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ARCHIVÉ - Diversification de l'économie de l'Ouest Canada

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Section IV - Autres points d'int�r�t

Langues officielles

Le Minist�re continue de remplir ses obligations aux termes de la Loi sur les langues officielles par son r�le dans la mise en œuvre du Plan d'action 2003-2008 pour les langues officielles du gouvernement du Canada et dans l'application de l'article 41 de la Loi, comme il est indiqu� dans le Plan d'action minist�riel.

Dans son Bulletin de rendement 2007-2008, le Commissariat aux langues officielles accorde une note globale de � B � (soit � bon �) au Minist�re, ce qui constitue une am�lioration marqu�e par rapport � son bulletin pr�c�dent. Le commissaire a salu� la contribution � exemplaire � de DEO au d�veloppement des collectivit�s de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM) et � la promotion de la dualit� linguistique au sein du Minist�re.

En 2007-2008, derni�re ann�e de son Plan d'action 2004-2008 pour la mise en œuvre de l'article 41 de la Loi sur les langues officielles, DEO a investi plus de 5 millions de dollars pour :

  • �tablir des partenariats dans le but de r�pondre aux priorit�s cern�es par les CLOSM;
  • soutenir les Organisations francophones � vocation �conomique (OFVE);
  • appuyer les projets des CLOSM.

Partenariats

Au cours du dernier exercice, le Minist�re a su garder le cap en ce qui a trait aux objectifs de d�veloppement �conomique et de viabilit� � long terme. Dans le cadre du programme de Partenariat interminist�riel avec les communaut�s de langues officielles (PICLO), DEO a collabor� avec Patrimoine canadien au financement de projets qui favorisent le d�veloppement �conomique et la durabilit� des CLOSM. Par exemple, en Colombie-Britannique, DEO et Patrimoine canadien ont fond� conjointement la Soci�t� de d�veloppement �conomique de la Colombie-Britannique. Celle-ci est charg�e de d�velopper le � Corridor touristique francophone de l'Ouest � (CTFO) et ainsi d'appuyer l'�panouissement d'une industrie touristique bilingue dans l'Ouest canadien gr�ce � la cr�ation et � la diss�mination de documents promotionnels en fran�ais. Ce projet tirera parti de l'attention internationale dont profitera la r�gion en raison de la tenue des Jeux Olympiques d'hiver de 2010 � Vancouver.

DEO a �galement collabor� avec Industrie Canada dans le cadre du Plan d'action sur les langues officielles du gouvernement du Canada en vue de la r�alisation d'une s�rie de projets pilotes d'enseignement � distance et de programmes de stages pour les jeunes dans l'Ouest canadien. En 2007-2008, DEO a fourni � un regroupement de quatre �tablissements d'enseignement de l'Ouest du Canada, dirig� par le Coll�ge universitaire de Saint-Boniface, du financement pour l'�laboration de six cours de formation en ligne en fran�ais. Le Minist�re a �galement aid� des organismes francophones de la r�gion � recruter 16 stagiaires pour des p�riodes allant de deux � douze mois.

Organisations francophones � vocation �conomique (OFVE)

DEO s'est assur� que l'on continue d'offrir aux entrepreneurs et aux petites entreprises francophones toute une gamme de services de qualit� en fournissant les fonds n�cessaires au fonctionnement des quatre OFVE. Ce partenariat, sous l'�gide plus vaste du R�seau de services aux entreprises de l'Ouest canadien (RSEOC), permet aux francophones de b�n�ficier de services � valeur ajout�e (p. ex. formation, acc�s aux capitaux, services d'information, r�seautage, conseils dans le domaine de la commercialisation). Les r�sultats de l'�tude sur l'impact des OFVE entreprise en mars 2008 seront publi�s � l'automne.

Soutien et financement de projets

En 2007-2008, DEO a appuy� la cr�ation de relations internationales pr�cieuses afin d'accro�tre les d�bouch�s sur les march�s mondiaux pour les entreprises canadiennes. Par l'entremise de l'Agence nationale et internationale du Manitoba (ANIM), le Minist�re a soutenu les activit�s suivantes dans le domaine du d�veloppement du commerce et de l'attraction des investissements : conclusion de partenariats en France, en Belgique et en Tunisie; fourniture de services de promotion des exportations aux entreprises manitobaines souhaitant r�aliser des �changes avec ces pays francophones; offre de services aux entreprises �trang�res souhaitant investir au Manitoba.

Mise en œuvre d'un programme de gestion moderne

Renforcer la responsabilisation envers les Canadiens

DEO a d�ploy� des efforts consid�rables en vue d'am�liorer ses pratiques de gestion, de fa�on � renforcer sa responsabilisation envers les Canadiens. Pour ce faire, il a profond�ment am�lior� les processus de planification qui doivent �tre �troitement int�gr�s � ses activit�s (notamment la planification des ressources humaines) et a harmonis� les activit�s de planification r�alis�es dans les diverses r�gions et les diff�rents bureaux du Minist�re. Les plans doivent cadrer avec les objectifs du Minist�re et contribuer � leur r�alisation. Les ententes sur le rendement des gestionnaires et du personnel tiennent compte des cibles �tablies dans le cadre du processus de planification.

DEO a r�organis� et am�lior� ses activit�s de v�rification interne et d'�valuation pour rem�dier aux lacunes qu'il avait relev�es et qui avaient �galement �t� cern�es dans le cadre du processus annuel d'�valuation du Cadre de responsabilisation de gestion. Il a ax� ses efforts sur le respect de la nouvelle politique du Conseil du Tr�sor sur la v�rification interne, de m�me que sur l'�laboration d'un cadre d'�valuation du rendement visant � faciliter la mesure des r�sultats de ses activit�s, conform�ment � la Politique sur la Structure de gestion des ressources et des r�sultats du Conseil du Tr�sor.

Gestion int�gr�e des risques

En 2007-2008, le Comit� directeur de la gestion int�gr�e des risques (GIR) a �labor� et mis en œuvre une s�rie d'initiatives. Il a entre autres ins�r� des �nonc�s de gestion int�gr�e des risques dans ses documents cl�s de reddition de comptes et charg� un comit� de hauts gestionnaires de pr�parer un profil de risque minist�riel (PRM). Par cons�quent, dans son Plan minist�riel d'activit�s et de ressources humaines 2008-2009, affich� dans la section Rapports et publications de son site Web, DEO harmonise son PRM � l'architecture des activit�s de programme.

Huit risques cl�s sont r�pertori�s dans le Profil des risques du Minist�re, et DEO s'est dot� d'un plan d'action o� sont d�crites les mesures d'att�nuation des risques, les responsabilit�s du Minist�re et ses obligations en mati�re de reddition de comptes. Le Minist�re a r�alis� des progr�s consid�rables dans ces huit domaines, et trois activit�s donnant suite au PRM sont d�crites dans les pratiques de gestion qui suivent : meilleure int�gration de la planification des ressources humaines, multiplication des initiatives d'apprentissage et am�lioration de la gestion de l'information et de la mesure du rendement. Il est encore trop t�t pour se prononcer sur les r�sultats obtenus par DEO gr�ce � la mise en œuvre de ces mesures d'att�nuation des risques, mais les prochains RMR traiteront de l'incidence de ces mesures sur l'am�lioration du rendement du Minist�re.

Int�gration de la planification des ressources humaines

En prenant appui sur les travaux entrepris dans la r�gion du Manitoba en 2005-2006, DEO a pr�par� son plan minist�riel d'activit�s pour 2007-2008, auquel s'ajoute un plan minist�riel de ressources humaines. Pour l'exercice 2008-2009, DEO a continu� d'am�liorer l'int�gration de son plan d'activit�s et de son plan de ressources humaines et a r�ussi � r�diger un Plan minist�riel d'activit�s et de ressources humaines pleinement int�gr�.

En 2007-2008, DEO-Manitoba a mis en œuvre un projet pilote de planification de la rel�ve pour combler des postes de cadres et de gestionnaires. En 2007-2008, les autres r�gions ont entrepris leur planification de la rel�ve pour les postes de cadres, et elles poursuivront cet exercice pour les postes d'autres niveaux en 2008-2009.

R�sultats de l'initiative d'apprentissage

DEO a continu� de mettre l'accent sur l'apprentissage continu et le perfectionnement en �tablissant une politique d'apprentissage, une strat�gie d'apprentissage et des priorit�s pour 2007-2008, ainsi qu'un calendrier d'apprentissage minist�riel que les employ�s peuvent consulter sur l'intranet du Minist�re. En outre, 91 p. 100 des employ�s du Minist�re ont rempli leur plan d'apprentissage personnel, ce qui correspond � une augmentation par rapport � 2006-2007 (70 p. 100).

DEO a continu� d'axer ses efforts sur la formation obligatoire en instaurant des cours sur la d�l�gation des pouvoirs � l'intention de tous les gestionnaires, et en nommant et formant des experts fonctionnels. Le Minist�re a �galement tenu son engagement visant � mettre en place des cours sur les comp�tences essentielles, la mani�re de donner et de recevoir de la r�troaction et les relations de travail.

Un des objectifs consistait � pr�parer une trousse d'orientation destin�e aux nouveaux employ�s, notamment un module d'orientation en ligne, un guide sur l'orientation des nouveaux employ�s destin� aux gestionnaires, un passeport d'employ� et une s�ance d'orientation d'une journ�e. Ces modules ont �t� valid�s au d�but de 2007-2008 et ont �t� instaur�s en juillet 2008.

Am�lioration de la gestion de l'information

DEO a continu� de perfectionner son syst�me personnalis� de gestion en ligne de l'information sur les projets de subventions et de contributions, appel� Portail de projets. Cette ann�e, il l'a adapt� de fa�on � faciliter la reddition de comptes sur les normes de service et la gestion de l'initiative de lutte contre le dendroctone du pin ponderosa. Le Portail de projets contribue � la normalisation des pratiques commerciales et des proc�d�s au sein du Minist�re, ce qui favorise l'efficience, la conformit�, la transparence et la responsabilisation.

Le Minist�re s'est en outre procur� le syst�me RedDot pour g�rer le contenu de son site Web, conform�ment � son programme de gestion de l'information (GI). Gr�ce � cette nouvelle fonctionnalit�, il est en mesure de produire et de publier l'information publique de fa�on plus efficiente. L'adoption de ce syst�me lui a en outre permis de se conformer aux normes du gouvernement du Canada sur la normalisation des sites Internet.

Au cours des prochains exercices, DEO mettra en place de nouvelles fonctionnalit�s du Portail de projets et prendra des mesures en vue de la gestion panminist�rielle des documents �lectroniques, conform�ment aux politiques du gouvernement du Canada en mati�re de GI et de TI.

Le�ons retenues

�valuation

Au cours de la p�riode, trois �valuations ont �t� r�alis�es. Elles portaient sur deux initiatives dirig�es par d'autres minist�res, auxquelles DEO a particip� activement, et une relevant de la comp�tence de DEO.

  1. �valuation formative du Fonds sur l'infrastructure municipale rurale(FIMR), dirig� par Infrastructure Canada - Bien qu'il soit trop t�t pour se prononcer objectivement sur les r�sultats de cette initiative, l'�valuation semble indiquer que la conception et la prestation du FIMR en font un m�canisme appropri� de soutien du d�veloppement de l'infrastructure municipale rurale par le gouvernement f�d�ral et divers partenaires. L'�valuation souligne toutefois les � le�ons retenues � suivantes, destin�es � am�liorer l'efficacit� du FIMR, le�ons dont le Minist�re va tenir compte :
    • Mesure du rendement - Les indicateurs de rendement originaux du FIMR n'ont pas �t� utilis�s syst�matiquement dans le cadre de la prestation et de la surveillance du fonds. En outre, la r�partition des obligations redditionnelles entre Infrastructure Canada et les comit�s de gestion r�gionaux �tait mal d�finie. L'�valuateur a recommand� que soit d�fini un ensemble d'indicateurs de rendement obligatoires et que soit clarifi�e la reddition de comptes sur le rendement.
    • Gestion des risques - L'examen des demandes tient compte de la gestion des risques. Cependant, au stade de la surveillance du projet, la gestion des risques n'est effectu�e que de fa�on informelle et r�active. Les municipalit�s ne semblent pas bien savoir g�rer les risques au moment de la mise en œuvre des projets d'infrastructure. L'�valuateur a recommand� que les futurs programmes renforcent la capacit� des municipalit�s � rep�rer les risques et � les g�rer de fa�on proactive.
  2. �valuation sommative de l'Initiative de repr�sentation accrue (IRA) aux �tats-Unis, dirig�e par le MAECI - Cette nouvelle initiative pangouvernementale pourrait constituer un bon moyen de veiller � ce que l'atteinte des objectifs strat�giques g�n�raux du Canada aux �tats-Unis soit facilit�e par l'adoption d'une approche globale qui t�moigne de la complexit� des relations entre le Canada et les �tats-Unis. Plusieurs enseignements ont �t� tir�s de cette initiative :
    • Conception - Les partenaires ont convenu d'utiliser le Cadre de gestion et de responsabilisation ax� sur les r�sultats (CGRR), mais l'�valuation a r�v�l� qu'ils h�sitaient � appliquer certaines de ses composantes. Les �valuateurs ont conclu qu'il faudrait, dans la nouvelle IRA, r�affirmer l'engagement des partenaires � l'�gard de la vision et de l'objectif du programme, qui devront trouver une expression dans le CGRR, la gouvernance, la dotation en personnel, etc.
    • Gouvernance - �tant donn� l'importance que rev�t la gouvernance des initiatives horizontales, les �valuateurs ont conclu qu'il fallait insister davantage sur le r�le des comit�s de sous-ministres et de sous-ministres adjoints, qui doivent assister le comit� des directeurs g�n�raux dans l'application de l'initiative.
    • Gestion du rendement - Bien qu'ils se soient entendus sur un cadre de gestion du rendement pour l'IRA, les partenaires n'ont pas su �laborer un processus pour l'application de ce cadre, �tape essentielle pour la responsabilisation et l'apprentissage n�cessaires au sein des initiatives horizontales.
  3. Programme de diversification de l'�conomie de l'Ouest (PDEO) - L'�valuation a abouti aux recommandations suivantes, visant � am�liorer l'effficacit� du PDEO, que DEO mettra en œuvre :
    • Pertinence - Le Minist�re doit pr�server le niveau de souplesse actuel dans la prochaine conception et prestation du programme.
    • Succ�s - Le Minist�re doit am�liorer les processus de mesure du rendement afin de cerner les liens qui existent entre les r�sultats strat�giques et les activit�s du programme. Le Minist�re doit aussi mettre au point un processus destin� � effectuer le suivi des projets apr�s la fin du financement du PDEO afin de d�terminer les retomb�es � long terme. Enfin, le Minist�re doit continuer d'avoir recours au PDEO pour renforcer les partenariats actuels et en cr�er de nouveaux.
    • Conception et administration - Le Minist�re doit am�liorer le processus de surveillance afin de s'assurer que les rapports des clients montrent les r�sultats obtenus en fonction d'indicateurs de projet. Le Minist�re doit aussi am�liorer les bases de donn�es afin de s'assurer que tous les renseignements pertinents ont �t� recueillis et mis � jour.

V�rification

Cinq v�rifications ont �t� effectu�es au cours de la p�riode. Trois visaient des programmes de subventions et de contributions de DEO, soit le Programme de pr�ts et d'investissements, l'Initiative pour les femmes entrepreneurs et l'administration des subventions et des contributions. Les deux autres visaient l'administration et l'application des frais de voyage et des pratiques en mati�re d'accueil. La v�rification de l'administration des subventions et des contributions a r�v�l� que, de fa�on g�n�rale, les proc�dures appliqu�es par DEO �taient efficaces et que le Minist�re les am�liorait sans cesse en s'appuyant sur les r�sultats des v�rifications effectu�es. Selon toutes ces v�rifications, le Minist�re satisfait � ses propres exigences et � celles du Conseil du Tr�sor. Les recommandations, qui concernaient des am�liorations mineures � apporter � l'administration, sont actuellement mises en œuvre.

Mesure du rendement

DEO continue de chercher des solutions aux probl�mes que pose la mesure du rendement et tire des enseignements de chaque �tape de la mise en œuvre du cadre de mesure du rendement qu'il a �labor� pour soutenir l'architecture des activit�s de programme. Ces probl�mes d�coulent principalement du fait que les r�sultats des activit�s du Minist�re ne sont souvent pas le fruit d'une intervention directe de DEO, mais sont plut�t obtenus � long terme par les b�n�ficiaires du financement qu'il offre. Pour rem�dier � cette difficult�, DEO proc�de � un examen r�gulier de son cadre de mesure du rendement et de ses indicateurs, am�liore la base de donn�es d'o� sont tir�s les renseignements sur les r�sultats, et offre une formation continue � son personnel. DEO consulte fr�quemment le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor et les autres minist�res du gouvernement du Canada, particuli�rement les autres organismes de d�veloppement r�gional, et apporte des modifications � ses activit�s en s'appuyant sur ces consultations.

R�troaction des parties int�ress�es

DEO profite de diverses tribunes pour engager un dialogue avec les parties int�ress�es, dans le but de d�couvrir leur opinion sur les occasions � saisir et les risques existants. En 2007-2008, Ekos Research Associates a r�alis�, � la demande de DEO, un sondage sur la satisfaction de la client�le du Minist�re. Dans le cadre de ce sondage, conforme aux lignes directrices sur les outils de mesures communes, Ekos a interrog� 318 clients qui avaient entretenu des relations avec le Minist�re au cours des douze mois pr�c�dents. Du total, 87 p. 100 se disaient g�n�ralement satisfaits de la qualit� de la prestation des services et de leur accessibilit�. Seulement 75 p. 100 �taient satisfaits de la rapidit� de la prestation des services. Par ailleurs, 76 p. 100 affirmaient avoir re�u, en fin de compte, les services requis. Les relations avec les clients et le niveau de connaissance du personnel �taient quelques-uns des atouts du Minist�re. Parmi les points � am�liorer, on comptait la dur�e du processus de demande et la fourniture de renseignements en temps opportun.

Toutes les �valuations effectu�es par DEO pr�voient la r�alisation de sondages et la participation des parties int�ress�es et des principales sources d'information. L'�valuation du Programme de diversification de l'�conomie de l'Ouest a indiqu� que globalement 76,6 p. 100 des clients ayant particip� au sondage �taient satisfaits des processus de s�lection, d'approbation et de surveillance et de paiement des projets actuellement utilis�s par le PDEO. Parmi eux, 23,3 p. 100 ont appr�ci� le niveau de communication entretenu avec le personnel. Par contre, la nature compliqu�e du processus d'�tablissement des rapports (4,2 p. 100) et la longueur du processus d'approbation (4,1 p. 100) ont grandement contribu� au taux d'insatisfaction. Selon les r�sultats pr�liminaires de l'�valuation en cours du Programme de d�veloppement des collectivit�s, la client�le de DEO appuie fortement ce programme et est tr�s satisfaite de son administration et de sa prestation. Les r�sultats finals ne seront connus que lorsque le rapport final sera approuv�, puis affich� sur le site Web du Minist�re.

Au d�but de 2008, DEO a entrepris avec des protagonistes de l'ext�rieur du Minist�re et des sp�cialistes un processus interactif exclusif (Challenge Dialogue System) visant � multiplier les occasions de mise en commun d'id�es. Au total, on a demand� l'opinion de 215 parties int�ress�es bien inform�es sur trois questions, � savoir la diversification de l'�conomie des r�gions rurales, la transformation � valeur ajout�e, ainsi que la productivit� et la comp�titivit�. Le taux de r�ponse s'est �tabli � 25 p. 100. Le comit� ex�cutif de DEO tiendra compte des occasions cern�es gr�ce � ce processus dans l'�laboration des politiques, des strat�gies et des plans d'action de fa�on � orienter les activit�s du Minist�re dans ces trois domaines.