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Nom de l’initiative horizontale : Programme de l'enc�phalopathie spongiforme bovine (ESB)
Nom des minist�res responsables : Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA), Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) (de 2003-2004 � 2007-2008)
Activit� de programme du minist�re responsable : Risques li�s aux zoonoses et Services internes (ACIA seulement)
Date de mise en œuvre : 2003-2004 (programme am�lior�)
Date de cl�ture : Permanente
Total des fonds f�d�raux affect�s (de la mise en œuvre � la cl�ture) :
3 601,1 millions (de 2003-2004 � 2013-2014) plus 26,6 millions (financement permanent)
Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) : Le programme national de surveillance de l'ESB vise diff�rents objectifs : prot�ger la sant� humaine et animale par des activit�s de surveillance, de recherche et d'�valuation des risques li�s � l'ESB et � d'autres enc�phalopathies spongiformes transmissibles (EST), ainsi que par l'att�nuation des risques d'exposition � du mat�riel infect�; maintenir la confiance du consommateur en �valuant l'efficacit� des mesures d'att�nuation des risques et en mettant en place des mesures de contr�le des �closions �ventuelles; favoriser l'acc�s au march� des bovins et des produits connexes par la promotion du programme aupr�s des intervenants au pays et � l'�tranger.
L'ACIA s'assure que les mati�res � risque sp�cifi�es (MRS) sont retir�es de la cha�ne alimentaire animale et humaine; v�rifie si les produits � destination et en provenance du Canada respectent les normes canadiennes et les normes du pays importateur; surveille la pr�valence ou l'absence de l'ESB au sein de la population bovine; veille � la mise en place de mesures de contr�le des �closions �ventuelles; et d�crit aux intervenants nationaux et �trangers les mesures prises par le Canada pour contr�ler l'ESB (par exemple le programme des v�t�rinaires � l'�tranger). Pour maintenir la confiance dans le programme de surveillance de l'ESB du Canada, Sant� Canada fait des recherches et des �valuations des risques concernant l'exposition des �tres humains � l'ESB et � d'autres EST. L'Agence de la sant� publique du Canada (ASPC) m�ne de son c�t� des activit�s de surveillance et de recherche cibl�es � cet �gard. Par ailleurs, AAC participe au soutien, � la stabilisation et au repositionnement de l'industrie canadienne du bœuf et du b�tail, notamment en versant des paiements compensatoires aux intervenants touch�s par l'ESB au pays.
Year | Departments | Funding Period | Intent of Funds |
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2003-2004 | ACIA, AAC, SC | 2003-2004 � 2007-2008 | Mesures visant � assurer l'avenir de l'industrie canadienne du bœuf |
2003-2004 | ACIA | 2003-2004 � 2007-2008 | Retrait des MRS de la cha�ne alimentaire et r�int�gration des march�s d'exportation (Initiative de surveillance intensifi�e de l'ESB) |
2004-2005 | ACIA | 2004-2005 � 2008-2009 | Repositionnement de l'industrie canadienne du bœuf et du b�tail pour assurer la rentabilit� et la durabilit� de ses activit�s |
2004-2005 | ACIA | 2004-2005 et 2005-2006 | Renforcement des restrictions frappant les aliments du b�tail |
2005-2006 | ACIA | 2005-2006 � 2008-2009 | Autres mesures visant � r�duire les pressions exerc�es sur l'industrie des ruminants |
2006-2007 | ACIA | 2006-2007 | Poursuite des activit�s de l'ACIA ayant trait au renforcement de l'interdiction frappant les aliments du b�tail |
2007-2008 | ACIA | Permanent | Renforcement de l'interdiction frappant les aliments du b�tail |
2008-2009 | ACIA | 2008-2009 | Prorogation de certains �l�ments de l'Initiative de surveillance intensifi�e de l'ESB qui devaient �tre �limin�s graduellement |
2009-2010 | ACIA, ASPC, SC | 2009-2010 � 2013-2014 | Poursuite des principales activit�s li�es � l'ESB |
8. Objectifs communs : Favoriser l'acc�s aux march�s nationaux et internationaux du b�tail, du bœuf et des produits du bœuf canadiens en contribuant � la protection de la sant� humaine et animale.
9. Structure de gouvernance : L'ACIA est l'organisme f�d�ral responsable de la prestation du Programme national de surveillance de l'ESB. En 2008, une �valuation sommative du programme a montr� la n�cessit� de renforcer sa structure de gouvernance en vue d'am�liorer la coordination et la communication relativement aux activit�s li�es � l'ESB, tant � l'interne qu'avec les organismes partenaires. L'ACIA a accept� cette recommandation et a convenu de proposer des solutions pour am�liorer le mod�le de gouvernance et ainsi faciliter le dialogue horizontal inh�rent aux mod�les de gouvernance des initiatives horizontales. En 2010, l'ACIA s'est dot�e d'une nouvelle structure de comit�s pour harmoniser sa structure de gouvernance globale avec les besoins op�rationnels, qui changent constamment. La nouvelle structure met l'accent sur l'importance de communiquer l'information � l'interne, tout en simplifiant et en am�liorant la structure des comit�s de direction. Elle devrait favoriser l'adoption d'un processus d�cisionnel � l'�chelle de l'Agence et contribuer � la r�alisation de ses activit�s courantes. Pour veiller � ce que le processus d�cisionnel tienne compte du point de vue des diff�rents secteurs, les trois comit�s de la haute direction sont appuy�s par quatre comit�s responsables de la sant� animale, des v�g�taux, des aliments et de la gestion horizontale.
10. Points saillants : En 2010-2011, l'administration a poursuivi ses principales activit�s concernant l'ESB pour contribuer � prot�ger la sant� humaine et animale.
Partenaires f�d�raux | Activit�s de programme des partenaires f�d�raux | Titre des programmes des partenaires f�d�raux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre � la date de cl�ture) | 2010-2011 | |||
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D�penses pr�vues 2010-2011 |
D�penses r�elles 2010-2011 |
R�sultats pr�vus 2010-2011 |
R�sultats obtenus 2010-2011 |
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Agence canadienne d'inspection des aliments |
Risques li�s aux zoonoses Services internes |
Retrait des MRS de la cha�ne alimentaire humaine | 91,5 (de 2003-2004 � 2013-2014) | 9,5 | 7,0 | Salubrit� des aliments. Continuer de mettre en œuvre et de surveiller le retrait des MRS par le personnel d'inspection de l'ACIA. |
Les �tablissements de d�sossage et d'abattage inspect�s par le f�d�ral continuent de faire l'objet de v�rifications sur place, et le personnel d'inspection de l'ACIA effectue un nombre sans pr�c�dent d'examens pour veiller au respect des exigences suivantes : L'exploitant respecte le syst�me HACCP �crit relativement au retrait et � la surveillance des MRS; Le syst�me HACCP �crit de l'exploitant respecte les exigences r�glementaires li�es au retrait et � la surveillance des MRS dans les �tablissements de d�sossage et d'abattage. Au cours de l'exercice 2010-2011, un taux de conformit� de 99,76 % a �t� atteint pour 5 023 t�ches de mise en œuvre et de surveillance du retrait des MRS. Les �tablissements d'abattage inspect�s par le provincial continuent de faire l'objet de v�rifications sur place, et le personnel d'inspection de l'ACIA effectue un nombre sans pr�c�dent d'examens pour s'assurer du retrait, de la s�paration et de l'�limination des MRS. Ces examens servent aussi � �valuer la pertinence des activit�s de surveillance provinciales. Ces v�rifications font toujours partie int�grante des efforts soutenus de l'ACIA pour am�liorer l'uniformit� et la qualit� g�n�rale de ses inspections et activit�s connexes dans les �tablissements non agr��s au provincial. |
Contr�le des importations | 2,8 (de 2004-2005 � 2013-2014) | 0,3 | 0,4 |
Les produits import�s au Canada sont conformes aux normes canadiennes. L'ACIA r�vise les politiques et les conditions d'importation actuelles relativement � l'ESB afin de suivre l'�volution des normes internationales et de la science. Mise � jour des politiques et des proc�dures d'importation (en ordre de priorit�, minimum de 25 % par ann�e) pour veiller au respect des exigences r�glementaires et des mesures de lutte contre les maladies impos�es par l'ACIA; pour soutenir l'acc�s aux march�s par l'am�lioration de l'�tat de sant� des animaux au Canada et par la production d'aliments, d'aliments du b�tail et d'engrais sans risque faits d'ingr�dients provenant d'animaux import�s. Approbation par l'ACIA du syst�me de cat�gorisation de l'OIE selon les risques d'ESB dans les pays commer�ants : risque n�gligeable, risque ma�tris� ou risque ind�termin�. �valuation scientifique conjointe avec Sant� Canada du processus de fabrication de la g�latine � partir de peaux de bovins brutes provenant de pays pour lesquels le risque d'ESB est ma�tris� ou ind�termin�. |
La politique r�vis�e sur l'importation relativement � l'ESB (politique-cadre) a �t� sign�e par les partenaires de Sant� Canada et par le v�t�rinaire en chef de l'ACIA. Elle a �t� soumise � l'Organisation mondiale du commerce (OMC) pour qu'elle formule des commentaires (2009) en vue de sa mise en œuvre (2010). L'ACIA a mis � jour 25 % des proc�dures d'importation en vue de les clarifier. D'autres mises � jour se poursuivant en 2010-2011 visent en particulier � combiner les cinq directives sur les produits d'une usine de traitement (dits �quarris) et les produits non comestibles en un seul document par type de marchandise. Les activit�s de la section Importation de la Division de la sant� des animaux terrestres aident les programmes nationaux de lutte contre les maladies (renforcement de l'interdiction frappant les aliments du b�tail, interdiction de 1997 frappant les aliments du b�tail) � se conformer aux obligations internationales, � accro�tre les connaissances scientifiques et � favoriser l'acc�s aux march�s en maintenant la bonne r�putation du Canada en mati�re de sant� des animaux. L'ACIA continue d'�valuer les risques d'EST pour appuyer le Programme national de sant� des animaux terrestres. L'ACIA a men� avec Sant� Canada une �tude scientifique sur la r�duction de l'infectiosit� de l'ESB dans la production de g�latine d�riv�e de peau de bovin brute. |
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Surveillance de l'ESB | 159,9 (de 2003-2004 � 2013-2014) | 15,4 | 18,8 |
Sant� des animaux et salubrit� des aliments. 1. Surveillance de la pr�valence de l'ESB au Canada et �valuation de l'efficacit� des mesures de lutte contre l'ESB, y compris de l'interdiction frappant les aliments du b�tail et du contr�le des importations. 2. �tude des options de remaniement du Programme national de surveillance de l'ESB et consultation des intervenants au sujet de la possibilit� d'exercer une surveillance encore plus cibl�e. |
La mise en œuvre du Programme national de surveillance de l'ESB se poursuit, conform�ment aux directives nationales et internationales (OIE). L'ACIA a recueilli 35 655 �chantillons pendant l'ann�e civile 2010 et a fait, selon les crit�res d'admissibilit� du programme national de remboursement, un nombre presque �quivalent de paiements aux partenaires admissibles au programme, notamment des producteurs de bovins, des v�t�rinaires du secteur priv� et des ramasseurs de cadavres d'animaux. Le r�seau des laboratoires de diagnostic des EST a analys� les 35 655 �chantillons; un cas d'ESB a �t� d�tect�. Dans le cadre d'un groupe de travail conjoint, l'ACIA et le gouvernement de l'Alberta ont �tudi� des fa�ons de perfectionner le programme par une surveillance encore plus cibl�e, ax�e sur les �chantillons d'animaux � risque �lev�. Les r�sultats du projet pilote de surveillance de l'ESB par le Canada et l'Alberta sont examin�s p�riodiquement. D'autres analyses doivent �tre entreprises concernant l'int�gration de crit�res d'�valuation du projet pilote dans le programme national actuel. L'ACIA a donn� une formation � l'�chelle nationale pour expliquer la technique d'�chantillonnage et assurer la continuit� de la cha�ne de possession des �chantillons (la formation a commenc� en septembre 2010 et se poursuivra jusqu'en f�vrier 2011). |
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Identification du b�tail | 29,2 (de 2003-2004 � 2013-2014) | 2,8 | 2,2 |
Sant� des animaux et salubrit� des aliments. Poursuivre les activit�s de mise en application de la r�glementation sur l'identification du b�tail, notamment en veillant � ce que le b�tail vendu aux ench�res ou transport� aux abattoirs inspect�s par le gouvernement f�d�ral ou provincial soit clairement identifi� � l'aide d'une �tiquette d'oreille. |
Les abattoirs inspect�s par le f�d�ral font r�guli�rement l'objet de v�rifications servant � confirmer que le b�tail re�u est identifi� � l'aide d'une �tiquette approuv�e. Au cours de l'exercice 2010-2011, un taux de conformit� de 99,76 % a �t� atteint pour 1 265 t�ches de mise en application de la r�glementation sur l'identification du b�tail effectu�es dans les abattoirs inspect�s par le f�d�ral. Le personnel d'inspection de l'ACIA continue de veiller au respect du programme canadien d'identification du b�tail dans les ventes aux ench�res, les �tablissements de ramassage de cadavres d'animaux, les fermes, les installations d'�levage, les parcs d'engraissement, les abattoirs inspect�s par le provincial, les usines d'�quarrissage ainsi que chez les distributeurs d'�tiquettes. Au total, 8 848 visites ont �t� effectu�es; moins de 0,7 % d'entre elles ont donn� lieu � un constat d'infraction. 98 % du b�tail �tait �tiquet�. Les responsables du programme d'identification et de tra�abilit� du b�tail de l'ACIA ont consacr� beaucoup d'efforts � :
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Certification des exportations | 53,2 (de 2003-2004 � 2013-2014) | 5,7 | 3,4 |
Conformit� des produits export�s du Canada aux exigences des pays �trangers. Continuer d'offrir des services de certification des exportations � un large �ventail d'industries. |
L'ACIA demeure r�solue � promouvoir un cadre de r�glementation international pour prot�ger les exportateurs canadiens des obstacles inutiles ou discriminatoires. De plus, elle dirige l'�laboration d'ententes internationales et bilat�rales ou y participe. Conform�ment � son cadre de coop�ration internationale relativement � la r�glementation, l'Agence entretient d'�troites relations avec ses principaux homologues �trangers. |
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Renforcement de l'interdiction frappant les aliments du b�tail | 241,0 (de 2004-2005 � 2013-2014) plus 26,6 (financement permanent) | 26,6 | 16,8 |
Innocuit� des aliments du b�tail, des engrais et des aliments, sant� des animaux. Continuer de renforcer l'interdiction frappant les aliments du b�tail. |
L'ACIA a commenc� � faire appliquer un ensemble d'interdictions frappant les aliments du b�tail en 1997. � l'�poque, ces nouvelles exigences r�glementaires (qui ne faisaient l'objet d'aucun financement suppl�mentaire) ont �t� int�gr�es dans les programmes d'inspection existants pour les aliments du b�tail ou leurs ingr�dients fabriqu�s, distribu�s et utilis�s par les �tablissements d'�quarrissage de produits non comestibles, les provenderies commerciales et les fermes. Par suite de la d�tection, en 2003, d'un cas d'ESB chez un animal n� au Canada, l'ACIA a re�u des fonds suppl�mentaires en 2005-2006 et aux exercices suivants pour soutenir la mise en œuvre et la mise en application d'un cadre de r�glementation visant � renforcer l'interdiction frappant les aliments du b�tail entr�e en vigueur en 2007. Ce renforcement a principalement entra�n� : 1. l'augmentation de la capacit� et de la fr�quence d'inspection dans la cha�ne d'approvisionnement et d'utilisation des aliments du b�tail, c'est-�-dire dans les �tablissements d'�quarrissage de produits non comestibles, les provenderies commerciales, les points de vente au d�tail et les fermes; 2. l'introduction et l'administration d'un syst�me de permis pour le contr�le et d'activit�s de v�rification de la conformit� dans les abattoirs, les �tablissements de ramassage de cadavres d'animaux, les d�charges et les autres installations de traitement et d'�limination relativement � la collecte, au transport, � la manipulation et � l'�limination des tissus bovins d�sign�s comme MRS. Conform�ment aux nouveaux r�glements, les MRS doivent �tre s�par�es, identifi�es et bien g�r�es jusqu'� leur �limination finale. L'ACIA a d� assumer une t�che suppl�mentaire : superviser l'inspection de l'�quipement et des installations de traitement des MRS, en faisant le suivi de leurs d�placements � diff�rents moments de la cha�ne jusqu'� leur �limination ou jusqu'� leur utilisation � d'autres fins qui ne font habituellement pas l'objet d'une inspection de l'Agence; 3. pendant l'exercice 2010-2011, l'ACIA a poursuivi la surveillance des engrais et des suppl�ments dans les points de vente des MRS (lorsque c'�tait possible), � moins que leur utilisation ait �t� autoris�e par un permis d�livr� en vertu du R�glement sur la sant� des animaux. Les permis sont d�livr�s au cas par cas et sont assortis d'exigences relatives au traitement des mati�res (p. ex. le compostage) et � leur �limination (p. ex. l'utilisation non alimentaire sur des terres ne servant pas � l'agriculture ni au p�turage) afin d'att�nuer les risques potentiels pour la sant� humaine et animale et pour l'environnement. Comme mesure suppl�mentaire, un programme de surveillance du march� ax� sur la tenue des dossiers et les proc�dures de rappel a �t� mis sur pied pour s'assurer que les fabricants, les distributeurs, les importateurs et les vendeurs pourraient proc�der rapidement � un rappel au besoin. Pendant l'ann�e civile 2010, l'ACIA a continu� de v�rifier la conformit� � la nouvelle r�glementation de 2007 dans les �tablissements d'�quarrissage, chez les fabricants commerciaux d'aliments du b�tail, les d�taillants d'aliments du b�tail, les fabricants d'aliments du b�tail � la ferme et les �tablissements d'engraissement, dans les �tablissements d'abattage et de transformation des viandes, les �tablissements de ramassage de cadavres de bovins, les entreprises qui transportent et re�oivent des MRS d'animaux couch�s et d'animaux morts, et les installations de compostage et de fabrication d'engrais. Sommaire du rendement
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Aide technique relative � l'acc�s aux march�s | 44,1 (de 2004-2005 � 2013-2014) | 5,0 | 1,8 |
Confiance accrue dans le syst�me canadien d'�levage des animaux et de production des aliments, am�lioration de l'acc�s aux march�s nationaux et internationaux. Continuer d'�tablir et d'entretenir de bonnes relations avec les partenaires commerciaux et d'exercer une influence et un leadership mondiaux sur l'�laboration de politiques et de normes internationales. |
L'ACIA continue de jouer un r�le actif sur la sc�ne mondiale. De plus, elle contribue � l'�laboration de normes scientifiques internationales pour la lutte contre l'ESB, fondements essentiels au commerce sans danger et au maintien de la confiance des march�s �trangers. Dans un cadre bilat�ral, il s'agit notamment d'inviter les partenaires commerciaux � participer � des missions techniques au Canada pour confirmer sur place l'int�grit� et la mise en œuvre des contr�les d'inspection. � l'�chelle multilat�rale, l'Agence conserve au Canada le statut officiel de pays � risques contr�l�s pour l'ESB selon le syst�me d'�valuation de l'OIE, qui compte 176 membres. Elle continue de prendre part aux discussions de l'OIE, que ce soit en participant � l'assembl�e g�n�rale ou � la r�vision des codes. Elle poss�de aussi un laboratoire de r�f�rence pour l'ESB associ� � l'OIE. En outre, des employ�s de l'Agence sont membres de commissions de l'OIE. |
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Examen des �tablissements | 2,3 (de 2004-2005 � 2006-2007) | - | - |
Sans objet |
Sans objet |
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Surplus de vieux b�tail | 0,3 (2004-2005) | - | - |
Sans objet |
Sans objet |
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R�forme de l'inspection des viandes | 9,2 (de 2005-2006 � 2007-2008) | - | - |
Sans objet |
Sans objet |
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Sous-total de l'ACIA | 633,5 (de 2004-2005 � 2013-2014 plus 26,6 (financement permanent) | 65,3 | 50,4 | ||||
Agence de la sant� publique du Canada |
Surveillance et �valuation de la sant� de la population + Surveillance de la sant� publique + |
Programme des maladies � prions | 7,9 | 0,8 | 0,8 | Surveillance prospective permanente des EST humaines au Canada, pour que les risques de transmission primaire (d'un animal � un humain) et secondaire (d'un humain � un autre) de zoonoses soient surveill�s �troitement, examin�s promptement, d�crits en d�tail et att�nu�s de fa�on appropri�e. |
Le Syst�me de surveillance de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (SSMCJ) de l'ASPC joue toujours le r�le de syst�me de surveillance nationale global des EST humaines. Des statistiques d�taill�es peuvent �tre consult�es au http://www.phac-aspc.gc.ca/hcai-iamss/cjd-mcj/cjdss-ssmcj/stats-fra.php. Toutes les formes d'EST humaines (sporadique, g�n�tique et acquise par transmission infectieuse) continuent d'�tre d�pist�es au Canada directement gr�ce aux services de laboratoire de grande qualit� et d'autres types de soutien offerts aux professionnels de la sant� canadiens par le SSMCJ. Le taux estimatif de mortalit� de toutes les maladies � prions humaines au Canada en 2009, plus r�cente ann�e civile pour laquelle les donn�es du SSMCJ sont compl�tes, �tait de 1,57 par million, ce qui concorde avec les donn�es de r�f�rence mondiales. Un cas de variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (le second � ce jour touchant un r�sident du Canada) a �t� confirm� par le SSMCJ en f�vrier 2011 (voir http://www.phac-aspc.gc.ca/ccdrw-rmtch/2011/ccdrw-rmtcs1011r-fra.php). On a constat� que ce cas avait �t� � import� �, ce qui a confirm� que la salubrit� du bœuf canadien ne pouvait pas �tre mise en cause. La recherche se poursuit dans le but d'�laborer de nouvelles m�thodes de d�pistage et de diagnostic des maladies � prions humaines et animales. Par exemple, le Programme des maladies � prions de l'ASPC a permis de d�couvrir des biomarqueurs potentiels des ESB dans l'urine, et le SSMCJ a achev� une �tude prospective de six ans de la pr�cision du diagnostic des maladies � prions humaines � partir des biomarqueurs dans le liquide c�phalorachidien. |
Sous-total de l'ASPC | 7,9 | 0,8 | 0,8 | ||||
Sant� Canada | Produits de sant� | �valuation des risques et recherche cibl�e | 44,0 | 4,4 | 3,5 |
Examen des fichiers principaux et des demandes de licence de mise en march� de produits qui contiennent des ingr�dients provenant d'animaux, donc qui peuvent �tre infect�s par une EST. Relever tous les ingr�dients de chaque demande qui proviennent de tissus d'origine animale et �valuer le risque d'ESB. Comp�tences et connaissances accrues en ce qui a trait � la recherche sur l'ESB et les EST, aux risques et � la surveillance des produits. |
Sant� Canada poursuit l'examen des fichiers principaux et des demandes de licence de mise en march� de produits qui contiennent des ingr�dients provenant d'animaux et qui peuvent �tre infect�s par une EST. Dans le cadre de l'�valuation des risques, une �valuation des ingr�dients provenant d'animaux est requise � chaque examen. Au cours de cette p�riode, environ 80 demandes pour un nouveau m�dicament et 210 demandes pour un m�dicament g�n�rique ont �t� examin�es, dont 15 % environ en sous-traitance. En outre, 250 demandes de modification � d�claration obligatoire et 15 pr�sentations de fiches ma�tresses des m�dicaments (FMM) ont �t� examin�es par des contractuels. La provenance des tissus d'origine animale a �t� �valu�e dans tous les cas. � ce jour, environ 32 % des licences de mise en march� de produits d�livr�es (soit 9 176 licences) mentionnent une forme de tissu provenant de bovins ou de b�tail; 2088 de ces licences ont �t� d�livr�es en 2010, et 496 en 2011 � ce jour. Activit�s d'examen des produits biologiques avant leur mise en march� avec les �valuations de risques connexes relativement � la variante de la MCJ (�quivalent humain de la maladie de la vache folle) ou � l'ESB. Ces activit�s sont men�es dans le cadre du processus d'examen des produits biologiques pour confirmer que les mati�res d'origine animale utilis�es dans leur fabrication pr�sentent un risque faible de transmission de l'ESB � la population. Activit�s li�es � l'�laboration de strat�gies de gestion du risque pour att�nuer le risque d'ESB ou de vMCJ dans les produits sanguins (apr�s la mise en march�, avec l'ASPC). Surveillance continue pour d�terminer la n�cessit� de recourir � l'exclusion lorsque des preuves r�v�lent un risque potentiel de transmission de l'ESB et de la vMCJ. Des mesures appropri�es de gestion du risque sont appliqu�es apr�s consultation de l'ASPC. Contribution scientifique et clinique aux politiques li�es � la gestion des risques de vMCJ (directives relatives � la vMCJ et analyse permanente de la pertinence de l'exclusion des voyageurs canadiens relativement aux risques d'exposition � l'ESB). On s'assure ainsi que les plus r�centes preuves scientifiques et cliniques sont prises en consid�ration dans l'�laboration ou la r�vision des directives li�es � la vMCJ afin de r�duire au minimum les risques d'exposition des citoyens canadiens � l'ESB. Efforts de collaboration internationaux pour harmoniser les strat�gies de gestion du risque d'exposition � l'ESB et � la vMCJ par les produits biologiques. Maintien de la collaboration avec les partenaires �trangers pour assurer l'�change d'information scientifique et clinique et le d�veloppement de strat�gies harmonis�es visant � contrer les risques connus de transmission de l'ESB par les produits biologiques. Mise � jour du Draft Guidance Document: Regulatory Requirements to Minimize the Risk of Transmission of Transmissible Spongiform Encephalopathies (TSEs) via Animal-Sourced Materials used in the Manufacture of Schedule D (Biologic) Drugs, de la DPBTG pour tenir compte de l'information contenue dans le document r�vis� de l'OMS intitul� Tables on Tissue Infectivity Distribution in Transmissible Spongiform Encephalopathies (tableaux de la r�partition de l'infectiosit� des tissus relativement aux enc�phalopathies spongiformes transmissibles). |
Conformit� et application* | 1,0 (de 2003-2004 � 2007-2008) | - | - | Sans objet | Sans objet | ||
�valuation des produits* | 6,2 (de 2003-2004 � 2007-2008) | - | - | Sans objet | Sans objet | ||
Suivi et tra�abilit�* | 3,1 (de 2003-2004 � 2007-2008) | - | - | Sans objet | Sans objet | ||
Aliments et nutrition | �valuation des risques et recherche cibl�e | 18,1 | 1,8 | 1,3 |
R�sultat : Comp�tences et connaissances accrues en ce qui a trait � la recherche sur l'ESB et les EST, aux risques et � la surveillance des produits Extrants/activit�s : Consulter les intervenants, collaborer � la recherche et � la formation avec des tiers et assister � des conf�rences. L'�valuation sommative du Programme national de surveillance de l'ESB, initialement pr�vue pour 2009 2010, a �t� report�e � 2010-2011 en raison de l'allocation de fonds suppl�mentaires sur un an. Elle devrait �tre r�alis�e en 2011-2012. |
Sant� Canada (SC) continue d'�valuer les risques d'EST et de mener des projets de recherche uniques en collaboration avec des partenaires externes (l'ACIA, l'Allemagne et la France) pour produire des donn�es nouvelles et importantes sur l'ESB, la pathog�nie des EST et les mati�res � risque sp�cifi�es afin de contribuer � la caract�risation des dangers, � l'�valuation des risques et � l'�tablissement des normes. En outre, SC a continu� de remplir son r�le scientifique et consultatif comme membre des d�l�gations canadiennes concernant l'ESB et les EST � l'�chelle nationale et mondiale. La planification de l'�valuation sommative du programme de l'ESB, faite en 2010-2011, a co�t� 50 000 $ (salaire). L'�valuation sommative sera confi�e en sous-traitance pendant l'exercice 2011 2012; elle co�tera 160 000 $ en fonctionnement et entretien et 50 000 $ en salaire. |
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Sous-total de SC | 72,4 | 6,2 | 4,8 | ||||
Total | 3 601,1 (de 2003-2004 � 2013-2014) plus 26,6 (financement permanent)** | 72,3 | 56,0 |
+ ASPC: Dans le RPP de 2010-2011, de l'information descriptive erron�e, portant sur le Programme des maladies � prions de l'Agence de la sant� publique du Canada, a �t� inscrite dans les colonnes 12 et 13 du tableau 9c. Cette information a �t� corrig�e dans cette version du tableau.
*Sant� Canada : Le financement a pris fin en 2007-2008.
**Remarque: Le total des fonds f�d�raux vers�s comprend ceux vers�s � AAC (2 887,3 millions), � l'ACIA (633,5 millions plus 26,6 millions en financement permanent), � Sant� Canada (72,4 millions) et � l'ASPC (7,9 millions). Le RPP et le RMR n'incluent pas de tableau avec les d�penses pr�vues et r�elles de l'AAC, car le financement a pris fin en 2008-2009.
Commentaire sur les �carts :
ACIA : L'�cart entre les d�penses pr�vues et r�elles est attribuable � la r�affectation de fonds � des d�penses qui appuient cette initiative, ainsi qu'� d'autres priorit�s de l'Agence. Bien qu'on s'efforce de respecter les objectifs fix�s, la r�affectation de fonds est parfois n�cessaire en fonction des priorit�s du moment.
AAFC : Aucun �cart.
ASPC : Aucun �cart.
Sant� Canada : Les d�penses de SC pour l'ESB ont �t� inf�rieures de 1,4 million aux fonds affect�s en 2010-2011 pour diverses raisons. � la suite d'un d�part � la retraite, un poste de conseiller principal est rest� vacant environ un an, et plusieurs rencontres et contrats subs�quents ont �t� report�s � l'exercice 2011-2012, soit apr�s la dotation du poste. De plus, une �valuation d'ESB pr�vue pour 2010-2011 a �t� report�e � l'exercice suivant, et une r�organisation des responsabilit�s en 2010-2011 a emp�ch� la d�pense compl�te des fonds dans certains secteurs.
R�sultats obtenus par les partenaires non f�d�raux (le cas �ch�ant) : s.o.
Personnes-ressources :
Agence canadienne d'inspection des aliments
Colleen Barnes
Directrice ex�cutive
Direction des politiques nationales
613-773-5901
Agriculture et Agroalimentaire Canada
John Ross
Directeur, Division des productions animales
613-773-0220
Agence de la sant� publique du Canada
Dr. Michael Coulthart
Directeur
Programme des maladies � prions
204-789-6026
Sant� Canada
Scott LeBrun
Directeur int�rimaire
Division de la planification strat�gique et de la responsabilit�
Direction g�n�rale des produits de sant� et des aliments, Sant� Canada
613-952-6178
Nom de l'initiative horizontale : Programme national sur la sant� des animaux aquatiques (PNSAA)
Organismes responsables : Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) et minist�re des P�ches et des Oc�ans du Canada (MPO)
Activit�s de programme des organismes responsables : Risques li�s � la sant� des animaux et syst�mes de production (ACIA); Sant� des animaux aquatiques (MPO)
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2005
Date de cl�ture de l'initiative horizontale : Permanente
Total des fonds f�d�raux vers�s (de la mise en œuvre � la cl�ture) : 59,0 millions (de 2005-2006 � 2009-2010) plus 10,3 millions (financement permanent)
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) : Le PNSAA vise � prot�ger les animaux aquatiques du Canada et � maintenir leur productivit� en emp�chant l'introduction et la propagation de maladies qui menacent les ressources aquatiques et en assurant la comp�titivit� de l'industrie des poissons et des produits de la mer � l'�chelle internationale. Ces activit�s sont conformes � la priorit� du gouvernement du Canada de pr�server les ressources naturelles et la stabilit� �conomique du pays. La priorit� de l'Agence � ce chapitre est d'assurer la salubrit� et la durabilit� des ressources aquatiques.
Objectifs communs : D�velopper le commerce des animaux aquatiques en maintenant leur productivit� ainsi que la comp�titivit� mondiale de l'industrie.
Structure de gouvernance : L'ACIA est l'organisme f�d�ral responsable de la prestation du PNSAA, en collaboration avec le MPO. Les responsabilit�s respectives des partenaires f�d�raux sont d�finies dans un protocole d'entente. Le secteur d'activit� de la sant� des animaux et le comit� directeur horizontal de la sant� des animaux aquatiques sont charg�s de surveiller la gouvernance financi�re dans les limites du budget de l'ACIA. Un comit� directeur, form� des sous-ministres adjoints des deux partenaires, veille � l'orientation strat�gique, � la surveillance et � l'analyse de la mise en œuvre du PNSAA. � l'�chelle f�d�rale, provinciale et territoriale, le Conseil canadien des ministres des p�ches et de l'aquaculture (CCMPA) exerce une surveillance sur le programme par l'entremise d'un groupe de travail � l'ACIA. En outre, un conseil consultatif form� de repr�sentants de l'industrie ainsi que des administrations f�d�rale, provinciales et territoriales se r�unit chaque ann�e pour discuter du d�veloppement du programme.
Points saillants sur le rendement : Des r�glements ont �t� modifi�s en d�cembre 2010 et en janvier 2011 pour prot�ger la sant� des animaux aquatiques. Pour mettre en œuvre ces modifications, la d�claration obligatoire a d� �tre introduite. Par ailleurs, des progr�s ont �t� faits en vue de l'�tablissement d'un programme sur la sant� des animaux aquatiques d'importation d'ici d�cembre 2011. Les discussions se sont poursuivies avec divers partenaires pour s'assurer qu'ils �taient bien inform�s � l'approche de la mise en œuvre l�gislative du PNSAA.
Partenaires f�d�raux | Activit�s de programme des partenaires f�d�raux | Titre des programmes des partenaires f�d�raux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre � la date de cl�ture) | 2010-2011 | |||
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D�penses pr�vues 2010-2011 |
D�penses r�elles 2010-2011 |
R�sultats pr�vus 2010-2011 |
R�sultats obtenus 2010-2011 |
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Agence canadienne d'inspection des aliments |
Risques pour la sant� animale et syst�mes de production Services internes |
Programme national sur la sant� des animaux aquatiques | 32,1 (de 2005-2006 � 2009-2010) plus 6,3 (financement permanent) | 6,3 | 4,9 |
Conformit� des produits export�s du Canada aux exigences des pays �trangers. Protection du syst�me national de sant� des animaux aquatiques. Cr�ation et mise en œuvre d'un syst�me d'importation pour les produits conformes aux normes canadiennes. |
La Division de la sant� des animaux aquatiques (DSAA) a continu� d'assurer l'acc�s au march� des animaux aquatiques et des poissons et produits de la mer du Canada par des n�gociations bilat�rales entre pays. Gr�ce � la r�vision des r�glements appuyant le Programme national sur la sant� des animaux aquatiques (PNSAA) en d�cembre 2010 et en janvier 2011, l'ACIA peut maintenant recevoir et traiter tout cas suspect ou confirm� li� aux 20 maladies � d�claration obligatoire et aux 15 maladies � d�claration imm�diate observ�es chez les animaux aquatiques. La mise en œuvre du Programme sur la sant� des animaux aquatiques d'importation pour d�cembre 2011 s'est poursuivie en vue d'assurer la conformit� aux exigences canadiennes. L'ACIA s'est assur�e que ses partenaires, comme l'industrie, les provinces, les territoires et les organismes autochtones, �taient bien inform�s de la mise en œuvre l�gislative du PNSAA. � cette fin, elle a dirig� des rencontres avec l'industrie, les provinces et les territoires, ou y a particip�, elle a r�dig� et diffus� des documents, et elle a organis� des consultations sur les activit�s de programme. L'ACIA a poursuivi l'�valuation des risques pour la sant� des animaux aquatiques relativement aux aspects suivants : l'importation et l'exportation; les maladies touchant les animaux aquatiques; les conseils scientifiques; l'�valuation de l'�tat de la maladie dans diff�rents pays et dans diff�rentes zones et r�gions. |
Sous-total de l'ACIA | 32,1 (de 2005-2006 � 2009-2010) plus 6,3 (financement permanent) | 6,3 | 4,9 | ||||
Minist�re des P�ches et des Oc�ans |
Sant� des animaux aquatiques |
Programme national sur la sant� des animaux aquatiques | 26,9 (de 2005-2006 � 2009-2010) plus 4,0 (2010-2011, financement permanent) | 4,0 | 3,8 |
�laboration et validation des tests diagnostiques selon les exigences de l'OIE. Syst�me de gestion de l'information des laboratoires (SGIL) fonctionnel. Modification du R�glement sur la protection de la sant� des poissons (RPSP). Capacit� d'effectuer des tests diagnostiques. |
L'�laboration et la validation des tests diagnostiques, r�alis�es par ordre de priorit�, sont sur la bonne voie. Le d�veloppement du SGIL progresse. Le d�ploiement � l'�chelle nationale est pr�vu pour l'automne 2011. Les travaux de modification du RPSP se poursuivent afin de co�ncider avec la mise en œuvre du Programme sur la sant� des animaux aquatiques d'importation par l'ACIA en d�cembre 2011. La capacit� des trois laboratoires du PNSAA du MPO correspond aux ressources. |
Sous-total du MPO | 26,9 (de 2005-2006 � 2009-2010) plus 4,0 (2010-2011, financement permanent) | 4,0 | 3,8 | ||||
Total | 59,0 (de 2005-2006 � 2009-2010) plus 10,3 (financement permanent) | 10,3 | 8,7 |
Commentaire sur les �carts :
ACIA : L'�cart est principalement attribuables � la r�affectation de fonds au sein de l'Agence et � des retards dans la dotation; des retards dans la consultation, la traduction, la formation et l'approvisionnement y ont aussi contribu�.
MPO : Aucune explication n�cessaire.
R�sultats obtenus par les partenaires non f�d�raux (le cas �ch�ant) :
Personnes-ressources :
Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA)
Annie R. Champagne
Directrice
Division de la sant� des animaux aquatiques
613-221-3779
Minist�re des P�ches et des Oc�ans (MPO)
Stephen J Stephen
Directeur
Biotechnologie et sant� des animaux aquatiques, Direction des sciences
613-990-0292
Nom de l'initiative horizontale : R�ponse et plan d'action du gouvernement � la suite de l'�closion de list�riose en 2008
Organismes responsables : Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA), Sant� Canada (SC) et Agence de la sant� publique du Canada (ASPC)
Activit�s de programme des organismes responsables : Risques li�s � la salubrit� des aliments et � la nutrition (ACIA); Salubrit� des aliments et nutrition (SC); Surveillance et �valuation de la sant� de la population (ASPC)
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 2009-2010
Date de cl�ture de l'initiative horizontale : 2011-2012
Total des fonds f�d�raux vers�s (de la mise en œuvre � la cl�ture) : 75 millions (de 2009-2010 � 2011-2012)
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) : L'objectif de cette initiative horizontale est de donner suite aux recommandations formul�es dans le rapport de Sheila Weatherill, enqu�teuse ind�pendante nomm�e par le gouvernement, qui a examin� les circonstances ayant entour� l'�closion de list�riose en 2008 au Canada. L'administration f�d�rale a con�u un plan d'action qui s'articulait autour de trois th�mes : l'att�nuation des risques imm�diats li�s � la salubrit� des aliments, l'intensification des activit�s de surveillance et de d�tection pr�coce et l'am�lioration de l'intervention de l'administration en cas d'�closion de maladies d'origine alimentaire au Canada.
Pour mettre en œuvre le plan, l'ACIA, SC et l'ASPC ont re�u l'autorisation de d�penser 75 millions de dollars sur trois ans (46,8 millions pour l'ACIA, 17,7 millions pour l'ASPC et 10,5 millions pour SC). Les trois organismes ont d�termin� les ressources requises, les r�sultats strat�giques, les objectifs et les plans de mise en œuvre de chaque th�me. La mise en œuvre de cette initiative horizontale permettra d'am�liorer le syst�me canadien de salubrit� des aliments.
Objectifs communs : Att�nuer les risques imm�diats li�s � la salubrit� des aliments par les mesures suivantes : embauche et formation d'inspecteurs des viandes pr�tes � manger; mise � jour des programmes de salubrit� des aliments; communication de directives � l'industrie; renforcement de la capacit� d'�valuer les risques pour la sant� 24 heures sur 24; am�lioration de l'acc�s des inspecteurs � l'information �lectronique.
Intensification des activit�s de surveillance et de d�tection pr�coce par les mesures suivantes : mise � niveau des syst�mes nationaux de surveillance de la sant� publique (sur le Web); am�lioration des m�thodes de d�tection de la bact�rie Listeria; renforcement de la capacit� des laboratoires � effectuer des tests; am�lioration des outils de diagnostic des laboratoires.
Am�lioration de l'intervention de l'administration en cas d'�closion de maladie infectieuse d'origine animale au Canada par les mesures suivantes : renforcement de la capacit� de l'administration f�d�rale � diriger l'intervention en cas d'�closion; r�vision du Protocole de r�solution des incidences de toxico-infection d'origine alimentaire (PRITIOA); am�lioration de la communication des risques en cas d'urgence caus�e par une maladie d'origine alimentaire; ciblage des populations vuln�rables dans les communications; am�lioration de l'acc�s des citoyens � l'information int�gr�e sur la salubrit� des aliments fournie par l'administration f�d�rale.
Structure de gouvernance : Les responsabilit�s � l'�gard de la mise en œuvre des recommandations de l'enqu�teuse ind�pendante ont �t� assign�es en fonction des mandats de l'ACIA, de SC et de l'ASPC. En outre, le sous-ministre d'AAC pr�side un comit� sp�cial form� d'administrateurs g�n�raux de l'ACIA, de SC et de l'ASPC qui font des recommandations visant � am�liorer la fa�on dont les organismes collaborent pour ex�cuter leurs mandats en mati�re de salubrit� des aliments. L'ACIA, l'ASPC, SC et AAC travaillent dans une structure de gouvernance horizontale � appliquer les recommandations et � surveiller leur mise en œuvre.
Le cadre de gouvernance comprend un comit� de SMA sur la salubrit� des aliments, appuy� par un comit� de directeurs g�n�raux. Le premier re�oit du soutien et des conseils des administrateurs g�n�raux d'AAC, de l'ACIA, de l'ASPC et de SC. De plus, chaque organisme surveille la mise en œuvre des recommandations gr�ce � une structure de gouvernance qui lui est propre et qui comprend des comit�s interdirections form�s de directeurs, de directeurs ex�cutifs, de vice-pr�sidents ou de SMA et de membres de la haute direction.
Points saillants sur le rendement : Les principaux r�sultats li�s au rendement obtenus par l'ACIA, SC et l'ASPC sont la clarification des responsabilit�s, une meilleure coordination de la surveillance de la salubrit� des aliments par les partenaires f�d�raux et l'industrie et une meilleure communication entre les partenaires f�d�raux, l'industrie et la population au sujet des questions relatives � la salubrit� des aliments. Ces succ�s ont entra�n� l'am�lioration de la gestion des risques associ�s � la bact�rie Listeria dans les viandes pr�tes � manger et celle de la pr�vention des maladies alimentaires au Canada.
Partenaires f�d�raux | Activit�s de programme des partenaires f�d�raux | Titre des programmes des partenaires f�d�raux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre � la date de cl�ture) | 2010-2011 | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|
D�penses pr�vues 2010-2011 |
D�penses r�elles 2010-2011 |
R�sultats pr�vus 2010-2011 |
R�sultats obtenus 2010-2011 |
||||
Agence canadienne d'inspection des aliments |
Risques li�s � la salubrit� des aliments et � la nutrition Services internes |
Embauche de personnel d'inspection dans les �tablissements de production de viandes pr�tes � manger | 21,3 | 10,3 | 7,1 | Am�lioration de la gestion des risques li�s � la salubrit� des aliments. |
Le gouvernement a d�bloqu� des fonds pour l'embauche de 70 inspecteurs � temps plein. En janvier 2011, l'ACIA avait dot� tous ces postes. Par cons�quent, la gestion des risques li�s � la salubrit� des aliments a �t� am�lior�e dans les �tablissements de production de viandes pr�tes � manger sous r�glementation f�d�rale. |
Programmes de formation scientifique et technique | 11,6 | 4,3 | 4,1 |
Accroissement des connaissances scientifiques et techniques du personnel d'inspection des viandes pr�tes � manger dans tous les �tablissements de transformation des viandes agr��s au f�d�ral. |
L'ACIA a achev� l'�valuation des besoins en formation et �labor� un plan national de formation des inspecteurs affect�s aux �tablissements de transformation des viandes. Ce plan inclut un nouveau programme de cours qui cible les comp�tences requises et offre une formation continue aux nouveaux inspecteurs et � ceux d�j� en poste. Cette formation am�lior�e est maintenant offerte en permanence. |
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Am�lioration de la connectivit� pour les inspecteurs | 3,0 | 1,0 | 0,2 |
Documentation et communication am�lior�es et rapides des r�sultats d'inspection. |
L'ACIA a accru l'usage des ordinateurs portatifs et des t�l�phones cellulaires et a acc�l�r� la connectivit� de son r�seau. En outre, un projet pilote achev� le 1er avril 2010 a permis de d�terminer l'avantage, pour les inspecteurs (surtout ceux en r�gion �loign�e), de profiter de la technologie sans fil pour acc�der aux applications r�seau de l'ACIA. Les r�sultats de ce projet pilote ont �clair� la premi�re �tape du plan de l'ACIA visant la cr�ation d'un nouveau syst�me pour am�liorer la connectivit�. Ce syst�me am�liorera la communication et l'acc�s des inspecteurs � l'information dont ils ont besoin pour prendre des d�cisions. Le projet d'approvisionnement en technologie sans fil est rendu � l'�tape de l'ex�cution, et l'installation de l'infrastructure de soutien a �t� achev�e le 31 mars 2011. En 2011-2012, l'ACIA fournira des appareils sans fil � certains inspecteurs. |
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Gestion am�lior�e des risques li�s aux programmes de salubrit� des aliments | 4,6 | 1,8 | 1,9 |
R�vision des programmes et des directives sur la salubrit� des aliments en fonction des le�ons apprises. |
L'ACIA r�vise continuellement ses programmes, ses r�glements et ses directives. En avril 2011, l'ACIA a entrepris l'�laboration d'un cadre et de processus op�rationnels pour faciliter la mise � jour r�guli�re des manuels. Ces manuels contiennent de l'information � l'intention du personnel de l'ACIA et des parties r�glement�es sur les exigences des programmes, des lignes directrices sur l'interpr�tation des lois, des r�glements et des politiques connexes ainsi que les conditions n�cessaires � la conformit�. |
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Am�lioration des m�thodes de d�tection de la bact�rie Listeria et d'autres dangers d'origine alimentaire | 1,2 | 0,5 | 0,8 |
Am�lioration des m�thodes de d�tection de la bact�rie Listeria et d'autres dangers d'origine alimentaire, afin d’augmenter la disponibilit� et du choix des m�thodes de d�tection de la bact�rie Listeria et diminution des d�lais de production des r�sultats. |
L'ACIA continue d'am�liorer et de valider les m�thodes de d�tection de la bact�rie Listeria dans les produits de viande et les lieux de traitement de la viande pour r�duire le temps d'analyse des �chantillons et intervenir rapidement lors d'enqu�tes sur la salubrit� des aliments. En 2010-2011, l'ACIA a valid� trois m�thodes qui subissent actuellement un examen technique pour d�terminer si elles sont appropri�es aux analyses r�glementaires de produits ou de lieux. |
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Autres tests de d�pistage de la bact�rie Listeria | 4,1 | 1,4 | 1,3 |
Tenue d'autres tests de d�pistage de la bact�rie Listeria afin d'am�liorer le processus d�cisionnel et les d�lais de d�tection et d'intervention en cas d'�closion de maladie d'origine alimentaire. |
La capacit� des laboratoires de l'ACIA a �t� augment�e pour permettre l'analyse d'�chantillons suppl�mentaires de viandes pr�tes � manger et de lieux connexes, comme pr�vu � la suite de la mise � jour des lignes directrices sur la bact�rie Listeria. De plus, les fonds ont permis d'acheter des trousses d'�chantillonnage pour d�tecter la pr�sence de la bact�rie Listeria sur les lieux de transformation. |
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Portail sur la salubrit� des aliments du Canada | 1,0 | 0,3 | 0,5 |
Am�lioration de l'acc�s des citoyens � l'information int�gr�e sur la salubrit� des aliments. |
En f�vrier 2010, l'administration f�d�rale a lanc� un portail en ligne (http://www.salubritedesaliments.gc.ca) qui est en fait un guichet unique d'information sur la salubrit� des aliments et les maladies d'origine alimentaire. Ce portail contient les initiatives d'information sur ces sujets men�es par l'ACIA, l'ASPC et SC, de m�me que des hyperliens vers leurs sites Web respectifs. L'ACIA a envoy� un communiqu� de presse aux m�dias sociaux pour encourager les citoyens � faire conna�tre le portail au moyen des fonctions de mise en signet et de marquage. De plus, l'Agence a particip�, de mai 2010 � mars 2011, � six activit�s et expositions touchant � l'alimentation pour promouvoir le portail et les saines pratiques de manipulation des aliments et informer les citoyens des proc�dures de rappel. |
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Sous-total de l'ACIA | 46,8 | 19,6 | 15,9 | ||||
Agence de la sant� publique du Canada |
Surveillance et �valuation de la sant� de la population |
Surveillance des maladies infectieuses | 2,9 | 1,3 | 1,0 | Renforcement des outils de diagnostic et de r�seautage des laboratoires. |
PulseNet Canada est un programme cl� de l'ASPC qui utilise l'analyse des empreintes g�n�tiques en laboratoire pour surveiller les maladies d'origine alimentaire, d�tecter les �closions le plus t�t possible et servir de voie principale d'�change de donn�es et de communication entre les laboratoires de sant� publique provinciaux, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Sant� Canada et l'Agence de la sant� publique du Canada. Le but de PulseNet Canada et des organismes participants est de d�tecter l'�mergence des maladies d'origine alimentaire (tant � l'�chelle nationale que r�gionale) et d'aider � trouver la source des aliments contamin�s pour que les mesures visant la sant� publique et la salubrit� des aliments puissent �tre prises rapidement. PulseNet Canada est en train d'�laborer un vaste programme de formation en ligne ainsi que d'�tendre et d'am�liorer ses programmes de formation et de certification destin�s aux laboratoires membres, existants et nouveaux, pour que les laboratoires provinciaux et f�d�raux aient tous une capacit� suffisante. La m�thode d'analyse des empreintes g�n�tiques de PulseNet Canada, lorsqu'elle sert � d�tecter et � confirmer l'�closion de maladies alimentaires, a l'avantage de s'appliquer � un large �ventail d'agents pathog�nes alimentaires. Les donn�es de laboratoire peuvent �tre imm�diatement communiqu�es et analys�es conjointement par les membres de PulseNet Canada, une m�thode dont l'utilisation se poursuivra. De plus, les enqu�teurs de la sant� publique ont reconnu que la plus r�cente g�n�ration de technologies g�nomiques r�volutionnera le diagnostic, la surveillance et le contr�le des maladies, gr�ce � l'�norme am�lioration des enqu�tes sur les agents pathog�nes alimentaires en �pid�miologie mol�culaire. La g�nomique �tait auparavant un outil de recherche, mais les perc�es technologiques ont permis le s�quen�age complet du g�nome, qui peut �tre utilis� dans les enqu�tes en sant� publique sur les maladies bact�riennes. Dans les programmes mis en œuvre au Laboratoire national de microbiologie dans le cadre de cette initiative, l'ASPC est reconnue comme un leader mondial de l'utilisation de la g�nomique en sant� publique. De plus, elle poursuit la recherche de versions applicables en sant� publique des nouvelles technologies de laboratoire. |
�tat de pr�paration et capacit� en sant� publique |
Outils en sant� publique | 4,5 | 1,5 | 1,0 | Outils et plateformes nationaux de surveillance en mati�re de sant� publique. |
Pour r�aliser ses engagements, l'ASPC a entrepris de d�finir, de documenter et de valider ses exigences et celles des provinces et des territoires en vue de la gestion pancanadienne de l'�closion de maladies alimentaires au moyen de syst�mes �lectroniques. L'ASPC a d�fini ces exigences avec des experts afin d'am�liorer les fonctions correspondantes du syst�me Panorama. On a jug� qu'il n'�tait pas n�cessaire de conclure des ententes sur l'�change d'information pour ce projet puisque le syst�me sera mis � l'essai avec des donn�es artificielles. Ces travaux ont connu des retards impr�vus � cause de l'indisponibilit� prolong�e de la structure de gouvernance du syst�me Panorama, qui a �t� relanc�e par un effort de leadership de l'ASPC apr�s neuf mois environ. Le projet actuel et les observations tir�es de la participation � la gouvernance du syst�me Panorama ont permis de conclure qu'il �tait tr�s improbable qu'un seul syst�me �lectronique puisse servir � la collecte et � l'analyse des donn�es sur la sant� publique. Comme il est admis que l'ASPC et ses partenaires provinciaux et territoriaux utiliseront toujours diff�rents syst�mes �lectroniques � ces fins, il est essentiel que les strat�gies futures pr�voient un leadership et un soutien visant l'interop�rabilit� des syst�mes et la compatibilit� des donn�es. Ces normes faciliteront la collecte et la transmission homog�nes et normalis�es des donn�es de sant� publique, particuli�rement en situation d'urgence et d'�closion. |
|
�tat de pr�paration et capacit� en sant� publique |
�tat de pr�paration en cas d'urgence | 4,2 | 1,6 | 1,3 | �laboration d'un cadre op�rationnel comportant des proc�dures et des conseils au portefeuille de la Sant� pour la coordination et la gestion des urgences li�es aux maladies d'origine alimentaire. |
En collaboration avec Sant� Canada et l'Agence canadienne d'inspection des aliments, l'Agence de la sant� publique du Canada a �labor� un plan d'intervention d'urgence en cas de maladie d'origine alimentaire (PIUMOA) pour r�agir aux �closions n�cessitant une intervention au-del� de la port�e du Protocole canadien d'intervention lors de toxi-infection d'origine alimentaire (PRITIOA). Le PRITIOA est le protocole technique et op�rationnel utilis� � l'�chelle nationale pour l'examen et la gestion des cas d'�closions de maladie d'origine alimentaire touchant plusieurs provinces, territoires ou pays. Le PIUMOA, qui s'appuie sur le PRITIOA (lui-m�me mis � jour en 2010), �tablit les principes de gestion des situations d'urgence en cas de maladie d'origine alimentaire pour tout le portefeuille de la Sant� et emploie un syst�me universel de commandement des interventions. Une fois adopt� au niveau f�d�ral, le PIUMOA sera mis en pratique conjointement avec le PRITIOA (2010) � l'occasion d'un exercice multilat�ral � l'�chelle nationale en 2011-2012. |
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Pr�vention et r�duction des maladies et des blessures |
Maladies d'origine alimentaire, environnementale et zoonotique | 2,8 | 1,0 | 1,1 | R�vision et modernisation du Protocole canadien d'intervention lors de toxi-infection d'origine alimentaire (PRITIOA). |
Comme suite � la consultation exhaustive des partenaires f�d�raux, provinciaux et territoriaux (FPT), le Protocole canadien d'intervention lors de toxi-infection d'origine alimentaire (PRITIOA) a �t� mis � jour, puis adopt� en juin 2010 par les sous-ministres de la Sant� et de l'Agriculture FPT, le Comit� de salubrit� des aliments FPT et le Conseil des m�decins hygi�nistes en chef. Le libell� et les lignes directrices ont �t� revus afin d'am�liorer les communications publiques entre les partenaires FPT, et une annexe portant sur les communications avec les citoyens et les personnes vuln�rables a �t� ajout�e. Le PRITIOA (2010) inclut aussi une description am�lior�e et un mod�le d'orientation pour le processus d'examen post-�closion. Le processus comprend la confirmation de la cause de l'�closion, la proposition de mesures pour �viter que la situation se reproduise, l'�valuation de l'efficacit� des mesures de contr�le et l'�valuation des processus et des m�thodes utilis�s. Trois examens post-�closion ont �t� men�s depuis l'adoption de la nouvelle version du PRITIOA en juin 2010. Les r�sultats de ces examens serviront � �valuer le PRITIOA pour l'am�liorer encore au besoin. Des exercices bilat�raux ont �t� tenus dans chaque province et territoire de janvier � avril 2011 pour mettre le PRITIOA � l'�preuve et contribuer au d�veloppement des connaissances connexes. Ces exercices visaient notamment � mettre les communications � l'essai, � soutenir le d�veloppement des connaissances et � renforcer les r�seaux entre les partenaires de communication. Un exercice multilat�ral � l'�chelle nationale pour le PRITIOA (2010) sera tenu en 2011-2012. |
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Ex�cution de la r�glementation et interventions en cas d'urgence |
�quipe d'intervention d'urgence en sant� | 3,3 | 1,5 | 1,1 | Essai pilote d'un mod�le de capacit� d'intervention en cas d'urgence des experts en sant� publique. |
Un inventaire des ensembles de connaissances et de comp�tences n�cessaires � la d�tection des maladies d'origine alimentaire et � l'intervention subs�quente a �t� r�alis� et valid�, et une analyse des lacunes a �t� effectu�e. De l'information a ainsi �t� recueillie sur la port�e du mod�le pilote de r�serve de professionnels de la sant� publique et sur la strat�gie de formation. De concert avec des experts internes et externes en sant� publique, un cadre sur la r�serve de professionnels de la sant� publique a �t� �labor�; il sera mis � l'�preuve et �valu� en 2011-2012 au moyen d'activit�s de formation et d'exercices divers. Les r�sultats de l'�valuation contribueront aux recommandations sur la notion de r�serve de professionnels de la sant� publique. Ce projet a aussi contribu� � la planification de l'activit� de 2011 de l'Institut de formation sur les services sur le terrain. Cette activit� incluait la formation de coordonnateurs de l'Institut et la pr�paration de mat�riel de cours sur la surveillance des maladies d'origine alimentaire et les interventions subs�quentes. Des partenaires internes ont particip� au d�veloppement strat�gique et � la mise en œuvre du projet pilote, p. ex. par des mod�les administratifs et des protocoles d'entente. Le processus de recensement des exigences relatives aux donn�es pour la base de donn�es et l'application Web de la r�serve a �t� achev�, ce qui va faciliter le d�veloppement de l'application. Cette base de donn�es aidera � r�pondre � l'augmentation de la demande en capacit�. |
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Sous-total de l'ASPC | 17,7 | 6,9 | 5,5 | ||||
Sant� Canada | Aliments et nutrition | Renforcement de la capacit� d'�valuation des risques pour la sant� | 4,9 | 1,5 | 1,5 |
Sant� Canada continuera � renforcer sa capacit� d'�valuation des risques en s'appuyant sur les meilleures connaissances scientifiques et m�thodes de mod�lisation des risques pour pr�venir les incidents li�s � la salubrit� des aliments et y faire face. |
Sant� Canada a embauch� cinq experts suppl�mentaires, a form� davantage d'employ�s � l'�valuation des risques et a am�lior� les proc�dures utilis�es pour aider l'ACIA pendant les enqu�tes sur la salubrit� des aliments. Ces am�liorations comprennent l'�claircissement des d�lais du processus d'�valuation des risques li�s � la sant�. Toutes les �valuations ont �t� effectu�es dans le respect des normes de service �tablies (moins de huit heures dans le cas de l'�valuation des risques les plus �lev�s).
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Am�lioration des m�thodes de d�tection de la bact�rie Listeria et d'autres dangers d'origine alimentaire. | 3,6 | 2,2 | 2,2 | SC va continuer d'offrir une suite d'outils analytiques rapides et �prouv�s aux partenaires de l'industrie et de l'administration, ce qui permettra la d�tection pr�coce des dangers et la r�duction du risque d'exposition en cas d'urgence li�e � la salubrit� des aliments. |
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Marketing et communications | Strat�gie de marketing social sur la manipulation s�curitaire des aliments | 2,0 | 0,7 | 0,7 |
SC mettra en œuvre la deuxi�me ann�e de la strat�gie de marketing social sur la manipulation s�curitaire des aliments aupr�s de trois groupes � risque, soit les personnes �g�es, les femmes enceintes et les personnes immunod�prim�es. Gr�ce � cette strat�gie, ces personnes seront inform�es des risques qu'elles courent et des pratiques de manipulation s�curitaire des aliments qu'elles doivent adopter en raison de leur situation. |
Du mat�riel informatif sous forme imprim�e et �lectronique a �t� produit pour chaque groupe. Les activit�s d'information visaient surtout � faire conna�tre les messages sur la manipulation s�curitaire des aliments contenus dans ces publications gr�ce � des publicit�s imprim�es et sur le Web. De plus, du contenu et des outils interactifs Web ont �t� con�us pour informer les consommateurs des pratiques de manipulation s�curitaire des aliments � la maison et � l'�picerie. Les activit�s de communication ont �t� renforc�es par deux ou trois mises � jour mensuelles sur la salubrit� des aliments envoy�es aux m�dias, aux 10 700 abonn�s du microblogue de Sant� Canada et � 200 intervenants par courriel. Voici les r�sultats de l'exercice pour chaque groupe cible : Adultes de 60 ans et plus :
Femmes enceintes :
Personnes immunod�prim�es :
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Sous-total de SC | 10,5 | 4,4 | 4,4 | ||||
Total | 75,0 (de 2009-2010 � 2011-2012) | 30,9 | 25,8 |
Commentaire sur les �carts :
ACIA : L'�cart relatif � l'embauche des inspecteurs est attribuable � l'affectation des fonds et aux d�lais dans le recrutement du personnel d'inspection. Certains inspecteurs n'ont accept� l'emploi offert qu'en janvier. De plus, des inspecteurs ont �t� embauch�s dans divers centres op�rationnels et r�gions � des moments diff�rents.
L'�cart relatif � l'am�lioration de l'uniformit� des proc�dures suivies par les inspecteurs est attribuable au projet pilote, les inspecteurs n'y ayant pas tous particip�. Des pr�occupations ont �t� soulev�es au sujet des co�ts et du financement � long terme, mais des fonds suppl�mentaires ont �t� accord�s � la modernisation de l'inspection dans le budget de 2011. Le d�ploiement de la solution d'uniformisation devrait �tre achev� le 31 mars 2012.
ASPC : L'Agence de la sant� publique du Canada a d� faire face � des retards inattendus et prolong�s dans la dotation de postes et l'obtention de ressources contractuelles, ce qui a ralenti le traitement de certains dossiers. La restructuration d'un conseil consultatif national a aussi perturb� cette initiative.
Sant� Canada : Aucune d�pense n'�tait pr�vue pour cette initiative dans le RPP de 2010-2011. Les montants indiqu�s sont ceux des fonds affect�s dans le budget suppl�mentaire des d�penses.
R�sultats obtenus par les partenaires non f�d�raux (le cas �ch�ant) :
Personnes-ressources :
Agence canadienne d'inspection des aliments
Theresa Iuliano
Directrice principale
Direction des politiques et des strat�gies
Direction g�n�rale des politiques et programmes
613-773-5827
Sant� Canada
Sylvain Gauthier
Analyste de la planification
Direction des politiques, de la planification et des affaires internationales
Direction g�n�rale des produits de sant� et des aliments
613-960-0553
Nom de l'initiative horizontale : Esp�ces exotiques envahissantes (EEE)
Organisme responsable : Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA)
Activit� de programme de l'organisme responsable : Risques li�s � la sant� des animaux et syst�mes de production
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 2010-2011
Date de cl�ture de l'initiative horizontale : Permanente
Total des fonds f�d�raux vers�s (de la mise en œuvre � la cl�ture) : 95 millions (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 19 millions (financement permanent)
Description de l'initiative (y compris l'accord de financement) : Les esp�ces exotiques envahissantes (EEE) sont des esp�ces introduites par l'activit� humaine � l'ext�rieur de leur aire pass�e ou actuelle de r�partition naturelle qui menacent l'environnement, l'�conomie ou la soci�t�, y compris la sant� humaine. Chaque ann�e, les EEE co�tent des milliards de dollars en pertes directes, en mesures de lutte, en frais de production et en perte d'acc�s aux march�s. Les pertes annuelles associ�es aux EEE sont estim�es � 20 milliards pour l'industrie foresti�re, � 7 milliards pour les Grands Lacs (esp�ces aquatiques envahissantes) et � 2,2 milliards pour le secteur agricole (v�g�taux envahissants). Depuis que la mondialisation, les changements climatiques et l'accroissement du commerce international ont augment� le risque d'introduction, les EEE sont devenues une pr�occupation plan�taire.
En 2004, reconnaissant que la lutte contre les EEE �tait une responsabilit� commune, les ministres f�d�ral, provinciaux et territoriaux des ressources ont ent�rin� la Strat�gie nationale sur les esp�ces exotiques envahissantes dans le but de coordonner les activit�s de pr�vention et de gestion des EEE � l'�chelle du pays. La strat�gie a pour but d'entreprendre la mise en œuvre des objectifs prioritaires, c'est-�-dire la pr�vention, le d�pistage pr�coce et l'intervention rapide face aux nouvelles esp�ces envahissantes, ainsi que la gestion de celles d�j� �tablies. Ces objectifs seront atteints par des contributions dans cinq domaines th�matiques : analyse des risques; sciences et technologie; lois, r�glements et politiques; mobilisation des Canadiens; et coop�ration internationale. Environnement Canada est le minist�re responsable des esp�ces animales envahissantes. P�ches et Oc�ans Canada s'occupe des esp�ces aquatiques envahissantes. L'ACIA est responsable des esp�ces v�g�tales envahissantes et des autres phytoravageurs. Enfin, Ressources naturelles Canada est responsable des ravageurs forestiers.
Le budget de 2010 a allou� 19 millions par an � Environnement Canada, � P�ches et Oc�ans Canada, � Ressources naturelles Canada et � l'ACIA pour qu'ils poursuivent la mise en œuvre de la Strat�gie nationale sur les esp�ces exotiques envahissantes ainsi que les activit�s entreprises au cours des cinq derni�res ann�es pour lutter contre les EEE. La poursuite de la mise en œuvre de la strat�gie est essentielle � la protection des �cosyst�mes du Canada et � son �conomie, qui est fond�e sur les ressources.
Objectifs communs : Poursuivre la mise en œuvre de la Strat�gie nationale sur les esp�ces exotiques envahissantes pour prot�ger les �cosyst�mes aquatiques et terrestres du Canada, leur biodiversit� indig�ne ainsi que les plantes et les animaux du pays contre les risques que repr�sentent les EEE. Les principaux objectifs de la Strat�gie sont d'assurer la durabilit� environnementale, la comp�titivit� �conomique et le bien-�tre collectif gr�ce � des mesures de pr�vention et de gestion efficaces des EEE.
Structure de gouvernance : P�ches et Oc�ans Canada, Environnement Canada, Ressources naturelles Canada et l'ACIA participent � la r�alisation de la strat�gie pangouvernementale visant les EEE. Ces organismes sont r�solus � collaborer de fa�on continue aux dossiers touchant les EEE. � l'�chelle f�d�rale, c'est le Comit� interminist�riel des directeurs g�n�raux sur les esp�ces exotiques envahissantes qui est charg� de la coordination. En outre, le mod�le de gouvernance de la strat�gie nationale sur les EEE est en cours de r�vision. Cela dit, la collaboration FPT en mati�re d'EEE se poursuit dans le cadre de la r�union annuelle des conseils des ministres responsables de la faune, des for�ts, des p�ches, de l'aquaculture et des esp�ces en p�ril, ainsi que d'autres rencontres de sous-ministres et de sous-ministres adjoints. Au f�d�ral, c'est le ministre de l'Agriculture qui est responsable de la lutte contre les v�g�taux exotiques envahissants et les phytoravageurs. Les efforts se poursuivent pour mobiliser pleinement les ministres f�d�ral, provinciaux et territoriaux de l'Agriculture et les aider � lutter efficacement contre les EEE.
Points saillants sur le rendement : P�ches et Oc�ans Canada, Environnement Canada, Ressources naturelles Canada et l'ACIA ont pr�par� ensemble une pr�sentation pour le Conseil du Tr�sor. Celle-ci visait l'obtention de fonds pour la poursuite de la mise en œuvre de leurs activit�s respectives appuyant la Strat�gie nationale sur les esp�ces exotiques envahissantes. Les travaux ont eu pour r�sultat le lancement et l'avancement de projets essentiels dans les domaines th�matiques de chacun des partenaires, comme il est indiqu� � la section 18 des tableaux. La r�vision de la structure de gouvernance de la strat�gie a �t� entreprise pour renforcer la mobilisation et les communications. Des projets de collaboration ont �t� r�alis�s au sein des groupes et entre ceux-ci. Citons, par exemple, la conception d'un cadre d�cisionnel pour les EEE foresti�res, une entreprise conjointe de l'ACIA et de RNCan, la premi�re r�vision des propositions du Programme de partenariat pour les EEE de 2011-2012, l'ach�vement du document sur le Cadre de travail canadien contre les plantes envahissantes et le lancement du Mod�le national de d�tection pr�coce et d'intervention rapide (DPIR) en mati�re de plantes envahissantes. La collaboration avec d'autres administrations (f�d�rale, provinciales, territoriales, municipales et �trang�res), partenaires et intervenants a �t� renforc�e.
Partenaires f�d�raux | Activit�s de programme des partenaires f�d�raux | Titre des programmes des partenaires f�d�raux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre � la date de cl�ture) | 2010-2011 | |||
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D�penses pr�vues 2010-2011 |
D�penses r�elles 2010-2011 |
R�sultats pr�vus 2010-2011 |
R�sultats obtenus 2010-2011 |
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Agence canadienne d'inspection des aliments |
Risques li�s � la protection des v�g�taux et syst�mes de production Services internes |
Analyse des risques | 60,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 12,0 (financement permanent) | 12,0 | 7,7 |
La pr�vention et la propagation des plantes et des phytoravageurs envahissants sont g�r�es en fonction des risques. R�sultat : L'ACIA continuera � d�terminer quelles EEE posent le plus grand risque et quelles sont leurs voies d'entr�e. Elle poursuivra la description des mesures d'att�nuation � prendre en analysant les risques li�s aux ravageurs et aux mauvaises herbes, en examinant les contr�les � l'importation et en concevant des moyens d'intervention en cas de d�tection pr�coce. |
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Sciences et technologie |
R�sultat 1 : Gestion de l'introduction et de la propagation au pays de v�g�taux envahissants et de phytoravageurs. R�sultat 2 : Poursuite du d�veloppement des outils et des comp�tences techniques qui faciliteront la pr�vention, la d�tection et l'intervention en mati�re d'EEE. R�sultat 3 : R�duction au minimum des r�percussions de l'introduction d'EEE par des efforts continus de d�tection pr�coce. |
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Lois, r�glements et politiques |
R�sultat 1 : L'introduction et la propagation au pays de v�g�taux et de phytoravageurs envahissants, de m�me que l'intervention subs�quente, sont g�r�es, mises en œuvre et �valu�es. R�sultat 2 : L'ACIA poursuivra la modification du cadre l�gislatif par l'�laboration ou la mise � jour de r�glements et par l'harmonisation des d�marches, dans la mesure du possible, en collaboration avec les intervenants. R�sultat 3 : L'ACIA va continuer � �laborer et � mettre � jour des politiques de programme fond�es sur des principes scientifiques en priorisant les voies d'entr�e � risque �lev�, de fa�on � respecter les normes internationales et son propre mandat. |
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Mobilisation des Canadiens |
R�sultat 1 : Collaboration et information accrues des intervenants concernant les v�g�taux et les phytoravageurs, et conformit� accrue aux politiques et aux r�glements. R�sultat 2 : L'Agence continuera � favoriser l'�change d'information entre les minist�res f�d�raux et les autres partenaires pour s'assurer de remplir son mandat. R�sultat 3 : Poursuivre les efforts d'information associ�s aux EEE, � leurs voies d'entr�e potentielles et aux politiques et programmes connexes. R�sultat 4 : Promotion de la d�claration rapide des EEE et de l'adoption de pratiques de gestion exemplaires afin de r�duire le risque pour les ressources v�g�tales du Canada. |
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Coop�ration internationale |
R�sultat 1 : Mobilisation, coop�ration et information accrues de la communaut� mondiale quant aux esp�ces envahissantes, et conformit� accrue aux politiques et aux r�glements. R�sultat 2 : Prise en consid�ration des int�r�ts du Canada dans les normes internationales. R�sultat 3 : Participation � l'�laboration de normes internationales, aux efforts d'harmonisation des m�thodes, aux n�gociations et aux r�unions bilat�rales avec les principaux partenaires commerciaux en vue d'att�nuer les risques d'introduction d'EEE par les voies commerciales et de maintenir l'acc�s aux march�s �trangers. |
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Sous-total de l'ACIA | 60,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 12,0 (financement permanent) | 12,0 | 7,7 | ||||
Ressources naturelles Canada |
S'adapter au changement climatique et gestion du risque li� aux dangers |
Analyse des risques | 3,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 0,6 (financement permanent) | 0,6 | 0,6 |
R�sultat : Capacit� accrue quant � la d�termination et � la gestion des risques li�s aux EEE foresti�res ainsi qu'� la pr�vention de leur introduction. Extrants/activit�s : �laborer des mod�les nationaux d'analyse des risques et des cartes des risques pour certaines EEE foresti�res, afin de mieux comprendre les voies d'entr�e de ces esp�ces et de mieux �valuer les cas d'introduction et de propagation de nouveaux ravageurs forestiers envahissants attribuables � l'activit� humaine. |
R�alisation de travaux consid�rables en 2010-2011 pour faire progresser les connaissances en cartographie des risques li�s aux parasites et aux phytoravageurs, analyser leur propagation et �valuer les r�percussions des principales esp�ces envahissantes. Tenue de pr�sentations et publication d'articles �valu�s par les pairs sur l'am�lioration de la cartographie des risques et la recherche de solutions pour pallier les lacunes dans les connaissances. Analyse et mod�lisation des voies d'entr�e terrestres (passage de la fronti�re canado-am�ricaine et transport commercial). Analyse de la propagation du longicorne brun de l'�pinette en Nouvelle-�cosse et de l'agrile du fr�ne en Ontario. Estimation des r�percussions �conomiques et �cologiques de l'agrile du fr�ne. |
Sciences et technologie | 5,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 1,0 (financement permanent) | 1,0 | 1,0 |
R�sultat 1 : Meilleure connaissance de la taxonomie, de la biologie et de l'�cologie des EEE foresti�res. Extrants/activit�s : R�aliser des recherches scientifiques pour combler le manque de connaissances sur la taxonomie, la biologie, l'�cologie, la r�partition ainsi que les rapports entre un ravageur et son h�te et entre la for�t et un agent pathog�ne. R�sultat 2 : R�duction de la probabilit� que des EEE foresti�res s'�tablissent ou se propagent et att�nuation des r�percussions de leur pr�sence. Extrants/activit�s : Concevoir des outils et des strat�gies de d�tection, de diagnostic et de surveillance des EEE foresti�res; cr�er des outils et des m�thodes d'intervention et les mettre � la disposition des organismes responsables du contr�le et de l'�radication des EEE foresti�res. |
R�sultat 1 : R�alisation de travaux en 2010-2011, dont des recherches sur :
R�sultat 2 : R�alisation de travaux en 2010-2011, par exemple :
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Lois, r�glements et politiques | 1,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 0,2 (financement permanent) | 0,2 | 0,2 |
R�sultat 1 : Les d�cisions des organismes de r�glementation et des autres organismes concernant la gestion des EEE foresti�res sont �clair�es par l'expertise scientifique et strat�gique.
Extrants/activit�s : Offrir une expertise scientifique et strat�gique concernant les mesures de pr�vention, de d�tection et d'intervention visant les EEE foresti�res aux organismes de r�glementation, aux minist�res, aux provinces, aux territoires, aux municipalit�s, � l'industrie et aux Premi�res nations. R�sultat 2 : Les prises de position du Canada dans les discussions nationales et internationales sur la protection des v�g�taux pour le commerce sont �clair�es par l'expertise scientifique et strat�gique. Extrants/activit�s : Offrir des conseils scientifiques et strat�giques aux fins des n�gociations commerciales sur la protection des v�g�taux et de l'�laboration de normes phytosanitaires nationales et internationales se rapportant aux for�ts. |
R�sultat 1 : Le personnel du Service canadien des for�ts a r�guli�rement fourni des conseils scientifiques et une expertise strat�gique aux administrations publiques et � d'autres intervenants canadiens et �trangers. En voici des exemples en 2010-2011 :
R�sultat 2 : Le personnel du Service canadien des for�ts a particip� activement aux d�lib�rations internationales sur les normes phytosanitaires. Voici des exemple de r�alisations en 2010-2011 :
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Mobilisation des Canadiens | 0,5 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 0,1 (financement permanent) | 0,1 | 0,1 |
R�sultat : Les organismes, les chercheurs et la population ont acc�s aux donn�es scientifiques sur les EEE foresti�res. Extrants/activit�s : Am�liorer et d�velopper les fonctions et le contenu de la base de donn�es EEEFCan et du portail Web sur les EEE foresti�res. |
En ce qui concerne la base de donn�es EEEFCan, l'accent a �t� mis en 2010-2011 sur la saisie de l'information ult�rieure � 1995 et externe portant sur les esp�ces envahissantes et provenant du SCF, de partenaires et de clients, y compris la d�termination des sources principales des enregistrements, la saisie ou le transfert des enregistrements, la v�rification, l'int�gration, le contr�le de la qualit� et la documentation. Les r�alisations de 2010-2011, qui s'appuyaient sur celles des ann�es pr�c�dentes, incluent : La base de donn�es EEEFCan (http://ravageursexotiques.gc.ca/db_list_fra.asp) a �t� augment�e par la num�risation et l'int�gration de l'information de la principale collection (historique) sur certaines esp�ces; la version pr�liminaire d'un manuel sur l'EEEFCan pour l'analyse des esp�ces envahissantes a �t� r�dig�e; le portail Web sur les ravageurs exotiques (qui comprend la base de donn�es EEEFCan) a �t� mis en valeur � l'occasion d'activit�s de transfert de connaissances et de conf�rences. |
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Coop�ration internationale | 0,5 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 0,1 (financement permanent) | 0,1 | 0,1 |
R�sultat : Promotion de la coop�ration avec les organismes phytosanitaires et les partenaires commerciaux �trangers. Extrants/activit�s : Encourager la collaboration par la participation active � des activit�s scientifiques et par le transfert de connaissances pour appuyer les organismes phytosanitaires internationaux, comme l'Organisation nord-am�ricaine pour la protection des plantes et le Groupe de recherche international sur les organismes de quarantaine forestiers. Ces organismes fournissent des analyses de recherche coordonn�es � l'�chelle mondiale au Groupe technique sur la quarantaine foresti�re et � la Commission des mesures phytosanitaires de la Convention internationale pour la protection des v�g�taux. |
Recherche : Le Service canadien des for�ts (SCF) de RNCan a coordonn� des activit�s de recherche internationales qui ont fourni des donn�es essentielles � l'adoption de normes internationales (par exemple la Norme internationale pour les mesures phytosanitaires (NIMP) no 15 sur les emballages en bois), qui ont grandement diminu� le risque de d�placement des parasites et phytoravageurs envahissants dans le monde. Le perfectionnement scientifique de ces normes et l'�laboration d'autres instruments de r�glementation continuent de r�duire les risques que pr�sentent les phytoravageurs pour les for�ts canadiennes. De nouveaux traitements contre les phytoravageurs du bois propos�s en 2010-2011 par le Groupe de recherche international sur les organismes de quarantaine forestiers font actuellement l'objet d'une �valuation par la communaut� internationale. Acc�s au march� chinois et indien : Des renseignements techniques et des analyses scientifiques sur le bois canadien ont rassur� la Chine et l'Inde, ouvrant ainsi des march�s aux produits canadiens du bois. L'exp�dition de billes et de bois d'œuvre en Chine a beaucoup augment� depuis la conclusion d'une entente sur les exigences phytosanitaires en 2009. Gr�ce aux travaux qui ont abouti � des ententes bilat�rales en 2011, l'Inde accepte maintenant le bois d'œuvre canadien en �pinette, en pin, en sapin et en thuya g�ant. Le travail scientifique de RNCan a contribu� � la suppression d'obstacles au commerce avec d'autres pays (par exemple l'Australie, les �tats Unis, la Turquie, la Malaisie, Ta�wan et la Cor�e) et continue de le faire au fur et � mesure que les probl�mes se pr�sentent. Sensibilisation aux questions phytosanitaires dans le monde : Le SCF de RNCan a cor�dig� le Guide pour la mise en œuvre des normes phytosanitaires dans le secteur forestier de la FAO, publi� en 2011. Ce guide sera utilis� dans tous les pays pour informer l'industrie foresti�re des m�thodes de r�duction du d�placement des phytoravageurs forestiers entre les pays. |
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Sous-total de RNCan | 10,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 2,0 (financement permanent) | 2,0 | 1,9 | ||||
Minist�re des P�ches et des Oc�ans | Des sciences pour des p�ches et une aquaculture durables | Analyse des risques | 2,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 0,4 (financement permanent) | 0,4 | 0,41 |
Analyse des risques li�s aux esp�ces et aux voies d'entr�e prioritaires. |
R�alisation d'une �valuation des risques examin�e par des pairs concernant les voies d'entr�e maritimes (eau de ballast et salissures des coques) dans les Grands Lacs et l'Arctique. R�alisation d'une �valuation des risques concernant les voies d'entr�e des poissons-app�ts en Ontario. R�daction de synth�ses de la biologie des esp�ces suivantes : crabe sanguin, tanche, � poisson p�dicure �, Didemnum vexillum, grande claveline et ascidie sale. Mise � jour des synth�ses de la biologie de la carpe � grosse t�te et de la carpe argent�e (2006+). Mise � jour du site Web du Centre d'expertise pour l'analyse des risques aquatiques pour diffuser de l'information sur les analyses des risques biologiques, les documents cadres, et les synth�ses de la biologie des esp�ces aquatiques envahissantes � risque �lev� pour les clients internes et externes (autres pays, minist�res, provinces, citoyens et intervenants). Pr�paration d'un rapport documentaire en vue de l'�laboration, qui a commenc� depuis, d'un cadre socio�conomique d'ici la fin de l'exercice 2011-2012. R�alisation d'une �tude de cas sur les r�percussions socio�conomiques des esp�ces aquatiques envahissantes (EAE). |
Sciences et technologie | 5,1 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 1,02 (financement permanent) | 1,02 | 0,97 | Les d�cideurs disposent d'information qui leur permet de g�rer les esp�ces et les voies d'entr�e en fonction des risques. |
La r�daction du rapport sur le financement de la recherche du secteur des sciences de 2005 � 2010 a �t� entreprise. Ce document pr�sentera aux d�cideurs un r�sum� des r�sultats. Financement continu d'activit�s de surveillance et de recherche scientifique pour d�terminer les r�percussions, les esp�ces � risque �lev� et les voies d'entr�e. |
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Lois, r�glements et politiques | 1,1 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 0,21 (financement permanent) | 0,21 | 0,20 | R�daction de dispositions des r�glements sur les esp�ces aquatiques envahissantes. |
Sollicitation de l'avis de partenaires provinciaux et territoriaux, d'autres minist�res et du personnel r�gional du MPO sur un document d'intention �non�ant certains �l�ments d'un �ventuel r�glement sur les EAE. R�daction du portrait des industries qui pourraient �tre touch�es par le nouveau r�glement. R�alisation d'une analyse juridique de plusieurs questions li�es au projet de r�glement. Tenue d'un atelier pour d�terminer ce qui manque sur le plan scientifique pour terminer la r�daction du r�glement sur les EAE et le mettre en œuvre. R�daction d'un plan en vue de consultations suppl�mentaires des intervenants apr�s la modification du projet de r�glement. |
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Mobilisation des Canadiens | 0,4 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 0,09 (financement permanent) | 0,09 | 0,08 | Les intervenants et les partenaires connaissent les mesures qui peuvent att�nuer les risques li�s aux EAE. |
Tenue de rencontres r�guli�res avec les provinces pour discuter des questions relatives aux EAE au sein du Comit� national sur les esp�ces aquatiques envahissantes. �laboration et distribution de mat�riel de communication comme des livrets d'identification, des panneaux, des affiches, des fiches de renseignements et d'autre mat�riel informatif destin� aux citoyens canadiens. |
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Coop�ration internationale | 11,4 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 2,28 (financement permanent) | 2,28 | 2,24 |
Les r�percussions de la pr�sence de la lamproie marine dans les Grands Lacs sont bien g�r�es. Le Canada participe aux discussions internationales sur l'introduction et la propagation des esp�ces aquatiques envahissantes. |
Le MPO a r�alis� un programme complet d'�valuation et de contr�le de la lamproie marine en 2010-2011, dont les mesures suivantes : traitement lampricide de 51 affluents et zones extrac�ti�res, ainsi que de 875 auxiliaires de l'habitat dans la rivi�re St. Marys; �valuation des populations larvaires dans 219 affluents et zones extrac�ti�res; reconstruction de barri�res � lamproie dans 2 affluents et entretien des barri�res dans 26 affluents; utilisation de pi�ges pour l'�valuation de la p�riode de frai sur 22 sites de 19 affluents. Les cibles d'abondance en p�riode de frai ont �t� respect�es dans le lac Ontario (l'abondance y a �t� inf�rieure ou presque �gale � la cible depuis la fin des ann�es 1980) et dans le lac Sup�rieur pour la troisi�me ann�e cons�cutive. Une diminution de 36 % a �t� observ�e dans le lac �ri�, tandis qu'une l�g�re augmentation a �t� constat�e dans le lac Huron. La population larvaire de la rivi�re St. Marys, principal affluent producteur de lamproies marines du lac Huron, a atteint le niveau le plus bas de la p�riode allant de 1998 � 2010. En grande partie gr�ce au Programme de lutte contre la lamproie marine, le touladi a �t� r�tabli dans le lac Sup�rieur et montre des signes positifs de r�tablissement dans le lac Huron. Le programme prot�ge aussi les p�ches d'autres esp�ces indig�nes et des salmonid�s introduits. Le MPO a particip� � divers groupes de travail internationaux ax�s sur les esp�ces aquatiques envahissantes. Le Canada coordonne ses efforts avec ceux des �tats Unis par l'entremise du Aquatic Nuisance Species Task Force (groupe d'�tude am�ricain des esp�ces aquatiques nuisibles). Le Canada a aussi particip� � des activit�s sur les esp�ces aquatiques envahissantes organis�es par le Conseil international pour l'exploration de la mer (CIEM Atlantique) et l'Organisation des sciences de la mer pour le Pacifique Nord (PICES). |
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Sous-total du MPO | 20,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 4,0 (financement permanent) | 4,0 | 3,9 | ||||
Environnement Canada |
Biodiversit�, esp�ces sauvages et habitat |
Mobilisation des Canadiens - Programme de partenariat sur les esp�ces exotiques envahissantes | 5,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 1,0 (financement permanent) | 1,0 | 0,02 |
Les projets r�alis�s dans le cadre du Programme de partenariat sur les esp�ces exotiques envahissantes visaient les priorit�s �tablies dans la Strat�gie nationale sur les esp�ces exotiques envahissantes. Contribution accrue des particuliers et des organismes aux activit�s li�es aux EEE. |
En 2010-2011, un seul projet visant les priorit�s �tablies dans la Strat�gie nationale sur les esp�ces exotiques envahissantes a re�u des fonds. Participation totale : 59 jours-personnes, 11 organismes. |
Sous-total d'EC | 5,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 1,0 (financement permanent) | 1,0 | 0,02 | ||||
Total | 95,0 (de 2010-2011 � 2014-2015) plus 19,0 (financement permanent) | 19,0 | 13,52 |
Commentaire sur les �carts :
ACIA : Les r�sultats pr�vus de chacun des programmes sont permanents et visent plusieurs activit�s et projets. Ces activit�s et projets en sont � diverses �tapes (conception, r�alisation, validation, mise en œuvre ou �valuation). Par essence, le mandat de protection des plantes confi� � l'ACIA concerne les EEE. Il est donc important de souligner que certaines activit�s r�alis�es dans le cadre du programme global des plantes au cours de l'exercice �taient li�es aux EEE, mais qu'elles n'ont pas �t� not�es comme �tant des r�alisations visant sp�cifiquement les EEE. En 2010-2011, l'ACIA a atteint les r�sultats pr�vus pour les activit�s particuli�res entreprises en fonction des ressources d�pens�es pour les EEE. Un comit� d�di� aux EEE, sous la structure de gouvernance du secteur d'activit� des plantes maintenant en place � l'ACIA, va �laborer et �valuer un plan annuel des activit�s ax�es sur les EEE. Ainsi, gr�ce � une gouvernance plus officielle et � des codes internes associ�s aux cinq th�mes des travaux sur les EEE, la planification, l'affectation et l'exactitude des rapports sur les ressources allou�es aux EEE seront am�lior�es pour les exercices ult�rieurs.
RNCan : RNCan a atteint la majorit� de ses objectifs et d�pens� les montants inscrits au budget des cinq th�mes du programme. Une petite partie du budget de fonctionnement n'a pas �t� d�pens�e pour diverses raisons, dont l'approbation tardive du financement (r�percussions sur le travail de terrain surtout), la r�duction et le regroupement de charges de travail ainsi que la progression plus lente que pr�vu de certains travaux.
MPO : Les d�penses d�clar�es ne comprennent pas les d�penses totales du Minist�re pour les esp�ces aquatiques envahissantes. � l'heure actuelle, le Minist�re soutient un large �ventail d'activit�s dans d'autres secteurs, par exemple la science des �cosyst�mes.
Environnement Canada : � cause de l'approbation tardive de la pr�sentation au Conseil du Tr�sor et de la restructuration des programmes connexe, le programme n'a pas fait d'appel de propositions en 2010 2011. Un seul projet du Programme de partenariat pour les EEE a �t� financ� en 2010 2011, pour un montant de 15 500 $.
R�sultats obtenus par les partenaires non f�d�raux (le cas �ch�ant) : s.o.
Personnes-ressources :
Agence canadienne d'inspection des aliments
Wendy Asbil
Gestionnaire nationale, Esp�ces exotiques envahissantes
Bureau du dirigeant principal de la protection des v�g�taux
Direction de la protection des v�g�taux et bios�curit�
613-773-7236
Environment Canada
Bruno Paris
Chef int�rimaire, Unit� des esp�ces exotiques envahissantes
Service canadien de la faune
819-953-9939
Ressources naturelles Canada
Jacques Gagnon
Directeur
Politique scientifique, Direction des sciences et des programmes, RNCan - Service canadien des for�ts
613-947-9043
P�ches et Oc�ans Canada
Patrice Simon
Directeur
Sciences de l'environnement et de la biodiversit�
613-990-0289