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Renseignements supplémentaires (Tableaux)
Activit� de programme | 2008-2009 Revenus r�els (en milliers de dollars) |
2009-2010 Revenus r�els (en milliers de dollars) |
2010-2011 (en milliers de dollars) | |||
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Budget principal des d�penses |
Revenus pr�vus |
Autorisations totales |
Revenus r�els |
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Gestion des ressources humaines | ||||||
Revenus li�s � l'application de la Loi sur la pension de la fonction publique1,3 | 3 182 | 3 913 | 6 335 | 6 335 | 4 564 | |
Fonds pangouvernementaux et paiements en tant qu'employeur de la fonction publique |
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Revenu li� � l'assurance de la fonction publique2 | 333 858 | 361 321 | 369 999 | 370 000 | 371 986 | 371 986 |
Total des revenus disponibles | 337 040 | 365 234 | 369 999 | 376 335 | 378 322 | 376 550 |
Activit� de programme | 2008-2009 Revenus r�els (en milliers de dollars) |
2009-2010 Revenus r�els (en milliers de dollars) |
2010-2011 (en milliers de dollars) | |||
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Budget principal des d�penses |
Revenus pr�vus |
Autorisations totales |
Revenus r�els |
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Revenus tir�s des droits de stationnement1 | 11 643 | 11 595 | 11 882 | 10 672 | 10 672 | |
Revenus externes provenant des demandes d'acc�s � l'information | 1 | 1 | 4 | 4 | ||
Revenus li�s � l'application de la Loi sur la pension de la fonction publique2 | 854 | 860 | 1 510 | 931 | 931 | |
Remboursements de charges d'exercices ant�rieurs | 744 | 384 | 590 | 590 | ||
Mesures disciplinaires | 33 | 63 | 38 | 38 | ||
Produit de la vente de biens exc�dentaires de la Couronne | 7 | 1 | 0 | 0 | ||
Autre | 34 | 15 | 34 | 34 | ||
Total des revenus non disponibles | 13 316 | 12 919 | 13 392 | 12 269 | 12 269 |
Frais d'utilisation : Frais exig�s pour le traitement des demandes d'acc�s � l'information pr�sent�es en vertu de la Loi sur l'acc�s � l'information
Type de frais : Autres produits et services (O)
Pouvoir d'�tablissement des frais : Loi sur l'acc�s � l'information
Date de la plus r�cente modification : 2005
Norme de rendement : Une r�ponse doit �tre fournie dans les 30 jours suivant la r�ception de la demande; ce d�lai peut �tre prorog� en vertu de l'article 9 de la Loi sur l'acc�s � l'information. Un avis de prorogation doit �tre transmis dans les 30 jours suivant la r�ception de la demande.
R�sultat li� au rendement : Les �ch�anciers �nonc�s dans la Loi sur l'acc�s � l'information sont respect�s dans 97 p. 100 des cas.
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Ann�es de planification (en milliers de dollars) |
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Revenus pr�vus | Revenus r�els | Co�t total | Exercice | Revenus pr�vus | Co�t total estimatif |
1,5 | 1,8 | 372 | 2011-2012 | 1,7 | 620 |
2012-2013 | 1,8 | 630 | |||
2013-2014 | 1,9 | 640 |
Nota : Selon l'avis juridique applicable, si l'�tablissement des frais correspondants ou la derni�re modification sont ant�rieurs au 31 mars 2004 :
Frais externes | Norme de service | R�sultats li�s au rendement | Consultation des intervenants |
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Frais exig�s pour le traitement des demandes d'acc�s � l'information | Une r�ponse doit �tre fournie dans les 30 jours suivant la r�ception de la demande; ce d�lai peut �tre prorog� en vertu de l'article 9 de la Loi sur l'acc�s � l'information. Un avis de prorogation doit �tre transmis dans les 30 jours suivant la r�ception de la demande. | Les �ch�anciers �nonc�s dans la Loi sur l'acc�s � l'information sont respect�s dans 97 p. 100 des cas. | La norme de service est �tablie par la Loi sur l'acc�s � l'information et le r�glement y aff�rent. Des intervenants ont �t� consult�s au regard des modifications apport�es en 1986, 1992 et 2005. |
Nota : Comme il est indiqu� dans la Politique sur les normes de service pour les frais d'utilisation :
Formation du personnel responsable de l'approvisionnement et du mat�riel : Nombre d'employ�s en gestion des achats et du mat�riel, avec une formation officielle sur les achats �cologiques (par exemple, les employ�s qui ont suivi le cours C215 de l'�cole de la fonction publique du Canada ou un cours interne personnalis�), par rapport au nombre total d'employ�s responsables
de la gestion des achats et du mat�riel.
Formation des d�tenteurs d'une carte d'achat : Nombre de d�tenteurs d'une carte d'achat qui ont re�u une formation officielle sur les achats �cologiques (qui ont suivi par exemple le cours C215 de l'�cole de la fonction publique du Canada ou un cours interne personnalis�) par rapport au nombre total de d�tenteurs d'une carte d'achat.
�valuations du rendement : Nombre d'�valuations du rendement des gestionnaires et des administrateurs fonctionnels charg�s de l'approvisionnement et du mat�riel qui incorporent des consid�rations environnementales au nombre total d'�valuations du rendement des gestionnaires et des administrateurs fonctionnels charg�s de l'approvisionnement et du mat�riel.
Processus et activit�s de contr�le en mati�re d'achats : Nombre de processus et d'activit�s de contr�le minist�riels en mati�re d'achats qui incorporent les consid�rations environnementales au nombre total d'activit�s de contr�le minist�riels en mati�re d'achats � l'�chelle du minist�re qui devraient comporter des facteurs environnementaux. Il se peut aussi que les minist�res et organismes puissent rendre compte des progr�s en vue d'am�liorer l'incorporation des consid�rations environnementales aux processus et aux contr�les en mati�re d'achats.
Activit� | Objectif en pourcentage (selon le RPP de 2010-2011) |
R�sultats r�els en pourcentage | Description ou commentaires |
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Formation du personnel responsable de l'approvisionnement et du mat�riel | 90 % | D�pass� (100 %) | La totalit� (100 p. 100) du personnel responsable de la gestion des achats et du mat�riel a suivi la formation requise. |
Formation des d�tenteurs d'une carte d'achat | 75 % |
Non atteint |
Des politiques au regard des cartes d'achat ont �t� cr�es, et il est maintenant obligatoire de suivre la formation sur les achats �cologiques pour obtenir une carte d'achat. Ainsi, pour obtenir une carte d'achat, tous les nouveaux demandeurs doivent prouver qu'ils ont suivi le cours sur les achats �cologiques. Les d�tenteurs de carte actuels doivent �galement suivre cette formation, s'ils ne l'ont pas encore fait. Au 31 mars, seulement 134 des 253 d�tenteurs, ou 53 p. 100, avaient suivi la formation sur les achats �cologiques. |
�valuations du rendement | Des clauses sur les consid�rations environnementales seront ajout�es aux ententes de rendement de tous les gestionnaires et administrateurs fonctionnels d�sign�s pour l'exercice 2011–2012. | Atteint | Des clauses sur les consid�rations environnementales ont �t� ajout�es aux ententes de rendement des gestionnaires et des administrateurs fonctionnels responsables de la gestion des achats et du mat�riel. |
Processus et activit�s de contr�le en mati�re d'achats | D'ici le 31 mars 2011, la totalit� des processus et des mesures de contr�le inh�rents aux achats comporteront des consid�rations environnementales. | Passablement atteint | La totalit� des processus et des mesures de contr�le en mati�re d'achats sont g�r�s par la Division de l'acquisition, de l'approvisionnement et de la gestion du mat�riel du Secr�tariat. Les processus ont �t� recens�s et les r�visions sont en cours. Les facteurs � consid�rer en ce qui a trait aux achats �cologiques sont actuellement int�gr�s aux processus r�vis�s et � la documentation � l'appui de l'Initiative de renouvellement de l'approvisionnement On proc�de au suivi des activit�s d'achat �cologique au moyen du syst�me financier du Secr�tariat, soit le Syst�me int�gr� des finances et du mat�riel (SAP). |
Valeur, en dollars, des achats effectu�s par des instruments d'achats regroup�s �cologiques (tels que d�sign�s par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada [TPSGC]) relativement au un bien ou service pr�cis par rapport � la valeur totale en dollars des achats relatifs � ce bien ou � ce service.
Valeur, en dollars, des achats relatifs � un bien ou � un service qui incorporent des consid�rations environnementales � la valeur totale en dollars des achats relatifs � ce bien ou � ce service (cette mesure du rendement s'applique dans les cas o� aucun instrument d'achats regroup�s �cologiques d�sign� par TPSGC n'a �t� utilis� ou n'�tait offert pour le bien ou le service en question).
Bien ou service | Objectif en pourcentage (selon le RPP de 2010-2011) |
R�sultats r�els en pourcentage | Description ou commentaires |
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P�riph�riques de la TI | 95 % | Passablement atteint | La Direction de la gestion de l'information et de la technologie du Secr�tariat offre des conseils quant � l'achat de p�riph�riques de la TI qui tiennent compte des facteurs environnementaux. Toutefois, les achats de p�riph�riques de la TI au Secr�tariat sont actuellement d�centralis�s. Celui-ci a recours aux cotations de la consommation �nerg�tique des postes de travail dans les appels d'offres qu'il lance dans le cadre d'une Demande de rabais pour volume. Les achats de la TI seront centralis�s au cours de l'exercice 2011‑2012. |
V�hicules | 100 % | S.O. | Aucun v�hicule n'a �t� achet� en 2010–2011. � l'avenir, le Secr�tariat maintiendra son approche, laquelle consiste � acheter des v�hicules hybrides pour son parc automobile. |
R�ponse aux comit�s parlementaires
Comit� permanent des comptes publics : Quatri�me rapport, chapitre 1, � L’analyse comparative entre les sexes �, du rapport du printemps 2009 de la v�rificatrice g�n�rale du Canada
Sommaire du Rapport | Progr�s accomplis dans la concr�tisation des recommandations | Lien avec la r�ponse du Secr�tariat |
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L’analyse comparative entre les sexes (ACS) est un outil qui sert � �valuer l’impact probable des politiques sur les hommes et les femmes, distinctement. Lorsqu’elle est utilis�e efficacement, l’ACS permet d’int�grer les diff�rences entre les hommes et les femmes � chaque �tape du processus d’analyse des politiques. L’ex�cution de l’ACS est une responsabilit� commune � l’ensemble de l’appareil gouvernemental f�d�ral. Le Comit� est d’avis que Condition f�minine Canada (CFC) devrait jouer un r�le de chef de file en ce qui a trait � la mise en œuvre de l’ACS et qu’elle est l’entit� la mieux plac�e pour boucler la boucle de la responsabilit� en faisant �tat des progr�s accomplis par le gouvernement quant � la mise en œuvre de son plan d’action. On a ajout� une Opinion compl�mentaire au Rapport, soit celle de membres du Comit� repr�sentant le Parti conservateur du Canada, dans le but de souligner le r�le de chef de file que joue le Canada en mati�re d’ACS. L’Opinion compl�mentaire traite �galement de la publication du Plan d’action minist�riel pour l’analyse comparative entre les sexes. Le partenariat entre CFC, le Bureau du Conseil priv� (BCP) et le Secr�tariat permettra aux minist�res et organismes d’�changer relativement aux d�fis aff�rents � l’ACS. | Dans les recommandations 2 et 3, lesquelles ont trait � la fonction d’examen critique, le Comit� a demand� au Secr�tariat et au BCP d’ordonner aux minist�res et organismes d’expliquer par �crit pourquoi ils ont jug� pertinent ou non pertinent de tenir compte des r�percussions sur le genre. Les organismes centraux
affirment qu’ils s’acquittent g�n�ralement de la fonction d’examen critique de façon non officielle ou verbale, et que la documentation n’am�liorerait pas syst�matiquement la nature de cette fonction. Au regard de la recommandation 4, on demandait au Secr�tariat de pr�ciser l’engagement du gouvernement relativement � l’ACS et de mettre au point un plan de communication pour expliquer clairement en quoi consistent les attentes � l’endroit des minist�res et organismes en ce qui concerne l’ACS. Depuis le d�p�t du Plan d’action minist�riel pour l’analyse comparative entre les sexes, CCF, avec l’aide des organismes centraux, collabore avec les organisations f�d�rales pour satisfaire les attentes quant � l’application de l’ACS et � la cr�ation des �l�ments du cadre sur l’ACS. |
R�ponse du gouvernement (D�pos�e � la Chambre des communes le 18 ao�t 2010) |
Comit� permanent des comptes publics : Cinqui�me rapport,chapitre 1, � La protection des renseignements et des biens du gouvernement lors de l’octroi des contrats �, du rapport d’octobre 2007 de la v�rificatrice g�n�rale du Canada
Sommaire du Rapport | Progr�s accomplis dans la concr�tisation des recommandations | Lien avec la r�ponse du Secr�tariat |
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Le Comit� fait �tat de pr�occupations au sujet de la protection des renseignements et des biens du gouvernement confi�s � des entrepreneurs du secteur priv�. Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) est le principal responsable de l’approvisionnement au sein du gouvernement f�d�ral. Le Secr�tariat a adopt� la Politique sur la s�curit� du gouvernement et, conform�ment � cette politique, chaque minist�re est responsable d’assurer la protection des renseignements et des biens de nature d�licate qu’il a en sa possession aux fins des contrats qu’il administre. Le Comit� est d’avis que le Secr�tariat doit travailler plus activement en vue de s’assurer que les politiques du Conseil sont faciles � comprendre et que les minist�res et organismes comprennent leurs responsabilit�s. Le Comit� a critiqu� le Secr�tariat en ce qui concerne sa capacit� de surveiller le respect des politiques et sa disposition � tenir les minist�res responsables du non-respect des politiques du Conseil du Tr�sor. |
Pour donner suite � ces recommandations, TPSGC et le Secr�tariat ont soumis au Comit� les r�sultats collectifs des �valuations du Cadre de responsabilisation de gestion r�alis�es dans le cadre des rondes V et VI. Ces r�sultats montrent la conformit� des institutions f�d�rales � la composante de gestion 19 (Gestion efficace de la s�curit� et de la
continuit� des activit�s). Le Secr�tariat et TPSGC ont �galement remis au Comit� les r�sultats d’un examen visant � d�terminer si le Programme de s�curit� industrielle doit s’appliquer � tous les contrats exigeant une cote de s�curit� de niveau � secret � ou sup�rieur. L’examen a permis de d�terminer que le traitement de ces contrats ne doit pas �tre centralis� et de formuler plusieurs recommandations afin d’am�liorer le traitement des exigences de s�curit� � l’�chelle du gouvernement. |
R�ponse au cinqui�me rapport du Comit� permanent des comptes publics (D�pos�e � la Chambre des communes le 20 septembre 2010) Rapport sur l’examen de la s�curit� dans l’octroi des contrats (Pr�sent� au Comit� le 9 mars 2011) |
Comit� permanent des comptes publics : Sixi�me rapport, chapitre 3, � La gestion des ressources humaines – Affaires �trang�res et Commerce international Canada �, du rapport de mai 2007 de la v�rificatrice g�n�rale du Canada
Sommaire du Rapport | Progr�s accomplis dans la concr�tisation des recommandations | Lien avec la r�ponse du Secr�tariat |
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Le Comit� a fait �tat de pr�occupations selon lesquelles le minist�re des Affaires �trang�res et du Commerce international du Canada ne dispose pas d’un plan strat�gique en mati�re de ressources humaines et que, par cons�quent, sa capacit� de r�agir � l’�gard de la croissance et de l’�volution des besoins et de r�aliser ses objectifs, comme la coordination des activit�s du Canada � l’�tranger, pourrait �tre entrav�e. | Le Secr�tariat a contribu� � la r�ponse formul�e pour les deux recommandations. Le Comit� a demand� que lui soient soumis les r�sultats issus de la r�vision des Directives sur le service ext�rieur, ainsi que le plan d’action pour la mise en œuvre de ces r�sultats. La r�vision a �t� men�e � bien en 2008 et est entr�e en vigueur le 1er avril 2009. De nouvelles directives sont entr�es en vigueur. Pr�alablement � la date d’entr�e en vigueur, on a proc�d� � une importante activit� de sensibilisation aupr�s des clients et � la formation des administrateurs. De plus, le Comit� a demand� au Secr�tariat de travailler en collaboration avec des membres du Conseil national mixte en vue de rehausser la souplesse et l’accessibilit� de l’assurance en cas de d�c�s ou de mutilation accidentels des fonctionnaires affect�s � l’�tranger. Le gouvernement est d’avis que l’assurance fournie par le gouvernement du Canada � titre d’employeur, par l’interm�diaire de la Commission de la s�curit� professionnelle et de l'assurance contre les accidents du travail, est fiable et efficace en ce qui concerne les fonctionnaires affect�s � l’�tranger. En guise de r�action au Rapport de la v�rificatrice g�n�rale de mai 2007, le minist�re des Affaires �trang�res et du Commerce international a souscrit � une assurance suppl�mentaire en cas de d�c�s ou de mutilation par accident � l’intention des fonctionnaires affect�s en Afghanistan et en Iraq aupr�s d’un fournisseur externe. D’autres minist�res et organismes lui ont embo�t� le pas. |
R�ponse du gouvernement au rapport du Comit� permanent des comptes publics (D�pos�e � la Chambre des communes le 18 ao�t 2010) |
Comit� permanent des comptes publics : Huiti�me rapport, chapitre 6, � Certains accords de contribution – Ressources naturelles Canada �, du rapport du printemps 2009 de la v�rificatrice g�n�rale du Canada
Sommaire du Rapport | Progr�s accomplis dans la concr�tisation des recommandations | Lien avec la r�ponse du Secr�tariat |
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Le Comit� s’est dit inquiet du fait que l’Office de l’efficacit� �nerg�tique de Ressources naturelles Canada (RNCan) a conclu une s�rie d’accords de contribution avec des organismes du secteur priv�. Une v�rification interne a permis d’�valuer les pratiques de contr�le et de gestion de RNCan quant � l’administration des accords de contribution et de trouver des violations substantielles aux modalit�s des accords. Le Comit� �tant d’avis qu’une situation similaire pourrait survenir dans d’autres minist�res et organismes, il estime que toutes les organisations f�d�rales doivent adopter des mesures afin de pr�venir les situations de conflit d’int�r�ts. Il croit �galement que le Secr�tariat devrait fournir � tous les minist�res et organismes des directives additionnelles quant aux façons d’�viter les conflits d’int�r�ts dans l’administration des subventions et contributions. | On a demand� au Secr�tariat de fournir aux minist�res et organismes des r�gles et des directives claires, y compris des exemples de dispositions contractuelles, pour les aider � reconna�tre et � �viter les situations de conflit d’int�r�ts avec les entrepreneurs et les b�n�ficiaires de paiements de transfert. De plus, on a invit� le Secr�tariat
� fournir des directives sur la façon de concilier les obligations contractuelles possiblement contradictoires qui d�coulent d’accords de contribution et d’exigences l�gales de la Loi sur la gestion des finances publiques. Le gouvernement convient que la pr�vention des situations de conflit d’int�r�ts est essentielle au maintien de la confiance du public � l’�gard des institutions publiques. De plus, le gouvernement tient � s’assurer que les exigences sont aussi claires que possible. Au cours des derni�res ann�es, le gouvernement a apport� des changements consid�rables afin de permettre aux fonctionnaires de reconna�tre et d’�viter les conflits d’int�r�ts. En outre, le gouvernement s’emploie � renouveler la s�rie de politiques du Conseil du Tr�sor et � pr�ciser les responsabilit�s de gestion des administrateurs g�n�raux, notamment celle qui consiste en l’application des exigences de conformit� et des cons�quences pr�cises. Par ailleurs, le Secr�tariat travaille actuellement � l’�laboration d’un nouveau Code de valeurs et d’�thique de la fonction publique. Enfin, la Directive sur la v�rification des comptes du Conseil du Tr�sor, qui a �t� renouvel�e en 2009, �nonce des exigences pr�cises visant � ce que les paiements soient ad�quatement autoris�s, qu’ils soient justes et qu’ils remplissent des obligations l�gitimes. |
R�ponse du gouvernement au huiti�me rapport du Comit� permanent des comptes publics (D�pos�e � la Chambre des communes le 20 septembre 2010) |
Comit� permanent des comptes publics : Neuvi�me rapport, chapitre 2, � La propri�t� intellectuelle �, du rapport du printemps 2009 de la v�rificatrice g�n�rale du Canada
Sommaire du Rapport | Progr�s accomplis dans la concr�tisation des recommandations | Lien avec la r�ponse du Secr�tariat |
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Le Comit� fait �tat de pr�occupations selon lesquelles le gouvernement f�d�ral ne g�rerait pas efficacement la propri�t� intellectuelle appartenant � l’�tat. Le Comit� a conclu que l’approche d�centralis�e actuellement en place ne fonctionne pas bien. Le Comit� est �galement d’avis que le Secr�tariat doit renforcer son leadership et assurer une meilleure coordination et une orientation plus ferme � cet �gard. De m�me, le Secr�tariat doit mettre � profit les pratiques exemplaires et l’expertise du Conseil national de recherches du Canada pour aider davantage les minist�res et organismes f�d�raux � �laborer des politiques et des pratiques efficaces pour g�rer la propri�t� intellectuelle cr��e � l’interne. | Industrie Canada et le Secr�tariat collaborent afin d’exercer un meilleur contr�le sur l’application de la Politique sur le titre de propri�t� intellectuelle d�coulant des march�s d’acquisition de l’�tat. De plus, ils travaillent ensemble pour veiller � ce que les donn�es inh�rentes � la propri�t� intellectuelle
soient interpr�t�es avec exactitude et � ce que les syst�mes d’information indiquent correctement la propri�t� en vue des prochaines �valuations de la politique. En novembre 2009, un plan d’action conjoint d'Industrie Canada et du Secr�tariat a �t� soumis au Comit�. Toutes les activit�s qu'Industrie Canada et le Secr�tariat s’�taient engag�s � r�aliser ont �t� men�es � bien ou sont en cours de r�alisation. Parmi les efforts d�ploy�s par le gouvernement pour fournir des conseils tant sur le plan administratif qu'en mati�re de politiques, il convient de citer le guide de mise en œuvre destin� � aider les fonctionnaires responsables � comprendre les exigences de la politique. L’�cole de la fonction publique du Canada, sous la supervision d’Industrie Canada et du Secr�tariat, pr�pare actuellement un cours portant sur le cadre g�n�ral de la propri�t� intellectuelle et les directives relatives � l’interpr�tation de la politique. |
R�ponse du gouvernement au neuvi�me rapport du Comit� permanent des comptes publics (D�pos�e � la Chambre des communes le 18 ao�t 2010) |
Comit� permanent des comptes publics : Dixi�me rapport, Comptes publics du Canada 2009
Sommaire du Rapport | Progr�s accomplis dans la concr�tisation des recommandations | Lien avec la r�ponse du Secr�tariat |
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Le Comit� a recommand� au gouvernement de s’engager fermement � adopter la comptabilit� d’exercice pour l’affectation des cr�dits plut�t que d’adopter une approche prudente. De plus, le Comit� a fait valoir des pr�occupations selon lesquelles les minist�res et les organismes permettent la p�remption de fonds et les pertes pour l’�tat, et les erreurs relev�es dans les Comptes publics du Canada sont trop peu souvent signal�es. | La r�ponse du gouvernement porte sur la comptabilit� d’exercice pour l’affectation des cr�dits, une question qui pr�occupe depuis longtemps le Comit�. En 2008, le gouvernement a mis en œuvre un projet pilote visant � instaurer l’�tablissement des budgets selon la comptabilit� d’exercice, lequel projet est toujours en cours. Seize minist�res et organismes divulguent de l’information financi�re �tablie selon la comptabilit� d’exercice dans leurs Rapports sur les plans et priorit�s (RPP). Tous les autres minist�res et organismes ont incorpor� cette information dans leur RPP 2011-2012. En 2012-2013, une �valuation sera men�e pour d�terminer les avantages et les co�ts de l’affectation des cr�dits selon la comptabilit� d’exercice. Le pr�sident du Conseil du Tr�sor demandera alors aux parlementaires int�ress�s d’�tablir un groupe de travail pour participer au processus d’�valuation et faire rapport au Cabinet et au Parlement des r�sultats et des recommandations d�coulant de l’�valuation. Par ailleurs, la r�ponse du gouvernement porte �galement sur la question des erreurs relev�es dans les Comptes publics du Canada. Le gouvernement accepte que le contr�leur g�n�ral du Canada fasse �tat des erreurs et autres pr�occupations recens�es dans les Comptes publics du Canada avant le d�but des audiences du Comit� sur la question. Ainsi, avant le d�but des audiences du Comit� en mars 2011, le gouvernement a inform� le greffier du Comit� des erreurs connues dans la version publi�e du rapport. En outre, toutes les corrections apport�es sont maintenant affich�es dans la nouvelle section � Errata � de la page Web des Comptes publics du Canada. La r�ponse du gouvernement met en �vidence plusieurs initiatives que le gouvernement a mises en place pour am�liorer les contr�les internes. La Politique sur le contr�le interne du Conseil du Tr�sor, entr�e en vigueur en avril 2009, donne suite � la pr�occupation du Comit� concernant les pertes de fonds ou de biens attribuables � des infractions, � des actes ill�gaux ou � des accidents signal�es dans le volume III des Comptes publics du Canada. Par cons�quent, depuis l’automne 2010, les grands minist�res ont �t� les premiers organismes � int�grer � leurs rapports minist�riels sur le rendement des liens renvoyant � une �valuation annuelle fond�e sur le risque portant sur l’�tat des contr�les internes. |
R�ponse du gouvernement au dixi�me rapport du Comit� permanent des comptes publics (D�pos�e � la Chambre des communes le 18 ao�t 2010) |
Comit� permanent des comptes publics : Quinzi�me rapport, Certains rapports minist�riels sur le rendement 2008-2009 – minist�re de l’Industrie et minist�re des Transports
Sommaire du Rapport | Progr�s accomplis dans la concr�tisation des recommandations | Lien avec la r�ponse du Secr�tariat |
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Le Comit� a conclu que les parlementaires portent peu d’attention aux rapports minist�riels sur le rendement (RMR), en partie, parce qu’ils trouvent que leur qualit� laisse � d�sirer. Il a recommand� que tous les comit�s permanents de la Chambre des communes examinent les RMR qui leur sont renvoy�s afin de veiller � ce que ceux-ci renferment l’information n�cessaire pour permettre aux parlementaires d’obliger le gouvernement � rendre des comptes. Toutefois, le Comit� souligne qu’il revient aux parlementaires et aux comit�s d’inciter le gouvernement � produire des rapports qui sont utiles et de formuler des recommandations pour am�liorer ces rapports. | Dans sa r�ponse, le gouvernement affirme que l’am�lioration de la qualit� globale des RMR continue de faire partie de ses priorit�s. En 2007, le Secr�tariat a mis en œuvre une strat�gie visant � am�liorer le contenu et la pr�sentation de ces documents. En ce qui concerne le RMR de 2013-2014, le Secr�tariat �tudiera comment les minist�res et organismes peuvent utiliser les sites Web minist�riels pour pr�senter les m�thodologies d’indicateur utilis�es afin de fournir aux parlementaires des renseignements plus exacts sur le rendement, y compris des renseignements sur la m�thodologie utilis�e pour pr�senter les r�sultats. Le Comit� a recommand� que le RMR renferme de l’information cr�dible et �quilibr�e. Le gouvernement convient que le RMR doit brosser un portrait fid�le des succ�s et des �carts d’un minist�re ou d’un organisme pour la p�riode de r�f�rence vis�e. Le Secr�tariat appuie la production de rapports �quilibr�s. De plus, il a �largi sa directive relative au RMR de 2010-2011 afin d’insister sur la n�cessit� pour les minist�res et les organismes de discuter des mesures prises, lorsque n�cessaire et �tay�es par des preuves, pour modifier la conception et le mode d’ex�cution du programme afin d’en am�liorer le rendement. Le Secr�tariat s’est �galement engag� � mettre au point une nouvelle structure commune qui comprendra un r�pertoire et un mod�le uniformis�s que tous les minist�res et organismes pourront utiliser lors de la pr�paration des RMR de 2010-2011. Les minist�res et organismes continueront de disposer de la souplesse n�cessaire pour adapter le rapport � leur contexte, mandat et r�sultats uniques. Le gouvernement appuie la recommandation du Comit� selon laquelle les minist�res et organismes doivent pr�senter dans leurs sites Web des donn�es financi�res d�taill�es et de l’information sur le rendement au regard de leurs programmes. Divers minist�res et organismes ont d�j� commenc� � afficher de l'information plus d�taill�e sur leurs programmes, offrant ainsi un compl�ment d'information aux r�sultats rapport�s dans les RMR. |
R�ponse du gouvernement au quinzi�me rapport du Comit� permanent des comptes publics (D�pos�e � la Chambre des communes le 31 janvier 2011) |
Comit� permanent des comptes publics : Dix-septi�me rapport, chapitre 1, � L’�valuation de l’efficacit� des programmes �, du rapport de l’automne 2009 de la v�rificatrice g�n�rale du Canada
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Le Comit� encourage l’�laboration d’�valuations de l’efficacit�, car celles-ci fournissent aux gestionnaires des donn�es objectives et probantes sur la mesure dans laquelle les programmes gouvernementaux produisent les r�sultats escompt�s. Il se r�jouit du fait que le gouvernement a raffermi les exigences d’�valuation. Or, il souhaiterait constater d’autres am�liorations � cet �gard. | Le gouvernement est d’accord avec le Comit� quant � l’importance de l’�valuation des programmes pour �clairer la prise de d�cision au moyen de donn�es fiables sur l’efficacit� des programmes. De plus, il appr�cie le soutien du Comit� � l’�gard de l’�laboration continue de l’�valuation de l’efficacit� au
sein du gouvernement f�d�ral et du r�cent renforcement des exigences de la politique. Le gouvernement reconna�t que l’�valuation de programme est une source cl� d’information sur l’optimisation des ressources des programmes, y compris leur efficacit�, leur efficience, leur rentabilit� et leur pertinence. En tant qu’outil de gestion, l’�valuation soutient l’am�lioration des politiques et des programmes, la gestion des d�penses, la prise de d�cision du Cabinet et les rapports publics, car il en d�coule une information fiable et neutre sur l’optimisation des ressources des programmes gouvernementaux. Depuis le renouvellement du Syst�me de gestion des d�penses du gouvernement du Canada en 2007, l’�valuation joue un r�le de plus en plus important dans la gestion efficace des d�penses publiques. La r�ponse du gouvernement au quatri�me rapport du Comit� permanent des comptes publics, lequel fut d�pos� en juillet 2008, confirmait �galement cette importance. En effet, elle acceptait la recommandation selon laquelle le Secr�tariat devait rehausser l’importance que rev�t l’�valuation en ajoutant l’�valuation des programmes aux exigences cl�s du syst�me de gestion des d�penses. Ainsi, la Politique sur l’�valuation de 2009 a instaur� des changements majeurs en ce qui a trait � la fonction d’�valuation � l’�chelle du gouvernement. Ces changements visent � �largir la port�e de l’�valuation des programmes, � axer l’�valuation sur les questions relatives � l’optimisation des ressources, � assurer la collecte continue des donn�es sur le rendement afin de soutenir les �valuations, et � rehausser la gouvernance et la neutralit� de la fonction. �tant donn� les changements de taille qu’apporte la Politique sur l’�valuation de 2009, un plan de mise en œuvre graduelle �chelonn� sur quatre ans a �t� adopt� dans le but de donner aux organisations suffisamment de temps pour s’adapter aux nouvelles exigences et pour renforcer leur capacit� d’�valuation en vue de satisfaire aux exigences de la politique. Pendant la mise en œuvre de la Politique sur l’�valuation et de la Politique sur la structure de la gestion, des ressources et des r�sultats, le Secr�tariat continuera de fournir des conseils et un soutien aux minist�res et organismes quant � l’am�lioration de leurs fonctions d’�valuation et de leur mesure continue du rendement. Le rapport annuel sur l’�tat de la fonction d’�valuation sera rendu public apr�s son approbation par le Conseil du Tr�sor, et il fera �tat des progr�s inh�rents � la fonction d’�valuation. |
R�ponse du gouvernement au dix-septi�me rapport du Comit� permanent des comptes publics (D�pos�e � la Chambre des communes le 31 janvier 2011) |
Comit� permanent des comptes publics : Dix-neuvi�me rapport, chapitre 5, � L’acquisition de v�hicules militaires pour service en Afghanistan �, du rapport de l’automne 2009 de la v�rificatrice g�n�rale du Canada
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Pour que les Forces canadiennes puissent s’acquitter de leurs t�ches en Afghanistan de façon s�re et efficace, la D�fense nationale et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) ont achet� de nouveaux �quipements offrant une meilleure protection contre les dispositifs explosifs de circonstance. Le Comit� a soulign� le travail accompli en Afghanistan par les militaires des Forces canadiennes et a reconnu le travail des fonctionnaires de la D�fense nationale et de TPSGC pour procurer aux Forces canadiennes cet �quipement dans les meilleurs d�lais. Cependant, le Comit� juge important de tirer leçon de cette exp�rience afin de pouvoir r�pondre aux besoins urgents de façon efficiente et efficace � l’avenir. Le Comit� critique la D�fense nationale pour ne pas avoir divulgu� certains renseignements importants au Secr�tariat. | Dans la recommandation 3, le Comit� demande � TPSGC et au Secr�tariat d’�tablir des crit�res et des lignes directrices sur la gestion des achats urgents. Pour donner suite � la recommandation du Comit�, TPSGC, avec la participation du Secr�tariat, a �labor� et affich� dans Internet un avis relatif aux politiques �tablissant une nouvelle section sur la � gestion des achats urgents � dans le Guide des approvisionnements de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, entr� en vigueur le 20 d�cembre 2010. Le but de cet avis relatif aux politiques est de mettre � jour les instructions destin�es aux agents de n�gociation des march�s qui portent sur le processus d’acquisition de biens et de services lorsqu’il y a un besoin urgent � combler. L’avis relatif aux politiques d�finit ce qu’on entend par un besoin urgent et �nonce des strat�gies pour acc�l�rer le processus d’achat lorsqu’un besoin est qualifi� d’urgent. Il insiste sur l’importance de communiquer avec TPSGC au d�but du processus, d’�laborer une approche int�gr�e et de dialoguer d�s le d�but avec l’industrie et les autres intervenants. Il pr�cise que des processus de r�vision simultan�e devraient �tre �tablis et utilis�s dans la mesure du possible. Lorsqu’un projet doit �tre approuv� par le Conseil du Tr�sor, on envisage d’�laborer une pr�sentation au Conseil du Tr�sor conjointe sign�e � la fois par le ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux et par celui du minist�re responsable dans le but d’obtenir simultan�ment l’approbation du projet et du contrat. |
R�ponse du gouvernement au dix-neuvi�me rapport du Comit� permanent des comptes publics sur l’acquisition de v�hicules militaires pour service en Afghanistan (D�pos�e � la Chambre des communes le 18 f�vrier 2011) |
Chapitre 1 – Le Plan d’action �conomique du Canada
La v�rification a permis d’examiner le Plan d’action �conomique alors qu’il �tait en cours d’ex�cution, la conception et la mise en œuvre des programmes, ainsi que les mesures prises pour s’assurer que seuls les projets admissibles recevaient du financement. Le Secr�tariat a re�u deux recommandations. Pour consulter sa r�ponse, se reporter � l’Annexe B—Tableau des recommandations du chapitre vis�.
Chapitre 4 – La gestion des conflits d’int�r�ts
La v�rification avait pour objectif de d�terminer si les minist�res et les organismes ont mis � la disposition des fonctionnaires les outils dont ils ont besoin pour s’acquitter des responsabilit�s du gouvernement f�d�ral concernant la gestion des conflits d’int�r�ts. Le Secr�tariat a re�u deux recommandations. Pour consulter sa r�ponse, se reporter � l’Annexe — Tableau des recommandations.
Chapitre 6 — L’achat d’h�licopt�res militaires
La v�rification visait � d�terminer si la D�fense nationale et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada avaient g�r� l’achat des h�licopt�res maritimes et des h�licopt�res de transport moyen � lourd conform�ment aux principales dispositions l�gislatives et r�glementaires applicables. Le Secr�tariat n’a re�u aucune recommandation � cet �gard.
Chapitre 1 – Le vieillissement des syst�mes de technologie de l’information
La v�rification visait � d�terminer si les organismes vis�s ont cern� et g�r� ad�quatement les risques li�s au vieillissement des syst�mes de TI. Le Secr�tariat a re�u une recommandation. Pour consulter sa r�ponse, se reporter � l’Annexe — Tableau des recommandations.
Chapitre 2 – La modernisation de la gestion des ressources humaines
La v�rification avait pour objectif de d�terminer si les organismes centraux responsables des ressources humaines ainsi que les minist�res et les organismes choisis aux fins de la v�rification avaient mis en œuvre les nouvelles exigences de la Loi sur la modernisation de la fonction publique. Le Secr�tariat a re�u une recommandation. Pour consulter sa r�ponse, se reporter � l’Annexe — Tableau des recommandations.
Sans objet
Titre de la v�rification interne | Type de v�rification interne | Statut | Date d'ach�vement |
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V�rification de la gestion du R�gime d’assurance-invalidit� de la fonction publique | Assurance | Termin�e | Ao�t 2010 |
V�rification des modalit�s de v�rification des comptes | Assurance | Termin�e | Avril 2010 |
V�rification du cadre de contr�le de gestion du R�gime de pension de retraite de la fonction publique | Assurance | En cours | Octobre 2011 |
V�rification de la planification de la continuit� des activit�s | Assurance | En cours | Octobre 2011 |
Titre de l'�valuation1 | Activit� de programme | Statut | Date d'ach�vement |
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�valuation sommative du Projet pilote sur les cr�dits permanents pour la gestion des immobilisations | Cadres de gestion | Termin�e | Septembre 2010 |
�valuation de la directive du Cabinet sur la rationalisation de la r�glementation | Cadres de gestion | Termin�e | Mai 2011 |
�valuation du Conseil des normes comptables internationales du secteur public | Gestion financi�re | Termin�e | Mai 2011 |
�valuation de la Politique sur la v�rification interne | Gestion financi�re | Termin�e | Juin 2011 |
�valuation du Cadre d’investissement strat�gique de la Loi sur la modernisation de la fonction publique | Gestion des ressources humaines (anciennement, l’Agence de la fonction publique du Canada) | Derni�re �tape | Septembre 2011 |
�valuation du Programme d’apprentissage mixte | Gestion des ressources humaines | En cours | Septembre 2011 |
�valuation de l’initiative relative au Centre d’excellence en langues officielles, composante du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada dans le cadre de la Feuille de route pour la dualit� linguistique canadienne | Gestion des ressources humaines | En cours | Avril 2012 |
�valuation de la Gestion globale de la r�mun�ration | Gestion des ressources humaines | En cours | Septembre 2012 |
La responsabilit� de l'int�grit� et de l'objectivit� des �tats financiers ci-joints pour l'exercice termin� le 31 mars 2011 et de tous les renseignements figurant dans ces �tats incombe � la direction du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada (le Secr�tariat). Les pr�sents �tats financiers ont �t� pr�par�s par la direction conform�ment aux conventions comptables du Conseil du Tr�sor, qui sont conformes aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public.
La direction est responsable de l'int�grit� et de l'objectivit� des donn�es pr�sent�es dans ces �tats financiers. Certains renseignements pr�sent�s dans les �tats financiers sont fond�s sur les meilleures estimations et le jugement de la direction, compte tenu de l'importance relative des postes en question. Pour s'acquitter de ses obligations au chapitre de la comptabilit� et de la pr�sentation de rapports, la direction tient des comptes qui permettent l'enregistrement centralis� des op�rations financi�res du Secr�tariat. Les renseignements financiers pr�sent�s aux fins de l'�tablissement des Comptes publics du Canada et figurant dans le Rapport minist�riel sur le rendement du Secr�tariat concordent avec ces �tats financiers.
Il incombe aussi � la direction de tenir un syst�me efficace de contr�le interne en mati�re de rapports financiers con�u pour donner une assurance raisonnable que l'information financi�re est fiable, que les actifs sont prot�g�s et que les op�rations sont autoris�es et enregistr�es ad�quatement, conform�ment � la Loi sur la gestion des finances publiques et � d'autres lois, r�glements, autorisations et politiques applicables.
La direction veille �galement � assurer l'objectivit� et l'int�grit� des donn�es figurant dans les �tats financiers en choisissant soigneusement des employ�s qualifi�s et en assurant leur formation et leur perfectionnement; en prenant des dispositions pour assurer une r�partition appropri�e des responsabilit�s; en �tablissant des programmes de communication pour faire en sorte que tous les membres du Secr�tariat sont au fait des r�glements, des politiques, des normes et des pouvoirs; et en effectuant une �valuation annuelle de l'efficacit� du syst�me de contr�le interne en mati�re de rapports financiers.
Une �valuation pour l'exercice s'�tant termin� le 31 mars 2011 a �t� r�alis�e conform�ment � la Politique sur le contr�le interne et ses r�sultats ainsi que les plans d'action qui en d�coulent, sont r�sum�s en annexe.
Le syst�me de contr�le interne en mati�re de rapports financiers est con�u pour att�nuer les risques � un niveau raisonnable fond� sur un processus continu qui vise � �valuer les risques importants et l'efficacit� des contr�les cl�s associ�s et � apporter les ajustements n�cessaires.
Le syst�me de contr�le interne est surveill� par le personnel de la v�rification interne qui fait des v�rifications et des examens p�riodiques de diff�rents secteurs des activit�s du Secr�tariat. De plus, le dirigeant principal de la v�rification a un acc�s illimit� au comit� de v�rification, qui surveille et fournit des conseils � la direction quant � ses responsabilit�s de maintenir des syst�mes de contr�les ad�quats et des rapports financiers de qualit�. Le comit� examine les �tats financiers, y compris l'ensemble des estimations comptables consid�rables et tout jugement s'y rattachant, et avise le Secr�tariat de toute pr�occupation importante.
Les �tats financiers du Secr�tariat n'ont pas fait l'objet d'une v�rification.
2011 | 2010 redress� (Note 12) |
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Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers. |
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Actif | ||
Actifs financiers | ||
Montant � recevoir du Tr�sor | 128 815 | 230 748 |
D�biteurs et avances (Note 4) | 353 385 | 659 454 |
Actifs non financiers | ||
Charges pay�es d’avance | 58 | 64 |
Immobilisations corporelles (Note 5) | 15 242 | 14 722 |
Total des actifs | 497 500 | 904 988 |
Passif et avoir du Canada | ||
Passif | ||
Cr�diteurs et charges � payer (Note 6) | 530 343 | 566 775 |
Indemnit�s de vacances et cong�s compensatoires | 9 093 | 10 137 |
Avantages sociaux futurs (Note 7) | 39 030 | 36 126 |
Total des passifs | 578 466 | 613 038 |
Avoir du Canada | (80 966) | 291 950 |
Total des passifs et de l’avoir | 497 500 | 904 988 |
2011 R�sultats pr�vus* | 2011 | 2010 | |
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Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers. * Les r�sultats pr�vus sont pr�sent�s dans les �tats financiers prospectifs de 2010-2011 et inclus dans le rapport minist�riel sur les plans et priorit�s de 2010-2011 (RPP). |
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Charges | |||
Fonds pangouvernementaux et paiements en tant qu’employeur de la fonction publique | 2 231 393 | 1 959 769 | 2 067 613 |
Cadres de gestion | 65 534 | 71 643 | 72 026 |
Gestion des ressources humaines | 62 071 | 74 002 | 70 793 |
Gestion des d�penses | 32 912 | 33 540 | 35 836 |
Gestion financi�re | 30 514 | 31 452 | 27 104 |
Services internes | 97 869 | 102 782 | 94 214 |
Total des charges | 2 520 293 | 2 273 188 | 2 367 586 |
Revenus | |||
Fonds pangouvernementaux et paiements en tant qu’employeur de la fonction publique | 11 909 | 10 714 | 11 667 |
Gestion des ressources humaines | 7 845 | 5 592 | 4 772 |
Services internes | 0 | 17 | 8 |
Total des revenus | 19 754 | 16 323 | 16 447 |
Co�t de fonctionnement net | 2 500 539 | 2 256 865 | 2 351 139 |
2011 | 2010 Redress� (Note 12) | |
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Avoir du Canada, d�but de l’exercice | 291 950 | (43 874) |
Co�t de fonctionnement net | (2 256 865) | (2 351 139) |
Encaisse nette fournie par le gouvernement | 1 960 624 | 2 640 093 |
Variation des montants � recevoir du Tr�sor | (101 933) | 43 148 |
Services fournis gratuitement par d’autres minist�res (Note 10) | 25 129 | 23 839 |
�l�ments d’actifs et de passifs transf�r�s entre minist�res (Note 5) | 129 | (20 117) |
Avoir du Canada, fin de l’exercice | (80 966) | 291 950 |
2011 | 2010 | |
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Activit�s de fonctionnement | ||
Co�t de fonctionnement net | 2 256 865 | 2 351 139 |
�l�ments n’affectant pas l’encaisse : | ||
Amortissement des immobilisations corporelles | (3 302) | (3 341) |
Gain (perte) sur l’ali�nation d’immobilisations corporelles | 0 | 1 |
Services fournis gratuitement par d’autre minist�res (Note 10) | (25 129) | (23 839) |
Variations de l’�tat de la situation financi�re : | ||
Augmentation (diminution) des d�biteurs et avances | (306 069) | 429 405 |
Augmentation (diminution) des charges pay�es d’avance | (6) | 64 |
Diminution (augmentation) des cr�diteurs et charges � payer | 36 432 | (127 561) |
Diminution (augmentation) des indemnit�s de vacances et cong�s compensatoires | 1 044 | (3 590) |
Diminution (augmentation) des indemnit�s de d�part | (2 904) | (7 238) |
Transfert de l’Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada, en vigueur le 1er avril 2009 | 0 | 20 117 |
Encaisse utilis�e par les activit�s de fonctionnement | 1 956 931 | 2 635 157 |
Activit�s d’investissement en immobilisations | ||
Acquisition d’immobilisations corporelles | 3 693 | 1 263 |
Transfert des immobilisations du minist�re des Finances et de l’Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada | 0 | 3 687 |
Produits de l’ali�nation d’immobilisations corporelles | 0 | (14) |
Encaisse utilis�e par les activit�s d’investissement en immobilisations | 3 693 | 4 936 |
Encaisse nette fournie par le gouvernement du Canada | 1 960 624 | 2 640 093 |
En vertu des pouvoirs g�n�raux que lui conf�rent les articles 5 � 13 de la Loi sur la gestion des finances publiques, le Secr�tariat aide le Conseil du Tr�sor � s'acquitter de son r�le, en tant que comit� de ministres, de gestionnaire g�n�ral et d'employeur de la fonction publique. On trouve � sa t�te la secr�taire, qui rel�ve du pr�sident du Conseil du Tr�sor.
La mission du Secr�tariat consiste � s'assurer que l'intendance rigoureuse des ressources publiques produit des r�sultats conformes aux int�r�ts des Canadiens et des Canadiennes.
En 2009-2010, les activit�s de base du Secr�tariat �taient structur�es en quatre secteurs de programmes. En 2010-2011, elles sont structur�es selon six secteurs de programmes. Par cons�quent, les montants de 2009-2010 pr�sent�s � l'�tat des r�sultats ont �t� reclass�s aux fins de comparaison.
Les activit�s de programme sont d�crites comme suit :
L'activit� de programme � Fonds pangouvernementaux et paiements en tant qu'employeur de la fonction publique � repr�sente les fonds qui sont conserv�s centralement par le Secr�tariat comme suppl�ments � d'autres cr�dits et au moyen desquels des paiements et des recouvrements sont effectu�s au nom d'autres organisations f�d�rales. Ces fonds s'ajoutent au processus normal d'affectation des cr�dits et permettent au Conseil du Tr�sor de s'acquitter de certaines responsabilit�s en tant qu'employeur de l'administration publique centrale.
Dans le cadre du r�le de conseil de gestion du Conseil du Tr�sor, le Secr�tariat fournit le cadre de gestion des op�rations gouvernementales. Pour ce faire, il �labore des politiques, des r�glements, des directives et des lignes directrices qui, une fois approuv�s par le Conseil du Tr�sor, �tablissent les param�tres selon lesquels les administrateurs g�n�raux g�rent leur minist�re. Le Secr�tariat contribue en outre au renforcement des connaissances et des capacit�s en allant au-devant des diff�rentes collectivit�s (p. ex., finances et ressources humaines) qui aident les administrateurs g�n�raux � mettre en œuvre les politiques du Conseil du Tr�sor au sein des minist�res et organismes.
L'activit� de programme � Gestion des ressources humaines � du Secr�tariat aide le Conseil du Tr�sor � s'acquitter de son r�le dans ce domaine. Le Secr�tariat pr�sente des analyses et des recommandations au Conseil du Tr�sor dans le but de veiller � ce que les administrateurs g�n�raux du gouvernement f�d�ral disposent des politiques et des orientations dont ils ont besoin pour g�rer tous les aspects des ressources humaines dans leur minist�re ou organisme. Cette activit� englobe �galement les responsabilit�s du Secr�tariat en ce qui a trait � la supervision des n�gociations collectives, aux relations de travail et aux r�gimes de pension et d'avantages sociaux.
Le r�le de service du budget du Conseil du Tr�sor est probablement le plus connu de ses r�les. Il est appuy� par deux activit�s de programme : � Gestion des d�penses � et � Gestion financi�re �. C'est l'activit� de programme � Gestion des d�penses � qui permet au gouvernement d'�quilibrer son budget chaque ann�e. Le Secr�tariat fournit des analyses et assure un soutien au pr�sident du Conseil du Tr�sor afin que ce dernier puisse rendre compte au Parlement sur les budgets pr�vus pour les op�rations du gouvernement pendant un exercice donn� d'abord et, plus tard, sur les montants r�els qui ont �t� d�pens�s. Cette activit� de programme comprend la responsabilit� du Secr�tariat au chapitre de la gestion de la r�mun�ration dans le secteur public (soit le co�t des salaires et des avantages sociaux), ainsi que son r�le en mati�re d'analyse et d'examen critique des propositions de d�penses des minist�res dans le but de veiller � ce que ces derni�res soient ax�es sur les r�sultats et l'optimisation des ressources.
L'activit� de programme � Gestion financi�re � constitue le deuxi�me aspect de la fonction de service du budget. Elle comprend l'�laboration de politiques et de lignes directrices qui donnent � la collectivit� de la gestion financi�re du gouvernement l'orientation dont elle a besoin pour s'acquitter de ses responsabilit�s. L'exactitude et l'int�grit� des documents financiers et des comptes du gouvernement reposent sur la qualit� de la gestion financi�re des minist�res. Cette activit� englobe �galement les activit�s men�es par le Secr�tariat pour renforcer la capacit� des collectivit�s de la gestion financi�re et de la v�rification, ainsi que ses propres responsabilit�s en mati�re de v�rification.
Le Secr�tariat doit lui aussi mettre en œuvre les politiques du Conseil du Tr�sor pour assurer le bon d�roulement de ses op�rations internes. Cet aspect de son fonctionnement rel�ve de l'activit� de programme � Services internes �. Ces derniers comprennent des fonctions de soutien, telles que les communications, la gestion des ressources humaines et financi�res, la gestion des biens immobiliers, la technologie de l'information et l'approvisionnement. Ces services soutiennent toutes les autres activit�s de programme du Secr�tariat.
Ces �tats financiers ont �t� pr�par�s conform�ment aux conventions comptables du Conseil du Tr�sor �nonc�es ci-apr�s, lesquelles s'appuient sur les principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public. La pr�sentation et les r�sultats qui d�coulent de l'utilisation des conventions comptables �nonc�es ne donnent lieu � aucune diff�rence importante par rapport aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada.
Les principales conventions comptables sont les suivantes :
Le Secr�tariat est financ� par le gouvernement du Canada au moyen d'autorisations parlementaires. Les rapports financiers concernant les autorisations consenties au Secr�tariat ne correspondent pas aux rapports financiers pr�sent�s conform�ment aux principes comptables g�n�ralement reconnus �tant donn� que les autorisations sont fond�es, dans une large mesure, sur les besoins de tr�sorerie. Par cons�quent, les postes comptabilis�s dans l'�tat des r�sultats et dans l'�tat de la situation financi�re ne sont pas n�cessairement les m�mes que ceux qui sont pr�vus par les autorisations parlementaires. La note 3 pr�sente un rapprochement entre les deux m�thodes de pr�sentation de rapports financiers. Les r�sultats pr�vus inclus dans l'�tat des r�sultats sont les montants incorpor�s aux �tats financiers prospectifs du Rapport sur les plans et priorit�s 2010-2011.
Le Secr�tariat fonctionne au moyen du Tr�sor, qui est administr� par le receveur g�n�ral du Canada. La totalit� de l'encaisse re�ue par le Secr�tariat est d�pos�e au Tr�sor, et tous les d�caissements faits par le Secr�tariat sont pr�lev�s sur le Tr�sor. L'encaisse nette fournie par le gouvernement est la diff�rence entre toutes les rentr�es de fonds et toutes les sorties de fonds, y compris les op�rations entre les minist�res au sein du gouvernement.
Les montants � recevoir du Tr�sor (ou � lui verser) d�coulent d'un �cart temporel en fin d'exercice entre le moment o� une op�ration est imput�e sur les autorisations et celui o� elle est trait�e par le Tr�sor. Le montant � recevoir du Tr�sor est d�fini comme le montant net que le Secr�tariat peut retirer du Tr�sor afin de s'acquitter de ses obligations sans autres imputations sur ses autorisations.
Les revenus sont comptabilis�s dans l'exercice o� les op�rations ou les faits sous-jacents surviennent.
Les charges sont comptabilis�es selon la m�thode de la comptabilit� d'exercice :
Prestations de retraite et autres avantages sociaux : Les employ�s admissibles participent au R�gime de pension de retraite de la fonction publique, un r�gime multiemployeurs administr� par le gouvernement du Canada. En tant qu'employeur de la fonction publique, les cotisations de l'employeur au R�gime pour l'ensemble des minist�res et organismes, y compris les versements suppl�mentaires en raison d'une insuffisance actuarielle, sont financ�es par le Secr�tariat de fonds g�r�s par l'administration centrale et sont pass�es en charges au cours de l'exercice o� elles sont encourues. Le Secr�tariat recouvre une partie des cotisations de l'employeur au R�gime de pension de retraite de la fonction publique aupr�s des minist�res et des organismes.
Les employ�s admissibles du Secr�tariat participent �galement au R�gime de retraite de la fonction publique, et les obligations du Secr�tariat aux fins de rapports financiers concernant ses propres employ�s membres du R�gime se limitent � ses propres cotisations.
Le gouvernement du Canada est aussi le r�pondant de divers autres r�gimes d'avantages sociaux, actuels et futurs, dont la gestion ou le financement incombe au Secr�tariat � m�me les fonds g�r�s par l'administration centrale. Les paiements des avantages sociaux relatifs � ces r�gimes sont constat�s � titre de charges lorsqu'ils deviennent exigibles et aucun couru n'est enregistr� pour les avantages sociaux futurs. Ce traitement comptable concorde avec le financement accord� au Secr�tariat par voie de cr�dits parlementaires.
Pour toutes les prestations de retraite et autres avantages sociaux futurs des employ�s, le passif actuariel et les divulgations connexes, ainsi que les surplus et les d�ficits actuariels pangouvernementaux sont reconnus dans les �tats financiers du gouvernement du Canada, lequel assume les risques actuariels et d'investissements associ�s aux avantages sociaux d�finis dans le r�gime, en tant qu'administrateur.
Indemnit�s de d�part : Les employ�s ont droit � des indemnit�s de d�part, pr�vues dans leurs conventions collectives ou les conditions d'emploi. Le co�t de ces indemnit�s s'accumule � mesure que les employ�s effectuent les services n�cessaires pour les gagner. Le co�t des avantages sociaux gagn�s par les employ�s est calcul� � l'aide de l'information provenant des r�sultats du passif sur une base actuarielle pour les prestations de d�part pour l'ensemble du gouvernement.
Les d�biteurs et les pr�ts sont comptabilis�s au moindre du co�t et de la valeur de r�alisation nette; une provision pour moins-value devrait �tre consign�e au titre des d�biteurs dont le recouvrement est r�put� incertain.
Le passif �ventuel repr�sente des obligations possibles qui peuvent devenir des obligations r�elles selon que certains �v�nements futurs se produisent ou non. Dans la mesure o� l'�v�nement futur risque de se produire ou non et si l'on peut �tablir une estimation raisonnable de la perte, on comptabilise un passif estimatif et une charge. Si la probabilit� ne peut �tre d�termin�e ou s'il est impossible de faire une estimation raisonnable du montant, l'�ventualit� est pr�sent�e dans les notes compl�mentaires aux �tats financiers.
Toutes les immobilisations corporelles et les am�liorations locatives dont le co�t initial est d'au moins 10 000 $ sont comptabilis�es � leur co�t d'achat. Le Secr�tariat n'inscrit pas � l'actif les biens incorporels, les œuvres d'art et les tr�sors historiques ayant une valeur culturelle, esth�tique ou historique.
Les immobilisations corporelles sont amorties selon la m�thode lin�aire sur la dur�e de vie utile estimative de l'immobilisation, comme suit :
Cat�gorie d’immobilisations | P�riode d’amortissement |
---|---|
Mat�riel informatique | 3 ans |
Logiciels | 3 � 10 ans |
Machinerie et mat�riel | 3 � 10 ans |
V�hicules automobiles | 3 ans |
Am�liorations locatives | Le moindre du reste de la dur�e du bail ou de la vie utile de l’am�lioration |
Les actifs en construction sont constat�s dans la cat�gorie d'immobilisations pertinente l'ann�e o� ils peuvent commencer � �tre utilis�s et ne sont amortis que lorsqu'ils peuvent commencer � �tre utilis�s.
La pr�paration des �tats financiers exige de la direction qu'elle fasse des estimations et pose des hypoth�ses qui influent sur les montants d�clar�s des actifs, des passifs, des revenus et des charges pr�sent�s dans les �tats financiers. Au moment de la pr�paration des pr�sents �tats financiers, la direction consid�re que les estimations et les hypoth�ses sont raisonnables. Les principaux �l�ments pour lesquels des estimations sont faites sont le passif �ventuel, le passif pour les indemnit�s de d�part et la dur�e de vie utile des immobilisations corporelles. Les r�sultats r�els pourraient diff�rer des estimations de mani�re significative. Les estimations de la direction sont examin�es p�riodiquement et, � mesure que les rajustements deviennent n�cessaires, ils sont constat�s dans les �tats financiers de l'exercice o� ils sont connus.
Le Secr�tariat re�oit la plus grande partie de son financement au moyen d'autorisations parlementaires annuelles. Les �l�ments comptabilis�s dans l'�tat des r�sultats et l'�tat de la situation financi�re d'un exercice peuvent �tre financ�s au moyen d'autorisations parlementaires accord�es dans des exercices pr�c�dents, pendant l'exercice en cours ou qui le seront dans des exercices futurs. En cons�quence, les r�sultats de fonctionnement nets du Secr�tariat diff�rent selon qu'ils sont pr�sent�s selon le financement octroy� par le gouvernement ou selon la m�thode de la compatibilit� d'exercice. Les diff�rences sont rapproch�es dans les tableaux suivants :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Co�t de fonctionnement net | 2 256 865 | 2 351 139 |
Rajustements pour les postes ayant une incidence sur le co�t de fonctionnement net, mais n’ayant pas d’incidence sur les autorisations : |
||
Amortissement des immobilisations corporelles | (3 302) | (3 341) |
Services offerts gratuitement par d’autres minist�res | (25 129) | (23 839) |
Diminution (augmentation) des indemnit�s de vacances et cong�s compensatoires | 1 044 | (3 590) |
(Augmentation) des avantages sociaux futurs | (2 904) | (7 238) |
Remboursement de charges des exercices ant�rieurs | 10 711 | 1 092 |
Revenus non disponibles pour d�penser | 11 746 | 12 534 |
Autre | 1 634 | 12 946 |
Total partiel | (6 200) | (11 436) |
Rajustements pour les postes sans incidence sur le co�t de fonctionnement net, mais ayant une incidence sur les autorisations : |
||
Acquisition d’immobilisations corporelles | 3 693 | 1 263 |
Avances | (378) | 591 |
Total partiel | 3 315 | 1 854 |
Autorisations de l’exercice en cours utilis�es | 2 253 980 | 2 341 557 |
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Autorisations fournies | ||
Cr�dit 1 – D�penses de fonctionnement | 262 656 | 263 987 |
Cr�dit 5 – �ventualit�s du gouvernement | 230 668 | 712 117 |
Cr�dit 10 – Initiatives pangouvernementales | 6 563 | 7 511 |
Cr�dit 20 – Assurances de la fonction publique | 2 223 794 | 2 164 302 |
Cr�dit 25 – Report du budget de fonctionnement | 128 041 | 481 554 |
Cr�dit 30 – Besoins en mati�re de r�mun�ration | 175 324 | 4 543 |
Cr�dit 35 – Initiatives d’ex�cution du budget | 0 | 883 489 |
Total partiel | 3 027 046 | 4 517 503 |
Montants l�gislatifs : | ||
Contributions aux r�gimes d’avantages sociaux des employ�s | 30 466 | 31 286 |
Contributions de l’employeur non affect�es et vers�es en vertu de la Loi sur la pension de la fonction publique, d’autres lois concernant la retraite et de la Loi sur l’assurance�emploi | 6 200 | 6 471 |
Versements li�s � l’ex�cution de l’entente sur la parit� salariale en vertu de l’article 30 de la Loi sur la responsabilit� civile et le contentieux administratif | (470) | (517) |
Pr�sident du Conseil du Tr�sor – Traitement et allocation pour automobile | 78 | 78 |
D�pense du produit de disposition de biens exc�dentaires de l’�tat | 1 | 24 |
Total partiel | 36 275 | 37 342 |
Moins : | ||
Montants annul�s : | ||
Cr�dit 1 – D�penses de fonctionnement | (7 697) | (21 901) |
Cr�dit 5 – �ventualit�s du gouvernement | (230 668) | (712 117) |
Cr�dit 10 – Initiatives pangouvernementales | (6 563) | (7 511) |
Cr�dit 20 – Assurances de la fonction publique | (261 047) | (102 152) |
Cr�dit 25 – Report du budget de fonctionnement | (128 041) | (481 554) |
Cr�dit 30 – Besoins en mati�re de r�mun�ration | (175 324) | (4 543) |
Cr�dit 35 – Initiatives d’ex�cution du budget | 0 | (883 489) |
D�pense du produit de disposition de biens exc�dentaires de l’�tat | (1) | (21) |
Total partiel | (809 341) | (2 213 288) |
Autorisations de l’exercice en cours utilis�es | 2 253 980 | 2 341 557 |
Le tableau suivant pr�sente des renseignements du Secr�tariat sur les d�biteurs et les avances.
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
D�biteurs des autres minist�res et organismes f�d�raux | 350 669 | 657 819 |
Avances � l’ext�rieur | 639 | 1 054 |
D�biteurs de l’ext�rieur | 1 994 | 473 |
Avances aux employ�s | 78 | 105 |
D�p�ts en transit au receveur g�n�ral | 5 | 3 |
Total des d�biteurs et des avances | 353 385 | 659 454 |
La majorit� des d�biteurs des autres minist�res et organismes est li�e aux d�biteurs �tablis � cause des r�gimes d'avantages sociaux des employ�s. La r�duction de ces d�biteurs s'explique par la baisse de l'�cart entre les recouvrements aupr�s d'autres organismes gouvernementaux des avantages sociaux estim�s et leurs d�penses r�elles pour l'ann�e.
L'augmentation des d�biteurs de l'ext�rieur est essentiellement due au litige.
Le tableau suivant pr�sente des renseignements sur les immobilisations corporelles.
Co�t | Amortissement cumul� | Valeur comptable nette | ||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cat�gorie d’immo-bilisations | Solde d’ouverture | Transfert des actifs | Acqui-sitions | Ali�nations et radiations | Solde de cl�ture | Solde d’ouverture | Transfert des actifs | Amortis-sement | Ali�nations et radiations | Solde de cl�ture | 2011 | 2010 |
(En milliers de dollars) | (En milliers de dollars) | (En milliers de dollars) | ||||||||||
Machinerie et mat�riel | 382 | 0 | 0 | 0 | 382 | 281 | 0 | 32 | 0 | 313 | 69 | 101 |
V�hicules automobiles | 125 | 26 | 0 | 0 | 151 | 52 | 1 | 41 | 0 | 94 | 57 | 73 |
Am�liorations locatives | 1 952 | 0 | 0 | 0 | 1 952 | 1 952 | 0 | 0 | 0 | 1 952 | 0 | 0 |
Mat�riel informatique | 9 980 | 212 | 3 693 | (320) | 13 565 | 6 963 | 108 | 1 787 | (320) | 8 538 | 5 027 | 3 017 |
Logiciels | 14 661 | 0 | 0 | 0 | 14 661 | 3 130 | 0 | 1 442 | 0 | 4 572 | 10 089 | 11 531 |
Actifs en construction | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Total | 27 100 | 238 | 3 693 | (320) | 30 711 | 12 378 | 109 | 3 302 | (320) | 15 469 | 15 242 | 14 722 |
Au 30 avril 2010, le Secr�tariat a re�u du minist�re des Finances du mat�riel informatique d'une valeur comptable nette de 104 000 $.
Au 4 juin 2010, le Secr�tariat a re�u du minist�re des Affaires �trang�res et du Commerce international un v�hicule � moteur d'une valeur comptable nette de 25 000 $ � la suite d'un changement de ministre nomm� � titre de pr�sident du Conseil du Tr�sor.
Le tableau suivant pr�sente des renseignements du Secr�tariat sur les cr�diteurs et les charges � payer.
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Cr�diteurs des autres minist�res et organismes f�d�raux | 340 182 | 321 929 |
Cr�diteurs – Parties externes | 9 400 | 14 729 |
Total – Cr�diteurs | 349 582 | 336 658 |
Charges � payer | 180 761 | 230 117 |
Total des cr�diteurs et charges � payer | 530 343 | 566 775 |
Les employ�s du Secr�tariat participent au R�gime de pension de retraite de la fonction publique, qui est parrain� et administr� par le gouvernement. Les prestations de retraite s'accumulent sur une p�riode maximale de 35 ans au taux de 2 % par ann�e de service ouvrant droit � pension, multipli� par la moyenne des gains des cinq meilleures ann�es cons�cutives. Les prestations sont int�gr�es aux prestations du R�gime de pensions du Canada et du R�gime de rentes du Qu�bec et sont index�es � l'inflation.
Tant les employ�s que le Secr�tariat versent des cotisations couvrant le co�t du r�gime. Les charges de l'employeur en 2010-2011 totalisent 21 387 000 $ (comparativement � 22 589 000 $ en 2009-2010) pour ces employ�s, ce qui est environ 1,9 fois plus �lev� (1,9 fois en 2009-2010) que les cotisations vers�es par les employ�s.
Le Secr�tariat verse des indemnit�s de d�part aux employ�s en fonction de l'admissibilit�, des ann�es de service et du dernier salaire. Ces indemnit�s ne sont pas capitalis�es d'avance. Les prestations seront pr�lev�es sur les autorisations futures. Voici en quoi consistaient les indemnit�s de d�part au 31 mars :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Obligations au titre des prestations constitu�es, d�but de l’exercice | 36 126 | 28 888 |
Charges pour l’exercice | 6 676 | 1 070 |
Prestations vers�es pendant l’exercice | (3 772) | (3 935) |
Transfert d’un autre minist�re, effectif le 1er avril 2009 | 0 | 10 103 |
Obligations au titre des prestations constitu�es, fin de l’exercice | 39 030 | 36 126 |
Des r�clamations ont �t� faites envers le Secr�tariat dans le cours normal de ses activit�s. Certaines r�clamations sont assorties d'un montant d�termin�, et d'autres pas. Selon l'�valuation du Secr�tariat, des poursuites pour des r�clamations totalisant environ 65 milliards de dollars (67 milliards en 2009-2010) �taient toujours en instance au 31 mars 2011. Certaines obligations �ventuelles pourraient devenir des obligations r�elles selon que certains �v�nements futurs se produisent ou non. Dans la mesure o� l'�v�nement futur risque de se produire ou non et si l'on peut �tablir une estimation raisonnable de la perte, on comptabilise un passif estimatif et une charge dans les �tats financiers. Aucune charge � payer n'a �t� inscrite aux �tats financiers pour ces passifs �ventuels.
La plus importante de ces actions en justice est d�crite au paragraphe suivant :
En septembre 1999, le Parlement a promulgu� la Loi sur l'Office d'investissement des r�gimes de pensions du secteur public (C-78). Cette loi a permis d'am�liorer la gestion financi�re des r�gimes de retraite du secteur public, y compris les r�gimes de retraite de la fonction publique, de la Gendarmerie royale du Canada et des Forces canadiennes. La nouvelle loi autorisait le pr�sident du Conseil du Tr�sor � d�biter les comptes de mani�re � r�duire le montant de certains soldes excessifs des comptes de pension de retraite. � la fin de 1999, les principaux syndicats de la fonction publique et associations de pensionn�s ont intent� trois poursuites contre la Couronne, contestant la validit� de la loi. Le 20 novembre 2007, les actions des codemandeurs ont �t� rejet�es. En f�vrier 2008, les trois codemandeurs ont port� en appel la d�cision aupr�s de la Cour d'appel de l'Ontario, qui a entendu la cause en avril 2010 et a rejet� l'appel le 8 octobre 2010. Les codemandeurs ont demand� l'autorisation d'interjeter appel devant la Cour supr�me du Canada, autorisation qui leur a �t� accord�e le 5 mai 2011. Aucune date n'a �t� fix�e pour l'audience.
De par leur nature, les activit�s du Secr�tariat peuvent donner lieu � des contrats et des obligations en vertu desquels le Secr�tariat sera tenu d'effectuer des paiements �chelonn�s sur plusieurs ann�es pour l'acquisition de biens ou services. Voici les principales obligations contractuelles pour lesquelles une estimation raisonnable peut �tre faite :
2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 et exercices ult�rieurs |
Total | |
---|---|---|---|---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||||||
R�gimes de soins de sant� et de soins dentaires de la fonction publique | 35 558 | 28 263 | 31 361 | 27 407 | 41 800 | 164 389 |
Autres services professionnels | 8 684 | 210 | 59 | 59 | 59 | 9 071 |
Services de conseillers en gestion | 3 163 | 32 | 0 | 0 | 0 | 3 195 |
Services informatiques | 776 | 203 | 27 | 27 | 0 | 1 033 |
Total | 48 181 | 28 708 | 31 447 | 27 493 | 41 859 | 177 688 |
En vertu du principe de propri�t� commune, le Secr�tariat est apparent� � tous les minist�res, organismes et soci�t�s d'�tat du gouvernement. Le Secr�tariat conclut des op�rations avec ces entit�s dans le cours normal de ses activit�s et selon des modalit�s commerciales normales. De plus, il lui incombe d'administrer et de financer les cotisations de l'employeur aux r�gimes de soins de sant� et de soins dentaires de la fonction publique � partir des fonds g�r�s par l'administration centrale. Pendant l'ann�e, le Secr�tariat a re�u et fourni les services communs pr�sent�s ci-apr�s.
Pendant l'ann�e, le Secr�tariat a re�u de certains organismes de services communs des services � titre gracieux ayant trait aux installations et aux services juridiques. Ces services sont constat�s comme suit dans l'�tat des r�sultats du Minist�re :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Installations | 19 734 | 19 263 |
Services juridiques | 5 395 | 4 576 |
Total | 25 129 | 23 839 |
Le gouvernement a centralis� certaines de ses activit�s administratives de mani�re � optimiser l'efficience et l'efficacit� au plan du co�t et d'assurer l'ex�cution �conomique des programmes au grand public. Le gouvernement recourt donc aux organismes centraux et aux organismes de services communs afin qu'un minist�re fournisse des services � titre gracieux � tous les autres minist�res et organismes. Le co�t de ces services, notamment les services de paye et d'�mission de ch�ques fournis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, n'est pas inclus � titre de charge dans l'�tat des r�sultats du Minist�re.
Le Secr�tariat fournit gratuitement des services � d'autres minist�res relativement au versement de la cotisation de l'employeur aux r�gimes de soins de sant� et de soins dentaires, ainsi qu'� d'autres r�gimes d'avantages sociaux et d'assurance pour les employ�s. En 2010-2011, il a vers� 1 828 978 000 $ � ce chapitre (1 697 620 000 $ en 2009-2010).
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
D�biteurs - Autres minist�res et organismes f�d�raux | 350 669 | 657 819 |
Cr�diteurs - Autres minist�res et organismes f�d�raux | 340 182 | 321 929 |
Charges - Autres minist�res et organismes f�d�raux | 23 423 | 21 105 |
Revenus - Autres minist�res et organismes f�d�raux | 5 495 | 4 772 |
a) La pr�sentation par secteur se fonde sur l'architecture d'activit�s de programme du Secr�tariat et repose sur les m�mes conventions comptables que celles d�crites � la section � Sommaire des principales conventions comptables �, � la note 2. Le tableau qui suit pr�sente les charges subies et les revenus produits au titre des principales activit�s de programme en fonction des principaux articles de d�pense et des principaux types de revenus. Les r�sultats sectoriels suivants ont �t� enregistr�s pour la p�riode.
FP et PEFP | CG | GP | GD | GF | SI | Total en 2011 | Total en 2010 | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||||||||
FG et PEFP – Fonds pangouvernementaux et paiements en tant qu’employeur de la fonction publique |
||||||||
Paiements de transfert | ||||||||
Industries | 0 | 53 | 0 | 0 | 200 | 0 | 253 | 220 |
Total des paiements de transfert | 0 | 53 | 0 | 0 | 200 | 0 | 253 | 220 |
Charges de fonctionnement | ||||||||
Fonds pangouvernementaux et paiements en tant qu’employeur de la fonction publique | 1 959 769 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 959 769 | 2 067 613 |
Salaires et avantages sociaux des employ�s | 0 | 56 746 | 52 017 | 29 076 | 19 708 | 59 198 | 216 745 | 212 981 |
Services professionnels et sp�ciaux | 0 | 8 295 | 10 663 | 1 637 | 9 098 | 21 570 | 51 263 | 47 675 |
Installations | 0 | 4 539 | 4 539 | 2 368 | 1 579 | 6 709 | 19 734 | 19 263 |
Transports et t�l�communications | 0 | 862 | 1 123 | 116 | 360 | 3 250 | 5 711 | 5 795 |
Machines, mat�riel, pi�ces et outils | 0 | 282 | 822 | 73 | 128 | 4 970 | 6 275 | 4 698 |
R�parations et entretien | 0 | 100 | 22 | 8 | 98 | 2 174 | 2 402 | 1 354 |
Services publics, fournitures et approvisionnements | 0 | 284 | 379 | 109 | 140 | 886 | 1 798 | 1 921 |
Information | 0 | 63 | 270 | 82 | 27 | 342 | 784 | 1 033 |
Location | 0 | 209 | 373 | 50 | 108 | 411 | 1 151 | 1 312 |
Amortissement | 0 | 21 | 22 | 0 | 0 | 3 259 | 3 302 | 3 341 |
Autres d�penses | 0 | 189 | 3 772 | 21 | 6 | 13 | 4 001 | 380 |
Total des charges de fonctionnement | 1 959 769 | 71 590 | 74 002 | 33 540 | 31 252 | 102 782 | 2 272 935 | 2 367 366 |
Total des charges | 1 959 769 | 71 643 | 74 002 | 33 540 | 31 452 | 102 782 | 2 273 188 | 2 367 586 |
Revenus | ||||||||
Frais de stationnement - Pangouvernemental | 10 672 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 10 672 | 11 595 |
Recouvrement des co�ts d’administration du r�gime de pension | 0 | 0 | 5 495 | 0 | 0 | 0 | 5 495 | 4 772 |
Autre | 42 | 0 | 97 | 0 | 0 | 17 | 156 | 80 |
Total des revenus | 10 714 | 0 | 5 592 | 0 | 0 | 17 | 16 323 | 16 447 |
Co�t de fonctionnement net | 1 949 055 | 71 643 | 68 410 | 33 540 | 31 452 | 102 765 | 2 256 865 | 2 351 139 |
Le gouvernement du Canada parraine des r�gimes de retraite � prestations d�termin�es auxquels participent presque tous ses employ�s. Le Secr�tariat est responsable de g�rer les r�gimes de retraite et de payer les cotisations connexes au R�gime de pension de retraite de la fonction publique et aux r�gimes compensatoires, y compris les paiements relatifs aux d�ficits actuariels de fonds g�r�s par l'administration centrale.
Le Secr�tariat assure aussi les paiements suivants :
De fa�on g�n�rale, les cotisations au R�gime de pension de retraite de la fonction publique, au Compte de prestations de d�c�s de la fonction publique, au R�gime de pensions du Canada et au R�gime des rentes du Qu�bec, ainsi que les cotisations d'assurance-emploi, sont recouvr�es aupr�s des minist�res et des organismes, et � m�me les fonds renouvelables, en proportion des charges engag�es au titre des salaires et traitements. Les cotisations aux r�gimes d'assurance-maladie sont recouvr�es aupr�s de certains minist�res et organismes et � m�me tous les fonds renouvelables, selon une proportion fix�e � 8,5 % (8,5 % en 2009-2010) des salaires et traitements vers�s.
Les d�penses d'un certain nombre de programmes ont diminu� de 2010 � 2011. Cette situation est attribuable � une augmentation unique survenue en 2010 cons�quemment � l'introduction de la carte de l'assurance soins de sant� de la fonction publique et � la signature de conventions collectives incluant des salaires r�troactifs. Ceci n'est pas le signe d'une tendance pour les ann�es � venir.
Voici une ventilation par grandes cat�gories :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Charges | ||
Cotisations au R�gime de pension de retraite de la fonction publique et aux r�gimes compensatoires (l�gislatif) | 2 669 956 | 2 687 405 |
R�gime de soins de sant� de la fonction publique (cr�dit 20) | 865 819 | 909 815 |
Cotisations au R�gime de pensions du Canada et au R�gime de rentes du Qu�bec (l�gislatif) | 634 762 | 666 590 |
Charges sociales des provinces (cr�dit 20) | 509 187 | 524 764 |
Assurance-invalidit� collective et assurance�vie collective (cr�dit 20) | 432 887 | 472 401 |
Cotisations d’assurance�emploi (l�gislatif) | 272 083 | 274 641 |
R�gime de soins dentaires de la fonction publique (cr�dit 20) | 258 821 | 269 608 |
R�gime de services dentaires pour les pensionn�s (cr�dit 20) | 129 135 | 122 031 |
Pension et autres avantages sociaux des employ�s embauch�s localement par des missions canadiennes � l’�tranger (cr�dit 20) | 55 646 | 50 330 |
Cotisations aux r�gimes provinciaux d’assurance�maladie (cr�dit 20) | 31 452 | 31 068 |
Cotisations au R�gime qu�b�cois d’assurance parentale (cr�dit 20) | 32 181 | 32 333 |
Cotisations au Compte de prestations de d�c�s de la fonction publique (l�gislatif) | 12 083 | 11 582 |
Cotisations au R�gime de pension de retraite de la fonction publique et aux r�gimes compensatoires, au titre des insuffisances actuarielles (l�gislatif) | 6 200 | 6 200 |
Charges de fonctionnement (cr�dit 20) | 5 627 | 5 584 |
Pension et paiements similaires � d’anciens employ�s (cr�dit 20 et l�gislatif) |
3 626 | 3 297 |
R�duction des cotisations d’assurance�emploi (cr�dit 20) | 1 645 | 1 749 |
Paiements sp�ciaux divers (l�gislatif) | (470) | (517) |
Total des charges | 5 920 640 | 6 068 881 |
Recouvrements | ||
Cotisations de l’employeur aux r�gimes d’avantages sociaux des employ�s recouvr�es aupr�s de minist�res et d’organismes (l�gislatif) | 3 588 885 | 3 639 946 |
Cotisations de l’employeur aux r�gimes d’assurance recouvr�es aupr�s de minist�res et d’organismes (cr�dit 20) | 174 059 | 177 942 |
Cotisations des employ�s au R�gime de soins de sant� de la fonction publique recouvr�es aupr�s de minist�res et autres organisations (cr�dit 20) | 136 419 | 132 159 |
Cotisations des pensionn�s au R�gime de services dentaires pour les pensionn�s (cr�dit 20) | 61 508 | 51 221 |
Total des recouvrements | 3 960 871 | 4 001 268 |
Charges nettes | 1 959 769 | 2 067 613 |
Au cours de l'ann�e, le Secr�tariat a adopt� une nouvelle version de la Norme comptable 1.2 du Conseil du Tr�sor – �tats financiers des minist�res et des organismes, en vigueur pour l'exercice 2010-2011. Le principal changement qui doit �tre apport� aux conventions comptables du Secr�tariat d�coulant de l'adoption de cette nouvelle norme tient de l'obligation de comptabiliser les montants � recevoir du Tr�sor en tant qu'actif dans l'�tat prospectif de la situation financi�re.
L'adoption des nouvelles conventions comptables du Conseil du Tr�sor a �t� prise en compte avec effet r�troactif dans l'incidence sur les donn�es comparatives pour 2009-2010 (voir ci-dessous).
�tat de la situation financi�re | 2010 – Avant rajustement | R�percussion des changements | 2010 – Apr�s rajustement |
---|---|---|---|
(en milliers de dollars) |
|||
Actif | 674 240 | 230 748 | 904 988 |
Avoir du Canada | 61 202 | 230 748 | 291 950 |
Les chiffres de l'exercice pr�c�dent ont �t� reclass�s afin de les rendre conformes � la pr�sentation adopt�e pour l'exercice en cours.
Le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada (le Secr�tariat) assure la gestion centralis�e des cr�dits afin de s'acquitter de ses responsabilit�s pr�vues par la loi en ce qui a trait � la gestion des ressources financi�res, humaines et mat�rielles du gouvernement. Les d�penses pr�vues au titre de l'activit� de programme 5 du Secr�tariat, intitul�e � Fonds pangouvernementaux et paiements en tant qu'employeur de la fonction publique �, sont associ�es principalement au cr�dit suivant :
Cr�dit 20 – Assurance de la fonction publique
Ce cr�dit, qui soutient le r�le du Conseil du Tr�sor comme employeur, est utilis� relativement :
D'autres fonds pour �ventualit�s sont pr�vus pour les autres minist�res, au besoin, et les d�penses seront inscrites dans leurs activit�s de programme. Les cr�dits suivants sont donc exclus des d�penses pr�vues du Secr�tariat :
Cr�dit 5 – �ventualit�s du gouvernement
Ce cr�dit donne au gouvernement le pouvoir et la souplesse n�cessaires pour couvrir les d�penses urgentes ou impr�vues en attendant les approbations du Parlement. La plupart des postes de ce cr�dit sont consid�r�s comme des avances temporaires servant � couvrir des d�penses qui seront incluses dans le prochain budget suppl�mentaire des d�penses d'autres minist�res et organismes et qui seront rembours�es lorsque la loi appropri�e sur les cr�dits aura �t� adopt�e.
Cr�dit 10 — Initiatives pangouvernementales
Ce cr�dit compl�te les cr�dits d'autres minist�res et organismes qui appuient la mise en œuvre des initiatives de gestion strat�gique � l'�chelle de la fonction publique. Depuis qu'il existe, ce cr�dit est utilis� pour appuyer les initiatives telles que le gouvernement en direct, l'innovation et la modernisation de la fonction de contr�leur, la Strat�gie d'information financi�re (SIF), l'�quit� en mati�re d'emploi, l'�valuation des programmes et la v�rification interne.
Cr�dit 15 – Rajustements de r�mun�ration
Ce cr�dit s'ajoute aux autres cr�dits en vue de fournir des fonds pour couvrir les hausses des frais li�s au personnel. Ces hausses sont associ�es aux conventions collectives qui sont sign�es entre le Conseil du Tr�sor et les unit�s de n�gociations collectives repr�sentant les fonctionnaires, ainsi qu'aux conventions collectives conclues par des employeurs distincts, notamment les membres de la Gendarmerie royale du Canada et des Forces canadiennes, les personnes nomm�es par le gouverneur en conseil et les soci�t�s d'�tat, conform�ment � l'article 83 de la Loi sur la gestion des finances publiques.
Cr�dit 25 – Report du budget de fonctionnement
Ce cr�dit permet de transf�rer en temps opportun des montants directement aux minist�res et organismes, conform�ment � la politique du report du budget de fonctionnement, d�s que les montants admissibles sont confirm�s par le Secr�tariat et par les ministres du Conseil du Tr�sor.
Cr�dit 30 – Besoins en mati�re de r�mun�ration
Ce cr�dit r�pond aux besoins des minist�res et des organismes li�s au versement de prestations parentales, de prestations li�es � la cessation de services ou d'autres prestations. Afin d'�liminer la discrimination dans les pratiques de recrutement, les co�ts en mati�re de r�mun�ration ont �t� assum�s par l'organisme central depuis le lancement du r�gime des budgets de fonctionnement, en 1993. Ce cr�dit all�ge le fardeau des minist�res et des organismes concernant la gestion des fonds lorsqu'il s'agit de remplir ces obligations juridiques.
La Politique sur le contr�le interne du Conseil du Tr�sor, entr�e en vigueur le 1er avril 2009, stipule que les minist�res doivent prouver qu'ils se sont dot�s d'un syst�me efficace de contr�les internes en mati�re de rapports financiers (CIRF).
En vertu de cette politique, les minist�res doivent �valuer annuellement leur syst�me de CIRF, �tablir un plan d'action pour apporter les ajustements qui s'imposent et joindre � leur D�claration de responsabilit� de la direction un sommaire des r�sultats de l'�valuation et du plan d'action.
Les syst�mes efficaces de CIRF permettent d'obtenir des �tats financiers fiables et de fournir l'assurance que :
Il importe de noter que le syst�me de CIRF n'est pas con�u pour �liminer totalement les risques, mais plut�t pour les ramener � un niveau raisonnable gr�ce � des m�canismes de contr�le efficaces et proportionnels aux risques vis�s.
Le maintien d'un syst�me efficace de CIRF constitue un processus permanent dont le but est de cerner les risques cl�s, d'�valuer l'efficacit� des contr�les connexes et d'apporter les ajustements n�cessaires, ainsi que de surveiller son rendement � des fins d'am�lioration continue. Par cons�quent, la port�e, la fr�quence et l'�tat d'avancement des �valuations minist�rielles de l'efficacit� du syst�me de CIRF peuvent varier d'une organisation � l'autre, compte tenu des risques et des situations qui lui sont propres.
Le pr�sent document constitue une annexe � la D�claration de responsabilit� de la direction englobant les contr�les internes en mati�re de rapports financiers pour l'exercice 2010-2011. Il s'agit de la seconde annexe r�dig�e par le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor (le Secr�tariat) faisant suite � celle �labor�e pour l'exercice 2009-2010. Comme l'exige la Politique sur le contr�le interne du Conseil du Tr�sor, en vigueur depuis le 1er avril 2009, le document renferme des renseignements sommaires sur les mesures prises par le Secr�tariat en vue de maintenir un syst�me efficace de CIRF. Plus particuli�rement, il fournit de l'information sur les �valuations des contr�les internes qui ont �t� men�es par le Secr�tariat au 31 mars 2011, �valuations qui portent notamment sur les progr�s, les r�sultats et les plans d'action connexes, ainsi que des donn�es financi�res permettant de comprendre l'environnement de contr�le propre au Secr�tariat.
Le Secr�tariat est l'organe administratif du Conseil du Tr�sor. Le Conseil du Tr�sor est un comit� du Cabinet qui est compos� de ministres remplissant un large �ventail de responsabilit�s aux chapitres de l'excellence en gestion, de l'�laboration de politiques et de la surveillance des budgets et des ressources humaines. Le Secr�tariat appuie les ministres du Conseil du Tr�sor et contribue � l'am�lioration de la gestion de l'administration publique de fa�on � mieux servir les int�r�ts des Canadiennes et des Canadiens et � optimiser l'utilisation des deniers publics. Il atteint ces objectifs en :
Bien que ces deux r�les soient importants, une majorit� �crasante des d�penses, dans ces �tats financiers, se rapportent aux paiements centraux li�s aux r�gimes de pension et d'avantages sociaux.
Il est possible d'obtenir des renseignements d�taill�s sur les pouvoirs, le mandat et les activit�s de programme du Secr�tariat en consultant le Rapport minist�riel sur le rendement et le Rapport sur les plans et priorit�s.
Les �tats financiers (non v�rifi�s) du Secr�tariat pour l'exercice 2010-2011 peuvent �tre consult�s sur le site Web du Secr�tariat. Il est �galement possible d'obtenir de l'information sur les Comptes publics du Canada.
Principales donn�es financi�res du Secr�tariat :
Le Secr�tariat a recours � d'autres organismes pour le traitement de certaines op�rations qui sont consign�es dans ses �tats financiers. Voici une liste non exhaustive de ces ententes :
Le Secr�tariat d�pend des contr�les internes effectu�s par un certain nombre d'entreprises offrant des services pr�cis, par exemple l'administration des r�gimes de soins m�dicaux et de soins dentaires, et les services d'assurances.
Divers minist�res d�pendent du Secr�tariat pour le traitement de certaines op�rations ou la cueillette d'information ayant une incidence sur leurs �tats financiers :
La structure de l'Architecture des activit�s de programme a �t� restructur�e de mani�re � pr�senter l'information relative au rendement et donn�es financi�res dans six activit�s au lieu de quatre comme par le pass�. Ce changement figure dans le Rapport sur les plans et priorit�s ainsi que dans les �tats financiers du Secr�tariat qui pr�sentent les six nouvelles activit�s en 2010-2011, comparativement aux quatre activit�s ant�rieures de 2009-2010.
Le Secr�tariat reconna�t l'importance du r�le de leadership que joue la haute direction en s'assurant que tous les employ�s de tous les �chelons comprennent leurs r�les respectifs en ce qui concerne le maintien des syst�mes de CIRF efficaces, et aient tous les outils n�cessaires pour exercer leurs responsabilit�s. L'objectif du Secr�tariat consiste � am�liorer constamment son environnement de contr�le interne en misant sur une approche ax�e sur le risque et en affectant des ressources de mani�re cibl�e afin d'atteindre le degr� d'efficacit� requis � un co�t raisonnable.
Ci-dessous sont �num�r�s les principaux postes et comit�s du Secr�tariat qui sont charg�s du maintien et de r�vision de l'efficacit� de son syst�me de CIRF.
Secr�taire – � titre d'administratrice des comptes, la secr�taire du Secr�tariat assume globalement la responsabilit� et la direction � l'�gard des mesures prises pour maintenir l'efficacit� du syst�me de contr�le interne. Dans l'exercice de son r�le, la secr�taire pr�side le comit� de direction du Secr�tariat et est membre du Comit� minist�riel de v�rification.
Dirigeant principal des finances – Le dirigeant principal des finances du Secr�tariat rel�ve directement de la secr�taire et assure un leadership en ce qui a trait � la coordination, � la coh�rence et � l'importance de la conception et du maintien d'un syst�me de contr�le interne efficace et int�gr� en mati�re de rapports financiers, y compris son �valuation annuelle.
Secr�taires adjoints et autres cadres sup�rieurs du minist�re – Les cadres sup�rieurs du Secr�tariat charg�s de l'ex�cution des programmes sont responsables du maintien et de l'examen de l'efficacit� du syst�me de CIRF pertinent � leur mandat.
Dirigeant principal de la v�rification – Le dirigeant principal de la v�rification du Secr�tariat est plac� sous l'autorit� directe de la secr�taire et fournit une assurance en effectuant p�riodiquement des v�rifications internes qui aident � maintenir l'efficacit� du syst�me de CIRF.
Comit� de v�rification du gouvernement du Canada (CVGC) – Le Comit� de v�rification du gouvernement du Canada est un comit� consultatif qui �met des opinions objectives sur les �tats financiers et les cadres de gestion des risques, de contr�le et de gouvernance du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada. Il est compos� de trois membres externes, d'un sous-ministre ne provenant pas du Secr�tariat et de la secr�taire du Secr�tariat. Il examine le profil de risque du Secr�tariat, ses rapports de v�rification interne et son syst�me de contr�le interne, incluant l'�valuation et les plans d'action relatifs au syst�me de CIRF.
L'environnement de contr�le du Secr�tariat comprend une s�rie de mesures et d'outils qui contribuent � accro�tre la sensibilisation et � am�liorer les connaissances et les comp�tences des employ�s sur les m�canismes de contr�le interne. Voici quelques exemples � cet �gard :
D'apr�s la Politique sur le contr�le interne, un syst�me de CIRF efficace a comme objectif de fournir des assurances raisonnables selon lesquelles :
Avec le temps, le processus a inclus l'�valuation de l'efficacit� de la conception et du fonctionnement du syst�me de CIRF, ce qui se traduit par la surveillance et l'am�lioration continues du syst�me minist�riel de CIRF.
Une conception efficace signifie que les principaux points de contr�le sont d�finis, consign�s et mis en place et qu'ils sont adapt�s aux risques (c'est-�-dire que les contr�les sont proportionnels aux risques qu'ils visent att�nuer) et que toutes les corrections ont �t� apport�es. Ceci comprend le dessin des processus cl�s et des syst�mes de TI aux principaux comptes des �tats financiers.
Un fonctionnement efficace signifie que l'application des principaux contr�les a �t� test�e au cours d'une p�riode d�termin�e et que toutes les corrections requises ont �t� apport�es. Ces tests portent sur tous les niveaux de contr�le dont ceux relatifs � l'organisation ou entit�, les contr�les informatiques g�n�raux et les contr�les concernant les processus op�rationnels.
Au cours du second exercice depuis l'entr�e en vigueur de la Politique sur le contr�le interne, le Secr�tariat a poursuivi l'am�lioration de son approche concernant l'�valuation des contr�les internes. Il a adopt� une approche ax�e sur le risque pour l'�valuation des contr�les internes en mati�re de rapports financiers. Cette approche consiste � d�terminer quels comptes dans les �tats financiers annuels pr�sentent une erreur importante qui pourrait influencer le processus d�cisionnel au moment de la lecture des �tats financiers de l'organisation, l'�valuation des risques potentiels de fraude, la complexit� et le volume des transactions ainsi que la sensibilit� en fonction de chacun des comptes. Tous les comptes sont regroup�s dans les �tats financiers par cat�gorie tel actifs, passifs, d�penses pangouvernementales, d�penses des op�rations et revenus. Pour chaque cat�gorie, le seuil de l'importance relative est �tabli � 1 % de sa valeur annuelle.
Bien que cette approche fond�e sur le risque ait �t� adopt�e en 2010-2011, sa mise en œuvre est encore en cours, elle �voluera et sera �tendue sur les prochaines ann�es. Gr�ce � cette approche, on a mis l'emphase sur l'�valuation des deux plus vastes programmes ayant des r�percussions sur les �tats financiers du Secr�tariat : le R�gime de pension de retraite de la fonction publique et le R�gime de soins de sant� de la fonction publique.
Dans le cadre de son �valuation annuelle, le Secr�tariat a r�alis� les activit�s suivantes :
Le Secr�tariat a tenu compte �galement des renseignements tir�s des v�rifications et des �valuations pertinentes, en particulier, les rapports de v�rification interne suivants :
Les processus op�rationnels du Secr�tariat sont regroup�s en deux cat�gories, � savoir : 1) ceux qui concernent le Secr�tariat en tant que minist�re et 2) ceux qui touchent le Secr�tariat � l'�gard de son r�le de gestionnaire des fonds pangouvernementaux et des paiements en tant qu'employeur de la fonction publique.
Les processus op�rationnels du Secr�tariat dans son r�le de minist�re sont :
Les processus op�rationnels du Secr�tariat dans son r�le de gestionnaire des fonds pangouvernementaux et des paiements en tant qu'employeur de la fonction publique sont :
En 2009-2010, le Secr�tariat a consacr� ses efforts sur les contr�les internes relatifs aux processus op�rationnels li�s aux programmes qu'il g�re en tant que minist�re. L'organisation a fond� ses r�sultats sur une �valuation ant�rieure de son �tat de pr�paration � une v�rification r�alis�e par un cabinet d'experts-conseils externe ind�pendant. En 2010-2011, le Secr�tariat s'est concentr� sur les processus op�rationnels relatifs � son r�le de gestionnaire des fonds pangouvernementaux et des paiements en tant qu'employeur de la fonction publique. L'�valuation des contr�les internes du R�gime de pension de retraite de la fonction publique, du R�gime de soins de sant� de la fonction publique, du R�gime d'assurance-invalidit� et du R�gime de soins dentaires de la fonction publique qui a commenc� en 2010-2011 se poursuivra en 2011-2012. L'�valuation des activit�s de contr�les a n�cessit� la collecte de documents propres � chacun des programmes, des discussions avec les diverses parties int�ress�es, l'analyse des risques et des contr�les connexes.
Dans le cadre de l'�valuation des principaux contr�les des sous-processus qui ont trait aux r�gimes pangouvernementaux de retraite et d'avantages sociaux des employ�s, le Secr�tariat s'est pench� sur l'efficacit� de leur conception et a pris des mesures correctives.
� la fin des tests sur l'efficacit� de la conception, le Secr�tariat a mis � jour la documentation sur les processus op�rationnels et a valid� les principaux processus aupr�s de la gestion. Il a v�rifi� que les processus document�s correspondent aux pratiques en vigueur et que l'on r�visait au besoin la documentation ou les processus. De plus, on a �tudi� les plans d'action de la gestion r�sultant des v�rifications internes afin de d�terminer les mesures qui ont �t� mises en place. � la suite de ces �valuations, le Secr�tariat a conclu qu'il �tait n�cessaire d'apporter les mesures correctives suivantes :
En 2010-2011, le Secr�tariat a canalis� ses efforts vers l'efficacit� de la conception des r�gimes de retraite et d'avantages sociaux de la fonction publique et continuera sur la m�me voie en 2011-2012. Le Secr�tariat a r�alis� l'examen de l'efficacit� de la conception sur ses processus op�rationnels relatifs au cr�dit 1 et a commenc� l'examen du r�gime de pension et des avantages sociaux de la fonction publique.
En 2011 le Secr�tariat visait � s'assurer que les op�rations minist�rielles puissent soutenir une v�rification ax�e sur les contr�les et de documenter la gestion des fonds gouvernementaux. L'accent pour les ann�es � venir sera sur les diff�rents programmes de pension et avantages sociaux g�r�s par le Secr�tariat. Ces programmes avaient �t� examin�s de mani�re g�n�rale lors d'une v�rification et les correctifs ont �t� apport�s. Une analyse plus d�taill�e a commenc� dans le but de documenter davantage les processus et les contr�les ainsi qu'une �valuation des lacunes potentielles.
Au cours de l'exercice 2010-2011, le Secr�tariat a continu� de r�aliser des progr�s importants dans l'�valuation et l'am�lioration de ses contr�les. Ci-dessous se trouve le r�sum� des principaux progr�s r�alis�s par le Secr�tariat :
Au cours de l'exercice 2010-2011, l'accent �tait les diff�rents programmes de pension et avantages sociaux g�r�s par le secr�tariat. Ceci demeurera l'accent primaire pour les 3 prochaines ann�es :