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Le secteur canadien de l'agriculture contribue grandement � l'�conomie du pays; il fournit plus de deux millions d'emplois et repr�sente 8 p. 100 du produit int�rieur brut.
Ce dynamisme a permis d'alimenter la reprise �conomique du Canada au cours de la derni�re ann�e, donnant ainsi la chance � nos agriculteurs et � nos transformateurs alimentaires d'exploiter de nouveaux d�bouch�s sur les march�s internationaux.
Notre gouvernement s'est dot� d'une strat�gie bien d�finie pour cet important secteur, en faisant du march� la cl� de vo�te d'une rentabilit� accrue et durable � la ferme et � l'�chelle de la cha�ne de valeur. C'est pourquoi nous continuons de promouvoir un programme commercial muscl� sur la sc�ne internationale, qui g�n�re des r�sultats concrets pour notre industrie, en veillant � ce que nos agriculteurs et nos transformateurs puissent commercialiser leurs produits de grande qualit� au prix �lev� qu'ils commandent.
En 2010, nos exportations de produits agricoles et agroalimentaires et de produits de la mer se sont chiffr�es � plus de 39 milliards de dollars, soit le deuxi�me montant en importance de l'histoire, hissant ainsi le Canada au rang des cinq plus grands exportateurs de produits agroalimentaires au monde. Le Secr�tariat de l'acc�s aux march�s, que nous avons cr��, est un �l�ment cl� de cette r�ussite, et nous continuons de lui donner les outils dont il a besoin pour aider nos exportateurs � conclure et � augmenter leurs ventes.
Nous avons, avec l'industrie, particip� � des missions commerciales dans plus de 20 pays diff�rents, et avons fait grimper nos ventes dans certains march�s cl�s, notamment au Mexique, en Chine, � Hong Kong, en Russie et en Cor�e du Sud. Nous d�fendons le syst�me de gestion de l'offre du Canada et veillons � ce que nos partenaires commerciaux respectent des r�gles fond�es sur des principes scientifiques, mais nous cherchons aussi activement � conclure des ententes commerciales bilat�rales et multilat�rales avec les grands march�s, notamment l'Union europ�enne et l'Inde.
L'�volution de l'agriculture va de pair avec l'innovation, et l'innovation est le moteur de la comp�titivit� de notre industrie. En collaboration avec l'industrie, nous effectuons des investissements strat�giques dans la science et l'innovation ax�s sur les r�sultats, qui stimulent la participation des investisseurs du secteur. Nous prendrons des d�cisions strat�giques pour obtenir le meilleur rendement possible des investissements que nous faisons, et ce, dans l'int�r�t des agriculteurs canadiens et de l'ensemble du secteur.
L'agriculture sera toujours source de d�fis. L'an dernier, nos programmes de gestion des risques de l'entreprise ont permis aux agriculteurs de surmonter les difficult�s financi�res attribuables � la situation sur les march�s, aux inondations et � la s�cheresse, gr�ce � une aide f�d�rale, provinciale et territoriale, de plus de 2 milliards de dollars. Le Plan d'action �conomique du Canada et notre cadre strat�gique pour l'agriculture, Cultivons l'avenir, conclu avec les provinces et territoires pour une dur�e de cinq ans, offrent des programmes souples et proactifs qui aident les agriculteurs � affronter directement les enjeux du secteur agricole, qui renforcent la protection de l'environnement et la salubrit� des aliments de la ferme � l'assiette, et engendrent des r�sultats innovateurs et tangibles porteurs d'avenir.
� long terme, les perspectives du secteur agricole du Canada sont prometteuses. L'exploitation agricole est une activit� de plus en plus complexe et concurrentielle sur la sc�ne mondiale. La demande pour des aliments sains et de grande qualit� est en hausse et nous savons que les agriculteurs canadiens peuvent y r�pondre. Nos avantages naturels que sont les ressources en terre et en eau, un environnement sain, une main-d'œuvre qualifi�e et des politiques et r�glements rigoureux favorisent notre croissance et notre prosp�rit� futures.
Nous menons actuellement des discussions avec l'industrie et les gouvernements provinciaux et territoriaux afin de concevoir un nouveau cadre pour l'agriculture. Ce cadre nous donnera les moyens n�cessaires pour mettre en place un secteur plus moderne, innovateur, concurrentiel et durable qui sera garant de notre r�ussite au cours de la prochaine d�cennie.
Je sais que je peux compter sur la collaboration et le soutien constants de mon �quipe du portefeuille pour relever les d�fis du secteur agricole, tout en aidant ce dernier � tirer profit de son �norme potentiel de croissance et de sa rentabilit� future.
L'honorable Gerry Ritz
Le ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire et ministre de la Commission canadienne du bl�
Le minist�re de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire du Canada (AAC) a vu le jour en 1868 – un an apr�s la Conf�d�ration – en raison de l'importance de l'agriculture pour le d�veloppement �conomique, social et culturel du Canada. Aujourd'hui, le Minist�re veille � ce que le secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et des produits agro-industriels demeure concurrentiel sur les march�s national et international, le secteur et l'�conomie canadienne dans son ensemble pouvant ainsi profiter des retomb�es �conomiques. Gr�ce � ses travaux, le Minist�re s'emploie � aider le secteur � maximiser sa rentabilit� et sa comp�titivit� � long terme, tout en assurant le respect de l'environnement ainsi que la salubrit� et la s�curit� des approvisionnements alimentaires du Canada.
AAC fournit des renseignements, m�ne des recherches et con�oit des technologies en plus d'�laborer des politiques et des programmes qui aident le secteur canadien de l'agriculture, de l'agroalimentaire et des produits agro-industriels � �tre plus respectueux de l'environnement et concurrentiel sur les march�s national et international, � g�rer les risques et � innover. Les activit�s du Minist�re s'�tendent des agriculteurs aux consommateurs, des exploitations agricoles aux march�s mondiaux, en passant par toutes les phases de la production, de la transformation et de la mise en march� des produits agricoles et agroalimentaires. C'est pourquoi, et �tant donn� que l'agriculture est une comp�tence partag�e, AAC collabore �troitement avec les gouvernements provinciaux et territoriaux.
Le mandat d'AAC repose sur la Loi sur le minist�re de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire. Le ministre est aussi responsable de l'administration de plusieurs autres lois, notamment la Loi canadienne sur les pr�ts agricoles. Le Minist�re est charg� d'assurer une collaboration entre les organismes qui rel�vent du portefeuille de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire, ce qui signifie l'�laboration coh�rente de politiques et de programmes et une coop�ration fructueuse qui permettra de relever les d�fis qui touchent l'ensemble du Portefeuille. Parmi les autres organismes qui rel�vent du Portefeuille, mentionnons la Commission canadienne du lait, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, la Commission canadienne des grains, Financement agricole Canada, la Commission de r�vision agricole du Canada et le Conseil des produits agricoles du Canada. AAC est �galement responsable de l'Agence canadienne du pari mutuel, organisme de service sp�cial qui r�glemente et supervise les activit�s de pari mutuel men�es sur les courses de chevaux aux hippodromes du Canada.
AAC assume le leadership quant aux politiques et programmes ruraux du f�d�ral, dont il assure la coordination gr�ce au Partenariat rural du Canada, et il appuie les coop�ratives qui promeuvent la croissance �conomique et le d�veloppement social de la soci�t� canadienne. Gr�ce � l'activit� de programme D�veloppement des r�gions rurales et d�veloppement des coop�ratives, AAC coordonne les politiques du gouvernement dont le but est d'assurer le d�veloppement �conomique et social et le renouvellement du Canada rural. Cette activit� de programme facilite �galement la cr�ation de coop�ratives qui aident les Canadiens et les collectivit�s � saisir les d�bouch�s �conomiques.
Le Minist�re appuie �galement le ministre dans son r�le de ministre de la Commission canadienne du bl�.
Le Minist�re appuie un secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et des produits agro-industriels durable tant du point de vue �conomique qu'environnemental, c'est-�-dire un secteur capable de bien g�rer les ressources naturelles disponibles et capable de s'adapter aux conditions environnementales changeantes. En relevant d'importants d�fis environnementaux au Canada, notamment l'impact de l'agriculture sur la qualit� et l'utilisation de l'eau, l'adaptation aux r�percussions des changements climatiques, la r�duction des �missions de gaz � effet de serre d'origine agricole et l'exploration de nouveaux d�bouch�s �conomiques, le secteur contribuera � assainir l'environnement et � cr�er des conditions de vie plus saines pour l'ensemble de la population, tout en augmentant sa propre rentabilit�.
La capacit� du Canada de produire, de transformer et de distribuer des produits agricoles, agroalimentaires et agro-industriels s�rs, sains, rentables et de premi�re qualit� d�pend de son aptitude � g�rer les risques de mani�re proactive, � r�duire ces risques au minimum et � �largir les march�s int�rieurs et ext�rieurs pour le secteur en r�pondant aux exigences et aux attentes des consommateurs, et m�me en les d�passant. La gestion proactive des risques et l'am�lioration du contexte de la r�glementation concourront directement � la stabilit� �conomique et � la prosp�rit� des agriculteurs canadiens et rehausseront la s�curit� de la population du pays.
Pour favoriser l'innovation dans le secteur, il faut notamment mettre au point et commercialiser des produits agricoles � valeur ajout�e, ainsi que des syst�mes, des proc�d�s et des technologies de production ax�s sur le savoir, et doter le secteur de meilleures comp�tences et strat�gies en affaires et en gestion pour lui permettre de saisir les possibilit�s qui se pr�sentent et de g�rer le changement. Il est indispensable d'innover pour assurer la croissance soutenue et l'am�lioration de la productivit�, de la rentabilit�, de la comp�titivit� et de la viabilit� du secteur canadien de l'agriculture, de l'agroalimentaire et des produits agro-industriels ainsi que de ses collectivit�s rurales.
Le graphique ci-dessous pr�sente les activit�s et les sous-activit�s de programme d'AAC qui composent l'architecture des activit�s de programme. Il montre comment le Minist�re alloue et g�re ses ressources et progresse vers ses r�sultats strat�giques.
Les priorit�s d'AAC d�crites dans le Rapport sur les plans et les priorit�s 2010-2011 t�moignent de l'importance continue de la comp�titivit�, de l'innovation, de la protection de l'environnement et de la gestion proactive des risques pour garantir la rentabilit� � long terme du secteur. Il est essentiel de continuer � investir dans la recherche scientifique, dans la mise au point et l'adoption de produits et de technologies de pointe, dans les comp�tences en affaires, dans la gestion des risques et dans l'information sur les march�s pour permettre aux producteurs et aux entreprises d'acqu�rir un avantage concurrentiel durable.
La demande de produits agricoles et agroalimentaires sur les march�s int�rieurs et internationaux continue d'�voluer, et le secteur canadien doit s'adapter et devenir plus concurrentiel et innovateur afin de relever les d�fis d'un march� mondialis�. Conscient de cette exigence, AAC fournit de l'information pour aider le secteur � cerner les tendances �mergentes et � y donner suite avant les concurrents du Canada. Il dote aussi le secteur des outils qu'il lui faut pour l'inciter � s'adapter et lui permettre ainsi d'abaisser ses co�ts et de conqu�rir des march�s plus lucratifs. De plus, �tant donn� que le secteur est fortement tributaire des march�s d'exportation, AAC s'efforce de pr�server l'acc�s aux march�s existants et d'acc�der � de nouveaux march�s en participant aux n�gociations sur le commerce et l'acc�s aux march�s et en ayant recours aux programmes de r�glement des diff�rends. Enfin, le Minist�re continue de r�pondre aux demandes en ce qui concerne les garanties relatives � la protection des ressources environnementales du Canada.
Comme l'actuel cadre strat�gique pour l'agriculture, Cultivons l'avenir, doit prendre fin le 31 mars 2013, il faut mettre en place un nouveau cadre pour favoriser la r�ussite du secteur � long terme. En collaboration avec les provinces et les territoires, AAC �labore le prochain cadre strat�gique pour l'agriculture avec pour objectif d'�tablir un secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et des produits agro-industriels rentable, durable, concurrentiel et innovateur.
AAC et les intervenants de l'industrie ont commenc� � examiner les d�fis et les possibilit�s qui attendent le secteur. Le Minist�re poursuit sa collaboration avec les provinces et les territoires en vue de d�finir les orientations strat�giques du prochain cadre en tenant compte des commentaires formul�s.
AAC, de concert avec les gouvernements provinciaux et territoriaux, a r�alis� un examen strat�gique des programmes de gestion des risques de l'entreprise (GRE) afin d'�valuer les programmes actuels. Les conclusions de cet examen ont �t� communiqu�es aux intervenants durant la premi�re phase de mobilisation de l'industrie � l'�gard du prochain cadre strat�gique pour l'agriculture en 2010-2011. Les r�sultats de l'examen strat�gique contribueront au processus d'�laboration du prochain cadre strat�gique.
Le gouvernement a aussi continu� d'investir des sommes importantes en recherche scientifique, �l�ment cl� d'une innovation constante dans le secteur agricole. En outre, alors que le secteur et l'�conomie du Canada se rel�vent de la r�cession �conomique, AAC a poursuivi la mise en œuvre d'importantes initiatives lanc�es aux termes du Plan d'action �conomique du Canada (PAE). Le Fonds Agri-flexibilit�, le Programme d'am�lioration de l'abattage et la Loi canadienne sur les pr�ts agricoles en sont des exemples.
Il �tait important de maintenir le cap sur l'excellence en gestion pour produire des r�sultats qui r�pondent aux attentes du secteur, gr�ce notamment � l'am�lioration des services aux clients. D'ailleurs, les plans des ressources humaines et d'investissement ax�s sur les priorit�s du gouvernement en tiennent compte.
Les tableaux ci-dessous fournissent d'autres renseignements sur les priorit�s minist�rielles.
Pourcentage du niveau attendu de rendement durant l'exercice financier pour la priorit� figurant dans le Rapport sur les plans et les priorit�s correspondant
Objectifs d�pass�s : Plus de 100 %
Objectifs atteints : 100 %
Plupart des objectifs atteints : 80 � 99 %
Certains objectifs atteints : 60 � 79 %
Nombre insuffisant d'objectifs atteints : Moins de 60 %
Priorit� | Type | R�sultats strat�gique |
---|---|---|
Obtenir et rehausser l'acc�s aux march�s pour les produits agricoles et agroalimentaires canadiens | En cours | RS2 - un secteur comp�titif qui g�re les risques de mani�re proactive |
�tat : Objectifs atteints | ||
Des perc�es ont �t� r�alis�es � l'�chelle mondiale pour les exportateurs dans les secteurs suivants : g�n�tique animale (bovin, porc et volaille); bœuf; graine de l'alpiste des Canaries; canola; aliments pour animaux et lin; poissons et produits de la mer (y compris le homard); horticulture (y compris les pommes de terre); produits biologiques; pois; biotechnologie v�g�tale; porc; farine de volaille et farine de sang de porc; sous-produits d'�quarrissage; bl�, entre autres. |
Priorit� | Type | R�sultats strat�giques |
---|---|---|
Soutenir la science et l'innovation, �l�ments cl�s de la comp�titivit� du secteur | En cours | RS1 – Un secteur respectueux de l'environnement RS2 – Un secteur comp�titif qui g�re les risques de mani�re proactive RS3 – Un secteur innovateur |
�tat : Objectifs atteints | ||
Les scientifiques d'AAC et leurs partenaires ont grandement contribu� � la recherche et � l'innovation au Canada. Le Minist�re a mis au point des pratiques agricoles am�lior�es qui tiennent compte des d�fis environnementaux, de nouvelles techniques de production, de transformation et de distribution des aliments qui att�nuent les risques li�s � la salubrit� des aliments, de nouvelles cultures qui rehaussent la biodiversit� du Canada, et une production et une gestion am�lior�es du b�tail. Les programmes d'innovation de Cultivons l'avenir, comme les grappes agro-scientifiques canadiennes et l'Initiative de d�veloppement de produits agricoles innovateurs, ont acc�l�r� le d�veloppement de proc�d�s in�dits en offrant un soutien tout au long de la fili�re de l'innovation, de l'�tape de la d�couverte � l'�tape de la commercialisation. Par le truchement du Programme d'innovation en mati�re de bioproduits agricoles, AAC a favoris� la transformation des mati�res premi�res en bioproduits agricoles, a mis au point des technologies de transformation de la biomasse agricole et a trouv� des moyens de diversifier les produits. Le Canada a donc renforc� sa capacit� en mati�re de recherches et de d�veloppement (R-D) et le pays est devenu un acteur majeur du secteur des bioproduits et de la biotransformation. Le Minist�re a incit� les producteurs � participer � l'industrie des biocarburants et a contribu� � r�pondre � l'objectif du gouvernement pour le contenu en biocarburants dans le secteur des transports, gr�ce � l'Initiative pour un investissement �coagricole dans les biocarburants. AAC a en outre acc�l�r� la commercialisation de nouveaux produits, services et proc�d�s agricoles, agroalimentaires et agro-industriels novateurs � valeur ajout�e par l'entremise du programme Agri-d�bouch�s. AAC a continu� d'am�liorer ses outils de gestion pour la science et l'innovation en veillant � ce que son plan d'action strat�gique et ses plans en mati�re de ressources humaines, de communications et d'investissement soient bien �toff�s. |
Priorit� | Type | R�sultat strat�gique |
---|---|---|
S'assurer que l'actuelle s�rie de programmes de gestion des risques de l'entreprise atteigne son objectif en r�alisant un examen strat�gique de ces programmes avec les provinces et les territoires | D�j� engag� | RS2 – Un secteur comp�titif qui g�re les risques de mani�re proactive |
�tat : Objectifs atteints | ||
Les repr�sentants f�d�raux, provinciaux et territoriaux (FPT) ont r�alis� un examen strat�gique des programmes de GRE qui a d�montr� que ces programmes ont contribu� de mani�re importante � stabiliser les revenus des producteurs lorsque les revenus tir�s du march� ont diminu�. Les r�sultats de l'examen strat�gique des programmes de GRE alimentent le processus d'�laboration des politiques. Ils ont �t� pr�sent�s durant la premi�re phase de mobilisation de l'industrie � l'�gard du prochain cadre strat�gique pour l'agriculture. |
Priorit� | Type | R�sultats strat�giques |
---|---|---|
Am�liorer la performance environnementale du secteur pour soutenir le plan d'action du Canada en mati�re d'environnement | En cours | RS1 – Un secteur respectueux de l'environnement RS2 – Un secteur comp�titif qui g�re les risques de mani�re proactive RS3 – Un secteur innovateur |
�tat : Objectifs atteints | ||
AAC a continu� d'�laborer et de faire progresser un ensemble d'expertises et d'outils dont le secteur a besoin pour s'adapter aux changements climatiques et aux probl�mes li�s aux ressources en eau. Le Minist�re a con�u et lanc� le Programme de lutte contre les gaz � effet de serre en agriculture, qui repr�sente la contribution du Canada � l'Alliance mondiale de recherche. AAC a continu� d'examiner de nouvelles approches pour relever les d�fis agroenvironnementaux complexes, et poursuivi la mise en œuvre d'initiatives qui favorisaient la prise de d�cisions �clair�es en mati�re d'environnement. AAC a continu� de collaborer avec des partenaires pour am�liorer la qualit� de l'air et la protection de l'eau, des sols et de la biodiversit�, gr�ce � des pratiques de g�rance au sein du secteur; il a contribu� � la sant� des �cosyst�mes par l'acquisition et l'�change de connaissances scientifiques. AAC a continu� d'accro�tre la collaboration entre les intervenants pour favoriser l'adaptabilit� et la viabilit� du secteur face aux d�fis agroenvironnementaux complexes. |
Priorit� | Type | R�sultats strat�giques |
---|---|---|
Excellence en gestion | En cours | RS1 – Un secteur respectueux de l'environnement RS2 – Un secteur comp�titif qui g�re les risques de mani�re proactive RS3 – Un secteur innovateur |
�tat : Objectifs atteints | ||
Des pratiques, processus et syst�mes de saine gestion, plus particuli�rement dans des domaines comme les ressources humaines et la prestation des services, ont continu� d'�tre un �l�ment crucial de la capacit� d'AAC � offrir des programmes et services et � atteindre ses r�sultats strat�giques. La section II sur les services internes fournit plus de renseignements sur le rendement du Minist�re dans ces domaines. Voici les points saillants : Les mesures adopt�es en vue de poursuivre la mise en œuvre du programme d'excellence du service d'AAC comprenaient notamment la prestation d'une s�rie d'initiatives visant � aider AAC � mieux comprendre ses clients, � mieux communiquer les services qu'il offre et � am�liorer ses services aux clients gr�ce � des approches op�rationnelles modernes et au perfectionnement des syst�mes. Par exemple, AAC a �tabli des normes de service pour 75 % de ses programmes. Les strat�gies de gestion de l'effectif �tablies dans le Plan int�gr� des ressources humaines 2009-2012 du Minist�re ont �t� mises en œuvre dans le but de faire progresser les priorit�s du gouvernement. � titre d'exemple, le Minist�re a d�pass� son objectif de recrutement des �tudiants pour 2010-2011; il a revu les politiques de dotation en vue d'�liminer les chevauchements et le d�doublement de l'information et il a �labor� une nouvelle �bauche du Code de valeurs et d'�thique d'AAC qui sera mis en œuvre en m�me temps que le nouveau Code de valeur et d'�thique de la fonction publique. Le plan a �galement jet� les bases d'un milieu de travail qui valorise l'excellence professionnelle, la diversit�, la dualit� linguistique, l'apprentissage continu et le respect mutuel. Quant � l'�valuation de 2009-2010 du Cadre de responsabilisation de gestion (CRG), les observations du Conseil du Tr�sor sur les capacit�s de gestions d'AAC �taient tr�s positives et conformes au rendement efficace du Minist�re l'an dernier. Le Minist�re a re�u cinq fois la cote � fort � et sept fois la cote � acceptable � et a �galement r�alis� des progr�s quant aux priorit�s de gestion cern�es dans l'�valuation du CRG pr�c�dente. Aucun domaine de gestion n'a re�u une cote inf�rieure � � acceptable �. On a reconnu que le Minist�re a gard� des normes �lev�es quant � ses niveaux de rendement de la gestion, tout en g�rant un agenda bien rempli en mati�re de politiques et de programmes, en particulier la mise en œuvre des programmes de Cultivons l'avenir et des initiatives du Budget de 2009 (Plan d'action �conomique du Canada). |
Le Plan int�gr� des ressources humaines d'AAC, d'une dur�e de trois ans, est rest� au cœur de l'approche de planification int�gr�e du Minist�re. Il demeurera pertinent gr�ce � une mise � jour effectu�e en 2011-2012, qui tiendra compte de l'�volution de l'environnement, des priorit�s op�rationnelles et des risques. Pour le Minist�re, les probl�mes sont � peu pr�s les m�mes en mati�re de ressources humaines, mais certains d'entre eux sont devenus plus pressants. Les principaux probl�mes sont les suivants :
Voici les strat�gies qui permettront d'atteindre les objectifs du Minist�re dans ces domaines :
AAC a finalis� le premier Plan d'investissement quinquennal (2010-2015), conform�ment � la Politique de planification des investissements - Actifs et services acquis du Conseil du Tr�sor, pour guider l'investissement efficace des ressources qui appuient clairement les r�sultats des programmes et les priorit�s gouvernementales. Le Plan a �t� approuv� le 17 juin 2010 par le Conseil du Tr�sor. Au cours de la premi�re ann�e du Plan, tous les projets financ�s par le Plan d'action �conomique ont �t� men�s � terme et de nombreux autres projets ont progress�. Le Minist�re s'est �galement pr�par� en vue d'entreprendre la deuxi�me ann�e du Plan.
En 2010, le produit int�rieur brut du Canada a bondi de 3,1 % en chiffres absolus apr�s une baisse de 2,5 % en 2009. La demande int�rieure plus forte, les d�penses gouvernementales et l'investissement des entreprises en 2010 ont permis de soutenir cette croissance �conomique, alors que les pressions inflationnistes demeuraient mod�r�es.
Pour l'ann�e 2010, le secteur de l'agriculture et de l'agroalimentaire a enregistr� une l�g�re augmentation du produit int�rieur brut r�el en d�pit d'une baisse de la production. Les productions v�g�tales ont diminu� en raison des conditions climatiques difficiles dans les Prairies, qui ont nui � la plantation et � la r�colte. Dans la deuxi�me moiti� de l'ann�e, le prix des cultures et du b�tail s'est redress� consid�rablement sur les march�s mondiaux. La hausse du prix du p�trole brut a fait augmenter le prix des intrants et le co�t du transport pour les producteurs primaires, les transformateurs d'aliments et les consommateurs. Toutefois, la valeur du dollar canadien a grimp� de 10 % en 2010 par rapport � la devise am�ricaine, ce qui a compens� dans une certaine mesure la hausse du prix des denr�es et des prix du p�trole brut. Les revenus agricoles ont augment� en cons�quence. Le secteur de la transformation des aliments, qui a maintenu une croissance r�guli�re durant la r�cession de 2009, a continu� de progresser � un taux constant en 2010.
La vigueur du dollar a �galement donn� l'occasion aux producteurs et aux transformateurs d'am�liorer la productivit� en leur permettant d'importer de la machinerie et de l'�quipement � moindre co�t.
Les modifications apport�es � la r�glementation et aux politiques dans d'autres pays au sujet des questions li�es � la salubrit� et � la qualit� ont provoqu� d'autres probl�mes. Par exemple, l'industrie canadienne de l'�levage a subi de plein fouet les cons�quences de l'inscription obligatoire du pays d'origine sur l'�tiquette aux �tats-Unis, son principal march�. Les prix �taient en hausse en Union europ�enne, mais la r�glementation (p. ex. l'utilisation des hormones) et les contingents tarifaires ont nui � certaines exportations canadiennes.
Pour ce qui est du contexte op�rationnel d'AAC, avec le vieillissement de l'effectif et les d�parts � la retraite toujours en hausse, il est important de donner aux employ�s les moyens de produire les r�sultats voulus pour les Canadiens. Le Minist�re s'attaque au renouvellement de l'effectif en proc�dant � un recrutement cibl� de nouveaux employ�s et � la cr�ation de programmes visant � assurer le transfert des connaissances sur le secteur de l'agriculture et � perfectionner les comp�tences en gestion. En p�riode de restrictions financi�res de longue dur�e � l'�chelle de la fonction publique, AAC est d�termin� � am�liorer de fa�on continue son processus de planification int�gr�e des activit�s pour harmoniser les ressources humaines avec les autres ressources en vue de r�pondre aux priorit�s op�rationnelles.
Pour pouvoir remplir son mandat, AAC continue d'am�liorer et d'int�grer ses pratiques de gestion des risques et des possibilit�s afin de d�velopper une culture de gestion �clair�e des risques. La gestion des risques et des possibilit�s est toujours essentielle � l'�tablissement des priorit�s minist�rielles, � la planification des activit�s et des ressources et au processus d�cisionnel.
Le Profil de risque du Minist�re d'AAC, mis � jour chaque ann�e, r�sume les possibilit�s d'exposition aux risques en d�terminant les �v�nements ou les circonstances susceptibles de se produire. Il documente aussi les mesures de gestion en cours. En 2010-2011, AAC a r�ussi � att�nuer les risques minist�riels cern�s, �vitant ainsi de nuire � la r�alisation des r�sultats. Le tableau suivant fournit une br�ve description des risques �tablis dans le Profil de risque du Minist�re 2010-2011 d'AAC et r�sume l'�tat des strat�gies d'att�nuation.
Risque | �tat des strat�gies de gestion et d'att�nuation des risques |
---|---|
Crise majeure Un �v�nement de grande envergure pourrait exposer le secteur et l'ensemble des Canadiens � un risque important. |
AAC poss�de depuis longtemps les politiques et les programmes n�cessaires pour intervenir en cas d'urgence. Le Minist�re s'est servi du cadre Agri-relance de la s�rie de programmes de GRE pour faciliter la mise en œuvre de 13 initiatives afin de r�pondre � diff�rentes catastrophes naturelles qui ont frapp� le pays. Le Minist�re a aussi continu� de mobiliser le gouvernement et les partenaires du secteur pour rehausser les mesures d'urgence. D'importants progr�s ont �t� accomplis pour pr�parer le Minist�re � r�pondre rapidement � des urgences internes, comme des pannes d'�lectricit� ou une pand�mie. � la suite de menaces r�centes, par exemple le virus H1N1, des plans de continuit� des activit�s et des plans d'intervention en cas d'urgence �prouv�s ont �t� am�lior�s. Le Minist�re a commenc� � �laborer des plans pour intervenir en cas de maladies animales; des analyses ult�rieures permettront d'adapter ces plans pour tenir compte des pr�occupations en mati�re de protection des v�g�taux. |
Gestion de l'information La mise en p�ril d'information, de la gestion de l'information ou des syst�mes d'information pourrait diminuer la capacit� du Minist�re de prendre de bonnes d�cisions en mati�re de politiques et de programmes et nuire par la suite � la pr�paration des rapports. |
Les activit�s d'att�nuation ont progress� de fa�on efficace. AAC a continu� de fournir des conseils sur la tenue de dossiers et a �labor� une strat�gie de communication applicable � l'ann�e sur la sensibilisation et la formation portant sur la gestion de l'information et la gestion des dossiers. Un cadre de gestion des renseignements personnels a �t� cr�� pour r�pondre aux exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels. Afin d'am�liorer la gestion de l'information et des donn�es, AAC a continu� de chercher des solutions, comme des portails Internet, des outils de recherche am�lior�s, l'examen des banques de donn�es et des mod�les de renseignements commerciaux. La gestion des documents �lectroniques a pris de l'ampleur dans la r�gion de la Capitale nationale et la pr�paration des r�seaux pour le d�ploiement du logiciel de gestion des documents �lectroniques dans les bureaux r�gionaux d'AAC est termin�e. |
Risques li�s aux programmes En raison des programmes tr�s complexes d'AAC et du large �ventail de clients, le risque d'erreurs est bien pr�sent. De plus les processus et les outils de gestion risquent de ne pas fournir de cadres ad�quats pour le contr�le des programmes. |
La v�rification des b�n�ficiaires, des rapports uniformes sur le rendement et la surveillance des normes de service sont des activit�s d'att�nuation qui nous permettent de r�duire les risques li�s � la conception et � la gestion des programmes tout en am�liorant le service aux clients. Les administrateurs des programmes de gestion des risques de l'entreprise (GRE) ont poursuivi leur collaboration afin de cerner et d'att�nuer les risques en vue d'assurer et de rehausser la qualit� de la prestation des programmes de GRE. Des initiatives ont �t� mises en œuvre pour am�liorer le service aux clients et l'exactitude des donn�es. AAC a mis au point une technologie de guichet unique visant les programmes qui sont administr�s par le f�d�ral et le provincial pour en faciliter l'acc�s. Le Minist�re a �galement �labor� un plan de communication en mati�re d'excellence du service pour op�rer un changement de culture et r�pondre � la priorit� d'AAC en mati�re d'excellence du service. Un mod�le d'accord de contribution pour les programmes non li�s � la GRE, ainsi qu'un programme de subventions et de contributions et une formation en mati�re de gestion des risques ont permis d'assurer un contr�le efficace des programmes. Des rapports centralis�s sur les finances et le rendement, pr�par�s aux termes des accords provinciaux et territoriaux et du Cadre de gestion des risques li�s au b�n�ficiaire ou au projet du Minist�re, ont renforc� les activit�s de d�claration et de v�rification du b�n�ficiaire. |
Infrastructure Des infrastructures et des biens v�tustes risquent de nuire aux principaux biens mobiliers et infrastructures mat�rielles d'AAC, l'emp�chant ainsi d'atteindre ses r�sultats strat�giques. |
AAC a sous sa responsabilit� un grand nombre d'immeubles (2 360), de terres (940 000 hectares) et d'�quipements (213 millions de dollars). Il poss�de 19 grands centres de recherche, 37 stations de recherche et 33 barrages. La gestion des infrastructures s'effectue au moyen du Plan int�gr� des investissements (PI) et de la gouvernance, de mani�re � soutenir les activit�s en cours du Minist�re et � r�pondre aux priorit�s gouvernementales. La mise en œuvre du plan a bien progress�. Des pratiques efficaces de gestion de projet �taient assorties de r�les et de responsabilit�s bien d�finis, et le Minist�re continue de suivre de pr�s les progr�s r�alis�s. |
Milieu de travail des employ�s La capacit� d'AAC de conserver des effectifs dou�s, repr�sentatifs et motiv�s par des principes dans un milieu de travail �quitable, �thique, propre et s�curitaire pourrait influer sur la r�alisation des r�sultats strat�giques. |
Afin d'att�nuer les risques associ�s � l'effectif, AAC a instaur� son Plan int�gr� des ressources humaines 2009-2012 ainsi que des strat�gies pluriannuelles connexes pour la dotation et le recrutement, l'�quit� en mati�re d'emploi et l'inclusivit�, ainsi que les langues officielles. Ce faisant, le Minist�re s'est efforc� de maintenir sa capacit� scientifique. Pour �viter la prolif�ration des r�gles, AAC a examin� toutes les politiques de dotation en vue d'�liminer les chevauchements et le d�doublement de l'information. Gr�ce � l'instauration d'un guichet unique (Acc�s direct aux ressources humaines), il est maintenant plus facile d'acc�der aux services des ressources humaines. AAC a particip� � des projets men�s en collaboration avec d'autres organismes f�d�raux en vue de partager des syst�mes administratifs. Ces efforts se poursuivront au cours des prochaines ann�es. |
Suffisance des syst�mes et de la technologie Les priorit�s et processus op�rationnels changeants risquent de ne pas obtenir le soutien voulu si des investissements dans les applications ne sont pas effectu�s de fa�on strat�gique � l'aide d'outils modernes de d�veloppement des applications. Il pourrait s'ensuivre une d�faillance de l'infrastructure ou une incapacit� � int�grer l'information pour faciliter le processus d�cisionnel. |
Les activit�s d'att�nuation progressent de mani�re satisfaisante. AAC a commenc� � mettre au point une architecture de base pour la gestion de l'information et la technologie de l'information en mettant l'accent sur la s�curit�. Le Minist�re a �galement modernis� ses pratiques de gestion des projets du Portefeuille conform�ment aux normes du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor, qui comprenaient un mod�le g�n�ral d'�tablissement des co�ts pour les services de soutien des applications partag�es. AAC a examin� ses instruments de politique en mati�re de la technologie de l'information (TI) et en a �labor� de nouveaux l� o� le besoin se faisait sentir. Les options de r�tablissement de la gestion de l'information et de la technologie de l'information (GI-TI) en cas de catastrophes li�es � la continuit� des activit�s et des services essentiels dans un d�lai de 48 heures ont �t� approuv�es, et l'�laboration du plan de mise en œuvre est commenc�e. |
D�penses pr�vues | Total des autorisations | D�penses r�elles |
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On constate une r�duction g�n�rale entre les d�penses pr�vues et le total des autorisations provoqu�e par la r�duction des exigences en mati�re de financement des programmes de gestion des risques de l'entreprise, principalement en raison du prix �lev� des produits de base. L'�cart entre le total des autorisations et les d�penses r�elles est attribuable � la demande annuelle de financement de programme pluriannuel ainsi que du calendrier de mise en œuvre des nouveaux programmes. La majorit� des fonds inutilis�s devrait �tre report�e � un exercice ult�rieur. | ||
3 331,3 | 2 918,3 | 2 674,8 |
Ressources pr�vues | Ressources r�elles1 | �cart2 |
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1 �quivalents � temps plein – T�moigne uniquement des ETP financ�s � m�me les cr�dits vot�s du Minist�re. Outre les ETP r�els (6 266), 25 ETP �taient employ�s par AAC pour effectuer des travaux de recherche financ�s dans le cadre d'ententes de recherche concert�e avec des partenaires de l'industrie et 9 ETP �taient financ�s par d'autres minist�res. De plus, 528 ETP suppl�mentaires �taient employ�s comme �tudiants. 2 Le nombre d'ETP est plus �lev� que pr�vu principalement en raison des ressources suppl�mentaires n�cessaires � l'�laboration du prochain cadre strat�gique pour l'agriculture, la cr�ation du Secr�tariat de l'acc�s aux march�s. Les ETP pr�vus ne refl�tent pas ces facteurs en raison du calendrier de pr�paration du Rapport sur les plans et les priorit�s. On compte en fait 14 ETP de moins que pour l'exercice 2009-2010, pour un total de 6 280 ETP. |
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6 086 | 6 266 | 180 |
Indicateurs de rendement | Objectifs | Rendement de 2010-2011 |
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* Les indices donn�s mesurent les progr�s agroenvironnementaux dans chacun des quatre domaines cl�s, soit le sol, l'eau, l'air et la biodiversit�. L'�chelle utilis�e pour ces indices est la suivante : 0-20 = Inacceptable; 21-40 = Mauvais; 41-60 = Moyen; 61-80 = Bon; et 81-100 = Souhaitable. L'objectif de 81-100, ainsi qu'une tendance d�montrant de la stabilit� ou des am�liorations, repr�sente la valeur d�sir�e de rendement du secteur. Les r�sultats sont fond�s sur des donn�es de 2006 publi�es en 2010 dans le document L'agriculture �cologiquement durable au Canada: S�rie sur les indicateurs agroenvironnementaux - Rapport n� 3. | ||
Qualit� du sol - Indice de rendement agroenvironnemental* | 81 d'ici le 31 mars 2030 | L'indice de la qualit� du sol �tait bon et a affich� une tendance � l'am�lioration. Ce r�sultat est attribuable � l'adoption accrue de pratiques de conservation et de travail du sol sans labour, � l'augmentation des cultures fourrag�res et des cultures de couverture permanentes et � l'utilisation r�duite des jach�res. |
Qualit� de l'eau - Indice de rendement agroenvironnemental* | 81 d'ici le 31 mars 2030 | L'indice de qualit� de l'eau �tait bon mais �tait en baisse. Ce r�sultat s'explique par l'augmentation globale des nutriments suppl�mentaires � cause de la hausse des terres en culture. |
Qualit� de l'air - Indice de rendement agroenvironnemental* | 81 d'ici le 31 mars 2030 | L'indice de la qualit� de l'air �tait bon et affichait une tendance � la hausse. Ce r�sultat est attribuable � l'adoption accrue de pratiques de conservation et de travail du sol sans labour, � l'augmentation des cultures fourrag�res et des cultures de couverture permanentes et � l'utilisation r�duite des jach�res. |
Qualit� de la biodiversit� - Indice agroenvironnemental* | 81 d'ici le 31 mars 2030 | L'indice de la biodiversit� �tait moyen (par rapport � l'indice agroenvironnemental), ce qui r�v�le une tendance � la stabilit�. |
Activit� de programme | D�penses r�elles 2009-2010 (en millions de dollars - montant net)1 |
2010-2011 (en millions de dollars - montant net) | Harmonisation avec les r�sultats vis�s par le gouvernement du Canada | |||
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Budget principal des d�penses2 | D�penses pr�vues3 |
Total des autorisations4 |
D�penses r�elles5 |
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Connaissances, technologies, information et �valuation sur le plan environnemental | 92,9 | 58,5 | 59,6 | 92,9 | 89,8 | Un environnement propre et sain |
Mesures � la ferme | 85,0 | 152,2 | 152,5 | 152,1 | 89,7 | |
Total | 178,0 | 210,7 | 212,1 | 245,0 | 179,6 |
Indicateurs de rendement | Objectifs | Rendement de 2010-2011 |
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Hausse de la contribution du secteur agricole et agroalimentaire (y compris la transformation des produits de la mer) au produit int�rieur brut (PIB), en dollars constants (dollars de 1997) | 10 % d'ici au 31 mars 2013 | Les progr�s r�alis�s en vue d'atteindre le r�sultat strat�gique sont satisfaisants. Entre 2009 et 2010, le PIB du secteur de l'agriculture et de la transformation agroalimentaire a grimp� de 1,5 % pour atteindre 44,9 milliards de dollars, une hausse attribuable � l'augmentation des prix des cultures agricoles et � l'augmentation de la valeur des exp�ditions de l'industrie alimentaire. |
Activit� de programme | D�penses r�elles 2009-2010 (en millions de dollars - montant net)1 |
2010-2011 (en millions de dollars - montant net) | Harmonisation avec les r�sultats vis�s par le gouvernement du Canada | |||
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Budget principal des d�penses2 | D�penses pr�vues3 |
Total des autorisations4 |
D�penses r�elles5 |
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Gestion des risques de l'entreprise | 1 508,2 | 1 678,9 | 1 996,2 | 1 477,6 | 1 452,5 | Une croissance �conomique forte |
Syst�mes de gestion des risques li�s � la salubrit� et � la bios�curit� des aliments | 98,1 | 150,3 | 154,8 | 144,8 | 95,2 | |
D�veloppement du commerce et des march�s | 100,5 | 116,3 | 116,3 | 123,0 | 93,4 | |
Facilitation de l'efficacit� de la r�glementation | 12,5 | 35,9 | 35,9 | 25,8 | 12,1 | |
Conseil des produits agricoles du Canada | 3,0 | 2,8 | 2,8 | 3,1 | 2,8 | |
Total | 1 722,2 | 1 984,1 | 2 306,0 | 1 774,4 | 1 656,1 |
Indicateurs de rendement | Objectifs | Rendement de 2010-2011 |
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Augmentation du pourcentage de d�veloppement d'aliments et d'autres produits et services agricoles mesur�e � l'aide 1) des revenus tir�s des ventes de bioproduits et 2) de la hausse du pourcentage des d�penses priv�es en recherche et d�veloppement (R-D) engag�es dans le secteur agroalimentaire, telle que mesur�e par le secteur de la transformation des aliments et celui des bioproduits (le pourcentage t�moigne d'une augmentation r�elle compte tenu de l'inflation) | 10 % d'ici le 31 mars 2014 | AAC r�alise des progr�s dans le cadre de cet objectif de quatre ans et il respecte ou d�passe m�me ses objectifs pour les programmes et les initiatives des activit�s de programme qui favorisent ce r�sultat strat�gique. Voir l'Analyse du rendement � la section II du pr�sent rapport pour obtenir une description des progr�s � ces niveaux inf�rieurs. |
Hausse de la valeur ajout�e nette en agriculture (la valeur ajout�e permet � Statistique Canada de mesurer le PIB valeur ajout�e du Canada) | 7 % d'ici le 31 mars 2014 | AAC r�alise des progr�s dans le cadre de cet objectif de quatre ans et il respecte ou d�passe m�me ses objectifs pour les programmes et les initiatives des activit�s de programme qui favorisent ce r�sultat strat�gique. Voir l'Analyse du rendement � la section II du pr�sent rapport pour obtenir une description des progr�s � ces niveaux inf�rieurs. |
Activit� de programme | D�penses r�elles 2009-2010 (en millions de dollars - montant net)1 |
2010-2011 (en millions de dollars - montant net) | Harmonisation avec les r�sultats vis�s par le gouvernement du Canada | |||
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Budget principal des d�penses2 | D�penses pr�vues3 |
Total des autorisations4 |
D�penses r�elles5 |
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Sciences, innovation et adoption | 275,7 | 404,4 | 408,8 | 368,0 | 360,3 | Une �conomie ax�e sur l'innovation et le savoir |
D�veloppement de l'agroentreprise | 48,6 | 64,1 | 72,9 | 148,9 | 104,3 | |
D�veloppement des r�gions rurales et d�veloppement des coop�ratives | 22,0 | 25,1 | 25,1 | 24,9 | 21,1 | |
Agence canadienne du pari mutuel | 0,7 | 0,4 | 0,4 | 4,6 | 1,0 | Un march� �quitable et s�curis� |
Total | 347,0 | 494,0 | 507,2 | 546,4 | 486,7 |
Activit� de programme | D�penses r�elles 2009-2010 (en millions de dollars - montant net)1 |
2010-2011 (en millions de dollars - montant net) | |||
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Budget principal des d�penses2 | D�penses pr�vues3 |
Total des autorisations4 |
D�penses r�elles5 |
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Services internes | 357,9 | 301,4 | 306,0 | 352,5 | 352,5 |
D�penses r�elles 2009-2010 (en millions de dollars - montant net)1 |
2010-2011 (en millions de dollars - montant net) | ||||
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Budget principal des d�penses2 | D�penses pr�vues3 |
Total des autorisations4 |
D�penses r�elles5 |
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D�penses totales du Minist�re | 2 605,2 | 2 990,1 | 3 331,3 | 2 918,3 | 2 674,8 |
Consultez la sous-section Profil des d�penses du pr�sent rapport pour obtenir une explication sur les �carts des d�penses totales du Minist�re.
1 Les d�penses r�elles correspondent aux d�penses r�elles engag�es au cours de l'exercice 2009-2010, telles que d�clar�es dans les Comptes publics de 2009-2010.
2 Les chiffres du Budget principal des d�penses correspondent aux montants inscrits dans le Budget principal des d�penses de 2010-2011.
3 Les d�penses pr�vues correspondent aux d�penses d�clar�es dans le Rapport sur les plans et les priorit�s (RPP) de 2010-2011. Les d�penses pr�vues tiennent compte des fonds d�j� inscrits dans les niveaux de r�f�rence du Minist�re ainsi que des montants qui seront autoris�s dans le cadre du processus budg�taire et qui sont pr�sent�s dans la Mise � jour annuelle des niveaux de r�f�rence. Elles comprennent �galement des rajustements totalisant 341,1 millions de dollars, qui ont �t� approuv�s dans le plan financier du gouvernement, mais qui n'ont pas encore �t� inclus dans les niveaux de r�f�rence du Minist�re au moment de la mise en place du Budget principal des d�penses.
4 Le total des autorisations repr�sente le Budget principal des d�penses de 2010-2011 plus une r�duction totale nette de 71,8 millions de dollars qui se compose du Budget suppl�mentaire des d�penses et des transferts d'affectations re�us durant l'exercice 2010-2011, ainsi que des rajustements des montants r�glementaires afin qu'ils correspondent aux d�penses r�elles, rajustements et transferts internes qui figurent dans les Comptes publics de 2010-2011.
5 Les chiffres relatifs aux d�penses r�elles repr�sentent les d�penses r�elles engag�es au cours de l'exercice 2010-2011, qui figurent dans les Comptes publics de 2010-2011. Dans certains cas, lorsque les montants autoris�s n'ont pas �t� d�pens�s, ils peuvent �tre report�s aux exercices futurs.
Les chiffres pr�sent�s dans le tableau ci-dessus ont �t� arrondis. Il est donc possible que leur somme ne corresponde pas aux totaux indiqu�s.
Les d�penses minist�rielles d'AAC fluctuent d'une ann�e � l'autre en fonction de la conjoncture dans le secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et des produits agro-industriels durant une p�riode donn�e. Les programmes d'AAC r�pondent directement aux facteurs sectoriels et �conomiques qui exigent le soutien de cette composante cruciale de l'�conomie. Bon nombre des programmes d'AAC sont d'ordre l�gislatif (c.-�-d. qu'ils sont approuv�s par le Parlement en vertu d'une loi habilitante) et les paiements qui s'y rattachent fluctuent en fonction des demandes et des exigences du secteur.
Des initiatives prises en vertu du Plan d'action �conomique du Canada (PAE) compl�tent les plans de d�penses d'AAC et soulignent le caract�re indispensable du secteur agricole et agroalimentaire pour l'�conomie canadienne. Des investissements cl�s ont aussi �t� faits pour aider les agriculteurs � exploiter au maximum les d�bouch�s et � en tirer des avantages financiers le plus vite possible, car il est entendu qu'ils ont un important r�le � jouer pour aider le Canada � se relever de la r�cession mondiale. En engageant de tels investissements, AAC s'est assur� qu'ils compl�taient les programmes de Cultivons l'avenir et s'y int�graient.
Des progr�s ont �t� r�alis�s dans le cadre des initiatives du PAE pour aider les entreprises agricoles du Canada, tandis que le gouvernement continue de mettre des fonds � la disposition du secteur. Le Fonds de flexibilit� pour l'agriculture a appuy� de nouvelles initiatives, � l'�chelle du gouvernement f�d�ral et en partenariat avec les provinces, les territoires et l'industrie, pour am�liorer la comp�titivit� du secteur. Dans le cadre du Programme d'am�lioration de l'abattage, 20 projets d'une valeur totale de 56 millions de dollars ont �t� approuv�s afin d'aider les installations de transformation et d'emballage des viandes rouges � rester comp�titives et accessibles pour les agriculteurs de partout au Canada. La Loi canadienne sur les pr�ts agricoles a facilit� l'acc�s au cr�dit pour les agriculteurs. Le transfert de la prestation du programme Agri-stabilit� aux provinces de la Colombie-Britannique et de la Saskatchewan a �t� mis en œuvre sans r�percussions s�rieuses pour le service � la client�le offert aux demandeurs du programme. L'Initiative de modernisation des laboratoires f�d�raux a permis la r�novation des installations dans huit laboratoires d'AAC. De plus, le Plan d'action acc�l�r� des sites contamin�s f�d�raux a men� � l'acc�l�ration des �valuations et des activit�s de restauration dans plusieurs sites, r�duisant ainsi les risques pour la sant� humaine et de l'environnement et les risques li�s � la responsabilit� pour le Minist�re. Pour obtenir de plus amples renseignements sur ces initiatives du le PAE, voir la section II.
Le graphique ci-dessous illustre la tendance des d�penses d'AAC dans le Budget principal des d�penses, les d�penses pr�vues, le total des autorisations et les d�penses r�elles entre 2008-2009 et 2010-2011.
Notes :
1 Les chiffres du Budget principal des d�penses sont ceux qui figurent dans le Budget principal des d�penses de chaque ann�e respective.
2 Les d�penses pr�vues sont celles qui figurent dans le Rapport sur les plans et les priorit�s de chaque ann�e respective. Les d�penses pr�vues correspondent aux fonds qui sont d�j� inscrits dans les niveaux de r�f�rence du Minist�re de m�me qu'aux fonds approuv�s dans le plan financier du gouvernement, mais qui ne sont pas encore inscrits dans les niveaux de r�f�rence du Minist�re au moment de la publication du Rapport sur les plans et les priorit�s de chaque ann�e respective. Les d�penses pr�vues ne tenaient pas compte des renseignements contenus dans le budget de 2008, 2009 ou 2010. Ces rajustements ont �t� effectu�s par la suite et figurent dans les d�penses totales autoris�es.
3 Le total des autorisations concorde avec le Budget principal des d�penses et les rajustements au titre du Budget suppl�mentaire des d�penses et des transferts d'affectations, des rajustements des montants l�gislatifs et des d�penses r�elles �quivalentes et des rajustements et des transferts internes, tels qu'ils figurent dans les Comptes publics.
4 Les d�penses r�elles repr�sentent les d�penses v�ritablement engag�es pendant l'exercice vis� et qui figurent dans les Comptes publics. Dans certains cas, les montants autoris�s non d�pens�s peuvent �tre report�s � des exercices ult�rieurs.
Au cours de la p�riode triennale 2008-2009 � 2010-2011, les d�penses r�elles et pr�vues et les d�penses autoris�es ont oscill� entre un minimum de 2,6 milliards de dollars en 2009-2010 et un maximum de 3,3 milliards de dollars en 2010-2011. Bien que la tendance des d�penses r�elles illustr�e ci-dessus soit g�n�ralement stable au cours de ces ann�es, les programmes et les initiatives varient d'ann�e en ann�e en fonction de la conjoncture du secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et des produits agro-industriels.
L'exercice 2009-2010 comprend les fonds attribu�s � l'industrie porcine pour favoriser une transition ordonn�e du secteur en vue de relever les nouveaux d�fis du march�, tandis que l'exercice 2010-2011 tient compte de l'aide d'urgence fournie aux producteurs touch�s par les inondations et les conditions d'humidit� excessive au printemps et � l'�t� 2010. En 2009-2010 et 2010-2011, le Minist�re a effectu� des investissements au titre du Plan d'action �conomique du Canada pour favoriser la relance de l'�conomie � la suite de la r�cession mondiale.
Le besoin de financement dans le cadre du programme de gestion des risques de l'entreprise a diminu� au cours des derni�res ann�es comparativement aux ann�es pr�c�dentes en raison des prix plus �lev�s des produits de base.
Les d�penses r�elles en 2010-2011 sont inf�rieures aux autorisations, et ce, en raison de plusieurs facteurs, notamment le moment choisi pour lancer certains programmes. Toutefois, la plupart des cr�dits non d�pens�s devraient �tre report�s � des exercices ult�rieurs.
Pour plus de renseignements sur les cr�dits et les d�penses l�gislatives de l'organisation, consultez la publication Comptes publics du Canada 2010-2011 (volume II).