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Le Rapport minist�riel sur le rendement de 2010-2011 r�sume les r�alisations du Service administratif des tribunaux judiciaires (SATJ). Il pr�sente nos travaux en
cours afin de fournir des services administratifs adapt�s et modernes � quatre cours sup�rieures f�d�rales distinctes, tout en assurant l’ind�pendance du pouvoir judiciaire par rapport au gouvernement. Nous veillons � ce que le public ait acc�s de fa�on rapide et �quitable aux processus judiciaires et nous aidons les
tribunaux � obtenir des r�sultats qui importent aux Canadiens lorsqu’ils rendent des d�cisions touchant aux questions �conomiques, sociales, internationales
et aux affaires gouvernementales.
Depuis mon arriv�e en f�vrier 2011, je travaille avec la haute direction du SATJ � l’�laboration de diverses approches et de divers m�canismes pour stabiliser notre situation financi�re et am�liorer la prestation des services. Nous avons concentr� nos efforts sur la s�curit�, les technologies de l’information, les ressources, la gouvernance et les communications, ainsi que sur notre capacit� � respecter les exigences en mati�re de politiques et de rapports.
Je suis satisfait des progr�s accomplis en 2010-2011 et impressionn� par le d�vouement de nos employ�s. Le SATJ fonctionne avec des ressources limit�es et sous la pression d’une lourde charge de travail depuis plusieurs ann�es, tout en recherchant rigoureusement les innovations et les am�liorations qui permettent de r�pondre aux attentes des juges, des juristes, des parties aux litiges et du grand public. Les d�fis qui nous attendent sont clairs, et nous sommes d�termin�s � continuer de les relever de mani�re collaborative et strat�gique. � cette fin, je travaille en �troite collaboration avec les quatre juges en chef, qui ont approuv� les approches que nous adoptons. Je continuerai de demander leurs conseils pour nous aider � identifier nos priorit�s et �laborer nos strat�gies.
En adoptant un plan pluriannuel de renforcement de nos syst�mes de technologies de l’information et de nos syst�mes de gestion, le SATJ travaille � jeter les bases d’une vaste gamme d’am�liorations des services et de la s�curit�. Nous soulignons �galement avec fiert� les progr�s importants r�alis�s au chapitre de notre strat�gie de gestion du personnel et notre engagement continu � renforcer la planification et � am�liorer notre responsabilisation quant � l’utilisation des deniers publics pour soutenir l’administration des tribunaux.
En conclusion, je tiens � souligner le professionnalisme et l’engagement de nos employ�s dans leur travail soutenu. Je tiens �galement � remercier les juges en chef et tous les juges pour leur appui.
Daniel Gosselin, L’administrateur en chef
Le Service administratif des tribunaux judiciaires (SATJ) a �t� cr�� le 2 juillet 2003, au moment de l’entr�e en vigueur de la Loi sur le Service administratif des tribunaux judiciaires, L.C. 2002, ch. 8. La Loi a fusionn� les anciens greffes et services internes de la Cour f�d�rale du Canada et de la Cour canadienne de l’imp�t. Les cours ont �t� cr��es par le Parlement du Canada en vertu du pouvoir d’�tablir des tribunaux � pour la meilleure administration des lois du Canada �, pouvoir conf�r� par l’article 101 de la Loi constitutionnelle de 1867.
Le r�le du SATJ est de fournir, de mani�re efficace, des services de greffe, des services judiciaires et des services internes � quatre cours sup�rieures d’archives, soit la Cour d’appel f�d�rale, la Cour f�d�rale, la Cour d’appel de la cour martiale du Canada et la Cour canadienne de l’imp�t. La Loi accro�t l’ind�pendance judiciaire en chargeant un organisme ind�pendant du gouvernement du Canada d’assurer les services administratifs des tribunaux et accro�t la responsabilit� � l’�gard de l’utilisation de fonds publics.
On s’accorde dans tous les pays pour dire que la meilleure fa�on d’assurer les services administratifs et de greffe est au moyen d’un organisme ind�pendant du gouvernement.
Le SATJ respecte l’ind�pendance dont jouit chaque tribunal judiciaire dans la conduite de ses activit�s et s’efforce d’assurer � chacun des services administratifs et des services de greffe de qualit�.
Les t�ches du SATJ
Pour faciliter l’acc�s des parties aux tribunaux, le SATJ compte environ 610 employ�s r�partis dans dix bureaux permanents �tablis dans les villes suivantes : Halifax, Fredericton, Qu�bec, Montr�al, Ottawa, Toronto, Winnipeg, Calgary, Edmonton et Vancouver. Le SATJ dispose �galement d’un bureau auxiliaire � London, Ontario. Gr�ce � des ententes avec diverses administrations provinciales et territoriales (Terre-Neuve-et-Labrador, �le-du-Prince-�douard, Nouveau-Brunswick, Saskatchewan, Nunavut, Territoires du Nord-Ouest et Yukon), le SATJ offre des services de greffe et un acc�s � des salles d’audience.
L’ind�pendance judiciaire est une pierre angulaire du syst�me judiciaire canadien. L’impartialit� des juges et l’acc�s � la justice sont essentiels � une soci�t� libre et d�mocratique. Ainsi, le syst�me constitutionnel du Canada repose sur trois branches s�par�es mais interd�pendantes : l�gislative, ex�cutive et judiciaire. Chaque branche jouit d’un degr� d’ind�pendance et d’autonomie n�cessaire par rapport aux autres. L’ind�pendance du pouvoir judiciaire permet aux juges de rendre des d�cisions fond�es uniquement sur les faits et le droit, libres de toute interf�rence ou influence indue de quelque provenance que ce soit, notamment des int�r�ts priv�s ou des pressions politiques. L’ind�pendance judiciaire a trois aspects : la s�curit� de mandat, la s�curit� financi�re et l’ind�pendance administrative.
Alors que le SATJ rend compte au Parlement par l’interm�diaire du ministre de la Justice, il joue un r�le essentiel en assurant l’ind�pendance des tribunaux par rapport au gouvernement du Canada. Ce mod�le aide le SATJ � rehausser l’ind�pendance des tribunaux et � accro�tre la confiance du public � l’�gard de nos institutions.
Le SATJ a un r�sultat strat�gique, appuy� par trois activit�s de programme :
R�sultat strat�gique : Le public a acc�s de fa�on rapide et �quitable aux processus judiciaires de la Cour d’appel f�d�rale, de la Cour f�d�rale, de la Cour d’appel de la cour martiale du Canada et de la Cour canadienne de l’imp�t. |
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ACTIVIT� DE PROGRAMME |
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Services du greffe |
Services judiciaires |
Prestation de services de greffier - Cour d’appel f�d�rale et Cour d’appel de la cour martiale du Canada, Cour f�d�rale et Cour canadienne de l’imp�t; |
Services des cadres judiciaires |
Services internes |
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Services de gestion et de surveillance, |
D�pass�e : Plus de 100 p. 100 du niveau de rendement attendu (comme d�montr� par l’indicateur et la cible ou les activit�s et r�sultats pr�vus) pour la priorit� ou le r�sultat pr�cis� dans le Rapport sur les plans et les priorit�s (RPP) correspondant a �t� atteint au cours de l’exercice.
Enti�rement atteinte : 100 p. 100 du niveau de rendement attendu (comme d�montr� par l’indicateur et la cible ou les activit�s et r�sultats pr�vus) pour la priorit� ou le r�sultat pr�cis� dans le RPP correspondant a �t� atteint au cours de l’exercice.
Atteinte en grande partie : De 80 p. 100 � 99 p. 100 du niveau de rendement attendu (comme d�montr� par l’indicateur et la cible ou les activit�s et r�sultats pr�vus) pour la priorit� ou le r�sultat pr�cis� dans le RPP correspondant a �t� atteint au cours de l’exercice.
Passablement atteinte : De 60 p. 100 � 79 p. 100 du niveau de rendement attendu (comme d�montr� par l’indicateur et la cible ou les activit�s et r�sultats pr�vus) pour la priorit� ou le r�sultat pr�cis� dans le RPP correspondant a �t� atteint au cours de l’exercice.
Non atteinte : Moins de 60 p. 100 du niveau de rendement attendu (comme d�montr� par l’indicateur et la cible ou les activit�s et r�sultats pr�vus) pour la priorit� ou le r�sultat pr�cis� dans le RPP correspondant a �t� atteint au cours de l’exercice.
Priorit� Initiatives relatives � l’am�lioration des services |
Type1a Continu |
R�sultat strat�gique Le public a acc�s de fa�on rapide et �quitable aux processus judiciaires de la Cour d’appel f�d�rale, de la Cour f�d�rale, de la Cour d’appel de la cour martiale du Canada et de la Cour canadienne de l’imp�t |
�tat : Atteinte en grande partie Bien que la qualit� des services de greffe offerts dans l’ensemble du pays soit �lev�e, les employ�s recherchent continuellement des points � am�liorer, afin d’accro�tre la satisfaction de nos clients. Durant la p�riode couverte par le pr�sent rapport, une attention particuli�re a �t� accord�e aux quatre volets suivants : Processus du greffe et formation op�rationnelle
R�ponses aux besoins des clients
Normes de service
Am�liorations technologiques
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Priorit� Investir dans nos employ�s |
Type1b Nouveau |
R�sultat strat�gique Le public a acc�s de fa�on rapide et �quitable aux processus judiciaires de la Cour d’appel f�d�rale, de la Cour f�d�rale, de la Cour d’appel de la cour martiale du Canada et de la Cour canadienne de l’imp�t |
�tat : Enti�rement atteinte
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Priorit� Faciliter la planification et renforcer l’obligation de rendre compte |
Type1c Continu |
R�sultat strat�gique Le public a acc�s de fa�on rapide et �quitable aux processus judiciaires de la Cour d’appel f�d�rale, de la Cour f�d�rale, de la Cour d’appel de la cour martiale du Canada et de la Cour canadienne de l’imp�t |
�tat : Atteinte en grande partie
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Dans son rapport sur les plans et les priorit�s pour 2010-2011, le SATJ a d�sign� la gestion du risque comme une priorit�. En cons�quence, le SATJ a int�gr� la gestion du risque dans ses processus de planification et de rapport � travers sa planification int�gr�e des activit�s. Aux fins de ce processus, le SATJ a proc�d� � des analyses des milieux pour recenser les principaux risques et les difficult�s possibles et instaurer un ensemble d’outils et de cadres de gestion du risque. Le SATJ est dor�navant en mesure d’appliquer une approche int�gr�e et continue de gestion des risques strat�giques et op�rationnels.
Durant l’exercice vis� par le rapport, le SATJ a adopt� un profil de risque de l’organisation (PRO). Ce PRO met l’accent sur dix grands secteurs de risque, pour lesquels diverses strat�gies d’att�nuation ont �t� �labor�es. Les points saillants des principaux risques qui menacent le SATJ sont r�sum�s dans les paragraphes qui suivent.
Il importe de souligner que certains des risques qui menacent le SATJ pourraient en fin de compte nuire � sa capacit� de soutenir les cours et les juges en chef quit sont responsables d’assurer un acc�s rapide et �quitable � l’appareil judiciaire.
Les perc�es continuelles de la technologie posent un risque pour tous les minist�res f�d�raux, et le SATJ ne fait pas exception. Les syst�mes de TI exigent des investissements continus dans le mat�riel et les logiciels, et dans les employ�s qui les administrent. Le maintien de la s�curit� de ces syst�mes exige qu’on accorde une attention particuli�re aux pratiques adopt�es par les utilisateurs des syst�mes et qu’on mette en œuvre des m�thodes pour pr�venir les dommages. Comme la majorit� des organismes gouvernementaux, le SATJ d�pend de ses syst�mes de TI pour maintenir son fonctionnement et assurer la s�curit� des renseignements dont il a la garde. La pr�vention des interruptions de fonctionnement de ces syst�mes est essentielle pour le maintien des activit�s des tribunaux et du soutien que le SATJ leur fournit.
En cons�quence, le SATJ a mis � jour ses �valuations des risques et des menaces pour d�terminer les points vuln�rables et prendre les mesures correctrices qui s’imposent. Le SATJ a commenc� par le renouvellement des infrastructures de TI qui �taient v�tustes et vuln�rables. Pour d�gager les ressources n�cessaires, il a fallu mettre en attente plusieurs projets d’am�lioration des services reposant sur l’informatique, mais il �tait urgent de mettre � jour des infrastructures critiques des TI. Il �tait imp�ratif d’assurer la continuit� du fonctionnement des cours f�d�rales, d’assurer la s�curit� et l’efficacit� des activit�s et de respecter les exigences impos�es par la loi.
Les pires pressions financi�res durant l’exercice vis� par le rapport d�coulent de l’obligation faite au SATJ de supporter le co�t d’un certain nombre de postes judiciaires auparavant financ�s par la r�serve de gestion du Conseil du Tr�sor. Ce financement temporaire a pris fin en 2009-2010. Depuis, il a fallu retirer des montants consid�rables de certains domaines prioritaires pour les attribuer � cette activit� essentielle.
Aussi, les attentes de plus en plus importantes de la magistrature et des parties, s’ajoutant aux obligations de se conformer aux exigences impos�es par la loi et par le Conseil du Tr�sor, ont menac� la capacit� du SATJ de respecter les obligations que lui impose son mandat avec les moyens dont il dispose pr�sentement. � la longue, si cette situation n’est pas r�gl�e, elle pourrait perturber le fonctionnement des tribunaux.
Pour r�gler ce probl�me, le SATJ a relev� les secteurs cl�s ayant besoin de fonds permanents additionnels pour r�duire les risques et lui permettre d’ex�cuter son mandat principal. On a �tabli qu’il faudrait consacrer environ dix millions de dollars de plus par ann�e � une s�rie d’activit�s pour assurer l’int�grit� de l’ensemble du programme, notamment dans le secteur hautement prioritaire de l’infrastructure des TI, des syst�mes des activit�s du greffe et des cours, de la s�curit� des tribunaux et des exigences de responsabilisation impos�es au SATJ. La demande a �t� partiellement satisfaite par des augmentations budg�taires progressives de 2,65 millions de dollars en 2011-2012 � trois millions de dollars continus d’ici 2016-2017, selon les dispositions du budget f�d�ral de 2011.
En 2010-2011, le SATJ a r�pondu aux pressions financi�res auxquelles il est soumis en canalisant ses efforts seulement aux aspects les plus indispensables, en sollicitant des fonds temporaires dans la mesure du possible et en r�affectant les fonds disponibles vers les domaines prioritaires, comme son infrastructure des TI.
Le fait que pr�s de 80 p. 100 du co�t de fonctionnement non salarial du SATJ est constitu� de d�penses contractuelles pour les services obligatoires de soutien de l’appareil judiciaire et des audiences des tribunaux cr�e une difficult� suppl�mentaire. Ces co�ts fluctuent selon le nombre et le type d’affaires entendues chaque ann�e. Une strat�gie de gestion du risque a �t� institu�e pour surveiller ces co�ts et att�nuer leurs fluctuations et leurs incidences sur d’autres secteurs cl�s.
Compte tenu de la nature de leur travail, les employ�s du SATJ et les membres de la magistrature peuvent �tre expos�s � des situations mena�antes et intimidantes. Les vuln�rabilit�s dans la s�curit� physique n�cessitent notre attention et exigent une solution permanente pour prot�ger les personnes, les biens et les services.
Pour assurer la s�ret� et la s�curit� des membres de la magistrature et des employ�s, le SATJ a �labor� une strat�gie nationale de s�curit�. L’organisation travaille � la mise en place de v�rifications et de mesures (des proc�dures et de l’�quipement) de pr�vention, de d�pistage, d’intervention et de reprise des activit�s uniformis�es � la grandeur du SATJ.
La gestion de l’information (GI) est une priorit� de fonctionnement cl� du SATJ et des tribunaux, les dossiers sont volumineux et leurs la cr�ations, leurs gestions et leurs entreposages exigent des ressources importantes. Toute perte de dossiers, sur support papier ou informatique, pourrait gravement perturber les quatre tribunaux, qui sont de par la loi des cours d’archives. Le SATJ doit pouvoir soutenir le Plan d’action du Conseil canadien de la magistrature en mati�re de s�curit� des renseignements judiciaires et instaurer les mesures de s�curit� de GI n�cessaires pour bien prot�ger et administrer les dossiers et l’information. De m�me, le SATJ doit pouvoir concevoir, mettre en œuvre et maintenir des politiques, des pratiques et des outils de gestion de l’information.
Le RPP de 2010-2011 rel�ve, parmi les principaux risques, l’incapacit� possible d’attirer des employ�s et de les garder en poste. Le SATJ a besoin d’employ�s tr�s sp�cialis�s, comp�tents et motiv�s. Plusieurs des comp�tences dont nous avons besoin se retrouvent uniquement dans le monde judiciaire ou parajudiciaire, et les exigences impos�es aux employ�s sont �lev�es. Pour pourvoir les postes vacants cl�s et assurer une bonne planification de la rel�ve, le SATJ a mis en place plusieurs nouvelles strat�gies. Il a incit� les gestionnaires � discuter d’affectations int�rimaires lors de l’�laboration des plans d’apprentissage personnel et lors des �valuations de rendement. Pour promouvoir le perfectionnement des employ�s, au lieu de pourvoir imm�diatement les postes vacants, des affectations int�rimaires par roulement ont �t� offertes. On a eu plus fr�quemment recours aux � d�clarations d’int�r�t � afin d’offrir aux employ�s des possibilit�s int�rimaires de perfectionnement, et un plus grand nombre d’activit�s de formation, de mentorat et de coaching ont �t� mises � la disposition des employ�s pour les aider � se pr�parer � ces concours.
Confront� � des contraintes financi�res de plus en plus importantes et � un roulement �lev� de ses gestionnaires sup�rieurs, le SATJ a concentr� ses activit�s sur les principaux probl�mes et amorc� des projets pour pallier aux risques critiques. Au centre des efforts du SATJ figure le maintien des services du greffe, des services judiciaires et des services internes de qualit� malgr� la pr�carit� de sa situation financi�re. Les principales pr�occupations consistaient � r�gler les risques critiques qui mena�aient l’infrastructure de la technologie de l’information, � perfectionner nos employ�s et � mettre au point un cadre int�gr� de gestion du risque et le profil de risque pour l’organisation.
D�penses pr�vues | Total des autorisations | D�penses r�elles |
---|---|---|
59,7 | 64,9 | 63,6 |
Ressources pr�vues | Ressources r�elles | �cart |
---|---|---|
615 | 617 | +2 |
Il y a un �cart de 5,2 millions de dollars entre le total des autorisations et les d�penses pr�vues. La plus grande partie de cet �cart vient des fonds suppl�mentaires obtenus pour administrer les dossiers contenant des renseignements classifi�s aux termes de la section 9 de la partie 1 de la Loi sur l’immigration et la protection des r�fugi�s (2,9 millions de dollars) et pour soutenir la r�forme du syst�me canadien de d�termination du statut de r�fugi� (0,5 million de dollars). Le SATJ a �galement obtenu des fonds suppl�mentaires au titre des conventions collectives (0,1 million de dollars), des besoins salariaux (0,8 million de dollars), du report prospectif du budget de fonctionnement (0,8 million de dollars) et des rajustements aux avantages sociaux des employ�s (0,5 million de dollars). Des fonds ont �galement �t� retourn�s du fait des mesures de r�duction des d�penses du budget suppl�mentaire des d�penses de 2010 (0,4 million de dollars).
L’�cart entre le total des autorisations et les d�penses r�elles est de 1,3 million de dollars. De ce montant, 0,5 million de dollars sont attribuables aux fonds mis en r�serve par le Conseil du Tr�sor dans le budget du SATJ pour appuyer la r�forme du syst�me canadien de d�termination du statut de r�fugi�. Toutefois, le SATJ n’avait pas l’autorisation d’utiliser ces fonds avant la nomination d’un nouveau juge. Comme il n’y a pas eu de nomination judiciaire au cours de l’exercice, les fonds inutilis�s par le Service ont fait l’objet d’une p�remption forc�e.
Le reste de l’�cart, soit 0,8 million de dollars, est caus� par les facteurs suivants :
Enfin, � cause des mesures de r�duction des d�penses et du gel des budgets de fonctionnement, le nombre d’employ�s a tr�s peu augment�.
Le SATJ n’a qu’un seul r�sultat strat�gique, appuy� par trois activit�s de programme :
Indicateurs de rendement | Objectifs | Rendement en 2010-2011 |
---|---|---|
Taux de satisfaction � l’�gard du SATJ, quant � l’acc�s exprim� par les partis participant au processus judiciaire | Sondage aupr�s de la client�le et des juges – Taux de satisfaction de 85 p. 100 | Le sondage a �t� �labor�, mais n’a pas eu lieu � cause de la p�nurie des ressources et des fonds n�cessaires pour faire l’acquisition du logiciel. Le taux de satisfaction a �t� observ� par le biais de m�canismes manuels et indique un bon taux de satisfaction des clients et des membres de la magistrature. |
Activit� de programme | D�penses r�elles en 2009–2010 (En millions de dollars) | 2010-113 | Concordance avec les r�sultats du gouvernement du Canada | |||
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Budget principal des d�penses | D�penses pr�vues | Total des autorisations | D�penses r�elles | |||
Services du greffe | 26,1 | 24,6 | 24,6 | 26,6 | 25,8 | Des institutions d�mocratiques fortes et ind�pendantes |
Services judiciaires | 20,4 | 18,9 | 18,9 | 20,0 | 19,9 | |
Total | 46,5 | 43,5 | 43,5 | 46,6 | 45,7 |
Activit� de programme | D�penses r�elles en 2009–2010 (En millions de dollars) | 2010-112b | |||
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Budget principal des d�penses | D�penses pr�vues | Total des autorisations | D�penses r�elles | ||
Services internes | 19,7 | 16,2 | 16,2 | 18,3 | 17,9 |
Plan d’action �conomique du Canada (PA�C)
Le SATJ n’a obtenu aucun financement du Plan d’action �conomique du Canada.
Tendances au chapitre des d�penses minist�rielles
(en millions de dollars)
Pour obtenir plus de renseignements sur nos cr�dits organisationnels et nos d�penses l�gales, veuillez consulter les Comptes publics du Canada 2010-2011 (Volume II). Vous trouverez une version �lectronique des Comptes publics sur le site Web de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada4.
Footnotes
1a,b,c Le type se d�finit comme suit : engagement pr�alable – engagement pris au cours du premier ou du deuxi�me exercice avant l’exercice vis� par le rapport; continu – engagement pris au moins trois exercices avant l’exercice vis� par le rapport; nouveau – engagement pris r�cemment, au cours de l’exercice vis� par le Rapport minist�riel sur le rendement.
2a,b Remarque : Les Ressources financi�res devraient �tre �gales � la somme des totaux pour les activit�s de programme et les services internes.
3 Depuis le cycle des budgets des d�penses 2009-2010, les ressources de l’activit� de programme � Services internes � sont pr�sent�es de fa�on distincte des autres activit�s de programme. Elles ne sont plus r�parties parmi les activit�s de programme restantes, comme c’�tait le cas dans les budgets principaux des d�penses pr�c�dents. Cette mesure a une incidence sur la comparabilit� des d�penses et de l’information li�e aux ETP par activit� de programme entre les divers exercices.
4 Consultez les Comptes publics du Canada 2010 �
http://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/recgen/txt/72-fra.asp.