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ARCHIVÉ - Agriculture et Agroalimentaire Canada

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2008-2009
Rapport ministériel sur le rendement



Agriculture et Agroalimentaire Canada






Renseignements supplémentaires (Tableaux)






Table des matières




Sources des revenus disponibles et non disponibles


Revenus disponibles
(millions $) 2006-2007 2007-2008 2008-2009
Revenus réel Revenus réel Budget principal des dépenses Revenus prévus Autorisations Revenus réel
Gestion des risques de l'entreprise
Agri-stabilité - Frais administratifs - - 5,5 5,5 5,5 3,5
Accords de recherche concertée et services de recherche 0,0 - - - - -
Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) - Frais d'administration 4,4 3,8 - - - -
Total - Gestion des risques de l'entreprise 4,4 3,8 5,5 5,5 5,5 3,5
Salubrité et qualité des aliments
Accords de recherche concertée et services de recherche 1,0 0,1 1,5 1,5 1,5 -
Total - Salubrité et qualité des aliments 1,0 0,1 1,5 1,5 1,5 -
Environnement
Accords de recherche concertée et services de recherche 0,7 0,1 5,5 5,5 5,5 2,1
Pâturages communautaires 17,0 18,0 19,1 19,1 19,1 15,4
Total - Environnement 17,7 18,1 24,6 24,6 24,6 17,5
Innovation et renouveau
Accords de recherche concertée et services de recherche 5,1 9,8 15,0 15,0 15,0 11,0
Total - Innovation et renouveau 5,1 9,8 15,0 15,0 15,0 11,0
Agence canadienne du pari mutuel
Fonds renouvelable de l'Agence canadienne du pari mutuel 14,0 13,9 13,8 13,8 13,8 13,8
Total - Agence canadienne du pari mutuel 14,0 13,9 13,8 13,8 13,8 13,8
Total des revenus disponibles 42,1 45,7 60,4 60,4 60,4 45,8


Revenus non disponibles
(millions $) 2006-2007 2007-2008 2008-2009
Revenus réel Revenus réel Budget principal des dépenses Revenus prévus Autorisations Revenus réel
Gestion des risques de l'entreprise
Remboursement des dépenses d'exercices précédents 0,9 0,4 S/O 7,9 S/O 8,8
Services et droits d'utilisation 0,9 0,9 S/O 0,8 S/O 0,6
Privilèges, licences et permis 0,5 0,3 S/O 0,3 S/O 0,3
Rendement des investissements 1,5 1,0 S/O 0,6 S/O 3,3
Produit de la vente de biens de l'État 0,3 0,5 S/O 0,3 S/O 0,2
Autres revenus non fiscaux 47,9 14,3 S/O 1,2 S/O 1,6
Total - Gestion des risques de l'entreprise 52,0 17,4 S/O 11,2 S/O 14,9
Salubrité et qualité des aliments
Remboursement des dépenses d'exercices précédents 0,0 0,0 S/O 0,1 S/O 0,3
Services et droits d'utilisation 0,0 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Privilèges, licences et permis 0,3 0,4 S/O 0,4 S/O 0,4
Rendement des investissements 0,6 0,5 S/O 0,3 S/O 1,8
Produit de la vente de biens de l'État 0,1 0,2 S/O 0,2 S/O 0,3
Autres revenus non fiscaux 0,7 0,7 S/O 0,6 S/O 0,6
Total - Salubrité et qualité des aliments 1,7 1,9 S/O 1,5 S/O 3,3
Marchés et international
Remboursement des dépenses d'exercices précédents 0,0 0,4 S/O 0,5 S/O 0,2
Services et droits d'utilisation 0,0 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Privilèges, licences et permis 0,2 0,2 S/O 0,2 S/O 0,1
Rendement des investissements 1,1 1,0 S/O 0,6 S/O 3,3
Produit de la vente de biens de l'État 0,0 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Autres revenus non fiscaux 0,9 2,9 S/O 1,2 S/O 1,1
Total - Marchés et international 2,3 4,5 S/O 2,5 S/O 4,8
Environnement
Remboursement des dépenses d'exercices précédents 0,2 0,3 S/O 0,4 S/O 0,3
Services et droits d'utilisation 0,0 0,0 S/O 0,0 S/O 0,4
Privilèges, licences et permis 0,9 0,8 S/O 0,8 S/O 1,0
Rendement des investissements 3,0 2,6 S/O 1,5 S/O 8,7
Produit de la vente de biens de l'État 0,5 0,6 S/O 0,7 S/O 1,0
Autres revenus non fiscaux 2,2 3,2 S/O 3,0 S/O 2,8
Total - Environnement 6,9 7,7 S/O 6,5 S/O 14,1
Innovation et renouveau
Remboursement des dépenses d'exercices précédents 0,1 0,4 S/O 0,5 S/O 0,5
Services et droits d'utilisation 0,0 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Privilèges, licences et permis 5,1 4,5 S/O 4,0 S/O 6,6
Rendement des investissements 2,6 2,3 S/O 1,4 S/O 7,7
Produit de la vente de biens de l'État 1,8 2,0 S/O 1,9 S/O 2,6
Autres revenus non fiscaux 2,0 2,9 S/O 2,7 S/O 2,5
Total - Innovation et renouveau 11,7 12,1 S/O 10,5 S/O 19,9
Secrétariat rural et Secrétariat aux coopératives
Remboursement des dépenses d'exercices précédents 0,0 0,0 S/O 0,0 S/O 0,1
Services et droits d'utilisation - 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Privilèges, licences et permis - 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Rendement des investissements - 0,2 S/O 0,1 S/O 0,5
Produit de la vente de biens de l'État - 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Autres revenus non fiscaux 0,1 0,3 S/O 0,2 S/O 0,4
Total - Secrétariat rural et Secrétariat aux coopératives 0,1 0,6 S/O 0,3 S/O 1,0
Conseil national des produits agricoles
Remboursement des dépenses d'exercices précédents 0,0 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Services et droits d'utilisation - 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Privilèges, licences et permis - 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Rendement des investissements - 0,0 S/O 0,0 S/O 0,3
Produit de la vente de biens de l'État - 0,0 S/O 0,0 S/O 0,0
Autres revenus non fiscaux - 0,0 S/O 0,1 S/O 0,1
Total - Conseil national des produits agricoles 0,0 0,1 S/O 0,2 S/O 0,4
Total des revenus non disponibles 74,7 44,3 S/O 32,7 S/O 58,4
Total des revenus disponibles et non disponibles 116,8 89,9 60,4 93,2 60,4 104,2

Nota :

Les revenus disponibles proviennent du Programme de pâturages communautaires, des accords de recherche concertée et des services de recherche, des frais d'administration liés au Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA)/Agri-stabilité et du Fonds renouvelable de l'Agence canadienne du pari mutuel. Conformément à la politique du Conseil du Trésor, le Ministère peut engendrer et dépenser jusqu'à 125 p. cent de ses recettes nettes autorisées en vertu d'un crédit.

Les revenus non disponibles comprennent notamment le remboursement des dépenses d'exercices précédentes, le produit de la vente de biens de l'État ainsi que les sommes associées aux privilèges, licences et permis. Les revenus non disponibles ont augmenté cette année, principalement en raison de rendement des investissments provenant de Financement agricole Canada.

Les montants figurant dans les tableaux ci-dessus ont été arrondis. Pour cette raison, on a attribué la valeur 0,0 aux montants qui ne peuvent être arrondis à un million de dollars.

Les montants ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre aux totaux indiqués.



Loi sur les frais d'utilisation(1)


Frais
d'utilisation
Type de frais Autorité
qui établit les frais
Date de la dernière modifi-cation (B) 2008-2009 Années de planification
Revenus prévus (000 $) Revenus réels (000 $) Coût total (000 $) Norme de
rendement
Résultats
liés au
rendement
Exercice Revenus prévus (000 $) Coût total approxi-matif (000 $)
Frais d'enregistrement en vertu de la Loi sur les prêts destinés aux améliorations agricoles et à la commercialisation selon la formule coopérative (LPAACFC) R Règlements
apparentés
à la LPAACFC
31 mai 1999 671,0 637,0 831,0 Les prêts soumis par les prêteurs ont été enregistrés dans les 15 jours ouvrables suivant leur réception. L'objectif est de 90%. 100 % des prêts ont été enregistrés dans les 15 jours ouvrables suivant leur réception. 2009-2010 2 180,0 4 263,4
2010-2011 2 482,0 5 263,4
2011-2012 2 482,0 2 763,4
Frais chargés pour le traitement des demandes d'accès à l'information en vertu de la Loi sur l'accès à l'information (LAI)(2) A Loi sur
l'accès à
l'information
1992 2,5 0,9 818,7 Réponse fournie dans les 30 jours suivant la réception de la demande; le délai peut être prorogé en vertu de l'article 9 de la LAI. Un avis de prorogation de délai doit être envoyé dans les 30 jours suivant la réception de la demande Les délais légaux sont respectés dans 95% des cas 2009-2010 2,0 900,0
2010-2011 2,0 900,0
Pour en savoir plus, consultez la Loi sur l'accès à l'information 2011-2012 2,0 900,0
2008-2009 Sous-total (R) Service réglementaire   671,0 637,0 831,0        
Sous-total (A) Autres biens et services 2,5 0,9 818,7        
Total 673,5 637,9 1 649,7        
2009-2010 Sous-total (R) Service réglementaire             2 180,0 4 263,0
Sous-total (A) Autres biens et services           2,0 900,0
Total           2 182,0 5 163,4
2010-2011 Sous-total (R) Service réglementaire             2 482,0 5 263,4
Sous-total (A) Autres biens et services           2,0 900,0
Total           2 484,0 6 163,4
2011-2012 Sous-total (R) Service réglementaire             2 482,0 2 763,4
Sous-total (A) Autres biens et services           2,0 900,0
Total           2 484,0 3 663,4

B. Date de la dernière moification : S.O.

C. Divers :

(1) Selon les directives du rapport ministériel sur le rendement (RMR), ce tableau ne s'applique qu'aux revenus perçus en vertu de la Loi sur les frais d'utilisation (LFU). Selon l'avis préliminaire de notre conseiller juridique, seuls le programme de la LPAACFC et les frais chargés en vertu de la LAI sont visés par la LFU.

(2) En 2009-2010, le programme en vertu de la LPAACFC sera intégré au programme offert en vertu de la Loi canadienne sur les prêts agricoles (LCPA) qui prévoit des prêts de plus grande valeur à des demandeurs plus variés. Les prévisions ont été rajustées en fonction du volume plus important anticipé.

(3) La pratique au Ministère est de dispenser des frais lorsque le total du montant réclamé est inférieur à 25 $.

Remarques :

Selon les avis juridiques, lorsque l'introduction ou la plus récente modification des frais visés est antérieure au 31 mars 2004:

  • la norme de rendement, si elle est donnée, n'a peut-être pas fait l'objet d'un examen parlementaire;
  • la norme de rendement, si elle est donnée, ne respecte peut-être pas toutes les exigences d'application de la LFU (par ex. : comparaison internationale, plainte indépendante);
  • le résultat de rendement, s'il est donné, n'est pas visé par l'article 5.1 de la LFU en ce qui concerne la réduction des frais advenant un rendement inadéquat.

Politique sur les normes de service pour les frais d'utilisation


A. Frais d'utilisation Norme de service Résultat liés au rendement Consultations auprès des intervenants
Frais d'inscription - Loi sur les prêts destinés aux améliorations agricoles et à la commercialisation selon la formule coopérative (LPAACFC) Les prêts soumis par les prêteurs ont été enregistrés dans les 15 jours ouvrables suivant leur réception. L'objectif est de 90 p. 100. 100 p. 100 des prêts ont été enregistrés dans les 15 jours ouvrables suivant leur réception. Le programme offert en vertu de la LPAACFC a subi des changements législatifs en 2008-2009 et, si les intervenants ont été consultés sur de nombreuses questions, ils ne l'ont pas été en ce qui concerne une norme de service pour le programme offert en vertu de la Loi canadienne sur les prêts agricoles (LCPA) qui doit remplacer la LPAACFC au début de l'exercice 2009-2010. Une nouvelle norme de rendement sera établie pour la LCPA dès que celle-ci aura reçu la sanction royale en 2009-2010.
Frais de traitement des demandes d'accès à l'information en vertu de la Loi sur l'accès à l'information (LAI) Une réponse est donnée dans les 30 jours suivant la réception de la demande; le délai de réponse peut toutefois être prolongé selon l'article 9 de la LAI. L'avis de prolongation est alors envoyé dans les 30 jours après réception de la demande.

Pour en savoir plus, consultez la Loi sur l'accès à l'information.

Les délais prévus par la loi sont respectés dans 95 p. 100 des cas. La norme de service est établie par la Loi sur l'accès à l'information et par son règlement d'application. Pour les modifications apportées en 1986 et en 1992, ce sont le ministère de la Justice et le Secrétariat du Conseil du Trésor qui ont mené les consultations auprès des intervenants.
Programme Agri-stabilité - Part des frais d'administrations (PFA) Les demandes de paiement provisoire ont été traitées dans un délai de 30 jours dans tous les cas (à 100 p. 100 des cas). Les demandes de paiement final ont été traitées dans un délai de 75 jours dans 75 p. 100 des cas. En date du 29 Mars 2009, les demandes de paiement provisoire pour l'année de programme 2009 avaient été traitées dans les provinces où la mise en oeuvre relève du Canada; 83 p. 100 des demandes reçues ont été traitées dans le délai prévu de 30 jours.

En date du 29 Mars 2009, les demandes de paiement provisoire pour l'année de programme 2008 avaient été traitées dans les provinces où la mise en oeuvre relève du Canada; 55,4 p. 100 des demandes reçues ont été traitées dans le délai prévu de 30 jours.

En date du 31 mars 2009, les demandes de paiement final pour l'année de programme 2007 avaient été traitées dans les provinces où la mise en oeuvre relève du Canada; 57,7 p. 100 des demandes reçues ont été traitées dans le délai prévu de 75 jours.

La part des frais d'administration (PFA) est établie par voie d'entente fédérale-provinciale-territoriale (FPT).

Les normes de service sont négociées à l'échelle nationale par le Groupe de travail des administrateurs du Programme afin d'en assurer la cohérence. Les normes de service du programme Agri-stabilité sont communiquées aux producteurs au moyen d'avis à l'intention de l'industrie et d'aide-mémoire offerts sans frais par téléphone. Les discussions concernant les normes de service avec les provinces sont toujours en cours.


B. Divers :

Le Ministère renonce habituellement aux frais d'inscription lorsque le total dû pour une demande est inférieur à 25 $.

Remarques :

Conformément à la Politique sur les normes de service pour les frais d'utilisation:

  • les normes de service peuvent ne pas avoir fait l'objet d'un examen parlementaire;
  • les normes de service peuvent ne pas respecter toutes les exigences d'application de la Loi sur les frais d'utilisation (LFU) (par exemple, comparaison internationale, plainte indépendante);
  • les résultats de rendement ne sont pas visés par l'article 5.1 de la LFU en ce qui concerne la réduction des frais en raison d'un rendement inadéquat.


Renseignements sur les dépenses liées aux projets1


(millions $)
Projets de plus de 5 millions de dollars Coût
total
estimatif
actuel2
2006-2007 2007-2008 2008-2009
Dépenses réelles Dépenses réelles Budget
principal
des
dépenses
Dépenses prévues Autorités Dépenses réelles
 
Ontario (Ottawa), Complexe National de l'Administration Centrale du Portefeuille de l'Agriculture (CNACPA)3 (étape de clôture du projet) 14,1 1,4 1,1 1,6 1,6 1,2 1,2
Projets comprenant des activités de programme précises :
Gestion des risques de l'entreprise
Améliorations des systèmes de prestation des programmes de gestion des risques de l'entreprise (GRE) associés au Cadre stratégique pour l'agriculture (CSA) (phase de définition du projet) 125,0 3,8 5,0 22,8 22,8 22,0 16,6
Total pour la gestion des risques de l'entreprise 125,0 3,8 5,0 22,8 22,8 22,0 16,6
Environnement
Saskatchewan (Swift Current), modernisation du barrage Duncairn, amélioration des infrastructures hydrauliques (phase de clôture du projet)4 10,0 0,1 0,0 - - - -
Service national d'information sur les terres et les eaux (SNITE) (phase de clôture du projet) 100,1 21,3 25,3 23,9 23,9 23,9 21,7
Saskatchewan (Maple Creek), travaux de remise en état du barrage Junction (phase de construction du projet) 7,3 0,1 3,9 0,4 0,4 2,7 2,2
Manitoba (Winnipeg), Hôpital général Saint-Boniface (phase de clôture du projet) 5,7 2,9 0,6 0,2 0,2 0,2 0,2
Total Environnement  123,1  24,4  29,8  24,5  24,5  26,8  24,1
Innovation et renouveau
Québec (Lennoxville), centre de recherches laitières (phase de construction du projet) 10,0 0,3 0,5 0,2 0,2 0,2 0,1
Ontario (Ottawa), serres et chambres de croissance (phase de construction du projet) 10,9 2,1 7,6 0,3 0,3 0,3 0,2
Total pour l'innovation et le renouveau 20,9 2,4 8,1 0,4 0,4 0,4 0,3
Total pour les projets de plus de 5 millions de dollars 283,1 32,0 44,1 49,2 49,2 50,5 42,2

Remarques :

1 Tous les projets actuellement approuvés ayant une valeur estimative de plus de 5 millions de dollars sont présentés dans ce tableau.

2 Les coûts totaux approximatifs actuels comprennent les dépenses engagées lors des années précédentes ainsi que les dépenses pour l'exercice 2008-2009 et au-delà.

3 Les données pour le CNACPA correspondent uniquement aux coûts inclus dans les niveaux de références d'AAC. Il s'agit d'un projet ministériel qui se rapporte à toutes les activités de programmes.

4 Le nettoyage final au barrage Duncairn a été achevé en 2007-2008.

Les montants figurant dans le tableau ci-dessus ont été arrondis. Pour cette raison, on a attribué la valeur 0,0 aux montants qui ne peuvent être arrondis à un million de dollars.

Les montants ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre aux totaux indiqués.



Rapport d'étape sur les grands projets de l'État

Description

Le Service national d'information sur les terres et les eaux (SNITE) est une initiative d'Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) qui relève du Cadre stratégique pour l'agriculture (CSA). Le SNITE projette d'offrir aux décideurs en aménagement du territoire des outils d'aide à la prise de décision et des données environnementales pour les éclairer dans l'aménagement et la gestion du territoire à l'échelle locale et régionale. Cette initiative va dans le sens des objectifs du gouvernement qui visent à faire de l'agriculture un secteur durable du point de vue de l'environnement.

Le SNITE améliorera le processus décisionnel en agriculture en rendant rapidement accessibles des données géospatiales pertinentes aux décideurs en aménagement du territoire de partout au Canada. L'approche stratégique du Service sera de coordonner la gestion, l'interprétation et la diffusion d'information à l'échelle nationale en établissant des liens stratégiques entre les capacités s'occupant du territoire, des sols, de l'eau, de l'air, de la climatologie et de la biodiversité au sein des ministères fédéraux et provinciaux, des administrations municipales et des organismes non gouvernementaux. La volonté du gouvernement fédéral de promouvoir la technologie au moyen de l'initiative du gouvernement en direct renforce l'objectif du SNITE de fournir de l'information.

Phases du projet :

Définition du projet (2004-2005);
Mise en oeuvre du projet (2005-2009): Phase 1 (2005-2006), Phase 2 (2005-2007), Phase 3 (2006-2008), Phase 4 (2008-2009)


Ministères et organismes responsable et participants :
Ministère responsable AAC
Autorité contractante AAC, TPSGC
Ministères et organismes participants RNCan, EC, Service Canada, MPO, Santé Canada, TPSGC, ASC, AINC, SCT, SP, IC, PC, Archives


Principaux entrepreneur et sous-traitants:
Principal entrepreneur  
Principaux sous-traitants: The Halifax Group;Fujitsu Consulting Canada

Compte tenu des capacités en technologies géomatiques qu'AAC dispose, celui-ci conserve la responsabilité globale de la conception, du développement, de la réalisation et de la mise à jour continue du SNITE. Au besoin, le Ministère fera appel au secteur privé pour combler certaines lacunes de ses capacités ou ressources internes.

Afin de respecter l'échéancier du projet et de minimiser les frais de transaction et d'administration, les instruments d'approvisionnement en vigueur au gouvernement du Canada (GC) et à AAC (accords d'approvisionnement, offres permanentes, etc.) seront utilisés au besoin.

Les services spécialisés en TI et autres services professionnels acquis seront structurés de manière à optimiser le transfert de connaissances à AAC pour que les activités de mise à jour du SNITE soient efficientes.



Principales étapes :
Principales étapes Date
Étape  
Approbation préliminaire du projet 10-avril-03
Création du Bureau de la gestion du projet 30-juin-03
Modification de l'approbation préliminaire du projet 08-avril-04
Validation de principe terminée 31-janvier-05
Document sur l'approbation définitive de projet 31-janvier-05
Approbation définitive de projet 02-mai-05
Phase 1 (guichet unique) terminée 31-mars-06
Phase 2 (environnement géospatial) début 01-septembre-05
Phase 2 (environnement géospatial) terminée 30-novembre-07
Phase 3 (source nationale de données géospatiales agro-environnementales) début 01-janvier-06
Phase 3 (source nationale de données géospatiales agro-environnementales) terminée 31-mars-09
Phase 4 (Intégration d’informations des partenaires) terminée 31-mars-09

Rapport d'étape et explication des écarts

Le Conseil du Trésor a approuvé la création du Service national d'information sur les terres et les eaux (SNITE) dont le coût estimatif est de 100,1 millions de dollars. Le projet du SNITE a obtenu l'approbation préliminaire de projet le 10 avril 2003 et a été désigné grand projet de l'État. Le SNITE a fait l'objet d'une approbation définitive de la part du Conseil du Trésor en mai 2005.
La phase 1 (guichet unique) a été exécutée en mars 2006.
La phase 2 (environnement géospatial) a été amorcée en septembre 2005 et a pris fin en novembre 2007.
La phase 3 (source nationale pour l'environnement géospatial) a débuté en janvier 2006. La phase 3 a permis aux utilisateurs de partout au Canada d'accéder à de nouvelles applications du SIG et à des services connexes. L'accès direct à des données géospatiales, de cartes et d'outils est désormais disponible. Les utilisateurs peuvent accéder à de l'information et à des données présentées de façon uniforme dans les deux langues officielles.

La phase 4 (Intégration d'informations des partenaires) s'est déroulée en même temps que la phase 3 et a vu l'achèvement de la mise en place de l'environnement géospatial au sein d'AAC, ainsi que l'intégration des données essentielles de partenaires extérieurs à l'appui d'une application commune des biocarburants de sources forestière et agricole et de l'acquisition de données sur la couverture terrestre à l'échelle du pays.

Le Conseil du Trésor et le Ministère n'ont fourni aucun fond supplémentaire. Le projet du SNITE a été achevé le 31 mars 2009 à un coût moindre que prévu. Le SNITE est devenu un service permanent qui s'appelle maintenant Agrogéomatiques situé au sein de la nouvelle Direction générale des services agroenvironnementaux d'AAC.

Avantages industriels :

Le Service national d'information sur les terres et les eaux est un programme national qui utilisera et fournira des données dans toutes les provinces. Les ressources nécessaires pour appuyer sa mise en oeuvre se trouveront partout au Canada.



Détails sur les programmes de paiements de transfert pour Agriculture et Agroalimentaire Canada

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Détails sur les programmes de paiements de transfert pour Agriculture et Agroalimentaire Canada

(millions $)


Nom du programme de paiements de transfert : Programme Agri-protection (législatif)

Date de mise en oeuvre : 1 avril 2008

Date de clôture : 31 mars 2012

Description :
Le programme Agri-protection est l'un des quatre principaux piliers du nouvel ensemble de programmes de gestion des risques de l’entreprise (GRE) offert aux producteurs dans la foulée du cadre Cultivons l’avenir.

Le programme Agri-protection (anciennement le programme d’assurance-production) vise à atténuer les conséquences financières, pour les producteurs, de pertes de production causées par la concrétisation de risques naturels impossibles à maîtriser.

Résultat(s) stratégiques : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
Pour 2008-2009, la participation des producteurs au programme Agri-protection avait un taux de participation à atteindre de 70 % et de 50 % dans la catégorie des fourrages, d’après une comparaison entre l’ensemble des cultures et les cultures assurées.

Pour ce qui est des cultures principales (dont sont exclus les fourrages), les taux de participation les plus élevés ont été enregistrés, dans l’ordre, au Manitoba (81 %), en Saskatchewan (71,8 %) et au Québec (67 %). La moyenne nationale, à 67 %, était inférieure au taux de participation cible, mais néanmoins satisfaisante compte tenu du grand écard entre les taux de participation d’une province à l’autre.

C’est au Québec que le taux de participation pour les fourrages a été le plus élevé (73 %). Dans les autres provinces, ce taux variait de 0 % à 20 %, ce qui porte le taux moyen national pour les programmes des fourrages à 18 %. Dans l’ensemble, le programme Agri-protection a été considérablement amélioré cette année; d’autres améliorations seront bientôt apportées, notamment en ce qui concerne les fourrages, l’horticulture, l’entreposage des pommes de terre, les nouvelles cultures et les niveaux de protection offerts.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions - - 388,7 548,3 548,3 (159,6)
Total du programme de paiements de transfert - - 388,7 548,3 548,3 (159,6)

Remarques sur les écarts :
La hausse des contributions fédérales par rapport à la somme prévue découle de l’augmentation substantielle des primes qui, elle, est attribuable à la montée des prix des produits de base (c.-à-d. les céréales), qui se reflète sur les valeurs assurables.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme Agri-protection n’a été achevée en 2008-2009. Une évaluation du programme d’assurance-production (qui a précédé à Agri-protection) a été réalisée en 2007-2008 et n’a rien révélé de particulier.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification n’a été entreprise en 2008-2009.

Nota :

Les dépenses du programme d’assurance-production (qui a précédé Agri-protection) se sont élevées à 416,4 millions de dollars en 2007-2008 et à 343,1 millions de dollars en 2006-2007.

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Détails sur les programmes de paiements de transfert pour Agriculture et Agroalimentaire Canada

(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme Agri-investissement (législatif)

Date de mise en œuvre : 19 décembre 2007

Date de clôture : 31 mars 2012

Description :
Le programme Agri-investissement est l'un des quatre principaux piliers du nouvel ensemble de programmes de gestion des risques de l’entreprise (GRE) offert aux producteurs dans la foulée du cadre Cultivons l’avenir.

Le programme Agri-investissement permet aux producteurs d’autogérer, à l'aide de comptes d'épargne conjoints producteur-gouvernement, les premières baisses de 15 % de leur marge au cours d’une année de production ou de réaliser des investissements permettant de réduire les risques à la ferme ou d’accroître leurs revenus agricoles. Selon le programme, les dépôts des producteurs annuel, qui peuvent représenter jusqu’à 1,5 % de leurs ventes nettes admissibles, sont égalés par les gouvernements, qui versent au compte une contribution équivalente (60 % de cette contribution provient du gouvernement fédéral et 40 % des gouvernements provinciaux). Conjugué au programme Agri-stabilité, Agri-investissement succède au Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) et assure une protection contre les légères baisses de revenus, tandis qu’Agri-stabilité aide les producteurs à gérer les pertes importantes.

Agri-investissement fournit aux producteurs une source sécuritaire, accessible, prévisible et escomptable d'aide au revenu pour compenser les pertes de revenu agricole mineures et gérer les risques à la ferme.

Site Web fédéral d’Agri-investissement
Agri-investissement au Québec (La Financière agricole du Québec)

Résultat(s) stratégiques : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
En date du 31 mars 2009, approximativement 525 millions de dollars avaient déjà été mis à la disposition des producteurs et répartis dans leurs comptes agri-investissement par l’intermédiaire du programme de démarrage. À cette date, approximativement 291 millions de dollars avaient été rétirés des comptes et 234 millions de dollars demeuraient donc encore à la disposition des producteurs pour compenser, au besoin, de légères pertes de revenus ou investir dans leur exploitation agricole (voir la note ci-après).

Le 31 mars 2009, les administrateurs du programme fédéral ont amorcé l’envoi de lettres aux participants pour les aviser de la nature des paiements qu’ils recevraient au titre du programme Agri-investissement 2007 et des soldes de leur compte, et leur expliquer comment accéder aux fonds déposés dans leur compte.

Une dernière étape doit encore être franchie pour que la mise en œuvre d’Agri-stabilité soit complète; celle de transférer aux institutions financière l’administration des dépôts des producteurs et des contributions gouvernementales pour l’année de programme 2009.

Un cadre de mesure du rendement, comprenant des indicateurs et des cibles de rendement, a été mis en place aux fins de l’évaluation du nouvel ensemble de programmes de GRE. Les gouvernements fédéral et provinciaux s’affairent actuellement à recueillir les renseignements nécessaires à la reddition de comptes et estiment être en mesure de rendre compte du rendement du nouvel ensemble de programmes au début de 2010.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - 165,6 - 175,7 175,7 (175,7)
Total des contributions - 1,7 159,5 17,7 17,7 141,8
Total du programme de paiements de transfert - 167,3 159,5 193,4 93,4 (33,9)

Remarques sur les écarts:
Le programme Agri-investissement est régi par la demande, de sorte que son financement annuel n’est pas assuré au moyen d’un crédit budgétaire fixe. Les frais administratifs demeurent relativement constants, mais les paiements de subvention et de contribution peuvent varier considérablement d’une année à l’autre en fonction du taux de participation au programme et des prix des produits de base, car les dépôts des producteurs et les contributions gouvernementales sont fondés sur un pourcentage des revenus tirés de la vente de produits de base au cours d’une année de production.

L’écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles pour 2008-2009 est en grande partie attribuable à la hausse récente de la valeur des céréales et des oléagineux, qui s’est traduite par des ventes nettes admissibles supérieures aux prévisions.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme Agri-investissement n’a été entreprise en 2008-2009. Le programme devrait être évalué en 2011-2012, conformément au plan d’évaluation stratégique quinquennal d’AAC (2009-2010 à 2013-2014) préparé par le Bureau de la vérification et de l'évaluation d’AAC. Agri-investissement pourra être évalué individuellement ou conjointement avec un groupe d’autres programmes de gestion des risques de l’entreprise.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications:
Aucune vérification interne du programme Agri-investissement n’a été entreprise en 2008-2009. Le Bureau de la vérification et de l’évaluation d’AAC effectue un exercice annuel d’évaluation des risques afin d’établir ses priorités en matière de vérification interne et étudie les risques relatifs au programme. Ce programme ne fait présentement pas partie du plan de vérification triennal axé sur les risques d’AAC pour 2009-2010 à 2011-2012.

Nota :

  1. Le Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) a été remplacé par les programmes Agri-stabilité et Agri-investissement le 1er avril 2008.
  2. Tel que mentionné dans la section Résultats obtenus, les fonds affectés au programme de démarrage d’Agri-investissement sont complémentaires au financement fédéral alloué à Agri-investissement, comme l'indiquent les chiffres du tableau ci-dessus. Le programme de démarrage était un programme fédéral distinct visant à aider les producteurs à faire la transition vers le nouvel ensemble de programmes de GRE, promouvoir le programme Agri-investissement et encourager l’établissement de comptes Agri-investissement.

Les dépenses du programme de démarrage d’Agri-investissement pour 2007-2008 sont réparties comme suit :
Subventions – 484,4 millions de dollars
Contributions – 95,8 millions de dollars

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme d'aide en cas de catastrophe agricole (PACA)/Agri-relance (législatif)

Date de mise en oeuvre : 6 décembre 2007

Date de clôture: 31 mars 2011

Description :
Le cadre Agri-relance est l'un des quatre principaux piliers du nouvel ensemble de programmes de gestion des risques de l’entreprise (GRE) offert aux producteurs dans la foulée du cadre Cultivons l’avenir.

Agri-relance, facilite le processus pour les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux à offrir à court terme, l'aide en temps opportun à aider les producteurs à rétablir rapidement leur flux de revenus et de contenir les effets à long terme après une catastrophe de petite à moyenne envergure (maladie, ravageurs, phénomènes climatiques). Les programmes du cadre Agri-relance sont élaborés au cas par cas selon une évaluation de la situation destinée à confirmer la pertinence de fournir une aide qui ne pourrait être apportée par les autres programmes en vigueur, tels qu’Agri-investissement, Agri-stabilité et Agri-protection.

Faisant partie intégrante du cadre Agri-relance, le Programme d’aide en cas de catastrophe agricole (PACA) aide à focaliser l’effort de coordination, et fournit des programmes assortis de budgets pouvant aller jusqu’à 20 millions de dollars (jusqu’à 122,6 millions de dollars par exercice) permettant de financer rapidement des initiatives relevant d’Agri-relance. Il est possible d’utiliser le cadre Agri-relance pour les initiatives non admissibles au PACA, mais il faut, en pareil cas, adresser une présentation distincte au Conseil du Trésor pour en assurer le financement.

Site Web fédéral d’Agri-relance

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
La souplesse du PACA a été clairement démontrée, de même que la capacité du programme à réaliser les objectifs fixés, c’est-à-dire apporter une aide opportune permettant d’atténuer et de limiter les répercussions de catastrophes sur les producteurs agricoles, indemniser les producteurs pour les coûts et les pertes directement liées à la catastrophe non couverts par les autres programmes gouvernementaux et aider les exploitations agricoles à reprendre plus rapidement leurs activités.

Au cours de l’exercice 2008-2009, les gouvernements fédéral et provinciaux ont eu recours à Agri-relance ou au PACA pour apporter une aide à la suite de six catastrophes, dont les infestations de papillons Duponchelia en Ontario et de nématodes dorés en Alberta, les éclosions de tuberculose bovine en Colombie-Britannique, les sécheresses survenues dans certaines régions de la Saskatchewan et du Manitoba, et les inondations qui se se sont produites à l’Île-du-Prince-Édouard et au Manitoba.

Un cadre de mesure du rendement, comprenant des indicateurs et des cibles de rendement, a été mis en place aux fins de l’évaluation du nouvel ensemble de programmes de GRE. Les gouvernements fédéral et provinciaux s’affairent actuellement à recueillir les renseignements nécessaires à la reddition de comptes et estiment être en mesure de rendre compte du rendement du nouvel ensemble de programmes au début de 2010.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - 0,1 - 1,0 1,0 (1,0)
Total des contributions - - 108,4 55,4 55,4 53,0
Total du programme de paiements de transfert - 0,1 108,4 56,3 56,3 52,1

Remarques sur les écarts :
Les dépenses réelles équivalent à environ la moitié des dépenses prévues. Cette situation est attribuable à la nature imprévisible tant de la survenue que de la portée des catastrophes agricoles.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme Agri-relance n’a été entreprise en 2008-2009. Le programme devrait être évalué en 2010-2011, conformément au plan d’évaluation stratégique quinquennal d’AAC (2009-2010 à 2013-2014) préparé par le Bureau de la vérification et de l'évaluation d’AAC.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications : Aucune vérification interne du programme Agri-relance n’a été entreprise en 2008-2009. Le Bureau de la vérification et de l’évaluation d’AAC effectue un exercice annuel d’évaluation des risques afin d’établir ses priorités en matière de vérification interne et étudie les risques relatifs au programme. Ce programme ne fait présentement pas partie du plan de vérification triennal axé sur les risques d’AAC pour 2009-2010 à 2011-2012.

Nota :
Le Programme d’éradication du virus de la sharka comporte deux volets : le volet enquête et recherche qui bénéficie d’une affectation annuelle de 6,2 millions de dollars; et le volet aide financière qui dispose d’un budget de 2,4 millions de dollars. Cette affectation annuelle de 2,4 millions de dollars est retranchée des fonds alloués au programme Agri-relance. Cette somme est déclarée comme faisant partie intégrante des coûts du programme et est exclue des chiffres ci-dessus.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme Agri-stabilité (législatif)

Date de mise en oeuvre : 19 décember 2007
Des ententes ont été signées avec les provinces afin de mettre en œuvre le programme dès l'année de programme 2007.

Date de clôture: 31 mars 2012
Agri-stabilité est un programme législatif et permanent. Cependant, les autorisations actuelles en matière de politiques et de programmes expirent à cette date.

Description :
Le programme Agri-stabilité est l'un des quatre principaux piliers du nouvel ensemble de programmes de gestion des risques de l’entreprise (GRE) offert aux producteurs dans la foulée du cadre Cultivons l’avenir.

Agri-stabilité est un programme fondé sur la marge qui offre un soutien financier aux producteurs qui subissent des pertes importantes de revenus agricoles, c’est-à-dire une réduction de leur marge (revenus agricoles admissibles, dépenses agricoles admissibles moindres), au cours de l’année de programme, de plus de 15 % par rapport à leur marge moyenne des années antérieures (c.-à-d. leur marge de référence). Ainsi, un paiement est versé lorsque la marge d’un producteur au cours de l’année de programme descend sous la barre des 85 % de sa marge de référence. Agri-stabilité comprend également une protection contre les marges négatives, ainsi que des mécanismes visant à verser à un participant une partie du paiement attendu au cours de l’année lorsqu’une importante baisse de revenus est prévue (paiements provisoires et avances ciblées). Conjugué au programme Agri-investissement, il succède au Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA). Agri-investissement remplace la protection contre les légères baisses de revenus alors qu’Agri-stabilité aide les producteurs à gérer les pertes importantes.

Site Web fédéral d'Agri-stabilité
Agri-stabilité en Alberta (Agriculture Financial Services Corporation (AFSC)
Agri-stabilité en Ontario (Agricorp)
Agri-stabilité au Québec (La Financière agricole du Québec)
Agri-stabilité à l'Île-du-Prince-Édouard (P.E.I. Agricultural Insurance Corporation)

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
Les paiements au titre du programme Agri-stabilité sont fondés sur les renseignements fiscaux de l’année de programme. Bien que la plupart des paiements à verser pour la première année du programme Agri-stabilité (année de programme 2007) aient été traités au cours de l’exercice 2008-2009, le traitement sera complété et les données sur le rendement seront analysées au cours de l’exercice 2009-2010. AAC assure le suivi des demandes traitées et rend publiques les statistiques du programme (y compris le pourcentage de demandes traitées) selon les normes de service établies. Ces statistiques peuvent être consultées.

En date du 29 mars 2009
Programme Agri-stabilité 2008 :

Au total, 45,0 % des demandes complètes reçues pour l’année de programme 2008 ont été traitées. Le taux d’erreur de sortie est fondé sur un échantillonnage et, en date du 31 mars 2009, l’ensemble des dossiers pour 2008 faisaient l’objet d’un examen. Aucun taux d’exactitude n’avait donc encore été établi à cette date.
Exécution nationale : 5 838 demandes complètes reçues. La valeur totale des paiements aux producteurs était de 248 527 017 $ à la fin de mars 2009.
Exécution fédérale : 926 demandes complètes reçues. La valeur totale des paiements aux producteurs était de 53 021 050 $ à la fin de mars 2009.

Programme Agri-stabilité 2007 :
Au total, 83,8 % des demandes complètes reçues pour l’année de programme 2007 ont été traitées, et le taux d’exactitude estimatif était de 96,85 % à la fin de mars 2009.
Exécution nationale : 118 910 demandes complètes reçues. La valeur totale des paiements aux producteurs était de 554 242 637 $ à la fin de mars 2009.
Exécution fédérale : 42 883 demandes complètes reçues. La valeur totale des paiements aux producteurs était de 165 011 400 $ à la fin de mars 2009.

Les données sur le rendement recueillies et analysées en 2008-2009 concernaient le PCSRA de 2006. Le programme couvrait 52 % des producteurs canadiens (y compris ceux des secteurs assujettis à la gestion de l’offre), représentant 66 % des revenus totaux du marché. Bien que ce chiffre soit inférieur à la cible de 75 %, il représente tout de même une proportion importante de l’industrie. On prévoit également que le taux participation augmentera dans le cadre du nouvel ensemble de programmes de GRE. Au total, 40 % des participants ont reçu un paiement au titre du PCSRA de 2006, et ont ainsi vu leurs marges passer de 60 % à 86 % de leur marge de référence respective. Ce pourcentage était supérieur à la cible de 80 %.

Traitement des paiements au titre du programme Agri-stabilité 2007 et 2008 : Dans les provinces qui en ont fait la demande, le mécanisme d’avances ciblées a permis aux producteurs de porcs et de bovins d’avoir plus rapidement accès à ces paiements (98 millions de dollars versés à 1 713 éleveurs de porcs pour 2007 et 167 millions de dollars versés à 3 767 éleveurs de porcs et de bovins pour 2008). Des changements tels qu’une protection accrue contre les marges négatives et une méthode améliorée d’évaluation des stocks devraient également profiter à ceux qui font face à une baisse de revenus continue ou qui, année après année, enregistrent des pertes importantes. De plus amples renseignements sur le traitement des paiements au titre du programme Agri-stabilité seront communiqués en 2009-2010.

Un cadre de mesure du rendement, comprenant des indicateurs et des cibles de rendement, a été mis en place pour le nouvel ensemble de programmes de GRE. Les gouvernements fédéral et provinciaux s’affairent actuellement à recueillir les renseignements nécessaires à la reddition de comptes et estiment être en mesure de rendre compte du rendement du nouvel ensemble de programmes au début de 2010.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions - 377,3 655,2 340,5 340,5 314,7
Total du programme de paiements de transfert - 377,3 655,2 340,5 340,5 314,7

Remarques sur les écarts :
Le programme Agri-stabilité est régi par la demande, de sorte que son financement annuel n’est pas assuré au moyen d’un crédit budgétaire fixe. Les frais administratifs demeurent relativement constants, mais les paiements de subvention et de contribution peuvent varier considérablement d’une année à l’autre en fonction du taux de participation au programme et des besoins de l’industrie agricole. Le programme coûtera donc moins cher aux gouvernements au cours des bonnes années, mais plus cher au cours des moins bonnes années (c.-à-d. les années marquées par une baisse des prix des produits de base, par des catastrophes, etc.).

L’écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles pour 2008-2009 est en grande partie attribuable à la récente hausse de la valeur des céréales et des oléagineux. Historiquement, une partie importante de la protection offerte dans le cadre du PCSRA allait aux producteurs de céréales et d’oléagineux, mais la hausse des prix dans le secteur a entraîné une baisse de la participation ainsi que du nombre de paiements versés, en raison de l’élargissement des marges.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme Agri-stabilité n’a été entreprise en 2008-2009. Le programme devrait être évalué en 2011-2012, conformément au plan d’évaluation stratégique quinquennal d’AAC (2009-2010 à 2013-2014) préparé par le Bureau de la vérification et de l'évaluation d’AAC. Ce programme peut être évalué individuellement ou conjointement avec un groupe d’autres programmes de gestion des risques de l’entreprise.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification interne du programme Agri-stabilité n’a été entreprise en 2008-2009. Une vérification de suivi du programme devrait débuter en 2009-2010. Elle sera effectuée en collaboration avec le Bureau du vérificateur général (BVG) afin de faire le pont avec la vérification du PCSRA - fort semblable, mais en voie d’être éliminé (mai 2007) - réalisée par le BVG, ainsi qu’avec celle menée par ACC en juin 2008.

Nota :

  1. Le Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) a été remplacé par les programmes Agri-stabilité et Agri-investissement le 1er avril 2008.
  2. Les dépenses réelles de 377,3 millions de dollars déclarées en 2007-2008 concernent le (PCSRA), lequel a précédé le programme Agri-stabilité (dont les dépenses sont présentées ci-après).
Les dépenses associées au programme :
Programme canadien de stabilisation du revenu agricole pour l'évaluation des stocks (ITES)
  2006-2007 2007-2008 2008-2009
subventions (ITES) : 431,0 (0,7) 8,4
contributions (ITES) : 442,0 - 3,7
ITES Dépenses du programme 873,0 (0,7) 12,1

PCSRA Dépenses du programme 933,3 377,3 -

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Détails sur les programmes de paiements de transfert pour Agriculture et Agroalimentaire Canada

(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme de partenariat avec le secteur privé pour la gestion des risques (PPSPGR) (voté)

Date de mise en oeuvre : 6 janvier 2009

Date de clôture: 31 mars 2012

Description :
Le Programme de partenariat avec le secteur privé pour la gestion des risques (PPSPGR) vise à faciliter la participation du secteur privé des services financiers à la gestion des risques agricoles qui ne sont présentement pas couverts par les outils de gestion des risques existants. Il offre un soutien financier et technique afin d’aider les organisations agricoles non gouvernementales à concevoir, à élaborer et à réaliser une analyse de rentabilisation en vue de développer de nouveau produits et services de gestion des risques de l’entreprise pour aider les producteurs à atténuer les enjeux agricoles en matière de gestion des risques de l’entreprise et à y répondre.

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
En 2008-2009, le PPSPGR a transposé 12 projets du Cadre stratégique pour l’agriculture (CSA) (aucune nouvelle demande n’a été acceptée après le 31 mars 2008). Tous les projets ont continué d’atteindre les objectifs conformément aux accords de contribution signés.

Résultats de projet obtenus :

  1. La Fédération canadienne du mouton a lancé une couverture nationale d’assurance du bétail relative à la fièvre catarrhale du mouton (mai 2008).
  2. Pulse Canada a lancé son outil d’établissement de prix des pois fourragers de l’Ouest (janvier 2009).
  3. Des projets sont négociés avec des fournisseurs de services (p. ex. Alberta Beef Producers, Western Barley Growers Association, Nova Scotia Egg Producers).
  4. Le projet de l’Ontario Livestock and Poultry Council a présenté aux clients des politiques, des prix et des options de prestation relativement à la protection contre la grippe aviaire.
  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions - - - 6,9 5,1 (5,1)
Total du programme de paiements de transfert - - - 6,9 5,1 (5,1)

Remarques sur les écarts :
Au moment de la préparation du Rapport sur les plans et les priorités 2008-2009, l’approbation de programme du Conseil du Trésor n’avait pas encore été reçue et, à cet égard, les dépenses prévues indiquent zéro.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme n'a été exécutée en 2008-2009.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification du programme n'a été exécutée en 2008-2009.

Nota :
Les dépenses pour le programme de PPSPGR (sous la CSA) est de 3,8 million de dollars en 2006-2007 et de 4,1 million de dollars en 2007-2008.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Faciliter l'élimination des matières à risque spécifiées (voté)

Date de mise en oeuvre : 14 décember 2006

Date de clôture: 31 mars 2009 (prolongation jusqu'au 31 mars 2010)

Description :
Le gouvernement fédéral continue de verser au secteur de l'élevage bovin du Canada une aide qui est liée à la crise de l'ESB et qui lui permet de l'épauler dans les efforts qu'il déploie pour se remettre sur pied après la découverte du premier cas d'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) au Canada en mai 2003.

L'Agence canadienne d'inspection des aliments a mis en oeuvre une Interdiction améliorée frappant les aliments pour animaux, ce qui constitue un pas important vers l'élimination de cette maladie chez le cheptel bovin national.

Ce programme aidera le secteur du boeuf à atténuer le coût de son adaptation aux améliorations apportées le 12 juillet 2007 à l'Interdiction frappant les aliments pour animaux qu'applique l'Agence canadienne d'inspection des aliments. Ces améliorations ont trait à l'élimination des matières à risque spécifiées (MRS); pour y donner suite, il faut une infrastructure d'élimination adéquate.

Les programmes fédéraux-provinciaux de partage des coûts qui sont en place offrent un montant de 127,5 millions de dollars d'aide financière au secteur (part fédérale : 76,5 millions de dollars; part des provinces : 51 millions). Le programme est administré par les provinces et les fonds fédéraux viennent soutenir les projets approuvés dans le cadre du processus provincial.

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
En mars 2009, environ 259 projets d’infrastructure et initiatives de recherche avaient été approuvés, constituant un engagement total de 105,1 millions de dollars, afin d’aider l’industrie du bœuf à s’adapter à l'Interdiction renforcée frappant les aliments pour animaux. Des installations telles que des abattoirs fédéraux et provinciaux, des usines d’équarrissage des MRS et des établissements de recherche participent au programme. De plus, différentes technologies sont étudiées afin de trouver des options à valeur ajoutée pour les MRS.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions 4,4 22,8 38,5 21,0 19,2 19,3
Total du programme de paiements de transfert 4,4 22,8 38,5 21,0 19,2 19,3

Remarques sur les écarts :
La différence entre les dépenses prévues et les dépenses réelles s’explique par le report de 17,5 millions de dollars de 2008-2009 à 2009-2010. Le programme a été prolongé afin d’appuyer des initiatives provinciales qui nécessitaient une prolongation d’un an pour atteindre les objectifs du programme.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation n’a été effectuée en 2008-2009 et aucune n’est prévue.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification n’a été effectuée en 2008-2009. Aucune autre vérification que la vérification normalisée de fin de programme n’est prévue.

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Détails sur les programmes de paiements de transfert pour Agriculture et Agroalimentaire Canada

(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Paiements relatifs à la Loi sur les programmes de commercialisation agricole (LPCA) (législatif) - Programme de paiements anticipés

Date de mise en oeuvre : 1997

Date de clôture: Permanent en vertu de la LPCA

Description :
Le Programme de paiements anticipés (PPA) garantit l'octroi d'avances de fonds aux producteurs admissibles (les modifications récemment apportées à la LPCA ont augmenté de 50 000 $ à 100 000 $ la portion exonérée d'intérêts des avances et de 250 000 $ à 400 000 $ l'avance maximale) pour leur permettre de produire et de commercialiser leurs produits agricoles au moment où les conditions du marché sont les plus favorables.

De plus, des modifications permettent maintenant aux éleveurs de bétail de toucher une avance en vertu de la LPCA. En février 2008, des modifications apportées à la LPCA ont permis de verser des avances d'urgence aux éleveurs de bétail pour répondre aux besoins de l'industrie de l'élevage en cas de circonstances concurrentielles défavorables. Les modifications prévoyaient la réduction des exigences législatives en ce qui concerne les avances d'urgence consenties jusqu'au 31 mars 2009.

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
La LPCA a été modifiée en 2006 afin d’élargir l’admissibilité au secteur de l’élevage, d’accroître les limites de prêt à 400 000 $, d'accroître la limite des prêts sans intérêt à 100 000 $ et de prolonger la période de production à 18 mois.

La LPCA a également été modifiée en février 2008 afin d’améliorer la prestation du PPA dans le secteur de l’élevage. Ces modifications ont permis de supprimer l’obligation pour les éleveurs de bétail d’obtenir des avances au titre d’un programme de gestion de risques de l’entreprise (GRE) comme Agri-stabilité. Les avances sont maintenant accordées en utilisant les animaux en garantie. Les modifications ont également élargi les circonstances dans lesquelles une avance d’urgence au titre du PPA peut être accordée afin d’inclure les situations de « difficultés économiques graves ».

Pour la période de production 2008-2009, 61 ententes ont été signées afin d'offrir le PPA à des organisations de producteurs et environ 2,72 milliards de dollars ont été accordés en avances à environ 40 539 producteurs. De ce nombre, 312 millions de dollars ont été accordés en avances d’urgence aux éleveurs de porcs et 143 millions de dollars en avances d’urgence aux éleveurs de bétail.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions 10,6 44,1 137,5 37,0 37,0 100,5
Total du programme de paiements de transfert 10,6 44,1 137,5 37,0 37,0 100,5

Remarques sur les écarts :
De nombreux facteurs sont responsables de l’écart entre les dépenses réelles et prévues. L’écart est principalement attribuable au moins grand nombre de défauts de paiement que prévu au départ, ainsi qu’à un taux d’intérêt plus bas que prévu pour l’exercice.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme n'a été exécutée en 2008-2009. Comformément à la LPCA, une évaluation approfondie doit être réalisée tous les cinq ans.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Des vérifications officielles auprès des organisations de producteurs qui participent au PPA sont effectuées à chaque exercice. Six organisations de producteurs par exercice sont présentement visées par des vérifications officielles. En raison des contraintes relatives aux appels d’offres, AAC n’a pas été en mesure d’effectuer les vérifications en 2008-2009, et effectuera un total de 12 vérifications officielles auprès d’organisations de producteurs au cours de la campagne 2009-2010.

Nota :
Programme d'avances printanières bonifié (PAPB) Dépenses pour l'année 2007-2008 - 6,8 million de dollars
Programme d'avances printanières (PAP) Dépenses pour l'année 2007-2008 - 8,9 million de dollars

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Paiement au titre des coûts de production (législatif)*

Date de mise en oeuvre : 1er avril 2008

Date de clôture: 31 mars 2010

Description :
Le paiement fédéral unique de 400 millions de dollars pour les coûts de production a été annoncé en mars 2007 afin d’indemniser partiellement les producteurs pour la baisse de revenus subie au cours des années précédentes en raison d’une hausse plus rapide des coûts de production que des prix des extrants.

Dans le cadre de ce programme, les paiements ont été effectués en deux versements. Les premiers paiements ont débuté en juin 2007 selon un taux de 2,36 % des ventes nettes admissibles moyennes des participants pour 2000 à 2004 et les paiements finaux ont débuté en décembre 2007 selon un taux de 0,36 % des ventes nettes admissibles moyennes des participants pour 2000 à 2004. Le programme a été offert par le gouvernement fédéral dans toutes les provinces, sauf le Québec.

Site Web :
Exécution fédérale
Québec (La Financière agricole du Québec)

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
Grâce au paiement au titre des coûts de production, AAC a pu accroître les revenus agricoles des producteurs participants pour 2007 de 1 % selon les données de programme et de Statistique Canada.

En date de mars 2009 :
Nombre de demandes reçues : 168 172
Nombre de paiements nuls : 3 898
Nombre de paiements : 164 241
Nombre de demandes à traiter : 33
Valeur totale des paiements : 359 173 361 $

Les chiffres ci-dessus ne concernent que les régions dans lesquelles le Canada effectue des paiements (soit toutes les provinces, sauf le Québec). Une autre somme de 44,7 millions de dollars a été transférée au Québec afin de permettre à la province d’effectuer des paiements similaires auprès de ses producteurs.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - 353,5 - 8,7 8,7 (8,7)
Total des contributions - 44,7 - (0,0) (0,0) 0,0
Total du programme de paiements de transfert - 398,3 - 8,7 8,7 (8,7)

Remarques sur les écarts :
En raison d’une surestimation du taux de paiement final au titre de ce programme, des fonds supplémentaires d’environ 9 millions de dollars ont été nécessaires pour respecter entièrement les engagements d’AAC dans le cadre du programme. Ces fonds ont été obtenus auprès de niveaux ministériels existants.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme de paiement au titre des coûts de production n’a été effectuée en 2008-2009. Aucune évaluation n’est présentement effectuée ni prévue pour ce programme.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification du programme de paiement au titre des coûts de production n’a été effectuée en 2008-2009. Le Bureau de la vérification et de l’évaluation d’AAC effectue un exercice annuel d’évaluation des risques afin de déterminer ses priorités en matière de vérification interne et étudie les risques relatifs au programme. Ce dernier ne fait présentement pas partie du plan de vérification triennal axé sur les risques d’AAC pour 2009-2010 à 2011-2012.

*Pour le programme Agri-investissement pour élément de coûts de production de 100 millions de dollars, liés au programme mentionné ci-haut, aucun paiement n'a été déclenché en 2008-09 en raison d'une forte hausse des recettes des productions végétales, principalement dans le secteur des céréales et des oléagineux pour 2008 par rapport à 2007.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Lutte contre les maladies dans l'industrie porcine - Initiative visant le circovirus (voté) - Phase I - Stratégie d'inoculation contre le circovirus

Date de mise en oeuvre : 27 septembre 2007

Date de clôture: 31 mars 2009 (prolongation jusqu'au 30 november 2009)

Description :
La Stratégie d'inoculation contre le circovirus (SIC) est une initiative d'Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) qui vise à minimiser l'incidence globale éventuelle des maladies associées au circovirus porcin (MACP) sur le cheptel porcin canadien. AAC versera une aide financière pour l'identification du virus et l'atténuation de ses effets.

L’objectif global de l’initiative de lutte contre les maladies dans l’industrie porcine, et l’objectif précis de son Programme de vaccination contre le circovirus (PVC), est d’améliorer la santé du cheptel porcin canadien, ce qui contribuera à maintenir la viabilité et la rentabilité du secteur à long terme. Encourager les producteurs à augmenter les activités de détection et de prévention des maladies réduira le taux de mortalité porcine, et les porcs canadiens vendus sur le marché seront en meilleure santé.

Les fonds sont remis aux producteurs dans le cadre du PVC. L’Administration du rétablissement agricole des Prairies (ARAP) d’AAC offre le PVC directement aux producteurs dans toutes les provinces. Il est composé de deux éléments.

Dans le cadre du volet des épreuves diagnostiques, les demandeurs admissibles peuvent recevoir un maximum de 50 % des dépenses admissibles, jusqu’à concurrence de 2 000 $ par exercice et de 4 000 $ pour la durée du Programme. Dans le cadre du volet de vaccination, les demandeurs admissibles peuvent recevoir jusqu’à 50 % des dépenses admissibles, jusqu’à un maximum de 1 $ par porcelet et de 7 $ par truie, jeune truie et verrat. L’aide maximale pendant la durée du Programme est de 500 000 $ par demandeur.

Stratégie d'inoculation contre le circovirus Site Web

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
Jusqu’à présent, plus de 3 500 demandes ont été approuvées, offrant une aide totale de plus de 30 millions de dollars aux éleveurs de porcs canadiens pour détecter les maladies et vacciner les porcs. L'échéance du PVC a été reportée au 31 août 2009, et des demandes sont toujours examinées.

(en millions de dollars)
  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions - 14,3 10,8 10,8 10,8 -
Total du programme de paiements de transfert - 14,3 10,8 10,8 10,8 -

Remarques sur les écarts :
S/O

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation de cette initiative n’a été effectuée en 2008-2009. Elle devrait être évaluée en 2010-2011 conformément au plan d’évaluation stratégique quinquennal d’AAC (2009-2010 à 2013-2014), préparé par le Bureau de la vérification et de l'évaluation d’AAC.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification de cette initiative n’a été effectuée en 2008-2009. Le Bureau de la vérification et de l’évaluation d’AAC effectue un exercice annuel d’évaluation des risques afin de déterminer ses priorités en matière de vérification interne et étudie les risques relatifs au Programme. Ce dernier ne fait présentement pas partie du plan de vérification triennal axé sur les risques d’AAC pour 2009-2010 à 2011-2012.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme de réforme des porcs reproducteurs (législatif)

Date de mise en oeuvre : 6 mars 2008

Date de clôture: 31 mars 2012

Description :
Le Programme de réforme des porcs reproducteurs vise à aider à restructurer le secteur du porc canadien en facilitant la réduction du cheptel reproducteur. Cette initiative dotée de 50 millions de dollars prend la forme d'une subvention au Conseil canadien du porc (CCP). L'objectif est de réduire d'au plus 10 % le cheptel des porcs reproducteurs à l'échelle nationale, au-delà des réductions annuelles habituelles.

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
Une aide financière est accordée à l'industrie du porc pour aider les producteurs qui veulent réduire leurs activités ou quitter l'industrie. En 2007-2008, un montant de 38 millions de dollars a été transféré au CCP pour rembourser les coûts d'abattage et d'élimination et le paiement de 225 $ par animal reproducteur. Le Programme a été modifié afin qu'il débute le 1er août 2007 plutôt que le 1er novembre 2007. Au 10 juin 2009, le programme avait reçu 649 demandes visant en tout 124 370 animaux.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - 38,0 - 12,0 12,0 (12,0)
Total des contributions - - - - - -
Total du programme de paiements de transfert - 38,0 - 12,0 12,0 (12,0)

Remarques sur les écarts :
L’approbation de cette subvention a été reçue après la préparation du Rapport sur les plans et les priorités 2008-2009. Elle n’a donc pas été recensée dans les dépenses prévues.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Il n'y a actuellement aucune évaluation de ce programme et aucune évaluation n'est prévue.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification n’a été effectuée en 2008-2009. Une vérification de l’exercice 2008-2009 devrait être effectuée au quatrième trimestre de 2009-2010.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Aide au secteur agricole et agroalimentaire - Environnement (voté)

Date de mise en oeuvre : 1er avril 2003

Date de clôture: 31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)

Description :
Les programmes pour l'environnement ont pour but de favoriser l'adoption, dans les fermes au Canada, de pratiques de gestion bénéfiques pour l'environnement et économiquement viables.

Résultat stratégique : Santé de l'environnement

Résultats obtenus :

  • Plans environnementaux des fermes (PEF) - En date du 31 mars 2009, plus de 69 300 examens de PEF/plans agroenvironnementaux équivalents (PAEE) avaient été réalisés en application du Cadre stratégique pour l’agriculture (CSA). Cela représente 30 % des fermes canadiennes. À la même date en 2008, ce sont 56 700 examens de PEF/PAEE qui avaient été réalisés en application du Cadre.
  • Programme national de gérance agroenvironnementale (PNGA) - Environ 52 400 projets de pratiques de gestion bénéfiques (PGB) avaient été menés à bien en date du 31 mars 2009.
  • Programme de couverture végétale du Canada - En date du 31 mars 2009, environ 9 000 projets de PGB avaient été réalisés, 572 393 acres avaient été converties à la couverture longévive et 230 projets d’aide technique avaient été menés à bien.
  • Programme national d'approvisionnement en eau (PNAE) - Environ 8 000 projets réalisés.
  • Normes agroenvironnementales - Des normes ont été élaborées en ce qui concerne l'eau, la biodiversité, les pesticides et l'air.
  • Programme de surveillance de la qualité de l'eau (PSQE) - Des études pilotes ont été réalisées dans différents sites témoins.
  • Lacunes en matière d'information sur la qualité de l'eau et les nutriments (LACUNES), étude de la réglementation - Un total de onze projets de R et D ont été financés.
  • Étude de la réglementation - Publication du rapport de la phase 1 en février 2006.
  • Programme national d'analyse et de rapport en matière de santé agroenvironnementale (PNARSA) - Publication d'un rapport des indicateurs agroenvironnementaux.
  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Environnement            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions 97,0 198,8 45,6 93,3 78,2 (32,6)
Total du programme de paiements de transfert 97,0 198,8 45,6 93,3 78,2 (32,6)

Remarques sur les écarts :
Les dépenses réelles sont plus élevées que prévu en raison de retards dans la mise en œuvre des programmes au cours des années précédentes.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Une évaluation de la composante environnement a été entamée au cours de l'exercise 2007-2008 mais n'a toujours pas été conclue.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
La vérification suivante du BVG intitulée La gestion des programmes environnementaux a été réalisée en 2008-2009. Il est possible de la consulter à l'adresse : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_cesd_200812_03_f_31820.html

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Aide au secteur agricole et agroalimentaire - Salubrité et qualité des aliments (voté)

Date de mise en oeuvre : 1er avril 2003

Date de clôture: 31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)

Description :
Le Programme a pour objectif d'aider le secteur à concevoir et à mettre en oeuvre, partout dans le circuit agroalimentaire, des systèmes de contrôle des procédés de salubrité, de traçabilité et de qualité des aliments qui sont reconnus par les gouvernements; ces systèmes visent à:
- protéger la santé humaine en réduisant les risques d'exposition aux dangers alimentaires;
- accroître la confiance des consommateurs dans la salubrité et la qualité des aliments produits au Canada;
- accroître la capacité du secteur de combler et même de dépasser les exigences du marché sur le plan de la salubrité et de la qualité des aliments;
- offrir des possibilités à valeur ajoutée par l'adoption de systèmes d'assurance de la salubrité et de la qualité des aliments.

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
L’un des principaux outils de contrôle en matière de salubrité des aliments est le Programme de reconnaissance de la salubrité des aliments à la ferme (RSAF), qui fait partie d’une initiative horizontale d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC), partenaire principal, et de l’Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA). Ce Programme offre une reconnaissance aux systèmes d’assurance de la salubrité des aliments conçus et mis en place par les associations nationales de producteurs qui sont fondés sur le processus d’analyse des risques et de maîtrise des points critiques (HACCP), approche préventive en matière de salubrité alimentaire.

Au cours du présent exercice, sept associations nationales de producteurs ont pris part au Programme de RSAF. Deux de ces associations ont reçu une lettre de l’ACIA les informant de leur succès à l’étape de l’examen technique du Programme de RSAF. Depuis 2004, L’ACIA a fait parvenir 18 lettres semblables.

Au cours de l’année de transition qui s’est achevée, le Programme canadien de salubrité et de qualité des aliments (PCSQA) a été maintenu en attendant la mise au point du nouvel éventail de programmes en matière de salubrité des aliments du cadre Cultivons l’avenir.

Le PCSQA est formé de trois composantes :

  1. Élaboration de systèmes
    AAC a versé 3,8 millions de dollars à 21 associations de producteurs et organisations du secteur agroalimentaire dans le cadre de projets d’élaboration de systèmes. Les projets financés se répartissent de la manière suivante : 32 projets liés à la salubrité alimentaire (fondé sur le processus HACCP), cinq projets liés à la traçabilité et un projet lié à la qualité des aliments.
  2. Mise en œuvre à la ferme
    En ce qui concerne le volet Mise en œuvre à la ferme, AAC a accordé un total de 4,4 millions de dollars à huit associations nationales de producteurs en vue de la mise en œuvre à la ferme de systèmes d’assurance de la salubrité des aliments fondés sur le processus HACCP. Ces associations représentaient des producteurs de différents secteurs, dont des producteurs de produits laitiers, de bovins, d’œufs, de dinde, de mouton, de poulet et de différentes cultures horticoles.
  3. Initiative d’assurance de la salubrité des aliments
    Sept provinces participant à l’Initiative d’assurance de la salubrité des aliments se sont partagé un total de 8,1 millions de dollars accordé par AAC pour la mise en œuvre de pratiques d’assurance de la salubrité des aliments au sein de plus de 330 usines de transformation des aliments qui ne sont pas enregistrées au fédéral et l’organisation de plus de 400 séminaires sur la salubrité alimentaire. En 2008-2009, le Québec s’est joint à l’Initiative.
  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Salubrité et qualité des aliments            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions 10,5 45,9 24,9 29,7 16,3 8,6
Total du programme de paiements de transfert 10,5 45,9 24,9 29,7 16,3 8,6

Remarques sur les écarts :
Le PCSQA est un programme axé sur la clientèle. Les projets qu’il finance prennent en règle générale de trois à six ans pour franchir les étapes de l’élaboration et de la mise en place de systèmes d’assurance de la salubrité des aliments et de traçabilité. Le montant prévu à l’origine pour 2008-2009 était de 24,9 millions de dollars. Un des principaux défis a été de prévoir les besoins de la clientèle étant donné que l’exercice 2008-2009 représentait une transition. Par ailleurs, certaines organisations n’ont pas été en mesure de réaliser leurs activités de la manière prévue en raison du caractère complexe du fait de négocier de nouvelles ententes au début d’une année de transition. Au cours de cet exercice, 16,3 millions de dollars ont été dépensés (3,8 millions de dollars pour l’élaboration de systèmes, 4,4 millions de dollars pour la mise en œuvre à la ferme et 8,1 millions de dollars pour des initiatives d’assurance de la salubrité des aliments).

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme n'a été exécutée en 2008-2009.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Le plan de vérification du Programme canadien de salubrité et de qualité des aliments prévoyait la réalisation de neuf vérifications de projets particuliers. Trois vérifications ont été réalisées et deux sont en cours et se poursuivront en 2009-2010. Rien de notable n’est à signaler d’après les trois vérifications réalisées. Les clients ont pris des mesures pour mettre en œuvre les recommandations formulées dans les rapports de vérification. Ces trois vérifications ne sont toujours pas accessibles en ligne. Les autres vérifications n’ont pas été réalisées parce qu’on a déterminé que les projets à évaluer présentaient un faible niveau de risque et qu’il n’était en conséquence pas justifié de dépenser.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme pour l'avancement du secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire (PASCAA) (voté) (Subventions et contributions visant à faciliter l'adaptation et le développement rural dans le secteur agricole et agroalimentaire)

Date de mise en oeuvre : 1er avril 2004

Date de clôture: 31 mars 2009

Description :
Le PASCAA a pour objectif de positionner le secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire à l'avant-poste des nouvelles possibilités commerciales. Il repose sur trois piliers, à savoir :
Pilier I : « Des solutions de l'industrie aux enjeux en émergence »;
Pilier II : « Saisir les possibilités du marché en tirant parti des résultats de la recherche »;
Pilier III : « Partager l'information pour favoriser l'avancement du secteur ».

Le PASCAA remplace la version II du Fonds canadien d'adaptation et de développement rural (FCADR II).

Résultat stratégique : Innovations propices à la croissance

Résultats obtenus :
Pour la dernière année du Programme pour l'avancement du secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire (PASCAA), 337 nouveaux projets ont été approuvés et financés. Ces projets consistent en 10 nouveaux projets nationaux, 265 nouveaux projets de conseils régionaux de l'industrie et 62 projets axés sur des résultats collectifs multirégionaux. La plupart de ces projets correspondaient au pilier I.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Innovation et Renouveau            
Total des subventions 44,3 37,7 30,3 33,0 31,9 (1,6)
Total des contributions 6,2 10,5 3,1 13,7 13,3 (10,2)
Total du programme de paiements de transfert 50,5 48,2 33,4 46,7 45,2 (11,8)

Remarques sur les écarts :
Les dépenses prévues pour 2008-2009 reflètent le financement présenté dans le Rapport sur les plans et les priorités de 2008-2009. La sous-utilisation des fonds prévus au cours des premières années explique l’excédent de dépenses réalisé au cours de la dernière année d’existence du Programme (2008-2009). Cela dit, le budget quinquennal total du Programme a été respecté.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
L’évaluation du PASCAA, entreprise au cours de l’exercice 2007-2008, portait sur la pertinence, le degré de réussite et de progression ainsi que l'efficience du Programme dans l’atteinte de ses objectifs. Les conclusions ont été globalement positives et les recommandations qui ont suivi l’évaluation ont été prises en compte dans la planification du programme qui prendra la place du PASCAA, soit le Programme canadien d'adaptation agricole (PCAA).

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Au départ, on avait prévu de choisir un bénéficiaire pour l’ensemble du pays pour la réalisation de l’évaluation de la conformité. Cependant, en raison des contraintes temporelles et de retards imprévus dans la préparation du contrat pour la vérification, on a décidé de se priver de l’évaluation de la conformité. Le suivi proactif des dossiers de projets nationaux et la réalisation de vérifications financières nous ont permis d’appliquer la diligence requise.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Nouveaux débouchés en agriculture (voté)

Date de mise en oeuvre : 14 décembre 2006

Date de clôture: 31 mars 2011

Description :
Le programme des Nouveaux débouchés en agriculture de 134 millions de dollars prenant fin en mars 2011 qui met l'accent sur les produits, services et procédés à valeur ajoutée, nouveaux ou innovateurs, de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de l'agroindustrie qui ne sont actuellement pas produits commercialement ou offerts sur le marché au Canada et qui sont prêts à être lancés sur le marché. Le Programme prévoit le versement de contributions remboursables à des projets de commercialisation qui devraient accroître les possibilités commerciales du secteur agricole canadien dans l'ensemble de ses chaînes de valeur et stimuler la demande de produits agricoles primaires.

Résultat stratégique : Innovations propices à la croissance

Résultats obtenus :
Un total de 13 ententes de financement de projets de commercialisation novateurs ont été signées dans le cadre du programme Agri-débouchés, ce qui représente un investissement de 31 759 712 millions de dollars pour contribuer à accélérer le rythme de l’innovation au Canada.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Innovation et Renouveau            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions - 2,1 40,8 12,3 9,0 31,9
Total du programme de paiements de transfert - 2,1 40,8 12,3 9,0 31,9

Remarques sur les écarts :
Les dépenses réelles ont été en-deçà des prévisions principalement en raison de la crise économique mondiale à ce-moment-là, qui a eu un impact important sur l'investissement au Canada, surtout pour ce qui est d'accéder à du financement par emprunt et à du financement par actions pour les entreprises.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme n'a été exécutée en 2008-2009. Une évaluation est prévue pour 2009-2010.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification du programme n'a été exécutée en 2008-2009. Une vérification est prévue pour 2010-2011.

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Détails sur les programmes de paiements de transfert pour Agriculture et Agroalimentaire Canada

(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme d'innovation en matière de bioproduits agricoles (voté)

Date de mise en oeuvre : 14 décembre 2006

Date de clôture: 31 mars 2011

Description :
Le Programme d'innovation en matière de bioproduits agricoles (PIBA) est une initiative qui vise à renforcer la capacité des fournisseurs scientifiques canadiens et du secteur par la création de réseaux de recherche, de développement technologique et de commercialisation de bioproduits et de bioprocédés agricoles.

Résultat stratégique : Innovations propices à la croissance

Résultats obtenus :
Neuf réseaux ont été approuvés et seront financés dans le cadre du Programme d'innovation en matière de bioproduits agricoles (PIBA). À l’heure actuelle, le Programme est pleinement exploité et aucune nouvelle proposition ne peut être acceptée. Pour soutenir le travail qui sera entrepris par les réseaux approuvés, Agriculture et Agroalimentaire Canada a conclu neuf (9) accords de contribution avec des bénéficiaires ne faisant pas partie du gouvernement fédéral. On a également conclu huit (8) conventions de mandat entre des bénéficiaires et l’agent bénéficiaire ainsi que huit (8) lettres d’entente (LE) avec d’autres ministères gouvernementaux et organismes.

AAC rendra compte des activités et de l’exécution des ententes pour l’établissement de réseaux négociées pour gérer les questions liées à la gouvernance, à la propriété intellectuelle et aux enjeux connexes avec les parties prenant part aux neuf réseaux approuvés du PIBA au cours de l’exercice 2009-2010.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Innovation et Renouveau            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions - 0,6 20,7 7,3 7,3 13,4
Total du programme de paiements de transfert - 0,6 20,7 7,3 7,3 13,4

Remarques sur les écarts :
L’écart de 13,4 millions de dollars entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est attribuable au retard dans l’élaboration et la signature des ententes de réseaux. Ce nouveau Programme fait appel à des structures nouvelles et requiert un délai de démarrage pour la conception des outils de communication et d’administration nécessaires ainsi que des ressources pour veiller à ce que les parties prenantes internes et externes reçoivent des messages clairs, uniformes et exacts en temps utile concernant tous les aspects relatifs aux exigences du Programme.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation n’a été entreprise en 2008-2009.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Le Secrétariat du PIBA adoptera une approche axée sur le risque pour la sélection des contributions devant faire l'objet d'une vérification. Le risque de chaque entente de contribution aux fins de la vérification sera évalué annuellement. L'objectif visé est de vérifier les contributions pour lesquelles le Secrétariat a formulé des préoccupations spécifiques.
Aucune vérification n’a été réalisée en 2008-2009. L’objectif en ce qui concerne 2009-2010 est de réaliser deux vérifications de bénéficiaires.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme canadien d'options pour les familles agricoles (Options) (voté)

Date de mise en oeuvre : 23 juin 2006

Date de clôture: 31 mars 2010

Description :
Le Programme canadien d'options pour les familles agricoles est un projet pilote qui octroie une aide financière à court terme aux familles agricoles à faible revenu et qui donne aux clients admissibles accès à des services d'évaluation de l'entreprise agricole et de formation qui peuvent les aider à accroître leurs possibilités à long terme de revenu agricole et extra-agricole. Les paiements sont versés aux demandeurs admissibles sur la foi de l'information qui les concerne pour les années fiscales 2005 et 2006. Ces demandeurs s'engagent à mener à bien une activité de renouveau au plus tard le 20 novembre 2008, que se soit dans le cadre de l'Évaluation de l'exploitation agricole, des Services canadiens de développement des compétences en agriculture ou d'un équivalent approuvé.

Résultat stratégique : Innovations propices à la croissance

Résultats obtenus :
Le Programme canadien d'options pour les familles agricoles a versé au total plus de 145 millions de dollars à plus de 15 000 familles agricoles au cours de sa première année d’existence (2005) et plus de 76 millions de dollars à plus de 9 300 familles agricoles la deuxième année (2006). Les agriculteurs étaient admissibles au Programme si leur revenu familial total, tel que déclaré à l’Agence du revenu du Canada, était inférieur à 25 000 $ (à 15 000 $ pour ce qui est des agriculteurs seuls). Les paiements ont été calculés de façon à porter le revenu individuel des agriculteurs au seuil minimal de 15 000 $ et celui des familles agricoles à celui de 25 000 $.

Au total, les participants ont reçu environ 221 millions de dollar d’aide, ce qui signifie un paiement moyen de 17 000 $. Une proportion de 80,7 %, soit 12 280 participants au programme Options, a rempli les exigences relatives au volet Renouveau (évaluation de l’exploitation agricole, développement des compétences ou activité équivalentes). De ce nombre, 1 898 participants ont pris part à plus d’une activité par demande, pour un nombre total d’activités de programme de 14 178. Les derniers chèques ont été postés au début d’août 2008. Le programme Options est parvenu à son terme le 20 novembre 2008.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Innovation et Renouveau            
Total des subventions 145,0 76,0 - - (1,0) 1,0
Total des contributions - 11,2 16,0 14,2 10,3 5,7
Total du programme de paiements de transfert 145,0 87,2 16,0 14,2 9,3 6,7

Remarques sur les écarts :
Le 31 mai 2007, le Conseil du Trésor a approuvé certaines modifications à apporter au programme Options. Ces modifications ont entraîné la réduction du budget initial, de 550 millions de dollars, à 303,3 millions de dollars. L’attribution des fonds retranchés à d’autres initiatives a été approuvée. Les dépenses réelles ont été inférieures aux dépenses prévues en 2008-2009 parce que les fonds destinés à la deuxième année n’ont été rendus accessibles qu’aux demandeurs ayant été jugés admissibles la première année.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme n'a été exécutée en 2008-2009. Une évaluation est prévue par le 31 mars 2010.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification du programme n'a été exécutée en 2008-2009. Une vérification est prévue par le 31 mars 2010.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Fonds pour l'avenir de la Canadian Cattlemen's Association (législatif)

Date de mise en oeuvre : 27 juin 2005

Date de clôture: 31 mars 2015

Description :
L'objectif du Fonds pour l'avenir est d'aider le secteur canadien du boeuf à développer des marchés pour les bovins de boucherie, le matériel génétique de bovins de boucherie, le boeuf et ses produits dans le contexte de l'après-ESB. La Canadian Cattlemen's Association recevra des subventions en totale de 50 millions de dollars en 10 ans au nom du secteur du boeuf.

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
L’industrie lutte pour gérer les effets persistants de l’ESB et pour regagner son avantage concurrentiel compte tenu de la rapide appréciation du dollar canadien, de l’augmentation du prix des aliments pour animaux et de la sous-utilisation de la capacité d’abattage. Malgré les difficultés rencontrées, le fonds spécial a permis au Centre d'information sur le bœuf, à la Canada Beef Export Federation et au Canadian Beef Breeds Council de lancer d’importants programmes de promotion des exportations axés sur les marchés clés du Canada, des États-Unis et de l’Asie. En 2008, les exportations de bœuf ont atteint une valeur de 1,35 milliard de dollars, en hausse de 1,24 milliard de dollars par rapport à 2007. En 2008, les ventes de matériel génétique de bovins à viande ont été de 26,65 millions de dollars par comparaison à 14,32 millions de dollars en 2007.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions 4,9 7,0 5,0 7,0 7,0 (2,0)
Total des contributions - - - - - -
Total du programme de paiements de transfert 4,9 7,0 5,0 7,0 7,0 (2,0)

Remarques sur les écarts :
En élaborant le profil des dépenses du Fonds spécial, nous avions estimé les dépenses annuelles en répartissant les fonds disponibles sur l'échéancier de dix ans en tranches annuelles égales. Toutefois, les fonds sont attribués selon les besoins exposés dans un plan d'activités annuel en fonction des priorités de trois groupes de mise en marché. À ce titre, les fonds nécessaires dans une année donnée varieront selon le programme de commercialisation mis au point cette année-là. Les défis inhérents à la tâche de prédire à quel moment un marché pourrait effectivement s'ouvrir aux importations de boeuf canadien rendent ces prévisions encore plus difficiles à établir.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Le contrat passé avec la CCA exige une évaluation à mi-parcours et une évaluation finale. Un examen par un tiers a été réalisé relativement à la subvention et aux résultats qu’elle a produits pour la période allant du 29 septembre 2005 au 30 juin 2008. L’examen a permis de déterminer que les objectifs de la subvention ont été atteints et que les fonds ont été administrés de manière efficiente et efficace conformément à l’accord de financement.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification du programme n'a été exécutée en 2008-2009 et aucune n’est prévue.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Initiative pour un investissement écoagricole dans les biocarburants (voté)

Date de mise en oeuvre : 29 mars 2007

Date de clôture: 31 mars 2011

Description :
L'Initiative pour un investissement écoagricole dans les biocarburants (écoABC) est une initiative fédérale quadriennale de 200 millions de dollars qui prévoit le versement de contributions remboursables pouvant atteindre 25 millions de dollars par projet pour la construction ou l'agrandissement d'installations de production de biocarburants et de transport de cette ressource renouvelable.

Résultat stratégique : Innovations propices à la croissance

Résultats obtenus :
Six ententes de contribution totalisant 44,5 millions de dollars ont été signées dans le cadre de l’Initiative pour un investissement écoagricole dans les biocarburants (IIEB). Les projets financés ont suscité un investissement total de 42 millions de dollars de la part de 502 producteurs agricoles qui élargissent ainsi leur base économique à l’extérieur de la ferme.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Innovation et Renouveau            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions - 0,6 75,0 18,1 17,4 57,6
Total du programme de paiements de transfert - 0,6 75,0 18,1 17,4 57,6

Remarques sur les écarts :
Les dépenses réelles ont été en-deçà des prévisions principalement en raison de la crise économique mondiale à ce moment-là, qui a eu un impact important sur l'investissement au Canada, surtout pour ce qui est d'accéder à du financement par emprunt et à du financement par actions pour les industries naissantes comme celle des biocarburants. Les entreprises ont éprouvées beaucoup de difficultés à trouver le financement nécessaire pour aller de l'avant avec la construction des installations de production projetées. Conséquemment, la participation à l'IIEB a été moindre étant donné que les fonds ne sont accordés qu'à condition que les projets soient entièrement financés avant que le gouvernement fédéral n'intervienne au plan financier.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme n'a été exécutée en 2008-2009. Une évaluation est prévue pour 2009-2010.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification du programme n'a été exécutée en 2008-2009. Une vérification est prévue pour 2011-2012.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme d'éradication du virus de la sharka du prunier (PEVS) (voté)

Date de mise en oeuvre : 19 avril 2004

Date de clôture: 31 mars 2011

Description :
Le PEVS permet le financement des activités visant à éradiquer le virus de la sharka dans la région du Niagara, au Canada, tout en assurant la viabilité de l’industrie des fruits tendres (pêches, prunes, abricots, nectarines). La plus grande partie du financement sert à l’enquête approfondie sur les vergers de fruits tendres, la recherche et l’aide financière offerte aux producteurs dont les vergers ont été touchés par le virus de la sharka. Le Programme comprend également un volet sur l’indemnisation de la perte d’actifs. Ce programme septennal (2004-2005 et 2010-2011) fait suite au programme triennal initial (2001-2002 à 2003-2004).

Le Programme est financé conjointement par Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC), l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) et le ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales de l’Ontario.

Site Web (ACIA)

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
L’exercice 2008-2009 était la cinquième année du Programme. On continue de surveiller la propagation du virus en échantillonnant les arbres dans les zones de quarantaine. On a abattu les arbres infectés et ceux se trouvant dans les zones infectées qui répondaient aux critères de seuil d'élimination. En 2008, le taux d’infection au virus de la sharka a chuté pour la troisième année consécutive. Il est passé de 0,00046 % en 2007 à 0,000173 % en 2008, ce qui représente une diminution considérable.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Gestion des risques de l'entreprise            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions - 6,9 8,6 8,6 8,6 -
Total du programme de paiements de transfert - 6,9 8,6 8,6 8,6 -
Activité de programme : Innovation et Renouveau            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions 5,5 - - - - -
Total du programme de paiements de transfert 5,5 - - - - -
Total du programme de paiements de transfert 5,5 6,9 8,6 8,6 8,6 -

Remarques sur les écarts :
S/O

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du PEVS n’a été entreprise en 2008-2009. À l’heure actuelle, on prévoit qu’il sera évalué en 2010-2011, conformément au plan d’évaluation stratégique quinquennal d’AAC (2009-2010 à 2013-2014), préparé par le Bureau de la vérification et de l’évaluation d’AAC.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification du PEVS n’a été effectuée en 2008-2009. Le Bureau de la vérification et de l’évaluation d’AAC effectue un exercice annuel d’évaluation des risques afin d’établir ses priorités en matière de vérification interne et étudie les risques relatifs au Programme. Ce dernier ne fait présentement pas partie du plan de vérification triennal axé sur les risques d’AAC pour 2009-2010 à 2011-2012.

Nota :
Le volet enquête et recherche qui bénéficie d'une affectation annuelle de 6,2 millions de dollars; et le volet aide financière qui dispose d'un budget annuelle de 2,4 millions de dollars. Cette affectation annuelle de 2,4 millions de dollars est retranchée des fonds alloués au programme Agri-relance / Programme d'aide en cas de catastrophe agricole (PACA).

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Contributions pour l'aide au secteur agricole et agroalimentaire - Renouveau (voté)

Date de mise en oeuvre : 1er avril 2003

Date de clôture: 31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)

Description :
Par ses programmes de renouveau, AAC vise à mettre à la disposition des producteurs les outils et les compétences dont ils ont besoin pour prendre des décisions commerciales éclairées. Les programmes de renouveau misent sur le concept de l'apprentissage continu et ils sont destinés à aider les producteurs à évaluer leur situation et à préparer leur avenir pendant les périodes de transition cruciales. Les programmes de renouveau aident les producteurs à obtenir de l'information, des conseils et de la formation et leur permet d'exploiter des possibilités de revenu agricole et non agricole

Résultat stratégique : Innovations propices à la croissance

Résultats obtenus :
Service canadien de développement des compétences en agriculture (SCDCA) – 697 demandes ont été reçues en 2008-2009.
En 2008-2009, plus de 2 384 producteurs dans l’ensemble du Canada ont fait une demande pour participer aux Services-conseils aux exploitations agricoles canadiennes (SCEAC) et au Programme de planification et d'évaluation pour les entreprises de produits à valeur ajoutée (PEEPVA) : 1 835 à l’Évaluation de l'exploitation agricole (EEA), 510 aux Services spécialisés de planification d'entreprise (SSPE) et 39 au PEEPVA.
Afin d’aider les producteurs à acquérir les compétences dont ils ont besoin pour s’adapter aux changements rapides qui ont lieu dans l’industrie, AAC continue de collaborer stratégiquement avec le secteur de l’agriculture et l’agroalimentaire en 2008-2009 dans le but de cerner les nouvelles compétences et les possibilités d’apprentissage nécessaires dans une économie axée sur le savoir.

Financement des organismes nationaux :
– le Conseil canadien de la gestion d'entreprise agricole (CCGEA) a élaboré et distribué de l’information et des outils perfectionnés sur la gestion agricole s’adressant aux agriculteurs expérimentés et débutants;
– le Conseil national des 4-H a élaboré un excellent répertoire de compétences et de connaissances pour les jeunes vivant dans les régions rurales, dont plusieurs feront partie de la prochaine génération d’agriculteurs canadiens;
– l’Association canadienne de sécurité agricole (ACSA) a amélioré la santé et la sécurité dans les entreprises agricoles du Canada;
– la Table ronde pancanadienne des jeunes agriculteurs a facilité l’échange d’information et de pratiques exemplaires agricoles parmi les jeunes agriculteurs (débutants);
– le Programme des jeunes agriculteurs d'élite du Canada a reconnu le travail des jeunes agriculteurs qui personnifie l’excellence dans leur profession.

Dans un sondage sur les impacts sur la clientèle effectué en 2007 auprès de 703 participants des programmes de renouveau, les résultats ont démontré que la participation à un programme était un tremplin vers le changement. Les répondants ont indiqué que les programmes ont amélioré la compréhension qu’ils avaient de leur entreprise, ont réduit leur stress, ont amélioré les communications avec les membres de la famille, les partenaires et les autres partenaires commerciaux, leur ont permis d’examiner leurs plans initiaux et de les modifier, ont eu une incidence directe sur leurs revenus et ont contribué à l’atteinte de leurs buts.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Innovation et Renouveau            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions 31,6 55,0 3,0 32,5 25,9 (22,9)
Total du programme de paiements de transfert 31,6 55,0 3,0 32,5 25,9 (22,9)

Remarques sur les écarts :
Les dépenses réelles étaient plus élevées que prévu étant donné que les dépenses prévues ne comprenaient que les montants approuvés pour le budget principal des dépenses 2008-2009. Un financement supplémentaire a été approuvé au cours de l’année.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Une évaluation des programmes de renouveau a été effectuée en 2008-2009, mais elle n’est pas encore terminée. Une évaluation du financement des organismes nationaux sera effectuée en 2009-2010.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Des vérifications de la conformité des bénéficiaires ont été entreprises en 2008-2009 pour la prestation du SCDCA dans le cadre de l’Accord de mise en œuvre Canada-Manitoba et l’Accord de mise en œuvre Canada-Ontario ainsi que du Programme d'éducation sur la gestion des risques dans le cadre de l’Accord de mise en œuvre et l’accord de contribution pour l’Institut de gestion agricole entre le Canada, l’Ontario et le Conseil l’adaptation agricole (CAA). On attend toujours les rapports finaux.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Aide au secteur agricole et agroalimentaire - Science et innovation (voté)

Date de mise en oeuvre : 1er avril 2003

Date de clôture: 31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)

Description :
Le programme de paiements de transfert du volet Science et innovation a pour objectif d'accélérer l'innovation dans le domaine de l'agriculture. La science et l'innovation constituent les pierres angulaires des initiatives destinées à faire du secteur de l'agriculture et de l'agroalimentaire canadien le chef de file dans les domaines de la salubrité des aliments, de l'innovation et de la production respectueuse de l'environnement, et à assurer sa réussite et sa prospérité pour l'avenir. Les progrès dans le domaine de la science et de la technologie en agroalimentaire accélèrent la mise au point de toute une gamme de nouveaux produits industriels liés à la santé et à l'alimentation et obtenus de plantes, d'animaux et de micro-organismes.

Résultat stratégique : Innovations propices à la croissance

Résultats obtenus :
Le Programme de courtage et le Programme d'innovation en agriculture ont pris fin le 31 mars 2009 sur une belle note : on a dépassé l’objectif visant à établir dix partenariats de collaboration.
En tout, 18 accords de contribution ont été conclus en 2008-2009 pour favoriser l’établissement de partenariats en agri-innovations.
Le volet sur le courtage a permis de financer 15 projets qui portaient sur l’établissement de 11 chaînes de valeur en matière d’innovation et l’élaboration de 14 stratégies.
Le volet sur l’innovation en agriculture a fait avancer quatre stratégies qui ont été élaborées grâce au volet sur le courtage.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Innovation et Renouveau            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions 54,0 73,5 6,9 10,8 9,2 (2,3)
Total du programme de paiements de transfert 54,0 73,5 6,9 10,8 9,2 (2,3)

Remarques sur les écarts :
L’écart entre les dépenses prévues et réelles est attribuable à une augmentation de 2,3 millions de dollars nécessaire pour des activités de projet supplémentaires (recrutement, équipement et rénovations dans le cadre du projet Vineland Connections, au Vineland Innovation Research Centre).

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme n'a été exécutée en 2008-2009. L'évaluation des volets du CSA exécutée en 2007-2008 englobait le programme Sciences et Innovation. Chaque bénéficiaire a présenté un rapport final, qui a été examiné avant le versement du dernier paiement.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Une vérification de la conformité a été effectuée pour un projet pendant l’exercice 2008-2009. L’examen de l’échantillon de factures et de demandes de remboursement n’a pas révélé d’écarts considérables au cours de la vérification de la conformité.

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Détails sur les programmes de paiements de transfert pour Agriculture et Agroalimentaire Canada

(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme de transition relatif aux vergers et vignobles (voté)

Date de mise en oeuvre : 25 octobre 2007

Date de clôture: 31 mars 2011

Description :
Le Programme financera l'élimination d'arbres et de vignes, toute première étape du repeuplement d'un verger et d'un vignoble, ou de la mise en terre d'autres cultures qui aideront les agriculteurs à rivaliser sur les marchés mondiaux en constante évolution. Il viendra aussi combler un des besoins du secteur en finançant des activités de planification stratégique qui élargiront ses connaissances et l'aideront à prendre des décisions. Il sera appliqué en Colombie-Britannique, en Ontario, au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse.

Résultat stratégique : Innovations propices à la croissance

Résultats obtenus :
Abattage d’arbres : environ 1 250 demandes ont été approuvées dans le but d’abattre une superficie d’environ 10 180 acres de vieux arbres fruitiers et de vignes dans les vergers et les vignobles de la Colombie-Britannique, de l’Ontario, du Québec, du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse.

Planification stratégique  : des propositions de plans stratégiques, équivalents à un montant de 1 736 500 $, ont été approuvées dans l’ensemble du Canada. À l’heure actuelle, les associations de l’industrie élaborent les projets approuvés portant sur des plans stratégiques.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Innovation et Renouveau            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions - 0,7 15,2 13,4 11,4 3,8
Total du programme de paiements de transfert - 0,7 15,2 13,4 11,4 3,8

Remarques sur les écarts :
Alors que la mise en œuvre du Programme a répondu à la demande prévue, ou l’a même excédée, dans la plupart des provinces (Colombie-Britannique, Ontario, Nouveau-Brunswick et Nouvelle-Écosse), la mise en application au Québec a été beaucoup plus faible que prévu. Cela explique la différence entre les dépenses prévues et réelles.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme n'a été exécutée en 2008-2009. Une évaluation sommative aura lieu pendant l'exercice 2010-2011.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
On déterminera quel bénéficiaire fera l'objet d'une vérification en fonction du plan de travail établi pour la vérification. Par ailleurs, c'est le Bureau de la vérification et de l'évaluation qui déterminera s'il est nécessaire de tenir une évaluation interne.

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(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Programme de transition pour les producteurs de tabac (PTPT) (voté)

Date de mise en oeuvre : 12 février 2009

Date de clôture: 31 mars 2010

Description :
Le Programme facilite la transition des détenteurs de contingent de l’Ontario pour le tabac jaune qui veulent quitter l’industrie.

Résultat stratégique : Innovations propices à la croissance

Résultats obtenus :
Le PTPT est maintenant terminé. La Commission ontarienne de commercialisation du tabac jaune (agent de mise en œuvre) a remplacé les mesures de contrôle de la production par un système de permis et 1 050 détenteurs de contingent ont fait une demande dans le cadre du Programme. Le coût total du PTPT était de 284 879 885 dollars, qui a permis de retirer 99,8 % du contingent (271 134 732 livres en contingent de production de base) et de couvrir les coûts administratifs encourus par l’agent de mise en œuvre. En date du 1er mai 2009, tous les paiements avaient été versés aux participants du PTPT.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Innovation et Renouveau            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions - - - 287,9 284,9 (284,9)
Total du programme de paiements de transfert - - - 287,9 284,9 (284,9)

Remarques sur les écarts :
Au moment de la rédaction du Rapport sur les plans et les priorités 2008-2009, l’approbation du Programme par le Conseil du Trésor n’avait pas encore été reçue et c’est la raison pour laquelle les dépenses prévues sont nulles.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme n'a été exécutée en 2008-2009. Une évaluation sommative aura lieu pendant l'exercice 2011-2012.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Une vérification de la mise en œuvre du PTPT a été effectuée en mars et en avril 2009 afin de s’assurer que l’agent de mise en œuvre avait mis en place tous les processus nécessaires pour l’exécution du Programme. La vérification de la mise en œuvre a révélé que l’agent de mise en œuvre a mis en place les processus nécessaires pour s’assurer que le Programme soit exécuté conformément aux lignes directrices et que l’objectif du Programme soit atteint. Des vérifications des bénéficiaires sont prévues pendant l'exercice 2009-2010. La nécessité d’une vérification interne sera déterminée par le Bureau de la vérification et de l'évaluation.

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Détails sur les programmes de paiements de transfert pour Agriculture et Agroalimentaire Canada

(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Contributions à l'appui du Canada rural et du développement du secteur des coopératives (voté)

Date de mise en oeuvre : 1er avril 2003

Date de clôture: 31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)

Description :
Les programmes ont pour objectif l'exécution de plans de développement rural et de création de coopératives.
Ils comportent les trois initiatives suivantes:
- Le renouvellement et le renforcement du Partenariat rural canadien, qui comprend le Programme de paiements de transfert. Modèles de développement rural et
l'Initiative de partenariats (auparavant l'initiative de réseautage); ce programme et cette initiative mettent l'accent sur le développement rural et la formation de partenariats;
- Le Programme de renforcement des capacités des collectivités rurales, qui met surtout l'accent sur les outils, les services, les connaissances et les processus;
- Initiative de développement coopératif (IDC) (12,4 millions de dollars entre 2003-2004 et 2007-2008). En 2006, un financement supplémentaire a été fourni à
l’IDC afin de soutenir les projets de développement coopératif visant à permettre aux agriculteurs de saisir des occasions en matière de nouveaux
biocarburants et d’autres possibilités à valeur ajoutée - Financement de l’IDC Agriculture (S et C) : 3,75 millions de dollars entre 2006-2007 et 2008-2009.

Résultat stratégique : Innovations propices à la croissance

Résultats obtenus :
Développement rural
Le financement (226 000 $) a été fourni afin de terminer les projets dans le cadre du Programme de modèles. Un total de 50 projets ont été financés dans le cadre du Programme de développement des partenariats ruraux, pour une valeur totale de 1,575 million de dollars. Les rapports finaux associés aux projets doivent être envoyés d’ici le 30 juin 2009. Les projets de partenariats ont permis de rassembler en moyenne six partenaires par projet.
Contributions totales pour le développement rural : 1,8 million de dollars.

Développement coopératif
Dans le cadre de l’IDC, 35 projets financés ont été entrepris et terminés.
On gère de façon courante deux accords de contribution existants, pour les Services-conseils de l’IDC et l’IDC Agriculture.
Dans le cadre de l’IDC Agriculture, 45 coopératives agricoles à valeur ajoutée ont été financées.
Contributions totales pour le développement coopératif : 4,5 millions de dollars.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Secrétariat rural et Secrétariat aux coopératives            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions 9,1 10,6 5,9 7,4 6,3 (0,4)
Total du programme de paiements de transfert 9,1 10,6 5,9 7,4 6,3 (0,4)

Remarques sur les écarts :
Les dépenses prévues comprennent seulement les montants approuvés au moment de la rédaction du Rapport sur les plans et les priorités 2008-2009. Un financement supplémentaire a été approuvé au cours de l’année pour le Programme.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
En octobre 2008, le Bureau de la vérification et de l’évaluation a terminé l’évaluation du Partenariat rural canadien (PRC). Cette évaluation était basée sur un nouvel outil d’optimisation des ressources créé par le Secrétariat du Conseil du Trésor.

Les principales conclusions étaient les suivantes :

  • le PRC a révélé une bonne optimisation des ressources en termes de pertinence et de rendement du Programme;
  • le PRC est pertinent et cohérent avec la priorité du gouvernement visant à renforcer les communautés.
  • IDC
    PRC

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification du programme n'a été exécutée en 2008-2009.

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Détails sur les programmes de paiements de transfert pour Agriculture et Agroalimentaire Canada

(millions $)

Nom du programme de paiements de transfert : Aide au secteur agricole et agroalimentaire - International (Programme international du Canada pour l'agriculture et l'alimentation - PICAA) (voté)

Date de mise en oeuvre : 1er avril 2003

Date de clôture: 31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)

Description :
Le PICAA vise à aider le secteur à obtenir et à accroître la reconnaissance des produits du Canada à l'échelle internationale et à augmenter les débouchés pour les produits agroalimentaires canadiens sur les marchés. Ce programme est une version améliorée du programme Commerce agroalimentaire (PCA), qu'il remplace.

Résultat stratégique : Sécurité du système alimentaire

Résultats obtenus :
En 2008-2009, dans le cadre du PICAA, on a continué de financer les activités de l’industrie visant à améliorer le développement des marchés internationaux et faire reconnaître le Canada à titre de chef de file dans le domaine des produits agricoles, de boissons et de fruits de mer de grande qualité, salubres et innovateurs. Le Programme permet de financer 49 associations de l’industrie – plus de 22,8 millions de dollars pour financer les activités de l’industrie, soit 17,5 millions de dollars pour des stratégies internationales à long terme et 5,3 millions de dollars pour les projets.

En 2008-2009, les résultats obtenus comprenaient notamment :
L’Alliance de l'industrie canadienne de l'aquiculture (AICA) a rédigé une brochure, intitulées « Top 10 Things Consumers Don’t Know About Aquaculture », pour montrer la façon dont l’industrie de la Colombie-Britannique met l’accent sur les questions environnementales, comme la durabilité et la protection du saumon sauvage. Pour s’assurer que la brochure était bien perçue par les publics ciblés, on a formé des groupes de consultation afin d’élaborer et de peaufiner le document et le message général. La brochure a été postée aux acheteurs, aux distributeurs, aux décideurs et aux délégués commerciaux oeuvrant dans les marchés clés des États-Unis pour le saumon élevé en Colombie-Britannique. La brochure a également été distribuée pendant le San Francisco Fancy Food Show, qui a eu lieu en janvier 2009.

L’Association canadienne du bison a fait paraître une publicité dans le numéro de l’automne 2007 de Flavourful, un magazine qui présente des aliments canadiens destinés aux tables internationales. Un total de 7 000 copies du magazine ont été imprimées (selon les exigences linguistiques) et distribuées dans les ambassades canadiennes et aux membres des missions commerciales. Des copies ont été imprimées en anglais et en français, en anglais et en espagnol, en anglais et en japonais ainsi qu’en anglais et en mandarin. En tout, 1 000 copies ont été distribuées aux associations d’accueil, de restauration et d’hébergement. D’autres copies ont été envoyées aux chroniqueurs de rubriques alimentaires. De plus, en réponse aux demandes de renseignements au sujet du bison, des copies du magazine ont été utilisées par des spécialistes du marketing et l’Association afin de promouvoir les produits du bison.

Le PICAA a aussi pour but d’augmenter la reconnaissance à l’échelle internationale des capacités du Canada à titre d’exportateur net de produits agricoles, d’agroalimentaire et de fruits de mer. À cet égard, le Programme finance de nombreuses missions d’accueil de délégations internationales qui veulent tout d’abord en apprendre davantage sur les capacités supérieures de l’industrie canadienne.

  2006-2007 2007-2008 2008-2009
  Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme : Marché et International            
Total des subventions - - - - - -
Total des contributions 22,1 17,9 24,8 22,8 22,3 2,5
Total du programme de paiements de transfert 22,1 17,9 24,8 22,8 22,3 2,5

Remarques sur les écarts :
Les dépenses réelles étaient moins élevées que les dépenses prévues en raison du fait que certaines n’ont pas été en mesure de dépenser tout le montant qui leur avait été alloué. Comme tous les bénéficiaires au titre du Programme sont des associations qui effectuent des activités dans les marchés étrangers et en raison du ralentissement économique mondial, certaines associations n’ont pas pu entreprendre ou terminer toutes leurs activités.

Résultats d'évaluation importants et adresse électronique des dernières évaluations :
Aucune évaluation du programme n'a été exécutée en 2008-2009.

Résultats de vérification importants et adresse électronique des dernières vérifications :
Aucune vérification du programme n'a été exécutée en 2008-2009.



Paiements initiaux de financement pluriannuel


Nom du récipiendaire : Institut canadien des politiques agroalimentaires (ICPA)

Date de mise en œuvre : 14 décembre 2006

Date cloture : 31 mars 2022

Total des fonds : 15,0 M$

Description :
Encourager la recherche indépendante sur les politiques au bénéfice du secteur agricole canadien. La subvention conditionnelle versée à l'ICPA lui permettra d'établir un dialogue permanent, ouvert à tous et axé sur l'avenir concernant l'agriculture au Canada et fournira une tribune stable et soutenue permettant de débattre des enjeux importants pour l'industrie.

Activité de programme : Sécurité du système alimentaire

Résumé des résultats obtenus par le bénéficiaire :

L'ICPA a présenté son plan d'affaires et de recherche pour 2008-2009, mais le rapport annuel contenant l'information sur les résultats pour ces plans doit être déposé au plus tard le 31 juillet 2009 selon l'entente.

Résultats de 2007-2008

L'ICPA a entrepris de grands nouveaux projets portant sur nos trois domaines thématiques clés: la santé, la durabilité et la compétitivité.

  1. Mise sur pied d'une équipe de projet composé d'experts en vue de faire de la recherche sur des exemples d'initiatives intégrant les aliments et la santé dans le monde. L'équipe a publié ses résultats dans un rapport intitulé « Un terrain d'entente: des aliments pour une population en santé et un secteur agroalimentaire fort ».
  2. Établissement d'un projet visant à encourager la renaissance des économies rurales au Canada, tant dans le secteur agroalimentaire que dans d'autres domaines. Le projet s'appelait « La croissance des économies rurales du Canada ».
  3. Lancement d'un projet sur le rendement financier des exploitations agricoles au Canada. L'objectif du projet sur le revenu agricole était de déterminer les mesures du rendement que le gouvernement devrait mettre au point et publier de façon périodique en vue de servir d'indicateur de la situation financière relative des exploitants.
  2006-2007 2007-2008 2008-2009
(en millions de $) Dépenses
réelles
Dépenses
réelles
Dépenses
prévues
Autorisations Dépenses
réelles
Écart entre les dépenses réelles et prévues
Activité de programme :
Gestion des risques de l'entreprise
15,0 0,0 0,0 0,0 0,0 -

Remarques sur les écarts:

L'entente de l'ICPA a été conclue le 31 mars 2007 et le montant total a été versé au client durant l'exercice 2006-2007 sous la forme d'un fonds dont un montant d'un million de dollars sera retiré chaque année pendant 15 ans jusqu'au 31 mars 2022. Le plan d'affaires et de recherche de l'ICPA pour 2009-2010 sera déposé au plus tard à la fin juin 2009.

Résultats importants de l'évaluation et adresse URL de la dernière évaluation:

On procédera à une évaluation du rendement en 2010.

Résultat importants de la vérification et adresse URL de la dernière vérification:

La vérification annuelle pour l'exercice se terminant le 31 mars 2008 a été reçue le 31 juillet 2008, elle a été examinée par les spécialistes du Ministère qui ont formulé des commentaires à l'intention de l'ICPA.

Adresse URL du site Web du récipiendaire

Adresse URL du rapport annuel du récipiendaire:
Le Rapport annuel de 2007-2008
Le Rapport annuel de 2008-2009 est dû le 31 juillet 2009.



Initiatives horizontales

Agri-protection (AP)
Agri-investissement
Agri-relance - Programme d’aide aux agriculteurs en cas de catastrophe (PAAC
Agri-stabilité
Service canadien de développement des compétences en agriculture (SCDCA)
Protocole d’entente (PE) avec l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) au sujet de la reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments
Secrétariat aux coopératives (Initiative de développement coopératif)
Protocole d’entente (PE) entre AAC et le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI) sur les affectations de spécialiste de l’agroalimentaire à l’étranger
Services-conseils aux exploitations agricoles
Développement rural

Titre de l'initiative horizontale : Agri-protection (AP)

Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)

Activité de programme du ministère responsable : Gestion des risques de l'entreprise (GRE)

Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2008

Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2012

Total des fonds fédéraux affectés (de la date de mise en oeuvre à l'échéance) : 1,6 G$

Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) : Le programme Agri-protection comprend l’assurance production qui vise à réduire les répercussions financières des pertes de production causées par les catastrophes naturelles.

Résultats communs

Élargir la protection contre les pertes de production à une plus grande gamme de produits agricoles afin de réduire davantage le recours à des indemnités ponctuelles.

Structure de gouvernance

Agri-protection est un programme provincial-territorial auquel le gouvernement fédéral contribue financièrement dans le cadre de l’Accord de mise en œuvre fédéral-provincial-territorial Cultivons l’avenir. La structure de gouvernance comporte diverses normes nationales, énoncées dans la réglementation fédérale sur l’assurance-production, ainsi que des comités fédéraux-provinciaux-territoriaux (groupes de travail sur l’assurance-production et sur la gestion des risques de l’entreprise et Comité des sous-ministres adjoints, Politiques).

Partenaires fédéraux Activité de programme des partenaires fédéraux Nom des programmes des partenaires fédéraux Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) Dépenses prévues  2008-2009 Dépenses réelles
2008-2009
Résultats prévus
2008-2009
Résultats obtenus en
2008-2009
AAC GRE Agri-protection 1,6 G$

2008-2009 à
2011-2012

388,7 M$ 549,9 M$ Nombre accru de nouveaux programmes et de nouvelles options offerts aux agriculteurs, y compris de nouveaux régimes pour les secteurs de l’horticulture et de l’élevage. Participation accrue des producteurs dans les provinces et les territoires qui ont modifié les régimes en vigueur et qui mettent en œuvre de nouveaux régimes et offrent de nouvelles options. On compte 13 nouveaux programmes; les producteurs ont accès à 19 options supplémentaires.

La couverture totale a augmenté de 2,2 G$ et la superficie assurée de 3,4 M dans les provinces qui ont modifié les régimes en vigueur et qui mettent en œuvre de nouveaux régimes et de nouvelles options.

  Total
1,6 G$
Total
388,7 M$
Total
549,9 M$
   
Note : Les dépenses prévues représentent les montants inscrits dans le budget principal des dépenses. Elles ne comprennent aucun montant supplémentaire susceptible d'être ajouté aux niveaux de référence du Ministère.

Commentaires sur les écarts :

L’augmentation des paiements de subvention et de contribution découle des hausses marquées des primes attribuables à la hausse du prix des grains, ce qui se reflète dans les valeurs assurables.

Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :

La planification et le développement sont effectués en collaboration avec les provinces. Par conséquent, les résultats prévus sont les mêmes, mais les résultats obtenus varieront selon la province.

Personne-ressource :

Sheldon Friesen
Directeur intérimaire
Division de l'assurance-production et de la gestion des risques
Direction générale des programmes financiers pour l'agriculture
613-773-2098

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Titre de l'initiative horizontale : Agri-investissement (programme législatif)

Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)

Activité de programme du ministère responsable : Gestion des risques de l'entreprise (GRE)

Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale :

Les provinces ont signé les accords le 6 décembre 2007 en vue de mettre en œuvre l'initiative pour l'année de programme 2007.

Date de clôture de l'initiative horizontale :

Agri-investissement est un programme législatif et permanent, toutefois, les pouvoirs découlant des politiques et des programmes actuels expireront le 31 mars 2012.

Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à l'échéance) :

Comme il s'agit d'un programme législatif et axé sur la demande, on ne peut qu'estimer le coût total du programme. Selon les prévisions actuelles, le coût du programme s’élèvera à 847,1 M$ sur cinq ans (2007-2008 à 2011-2012).

Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :

Agri-investissement permettra aux producteurs de gérer eux-mêmes, au moyen d’un compte d’épargne producteur-gouvernement, l’aide financière qui couvrira la première tranche de 15 p. 100 de la baisse de la marge pour une année de production donnée, ou de faire des investissements afin de réduire les risques à la ferme ou d’augmenter les revenus agricoles. Dans le cadre du programme, les dépôts annuels des producteurs peuvent atteindre 1,5 p. 100 de leurs ventes nettes ajustées auxquels s’ajoutent les fonds de contrepartie du gouvernement. Les dépôts du gouvernement font l’objet d’un partage des coûts entre le gouvernement fédéral et les provinces à raison d’un ratio 60:40. Agri-stabilité et Agri-investissement remplacent le Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA). Le programme Agri-investissement couvre les baisses légères de revenu, tandis qu'Agri-stabilité aide les producteurs à gérer les pertes plus importantes.

Agri-investissement offre aux producteurs une source de soutien du revenu sécuritaire, accessible, prévisible et qui se prête au concours bancaire, afin qu’ils puissent composer avec des baisses légères du revenu agricole et qu’ils soient en mesure de gérer les risques à la ferme.

Fondement législatif du programme : Article 4 de la Loi sur la protection du revenu agricole (LPRA); « Cultivons l'avenir : Accord-cadre fédéral-provincial-territorial sur une politique agricole, agroalimentaire et des produits agro-industriels »; « Accord fédéral-provincial-territorial relatif aux programmes Agri-stabilité et Agri-investissement ».

Le programme est associé au nouveau résultat stratégique du Ministère pour 2009-2010 « Un secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de produits agro-industriels compétitif qui gère les risques de façon proactive » et au résultat du gouvernement du Canada « Une croissance économique forte ».

Site Web fédéral du programme Agri-investissement
Agri-investissement au Québec (La Financière agricole du Québec)

Résultats partagés :

Atténuer les répercussions liées à des pertes de revenu légères en offrant un montant prévisible en temps opportun.

Structure de gouvernance :

Le programme Agri-investissement s’inscrit dans le cadre de politique agricole global de Cultivons l’avenir élaboré par les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux de l’Agriculture. Il se rattache à la priorité de la GRE. Les coûts du programme, y compris les paiements de programme et les frais administratifs, sont partagés entre le gouvernement fédéral et les provinces à raison d'un ratio 60:40.

Le gouvernement fédéral se charge de la prestation du programme Agri-investissement en Alberta, en Colombie-Britannique, en Saskatchewan, au Manitoba, en Ontario, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador, à l’Île-du-Prince-Édouard et au Yukon. Les gouvernements collaborent actuellement avec des institutions financières afin de mettre en place l’infrastructure qui leur permettra d’ouvrir des comptes Agri-investissement. Au Québec, le programme Agri-investissement est offert à l’échelle provinciale par La Financière agricole du Québec.

Comme dans le cas des autres programmes de GRE, la structure de gouvernance comprend un certain nombre de groupes de travail et de comités, notamment le Groupe de travail fédéral-provincial-territorial (FPT) sur la GRE, le Groupe de travail des administrateurs FPT et le Comité consultatif national sur les programmes (CCNP) auquel participent des responsables FPT et des représentants de l'industrie. Ces groupes sont chargés d'examiner les questions relatives aux politiques et aux programmes de GRE et, selon la demande, d'élaborer des options qui seront présentées à la haute direction, y compris aux sous-ministres adjoints (SMA), sous-ministres et ministres FPT. Le CCNP offre des conseils par l'intermédiaire des SMA FPT.

Partenaires fédéraux Activité de programme des partenaires fédéraux Nom des programmes des partenaires fédéraux Affectation totale (de la mise en oeuvre à la clôture) Dépenses prévues 2008-2009 Dépenses réelles
2008-2009
Résultats
prévus
2008-2009
Résultats
obtenus en
2008-2009
AAC GRE Agri-investissement 847,1 M$
(pour les exercices 2007-2008 à
2011-2012)
170,5 M$ 197,4 M$ Réduire les pertes de revenu des producteurs en favorisant la participation aux programmes de GRE Au 31 mars 2009, environ 525 M$ ont été offerts aux producteurs afin d’activer leurs comptes Agri-investissement par le truchement de l’initiative de démarrage fédérale. À ce jour, quelque 291 M$ ont été retirés et 234 M$ sont restés dans les comptes. Les producteurs pourront y avoir accès au besoin afin de composer avec des pertes légères de revenu et d’investir dans leurs activités agricoles.

Le 31 mars 2009, les administrateurs fédéraux du programme ont commencé à envoyer des lettres pour aviser les participants des prestations versées dans le cadre du programme Agri-investissement 2007, du solde total de leurs comptes et des modalités d’accès aux fonds de leurs comptes.

Le travail se poursuit en vue de la mise en œuvre complète du programme Agri­investissement. Le gouvernement versera alors des contributions égales aux dépôts des producteurs et les fonds seront détenus par les institutions financières pour l’année de programme 2009.

  Total 847,1 M$ (voir note) Total 170,5 M$
(voir note)
Total 197,4 M$    

Note :

Les dépenses prévues représentent les montants inscrits dans le budget principal des dépenses. Les dépenses tiennent compte de tous les coûts engagés par le Ministère (salaires, fonctionnement, paiements de transfert). Voir également les initiatives horizontales connexes sur Agri­stabilité, Agri­protection et Agri­relance.

Commentaires sur les écarts :

Agri-investissement est axé sur la demande au lieu d’être financé à même une enveloppe établie pour chaque exercice financier. Bien que les frais administratifs demeurent relativement constants, l’écart des paiements de subvention et de contribution d’une année à l’autre est directement lié à la participation et aux prix des produits, puisque les dépôts des producteurs et les contributions gouvernementales sont calculés en fonction d’un pourcentage du revenu généré par la vente des produits durant une année de production.

L’écart entre les dépenses prévues et réelles pour l’exercice 2008-2009 peut être attribué en grande partie à une augmentation de la valeur des céréales et des oléagineux durant l’année de production 2007, qui s’est traduite par une hausse plus élevée que prévu des ventes nettes ajustées.

Un cadre de mesure du rendement est en place pour la nouvelle série de programmes de GRE et il comprend des indicateurs et des cibles de rendement. Les gouvernements fédéral et provinciaux s'affairent à réunir les renseignements nécessaires pour préparer les rapports et devraient être en mesure de rendre compte du rendement de la nouvelle série de programmes au début de 2010.

Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :

Coordination de la surveillance et de la prestation du programme avec le gouvernement fédéral pour faire en sorte que le programme soit exécuté de façon uniforme dans toutes les provinces et que les objectifs et les exigences en matière de rapports soient respectés.

Personne-ressource :

Danny Foster
Directeur général
Développement des programmes de GRE
613-773-2100


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Titre de l'initiative horizontale : Agri-relance - Programme d’aide aux agriculteurs en cas de catastrophe (PAAC)

Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)

Activité de programme du ministère responsable : Gestion des risques de l'entreprise (GRE)

Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale :

Le 6 décembre 2007, les pouvoirs nécessaires ont été obtenus pour mettre en œuvre le PAAC, en vertu du cadre d’aide en cas de catastrophe du programme Agri-relance, à compter de l’exercice 2007-2008.

Date de clôture de l'initiative horizontale :

Les autorisations pour le PAAC expireront le 31 mars 2011.

Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l'échéance) :

Les autorisations de programme prévoient 440,7 M$ sur quatre ans (de 2007-2008 à 2010-2011). Ces fonds proviennent du financement supplémentaire de 500 M$ par année pour l’agriculture annoncé dans le budget fédéral 2006.

Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :

Agri-relance permet aux gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux de fournir une aide ponctuelle à court terme afin que les producteurs puissent retrouver rapidement leur niveau de revenu et soient en mesure d’endiguer les répercussions à long terme d’une catastrophe de petite ou moyenne envergure (maladies, ravageurs, conditions climatiques). Les programmes offerts dans le cadre d’Agri-relance sont élaborés au cas par cas quand une évaluation de la situation permet de conclure que des mesures d’aide sont nécessaires pour combler les lacunes des programmes existants, comme Agri-investissement, Agri-stabilité et Agri-protection.

Le PAAC d’Agri-relance aide à concentrer les efforts de coordination en offrant des programmes accélérés dotés d’un budget pouvant atteindre 20 M$ (jusqu’à 122,6 M$ par exercice) de façon à financer rapidement des initiatives d’Agri-relance. Des programmes non admissibles aux termes du PAAC peuvent quand même avoir recours au cadre d’Agri-relance à condition d’en demander l’autorisation au Conseil du Trésor.

Fondement législatif du programme : Paragraphe 12(5) de la Loi sur la protection du revenu agricole (LPRA) et différents accords pour chaque programme élaboré dans le cadre d’Agri-relance. Le programme est associé au résultat stratégique de l’architecture des activités de programme de 2008-2009 « Sécurité du système alimentaire » (et au nouveau résultat stratégique du Ministère pour 2009-2010 « Un secteur de l’agriculture, de l’agroalimentaire et des produits agro-industriels compétitif qui gère les risques de manière proactive ») et au résultat du gouvernement du Canada « croissance économique forte ».

Site Web fédéral du programme Agri-relance

Résultats partagés :

Réduire les répercussions économiques des catastrophes naturelles sur les producteurs grâce à des mesures d’aide ponctuelles qui ne sont pas offertes par d’autres programmes.

Structures de gouvernance :

Le cadre d’Agri-relance, y compris le PAAC, s’inscrit dans le cadre de politique globale Cultivons l’avenir élaborée par les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux de l’Agriculture. Il se rattache à la priorité de la gestion des risques de l’entreprise. Dans le cadre du PAAC, les coûts du programme, y compris les paiements de programme et les frais administratifs, devraient faire l’objet d’un partage des coûts entre le gouvernement fédéral et les provinces à raison d’un ratio 60:40. Pour les programmes d’Agri-relance qui ne font pas partie du PAAC, des options de financement seront négociées avec les provinces au cas par cas.

Comme dans le cas des autres programmes de GRE, la structure de gouvernance comprend un certain nombre de groupes de travail et de comités, notamment le Groupe de travail fédéral-provincial-territorial (FPT) sur la GRE, le Groupe de travail des administrateurs FPT et le Comité consultatif national sur les programmes (CCNP) auquel participent des responsables FPT et des représentants de l'industrie. Ces groupes sont chargés d'examiner les questions relatives aux politiques et aux programmes de GRE et, selon la demande, d'élaborer des options qui seront présentées à la haute direction, y compris aux sous-ministres adjoints (SMA), sous-ministres et ministres FPT. Le CCNP offre des conseils par l'intermédiaire des SMA FPT.

Les groupes de travail FPT sont une particularité d’Agri-relance et du PAAC. Ils sont formés, au besoin, pour analyser une catastrophe et ses répercussions, et s’il y a lieu, élaborer des options pour un programme d’aide en cas de catastrophe, qui seront présentées aux ministres FPT participants.

Partenaires fédéraux Activités de programme des partenaires fédéraux Noms des programmes des partenaires fédéraux Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) Dépenses
prévues
2008-2009
Dépenses
réelles
2008-2009
Résultats
prévus
2008-2009
Résultats
obtenus en
2008-2009
AAC GRE Agri-relance (y compris le PAAC) 440,7 M$ (72,9 M$ pour l’exercice 2007-2008 et 122,6 M$ par année de 2008-2009 à 2010-2011) 122,6 M$ 56,3 M$ (voir les commentaires sur les écarts) Réduire les pertes de revenu des producteurs en favorisant la participation aux programmes de GRE Le PAAC offre la souplesse nécessaire pour fournir des mesures d’aide ponctuelles qui minimiseront/limiteront les répercussions des catastrophes sur les producteurs agricoles, qui tiendront compte des coûts et des pertes propres à une catastrophe et qui ne sont pas couverts par d’autres programmes gouvernementaux, et qui aideront les exploitations agricoles à relancer leurs activités plus rapidement.

Au cours de l’exercice 2008-2009, les gouvernements fédéral et provinciaux ont utilisé Agri-relance à six occasions, notamment dans le cas de l’infestation de Duponchelia en Ontario, du nématode doré en Alberta, de la tuberculose bovine en Colombie-Britannique, de la sécheresse dans des certaines zones de la Saskatchewan et du Manitoba, et des inondations au Manitoba et à
l’Île-du-Prince-Édouard.

  Total
440,7 M$ (voir notes 1 et 2)
Total
122,6 M$
Total
56,3 M$
(voir les commentaires sur les écarts)
   

Notes :

  • Les dépenses prévues représentent les montants inscrits dans le budget principal des dépenses et la présentation au Conseil du Trésor approuvée. Voir également les initiatives horizontales connexes sur Agri-protection, Agri-stabilité et Agri-investissement.
  • Le financement d’Agri-relance est garanti de 2007-2008 à 2011-2012, cependant, les pouvoirs pour le PAAC (programme qui peut utiliser les fonds d’Agri-relance) expirent le 31 mars 2011.
  • Le Programme d’éradication de la sharka comprend deux volets. Un volet enquête et recherche doté d’une enveloppe annuelle de 6,2 M$ et un volet aide financière doté d’une enveloppe annuelle de 2,4 M$. L’affectation annuelle de 2,4 M$ provient des fonds disponibles pour le cadre Agri-relance. Ce montant est déclaré comme faisant partie des coûts du programme et n’est pas inclus dans les totaux ci-dessus.

Commentaires sur les écarts :

Les dépenses réelles pour 2008-2009 comprennent les dépenses totales pour les programmes qui ont pris fin (Duponchelia, pommes de terre en Alberta et tuberculose bovine) et le financement complet des programmes dont les fonds non dépensés ont été versés dans les comptes créditeurs à la fin de l’exercice (CAFE) (programme manitobain d’aide à l’affouragement, rétablissement des superficies consacrées aux fourrages et programme d’aide pour l’alimentation du bétail du Manitoba, programme d’aide aux producteurs de pommes de terre de l’Île-du-Prince-Édouard, programme de lutte contre la sécheresse en Saskatchewan). Les dépenses réelles de tous les programmes à ce jour sont estimées à 19,2 M$, le reste étant dans les comptes CAFE. Les dépenses réelles correspondent à environ la moitié des dépenses prévues. Cette situation est attribuable à la nature imprévisible des événements et à l’ampleur des catastrophes agricoles.

Un cadre de mesure du rendement est en place pour la nouvelle série de programmes de GRE et il comprend des indicateurs et des cibles de rendement. Les gouvernements fédéral et provinciaux s'affairent à réunir les renseignements nécessaires pour préparer les rapports, et ils devraient être en mesure de rendre compte du rendement de la nouvelle série de programmes au début de 2010.

Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :

On entreprendra la planification et l’exécution conjointes (à l’échelle fédérale et provinciale) afin que les résultats provinciaux soient uniformes.

Personne-ressource :

Danny Foster
Directeur général
Développement des programmes de GRE
613-773-2100


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Titre de l'initiative horizontale : Agri-stabilité (programme législatif)

Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)

Activité de programme du ministère responsable : Gestion des risques de l’entreprise (GRE)

Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale :

Les provinces ont signé les accords le 19 décembre 2007 en vue de mettre en œuvre l’initiative pour l’année de programme 2007.

Date de clôture de l'initiative horizontale :

Agri-stabilité est un programme législatif et permanent, toutefois, les pouvoirs découlant des politiques et des programmes actuels expireront le 31 mars 2012.

Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) :

Comme il s’agit d’un programme législatif et axé sur la demande, on ne peut qu’estimer le coût total du programme. Selon les prévisions actuelles, le coût du programme s’élèvera à 3 189 M$ sur cinq ans (2007-2008 à 2011-2012).

Pour l’exercice 2007-2008, 607,5 M$ de financement provient du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) qui précédait Agri-stabilité.

Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :

Le programme Agri-stabilité est un des quatre principaux piliers composant l'ensemble de programmes de Gestion des risques de l’entreprise dans le cadre de Cultivons l’avenir.

Agri-stabilité est un programme fondé sur la marge qui offre un soutien financier au producteur qui subit des pertes de revenu importantes, soit des baisses de marge (revenu agricole admissible moins dépenses agricoles admissibles) pour l’année de programme de plus de 15 p. 100 par rapport à la marge moyenne des années précédentes (marge de référence). Le producteur reçoit un paiement dans le cadre du programme lorsque la marge d’une année de programme donnée est inférieure à 85 p. 100 de sa marge de référence. Agri-stabilité comprend également la couverture des marges négatives ainsi que des mécanismes permettant d’avancer à un participant une partie du paiement attendu durant l’année lorsqu’une baisse importante du revenu est prévue (paiements provisoires et avances ciblées). Agri-stabilité et Agri-investissement remplacent le PCSRA. Le programme Agri-investissement couvre les baisses légères de revenu, tandis qu’Agri-stabilité aide les producteurs à gérer les pertes plus importantes.

Fondement législatif du programme : Article 4 de la Loi sur la protection du revenu agricole (LPRA); « Cultivons l’avenir : Accord cadre fédéral provincial territorial sur une politique agricole, agroalimentaire et des produits agro-industriels »; « Accord-fédéral-provincial-territorial relatif aux programmes Agri-stabilité et Agri-investissement ».

Le programme est associé au résultat stratégique de l’architecture des activités de programme de 2008-2009 « Sécurité du système alimentaire » (et au nouveau résultat stratégique du Ministère pour 2009-2010 « Un secteur de l’agriculture, de l'agroalimentaire et de produits agro-industriels compétitif qui gère les risques de façon proactive ») et au résultat du gouvernement du Canada « Une croissance économique forte ».

Site Web fédéral du programme Agri-stabilité
Agri-stabilité en Alberta - Agriculture Financial Services Corporation (AFSC)
Agri-stabilité en Ontario (Agricorp)
Agri-stabilité au Québec (La Financière agricole du Québec)
Agri-stabilité à l'Île-du-Prince-Édouard (PEI Agricultural Insurance Corporation)

Résultats partagés :

Atténuer les répercussions liées à des pertes de revenu importantes grâce à une protection de la marge.

Structure de gouvernance :

Le programme Agri-stabilité s’inscrit dans le cadre de politique agricole global de Cultivons l’avenir élaboré par les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux de l’Agriculture. Il se rattache à la priorité de la GRE. Les coûts du programme, y compris les paiements de programme et les frais administratifs, sont partagés entre le gouvernement fédéral et les provinces à raison d’un ratio 60:40.

Actuellement, le gouvernement fédéral se charge de la prestation du programme Agri-stabilité en Colombie-Britannique, en Saskatchewan, au Manitoba, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador et au Yukon. En Alberta, en Ontario, au Québec et à l’Île-du-Prince-Édouard, le programme Agri-stabilité est offert par la province.

Comme dans le cas des autres programmes de GRE, la structure de gouvernance comprend un certain nombre de groupes de travail et de comités, notamment le Groupe de travail fédéral-provincial-territorial (FPT) sur la GRE, le Groupe de travail des administrateurs FPT et le Comité consultatif national sur les programmes (CCNP) auquel participent des responsables FPT et des représentants de l’industrie. Ces groupes sont chargés d’examiner les questions relatives aux politiques et aux programmes de GRE et, selon la demande, d’élaborer des options qui seront présentées à la haute direction, y compris aux sous-ministres adjoints (SMA), sous-ministres et ministres FPT. Le CCNP offre des conseils par l’intermédiaire des SMA FPT.

Partenaires fédéraux Activités de programme des partenaires fédéraux Noms des programmes des partenaires fédéraux Affectation totale (de la mise en oeuvre à la clôture) Dépenses
prévues
2008-2009
Dépenses
réelles
2008-2009
Résultats
prévus
2008-2009
Résultats
obtenus en
2008-2009
AAC GRE Agri-stabilité 3 189 M$ pour les exercices 2007-2008 à 2011-2012 (607,5 M$ renvoie à l'exercice 2007-2008 pour le PCSRA, qui précède Agri-stabilité) 699,3 M$ 377,0 M$ Réduire les pertes de revenu des producteurs en favorisant la participation aux programmes de GRE Les paiements versés dans le cadre d’Agri-stabilité sont calculés en fonction des renseignements fiscaux de l’année de programme. Pour la première année d’Agri-stabilité (année de programme 2007), la plupart des paiements ont été traités durant l’exercice 2008-2009, mais le traitement sera finalisé et les données sur le rendement seront comptabilisées dans l’exercice 2009-2010.

Les données sur le rendement recueillies en 2008-2009  se rapportent au PCSRA de 2006. Le programme a couvert 52 p. 100 des producteurs canadiens (y compris ceux des secteurs soumis à la gestion de l’offre), ce qui représente 66 p. 100 du revenu total du marché. Ce taux est inférieur à la cible de 75 p. 100, mais il représente tout de même une partie importante de l’industrie. On prévoit également que les producteurs participeront en plus grand nombre à la nouvelle série de programmes de GRE. Quelque 40 p. 100 des participants ont reçu un paiement dans le cadre du PCSRA 2006, ce qui a contribué à faire passer les marges des participants de 60 à 86 p. 100 de leur marge de référence. Ce taux est supérieur à la cible de 80 p. 100.

Traitement des paiements d’Agri-stabilité 2007 et 2008 : À la demande des provinces, des avances ciblées ont été versées aux éleveurs de porcs et de bovins afin qu’ils puissent accéder rapidement aux paiements (98 M$ versés à 1 713 producteurs de porcs en 2007 et 166 M$ versés à 3 767 producteurs de porcs et de bovins en 2008). Des modifications comme une couverture plus généreuse de la marge négative et une méthode améliorée d’évaluation des stocks devraient avantager les producteurs confrontés à des baisses de revenu et à plusieurs années consécutives de perte. Plus de renseignements sur le traitement des paiements d’Agri-stabilité seront fournis en 2009-2010.

  Total
3 189 M$
pour les exercices 2007-2008 à
2011-2012
Total 699,3 M$
(voir note)
Total 377,0 M$    

Note : Les dépenses prévues représentent les montants inscrits dans le budget principal des dépenses. Elles ne comprennent aucun montant supplémentaire susceptible d’être ajouté aux niveaux de référence du Ministère. Les dépenses tiennent compte de tous les coûts engagés par le Ministère (salaires, fonctionnement, paiements de transfert). Voir également les initiatives horizontales connexes sur Agri-investissement, Agri-protection et Agri-relance.

Commentaires sur les écarts :

Agri-stabilité est axé sur la demande au lieu d’être financé à même une enveloppe établie pour chaque exercice financier. Bien que les frais administratifs demeurent relativement constants, l’écart des paiements de subvention et de contribution d’une année à l’autre est directement lié à la participation et aux besoins du secteur agricole. Ainsi, dans les bonnes années, le programme coûte moins cher aux gouvernements tandis que dans les mauvaises années (c. à d. années où le prix des denrées baisse, où des catastrophes surviennent, etc.) les coûts du programme sont plus élevés.

L’écart entre les dépenses prévues et réelles pour l'exercice 2008-2009 peut être attribué en grande partie à une augmentation de la valeur des céréales et des oléagineux durant l’année de production 2007. Jusqu’ici, les céréales et les oléagineux ont représenté une partie importante de la couverture offerte par le PCSRA, et la hausse des prix dans le secteur a fait diminuer le nombre de participants et le nombre de paiements versés étant donné que les marges des producteurs de ce secteur ont augmenté.

Un cadre de mesure du rendement est en place pour la nouvelle série de programmes de GRE et il comprend des indicateurs et des cibles de rendement. Les gouvernements fédéral et provinciaux s’affairent à réunir les renseignements nécessaires pour préparer les rapports et devraient être en mesure de rendre compte du rendement de la nouvelle série de programmes au début de 2010.

Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :

Coordination de la surveillance et de la prestation du programme avec le gouvernement fédéral pour faire en sorte que le programme soit exécuté de façon uniforme et que les objectifs et les exigences en matière de rapports soient respectés.

Personne-ressource :

Danny Foster
Directeur général
Développement des programmes de GRE
613-773-2100


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Titre de l'initiative horizontale : Service canadien de développement des compétences en agriculture (SCDCA)

Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)

Activité de programme du ministère responsable : Innovation et renouveau

Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2003

Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2008, prorogée au 31 mars 2009 (programme est terminé)

Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l'échéance) : 74,58 M$ sur six ans

Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :

Ce programme offrait de l’aide aux agriculteurs (et à leurs conjoints) désireux de perfectionner leurs compétences et de suivre une formation en vue d’augmenter leur revenu agricole et non agricole. Les producteurs pouvaient obtenir de l’aide pour préparer un plan d’apprentissage individuel et accéder à une formation dans des domaines comme les pratiques agricoles améliorées et la gestion de l’entreprise agricole, notamment en comptabilité, en gestion financière et en gestion des ressources humaines; ils pouvaient suivre une formation en vue de trouver un autre type d’emploi ou d’acquérir les compétences nécessaires au lancement d’une nouvelle entreprise. Le programme fournissait également une aide financière couvrant, par exemple, les frais de scolarité, les fournitures scolaires et les frais de déplacement et d’hébergement. Pour plus de renseignements, voir le site.

Résultats partagés :

  1. Amélioration de la rentabilité des exploitations agricoles
  2. Plus grand choix de sources de revenu
  3. Une production agricole axée sur les demandes du marché et des consommateurs en ce qui a trait à la salubrité et à la qualité des aliments et au respect de l’environnement, et exploitation des débouchés découlant d’activités scientifiques et de l’innovation

Structure de gouvernance :

Élaboration de programmes de concert avec le Groupe de travail fédéral-provincial-territorial sur le renouveau. Exécution des programmes par Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC), les gouvernements provinciaux et des tierces parties chargées de l’exécution.

Partenaires fédéraux Activité de programme des partenaires fédéraux Nom des programmes des partenaires fédéraux Affectation totale (de la mise en oeuvre à la clôture) Dépenses prévues  2008-2009 Dépenses réelles
2008-2009
Résultats prévus 2008-2009 Résultats obtenus en 2008-2009
AAC/Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) Innovation et renouveau Service canadien de développement des compétences en agriculture 74,58 M$ 12 M$ 16,3 M$ (1) Les producteurs et les familles agricoles à faible revenu mettent davantage en œuvre des stratégies de gestion du revenu fondées sur les compétences.

(2) Les agriculteurs sont satisfaits du SCDCA.

(1) 65 % des participants ont décidé de prévoir des dépenses de formation à l'avenir, comparativement à 21 p. 100 dans les années précédentes.

(2) 89 % des participants se disent satisfaits du SCDCA

  Total
74,58 M$
Total
12 M$
Total
16,3 M$
   

Note : Les dépenses prévues et l'affectation totale représentent les montants inscrits dans les budgets.

Commentaires sur les écarts :

En 2008-2009, le SCDCA en était à sa quatrième année. Le fait que le programme ait été mieux connu, combiné à la mise en place de la corrélation des critères d’admissibilité du SCDCA dans le cadre du Programme canadien d’options pour les familles agricoles, a donné lieu à une participation plus élevée que prévu pour 2008-2009.

Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :

Le SCDCA était exécuté au moyen d’accords avec cinq provinces (Ontario, Manitoba, Saskatchewan, Alberta et Île-du-Prince-Édouard) et par l’intermédiaire de RHDSC (Service Canada) dans les quatre autres provinces et au Yukon (le SCDCA n’était pas offert au Québec et était disponible uniquement sur demande au Nunavut et dans les Territoires du Nord-Ouest). Les provinces qui avaient déjà offert le programme SCDCA ont continué à le faire, contribuant ainsi aux résultats escomptés d’AAC pour le programme. Des partenaires non fédéraux ont continué de participer au Groupe de travail fédéral-provincial-territorial (FPT) sur le renouveau lorsque des questions relatives au programme ont été examinées au moment d’entrer dans la dernière phase du programme. La planification et l’exécution s’effectuaient de façon conjointe (à l’échelle fédérale, provinciale et territoriale) de sorte que les résultats provinciaux et territoriaux à atteindre correspondaient.

Personne-ressource :

Johanne Métayer
Directrice
Division du renouveau
Direction générale des programmes financiers pour l'agriculture
613-773-2006


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Titre de l'initiative horizontale : Protocole d’entente (PE) avec l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) au sujet de la reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments

Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)

Activité de programme du ministère responsable : Salubrité et qualité des aliments

Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale :

La date initiale du début de ce programme de Cadre stratégique pour l’agriculture était le 1er avril 2003. La date de début du PE 2008-2009 est le 1er avril 2008.

Date de clôture de l'initiative horizontale :

L’initiative a pris fin le 31 mars 2009. Un nouveau PE de quatre ans, élaboré dans le cadre de Cultivons l’avenir, devrait être signé en 2009-2010.

Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à l'échéance) : 12,4 M$ sur six ans

Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :

L’ACIA assurera la prestation de l’initiative de reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments en vertu du PE, au cours de 2008-2009.

L’initiative de reconnaissance des systèmes permettra au gouvernement de reconnaître les systèmes de salubrité des aliments à la ferme et en aval de la ferme qui sont élaborés par des organisations sectorielles nationales. L’ACIA continuera d’élaborer et de mettre en œuvre les programmes de reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments et fournira des avis scientifiques et techniques afin de soutenir l’élaboration de systèmes de salubrité des aliments fondés sur les principes de l’Analyse des risques et maîtrise des points critiques (HACCP).

L'initiative compte quatre volets :

  1. Programme de reconnaissance de la salubrité des aliments à la ferme
  2. Programme de reconnaissance de la salubrité des aliments en aval de la ferme
  3. Soutien scientifique et technique
  4. Autres activités à l'appui de l'élaboration des systèmes de salubrité des aliments

Résultats partagés :

  1. Protéger la santé humaine en réduisant l'exposition aux risques.
  2. Accroître la confiance des consommateurs à l’égard de la salubrité et de la qualité des aliments produits au Canada.

Structure de gouvernance :

L’administration globale du PE relève du directeur général de la Direction des programmes de transformation du secteur agricole (AAC) et du directeur exécutif de la Direction de la salubrité des aliments et de la protection des consommateurs (ACIA).

Partenaires fédéraux Activités de programme des partenaires fédéraux Noms des programmes des partenaires fédéraux Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) Dépenses
prévues
2008-2009
Dépenses
réelles
2008-2009
Résultats
prévus
2008-2009
Résultats
obtenus en
2008-2009
AAC Salubrité et qualité des aliments Travail effectué par l'ACIA s/o s/o s/o s/o s/o
ACIA Salubrité des aliments et santé publique Programme de reconnaissance de la salubrité des aliments à la ferme (PRSAF) 10,0 M$ de 2003-2004 à 2007-2008 dans le cadre du CSA et 2,4 M$ en 2008-2009 dans le cadre de la première année (continuité) de Cultivons l’avenir 2,4 M$ 2,4 M$ Élaboration du PRSAF
Les dernières étapes du PRSAF sont mises à l’essai en consultation avec l’industrie et les gouvernements FPT

Les dernières étapes du processus de reconnaissance étaient prêtes à être mises à l’essai sur décision des comités FPT concernant les options de mise en œuvre liées aux vérifications et aux évaluations.
Formation des partenaires de l’industrie et du gouvernement sur les modalités des processus susmentionnés La formation a été retardée jusqu’à ce qu’une décision soit prise.
Mise en œuvre
Examen technique continu des modèles génériques HACCP et des manuels du producteur soumis par l’industrie

L’examen technique est terminé pour un modèle générique HACCP et un manuel du producteur soumis par l’industrie et deux autres ont commencé.
Examen technique continu des procédures, manuels, documents sur les systèmes de gestion et manuels connexes de l’industrie L’examen technique est terminé pour un manuel de gestion et des documents connexes soumis par l’industrie.
Programme de reconnaissance de la salubrité des aliments en aval de la ferme (PRSAAF) Élaboration des options pour un programme de reconnaissance de la salubrité des aliments en aval de la ferme Des options relatives à des programmes de reconnaissance de la salubrité des aliments en aval de la ferme sont élaborées et prêtes à être examinées par les comités FPT et les groupes de l’industrie.
Soutien scientifique et technique Des avis scientifiques et techniques sont fournis à AAC et aux intervenants d’AAC en temps opportun Des avis scientifiques et techniques ont été fournis en temps opportun à AAC et aux intervenants d’AAC.
Autres activités à l’appui de l’élaboration des systèmes de salubrité des aliments Base de données sur les risques
L’application Web est élaborée et mise en œuvre en vue de fournir aux intervenants des données techniques sur les risques afin de faciliter l’élaboration de modèles HACCP génériques.


Les essais d’acceptation de la base de données sur les risques par l’utilisateur sont terminés. L’analyse des résultats sera finalisée.
Modèles génériques
Élaboration de modèles génériques HACCP à la ferme et en aval de la ferme pour certains produits.

Des modèles génériques HACCP pour le chocolat moulé et les pâtes alimentaires fraîches ont été élaborés et diffusés aux intervenants.
Lignes directrices
Élaboration de documents de référence à la ferme et en aval de la ferme qui serviront d’outils à l’industrie concernant la salubrité des produits/denrées identifiés.

Les documents d’orientation sur la salubrité des aliments pour le chocolat moulé et les pâtes alimentaires fraîches ont été élaborés et diffusés aux intervenants.
Réglementation sur les aliments médicamentés Réglementation sur les aliments médicamentés
Élaborer un texte de réglementation et le faire appliquer


En raison des changements de priorité, l’Initiative sur la Réglementation des aliments médicamentés a expiré le 31 mars 2008. Elle n’a pas été financée en 2008-2009. Les 17 M$ qui avaient été alloués à cet élément ont été transférés à l’ACIA.
  Total
12,4 M$
Total
2,4 M$
Total
2,4 M$
   

Commentaires sur les écarts :

Le projet pilote des dernières étapes du PRSAAF a été retardé en raison des priorités concurrentielles (Cultivons l’avenir et plan d’action sur la salubrité des aliments) et de la réorganisation des comités FPT responsables. L’analyse des essais d’acceptation par l’utilisateur devrait être finalisée pour compléter le projet de la base de données sur les risques.

Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Sans objet

Personne-ressource :

Shelley Monlezun
Directrice
Division des programmes de salubrité des aliments et de traçabilité
613-773-1930

Dr Robert Charlebois
Directeur exécutif
Direction de la salubrité des aliments et de la protection des consommateurs
Agence canadienne d’inspection des aliments
613-773-5445


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Titre de l'initiative horizontale : Secrétariat aux coopératives (Initiative de développement coopératif)

Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)

Activité de programme du ministère responsable : Secrétariat rural et aux coopératives

Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2003

Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2009 (reconduit au 31 mars 2013)

Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) : 22,0 M$ sur six ans

Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :

Le Secrétariat aux coopératives a été établi en 1987 en vue d’aider le gouvernement du Canada à répondre plus efficacement aux préoccupations et aux besoins des coopératives canadiennes. Le Secrétariat conseille le gouvernement au sujet des politiques touchant les coopératives, il coordonne la mise en œuvre de ces politiques, il fait la promotion des coopératives au sein du gouvernement fédéral et sert de lien entre le secteur des coopératives et les nombreux ministères et organismes fédéraux avec lesquels les coopératives sont en interaction. Le Secrétariat aux coopératives assure la gestion de l’Initiative de développement coopératif (2003-2009) et l’Initiative de développement coopératif en agriculture (2006-2009).

Résultats partagés :

L’objectif ultime du gouvernement du Canada concernant les coopératives est l’utilisation accrue du modèle de coopérative pour favoriser la croissance économique et le développement social des collectivités en milieu rural et urbain au Canada. Les objectifs sont les suivants :

  1. faire connaître le modèle de coopérative et le rôle que les coopératives peuvent jouer dans le développement social et économique;
  2. promouvoir les politiques, les programmes et les lois qui appuient le développement des coopératives en vue d’atteindre les objectifs stratégiques fédéraux et d’assurer une plus grande harmonisation des efforts déployés;
  3. encourager la croissance des coopératives qui existent déjà et la création de nouvelles coopératives afin de satisfaire aux besoins économiques et sociaux des Canadiens.

Structures de gouvernance :

Le Secrétariat aux coopératives a été créé afin d’améliorer les rapports entre les coopératives canadiennes et les ministères et organismes fédéraux. Les mécanismes officiels de collaboration incluent notamment le comité interministériel sur les coopératives, le dialogue avec des collaborateurs provinciaux et des groupes de travail du secteur. Le Secrétariat aux coopératives agit à titre de coordonnateur des communications entre le gouvernement et le secteur des coopératives. Il est dirigé par un directeur et fait partie du Secrétariat rural et aux coopératives au sein d’AAC. Pour de plus amples renseignements au sujet du fonctionnement du Secrétariat, visitez leur site web.

Partenaires fédéraux Activités de programme des partenaires fédéraux Noms des programmes des partenaires fédéraux Affectation totale (de la mise en oeuvre à la clôture) Dépenses
prévues
2008-2009
Dépenses
réelles
2008-2009
Résultats
prévus
2008-2009
Résultats
obtenus en
2008-2009
AAC/Secrétariat aux coopératives

Le Secrétariat aux coopératives maintient des rapports avec les principaux ministères et organismes au sujet des lois, des politiques et des programmes touchant les coopératives.

Une liste des 17 ministères est disponible sur demande.

Initiative de développement coopératif (IDC) :
  • Services consultatifs
  • Innovation et recherche

Initiative de développement coopératif - agriculture (IDC-agri)

Sans objet 22,0 M$

(Pour les exercices 2003-2004 à 2008-2009)

5,1 M$ 5,4 M$ Collectivités canadiennes innovatrices bénéficiant de possibilités économiques Le partenariat avec le secteur des coopératives dans le cadre du programme de l’IDC a été amélioré grâce à l’expansion des services offerts par le secteur. Des progrès ont été réalisés en vue de l’élaboration d’une approche en matière de partenariats à laquelle ont participé le secteur et le milieu universitaire en établissant un programme de recherche commun sur les coopératives.

Dans le cadre de l’IDC-agri, les agriculteurs et les collectivités rurales ont reçu de l’aide pour mettre sur pied des projets de production de biocarburants et de produits agricoles à valeur ajoutée. En tout, le programme a soutenu 45 coopératives. Il a aussi renforcé la capacité des agriculteurs, des intervenants du secteur agricole et des collectivités de soutenir la mise sur pied de coopératives agricoles par la création d’outils et au moyen d’activités de partage des connaissances et de recherche, ce qui a permis d’habiliter les diverses parties.

  Total
22,0 M$
Total
5,1 M$
Total
5,4 M$
   

Commentaires sur les écarts : En raison de l’amélioration des Services consultatifs de l’IDC, les dépenses ont dépassé de 300 k$ le montant prévu.

Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Sans objet

Personne-ressource :

Donna Mitchell
Directrice exécutive
Secrétariats rural et aux coopératives


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Titre de l’initiative horizontale : Protocole d’entente (PE) entre AAC et le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI) sur les affectations de spécialiste de l’agroalimentaire à l’étranger

Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)

Activité de programme du ministère responsable : Marchés et international

Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : Exercice 2003-2004

Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2008 (prorogée au 31 mars 2009 en attendant que la mise à jour du PE soit rédigée).

Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l'échéance) : 55,464 M$

Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :

L’objectif de l’activité de programme Marchés et questions internationales est de contribuer au résultat stratégique (Sécurité du système alimentaire) en développant les possibilités à l’échelle internationale pour le secteur agricole et agroalimentaire canadien. Les activités réalisées dans le cadre du PE ont contribué au maintien et au développement d’un secteur agricole et agroalimentaire concurrentiel, qui est doté des attributs nécessaires pour se positionner de façon stratégique afin de tirer parti des nouveaux débouchés ou pour se repositionner afin de se protéger contre les risques changeants du marché.

L’un des objectifs clés du volet « Questions internationales » du Cadre stratégique pour l’agriculture (CSA) était de renforcer la capacité canadienne d’accès aux marchés et de développement des marchés et de faire reconnaître la capacité du Canada d’être un chef de file mondial pour ce qui est de répondre aux exigences qualitatives des marchés mondiaux fortement segmentés et de plus en plus concurrentiels.

Ce PE établit les principes opérationnels, les pratiques de gestion et les critères de mesures du rendement qui régissent les 34 postes de spécialistes de l’agriculture et de l’agroalimentaire dans les ambassades et les hauts commissariats du Canada situés dans les pays où se trouvent des marchés d’exportation clés. Le rôle du spécialiste de l’agriculture est d’améliorer la prestation des services aux exportateurs canadiens dans des domaines comme la mise en valeur des entreprises agricoles et agroalimentaires, la promotion des investissements, l’accès aux marchés, la défense des intérêts commerciaux et la pénétration des marchés. Les 34 postes ont été transférés à AAC le 1er avril 2008 lorsque le PE conjoint sur les modalités de gestion des postes par les deux ministères a pris fin. Cependant, AAC et le MAECI ont saisi l’importance de renégocier un nouveau PE en 2008-2009 qui a mis l’accent sur une plateforme conjointe plus globale pour renforcer et rehausser la contribution des deux ministères à la réussite du Canada dans la commercialisation internationale des produits agricoles et agroalimentaires et pour défendre les intérêts du pays sur le marché mondial. Le nouveau PE tient compte du volet international de l’accord-cadre Cultivons l’avenir d’AAC et de la Stratégie commerciale mondiale du MAECI.

Résultats partagés :

  1. Améliorer la capacité du Service des délégués commerciaux dans chaque ministère afin d’offrir un soutien aux exportateurs canadiens de produits agricoles dans les marchés visés.
  2. Faire reconnaître davantage, dans des marchés ciblés de produits agricoles et alimentaires de marque Canada, la capacité du Canada de fournir des produits de première qualité, sains, innovateurs et écologiques.
  3. Améliorer l’accès des produits agricoles et agroalimentaires canadiens aux marchés clés.

Structures de gouvernance : Comité de gestion conjoint des sous-ministres adjoints

Partenaires fédéraux Activités de programme des partenaires fédéraux Noms des programmes des partenaires fédéraux Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) Dépenses
prévues
2008-2009
Dépenses
réelles
2008-2009
Résultats
prévus
2008-2009
Résultats
obtenus en
2008-2009
AAC Marchés et international Négociation d’un nouveau PE 0 M$ 0 M$ 0 M$ Éclaircissement des liens et des rôles interministériels; accord sur l’investissement pour les années subséquentes Un nouveau PE bilatéral orientant les liens et les intérêts communs entre AAC et le MAECI a été négocié en 2008-2009 et sera signé en 2009-2010.
Le Service des délégués commerciaux du secteur agroalimentaire (anciennement le programme des affectations de spécialiste de l’agroalimentaire à l’étranger) a été prolongé d’un an en attendant l’approbation de Cultivons l’avenir par le Conseil du Trésor 42,5 M$ de 2003-2004 à 2007-2008 et 7,5 M$ pour une prolongation d’un an pour 2008-2009 7,5 M$ 7,5 M$ Les délégués commerciaux du secteur agroalimentaire fournissent aux exportateurs canadiens une aide sur place, contribuant ainsi au développement des marchés, à l’amélioration de l’accès aux marchés et à la promotion de la marque Canada pour l’agriculture et l’alimentation. Les délégués commerciaux du secteur agroalimentaire ont contribué à l’augmentation de 20 % des exportations de produits agricoles et agro-alimentaires et de produits à boire qui sont passées de 35 G$ en 2007-2008 à 42,5 G$ en 2008-2009.
MAECI Commerce international Fonds pour service aux clients 0,464 M$ 0,464 M$ 0,563 M$ Soutenir les initiatives liées au secteur de l’agriculture, de l’alimentation et des produits de la mer. Le FSC lié au marché local a été utilisé pour exploiter des fonds du secteur privé, des provinces et d’AAC (montants inclus ci-dessus) pour des activités précises liées à l’augmentation des exportations pour le secteur.
Programme de partenariat nord américain (PPNA) 5,0 M$ de 2008-2009 à 2012-2013 1,0 M$ 1,0 M$ Les délégués commerciaux du secteur agroalimentaire fournissent à l’industrie des services sur place, font la promotion du développement des marchés et assurent la défense des intérêts commerciaux sur les marchés des États-Unis. Le million de dollars a été utilisé pour financer quatre postes dans les missions aux États-Unis et pour effectuer des activités spéciales sur les marchés américains afin d’augmenter les exportations vers les États-Unis.
  Total
55,464 M$
Total 8,964 M$ Total
9,063 M$
   

Commentaires sur les écarts :

Quelque 66 missions du MAECI situées à l’étranger ont alloué en tout plus de 0,1 M$ de fonds dans le cadre de leurs allocations du Fonds pour service aux clients pour les secteurs agricole, alimentaire et des produits de la mer en raison de l’intérêt croissant des entreprises (mesuré par le plus grand partenariat financier dans les initiatives du marché local par des entreprises), qui s’accompagne souvent d’un changement de priorité pour le secteur sur quelques marchés étrangers.

Résultat à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Sans objet

Personne-ressource :

Bruce Howard
Directeur, Service des délégués commerciaux du secteur agroalimentaire
613-773-1571


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Titre de l'initiative horizontale : Services-conseils aux exploitations agricoles

Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)

Activité de programme du ministère responsable : Innovation et renouveau

Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2003

Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2008, prorogée au 31 mars 2009 (programme est terminé)

Total des fonds fédéraux affectés (de la date de mise en œuvre à l'échéance) : 109,0 M$ sur six ans

Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :

Ces services permettent aux agriculteurs admissibles de consulter des experts-conseils financiers qui les aideront à évaluer leur situation financière et à élaborer des plans de relève, d’action et d’entreprise (finances, commercialisation, valeur ajoutée). Pour plus de renseignements, voir le site Web.

Résultats partagés :

  1. Amélioration de la rentabilité des exploitations agricoles.
  2. Plus grand choix de sources de revenu.
  3. Production de produits agricoles fondés sur les demandes du marché et des consommateurs en ce qui a trait à la salubrité et à la qualité des aliments et à la production respectueuse de l’environnement, et exploitation des débouchés découlant d’activités scientifiques et de l’innovation.

Structure de gouvernance :

Élaboration des programmes et mesures du rendement par le Groupe de travail fédéral-provincial-territorial sur le renouveau.

Partenaires fédéraux Activité de programme des partenaires fédéraux Nom des programmes des partenaires fédéraux Affectation totale (de la mise en oeuvre à la clôture) Dépenses prévues 2008-2009 Dépenses réelles
2008-2009
Résultats prévus 2008-2009 Résultats obtenus en 2008-2009
AAC Innovation et renouveau a. Les services-conseils aux exploitations agricoles canadiennes (SCEAC) comportent deux volets :          
i. Évaluation de l'exploitation agricole (EEA) 55,8 M$
sur six ans, 2003-2004 à 2008-2009
8,8 M$ 10,2 M$ (1) Les producteurs mettent davantage en œuvre des stratégies de développement de l’entreprise.

(2) Les agriculteurs sont satisfaits des programmes.

(1) 85 % des producteurs envisageraient de faire appel à un consultant à l'avenir (25 % avaient prévu cette dépense dans leur budget).

(2) 88 % des producteurs étaient satisfaits du programme d'EEA.

ii. Services spécialisés de planification d'entreprise (SSPE) 26,5 M$
sur six ans, 2003-2004 à 2008-2009
3,1 M$ 3,2 M$

(1) Les producteurs mettent davantage en œuvre des stratégies de développement de l'entreprise.

(2) Les agriculteurs sont satisfaits des programmes.

(1) 92 % des producteurs envisageraient de faire appel à un consultant à l'avenir (62 % avaient prévu cette dépense dans leur budget).

2) 89 % des producteurs étaient satisfaits du programme.

b. Planification et évaluation pour les entreprises de produits à valeur ajoutée (PEPVA) 26,7 M$
sur six ans, 2003-2004 à 2008-2009
0,4 M$ 0,4 M$

(1) Les producteurs mettent davantage en oeuvre des stratégies de développement de l'entreprise.

(2) Les agriculteurs sont satisfaits des programmes.

(1) 91 % des producteurs envisageraient de faire appel à un consultant à l'avenir (45 % avaient prévu cette dépense dans leur budget).

(2) 70% des producteurs étaient satisfaits du programme.

  Total
109 M$ sur six ans, 2003-2004 à 2008-2009
Total
12,3 M$
Total
13,8 M$
   

Note : Les dépenses prévues et le total des affectations représentent les montants inscrits dans les budgets.

Commentaires sur les écarts :

Le fait que les producteurs connaissent mieux le programme d’EEA, combiné à l’exigence de corrélation des critères d’admissibilité de l’EEA dans le cadre du Programme canadien d’options pour les familles agricoles, a débouché sur une participation plus élevée que prévu pour 2008-2009 (le taux de participation aux SSPE et au programme PEPVA était semblable aux années précédentes).

Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :

Le gouvernement fédéral était le principal agent d’exécution. Les partenaires non fédéraux assuraient la prestation des programmes du renouveau lorsque des accords collatéraux étaient signés (Québec et le First Nations Agricultural Council of Saskatchewan Inc.). Des partenaires non fédéraux participaient au Groupe de travail fédéral-provincial-territorial sur le renouveau lorsque des questions relatives au programme étaient à l’étude. La planification s’effectuait de façon conjointe (à l’échelle fédérale et provinciale) de façon à ce que les résultats provinciaux à atteindre soient les mêmes.

Personne-ressource :

Johanne Métayer
Directrice
Division du renouveau
Direction générale des programmes financiers pour l'agriculture
613-773-2006


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Titre de l'initiative horizontale : Développement rural

Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)

Activité de programme du ministère responsable : Secrétariats rural et aux coopératives

Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2003

Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2008, prorogée au 31 mars 2009 (Un nouveau Partenariat rural du Canada a été approuvé à la fin de l’année.)

Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à l'échéance) : 71,6 M$ sur six ans

Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :

Le Secrétariat rural, dans le cadre du Partenariat rural du Canada (PRC), permet au gouvernement de mieux comprendre les enjeux et les préoccupations des Canadiennes et des Canadiens vivant en milieu rural et encourager les ministères et organismes fédéraux à apporter des modifications à leurs politiques, programmes et services en tenant compte des besoins uniques des collectivités rurales. Dans le cadre du PRC, le gouvernement du Canada vise à améliorer la qualité de vie des Canadiens vivant en milieu rural.

Résultats partagés :

Le résultat visé est de permettre aux collectivités rurales d’utiliser leur capacité d’innovation pour évaluer les atouts locaux et assurer une plus grande compétitivité économique locale. Il est fondé sur les six principes directeurs suivants :

  1. les collectivités constituent la pierre angulaire du développement rural;
  2. la collaboration entre les gouvernements et à l’échelle des gouvernements;
  3. une approche gouvernementale pour composer avec la diversité rurale;
  4. une approche intégrée comportant plusieurs facettes pour que la collectivité puisse réaliser son plein potentiel;
  5. les capacités de la collectivité reposent sur le leadership local;
  6. les entreprises et l’entreprenariat sont des éléments essentiels pour établir des collectivités rurales solides.

Structures de gouvernance :

Le PRC est géré par le Secrétariat rural. Il visent à faire connaître davantage et à inclure le Canada rural dans les politiques et les programmes fédéraux. Il y a notamment :

  • le Réseau de développement rural : une tribune destinée aux décideurs de 27 ministères et organismes fédéraux;
  • le Réseau national de la recherche sur les questions rurales : il réunit des partenaires de recherche du milieu universitaire et du gouvernement en vue d’améliorer les connaissances sur les questions rurales et de prendre des décisions plus éclairées;
  • la base de données sur les collectivités : une ressource gratuite accessible en ligne qui fournit des renseignements complets et fiables sur les facteurs socio-économiques et démographiques au niveau communautaire dans le but d’appuyer la prise de décisions et l’action; et
  • le Programme de développement des partenariats ruraux : il finance des initiatives favorisant la mise en œuvre d’activités économiques de collaboration au niveau communautaire.

Ces efforts sont renforcés par les équipes rurales de chaque province et territoire composées de représentants du gouvernement fédéral dans la région. La plupart des équipes comprennent également des membres du gouvernement provincial ou territorial et/ou des intervenants du secteur.

Partenaires fédéraux Activité de programme des partenaires fédéraux Nom des programmes des partenaires fédéraux Affectation totale (de la mise en oeuvre à la clôture) Dépenses prévues 2008-2009 Dépenses réelles
2008-2009
Résultats prévus 2008-2009 Résultats obtenus en 2008-2009

AAC/Secrétariat rural

Liste des 27 ministères et organismes faisant partie du Réseau pour le développement rural

Secrétariats rural et aux coopératives Partenariat rural du Canada (PRC) 71,6 M$ pour les exercices 2003-2004 à 2008-2009 11,6 M$ 9,9 M$ Collectivités canadiennes innovatrices bénéficiant de possibilités économiques Le Secrétariat a joué un rôle essentiel pour l’élaboration de projets de partenariat dont le Forum économique du Nunavut, afin de promouvoir les programmes d’action social et économique du Canada rural.
Nouvelles politiques et nouveaux programmes qui traitent des enjeux ruraux Un nouveau PRC a été approuvé à la fin de l'année.
  Total
71,6 M$
Total
11,6 M$
Total
9,9 M$
   

Commentaires sur les écarts :

Les accords de contribution représentaient 1,8 M$ de moins que l’objectif visé en raison d’une période de participation au programme plus courte, et ces fonds n’étaient consacrés qu’aux projets à court terme en raison de la prolongation d’un an du financement du programme.

Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Sans objet

Personne-ressource :

Donna Mitchell
Directrice exécutive
Secrétariats rural et aux coopératives
613-759-7113



Stratégie de développement durable

La quatrième Stratégie de développement durable (SDD) d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC), Progresser ensemble, se trouve sur le site Web d’AAC.


1. Objectifs du ministère en matière de SDD : La quatrième SDD d'AAC présente huit résultats (objectifs) que le Ministère entend atteindre d'ici 2009. Ces derniers comprennent les résultats prévus par le Ministère, tels qu’énumérés ci-dessous.

2. Les objectifs du gouvernement fédéral en matière de développement durable (DD), y compris les objectifs d’écologisation des opérations gouvernementales (EOG) : AAC appuie ces priorités et contribue aux objectifs à long terme du gouvernement du Canada en matière de développement durable. Des liens détaillés sont établis ci-dessous, lorsqu’il y a lieu.

3: Résultats prévus du Ministère pour 2008-2009 4. Mesure(s) du rendement 5. Résultats du Ministère atteints en vertu de la SDD pour 2008-2009
1. La nouvelle politique agricole et agroalimentaire est en place et opérationnelle. Le nombre de nouvelles politiques, de nouveaux programmes et de nouvelles initiatives de recherche qui tiennent compte des trois piliers du développement durable déterminés par l'application du questionnaire sur le DD. Le taux de participation globale au questionnaire sur le DD, maintenant appelé le Questionnaire sur la durabilité, est passé de 26 % en 2007-2008 à 34 %. Les questions sur la durabilité sont en voie d'être améliorées afin d’accroître leur application.
Une série de politiques, de programmes et d'initiatives de recherche en place pour appuyer les objectifs de la nouvelle politique agricole. La série de programmes de gestion des risques de l’entreprise (GRE) de l’initiative Cultivons l’avenir a été lancée le 1er avril 2008. De plus, en 2008-2009, les gouvernements FPT ont signé 12 ententes bilatérales sur 13. Ces ententes font état des programmes admissibles, des niveaux de financement et des indicateurs de rendement pour faciliter la mise en œuvre de programmes ne faisant pas partie de la GRE.
Nombre d’intervenants (internes et externes) spécialisés dans divers domaines et participant à l'élaboration de la nouvelle politique agricole. Plus de 3 000 intervenants nous ont directement fait part de leurs remarques, tout comme les provinces et territoires, ainsi que d’autres ministères du gouvernement du Canada. Des commentaires nous sont également parvenus au moyen du site Web Cultivons l’avenir.
2. Augmentation des débouchés et réduction des obstacles pour le développement durable des collectivités rurales grâce aux politiques, aux programmes et aux services du gouvernement.

Sur le plan des extrants (livrables) : Lien avec les objectifs de DD du gouvernement fédéral -

4.1.1 Les collectivités sont en mesure d'assurer un développement social durable.

4.2.1 Les collectivités sont en mesure de s'adapter et de maintenir ou générer des activités économiques durables.

Pourcentage des politiques et des programmes fédéraux qui tiennent compte de la perspective rurale. Les employés du Secrétariat rural ont assisté aux réunions de sept comités interministériels et analysé 48 notes d’information ou mémoires au Cabinet (MC) en appliquant la lentille rurale aux politiques et programmes fédéraux. Coordination avec 10 autres ministères en vue de préparer la présentation du 17e rapport du Canada devant la Commission du développement durable des Nations Unies – Développement rural.
Bon nombre de plans de partenariat avec des partenaires clés fédéraux, provinciaux et territoriaux et des Premières nations. Par l'intermédiaire d'équipes rurales, comptant des représentants des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux, on a mené 11 initiatives visant à appuyer le développement de collectivités rurales.

Exemple: la conférence de Développement économique du Nord, tenue en décembre 2008, visait à nouer des relations de travail avec des organismes qui ont un intérêt marqué à l’égard de la croissance économique du Nord.

Pourcentage de ministères et d'organismes qui seront touchés dans le cadre d'activités stratégiques de participation du fédéral, notamment : les équipes rurales, le réseau de recherche sur les questions rurales, le Réseau de développement rural. Le Secrétariat rural invite des ministères et agences du fédéral à collaborer, notamment par l’intermédiaire :
  • du Réseau pour le développement rural : 198 membres provenant de 27 ministères et agences ont tenu 50 activités interministérielles (conférence électronique et activités de transfert des connaissances);
  • treize équipes rurales ont travaillé avec 23 ministères et agences;
  • le Secrétariat rural agit à titre de membre du comité de direction du Réseau national de la recherche sur les questions rurales, aux côtés d’autres ministères, agences et intervenants dans le secteur de la recherche sur des questions rurales.
En tout, on a communiqué avec plus de la moitié des ministères et agences du fédéral.
3. Accroître les possibilités d'activités à valeur ajoutée pour le secteur agroalimentaire grâce à l'utilisation innovatrice des bioressources agricoles découlant de la recherche-développement (R et D), aux transferts de technologie et aux activités du réseau de commercialisation.

Sur le plan des extrants (livrables) : Lien avec les objectifs de DD du gouvernement fédéral -

3.2.2 Promotion d'une énergie propre et renouvelable

3.2.1 Soutien aux technologies propres (notamment dans les domaines de la construction, des transports et des procédés industriels).

Connaissances accrues et avancées technologiques produites par le réseau du Programme d'innovation en matière de bioproduits agricoles (PIBA) avec le potentiel de renforcer la base industrielle du Canada et de générer de la richesse. Les activités de recherche ont débuté en mai 2008. Dans les rapports qu’ils ont soumis au secrétariat du PIBA, les réseaux font état des résultats obtenus relativement à l'accroissement des connaissances et aux avancées technologiques.
Nombre accru de réseaux et de groupes efficaces auxquels participent des chercheurs canadiens. En tout, neuf nouveaux réseaux se sont qualifiés pour recevoir un appui financier du ministre. Ces neuf réseaux ont maintenant conclu des ententes de contribution, des lettres d’entente et des ententes de représentation.
Amélioration du transfert des connaissances, des technologies et de l'expertise aux organismes en mesure de commercialiser ces innovations. La signature d'ententes au cours de l'exercice financier 2008-2009 a permis aux neufs réseaux de lancer des activités prévues dans leur plan de travail. Les réseaux du PIBA travaillent à améliorer les connaissances, la technologie et le transfert d’expertise. Pour ce faire, ils élaborent des plans de gestion de la technologie tenant compte de la propriété intellectuelle. De plus, les réseaux ont commencé à travailler sur la publication de travaux de recherche et d’information connexe dans le secteur scientifique, de l’industrie et des médias et sur des présentations lors de conférences dans des secteurs connexes, ainsi qu’à recruter et former du personnel hautement qualifié (PHQ) afin d’accroître la capacité du Canada d’être novateur.
Un PIBA qui tient compte de chacun des trois piliers du DD. Le PIBA tient compte de chacun des trois piliers du DD (économique, environnemental et social). Le pilier économique se retrouve dans le développement de matières biologiques traditionnelles et non traditionnelles, de nouveaux bioproduits tirés de matières biologiques agricoles et dans la création de nouveaux débouchés commerciaux pour les produits tirés de la conversion des récoltes et de la valorisation de la biomasse. Les réseaux du PIBA tirent parti du pilier environnemental dans tout ce qui a trait à la recherche de techniques plus écologiques de transformation des récoltes et le regroupement des activités de transformation par le traitement d’effluents de résidus industriels, ce qui a un effet moindre sur l’environnement. En dernier lieu, les activités du PIBA prennent en compte aussi le pilier social puisque des travaux de recherche sont actuellement menés sur la façon dont les progrès enregistrés par les réseaux dans le domaine des sciences et de la technologie devraient appuyer le renforcement des capacités des collectivités et apporter une meilleure qualité de vie dans les collectivités du Canada.
4. Le Ministère intègre le développement durable (DD) dans son processus décisionnel, et ses employés et les intervenants de l'extérieur mettent en application la quatrième SDD d'AAC.

Sur le plan des extrants (livrables) : Lien avec les objectifs de DD du gouvernement fédéral -

4.3.1 Application, dans les collectivités canadiennes, de saines pratiques de gestion des ressources naturelles, d'initiatives d'intendance et de conservation de la biodiversité.

5.2.1 Promotion de la consommation et de la production durables des ressources naturelles.

6.1.2 Mécanismes de gouvernance clairs et efficaces pour l'intégration du développement durable à la prise de décisions (p. ex. l’évaluation environnementale (EES).

6.1.1 Intégration des engagements des SDD aux processus principaux de planification et de production de rapports des ministères et des organismes.

Sensibilisation accrue en matière de développement durable au sein du Ministère. On a déployé des efforts pour accroître la sensibilisation au DD par le truchement des activités suivantes :

Examen du Questionnaire sur la durabilité dans le but d'améliorer sa mise en pratique.

Élaboration d’une séance d’information sur le DD qui a été présentée aux employés d'AAC.

Une discussion ouverte avec les employés d’AAC sur le DD, par le truchement du blogue de la sous-ministre déléguée. Cette activité a permis d’explorer le degré de sensibilisation des employés au DD et leur niveau de compréhension des questions connexes.

Élaboration d’une série d’articles pour illustrer auprès des effectifs d’AAC l’intégration des trois piliers du développement durable, et la façon dont ils s’appliquent aux programmes et politiques d'AAC.

Les piliers du DD sont pris en compte ensemble et non individuellement dans le cadre de l'application du questionnaire sur le DD. Le Questionnaire sur la durabilité a été élaboré pour que les décideurs détectent de quelle manière leur nouvelle politique ou leur nouveau programme répond aux priorités des trois piliers du DD (une économie plus forte, un environnement plus sain ou une amélioration de la santé et du bien-être de la population). Le Questionnaire sur la durabilité fait l'objet d'un examen en vue d'être amélioré pour augmenter son application.
5. Renseignements et outils :

A. AAC tient compte des aspects environnementaux dans l'élaboration de ses politiques publiques au même titre que des facteurs économiques et sociaux.

Sur le plan des extrants (livrables) : Lien avec l'objectif de DD du gouvernement fédéral -

6.1.2 Mécanismes de gouvernance clairs et efficaces pour l'intégration du développement durable à la prise de décisions (p. ex. EES).

Pourcentage des nouvelles politiques, de nouveaux plans et de nouveaux programmes qui sont passés par le processus de l'EES. Dans l'ensemble, 85 % (76 % en 2007-2008) des nouvelles politiques et des nouveaux plans et programmes ont fait l’objet d’une EES, tel que prévu. Cela représente 69 % de tous les MC et 96 % des présentations au Conseil du Trésor.
Les résultats des EES sont rapportés de manière précise dans tous les mémoires au Cabinet (MC) et dans toutes les présentations au Conseil du Trésor (CT). 85 % de toutes les nouvelles politiques et de tous les nouveaux plans et programmes ont fait l’objet d’une EES et, dans tous les cas, on a rendu compte des résultats de ces EES dans des MC et des présentations au CT.
Connaissance accrue des exigences de l'EES et sa mise en pratique au sein du Ministère. Les effectifs du Ministère connaissent mieux les exigences relatives aux EES et leur application, notamment grâce aux mesures suivantes :
  • Conseils et formation continue à l’intention des rédacteurs d’EES.
  • Publication d’une fiche d’information sur l’EES lors de la Semaine de l’environnement pour renseigner les employés sur l’EES.
  • Appui accru de la part des Affaires au Cabinet et de la division de l’Attestation du Ministère en vue de faire appliquer la directive du Cabinet.

B. Les modèles éclairent le processus en cours de prise de décisions stratégiques dans les dossiers agricoles prioritaires en fournissant des analyses quantitatives intégrées sur les répercussions économiques et environnementales.

Sur le plan des extrants (livrables) : Lien avec les objectifs de DD du gouvernement fédéral -

4.2.1 Les collectivités sont en mesure de s'adapter et de maintenir ou générer des activités économiques durables.

6.1.2 Mécanismes de gouvernance clairs et efficaces pour l'intégration du développement durable à la prise de décisions (p. ex. EES).

Amélioration de la capacité à prévoir les répercussions économiques et les impacts environnementaux sur le secteur agricole et prise de décisions éclairées en matière de politiques et de programmes agricoles qui répondent aux objectifs économiques et environnementaux. Les modèles économiques et environnementaux intégrés actuellement à notre disposition (programmes d’optimisation mathématique et tableurs) ont été améliorés et de nouveaux modèles intégrés ont été élaborés pour améliorer la capacité d’AAC à prévoir l’impact environnemental des biocombustibles, de l’exploitation des terres, de l’eau, des changements climatiques et de la gestion des risques de l’entreprise.

Le Modèle d’analyse régionale de l’agriculture du Canada (MARAC), qui est un programme d’optimisation mathématique, a été amélioré pour tenir compte des risques et des biocombustibles. Un module portant sur la demande en eau vient d'être terminé tandis qu'un module sur l’approvisionnement en eau est en cours d’élaboration.

Nombre de demandes d'analyses intégrées et incorporation des résultats dans le processus décisionnel. On a répondu à au moins trois demandes d'analyse sur a) les biocombustibles et l’empreinte de carbone, b) les options d’atténuation des changements climatiques, c) l’évaluation environnementale du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole et le Programme d'assurance-production. Cette analyse a éclairé la prise de décision et permis au Ministère de répondre à ses obligations devant la loi relativement à l'évaluation environnementale de ses programmes.
L'élaboration du système de modélisation intégré tient compte des trois piliers du DD (et plus particulièrement des piliers économiques et environnementaux). Le système intégré de modélisation tient compte d’indicateurs environnementaux, économiques et sociaux dans la mesure où il mesure l’emploi et l’aide sociale.

C. Réalisation de recherches initiales et mise en place de mesures qui détermineront les valeurs économiques correspondant aux changements biophysiques de l'environnement qui découlent de l'agriculture.

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4.2.1 Les collectivités sont en mesure de s'adapter et de maintenir ou générer des activités économiques durables.

Nombre d’intervenants (internes et externes) spécialisés dans diverses disciplines et participant à la tenue d'études d'évaluation économique d'AAC. Un comité composé d’universitaires et de représentants du gouvernement s’est rencontré en 2008 pour discuter de la recherche dans le domaine des évaluations à AAC. Cette rencontre a éclairé AAC sur la façon dont elle approche les études d’évaluation économique.
Sensibilisation accrue de la population concernant le besoin d'évaluations environnementales et leurs applications pratiques. En collaboration avec des intervenants locaux, AAC a terminé deux études d’évaluation économique en 2008-2009, la première dans Kyng's County, en Nouvelle-Écosse, la seconde dans les affluents du fleuve Saint-Laurent. Il a été question de sensibilisation régionale lors des entretiens d'AAC avec des intervenants locaux. D'importants échantillons de la population locale ont fait l’objet d’un sondage qui visait à évaluer l'importance qu'ils accordent à l'amélioration de l'environnement.
Nombre de valeurs économiques estimées attribuées aux effets environnementaux de certaines pratiques agricoles dans des régions précises du Canada. AAC a terminé deux études visant à mesurer l'importance que les résidents accordent à des facteurs comme une meilleure qualité de l’eau, une plus grande biodiversité et l’amélioration d’autres aspects de l’environnement qui découlent de l’adoption de meilleures pratiques agricoles. L’étude d’Annapolis a permis d’évaluer l’importance accordée à quatre types d’améliorations, alors que l’étude faite dans la région du Saint-Laurent en évaluait trois. Dans les deux études, on a ventilé les variations d’opinion selon les différents segments de la population.
D. Une série d'indicateurs sociaux est en place pour aider à surveiller et à évaluer les tendances sociales qui influent sur le secteur agricole et pour permettre de prendre des décisions éclairées.

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4.1.1 Les collectivités sont en mesure d'assurer un développement social durable.

6.1.2 Mécanismes de gouvernance clairs et efficaces pour l'intégration du développement durable à la prise de décisions (p. ex. EES).

L'élaboration d'une dimension sociale précise de l'agriculture durable. Étant donné l’accent mis par AAC sur le rendement économique et environnemental, les indicateurs sociaux avaient pour but de cerner les facteurs sociaux qui influent sur l’innovation.

AAC a commandé la rédaction d’un rapport qui a été publié en 2008 par l’Institut international du développement durable. On y souligne que le capital culturel et social des agriculteurs est largement influencé par l’innovation et ceci pourrait servir dans le cadre de l’élaboration de programmes ciblant la mise en application de pratiques de gestion environnementale bénéfiques (PGB).

Nombre de liens établis entre les questions sociales qui touchent le secteur agricole et les questions économiques et environnementales connexes. On comprend mieux les facteurs qui influencent l’innovation et l’adoption de pratiques de gestion avantageuses pour l'environnement, et les facteurs sociaux en font partie. Des travaux sont en cours pour associer les données agricoles recueillies dans le cadre de recensements sociaux aux données de l’enquête sur la gestion agroenvironnementale. On pourra ainsi explorer davantage les liens entre les facteurs sociaux et l’adoption de pratiques avantageuses pour l’environnement. Le rapport final sera publié au cours de l’exercice financier 2009-2010.
Nombre de méthodes disponibles pour la mise en commun de l'information sur les questions sociales qui touchent le secteur agricole. AAC a mis au point des méthodes comme le réseautage social et des activités d’apprentissage pour établir des liens entre l’innovation, l’économie et le rendement environnemental. AAC a offert un atelier sur ces questions en 2008 et l’Institut international du développement durable (IISD) a publié le matériel.

6. Recherche :

Accroître la séquestration du carbone dans les sols agricoles, réduire les émissions de gaz à effet de serre par unité de production et renforcer la synergie entre l'agriculture et l'environnement.

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3.2.1 Soutien aux technologies propres (notamment dans les domaines de la construction, des transports et des procédés industriels).

Meilleure communication entre les chercheurs, les décideurs et les producteurs en démontrant une augmentation de l'utilisation du calculateur de gaz à effet de serre (GES) d'AAC pour évaluer les technologies novatrices. Le calculateur de gaz à effet de serre (GES) d’AAC est de plus en plus utilisé pour trouver des stratégies visant à réduire les émissions. Par exemple, dans le cadre d'un effort national coordonné par le Conseil de conservation des sols du Canada (CCSC), le logiciel est utilisé pour sensibiliser les Canadiens à la nécessité de réduire les GES.
Nombre de contributions confirmées du programme à divers projets pilotes de réduction de GES. Les chercheurs d'AAC ont joué un rôle important dans l'élaboration de protocoles visant à réduire les gaz à effet de serre (GES) dans les exploitations agricoles par la prestation de conseils scientifiques. Ces protocoles visent à aider les agriculteurs à adopter des pratiques de gestion avantageuses pour l’environnement et à obtenir ainsi des crédits reliés au carbone ou aux GES. Cinq de ces protocoles, qui ont reçu l’appui du gouvernement de l’Alberta, ont récemment été approuvés (trois protocoles concernent l’élevage bovin, une quatrième porte sur les biocarburants et un dernier sur l’efficacité énergétique des granges). Quatre autres protocoles sont en cours d’élaboration : un protocole à l’intention des fermes laitières, financé par Agriculture et Agroalimentaire Canada; un protocole visant la réduction de l'oxyde de diazote, appuyé par l’Institut canadien des engrais, et deux derniers, financés par le gouvernement de l’Alberta, portant sur la réduction des mises en jachère et la consommation alimentaire résiduelle chez les bovins. (http://www.carbonoffsetsolutions.ca/offsetprotocols/ finalAB.html).
Plus grande intégration des trois piliers du DD en déterminant et en favorisant les pratiques agricoles qui tiennent compte de ces trois piliers. Des pratiques de gestion comme l’exploitation sans labour, la réduction des mises en jachère d’été et la production fourragère pluriannuelle font partie des pratiques de gestion avantageuses pour l’environnement qui peuvent contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à augmenter le stockage de carbone dans les sols agricoles.
7. Collaborer avec le secteur pour appliquer et perfectionner des approches intégrées :

A. L'élaboration du cadre stratégique national sur les biens et services écologiques (BSE) tire profit des résultats de recherches obtenus grâce aux projets pilotes sur la politique en matière de BSE et d'autres initiatives de recherche.

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4.2.1 Les collectivités sont en mesure de s'adapter et de maintenir ou générer des activités économiques durables.

4.3.1 Application, dans les collectivités canadiennes, de bonnes pratiques environnementales, d'initiatives d'intendance et de conservation de la biodiversité.

5.2.1 Promotion de la consommation et de la production durables des ressources naturelles.

5.3.1 Promotion de l'exploitation durable des ressources naturelles.

Un cadre stratégique de BSE fondé sur la science aura des résultats mesurables pour l'évaluation. Le Cadre stratégique national sur les BSE d’AAC a été approuvé en 2006. Huit projets pilotes axés sur les BSE ont pris fin en 2008-2009. Chacun d’entre eux a eu des effets bénéfiques sur l'environnement et a permis d’apporter un éclairage sur l'élaboration de nouvelles politiques sur les BSE. Les avantages environnementaux des politiques testées dans le cadre des projets pilotes ont été mesurés en valeurs biophysiques, par exemple le taux d’adoption de pratiques de gestion avantageuses et l’amélioration de la qualité de l’eau.
Un cadre stratégique en matière de BSE qui tienne compte des trois piliers du DD par l'application du questionnaire sur le DD est en place. Un Cadre stratégique national sur les BSE a été élaboré et mis en oeuvre en 2006. Ce cadre tient compte des trois piliers du DD, comme le prouvent les projets pilotes mis en œuvre. La recherche sur les politiques en matière de BSE montre que certaines options stratégiques seraient avantageuses pour l’environnement dans la mesure où elles permettraient d’adopter des pratiques de gestion plus écologiques et d’offrir au secteur agricole des retombées économiques, notamment si l’on se sert d’instruments reposant sur les mécanismes du marché, par exemple un système d’échange de crédits. Les collectivités seraient ainsi mieux positionnées pour s’adapter et générer des activités économiques durables.
B. Accroître l'adoption de la Gestion intégrée des ressources en eau (GIRE) et favoriser son application pour les activités de planification et de gestion des bassins hydrographiques, ce qui contribuera à mieux protéger la qualité de l'eau contre les effets de l'agriculture, à assurer un approvisionnement en eau pour les besoins agricoles et à tenir compte des trois piliers du développement durable.

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1.3.2 Accroissement des connaissances sur les ressources en eau.

1.2.1 Amélioration de l'économie des ressources en eau et de l'utilisation durable de l'eau.

Pourcentage d'outils, d'activités du savoir et d'instruments transférables qui appuient la GIRE et la prise de décisions. L’élaboration de nouveaux outils interactifs qui seront offerts sur le Web avance bien – p. ex. l'Atlas national des eaux (ANE) et le Rural Water Resources Planner (Planificateur des ressources en eau dans les zones rurales), qui éclaire la prise de décision grâce à des renseignements sur les bassins hydrographiques.

Un prototype de l’ANE est disponible sur GCPedia et d'autres produits sont en cours d'élaboration. Nous sommes en train de planifier l’intégration du Rural Water Resources Planner au Service national d’information sur les terres et les eaux (SNITE).

Pourcentage des activités de planification et de gestion des bassins hydrographiques qui appliquent l'approche de la GIRE en matière de gestion des ressources des bassins hydrographiques. Maintenant, 50 % des provinces utilisent officiellement les pratiques de la GIRE dans le cadre de la planification des bassins hydrographiques et des activités de gestion.

Élaboration et mise en œuvre de plans de gestion intégrée des bassins versants dans 21 bassins hydrographiques prioritaires dans des zones agricoles du Manitoba, de la Saskatchewan et de l’Alberta. AAC a fourni un soutien technique et contribué à la capacité de prise de décision.

AAC a coordonné le troisième Forum sur la gestion de l’eau en agriculture, tenu à Saskatoon, en Saskatchewan, les 18 et 19 février 2009. Cette rencontre a permis la création de réseaux et le partage d'information sur l'adaptation aux changements climatiques entre les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux et le secteur agricole.

Pourcentage des partenaires et des bassins hydrographiques qui possèdent des outils, des plans et des instruments pour le renforcement des capacités ou la prise de décisions qui tiennent compte des trois piliers du développement durable. Environ 25 % des partenaires et des pratiques de gestion des bassins hydrographiques ont recours à des outils, des plans et des instruments tenant compte des trois piliers du développement durable, à savoir l’aspect environnemental, économique et social (santé, éducation et adoption de valeurs et de principes axés sur l’intendance des ressources).

Des plans agricoles regroupés, élaborés en utilisant des activités de gestion des bassins hydrographiques, ont contribué à l’adoption de plus de 1 200 pratiques de gestion avantageuses pour l’amélioration de l'agroenvironnement.

Lake Winnipeg Stewardship Initiative et l’Entente sur les ressources en eau durables du bassin des Grands Lacs et du fleuve Saint-Laurent bénéficient de la collaboration d’AAC avec des partenaires du fédéral et des provinces.

Le Comité interministériel des sous-ministres adjoints (SMA) sur l’eau a créé quatre groupes de travail chargés de rédiger des documents stratégiques sur les priorités suivantes : a) les contaminants, b) les excédents de substances nutritives c) l’évaluation de la disponibilité des ressources en eau d) la réduction de l’utilisation de l'eau/l'efficacité de l'eau. Les premières ébauches de deux de ces documents stratégiques circulent en ce moment pour examen.

AAC a fourni des renseignements techniques et sur la capacité financière à la Régie des eaux des provinces des Prairies, la Red River Basin Commission, l'International Water Institute et la Commission mixte internationale pour éclairer les décisions relatives aux bassins hydrographiques en matière d’inondation, de drainage et de sécheresse dans les zones agricoles.

8. Programmes:
A. Mettre sur pied de nouvelles coopératives qui répondront aux besoins des citoyens dans les domaines prioritaires du gouvernement fédéral.

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4.2.1 Les collectivités sont en mesure de s'adapter et de maintenir ou générer des activités économiques durables

Pourcentage des coopératives mises sur pied dans les secteurs nouveaux et émergents de l'économie. En 2008-2009, 20 % des projets réalisés en vertu de l’Initiative de développement coopératif (IDC) visaient des secteurs nouveaux et émergents de l'économie.
Pourcentage des nouvelles coopératives qui font partie des priorités du gouvernement fédéral En 2008-2009, 100 % des projets de l’IDC répondent aux priorités fédérales de l'IDC.
Pourcentage de nouveaux projets coopératifs financés qui font partie des secteurs prioritaires qui intègrent les trois piliers du DD. En 2008-2009, 100 % des projets de l’IDC respectent au moins l’un des piliers du DD; 14 % d’entre eux intègrent les trois piliers.
B. Les familles agricoles à faible revenu ont trouvé des façons d'accroître le revenu familial.

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4.2.1 Les collectivités sont en mesure de s'adapter et de maintenir ou générer des activités économiques durables.

Accroissement des revenus des familles agricoles tirés d'activités agricoles ou non agricoles. 50 % des répondants à l’Évaluation de l’exploitation agricole ont déclaré que le programme les avait aidés à atteindre leur objectif le plus important et pour 48 % d’entre eux, cet objectif était d’être plus rentable.

Dans le cadre d’une évaluation du Service canadien de développement des compétences en agriculture, 80 % des répondants ont déclaré que le programme les avait aidés à atteindre leur objectif le plus important et pour 60 % d’entre eux, cet objectif était d’ordre financier.

49 % des répondants à l’Évaluation de l’exploitation agricole ont déclaré que le programme avait eu des retombées favorables sur leur revenu.

Dans le cadre de l'évaluation du Service canadien de développement des compétences en agriculture, 53 % des répondants ont déclaré que le programme avait eu des retombées favorables sur leur revenu.

Augmentation des compétences des agriculteurs et des familles agricoles. Les agriculteurs et leurs familles perfectionnent leurs connaissances et compétences en matière de gestion de l’entreprise en ayant un accès amélioré à des renseignements, des services et des outils de gestion de l'entreprise.
Intégration accrue des trois piliers du DD (et particulièrement des piliers sociaux et économiques). L’intégration des trois piliers de DD est renforcée par le fait qu’on tient compte de la situation et des objectifs sociaux, économiques et environnementaux des producteurs dans la prestation des renseignements, des services et des outils de gestion de l'entreprise par l’entremise de programmes comme celui des Services-conseils aux exploitations agricoles canadiennes.
Écologisation des opérations gouvernementales : conformément aux engagements pris dans leur SDD et de la Politique d’approvisionnement écologique, les ministères et les organismes doivent se fixer quatre objectifs en matière d’approvisionnement écologique au cours des trois années à venir, l’un d’entre eux devant être relié à la formation.
1. Une augmentation de 10 % du nombre d’imprimantes à impression recto verso au sein du Ministère. Nombre et pourcentage d’imprimantes à impression recto verso qui sont utilisées. AAC dispose de 1 005 imprimantes à impression recto verso. Environ 300 d’entre elles sont programmées par défaut pour l’impression recto verso; l’année dernière il n’y en avait que 130 programmées par défaut pour l’impression recto verso, ce qui représente une augmentation de 100 %.
2. Réduction de 3 % par année de la consommation de papier à l’administration centrale de la région de la capitale nationale (RCN). Réduction du volume de consommation de papier par rapport à la moyenne. AAC a atteint son objectif en matière de réduction de la consommation de papier (nombre de feuilles) dans la RCN (réduction de 24 % depuis 2005).
3. Dans la mesure du possible, intégration de spécifications relatives à l’utilisation de techniques écologiques dans les contrats de nettoyage des installations, p. ex. l’utilisation de produits et de pratiques écologiques. Nombre de contrats examinés et nombre de contrats comportant des spécifications écologiques. Toutes les soumissions de contrats reliés à des travaux de conciergerie comprenaient l'utilisation de produits et de pratiques écologiques (c.-à-d. 100 % des principaux contrats). Sept contrats ont été accordés.
4. Tous les gestionnaires du matériel et les agents d’approvisionnement suivent une formation sur l’approvisionnement, soit par l’intermédiaire du Programme de perfectionnement professionnel et de certification du Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT), soit par l’intermédiaire d’autres cours sur l’approvisionnement écologique.
Remarque : depuis 2005, AAC offre une formation au personnel à contrat.
Nombre et pourcentage des effectifs ayant suivi une formation. Continuer d’offrir une formation sur l’approvisionnement écologique à la collectivité de l’approvisionnement au sein d’AAC, soit par le truchement du Programme de perfectionnement professionnel et de certification du SCT, soit au moyen d’autres cours sur le sujet. Avantages : sensibilisation et application accrues de la politique sur l’approvisionnement écologique. Grâce à cette sensibilisation et à ces connaissances, la collectivité de l’approvisionnement peut intégrer les pratiques écologiques dans leurs secteurs de responsabilité. AAC veille à ce que les agents d'approvisionnement et les experts fonctionnels suivent une formation obligatoire, comprenant des volets sur l'approvisionnement écologique. AAC compte 110 employés affectés aux acquisitions, et à la gestion du matériel et des biens immobiliers (AGMBI). Parmi eux se trouvent également des experts fonctionnels. Sur ce nombre, 43 % ont suivi l'ensemble de la formation obligatoire, tandis que 57 % y sont inscrits et vont essayer de suivre tous les cours obligatoires, selon la disponibilité (il ne manque qu'un ou deux cours à la plupart d'entre eux). Tous les cours éclairs sont gratuitement disponibles en ligne depuis 2008-2009, les employés peuvent donc facilement y avoir accès.
Parc automobile vert
D’ici 2010, tous les véhicules routiers du fédéral rouleront avec des carburants à l’éthanol quand ils sont disponibles.
Pourcentage des véhicules routiers d'AAC qui peuvent rouler avec des carburants à l’éthanol. AAC dispose de 367 véhicules routiers qui peuvent fonctionner à l’éthanol, ce qui représente 28,4 % de notre parc automobile.
D’ici 2010, réduction de 15 % des émissions de gaz à effet de serre par rapport aux niveaux de 2002-2003, et ce, pour chaque véhicule du parc automobile du Ministère. Évaluation de la moyenne annuelle des émissions de GES par véhicule/kilomètre. AAC n’a pas terminé ses calculs étant donné qu’il n’est pas rentable d’effectuer cet exercice chaque année. AAC est résolu à procéder à cette analyse en 2009, lorsque la SDD arrivera à échéance, et à rendre compte des résultats. En attendant, on a pris une série de mesures visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre de nos véhicules - au nombre de celles-ci, signalons qu'il est recommandé d'utiliser du carburant E-5 et E-10 et d'adopter des techniques de conduite favorisant un bon rendement du carburant. De plus, d’anciens véhicules sont graduellement remplacés par de nouveaux modèles à meilleur rendement de consommation de carburant.
Énergie
D’ici 2010, réduction des émissions de gaz à effet de serre par les opérations du Ministère de 8,5 % par rapport aux niveaux produits par ses opérations de 1998.
Niveau annuel des émissions de gaz à effet de serre d’AAC, calculé selon les quantités enregistrées de consommation annuelle d’énergie dans les édifices d’AAC et par ses véhicules. Les émissions de GES d’AAC continuent de diminuer. Selon des données estimatives et actuelles, les émissions de GES ont diminué de 2,5 % au cours de 2007-2008. Ceci veut donc dire que, depuis 2007-2008, les niveaux d'émission de GES associés aux édifices d’AAC sont de 7,7 % inférieurs aux niveaux de réduction ciblés.
Sites contaminés
D’ici 2009, tous les sites de recherche d’AAC susceptibles d’être contaminés seront l’objet de la première phase d’une évaluation environnementale par un tiers.
Nombre et pourcentage d’évaluations environnementales (phase I) terminées sur les propriétés consacrées à la recherche et susceptibles d’être contaminées, tel qu’il est indiqué dans le plan approuvé. Objectif atteint. La phase I de l’évaluation environnementale par un tiers a été effectuée en 2009 sur tous les sites de recherche (100 %) susceptibles d'être contaminés.
Gestion de l’hydrocarbure halogéné
Inventaire actualisé des équipements et appareils réfrigérants fonctionnant à l’hydrocarbure halogéné.
Inventaire vérifié et actualisé chaque année. 90 % des sites de recherche ont dressé leur inventaire. Seules quelques dépendances n’ont pas été recensées pour les réfrigérateurs et les petits électroménagers en raison du nombre très peu élevé de ces appareils.
Programme d’observation et de gestion des hydrocarbures halogénés mis en œuvre. Mise en œuvre du plan selon l’échéancier annuel (rapport sur les émissions, sur les visites de sites et rapport annuel de suivi). Les sites d’AAC ont reçu deux notes de rappel officielles sur la nécessité de rendre compte des émissions deux fois par année à Environnement Canada selon le calendrier fixé par la réglementation.

Deux réunions du groupe de travail ont été tenues, conformément à la demande annuelle relative aux émissions d’hydrocarbures halogénés et à la demande biannuelle de vérifier les fuites et l’exactitude de l’inventaire. De plus, le Halocarbon Management Digest (Manuel de gestion des hydrocarbures halogénés en fonction des règlements en vigueur en octobre 2008) a été révisé et publié.

Espèces en péril
D’ici 2009, évaluation de la recherche et des sites de pâturage pour détecter la présence possible ou réelle d’espèces en péril et leur habitat.
Nombre et pourcentage d’évaluations des espèces en péril dans les pâturages communautaires et de leur habitat qui sont terminées.

En 2008-2009, plusieurs pâturages communautaires ont fait l'objet d'une évaluation par des organismes indépendants, principalement par Environnement Canada. Ces études visaient à détecter des espèces en péril. En tout, 51 pâturages sur 85 (soit 60 %) ont fait l'objet d'une étude. Les 34 autres pâturages pourraient abriter des espèces menacées d'oiseaux des prairies et feront l'objet d'études au cours des prochaines années.

On a aussi procédé à une évaluation des plantes menacées d'extinction sur le site d'AAC à Frelighsburg (Québec). On a également réalisé une analyse au bureau des espèces en péril sur trois sites en Colombie-Britannique (Agassiz, Kamloops et Pass Lake). Ainsi, tous les sites de recherche d'AAC ayant le potentiel d'abriter des habitats fauniques ont fait l'objet d'une évaluation. Cependant, pour donner suite aux évaluations faites au bureau, des enquêtes sur place doivent être effectuées pour confirmer la présence d’espèces en péril sur les trois sites de la C.-B. susmentionnés.

D'ici 2009, terminer un plan de gestion pour chaque site de recherche très susceptible d’abriter des espèces en péril et des habitats d’espèces en péril. Nombre et pourcentage de plans de gestion réalisés. Un plan de gestion des espèces en péril a été élaboré pour une sous-station de recherche à Frelighsburg (Québec), ce qui porte à trois le nombre de plans de gestion. Trois autres sites susceptibles d’abriter des espèces en péril ne font pas encore l’objet de tels plans et ne pourront le faire avant que les enquêtes sur le terrain ne soient terminées (2009-2010). En tout, 50 % du travail d’évaluation est terminé.
Qualité de l’eau
Mise en œuvre d’un plan ministériel de gestion de la qualité de l’eau potable d’ici 2009.
Nombre et pourcentage de sites ayant un plan de gestion de la qualité de l’eau potable. AAC s’est doté d’un plan de gestion de l’eau potable et toutes ses installations ont un tel plan adapté à leur situation respective. La mise en œuvre de ces plans adaptés de gestion de la qualité de l’eau ne progresse pas au même rythme. La mise en œuvre arrivera à son terme à mesure que les ressources financières et humaines permettront de terminer les enquêtes sanitaires.


Approvisionnement vert

Respect des exigences stratégiques

Le ministère a-t-il intégré le rendement environnemental dans son processus décisionnel relatif à l’approvisionnement?

Oui

Résumé des initiatives visant à intégrer le rendement environnemental dans le processus décisionnel relatif à l'approvisionnement :

L'approvisionnement vert, tel que prévu dans la politique d'approvisionnement vert, fait partie des efforts déployés par le gouvernement fédéral pour prendre un virage vert, en partant du principe selon lequel la gestion du cycle de vie des biens commence par l'approvisionnement. L'intégration du rendement environnemental dans la planification, l'acquisition, l'utilisation et l'élimination peut favoriser l'achat de produits verts, réduire les coûts et les répercussions à l'interne et faire en sorte que l'élimination respecte les normes environnementales. L'achat de produits verts, qu'ils soient plus éconergétiques, moins dommageables ou composés d'une plus grande proportion de matériaux recyclés que les produits ordinaires, peut avoir d'importantes répercussions. Le document d'orientation sur l'écologisation des pratiques à l'intention de l'ensemble du gouvernement fédéral contient des recommandations précises sur l'approvisionnement vert, le parc automobile vert et les émissions de gaz à effet de serre produites par les édifices. Afin de soutenir les efforts axés sur l'environnement déployés par le Ministère et l'ensemble du gouvernement fédéral, AAC a mis l'accent sur le besoin « d'écologiser » nos activités ministérielles lorsque c'est possible. AAC continue d'explorer les possibilités écologiques en ce qui concerne les processus d'achat de véhicules et a augmenté la proportion de véhicules fonctionnant à l'éthanol et de véhicules hybrides dans le parc automobile du Ministère. La Commission d'examen des achats du Ministère évalue toutes les activités d'approvisionnement importantes et s'efforce de tenir compte du rendement environnemental lorsque cela est possible et faisable. Le Ministère continue aussi de sensibiliser ses clients à propos de l'importance d'incorporer des éléments écologiques dans les critères d'approvisionnement lorsque cela est faisable. Par exemple, AAC n'approuve de gros contrats de nettoyage que si le client inclut des initiatives vertes dans la demande de proposition. Il cherche aussi activement un moyen de promouvoir et de rendre obligatoire l'utilisation d'imprimantes recto-verso pour réduire la consommation de papier. Nous tenons donc compte de cette capacité dans nos plans d'achat.

Résultats obtenus :

AAC a réussi à incorporer des éléments verts dans le processus d'approbation de l'approvisionnement. Au cours de l'exercice 2008-2009 (valeur totale de 5.3M$), il a accordé sept marchés pour des services de nettoyage qui comprennent des pratiques écologiques et l'utilisation de produits verts dans la mesure du possible.

Contributions visant à faciliter l'approvisionnement vert dans l'ensemble du gouvernement :

AAC s'efforce de faire connaître ses succès aux autres ministères et adopte volontiers les meilleures pratiques établies. Les membres de l'équipe de gestion des biens participent à divers groupes de travail pangouvernementaux et encouragent la mise en oeuvre de pratiques vertes dans l'ensemble du gouvernement.

Objectifs d'approvisionnement vert

Le ministère a-t-il établi des objectifs d'approvisionnement vert?

Oui

Ces objectifs sont-ils les mêmes que ceux qui sont indiqués dans votre Stratégie de développement durable?

Oui

Résumé des objectifs d'approvisionnement vert :

AAC a établi quatre objectifs d'approvisionnement vert, qui sont inclus dans sa Stratégie de développement durable.

  1. Formation continue en approvisionnement vert offerte au personnel chargé des achats à AAC, soit par le Programme de perfectionnement professionnel et de certification du SCT, soit par d'autres cours sur l'approvisionnement vert.

    Avantages : Sensibilisation accrue et application améliorée de la Politique d'approvisionnement vert. Une fois sensibilisé et informé, le personnel chargé des achats peut intégrer des pratiques d'approvisionnement vert dans leurs sphères de responsabilité.

  2. Réduction annuelle de 3 p. 100 de la consommation de papier dans la RCN, grâce à l'ajout d'imprimantes recto verso au Ministère, surtout dans la RCN.

    Avantages : La réduction de la consommation de papier a des effets directs et positifs sur l'environnement grâce aux économies d'énergie et à la réduction des déchets.

  3. Inclusion, dans la mesure du possible, de caractéristiques techniques vertes (utilisation de produits et de pratiques verts) en ce qui concerne les contrats de nettoyage des installations.

    Avantages : L'utilisation accrue de produits et de pratiques verts a des effets directs sur l'environnement.

  4. Augmentation annuelle de 10 p. 100 du nombre d'imprimantes recto verso au Ministère.

    Avantages : Aider le Ministère dans ses efforts de réduction de la consommation de papier.

Résultats obtenus :

AAC a inscrit 110 de ses employés comme spécialistes des acquisitions, de la gestion du matériel et des biens immobiliers. De ce nombre, 43 p. 100 satisfont à toutes les exigences de la formation et 57 p. 100 n'ont besoin que d'un ou deux cours.

AAC a atteint son objectif de réduction de la consommation de papier, grâce à une réduction réelle (en nombre de feuilles) de 24 p. 100 depuis l'année de référence (2005).

Au cours de l'exercice 2008-2009, AAC a attribué sept contrats pour des services de nettoyage qui comprennent des pratiques écologiques et l'utilisation de produits verts dans la mesure du possible.

AAC possède 1 005 imprimantes recto verso. AAC étudie actuellement la possibilité de configurer la majorité de ses imprimantes pour l'impression recto verso par défaut.



Réponses aux comités parlementaires et aux vérifications externes

Réponses au comité parlementaire


  • Pendant la période de référence, le ministère a présenté deux réponses à des rapports du comité parlementaire.

Comité permanent de l'agriculture et de l'agroalimentaire (CPAA)


  • Le CPAA avait exigé une réponse exhaustive du gouvernement à son rapport intitulé Cultivons l'avenir, déposé à la Chambre des communes le 29 février 2008. La réponse du gouvernement a été déposée le 16 juillet 2008.

  • Agriculture et Agroalimentaire Canada a lancé des programmes tels que l'Initiative pour un investissement écoagricole dans les biocarburants (IIEB) et le programme Agri-débouchés qui répondent à une recommandation portant que le gouvernement fédéral augmente le financement des activités de recherche et d'innovation en agriculture. Plusieurs initiatives gouvernementales répondent à une autre recommandation du comité, qui était de donner une dimension de commercialisation à la composante environnementale de Cultivons l'avenir. Ces initiatives comprennent les travaux des gouvernements fédéral-provinciaux-territoriaux (FPT) auprès des entreprises canadiennes pour les aider à mieux positionner leurs produits dans les marchés clés au moyen de la stratégie d'image de marque du Canada, ainsi que le Programme pour l'avancement du secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire, qui aide le secteur à mesurer et à commercialiser les caractéristiques environnementales des produits agricoles canadiens. De plus, pour assurer la mise en œuvre fructueuse des programmes non liés à la gestion des risques de l'entreprise, le gouvernement a proposé que des efforts soient déployés pour renforcer les partenariats dirigés par le secteur, qui sont des éléments clés des initiatives axées sur la science et l'innovation proposées dans le cadre stratégique Cultivons l'avenir.

  • Le comité a aussi demandé une réponse exhaustive du gouvernement à son rapport intitulé Étude sur l'effondrement des revenus dans les secteurs du bœuf et du porc, qui a été déposé à la Chambre des communes en décembre 2007. La réponse du gouvernement a été déposée le 10 avril 2008.

  • Afin de régler les problèmes de liquidité à court terme et de répondre aux besoins de trésorerie immédiats, les ministres FPT de l'Agriculture ont annoncé la première étape d'un plan d'action national visant à atténuer les fortes pressions subies par les éleveurs de bovins et de porcs du Canada. Ce plan donnera à ces producteurs un accès accéléré au nouvel ensemble de programmes de gestion des risques de l'entreprise. De plus, la Loi sur les programmes de commercialisation agricole a été modifiée afin de faciliter l'accès de ces producteurs à des liquidités immédiates.

  • En réponse à une recommandation voulant que le ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire procède à un examen complet des mesures réglementaires relativement à la compétitivité du Canada dans le secteur des viandes, une des nombreuses initiatives prises fut la création, en octobre 2007, d'un Groupe de travail conjoint secteur-gouvernement sur l'élevage chargé de se pencher sur les défis des secteurs du bœuf et du porc.

  • Enfin, en réponse à une recommandation relative à des mesures concernant l'interdiction renforcée frappant les aliments du bétail, plusieurs initiatives ont été lancées dans le but de réduire le coût global de la ségrégation et de l'élimination des matières à risque spécifiées (MRS) et de favoriser une meilleure harmonisation des règlements entre le Canada et les États-Unis.

Comité permanent des comptes publics


  • Le Comité permanent des comptes publics a demandé une réponse globale du gouvernement au rapport qu'il a déposé devant la Chambre des communes le 25 février 2009 et qui portait sur le chapitre 4, Le Programme canadien de stabilisation du revenu agricole - Agriculture et Agroalimentaire Canada, du rapport de mai 2007 du vérificateur général du Canada. Le gouvernement a déposé sa réponse le 22 juillet 2009.

  • Le chapitre 4 du rapport du Bureau de la vérificatrice générale (BVG) visait à évaluer dans quelle mesure Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) traite de façon efficace les demandes reçues au titre du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA), respecte les exigences de suivi énoncées dans les accords de mise en œuvre fédéraux-provinciaux-territoriaux et mesure le rendement du Programme. Le Comité permanent a tenu une réunion le 1er avril 2008 pour examiner le chapitre. Le BVG et la sous-ministre d'AAC ont comparu à cette occasion.

  • Le paragraphe suivant fait partie de la réponse du gouvernement aux cinq recommandations du Comité :

    Le Ministère rendra compte des résultats des programmes de gestion des risques de l'entreprise chaque année par le biais de son Rapport ministériel sur le rendement. Dans son cadre de rendement, AAC a élaboré une stratégie de mesure du rendement des programmes de remplacement du PCSRA. En outre, AAC est à établir des normes de service réalistes pour le traitement des demandes de participation aux programmes de soutien du revenu agricole et a pris des mesures pour éliminer les risques de conflits d'intérêts associés au PCSRA et renforcer son programme des valeurs et de l'éthique.

Réponses aux vérifications externes

Réponses à la vérificatrice générale et au Commissaire à l'environnement et au développement durable (CEDD)

  • Le chapitre 3 du rapport de décembre 2008 du CEDD avait trait à la gestion des programmes environnementaux à AAC. La vérification visait essentiellement à déterminer si AAC pouvait démontrer qu'il gérait le volet Environnement du Cadre stratégique pour l'agriculture de façon à réaliser ses objectifs en matière de production agricole écologique. La vérification portait sur cinq programmes de contributions : le Programme de planification environnementale à la ferme (PPEF); le Programme national de gérance agroenvironnementale (PNGA); le Programme d'évaluation des technologies environnementales pour l'agriculture (PETEA); le Programme national d'approvisionnement en eau (PNAE); le Service national d'information sur les terres et les eaux (SNITE), un grand projet de l'État.

  • AAC a souscrit aux recommandations de la vérificatrice générale et prend des mesures pour leur donner suite. Le rapport détaillé de décembre 2009 et la liste des recommandations accompagnées des réponses ministérielles sont affichés sur le site Web de la vérificatrice générale.

  • Le BVG a effectué des vérifications du Compte de stabilisation du revenu net (CSRN) pour les exercices 2003-2004 à 2007-2008 inclusivement. Ces vérifications avaient pour objectif de fournir une opinion indépendante « à savoir que les états financiers donnent, à tous les égards importants, une image fidèle selon les principes comptables généralement reconnus du Canada ». Les rapports de vérification ne renfermaient aucune recommandation.1

Bureau du Commissaire aux langues officielles (BCLO)


  • Le rapport de mars 2009 a trait à la vérification d'AAC que le BCLO a effectuée entre novembre 2006 et novembre 2007. La vérification portait sur les services offerts dans les deux langues officielles par les bureaux désignés bilingues d'AAC. Son objectif consistait à examiner le cadre et les mécanismes de gestion que le Ministère a mis en place pour remplir ses obligations conformément à la Loi sur les langues officielles. Le Ministère a souscrit aux recommandations et a préparé un plan d'action pour y donner suite. Le rapport et les réponses ministérielles sont affichés sur le site Web du BCLO.

1 Veuillez prendre note que les vérifications du CSRN ne seront pas affichées sur le site Web du BVG.



Vérifications internes et évaluations

Vérifications internes

Voici la liste de toutes les vérifications internes clés visant leurs travaux pendant la période de référence incluant l'hyperlien vers les vérifications internes déjà effectuées, lorsque disponible.

Nom de la vérification interne Type de vérification État Date de conclusion Hyperlien vers le rapport
Programme canadien de stabilisation du revenue agricole (PCSRA) Paiement de transfert Terminé Avril 2008 http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1234816387758&lang=fra
Service national d'information sur les terres et les eaux (SNITE), système en voie d'élaboration Système en voie d'élaboration Terminé Octobre 2008 http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1233606529174&lang=fra
Programme de couverture végétale du Canada Cadre de contrôle Terminé Juin 2008 http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1234817744362&lang=fra
Gestion des ententes fédérales-provinciales pour la mise en oeuvre du Programme national de redressement de l'industrie bovine dans le sillage de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) Paiement de transfert Terminé Juin 2008 http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1234818543627&lang=fra
Programme de paiements relatifs au revenu agricole (PPRA), paiements directs Paiement de transfert Terminé Octobre 2008 http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1234381558869&lang=fra
Programme de paiements relatifs au revenu agricole (PPRA), paiements généraux Paiement de transfert Terminé Octobre 2008 http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1234380698498&lang=fra
Programme de paiements pour les producteurs de céréales et d'oléagineux (PPPCO) Paiement de transfert Terminé Octobre 2008 http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1234381202793&lang=fra
Programme de pâturages communautaires (PPC) Cadre de contrôle de gestion En cours Exercice 2009-2010 Pas encore disponible
Loi sur la protection des renseignements personnels Conformité En cours Exercice 2010-2011 Pas encore disponible
Fonction des services intégrés des Centres de recherche Conformité En cours Exercice 2009-2010 Pas encore disponible

N.B. : Certaines vérifications prévues pour 2008-2009 ont été annulées parce qu'elles n'avaient pas été ciblées comme étant des priorités par un processus de planification axé sur les risques terminé au printemps 2008. Les travaux de vérification ont surtout porté sur les projets ciblés dans le Plan de vérification axé sur les risques de 2008-2009 à 2010-2011. Les projets de vérification qui ont été annulés sont les suivants : vérification de suivi sur la sécurité de l'information; évaluation de suivi sur les langues officielles; services d'aide temporaire; vérification de suivi sur la rémunération et les avantages sociaux; activités promotionnelles; conformité avec la politique sur l'accès au réseau sans fil; processus et contrôles en vertu de l'article 33 de la Loi sur la gestion des finances publiques; gestion des immobilisations.

Évaluations

Vous trouverez ci-dessous une liste de toutes les évaluations qui portent sur les travaux du Ministère effectués au cours de la période visée, y compris l'activité de programme visée, le cas échéant. Des liens électroniques n'ont été inclus que pour les rapports d'évaluation qui ont été approuvés par le comité ministériel des évaluations.

Nom de la vérification interne/de l'évaluation Activité de programme Type d'évaluation État Date de conclusion Hyperlien vers le rapport
Programme pour l'avancement du secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire Innovation et renouveau Paiement de transfert Rapport Juin 2009  
Programme international du Canada pour l'agriculture et l'alimentation (PICAA) Marchés et international Paiement de transfert Annulé1 s. o.  
Bureau de résolution des conflits Service interne Demande de la direction Terminé Juin 2009  
Protocole d'entente interministériel relatif au CSA avec Santé Canada Salubrité et qualité des aliments et environnement Paiement de transfert Sous la direction de Santé Canada2 À déterminer  
Service canadien de développement des compétences en agriculture (SCDCA) Innovation et renouveau Paiement de transfert Annulé3 s. o.  
Table ronde sur les chaînes de valeur Marchés et international Demande de la direction Reporté4 s. o.  
Programmes de renouveau entrepris par les organisations nationales Innovation et renouveau Paiement de transfert En cours Mars 2010  
Initiative sur les normes agroenvironnementales nationales (INAEN) Environnement Paiement de transfert Sous la direction d'Environnement Canada5 Juillet 2009  
Programme d'aide ponctuelle à la gestion des risques de l'entreprise (GRE) Gestion des risques de l’entreprise Paiement de transfert Annulé6 s. o.  
Programme des sciences Salubrité et qualité des aliments, environnement et innovation et renouveau Gouvernance En cours Mars 2010  

1Puisque le PICAA a été remplacé par un programme d'appui à l'information sur les marchés et renforcement des capacités à l'exportation, l'évaluation a été annulée. Le programme de remplacement, qui fait partie de l'initiative Cultivons l'avenir, sera évalué en 2012-2013.

2Santé Canada a pris la direction de cette évaluation à titre de ministère responsable de l'application (financement d'AAC prévu dans le protocole d'entente).

3L'évaluation de ce programme a été annulée lorsque le programme est arrivé à échéance.

4Cette évaluation a été remise en 2012-2013. Elle fera partie d'une évaluation globale des programmes de compétitivité du secteur.

5Environnement Canada est maintenant responsable de cette évaluation.

6L'évaluation de ce programme a été annulée lorsque les programmes ponctuels sont arrivés à échéance.