �valuation juste des services de l'ADRC par rapport � l'engagement de cette derni�re.
En d�cembre 1997, la Direction des services � la client�le a entrepris de mener un projet pilote pour contr�ler les r�sultats de la mise en application de la norme relative au d�lai d'attente de 20 minutes. Les objectifs de ce projet pilote �taient les suivants :
Des donn�es de r�f�rence ont �t� �tablies d'apr�s l'exercice 1998-1999 et deux p�riodes de production de d�clarations, soit 1998 et 1999. Les r�sultats du projet pilote ont �t� positifs. Pour l'exercice 1998‑1999, 12 des 15 bureaux qui ont particip� au projet, soit 80 %, ont respect� la norme relative au d�lai d'attente ou m�me fait mieux, et 8 bureaux sur ces 15, soit 53 %, ont servi leurs clients dans un d�lai de 10 minutes ou moins. Cette rapidit� du service s'est traduite par un taux de satisfaction globale des clients de 90 %. Tous les bureaux continuent de surveiller leur d�lai d'attente dans le but d'en arriver � respecter la norme.
La Direction des services � la client�le a mis au point en outre une carte d'�valuation des services � la client�le pour donner aux clients la possibilit� d'�valuer diff�rents aspects du service de l'ADRC. Cette carte contient quatre cotes possibles : faible, passable, bon ou excellent. Les cartes sont disponibles dans tous les BSF, les centres fiscaux et certains bureaux de douane. Les plaintes des clients qui satisfont aux crit�res de renvoi du Programme de solution de probl�mes (PSP) sont trait�es en priorit� par les bureaux des services fiscaux locaux. On communique normalement avec le client dans un d�lai de un � cinq jours, la plainte devant �tre r�gl�e dans un d�lai de 15 jours ouvrables selon la norme �tablie. Si un cas ne peut �tre r�solu dans ce d�lai, le repr�sentant du PSP doit informer le client de la date pr�vue de la r�solution.
Le PSP a �t� lanc� en 1986 pour venir en aide aux clients qui n'ont pas pu r�gler un probl�me ou une question en empruntant les fili�res habituelles. Le PSP constitue le principal m�canisme de plainte et de recours en ce qui a trait � l'administration des recettes et des prestations. Il sert � traiter les cas de nature d�licate, pouvant int�resser les m�dias, urgents, prioritaires et repr�sentant un grave manquement aux normes de service entra�n� par une erreur importante commise par l'Agence, y compris des questions constitutionnelles, juridiques ou autres pr�judices. Les d�put�s ont souvent recours � ce programme pour r�gler les probl�mes fiscaux des habitants de leur circonscription.
La norme de service �tablissant le d�lai de traitement � 15 jours dans le cadre du PSP a �t� publi�e dans divers guides minist�riels pour la premi�re fois en 1999. Plus pr�cis�ment, elle a �t� publi�e dans le Guide T2 - D�claration de revenus des soci�t�s et les publications D�claration de renseignements et de revenus des fiducies - T3, Renseignements g�n�raux sur la TPS/TVH pour les inscrits et Les programmes et services de Revenu Canada. Selon la r�troaction des clients et du personnel, obtenue en permanence, 15 jours constituent un d�lai de traitement raisonnable.
Les Canadiens pr�f�rent de beaucoup obtenir leurs services par t�l�phone : 85 % de toutes les demandes de renseignements adress�es aux Services � la client�le se font par t�l�phone. La Direction estime qu'un service t�l�phonique de qualit� est l'�l�ment cl� du maintien de niveaux �lev�s d'observation volontaire. Puisque ce mode de prestation de services demeure l'un des plus efficaces et efficients, la Direction des services � la client�le a �tudi� les normes et le rendement de l'industrie ainsi que les r�sultats du sondage Les citoyens d'abord afin d'�tablir un niveau d'accessibilit� appropri�.
Un objectif de 85 % a �t� fix� par consensus avec les conseillers des Services � la client�le des bureaux r�gionaux et les directeurs adjoints des Services � la client�le. Le niveau d'accessibilit� repr�sente le nombre de personnes distinctes qui t�l�phonent, d�termin� au moyen du num�ro de t�l�phone, et utilisent avec succ�s le distributeur d'appels automatis� (DAA) dans une semaine donn�e. La d�finition d'accessibilit� d�signe le nombre de tentatives d'appel et non le nombre de personnes qui tentent de joindre l'ADRC par t�l�phone. Le niveau d'accessibilit� est mesur� hebdomadairement, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, et les r�sultats sont communiqu�s chaque semaine aux cadres sup�rieurs des r�gions et de l'administration centrale. Cet objectif est inscrit dans un guide de r�f�rence des Services � la client�le sur la gestion des services t�l�phoniques, une publication pr�par�e conjointement par le personnel des bureaux locaux et de l'administration centrale pour aider les gestionnaires locaux � g�rer la section des services t�l�phonique des BSF.
En avril 2000, les Services � la client�le ont obtenu une r�troaction des clients au sujet de la qualit� du service t�l�phonique au moyen d'un projet pilote de sondage t�l�phonique automatis�. Les clients �taient invit�s � appeler un num�ro 1 800 pour participer � un sondage volontaire men� au moyen d'un syst�me interactif de r�ponse vocale. Le syst�me posait une s�rie de questions pr�d�finies concernant les exp�riences des clients en ce qui a trait aux services qu'ils avaient obtenus aupr�s de l'ADRC. Ce sondage a men� � un remaniement consid�rable du service de renseignements t�l�phoniques 1 800. Le nouveau syst�me permet � l'ADRC de r�acheminer les appels aux agents disponibles � l'�chelle du pays. Les Canadiens peuvent ainsi avoir acc�s rapidement � l'ADRC par t�l�phone, peu importe l'endroit o� ils habitent. Cette fa�on de proc�der permet en outre d'accro�tre l'efficacit� du personnel. Les clients attendent maintenant en moyenne moins d'une minute pour parler � un agent, une am�lioration par rapport � l'engagement qui avait �t� pris en 1999‑2000 de porter le niveau d'accessibilit� � 85 % et de r�duire le temps d'attente � un maximum de deux minutes.
Bien que l'Agence pr�voie une augmentation g�n�rale de la demande de services t�l�phoniques dans les trois prochaines ann�es, surtout pendant les p�riodes de pointe, elle entend r�duire la pression exerc�e sur ces services en am�liorant l'acc�s aux syst�mes automatis�s. Elle s'attend plus particuli�rement � ce que le nombre de demandes de renseignements du public trait�es par des syst�mes automatis�s passe de sept � onze millions au cours de la p�riode de planification qui vient, et que celui des demandes trait�es par des agents diminue d'environ deux millions. La d�cision d'accro�tre l'acc�s aux services t�l�phoniques automatis�s s'inscrit dans la strat�gie globale d'am�lioration de la prestation des services de l'Agence, tout comme l'utilisation d'Internet. La Direction des services � la client�le s'attend � ce que la modernisation de ses syst�mes pour r�pondre � l'augmentation de la demande lui permette d'accro�tre le niveau de satisfaction de sa client�le gr�ce � des am�liorations de l'accessibilit�, de l'exactitude des renseignements et de la rapidit� de r�ponse.
L'ADRC s'est �galement engag�e � r�pondre aux demandes de renseignements pr�sent�es par �crit (renseignements g�n�raux ou concernant les entreprises) dans un d�lai de 20 jours ouvrables suivant leur r�ception, ou de 20 jours ouvrables suivant la r�ception des documents pertinents lorsque des renseignements suppl�mentaires sont exig�s. La Direction des services � la client�le est charg�e d'�tablir les normes et d'en contr�ler la mise en application, tandis que le personnel des Services � la client�le des BSF et des centres fiscaux est responsable du service de premi�re ligne. Dans le cadre de son engagement � am�liorer les services, la Direction envisage des moyens de faire respecter des objectifs en mati�re d'exactitude et de qualit� en plus du d�lai de traitement de 20 jours ouvrables.
L'ADRC a �galement tent� d'accro�tre la satisfaction de la client�le au moyen d'activit�s p�riodiques d'enseignement, d'extension des services, de communication et de consultation. Elle a un certain nombre de programmes d'extension des services qui vont de la participation � des conf�rences et � des salons promotionnels � la mise en place de comptoirs d'information fiscale � l'intention des nouveaux immigrants. Les visites de l'ADRC dans les collectivit�s combinent des services, de l'enseignement et des v�rifications de conformit�, alors que son programme pour les �coles a permis d'offrir gratuitement des trousses Enseignons l'imp�t � des enseignants et � des �l�ves dans l'ensemble du pays. L'ADRC offre des s�ances de formation pour b�n�voles aux repr�sentants d'organismes communautaires et � d'autres int�ress�s, y compris les personnes handicap�es, les personnes �g�es et les citoyens � faible revenu, sur la pr�paration des d�clarations de revenus. De plus, elle publie tous les ans un document intitul� Nos programmes et services, qui contient une br�ve explication de l'ensemble de ses services.
L'ADRC a en outre r�cemment lanc� un service en direct permettant aux Canadiens de transmettre leur d�claration � l'ADRC par Internet. Un sondage a �t� men� aupr�s de plus de 25 000 utilisateurs d'IMP�TNET; 95 % des r�pondants ont indiqu� que le service �tait d'utilisation facile et un bon nombre d'entre eux ont dit qu'ils le r�utiliseraient.
En plus de consulter les clients, la Direction des services � la client�le r�unit des employ�s de chaque r�gion du pays pour tenter de trouver des solutions � des probl�mes qui se r�percutent directement sur la prestation des services aux clients. Ce m�canisme de consultation interne, ou programme d'am�lioration du service, permet de r�gler plus rapidement les probl�mes qui semblent s'appliquer � l'ensemble du pays et � tous les modes de prestation.
Afin de s'acquitter de son mandat en mati�re d'observation tout en offrant d'excellents services � la client�le, l'ADRC a mis au point un catalogue de profils de comp�tences pour veiller � ce que ses employ�s poss�dent les comp�tences et les connaissances dont ils ont besoin pour offrir un meilleur service aux Canadiens.
Dans sa fa�on de proc�der pour �laborer, mettre en œuvre, surveiller et mettre en application ses normes de service, la Direction des services � la client�le de l'ADRC a d�montr� les pratiques exemplaires suivantes :
Les canadiens s'attendent � ce que diff�rents modes de prestation des services leur soient offerts.
Savoir � quoi s'attendre est un facteur de la satisfaction des clients.
La comp�tence du personnel peut accro�tre la satisfaction de la client�le.
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par la Direction des services � la client�le, veuillez communiquer avec :
Sue Wormington
Directrice int�rimaire
Division de la planification strat�gique et du d�veloppement
Direction des services � la client�le
Direction g�n�rale des cotisations et des recouvrements
Agence des douanes et du revenu Canada
(613) 957-2347
Description du secteur d'activit�
Citoyennet� et Immigration Canada approuve les demandes d'immigration au Canada, de visite du Canada et de citoyennet� canadienne. La plupart des travaux pr�liminaires de traitement des demandes de l'�tranger s'effectue dans les ambassades du Canada � l'�tranger, mais une quantit� importante de t�ches de traitement des demandes provenant du Canada est ex�cut�e au Canada (Vegreville). Cet �tablissement traite en outre une partie des demandes provenant de l'�tranger.
Citoyennet� et Immigration Canada sert deux groupes de clients : ceux qui demandent d'immigrer au Canada ou de visiter ce pays et ceux qui demandent la citoyennet� canadienne. Toutefois, son premier client est le public canadien, qu'il sert en retenant les candidats de la plus grande qualit� possible qui demandent � immigrer au Canada, tout en veillant � ce que les personnes pr�sentant des risques de s�curit� ne soient pas admises au pays.
Sur son site Web, Citoyennet� et Immigration Canada fournit des normes portant sur la rapidit� de r�ponse pour une vari�t� de services, dont celles qui suivent :
Ces normes ont �t� �tablies par suite de l'examen des ressource disponibles pour fournir les services requis. Citoyennet� et Immigration Canada proc�de � la mise � jour de ses syst�mes de suivi afin d'�tre en mesure de pr�senter des rapports sur le niveau de respect de ses normes.
Le minist�re met en œuvre un syst�me qui remet � chaque personne demandant d'immigrer au Canada une lettre qui explique les grandes lignes du processus d'approbation. Cette lettre explique principalement le lien entre le moment o� le requ�rant pr�sente les renseignements et celui o� commence le processus d'approbation. La lettre a �t� r�dig�e en collaboration avec les employ�s de Citoyennet� et Immigration Canada, des nouveaux immigrants, des organisations repr�sentant des immigrants, des parrains et des avocats sp�cialis�s en immigration.
Dans sa fa�on de proc�der pour �laborer, mettre en œuvre, surveiller et mettre en application ses normes de service, le secteur d'activit� de Citoyennet� et Immigration Canada a d�montr� les pratiques exemplaires suivantes :
Sidney Frank
Gestionnaire du projet pilote
Citoyennet� et Immigration Canada
Projet pilote sur le traitement centralis�
300, rue Slater, 11e �tage
Ottawa (Ontario)
K1A 0C8
T�l�phone : (613) 957-5951
Le Service des d�l�gu�s commerciaux du Canada (SDCC) du minist�re des Affaires �trang�res et du Commerce international (MAECI) travaille de concert avec ses partenaires et clients pour favoriser les int�r�ts �conomiques du Canada � l'�tranger en aidant les entreprises d'ici � atteindre leurs objectifs d'expansion � l'�tranger. Les partenaires du SDCC comprennent des associations de gens d'affaires, d'autres minist�res, ainsi que des gouvernements provinciaux et municipaux; ses clients sont des entreprises canadiennes pr�tes � exporter qui ont �tudi� et choisi leurs march�s-cibles.
Le SDCC, dont l'administration centrale se trouve � Ottawa, compte 135 bureaux � l'�tranger dans des missions du MAECI. Il collabore avec les entreprises, les gouvernements, les associations industrielles et d'autres organismes pour aider ses clients � r�ussir sur les march�s internationaux. En 1998, le SDCC a tenu une vaste s�rie de groupes de discussion avec ses clients � l'�chelle du pays pour se faire une meilleure id�e de leurs besoins et attentes. � l'issue de cette d�marche, il a entrepris un important renouvellement organisationnel, initiative intitul�e Une nouvelle fa�on de vous aider � faire des affaires � l'�tranger. Dans le cadre de cette initiative, le SDCC offre � ses clients les six services de base suivants :
Le SDCC utilise divers modes pour fournir ses services : courrier �lectronique, en personne, Internet, t�l�phone, foires commerciales et, dans une mesure beaucoup moins grande, la poste. Son engagement en mati�re de service s'applique de fa�on �gale � tous les modes de prestation.
Le SDCC utilise le cadre d'efficacit� de l'Institut national de la qualit� comme outil pour faciliter la mise en œuvre de la Nouvelle fa�on et am�liorer le service. Il est membre de la cat�gorie � Or � de l'INQ et la Division des op�rations � l'�tranger, une unit� de l'administration centrale, a r�ussi le niveau de certification un du Programme d'excellence progressive (PEP) de l'INQ. Cette division a pour mission d'aider le SDCC, au Canada et � l'�tranger, � offrir le meilleur service possible � ses clients en favorisant l'am�lioration continue, en �laborant des politiques en mati�re de service et en facilitant la mise en application de ces politiques, ainsi qu'en faisant la promotion du SDCC.
Le SDCC a commenc� � mener des sondages annuels sur la satisfaction des clients afin de d�terminer si les clients �taient satisfaits des changements apport�s dans le cadre de la Nouvelle fa�on. Il a effectu� de tels sondages en 1999 et 2000 aupr�s de presque 2 000 clients choisis au hasard d'apr�s les listes de clients fournies par chacun des bureaux du SDCC � l'�tranger ayant soumis une liste suffisante. Une soci�t� d'experts-conseils ind�pendante engag�e � contrat par le SDCC (et non pas le service d'�valuation du MAECI dans le cadre de l'une de ses �valuations) a effectu� des entrevues t�l�phoniques avec des clients, partenaires et entreprises afin d'�valuer leur niveau de satisfaction � l'�gard des six services de base ainsi que d'obtenir leurs suggestions quant aux am�liorations qui pourraient �tre apport�es dans chacun des bureaux commerciaux.
Des sondages ont �galement �t� men�s aupr�s des employ�s pour conna�tre leurs pr�occupations par rapport aux services offerts � la client�le et � la Nouvelle fa�on.
� l'issue des consultations qui ont pr�c�d� l'�tablissement de la Nouvelle fa�on, le SDCC a �labor� ses normes de service dans le cadre d'un engagement en mati�re de service, qui sont publi�es dans ses brochures et sur son site Internet, http://www.infoexport.gc.ca/, de mani�re � ce que tant ses clients que ses employ�s comprennent clairement le genre de service auquel s'attendent les clients. Selon ses normes de service, le SDCC s'engage � :
Bien que le SDCC ait �tabli une norme en mati�re de rapidit� du service, il n'a pas encore mis en place de m�canisme dans ses missions � l'�tranger pour pouvoir mesurer le rendement � cet �gard. Pour le moment, il compte sur les sondages men�s aupr�s de ses clients pour voir si le d�lai de cinq jours semble respect�.
En vue de la mise en œuvre de la Nouvelle fa�on ax�e sur le client, le SDCC amorce un changement de sa culture organisationnelle, qui comprend a) un �nonc� plus clair des services offerts aux clients; b) des normes de service plus pr�cises; c) des sondages aupr�s des clients et des employ�s pour obtenir leurs avis sur les am�liorations � apporter au service; d) des mesures du rendement d�taill�es. Ce changement de culture a n�cessit� un leadership ferme de la part du SMA et du sous-ministre du Commerce international, de m�me que le travail d'une �quipe de soutien chevronn�e et cr�dible � l'administration centrale dont l'objet est de faciliter la transition en cours. Cette �quipe, l'Unit� d'appui aux postes, qui fait partie de la Division des op�rations � l'�tranger, consid�re les agents locaux du SDCC � l'�tranger comme ses clients et s'efforce d'aider clients et personnel du SDCC � faire la transition en diffusant aux employ�s � travers le monde des politiques, des lignes directrices et des pratiques exemplaires en mati�re de service sur un site Intranet.
Pour faciliter la mise en œuvre de la Nouvelle fa�on, le SDCC a engag� des experts‑conseils pour �laborer un plan d�crivant comment il doit proc�der pour maintenir et poursuivre les am�liorations pr�vues. Ce plan, intitul� Nouvelle fa�on@travail, agit comme compl�ment � l'IAS, mettant l'accent sur les gens, les services �lectroniques et les outils d'information, y compris la mise au point d'un syst�me �lectronique de gestion des relations avec la client�le. On recommande dans ce plan de d�terminer quels sont les comp�tences et les outils n�cessaires puis de les acqu�rir afin que les gestionnaires et le personnel du SDCC puissent recevoir la formation voulue et �tre mieux en mesure de mettre en œuvre la Nouvelle fa�on, et ce, de mani�re durable.
Dans sa fa�on de proc�der pour �laborer, mettre en œuvre, surveiller et mettre en application ses normes de service, le SDCC a d�montr� les pratiques exemplaires suivantes :
Un plan doit �tre �labor�.
Il faut acqu�rir de la cr�dibilit� aupr�s des clients.
Il faut obtenir l'engagement et assurer la cr�dibilit� des employ�s.
Une utilisation judicieuse de la technologie peut faciliter la t�che.
Il faut tirer parti de l'exp�rience des autres.
Il faut se concentrer sur les facteurs de la satisfaction des clients.
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par le SDCC, veuillez communiquer avec :
Peter MacArthur
Directeur, Division des op�rations � l'�tranger
Programmes et services � l'�tranger du Service des d�l�gu�s commerciaux
Commerce international et d�l�gu� commercial en chef
Minist�re des Affaires �trang�res et du Commerce international
613-996-2964
Claire Newell
D�l�gu�e commerciale
Division des op�rations � l'�tranger
Programmes et services � l'�tranger du Service des d�l�gu�s commerciaux
Commerce international et d�l�gu� commercial en chef
Minist�re des Affaires �trang�res et du Commerce international
613-944-0493
Par l'entremise du programme de Prestations de revenu d'assurance‑emploi (PRAE), D�veloppement des ressources humaines Canada (DRHC) accorde un soutien de revenu temporaire aux Canadiens � la recherche d'un emploi, en cong� parental ou incapables de travailler pour des raisons de sant�.
Le PRAE, un des programmes les plus visibles du gouvernement f�d�ral, fait partie de l'un des plus grands r�seaux de prestation de services au public. Environ 8 000 employ�s, principalement au niveau local dans 320 Centres des ressources humaines du Canada (CRHC), aident � ex�cuter le PRAE. Parmi les activit�s men�es, mentionnons pr�s de 40 millions de demandes de renseignements au sujet des prestations et des activit�s, 2,5 millions de demandes de prestations et 20 millions de prestations d'assurance‑emploi, dont pr�s du tiers sont effectu�es gr�ce au virement direct.
Les clients re�oivent de l'information concernant le programme en se rendant en personne aux CRHC, par t�l�phone (11 centres d'appels), par courrier (10 centres de traitement du courrier), par courrier �lectronique (projet pilote dans la r�gion de Montr�al), par Internet et en se servant de kiosques (5 000 kiosques partout au Canada). Environ 60 % des demandes de renseignements et de prestation sont effectu�es par l'entremise de kiosques, les autres demandes de soutien du revenu �tant remises en personne par le demandeur � un bureau local ou envoy�es par la poste. Dans certains centres locaux, les demandes de prestations sont re�ues par t�l�phone.
En ce qui concerne l'am�lioration des services aux Canadiens, le PRAE s'efforce d'exercer ses � responsabilit�s fonctionnelles en vertu de la Loi sur l'assurance‑emploi et d'autres lois et programmes en assurant un service de qualit� et en utilisant efficacement les ressources, pour r�pondre � la charge de travail variable relative au programme d'assurance‑emploi �.
Dans le dessein d'am�liorer constamment la qualit� du service et de son fonctionnement, la Direction de l'assurance‑emploi, charg�e d'administrer le programme, a produit en avril 2001 la Politique sur la gestion de la qualit� � l'assurance. Cette politique d�crit les objectifs pr�cis, d�finit la qualit� et les responsabilit�s � l'�chelle nationale, r�gionale et locale ainsi que diverses pratiques de mise en œuvre comme la r�troaction aux employ�s, la formation, la reconnaissance, les plans de gestion, la surveillance et les rapports. Conform�ment � la politique, le terme qualit� d�signe la rapidit� d'ex�cution, l'exactitude, la clart� des communications, l'�quit� et la satisfaction des clients. Elle pr�cise que, pour atteindre le niveau le plus �lev� de satisfaction de la client�le, il faut fournir les services d'une mani�re qui assure le respect de tous les aspects des normes de service.
DRHC a en outre mis au point un mod�le national d'engagement qui sera affich� et adapt� au niveau local. Le mod�le, intitul� � Nos normes de service �, contient les normes suivantes en mati�re de courtoisie, d'exactitude des renseignements, de temps d'attente et de r�ception des paiements dans un d�lai de 28 jours en ce qui concerne le PRAE :
Le mod�le de Normes de service permet aux CRHC de pr�ciser d'autres normes adapt�es aux besoins et aux priorit�s de leurs clients.
En avril 2001, la Direction de l'assurance‑emploi a men� aupr�s des clients un sondage ind�pendant sur la qualit� du service et pr�voit effectuer d'autres sondages t�l�phoniques semestriels sur la satisfaction des clients. Le sondage, une adaptation du mod�le de l'Outil de mesures communes, comporte une s�rie de questions, notamment le degr� de satisfaction des clients concernant la qualit� du service re�u, et propose des am�liorations. Les questions fondamentales mettent l'accent sur les deux principaux modes de prestation des services (en personne et par t�l�phone) ainsi que sur les engagements en mati�re de service comme la rapidit� du service, la comp�tence, la courtoisie, l'�quit� et la facilit� d'acc�s. Plus de 3 000 clients ont r�pondu au sondage. Les r�sultats de ce dernier devraient servir de r�f�rence pour l'am�lioration du service aux Canadiens et repr�senteront le principal m�canisme de consultation servant � r�viser la Politique sur la gestion de la qualit� � l'assurance ainsi que le mod�le Nos normes de service.
La Direction de l'assurance‑emploi r�alise en outre des progr�s concernant le degr� de respect des engagements, comme la rapidit� du service et les taux d'erreur dans les paiements. La Direction publie chaque ann�e dans son Rapport minist�riel sur le rendement les r�sultats de l'�chantillonnage national qu'elle effectue pour d�terminer l'exactitude des paiements de prestations. Elle surveille la mise en œuvre de la Politique de gestion de la qualit� et produit trimestriellement � l'intention de la haute direction un rapport national sur les activit�s connexes (par exemple, les plans r�gionaux d'action en mati�re de gestion, la formation). Elle affiche le rapport national sur le site Intranet de DRHC. Elle commence �galement � produire un rapport trimestriel portant sur les r�sultats et les tendances li�es aux paiements inexacts, qui sont extraits de son syst�me complet de suivi. Les erreurs peuvent �tre attribu�es � DRHC, au demandeur ou � l'employeur.
La Direction de l'assurance‑emploi recourt � la qualit� du service aux Canadiens � titre d'issue permettant de faire montre du progr�s r�alis� en vue de l'atteinte des r�sultats cl�s du programme, notamment la prestation aux Canadiens du service de la plus haute qualit� possible. Par ailleurs, elle appuie le cadre de l'Institut national de la qualit� (INQ) dans le contexte d'une initiative pilote. La Direction a fait passer l'Exercice d'�valuation de la qualit� de l'INQ � trois r�gions. En outre, quatre CRHC locaux ont re�u la certification ISO 9001, tandis qu'un autre bureau pr�voit obtenir la certification relative � la qualit� du service.
En application de son cadre de responsabilisation, la Direction de l'assurance‑emploi a adopt� une approche de la carte de pointage �quilibr� (c'est‑�‑dire, le tableau de bord) pour arriver � �quilibrer la capacit� et les attentes en mati�re de mesure du rendement et de pr�sentation de rapports � cet �gard.
Dans sa fa�on de proc�der pour �laborer, mettre en œuvre, surveiller et mettre en application ses normes de service, le secteur d'activit� du PRAE a d�montr� les pratiques exemplaires suivantes :
En sondant les clients, on veille � la gestion de leurs attentes et � la satisfaction de celles‑ci.
Un cadre reconnu peut am�liorer la gestion.
L'apprentissage et le partage sont Importants.
La restructuration de l'organisation peut aider cette derni�re � se concentrer davantage sur les clients.
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par le programme de Prestations de revenu d'assurance‑emploi, veuillez communiquer avec :
Georges Perron
Directeur
Service de la qualit� d'assurance
Direction de l'assurance‑emploi
D�veloppement des ressources humaines Canada
140, promenade du Portage
Phase IV, 9e �tage
Hull (Qu�bec), K1A 0J9
(819) 994-3184
georges.perron@DRHC-drhc.gc.ca
L'objectif premier du Bureau de la concurrence consiste � servir les Canadiens en veillant � maintenir une saine concurrence dans les divers secteurs de l'�conomie canadienne. Dans le cadre de son mandat, le Bureau d�livre des certificats de d�cision pr�alable aux entreprises sur le caract�re acceptable de fusionnements propos�s. Il approuve en outre les fusionnements apr�s r�ception d'une notification de fusionnement de l'entreprise. Des frais de 25 000 $ sont exig�s pour ces services.
Outre le public canadien en g�n�ral, les entreprises canadiennes qui souhaitent faire approuver une proposition de fusionnement constituent sa principale client�le. Au cours de l'exercice 2000‑2001, le Bureau de la concurrence a trait� 349 transactions (demandes de certificat de d�cision pr�alable et approbations de fusionnement). Sur ce nombre, 282 (81 %) �taient consid�r�es non complexes, 53 (15 %) complexes et 14 (4 %) tr�s complexes.
Les clients du Bureau peuvent obtenir des services en personne, par t�l�phone, par t�l�copieur, par la poste et par courrier �lectronique.
En novembre 1997, lorsque le ministre de l'Industrie a approuv� les frais li�s aux processus r�glementaires du Bureau de la concurrence, la tarification �tait accompagn�e de normes de service. Ces normes �taient fond�es sur un examen des donn�es r�trospectives sur les d�lais de traitement et ont �t� r�vis�es apr�s consultation de divers intervenants de l'ext�rieur. Dans le cas de l'examen des transactions de fusionnement (certificats de d�cision pr�alable et approbations de fusionnement), les normes �tablies �taient les suivantes :
Complexit� |
D�lai de traitement maximum |
Non complexes |
14 jours |
Complexes |
10 semaines |
Tr�s complexes |
5 mois |
Ces normes sont largement diffus�es. Elles sont publi�es sur le site Web du minist�re ainsi que sur le site Web consacr� � la tarification et aux normes de service.
Le Bureau de la concurrence a mis en place un syst�me de compte rendu du temps et de suivi qu'il utilise pour �tablir des statistiques sur les d�lais de traitement, qui sont ensuite publi�es dans les rapports annuels sur le rendement de l'examen des fusionnements.
En plus d'�tablir des donn�es statistiques directes, le Bureau de la concurrence distribue des feuillets de r�troaction aux clients qui ont fait appel � ses services, leur demandant d'indiquer si les d�lais pr�vus ont �t� respect�s ainsi que d'�valuer la qualit� du service (excellent, bon, passable ou m�diocre).
Tous les deux ans (1999 et 2001), le Bureau rencontre des repr�sentants de ses clients, pr�sente un compte rendu de son rendement par rapport aux normes de service �tablies et obtient une r�troaction de ses clients.
Le Bureau se sert de cette r�troaction comme point de d�part pour r�examiner son service et ses normes de service. � l'heure actuelle, par exemple, il s'affaire � revoir le processus utilis� pour d�terminer initialement si un examen est non complexe, complexe ou tr�s complexe.
Le Bureau de la concurrence a men� de vastes consultations aupr�s de sa client�le pour l'�tablissement de ses normes. Il a fourni � ses clients des donn�es statistiques r�trospectives et apport� des changements aux normes en fonction des suggestions des clients.
Le Bureau ne publie pas seulement le pourcentage des examens effectu�s selon la norme. Il fournit des donn�es (sous forme de graphiques) sur la r�partition des d�lais de traitement r�els. Cette information est tr�s utile parce qu'elle permet de relever les cas o� le Bureau surpasse de beaucoup la norme et assure le service dans un d�lai tr�s court.
Le Bureau recueille des donn�es concr�tes sur le service fourni et aussi des renseignements sur le point de vue du client par rapport au service. Il �vite ainsi une situation o� l'organisation estime le service acceptable parce qu'elle respecte les normes �tablies alors que les clients sont en r�alit� m�contents du service parce que ce dernier ne r�pond pas � leurs besoins et attentes.
Les r�unions p�riodiques avec les repr�sentants des clients permettent une r�troaction ad�quate.
Les clients semblent assez satisfaits � l'�gard des normes de service actuelles et du respect de ces normes. On a toutefois d�couvert que le processus de classification initiale des examens selon leur degr� de complexit� manquait parfois d'exactitude. Il arrive donc qu'un examen doive �tre reclassifi� en cours de route pour lui attribuer un niveau de complexit� sup�rieur. Cet �tat de choses a entra�n� des probl�mes avec les clients, pas tellement parce qu'ils consid�raient le nouveau d�lai inacceptable, mais plut�t parce qu'ils avaient d�j� formul� leurs plans en fonction du premier d�lai �tabli plus court et se voyaient oblig�s de changer ces plans. Le Bureau est en train de modifier son processus de classification. Il a constat� qu'en consacrant plus de temps et d'attention aux proc�dures de classification pour veiller � ce que les reclassifications soient moins fr�quentes, il pouvait accro�tre la satisfaction de la client�le.
Lise Davey
Gestionnaire, Service � la client�le
Industrie Canada
Service � la client�le du Bureau de la concurrence
50, rue Victoria
Hull (Qu�bec)
K1A OC9
T�l�phone : (819) 953-9069
Depuis son instauration en 1953, la Biblioth�que nationale a mont� une collection de plus de 18 millions de documents. La collection est constitu�e principalement de publications canadiennes dans tous les formats d'�dition, notamment des documents �crits, audiovisuels et �lectroniques. La Biblioth�que nationale a �t� cr��e pour acqu�rir, pr�server et promouvoir le patrimoine de l'�dition du Canada, mais surtout pour le rendre accessible � tous les Canadiens. Elle d�tient donc maintenant la plus grande collection au monde de Canadiana et poss�de plusieurs collections uniques de livres rares, d'archives litt�raires et musicales, de litt�rature de jeunesse, d'enregistrements audios ainsi que d'excellentes collections de publications du gouvernement du Canada et de journaux et une grande collection de r�f�rence ax�e sur les �tudes canadiennes.
Le programme de la Biblioth�que nationale de Canada cherche � permettre aux Canadiens de se conna�tre et de conna�tre leur pays par l'entremise du patrimoine de l'�dition et de leur fournir un acc�s efficace aux sources nationales et internationales d'information. Les principales responsabilit�s du programme sont les suivantes :
La Biblioth�que nationale fournit de nombreux services qui, grosso modo, font partie de secteurs d'activit�, notamment :
Au cours des derni�res ann�es, les clients ont augment� consid�rablement l'utilisation qu'ils font des services en direct de la Biblioth�que nationale.
La Biblioth�que nationale du Canada est d�termin�e � cr�er une ressource nationale de calibre mondial qui permet d'�tudier et de comprendre le patrimoine culturel du Canada et d'en assurer la vitalit� ainsi que de faciliter l'acc�s par les Canadiens � des r�seaux nationaux et mondiaux de ressources d'information. Elle a �galement publi� un Engagement face aux services sur son site Web dans lequel elle s'engage � r�pondre aux besoins des clients en mati�re d'information d'une fa�on claire, rigoureuse et professionnelle de m�me qu'� traiter tous les usagers de mani�re �quitable et courtoise, tout en assurant le respect des renseignements personnels, de la s�curit� ainsi que des droits de la personne. Enfin, elle s'engage � offrir les services dans la langue officielle choisie par le client.
Lorsqu'elle a mis au point ses normes de service, la Biblioth�que nationale a consult� les clients par le truchement de sondages et de groupes de discussion ainsi que par une consultation listserv. En 2000‑2001, le secteur d'activit� du Soutien � la recherche a men� un sondage sur la satisfaction de la client�le en se fondant sur l'Outil de mesures communes; la r�action des clients a �t� assez positive. En outre, les usagers sur place et en direct de la Biblioth�que nationale sont invit�s � remplir des fiches de commentaires; en g�n�ral, tr�s peu d'usagers par ann�e fournissent des commentaires n�gatifs.
Dans le cadre de groupes de discussion, on a consult� les employ�s de la Biblioth�que afin d'�laborer et d'examiner l'�bauche des normes de service et de veiller � ce qu'ils comprennent le niveau de service que la Biblioth�que s'est engag�e � fournir et auquel s'attendent les clients. � la suite de consultations r�centes aupr�s des clients, la Biblioth�que a rajust� quelque peu ses normes de service. Les sondages aupr�s des clients ont �galement permis de r�gler la question de la satisfaction de la client�le.
La Biblioth�que nationale affiche ses normes de service sur son site Web et inclut les r�sultats de celles‑ci dans son Rapport minist�riel sur le rendement.
Elle a inclus dans son Rapport minist�riel sur le rendement de 2000‑2001 les normes de service qui suivent et les r�sultats � cet �gard :
Service |
Norme de service |
Cible |
R�sultats en 2000-2001 |
Canadiana, bibliographie nationale |
Dans les 10 jours suivant leur r�ception � la Biblioth�que nationale, on ajoutera � la base de donn�es les notices des publications trait�es dans le cadre du Programme de catalogage avant publication (CIP) ainsi que des publications du gouvernement f�d�ral mises � la disposition des biblioth�ques participant au Programme des services de d�p�t (PSD) du gouvernement f�d�ral. |
100 % |
90 % |
Dans les trois mois suivant leur r�ception, on ajoutera � la base de donn�es, les notices d'au moins la moiti� de toutes les autres publications courantes r�pertori�es dans Canadiana. |
50 % |
77 % |
|
Soutien � la recherche |
On r�pondra aux demandes de renseignements simples et pr�cises dans les deux jours ouvrables. |
100 % |
99 % |
On r�pondra aux demandes de renseignements qui exigent des analyses et des recherches approfondies dans les 5 � 10 jours ouvrables. |
100 % |
97 % |
|
|
100 % |
100 % |
|
Services de base de donn�es |
Le service de base de donn�es bibliographiques de la Biblioth�que nationale, AMICUS, sera disponible 98 % du temps pendant les heures de service d�termin�es. |
98 % |
98,8 %
|
Le temps d'arr�t du syst�me ne d�passera pas 3 600 minutes pour une p�riode d'un an. |
3 600 |
6 167 |
|
Aucune p�riode d'arr�t continu du syst�me ne durera plus de 24 heures.(= 1 440 minutes). |
1 440 |
1 ,559
|
|
Partage des ressources |
On r�pondra aux demandes de localisation de documents simple dans les 2 � 4 jours ouvrables de la r�ception de la demande. |
100 % |
75 % |
On r�pondra aux demandes de localisation qui exigent une recherche approfondie des sources d'information dans les 10 jours ouvrables de la r�ception de la demande. |
100 % |
92 % |
Dans sa fa�on de proc�der pour �laborer, mettre en œuvre, surveiller et mettre en application ses normes de service, la Biblioth�que nationale a d�montr� les pratiques exemplaires suivantes :
Il faut obtenir l'engagement et assurer la cr�dibilit� des employ�s
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par la Biblioth�que nationale, veuillez communiquer avec :
Paul McCormick
Directeur g�n�ral
Planification strat�gique et politique
T�l�phone : 613-996-2892
paul.mccormick@nlc-bnc.ca
Le Secteur des sciences de la Terre (SST) a �t� cr�� � la suite d'une r�organisation en 1995 � Ressources naturelles Canada. Il regroupe les anciens secteurs de G�omatique Canada, de la Commission g�ologique du Canada ainsi que de l'�tude du plateau continental polaire dans une seule unit� administrative. Le SST coordonne � l'�chelle nationale l'acquisition, l'interpr�tation, la gestion et la distribution des cartes, des donn�es, des technologies, des normes et de l'expertise en sciences de la Terre, en g�od�sie, en cartographie, en lev�s et en t�l�d�tection qui concernent le territoire continental et marin du Canada.
La mission of SST est de fournir � point nomm� des renseignements, conseils, produits et services novateurs et fiables en mati�re de g�omatique et de sciences de la Terre qui r�pondent aux besoins des clients. � cette fin, le SST fournit une base de connaissances compl�te en mati�re de g�omatique et de sciences de la Terre � l'appui des activit�s du secteur public au Canada ainsi qu'aux d�cisions et aux activit�s d'investissement du secteur priv� au Canada et � l'�tranger. Il accorde un soutien logistique aux sciences de l'arctique par l'entremise de l'�tude du plateau continental polaire. Les extrants de G�omatique Canada comprennent de l'information g�ographique, des cartes topographiques et des cartes a�ronautiques, des lev�s officiels des terres publiques, des donn�es concernant les limites internationales entre le Canada et les �tats‑Unis, la France (St‑Pierre et Miquelon) et le Danemark (Groenland), la g�od�sie pour le positionnement de pr�cision ainsi que des applications de donn�es d'observation de la Terre par t�l�d�tection. La Commission g�ologique du Canada fournit le cadre des sciences de la Terre pour l'exploration min�rale et p�troli�re sur la masse continentale et les zones extrac�ti�res, des donn�es aux fins de l'�valuation environnementale et de l'am�nagement du territoire et aide les Canadiens � att�nuer les effets de dangers, comme les tremblements de terre et les d�versements de substances toxiques dans l'environnement, et � s'adapter aux effets du changement climatique.
Voici plus pr�cis�ment les principales activit�s ex�cut�es par le SST :
Le SST fournit plusieurs mode de prestation des services aux clients : courrier �lectronique, en personne, Internet, t�l�phone, salons commerciaux et courrier. L'engagement en mati�re de service s'applique � tous les modes de prestation.
Le SST est r�solu � fournir des services rapides, fiables, rentables et de qualit�. Ces services seront examin�s et am�lior�s de fa�on r�guli�re, en tenant compte des commentaires formul�s par les clients. Bien que la nature et la complexit� des services offerts par les diff�rentes directions et divisions du SST puissent varier, tous nos clients seront assur�s de recevoir des services r�pondant aux m�mes normes de base.
Le SST s'assurera de la qualit� de ses services en suivant, dans la mesure du possible, des processus fond�s sur des normes reconnues au niveau national et international, par exemple, de 4 � 5 unit�s sont d�j� inscrites � la certification ISO 9000, tandis que la plupart des autres unit�s le seront d'ici quelques ann�es. Il s'engage aussi � g�rer les principales activit�s li�es aux services d'une mani�re qui assure la reddition de comptes et l'�valuation par la surveillance et l'examen p�riodique des objectifs cl�s en mati�re de service et du rendement connexe. En outre, le SST �value souvent les besoins des clients et, si possible, adapte ses normes de service et de responsabilit� en cons�quence.
Tous les services principaux offerts aux clients externes par le SST sont assortis de normes de service particuli�res qui ont �t� �labor�es pour la premi�re fois en 1996‑1997. En outre, pour ce qui est des demandes de renseignements g�n�raux, les employ�s du SST s'engagent � respecter le code de conduite ci-dessous dans le cadre de leurs rapports avec leurs clients :
Le SST s'attache � fournir des services de qualit� qui satisfont aux besoins de ses clients ou les d�passent. Dans le cadre de ses efforts d'am�lioration continue, il accorde une grande valeur � la r�troaction des clients sur la qualit� des services. C'est pourquoi le SST met sur pied � leur intention un m�canisme de r�troaction pour tous les services qu'il fournit (que ce soit une personne-ressource, une carte de commentaires ou un autre m�canisme du genre), de sorte qu'ils puissent lui transmettre leurs commentaires.
Les clients qui d�sirent d�poser une plainte relativement � un service que leur a fourni le SST doivent s'adresser d'abord au gestionnaire de projet responsable. S'ils ne sont pas satisfaits de la r�ponse obtenue, ils sont pri�s de communiquer avec le directeur g�n�ral ou le directeur de la direction ou de la division appropri�e ou le directeur de l'Expansion des affaires. Le SST met tout en œuvre pour r�pondre aux clients dans les deux semaines suivant la r�ception de leur plainte.
Le SST a publi� pr�s de 30 normes de service sur son site Web, dont la plupart se rapportent � l'acc�s � un service, au d�lai d'ex�cution ou au d�lai de fourniture du service.
� l'automne 1998, � la demande du SMA du SST, la Direction g�n�rale de la v�rification et de l'�valuation de RNCan a v�rifi� environ 20 normes de service pr�cises du SST. Cette v�rification visait principalement � examiner les normes de service �tablies du SST et � d�terminer si le secteur s'y conforme et s'il utilise les donn�es sur le rendement pour am�liorer ses services. En outre, lorsque le rendement �tait mesur�, l'�quipe de v�rification :
Il est ressorti de la v�rification que m�me si la mesure syst�matique des normes de service de certains secteurs devait �tre am�lior�e, l'engagement des particuliers charg�s d'appliquer les normes de service ne faisait aucun doute. Les fournisseurs de service �taient conscients de la n�cessit� de fournir des services rapides, efficaces et de qualit� � tous les clients et s'engageaient � le faire. Dans certains cas, les strat�gies de mesure pourraient �tre am�lior�es par la mise en œuvre d'�quipement plus perfectionn� de suivi �lectronique, de ressources de gestion des bases de donn�es ou de syst�mes de gestion des projets. Le SST a r�pondu de mani�re favorable aux constatations et a donn� suite � la plupart des recommandations.
� peu pr�s au m�me moment o� a �t� men�e la v�rification, le SST mettait � jour son activit� de mesure de la satisfaction de la client�le (MSC) afin que tous les employ�s du secteur en comprennent le sens et de mani�re � assurer une orientation plus strat�gique � cet �gard. Les activit�s de MSC, ce qui comprend les sondages et les groupes de discussion, visent non seulement � mesurer le degr� de satisfaction des clients � l'�gard d'un produit ou d'un service donn� et � pr�senter des rapports sur le sujet, mais aussi � cerner les �carts entre les niveaux de satisfaction, d'une part, et les attentes et priorit�s des clients, d'autre part. De plus, comme les int�r�ts des clients sont appel�s � changer avec le temps, une surveillance permanente s'impose pour assurer le maintien des niveaux de satisfaction et d'approbation. On a l'intention de recourir aux activit�s de MSC pour �valuer la pertinence des normes de service.
Dans sa fa�on de proc�der pour �laborer, mettre en œuvre, surveiller et mettre en application ses normes de service, le SST a d�montr� les pratiques exemplaires suivantes :
Il faut obtenir la cr�dibilit� aupr�s des Clients.
Il faut obtenir l'engagement et assurer la cr�dibilit� des employ�s.
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par le SST, veuillez communiquer avec :
Patrick Lloyd
Analyste, Politique des affaires
Bureau d'expansion des affaires
Secteur des sciences de la Terre
Ressources naturelles Canada
T�l�phone : 613-996-9559
T�l�copieur : 613-995-8737
Internet : pat.lloyd@geocan.nrcan.gc.ca
Le Service des laboratoires judiciaires rel�ve du secteur d'activit� des Services nationaux de police et Infrastructure technique (SNPIT) de la Gendarmerie royale du Canada. Il incombe � ce secteur d'assurer des services de soutien efficaces, efficients et responsables aux services du maintien de l'ordre. Le SNPIT compte six gammes de service, � savoir le Service des laboratoires judiciaires, les Services d'information et d'identit� judiciaires, le Coll�ge de police canadien, le Service canadien de renseignements criminels, le Bureau du dirigeant principal de l'information et les Op�rations techniques.
La pr�sente �tude de cas porte principalement sur le Service des laboratoires judiciaires (SLJ), qui accorde une aide scientifique et technique au syst�me de justice p�nale en examinant et en analysant les �l�ments de preuve criminelle fournis par les services policiers canadiens ainsi que par divers organismes f�d�raux et provinciaux. Le SLJ fournit �galement des experts qui t�moigneront lors de poursuites au criminel. Il se sp�cialise en services li�s � la biologie, � la chimie, aux documents, aux contrefa�ons, aux armes � feu et � la toxicologie (toxicologie et alcools). Il exploite six bureaux au Canada, soit � Halifax, Ottawa, Winnipeg, Regina, Edmonton et Vancouver. Il lui incombe en outre d'administrer la Banque nationale de donn�es g�n�tiques, qui est devenue op�rationnelle en juin 2000.
Dans son rapport sur le rendement de 2000‑2001, le SLJ fait �tat de plus de 15 000 demandes d'examen s'�tant sold�es en 10 231 affaires judiciaires. Le SLJ a effectu� 2581 analyses biologiques (ADN). De plus, on lui a servi 3 200 citations � compara�tre qui ont donn� lieu � plus de 1 000 comparutions devant les tribunaux.
Le SLJ utilise de nombreux modes de communication, le plus important �tant les services postaux. Il en est ainsi parce que le SLJ exige des signatures originales pour la plupart des documents, vu leur nature d�licate. Il recourt au t�l�phone pour recevoir et mettre � jour de l'information visant des enqu�tes en cours. Les comparutions en personne sont moins fr�quentes et, lorsqu'elles surviennent, c'est en g�n�ral par suite d'une citation � compara�tre signifi�e � un expert. Le courrier �lectronique est utilis� � l'occasion dans le cas des rapports provisoires et de simples �changes d'information. Derni�rement, un syst�me vid�ophonique a �t� instaur� pour remplacer les t�moignages d'experts, mais cette fa�on de faire a suscit� nombre de pr�occupations et n'a pas encore gagn� la faveur populaire.
Le SLJ constitue un environnement relativement unique dans la fonction publique. Il sert de syst�me de soutien des organismes de maintien de l'ordre des minist�res f�d�raux et provinciaux. Il a opt� pour une s�rie de normes de service fond�es sur la priorit� plut�t que sur des services pr�cis, de sorte que les normes de service s'appliquant � un m�me service varieront en fonction de la priorit� de la demande. Ce syst�me, qui s'inspire d'une �valuation des besoins et non des capacit�s du SLJ, comporte quatre niveaux de priorit� (Priorit� 1 � 4). Les cas obtenant la priorit� 1 comprennent les situations constituant un danger de mort et celles � l'�gard desquelles il faut �tablir si un acte criminel a �t� commis, tandis la priorit� 4 est r�serv�e aux cas � l'�gard desquels des poursuites judiciaires ne sont pas pr�vues. Le temps de r�ponse varie de 1 � 15 jours dans le cas de la priorit� 1 et de 1 � 90 jours dans le cas de la priorit� 4.
Toutefois, le SLJ proc�de au remaniement de ses normes de service dans le dessein de mieux les adapter aux besoins de la client�le. Il vient de terminer une s�rie de consultations aupr�s de divers agents de toutes les r�gions du pays qui lui ont permis d'�tablir qu'un syst�me � deux priorit�s serait tout aussi efficace mais plus efficient. Le syst�me retiendrait deux cat�gories, soit la cat�gorie Urgent et la cat�gorie Ordinaire, et pr�ciserait que les affaires faisant partie de la premi�re cat�gorie devraient �tre r�gl�es dans un d�lai de 5 jours, tandis que celles faisant partie de la seconde devraient l'�tre dans un d�lai de 30 jours (un groupe repr�sentant un grand nombre de policiers estime qu'un d�lai de 5 jours est �galement acceptable dans le cas des demandes de la cat�gorie Ordinaire). L'�quipe consult�e a en outre recommand� d'ajouter au formulaire visant les demandes ordinaires un �nonc� selon lequel le client et le repr�sentant du SLJ �tabliraient ensemble un d�lai convenant aux deux parties.
Tableau 1. Normes de service : ancien syst�me contre syst�me propos�.
Ancien syst�me |
||
Priorit� |
Description |
D�lai |
1 |
|
1 � 15 jours |
2 |
|
1 � 30 jours |
3 |
|
1 � 60 jours |
4 |
|
1 � 90 jours |
Nouveau syst�me* |
||
Priorit� |
Description |
D�lai |
Urgent |
�tabli en collaboration avec le repr�sentant du SLJ et l'enqu�teur** |
En de�� de 5 jours |
Ordinaire |
�tabli en collaboration avec le repr�sentant du SLJ et l'enqu�teur. |
En de�� de 30 jours |
* Ces normes ont �t� �tablies � la suite de consultations et font actuellement l'objet d'un examen.
** Les cas visant l'int�grit� de la preuve, la menace imm�diate � la s�curit� nationale, la menace imm�diate ou permanente � la s�curit� de la collectivit� et les ordonnances d'un tribunal, dans cet ordre, sont au nombre des �l�ments �ventuels � inclure dans la cat�gorie Urgent.
La derni�re recommandation de l'�quipe consult�e porte sur l'�tablissement de la priorit� des diff�rentes composantes d'une m�me affaire. Elle se fonde sur la reconnaissance par le client de l'importance d'�tablir des normes de service r�alisables et fait ressortir la pr�s�ance en ce qui concerne une m�me affaire, certains �l�ments pouvant �tre plus urgents que d'autres. Il est recommand� de confier � l'�quipe de la technologie de l'information la t�che de concevoir un syst�me capable de tenir compte de priorit�s multiples pour un m�me num�ro de dossier.
Dans sa fa�on de proc�der pour �laborer, mettre en œuvre, surveiller et mettre en application ses normes de service, le Service des laboratoires judiciaires a d�montr� les pratiques exemplaires suivantes :
L'engagement ax� sur les clients du Service des laboratoires judiciaires lui a permis de trouver quelques id�es principales pouvant �tre partag�es avec les autres minist�res lorsqu'ils mettront en œuvre leur propre d�marche ax�e sur les clients :
Il faut consulter les clients.
Il est avantageux d'obtenir l'adh�sion des employ�s.
Il faut tirer profit de l'exp�rience des autres administrations.
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par le SLJ, veuillez communiquer avec :
Tom Lukaszewski, M.SC, M.B.A.
Planification et �valuation des politiques
Service des laboratoires judiciaires
Gendarmerie royale du Canada
T�l�phone : 613-998-6349
T�l�copieur : 613-952-0156
Guy Brunet
Directeur
Planification et Priorit�s
Orientation strat�gique
Gendarmerie royale du Canada
T�l�phone : 613-993-1242
T�l�copieur : 613-993-4453
Internet : guy.brunet@rcmp-grc.gc.ca
La Division des services conseils de Statistique Canada fournit au public canadien de l'information statistique et un certain nombre d'autres services li�s � la statistique. La plupart des employ�s travaillent dans les huit bureaux r�gionaux situ�s partout au Canada. La Division ex�cute trois fonctions principales : r�pondre aux demandes statistiques, se charger des communications avec les m�dias � l'ext�rieur de la r�gion de la capitale nationale et servir de point central vers lequel sont achemin�es les demandes de services � recouvrement des co�ts.
Le public canadien est le principal client des Services conseils, mais cette division fournit de l'information � quiconque en fait la demande : les entreprises, les �tablissements d'enseignement, les gouvernements et les particuliers.
Le site Web de Statistique Canada contient une s�rie d�taill�e de normes relatives aux services que l'agence offre au public. Ces normes ont trait � la qualit�, � l'accessibilit�, � la promptitude, au co�t, � la fiabilit� et aux m�canismes de redressement. L'engagement complet en mati�re de service est reproduit � l'annexe de la pr�sente �tude de cas. Ces normes de service ont �t� essentiellement �labor�es � l'interne, bien que Statistique Canada recourt �galement aux consultations permanentes des divers comit�s consultatifs repr�sentant les utilisateurs.
La Division des services conseils s'inqui�te particuli�rement des normes relatives aux temps de r�ponse qui sont �nonc�es dans l'engagement complet en mati�re de service. Outre ces normes minist�rielles, la Division applique ses propres processus internes et normes.
Les superviseurs �valuent la qualit� de l'information fournie au t�l�phone au moyen d'un syst�me de surveillance des appels. La politique de la Division des services conseils est de surveiller 4 % des appels des nouveaux employ�s et des employ�s ayant connu des probl�mes et 2 % des appels des autres employ�s. Les r�sultats de la surveillance t�l�phonique servent au processus de formation initiale et aident les employ�s � continuer d'am�liorer la qualit� de leur travail.
La Division des services conseils surveille diff�rents volets du niveau de service aux clients par l'entremise de v�rifications dites du client myst�re dans le cadre desquelles une organisation de v�rification externe fait des appels � la Division. Le gestionnaire du bureau et les employ�s ne sont pas inform�s de la tenue de la v�rification.
Statistique Canada ne sonde pas la satisfaction des utilisateurs du syst�me t�l�phonique g�n�ral parce que la politique de l'agence est de ne pas demander aux personnes qui appellent de s'identifier � moins que cela ne soit n�cessaire pour leur fournir les services souhait�s. L'agence m�ne cependant un sondage de la satisfaction des personnes qui ach�tent des services dont la valeur d�passe 250 $. Le taux de satisfaction est tr�s �lev� (sup�rieur � 90 %).
La surveillance de la longueur des files d'attente t�l�phoniques et du nombre d'appels abandonn�s est un moyen efficace de surveiller l'efficacit� du r�pondeur.
La Division des services conseils se sert du syst�me de surveillance t�l�phonique pour compl�ter son syst�me de formation. Chaque nouvel employ� suit une formation d'environ six semaines sur les sources d'information et sur la mani�re d'utiliser les bases de donn�es informatiques. Au cours des six semaines qui suivent, le stagiaire r�pond au t�l�phone sous la surveillance d'un membre chevronn� de l'effectif, qui lui vient en aide au besoin et lui fournit un suppl�ment de formation et de conseils. Apr�s cette p�riode, le particulier r�pond au t�l�phone par lui‑m�me la plupart du temps, 1 appel sur 20 �tant surveill�.
Les v�rifications dites du client myst�re constituent une �valuation externe ind�pendante du syst�me t�l�phonique dans son ensemble.
Le sondage sur la satisfaction des acheteurs de services constitue une autre source de commentaires sur la satisfaction � l'�gard du service.
On juge tr�s utile de recourir � la mise � l'essai externe du syst�me. Une des v�rifications dites du client myst�re a permis de d�celer un probl�me technique du syst�me t�l�phonique qui renvoyait un petit nombre de personnes � une ligne t�l�phonique morte, � laquelle on ne r�pondait jamais. Il aurait �t� virtuellement impossible de d�celer ce probl�me � l'interne.
Iain McKellar
Directeur
Statistique Canada
Gestion de la division
Immeuble RH Coats, avenue Holland et rue Scott
Parc Tunney
Ottawa (Ontario)
K1A 0T6
T�l�phone : (613) 951-9285
Annexe
Statistique Canada
Statistique Canada s'engage � fournir � ses clients des services rapides, fiables et courtois. � cet �gard, notre organisme s'est dot� de normes de service � la client�le qui doivent �tre observ�es par les employ�s lorsqu'ils offrent des services � la client�le. Conform�ment � ces normes, le personnel de Statistique Canada prend les engagements suivants.
Qualit�
Accessibilit�
Promptitude
Co�t
Fiabilit�
M�canisme de redressement
La Direction g�n�rale des services de gestion de la technologie et de l'information (DGSGTI) assure un soutien technique � l'administration centrale et aux bureaux r�gionaux de Transports Canada et appuie certains minist�res provinciaux. La DGSGTI offre des services de soutien internes et est financ�e par le centre. Elle affecte des employ�s au service de d�pannage technique, g�re la mise en œuvre de nouveaux logiciels et mat�riels, fournit aux nouveaux utilisateurs le mat�riel des r�seaux locaux et �tendus de Transports Canada et les y branche et r�gle les difficult�s techniques. Les employ�s de la DGSGTI rencontrent p�riodiquement leurs groupes de clients et, de concert avec eux, �laborent des plans d'action visant les changements requis. Ces consultations des clients fournissent �galement l'occasion d'examiner p�riodiquement les questions ou les pr�occupations des clients, de souligner les �ventuelles am�liorations dont pourraient avoir besoin les clients et de proposer des calendriers pour les s�ances de formation que les clients pourraient devoir suivre.
La DGSGTI accorde son soutien au t�l�phone, par courrier �lectronique, en personne et sur Internet. Elle accro�t actuellement l'utilisation qui est faite d'Internet pour faciliter les installations � grande �chelle de logiciels, augmenter l'acc�s des utilisateurs aux ressources et fournir aux clients un m�canisme permanent de r�troaction. � l'avenir, elle compte mettre en œuvre une solution fond�e sur Internet permettant de tenir un registre des probl�mes des syst�mes.
La DGSGTI concerte ses efforts � ceux de trois secteurs d'activit� � l'administration centrale et, pour l'instant, compte 25 groupes de clients. Elle entretient des rapports avec les r�gions pour assurer la continuit� des services � l'�chelle du pays ainsi qu'avec les Services gouvernementaux de t�l�communications et d'informatique (SGTI), qui g�re le r�seau �tendu de Transports Canada, pour assurer le maintien des niveaux �lev�s de service et traiter des �ventuelles questions touchant la client�le.
La DGSGTI constitue un exemple par excellence de l'importance accord�e � l'infrastructure. L'utilisateur ultime (le client) ne per�oit qu'un petit pourcentage seulement du travail qu'elle effectue, la plupart de ses activit�s �tant exerc�es en coulisse. Elle a mis au point des normes de service fond�es sur les besoins du client ultime, mais pour assurer le respect de celles‑ci, l'infrastructure de soutien dans son ensemble doit �tre bien maintenue. Elle maintient des serveurs Web, des serveurs de courrier �lectronique, des syst�mes d'entreposage et d'archivage des fichiers et une base de donn�es et assure l'int�grit� globale du syst�me. La DGSGTI doit se tenir au courant des questions li�es � la s�curit�, des nouveaut�s dans le domaine des logiciels et du mat�riel ainsi que de l'�volution de l'environnement de r�seaux. Elle entretient des rapports �troits avec les SGTI pour veiller � ce que les clients re�oivent la meilleure infrastructure de r�seau possible.
La pr�sente section traite des normes de service pr�cis�es aux clients dans l'entente sur le niveau de service (ENS) de la DGSGTI. Ces normes tiennent compte des besoins des clients, mais dans le contexte des capacit�s techniques de la DGSGTI. Elles sont le fruit de consultations aupr�s de la client�le, mais elles prennent en consid�ration les limites de l'environnement de travail technologique. Depuis qu'elle a mis au point ces normes de service, la DGSGTI est mieux en mesure de conna�tre la r�partition des ressources qui se traduira par un milieu de travail le plus conforme aux besoins des clients. C'est pourquoi la DGSGTI a int�gr� l'infrastructure requise pour obtenir des interactions homog�nes de la technologie de l'information et de la gestion de l'information et de la satisfaction des clients.
La DGSGTI a r�dig� un document, intitul� Entente sur le niveau de service, qui constitue un contrat standard d�crivant les responsabilit�s et les attentes tant des clients que de la DGSGTI. Ce formulaire standard est modifi�, par suite de consultations avec les clients, afin de tenir compte des circonstances att�nuantes ou des besoins sp�ciaux. L'ENS contient une liste d�taill�e des services fournis par la DGSGTI ainsi que les d�lais d'ex�cution de chacun d'entre eux. Le document contient des services tels que la cr�ation et l'attribution d'identification des utilisateurs, la d�tection de virus, le chargement de fichiers de donn�es, l'installation de logiciels ainsi que les connexions au r�seau local. Elle pr�cise les normes de service relatives au temps pour chacun de ces services. � titre d'exemple, un d�lai d'un jour ouvrable est fix� pour la cr�ation et l'attribution d'identification d'utilisateurs.
La liste des normes de service de la DGSGTI contient �galement le temps de rappel lorsqu'un probl�me est signal�. Au plus 25 minutes peuvent s'�couler entre le moment o� l'employ� est inform� de l'appel et celui o� il communique avec le client. De plus, une norme de r�glement des probl�mes signal�s dans un d�lai de 3 heures a �t� fix�e, qui doit �tre atteinte dans 80 % du temps.
La DGSGTI et sa client�le ont travaill� en �troite collaboration pour cr�er un environnement capable de plaire aux clients directs et aux utilisateurs ultimes tout autant qu'� la DGSGTI et � ses employ�s. Le lien se fonde sur le respect mutuel et l'ouverture. Les pratiques quotidiennes de la DGSGTI reposent sur la consultation des clients, les sondages ainsi que sur les pratiques exemplaires d'autres services de GI/TI des secteurs public et priv�. Les pratiques exemplaires suivantes ont d�coul� de l'approche de partenariat entre la DGSGTI et le client en mati�re de service aux clients et de satisfaction de la client�le:
Lorsqu'elle a adopt� une approche davantage ax�e sur les clients pour ses activit�s quotidiennes, la DGSGTI a constat� qu'il fallait tenir compte de quelques th�mes g�n�raux pour cr�er un environnement technologique pratique. Ces th�mes d�coulent des tendances en mati�re de satisfaction des clients, des intrants fournis par les employ�s, des r�sultats des sondages aupr�s des clients ainsi que des consultations des clients.
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par la DGSGTI, veuillez communiquer avec :
Richard Ruta
Directeur adjoint, Mise en place de l'infrastructure
Direction g�n�rale des services de gestion de la technologie et de
l'information
Transports Canada
613 993-7066
Le Programme des anciens combattants, dirig� par Anciens combattants Canada (ACC), contribue au bien‑�tre financier, physique et social des anciens combattants et d'autres personnes admissibles, en reconnaissance des sacrifices qu'ils ont consentis au service de leur pays et garde le souvenir de ces sacrifices � la m�moire de tous les Canadiens.
Au Secteur d'activit�s des prestations et services, plus de 3 000 employ�s fournissent des services aux clients dans quatre domaines : pensions et allocations, soins de sant�, services juridiques des pensions et comm�moration. Plus pr�cis�ment, ACC offre � ses clients une compensation pour les souffrances associ�es � l'invalidit� et � la perte de possibilit�s d'enrichissement; ex�cute des programmes de soins de sant� et sociaux; offre l'aide de conseillers juridiques professionnels; et administre des programmes visant � reconna�tre davantage les exploits et les sacrifices consentis par ses clients. La client�le d'ACC compte plus de 200 000 anciens combattants, des membres anciens et actuels des Forces canadiennes ainsi que des civils admissibles et leurs personnes � charge.
Les clients peuvent obtenir des renseignements au sujet des programmes et services par diff�rents moyens, notamment par t�l�phone, par t�l�copieur, par la poste, en personne, par courrier �lectronique et par Internet. ACC assure ses services par l'entremise d'un r�seau de prestation d�centralis� comprenant une administration centrale � Charlottetown, un bureau de la capitale nationale � Ottawa et un certain nombre de bureaux r�gionaux et de district � travers le Canada. Le minist�re administre aussi un h�pital � Sainte‑Anne‑de‑Bellevue et entretient des monuments comm�moratifs de champs de bataille en Europe.
ACC s'est engag� � offrir des services et des avantages de haute qualit� aux anciens combattants du Canada. Son engagement � l'�gard de l'am�lioration du service est mis en �vidence dans son Plan strat�gique quinquennal (2001‑2006) annonc� r�cemment. L'am�lioration du service ne constitue pas seulement l'un des objectifs strat�giques essentiels �num�r�s dans le plan, elle est aussi solidement ancr�e dans les valeurs et l'�thique adopt�es par le minist�re.
ACC travaille actuellement � l'adoption d'une approche de la planification et de la mise en œuvre de l'am�lioration continue du service comprenant les �l�ments suivants : l'�tablissement de donn�es de r�f�rence pour mesurer la satisfaction des clients; la mise en œuvre de plans d'am�lioration du service; la r�vision des normes de service; l'int�gration de la responsabilisation ax�e sur les r�sultats pour les gestionnaires; la pr�sentation d'information sur le rendement par rapport aux normes �tablies.
Le minist�re a d'abord �tabli des normes en 1995; il les a ensuite modifi�es en 1997 apr�s une s�rie de consultations aupr�s de groupes d'anciens combattants et un sondage aupr�s de la client�le. Les 21 normes de service d'ACC, publi�es dans sa brochure intitul�e � votre service, �tablissaient des engagements en mati�re d'accessibilit� des services, de m�thodes de communication, de d�lais d'attente pour les r�ponses et les d�cisions, de lignes directrices pour la r�ception de paiements et de courtoisie.
Le minist�re a effectu� un sondage national sur la satisfaction de la client�le en juin 2001. Il visait principalement � �tablir des donn�es de r�f�rence concernant le degr� de satisfaction des clients � l'�gard de l'ex�cution des programmes et de la prestation des services d'ACC. Le sondage �tait fond� sur l'Outil de mesures communes et s'articulait autour de cinq grands facteurs de la satisfaction des clients, soit la rapidit� du service, les connaissances et la comp�tence du personnel, la courtoisie du personnel, l'�quit� au niveau du traitement et les r�sultats.
Le R�seau de prestation des services aux clients (RPSC) est utilis� pour surveiller l'application des normes et pr�parer des rapports sur le sujet. Les r�sultats sont pr�sent�s chaque ann�e dans le Rapport minist�riel sur le rendement (RMR). Il nous faut plus de renseignements sur le RPSC et le prix de la FP pour l'am�lioration du service.
Dans sa fa�on de proc�der pour �laborer, mettre en œuvre, surveiller et mettre en application ses normes de service, ACC a d�montr� les pratiques exemplaires suivantes :
Les normes de service repr�sentent un outil pour assurer la satisfaction des attentes des clients.
Les sondages aupr�s des clients constituent un outil d'am�lioration de la satisfaction de la client�le.
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par AAC, veuillez communiquer avec :
Marlene Zalewski
Agente de projet principale
Division de la planification minist�rielle
Anciens combattants Canada
T�l�phone : 902-566-8797
mazalews@vac-acc.gc.ca
Au Canada, la soci�t� American Express exerce ses activit�s sous les raisons sociales AMEX Canada Inc. et Banque AMEX du Canada. AMEX Canada Inc. est un chef de file des fournisseurs de services li�s aux voyages au Canada et aide les entreprises � g�rer et � contr�ler leurs d�penses d'entreprise et de voyage. La Banque AMEX du Canada �met les cartes American Express au Canada. Ces deux soci�t�s sont des filiales en propri�t� exclusive d'American Express Travel Related Services Company Inc., dont le si�ge social est � New York. Il s'agit l� de la plus importante division d'exploitation d'American Express Company, qui propose une vaste gamme de services voyages et financiers aux entreprises et aux particuliers.
AMEX Canada Inc. exploite :
La Banque AMEX du Canada exploite :
Principaux groupes de clients
Chacune des activit�s principales d'AMEX Canada Inc. a ses propres groupes de
clients fond�s sur les produits et services fournis. Ces derniers sont r��valu�s
chaque ann�e dans le cadre du processus de planification de l'entreprise et
tout au long de l'ann�e, � mesure que sont lanc�s de nouveaux produits et
services. Les principaux groupes d'activit�s sont :
Les syst�mes d'assurance de la qualit� d'AMEX Canada Inc. sont �volu�s. L'organisation a fait preuve de son leadership dans l'�tablissement et le maintien d'une orientation strat�gique ax�e sur les clients. Un processus complet de planification permet d'aligner les objectifs de l'organisation. Les plans de qualit� strat�gique sont surveill�s p�riodiquement et diffus�s � large �chelle aupr�s de tous les employ�s. L'efficacit� du leadership se manifeste par le solide rendement financier de l'organisation ainsi que par les am�liorations importantes qui ont �t� apport�es en regard des r�sultats li�s aux principaux clients, aux processus et aux actionnaires.
L'organisation reconna�t manifestement l'importance du client. � titre d'exemple, des buts en mati�re de satisfaction de la client�le sont �tablis pour tous les employ�s. De plus, un certain nombre de m�canismes sont mis � la port�e des clients qui visent les plaintes, les demandes d'aide et de renseignements ou l'identification des besoins. Les employ�s habilit�s r�pondent rapidement � toutes les demandes des clients - des ententes sur le niveau de service existent aux principaux points de contact avec les clients. Les donn�es sur les clients font l'objet de vastes activit�s de collecte, de mesure et de suivi. Les tendances positives relatives aux clients sont manifestes. On recourt � une vaste gamme de m�thodes pour mesurer la satisfaction de la client�le et pour analyser les donn�es en vue d'apporter des am�liorations.
AMEX recourt au cadre d'excellence en affaires de l'INQ et � des outils d'�valuation de la qualit� qui lui sont li�s. De plus, elle effectue des analyses comparatives avec d'autres organisations, m�ne des sondages sur la satisfaction de la client�le, dirige des groupes de discussion, ex�cute des �tudes des march�s multi‑int�r�ts sur les tendances relatives aux clients et aux march�s. Le secteur d'activit� ayant r�pondu au pr�sent sondage s'occupe des acquisitions et services aux nouveaux clients (c'est‑�‑dire du service � la client�le, des offres de commercialisation, de la gestion des relations et de la gestion du risque). Ces services sont fournis par diff�rents modes de prestation, � savoir :
En personne |
5 % |
Au t�l�phone |
80 % |
Par t�l�copieur |
1,67 % |
Par courrier |
1 67 % |
Par courrier �lectronique |
1,67 % |
Par Internet |
10 % |
� des kiosques |
0 % |
Des ententes sur le niveau de service existent aux principaux points de contact avec les clients et sont li�s � la r�mun�ration.
Chaque unit� d'exploitation d'AMEX applique une norme de service qui convient � ses activit�s, ce qui comprend : deux cat�gories sup�rieures, satisfaction de la client�le, AHT, TAT, ASA (d�lai de r�ponse), connaissances des repr�sentants, courtoisie, exactitude, niveau de service dans l'industrie, conformit�; etc.
Sondages sur la satisfaction de la client�le
On m�ne des sondages externes de la satisfaction de la client�le quatre fois
par ann�e et des groupes de discussion deux fois par ann�e. On consulte en
permanence les clients interentreprises. Des am�liorations marqu�es ont �t�
constat�es au chapitre de la satisfaction des clients des deux cat�gories
sup�rieures qui sont attribuables aux mesures prises pour donner suite aux r�sultats
de sondages. Si les r�sultats visant un secteur d'activit� ne changent pas
d'un sondage � l'autre, des plans d'action sont mis au point, de nouvelles
normes sont �tablies, les �tudes comparatives et les processus du meilleur
de la cat�gorie sont analys�s et l'appartenance ex�cutive est conf�r�e,
le tout dans le dessein de corriger la situation.
On a d� relever des d�fis li�s � la surveillance et � la mesure de la satisfaction de la client�le d�coulant de la difficult� d'assurer l'�quilibre entre le suivi permanent et le perfectionnement des outils d'�coute des clients (par exemple, changer les questions pour qu'elles tiennent compte des nouveaux processus et des nouvelles attentes des clients). De plus, il a �t� difficile de voir de mani�re holistique les donn�es internes sur le document pour les donn�es externes du syst�me SAT. Tout au long de l'ann�e, des m�canismes de r�glement des plaintes ou de redressement sont constamment utilis�s.
L'am�lioration de la satisfaction de la client�le est surveill�e en fonction du progr�s r�alis� en regard des facteurs de la satisfaction � l'�gard d'un processus donn� ainsi que de l'am�lioration g�n�rale de la satisfaction constat�e par suite des sondages aupr�s des clients. � l'interne, les employ�s examinent les cotes obtenues au chapitre de la surveillance des appels et de la conformit� afin de quantifier les am�liorations (la liste des attributs est longue).
Parmi les �l�ments internes qui contribuent le plus � la satisfaction de la client�le mentionnons l'engagement envers la communication � tous les niveaux de l'organisation (depuis les employ�s de premi�re ligne jusqu'� l'�quipe de direction), l'�tablissement d'un plan d'am�lioration dot� d'objectifs de rendement et le suivi permanent.
Mise en œuvre des normes de service
En sa qualit� d'entreprise de service ax�e sur la qualit� et les
clients, AMEX n'a �prouv� aucune difficult� � mettre en œuvre des plans
de mesure et d'am�lioration des relations avec les clients. Sa vision et ses
valeurs sont centr�es sur les clients, les �valuations du rendement et les
objectifs � ce chapitre comportent des volets relatifs aux clients, aux
actionnaires et aux employ�s, des programmes de reconnaissance et de prime
sont en vigueur pour r�compenser le service exceptionnel fourni aux clients.
Les normes de service ont �t� �tablies � partir des r�sultats des commentaires fournis par le service � la client�le. Les donn�es sur les tendances, les rep�res dans l'industrie et la consultation des sp�cialistes en recherche ont contribu� � l'�laboration de normes pr�cises, tout comme l'ont fait la consultation des clients et intervenants internes et les groupes de discussion auxquels ont particip� les employ�s de premi�re ligne.
Les normes de service varient suivant le mode de prestation et la segmentation des valeurs et comportements des clients. Dans le cadre de la strat�gie de gestion des relations avec les clients, ces derniers s'attendent � diff�rents niveaux et types de service de la part d'AMEX, et chaque mode de prestation con�oit ses propres processus de prestation qui tiennent compte de ces attentes.
AMEX partage les pratiques exemplaires et les am�liorations avec les divisions d'autres secteurs g�ographiques ainsi qu'avec des entreprises d'industries connexes.
Il faut trouver un �quilibre entre le suivi permanent et le perfectionnement de l'outil d'�coute pour s'assurer que ce dernier pose les bonnes questions.
Il faut adopter une approche holistique en mati�re de comparaison des donn�es internes sur le rendement aux donn�es externes sur la satisfaction des clients.
Karen Peart, conseill�re
AMEX
T�l�phone : 905-474-8398
T�l�copieur : 905-474-8363
Description du secteur d'activit�
AT&T Canada offre des services de voix, de donn�es, d'Internet et de
commerce �lectronique aux particuliers et aux entreprises auxquels viennent
s'ajouter les ventes, la d�termination des mat�riels, la maintenance et
l'infrastructure de m�me que le service apr�s vente.
La soci�t� a mis en place un programme int�gr� d'assurance de la qualit� fond� sur le processus du prix Malcolm Balderige et sur les outils et la formation de la American Society for Quality. En segmentant sa client�le, AT&T Canada a reconnu cinq facteurs cl�s de la satisfaction des clients :
L'importance accord�e aux facteurs de la satisfaction varie selon les clients et, pour r�pondre aux besoins diff�rents et changeants de ceux‑ci, AT&T Canada ne cesse de d�finir des mesures nouvelles et plus pr�cises de la satisfaction de la client�le qui permettent � chaque unit� d'exploitation d'adapter ses services de mani�re � assurer la satisfaction des clients.
Pr�cisions sur la satisfaction des clients
AT&T Canada sonde tant les clients que les autres personnes et compare les
r�sultats obtenus aux donn�es de r�f�rence dans l'industrie. Des
fournisseurs externes m�nent des sondages exhaustifs qui renseignent sur le
degr� de satisfaction des clients � l'�gard des cinq facteurs pr�cis�s.
Des groupes de discussion pour les clients, des commentaires fournis
directement par les clients aux employ�s des ventes et les r�sultats des �tudes
du march� transmis par AT&T Corp. (US) permettent � AT&T Canada de r�pondre
aux demandes des clients.
Aucune donn�e rep�re de base sur la satisfaction des clients ni aucune norme de service li�e aux attentes des clients n'ont �t� identifi�es.
Le r�pondant a mentionn� que la diversit� de la client�le, les �carts au chapitre des niveaux d'utilisation ainsi que le nombre et le genre de produits utilis�s par les clients constituaient les principaux d�fis pos�s par la mesure de la satisfaction des clients.
De modestes augmentations de la satisfaction des clients ont �t� r�alis�es. L'am�lioration continue est le th�me central de toutes les unit�s d'exploitation. Aucun lien entre la satisfaction des clients et les normes de service n'a �t� mesur�.
Mise en œuvre
Une �quipe de mise en œuvre des processus a �t� form�e afin d'am�liorer
la satisfaction des clients. Elle se sert des donn�es comparatives (aucune
source n'a �t� pr�cis�e), surveille les r�sultats des sondages et
recueille des donn�es sur les processus internes et les normes.
Le r�pondant convient que les normes de service varient selon les modes de prestation en fonction du produit ou du service fourni.
Les normes relatives � la satisfaction des clients et les renseignements obtenus gr�ce � la surveillance et � la mesure de cette derni�re ne sont pas disponibles. Le r�pondant a pr�cis� que les attentes des clients sont d�termin�es au point de vente et que les r�sultats des sondages sont confidentiels.
Am�liorer la satisfaction des clients gr�ce aux normes de service
Partager les pratiques exemplaires
Le r�pondant a fait savoir que la soci�t� ne connaissait aucune autre
organisation semblable susceptible de mettre � profit les succ�s ou les
enseignements tir�s de AT&T Canada.
Cal Maj
Vice‑pr�sident, Qualit�
T�l�phone : 403-705-6987
Description du secteur d'activit�
La Compagnie d'Assurance du Canada sur la Vie est une soci�t� internationale
diversifi�e d'assurance‑vie fournissant une gamme de produits de
protection et de gestion du patrimoine � environ 10 millions de clients
(particuliers et groupes) au Canada, aux Etats-Unis, au Royaume‑Uni, en
Irlande et dans plusieurs autres pays �trangers.
Canada‑Vie compte parmi les cinq plus grandes soci�t�s d'assurances du Canada et �met des polices collectives et personnelles d'assurance‑vie, d'assurance‑maladie, d'assurance‑invalidit� et d'assurance multirisques. Elle fournit en outre des rentes, des r�gimes de retraite, des fiducies d'investissement � participation unitaire et d'autres produits d'investissement de m�me que des produits financiers et de gestion des placements. La soci�t� exerce ses activit�s au Canada, en Irlande, au Royaume-Uni et aux �tats-Unis et �tend ses activit�s � des pays tels le Br�sil et l'Allemagne.
Elle sert deux groupes principaux de clients : les particuliers (distributeurs financiers ind�pendants, comme les courtiers, et clients ultimes) et les groupes (courtiers, promoteurs de r�gime, comme les entreprises qui souscrivent � des r�gimes collectifs, et participants de r�gime).
Canada‑Vie s'engage � recourir aux normes de service pour assurer la satisfaction des clients. � l'heure actuelle, elle fonde ses normes de service sur un m�lange d'attentes des clients et de normes de l'industrie. L'Unit� centrale de la Division canadienne (qui a r�pondu au sondage) applique le Cadre canadien pour l'excellence en affaires � titre de cadre de gestion.
Le respect des normes de service est mesur� par des sondages internes et externes. Trois secteurs d'activit� de la Division canadienne ont r�alis� des am�liorations marqu�es au chapitre de la satisfaction des clients : Assurance‑sant� et Assurance‑maladie pour les groupes, Placements et Pensions ainsi que Versement des rentes. Chaque secteur d'activit� de la division, qu'il ait ou non enregistr� des am�liorations, collabore avec les clients afin d'am�liorer constamment le service qui leur est fourni. De plus, chaque secteur d'activit� sonde les clients et d�termine les trois premiers probl�mes qu'il tentera de r�gler pour r�aliser des am�liorations mesurables au chapitre de la satisfaction des clients.
La Division canadienne ex�cute environ 50 % de ses activit�s par t�l�phone et 50 % par Internet.
Pr�cisions sur la satisfaction des clients
L'Unit� centrale de la Division canadienne se sert de divers outils pour
mesurer la satisfaction des clients. Une �quipe d'information sur les clients
et les march�s a �t� cr��e pour r�gler deux obstacles du processus.
Premi�rement, il fallait surmonter un d�fi tr�s important qui tient au fait
que les clients recourent � plus d'une unit� d'exploitation mais que les
employ�s veulent communiquer une seule fois avec chaque client. On a mis au
point un syst�me qui emp�che les appels r�p�titifs aux clients et partage
l'information avec les autres unit�s d'exploitation qui en ont besoin. Deuxi�mement,
en raison des fusions et des acquisitions r�alis�es par Canada‑Vie, il
fallait �tablir des liens entre les syst�mes de donn�es pour �liminer la
redondance et uniformiser l'information.
La satisfaction de la client�le s'est grandement am�lior�e dans les domaines suivants : connaissances des employ�s et interfonctionnalit� (pour les renseignements sur les clients), d�lai d'ex�cution (surtout ceux relatifs aux demandes de remboursement des frais dentaires) et accessibilit� (par suite de l'augmentation des heures d'ouverture du centre d'appels).
Mise en œuvre
Chacune des �quipes d'information sur les march�s et les clients est compos�e
de repr�sentants de tous les secteurs de l'organisation et offre des s�ances
de mise en œuvre � l'intention des cadres interm�diaires et sup�rieurs,
qui transmettent par la suite l'information aux employ�s relevant d'eux.
Les sondages sur la satisfaction des employ�s existent depuis plus de quatre ans, et les renseignements ainsi obtenus servent � modifier les normes des ressources humaines. Les prochaines �tapes � prendre sont toujours communiqu�es aux employ�s, ce qui favorise leur ex�cution.
Am�liorer la satisfaction des clients gr�ce aux normes de service
L'�quipe d'information sur les march�s et les clients de chaque unit�
d'exploitation proc�de syst�matiquement � la collecte d'information par
l'entremise de la nouvelle unit� de r�troaction des clients. Les unit�s
d'exploitation analysent les renseignements obtenus, qu'elles lient au plan de
l'ann�e suivante et dont elles se servent pour am�liorer les normes de
service.
Pour l'instant, aucune donn�e pr�cise ne montre de corr�lation entre l'am�lioration des normes de service et la satisfaction des clients, les donn�es recueillies pendant le court laps de temps qui s'est �coul� depuis la mise en œuvre n'�tant pas suffisantes pour ce faire. Comme plusieurs normes de service ont �t� chang�es en m�me temps, il est n'est pas encore possible de tirer de conclusion sur les normes de service ayant eu la plus grande incidence sur l'am�lioration de la satisfaction des clients. L'�quipe d'information sur les march�s et les clients est arriv�e � la conclusion g�n�rale que les nombreux processus am�lior�s et les nombreuses normes instaur�es ont fait augmenter la satisfaction des clients.
Partager les pratiques exemplaires
Canada‑Vie entretient des rapports professionnels avec d'autres soci�t�s
ne faisant pas partie de l'industrie des services financiers et de l'assurance
comme AMEX, AT&T et Xerox. Les pratiques exemplaires ont �t� partag�es
r�ciproquement, ce qui s'est r�v�l� des plus utiles.
La Compagnie d'Assurance du Canada sur la Vie
Helga Orviss
Conseill�re principale de la qualit� du service
T�l�phone : 416-597-1440 x 6270
T�l�copieur : 416-204-2454
Il incombe au R�seau de l'immatriculation et des permis de conduire priv�s du minist�re des Transports d'appliquer la politique sur la s�curit� routi�re et, � ce titre, ses sph�res de comp�tence comprennent la d�livrance des permis de conduire, la s�curit� des camions, le renouvellement des plaques d'immatriculation, l'immatriculation des v�hicules et le syst�me d'obtention des permis de conduire par �tapes progressives. Le Programme de gestion du rendement (PGR) d�finit les exigences et les normes de rendement des bureaux priv�s de d�livrance. C'est le Bureau de l'am�lioration des services qui s'acquitte de ce mandat.
On compte actuellement 280 bureaux priv�s de d�livrance et 57 centres d'examen du permis de conduire en Ontario que chapeaute le Bureau de l'am�lioration des services. Les premiers appartiennent � des particuliers et sont g�r�s par eux dans le cadre de march�s conclus avec le minist�re des Transports. La privatisation des bureaux de d�livrance s'est amorc�e avant que ne soit lanc�e l'initiative d'am�lioration des services de sorte que des normes de service n'ont pas �t� incluses dans les march�s conclus avec le minist�re des Transports. Ce dernier se fonde sur cette initiative pour �tablir des liens �troits avec les bureaux priv�s de d�livrance. Le PGR a �t� instaur� � titre de programme � participation volontaire, du moins en ce qui concerne les bureaux qui �taient d�j� en place. Depuis son entr�e en vigueur, 175 des 280 bureaux (60 %) ont int�gr� le PGR � leurs activit�s quotidiennes. Le programme est obligatoire pour les nouveaux bureaux.
Le R�seau de l'immatriculation et des permis de conduire priv�s a �tabli un certain nombre de modes de prestation, soit le service en personne, par t�l�phone, par kiosque et par Internet.
Les plans d'activit�s soumis par le ministre provincial des Transports confirment l'engagement du minist�re envers la satisfaction des clients, ce qui co�ncide avec l'engagement du gouvernement provincial envers la satisfaction des clients pris conform�ment au programme des Normes de service communes (NSC) de la fonction publique ontarienne (FPO). Le programme des NSC a �t� lanc� en juin 1998 lorsque le secr�taire du Conseil des ministres a diffus� le � Cadre d'action 1998 : Un fournisseur de services ax� sur la qualit� �, une initiative ayant pour objectif d'accro�tre la satisfaction du public � l'�gard de la FPO, de comparer la FPO aux secteurs public et priv� et d'�tablir des rep�res communs dans les minist�res fournissant des services semblables dans la FPO.
En 1998, le programme des NSC �tait un projet pilote � participation volontaire auquel ont particip� cinq minist�res : Consommation et Commerce, �ducation et Formation, Finances, Travail et Ressources naturelles. Les normes de service t�l�phonique et par correspondance de chacun de ces minist�res ont �t� examin�es par des organismes conseils ind�pendants de l'ext�rieur (Carr-Gordon Limited et Erin Research Inc.). Ces premi�res �valuations ont servi de points de r�f�rence pour l'�valuation qui a �t� men�e ult�rieurement en 1999. La deuxi�me �valuation a �t� assez positive, les cinq minist�res ayant accru consid�rablement leurs niveaux de conformit� aux normes de service communes par rapport � l'�valuation de r�f�rence. Venait ensuite l'�tape qui consistait � int�grer le programme des NSC au reste de la FPO.
Le programme des NSC diff�re quelque peu de l'Initiative d'am�lioration des services (IAS)de la fonction publique f�d�rale, cette derni�re comptant sur chacun des minist�res pour pr�ciser les normes de service s'appliquant � ses circonstances particuli�res, tandis que le premier pr�cise les normes de service que devront utiliser tous les minist�res. Voici certains des objectifs et normes de service du programme des NSC : le taux de satisfaction des clients s'�tablit � 80 %, on r�pond aux appels t�l�phoniques avant la troisi�me sonnerie, on ne r�achemine pas les appels plus d'une fois et on r�pond � la correspondance dans les 15 jours de la r�ception.
Pour ses activit�s de d�livrance des permis, d'examen et d'immatriculation, le minist�re des Transports a adopt� l'objectif d'atteindre un taux de satisfaction des clients de 80 % � l'�gard du service. Le ministre a d�pos� la Loi de 2001 sur l'am�lioration des services destin�s aux usagers de la route, qui pr�sente les initiatives que chacun des secteurs d'activit� du minist�re devra adopter, ce qui comprend le R�seau de l'immatriculation et des permis de conduire priv�s. Le Programme de gestion du rendement du Bureau de l'am�lioration des services fait �tat de cet engagement.
Le PGR est le cadre dont s'est servi la Bureau de l'am�lioration des services pour faire adopter les normes de service par les bureaux de d�livrance dans toutes les r�gions de l'Ontario. Voici certains des secteurs sur lesquels portera leur attention :
Ces normes traduisent l'engagement du ministre envers la qualit�, l'efficience et la satisfaction des clients. � l'heure actuelle, le Bureau de l'am�lioration des services mesure les niveaux de satisfaction des clients par l'entremise de sondages postaux et de fiches de commentaires des clients. Les tendances constat�es � partir de ces r�ponses permettent de d�celer les secteurs devant �tre am�lior�s.
Le PGR a d�montr� des pratiques exemplaires dans quatre grands secteurs :
Il faut int�grer la technologie.
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par le PGR du MTO, veuillez communiquer avec :
Tara McCord
Programme de gestion du rendement
R�seau de l'immatriculation et des permis de conduire priv�s
Minist�re des Transports de l'Ontario
T�l�phone : 416 235-5320
Objectif et port�e du secteur d'activit�
La Royal & SunAlliance (RSA) est une soci�t� d'assurances multirisques
dont la mission est de diriger l'industrie de l'assurance au Canada par son
expertise, son innovation et son service hors pair aux clients et aux
partenaires en affaires.
Genre de service fourni
La RSA compte pr�s de 1 million de titulaires de police au Canada
dont les primes g�n�rent des revenus avoisinant 1,2 milliard de dollars
par ann�e. Les polices priv�es couvrent les voitures et(ou) les r�sidences
(propri�taires, locataires, copropri�t�s). La RSA �met �galement des
polices commerciales qui couvrent des installations de d�tail et des pertes
financi�res.
La RSA traite environ 200 000 demandes par ann�e et verse des indemnit�s avoisinant 14 millions de dollars par semaine.
Processus de prestation
Les polices de la RSA sont �mises par l'entremise d'un r�seau d'environ 1 500 courtiers
d'assurance ind�pendants au Canada. Les services fournis par la RSA portent
principalement sur la r�ception et le traitement des demandes de r�glement.
Des quelques 3 500 employ�s de la RSA, 700 sont affect�s exclusivement au traitement des demandes de r�glement. Il s'agit notamment de repr�sentants du service t�l�phonique, d'experts en sinistres et d'�valuateurs de v�hicules automobiles.
Les employ�s du traitement des demandes de r�glement de la RSA fournissent un service 24 heures par jour, 365 jours par ann�e par l'entremise d'une ligne t�l�phoniques nationale sans frais d'interurbain.
Engagement envers le service
Les promesses suivantes figurent bien � la vue dans tout le mat�riel
promotionnel de la RAS, sur son site Web et sur tous les documents envoy�s
aux clients :
Promesse en mati�re de r�glementSatisfaire aux attentes des clients, voire les d�passer, en traitant toutes les demandes de r�glement de mani�re �quitable, efficiente et d�licate. Pour tenir notre promesse
|
Normes de service
La RSA a �labor� une s�rie de normes de service visant � l'aider �
respecter son engagement en mati�re de service. Pour ce faire, elle n'a pas
retenu les services de conseillers de l'ext�rieur, pr�f�rant confier la t�che
� un groupe de travail d'employ�s provenant de divers secteurs de la soci�t�
qui s'est servi d'intrants d'un �ventail de sources, dont :
Ces normes, publi�es � l'interne, ne sont pas communiqu�es aux clients ni au grand public. Elles visent � respecter l'engagement pris envers les clients et servent � surveiller, � modifier et � �valuer le rendement des employ�s et de la soci�t�. Elles sont reproduites ci‑apr�s.
Normes de service du traitement des demandes de r�glement de la RSA
Surveillance des normes de service
Un �ventail de mesures sont utilis�es pour surveiller les normes de service.
Chaque mois, cinq dossiers des charg�s des sinistres et des �valuateurs sont choisis au hasard et examin�s afin de d�terminer s'ils respectent les 10 normes de service (le cas �ch�ant). Dans la n�gative, les dossiers de l'employ� subissent un examen plus approfondi.
Le personnel de supervision �coute au hasard les appels pris par les employ�s du centre d'appels. S'il constate des lacunes en regard du respect des normes chez un employ� donn�, les appels pris par ce dernier sont enregistr�s, puis le superviseur et l'employ� �coutent l'enregistrement ensemble pour cerner les secteurs � am�liorer.
Tous les charg�s des sinistres surveill�s re�oivent une bulletin d'une page montrant leurs forces et les secteurs � am�liorer. Ces bulletins sont �galement utilis�s dans le cadre de l'�valuation annuelle du rendement des employ�s.
Un formulaire de demande de renseignements apr�s les travaux de r�paration est envoy� au d�tenteur de police apr�s le r�glement d'un sinistre automobile. Les renseignements ainsi obtenus servent � surveiller le service fourni tant par le service des r�glements que par le r�parateur et permettent � la RSA de surveiller ses propres niveaux de service et ceux des fournisseurs externes qu'elle a choisis.
La RSA prend part chaque ann�e au sondage sur la satisfaction des clients aupr�s des demandeurs de r�glement de sinistres automobiles que commande la Commission des services financiers de l'Ontario (CSFO) et qui pose trois questions visant � mesurer le degr� g�n�ral de satisfaction des clients. La RSA a port� � 15 le nombre de questions qu'elle pose pour mesurer les diff�rents volets de la satisfaction des clients et cerner les �ventuels secteurs � am�liorer.
La RSA ne limite pas ses efforts de sondage aux seuls demandeurs de r�glement de sinistres automobiles de l'Ontario. Elle a �tendu le champ d'application de ses sondages pour qu'il englobe les demandeurs de r�glement de sinistres automobiles et de r�glement de dommages mat�riels de toutes les r�gions du Canada. Elle compare les r�sultats ainsi obtenus � ceux des autres soci�t�s d'assurances et aux r�sultats des ann�es ant�rieures. Comme nous l'avons d�j� pr�cis�, il est tenu compte des constatations des sondages dans l'�laboration des normes de service.
Communications t�l�phoniques
Service d'�valuation
Experts en sinistres mandat�s
Modifier les normes en cas de circonstances inhabituelles
Tenir les clients au courant
Karen Lock
Gestionnaire, Service des sinistres
416-366-7511
Karen_Lock@royalsunalliance.ca
Description du secteur d'activit�
La Financi�re Sun Life est une organisation internationale de premier plan du
secteur des services financiers qui fournit des services financiers aux
particuliers et aux entreprises tout au long de leur existence. Par
l'entremise des soci�t�s membres et de ses partenaires, elle offre une gamme
diversifi�e de produits et de services depuis les polices
d'assurance‑vie jusqu'aux pensions et aux placements. Il s'agit
notamment d'assurance‑vie, d'assurance‑maladie et
d'assurance‑invalidit�, de fonds communs de placement, de rentes et d'�pargne,
de pensions, de gestion des placements, de services de fiduciaires et de
services bancaires.
La Division ayant r�pondu au sondage s'occupe des processus d'indemnisation et de service � la client�le. Elle collabore principalement avec les promoteurs de r�gime (employeurs) et les participants (employ�s). Si la plupart de ses activit�s sont ex�cut�es au t�l�phone et par courrier, elle a parfois des rapports en personne et par courrier �lectronique.
La Financi�re Sun Life affiche ses normes de service � l'interne et � l'externe. Des sondages sur la satisfaction des clients sont men�s deux fois par ann�e, et les donn�es op�rationnelles sont mesur�es p�riodiquement.
Pr�cisions sur la satisfaction des clients
L'an dernier, le niveau de satisfaction des clients a enregistr� une hausse
appr�ciable. La Financi�re Sun Life ne cesse de modifier ses normes de
service, d'instaurer des changements visant � augmenter la satisfaction des
employ�s et de s'efforcer d'am�liorer les facteurs qui influent sur les
cotes attribu�es lors des sondages.
Mise en œuvre
Le sondage est men� par la poste et par l'entremise de groupes de discussion.
Le d�fi que doit relever la soci�t� � l'�gard des sondages postaux
consiste � trouver l'adresse postale exacte des participants. Le sondage
permet de mesurer 30 attributs. Le processus int�gral de mise en œuvre
est soigneusement planifi� pour assurer un contact homog�ne avec le client.
Am�liorer la satisfaction des clients gr�ce aux normes de service
La Financi�re Sun Life accorde une grande importance � la satisfaction des
employ�s car celle‑ci se r�percute directement sur la satisfaction des
clients. C'est pourquoi des sondages sur la satisfaction des employ�s ont
lieu tous les ans et que les besoins des clients sont s�rieusement pris en
compte.
Les r�sultats obtenus lors des sondages sur la satisfaction des clients donnent lieu � plusieurs projets visant � corriger les probl�mes soulev�s. La r�duction du temps d'ex�cution constitue souvent l'�l�ment num�ro un soulev� dans ces sondages.
Partager les pratiques exemplaires
Thomas Holman
Agent de la qualit�
Financi�re Sun Life du Canada
T�l�phone : 416-408-7591
T�l�copieur : 416-595-1436
Courrier �lectronique : tholle@sunlife.ca
La pr�sente �tude de cas porte sur les normes de service aux clients �tablies pour les Services bancaires personnels de la TD Canada Trust. � l'heure actuelle, la TD Canada Trust traite avec plus de 9 millions de clients provenant du grand public. Les services qu'elle fournit comprennent des services bancaires personnels tels que les d�p�ts, les ch�ques, la gestion des comptes, les pr�ts, les pr�ts hypoth�caires, pour ne mentionner que ceux‑l�. L'acc�s aux services se fait principalement (entre 70 et 80 % du temps) par des guichets automatiques, mais il est �galement possible d'y avoir acc�s aupr�s des caissiers (en personne), par t�l�phone (services bancaires automatiques et contact avec des agents), par t�l�copieur, par courrier, par courrier �lectronique et par le site Web (demandes de renseignements et services bancaires en direct).
TD Canada Trust a cr�� une division distincte au Service de commercialisation, la Division de la strat�gie et de l'information, qui est charg�e de surveiller la satisfaction des clients et les normes connexes et d'en faire rapport.
Les normes de service de la TD Canada Trust sont internes. La plupart des renseignements �tant exclusifs, ils ne sont donc pas abord�s dans le pr�sent rapport. Par l'entremise de sondages, de consultations et de groupes de discussion, la TD a dress� une liste de 15 normes de service (non disponible) comprenant des �l�ments tels :
Les normes de service qualitatives tout autant que quantitatives varient selon les points d'acc�s. Bien que le temps d'attente fasse partie int�grante de l'acc�s au Web et au service en succursale, on s'attend � ce que le premier soit de loin moins long. Lors de notre examen du service t�l�phonique, nous avons constat� que l'on s'attendait des employ�s qu'ils aient le m�me comportement plaisant que s'ils offraient le service en succursale m�me si, bien entendu, il n'�taient pas tenus de sourire.
On choisit au hasard des clients se rendant dans les succursales pour obtenir des services bancaires � qui l'on demande de remplir des sondages, qui sont recueillis tous les jours, six jours par semaine. On attend au moins six mois avant de demander � un client qui a d�j� particip� � un sondage de remplir � nouveau un questionnaire. La TD traite environ 400 000 sondages par ann�e. Des sondages distincts sont men�s pour les transactions au t�l�phone et celles aux guichets automatiques.
Un syst�me tout � fait distinct a �t� instaur� pour traiter pr�cis�ment des plaintes. On communique avec un certain nombre de personnes ayant d�pos� des plaintes pour leur demander de remplir un sondage.
La soci�t� a pour philosophie d'examiner les facteurs qui influent sur la satisfaction des clients, sur les mesures que la succursale peut prendre pour am�liorer ces facteurs et pour int�grer les id�es fournies aux op�rations quotidiennes.
La TD Canada Trust a d�montr� de nombreuses pratiques exemplaires en mati�re de normes de service. Ces pratiques d�coulent de nombre de consultations et sondages internes tout autant qu'externes. Elle a attribu� d'importantes ressources au perfectionnement de ces pratiques et a constat� qu'il existait un lien �troit entre la satisfaction des clients, la satisfaction des employ�s et la rentabilit�. Elle a mis au point d'autres normes, mais ces derni�res constituant des renseignements exclusifs, elles n'ont pas �t� abord�es dans la pr�sente �tude.
Voici les principaux enseignements que la TD Canada Trust a tir�s lors de la mise en œuvre de l'approche ax�e sur les clients en mati�re de service � la client�le:
Il existe une corr�lation �troite entre la satisfaction des employ�s et celle des clients.
Pour mener � terme l'initiative, Il est essentiel de Documenter les normes de service et la marche � suivre en vue de leur �laboration et int�gration.
Pour de plus amples renseignements sur les services fournis par la TD, veuillez communiquer avec :
Janet Hawking
Vice‑pr�sidente directrice, Strat�gie et Information
Service de commercialisation
TD Canada Trust
T�l�phone : 416 308-5394
Objectif et port�e du secteur d'activit�
La Disney Canada Products (DCP) est une division de la Walt Disney Company qui
est charg�e d'�mettre les permis s'appliquant � tous les produits Disney au
Canada et d'en faire la commercialisation, la promotion et le marchandisage.
L'objectif de la DCP est d'�tre le fournisseur pr�f�r� dans toutes les cat�gories
o� elle livre de la concurrence.
Genre de service fourni
La DCP �met des permis visant des milliers de produits diff�rents et fait la
promotion de ces derniers, qui sont r�partis en trois groupes : v�tements
et accessoires, jouets et articles de sport et tous les autres (aliments,
produits domestiques, cadeaux, papeterie, etc.).
La DCP �met des permis de fabrication de produits � un vaste �ventail de soci�t�s comme Hasbro, Mattell, etc., puis g�re la commercialisation et le marchandisage de ces produits par l'entremise de comptes de fournisseurs principaux et de sa propre cha�ne de magasins.
Outre l'�mission de permis et la promotion de produits Disney, la DCP promeut les films de Disney au Canada, activit� qui cherche principalement � accro�tre la valeur de la publicit� crois�e des films et des produits qui y sont associ�s.
L'an dernier, les ventes de produits Disney au Canada ont atteint un peu d'un de 1 milliard de dollars. Disney tire ses revenus des droits de permis et des redevances g�n�r�s par ces ventes.
Modes de prestation
Au Canada, la majorit� des produits Disney sont vendus dans 16 magasins
Disney et par six fournisseurs principaux, � savoir WalMart, Zellers, La
Baie, Sears, Toys R Us et Loblaws/Costco, qui, de l'avis de la DCP,
constituent ses plus importants clients.
L'effectif de la DCP se chiffre � environ 68 employ�s s'occupant de l'octroi des permis, de la commercialisation, du marchandisage et de l'administration. De plus, 100 autres employ�s (� temps plein et � temps partiel) travaillent dans les 16 magasins Disney.
Engagement envers le service
La DCP offre � ses fournisseurs la possibilit� d'optimiser la valeur en
mettant � profit la force de sa marque, de ses personnages et de ses
franchises de divertissements gr�ce � un engagement envers l'excellence cr�ative
et le service � la client�le auxquels s'ajoute une discipline financi�re
rigoureuse.
La DCP est en mesure de respecter cet engagement en fournissant ce qui suit � chacun des fournisseurs cl�s :
Les employ�s qui travaillent dans les magasins Disney sont appel�s des � membres de la distribution �, tandis que les clients sont consid�r�s comme des � invit�s � et appel�s comme tel. Cette nomenclature est au cœur de la philosophie de service aux clients de Disney. On enseigne aux membres de la distribution que le succ�s repose sur la satisfaction des besoins des clients. La DCP est d'avis que la cl� de la r�ussite en mati�re de formation des employ�s est la motivation et l'habilitation. Les membres de la distribution sont motiv�s � fournir aux invit�s une exp�rience Disney positive et ils sont habilit�s, ce qui les rend capables d'atteindre cet objectif.
Normes de service
Comme le gros des ventes de la DCP est le fait des fournisseurs cl�s, la
strat�gie de service est en large part fond�e sur la satisfaction de leurs
besoins. Au lieu d'imposer ses normes � chaque fournisseur, la DCP pr�sume
que ces grandes entreprises florissantes de ventes au d�tail ont d�j� adopt�
des normes fondamentales de service aux clients. Par cons�quent, elle offre
un service personnalis� � chacun des fournisseurs en adaptant les propres
normes de service des fournisseurs.
� titre d'exemple, l'un des principes fondamentaux de WalMart est celui dit du coucher du soleil en vertu duquel il faut traiter de toutes les demandes de renseignements et de toutes les plaintes avant que le soleil ne se couche. Cela ne suppose pas n�cessairement qu'une r�ponse sera donn�e � toutes les demandes ou que toutes les plaintes seront r�gl�es, mais bien qu'on communiquera avec le client et accusera r�ception de la demande ou de la plainte. On lui indiquera �galement un d�lai estimatif de r�solution du probl�me.
Surveillance des normes de service
Formation de la direction
Mettre � profit l'expertise des clients
Employ�s habilit�s
Traiter des demandes qui ne peuvent �tre combl�es
Bruce Morrison
Directeur g�n�ral, Octroi de permis, ventes au d�tail et commercialisation
La Compagnie Walt Disney (Canada) Lt�e
Place Simcoe, 200, rue Front Ouest
29e �tage
Toronto (Ontario)
M5V 3L4
T�l�phone : 416-596-3339
bruce.morrison@disney.com