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Variation en % | 2010–2011 | 2009–2010 | |
---|---|---|---|
Total des actifs | 11 % | 1 926 173 | 1 722 375 |
Total des passifs | (11 %) | 192 499 | 216 698 |
Avoir du Canada | 15 % | 1 733 674 | 1 505 677 |
Total | 11 % | 1 926 173 | 1 722 375 |
Variation en % | 2010–2011 | 2009–2010 | |
---|---|---|---|
Dépenses | |||
Création de lieux patrimoniaux | (7 %) | 14 431 | 15 534 |
Conservation des ressources patrimoniales | (20 %) | 155 012 | 194 857 |
Appréciation et compréhension du public | (5 %) | 55 536 | 58 425 |
Expérience du visiteur | 9 % | 245 591 | 226 181 |
Infrastructure des lotissements urbains et routes de transit | 8 % | 45 596 | 42 131 |
Services internes | 4 % | 98 989 | 94 736 |
Amortissement des immobilisations corporelles | 5 % | 88 749 | 84 206 |
Total des dépenses | 2 % | 703 904 | 716 070 |
Total des revenus | 1 % | 112 229 | 111 251 |
Coût net des opérations | (2 %) | 591 675 | 604 819 |
La responsabilité de l’intégrité et de l’objectivité des états financiers ci-joints pour l’exercice s’étant terminé le 31 mars 2011 et de tous les renseignements qui y figurent incombe à la direction de l’Agence. Ces états financiers ont été préparés par la direction conformément aux politiques comptables du Conseil du Trésor, qui sont conformes aux principes comptables généralement reconnus au Canada pour le secteur public et ont été approuvés par les membres du Conseil exécutif de l’Agence suivant la recommandation du Comité de vérification de l’Agence.
La direction est responsable de l’intégrité et de l’objectivité des données présentées dans ses états financiers. Certains renseignements présentés dans les états financiers sont fondés sur les meilleures estimations et le jugement de la direction, compte tenu de l’importance relative des postes en question. Pour s’acquitter de ses obligations au chapitre de la comptabilité et de la présentation de rapports, la direction tient des comptes qui permettent l’enregistrement centralisé des opérations financières de l’Agence. Les renseignements financiers présentés aux fins de l’établissement des Comptes publics du Canada et figurant dans le Rapport ministériel sur le rendement de l’Agence concordent avec ces états financiers.
Il incombe aussi à la direction de tenir un système efficace de contrôle interne en matière de rapports financiers conçu pour donner une assurance raisonnable que l’information financière est fiable, que les actifs sont protégés et que les opérations sont autorisées et enregistrées adéquatement, conformément à la Loi sur la gestion des finances publiques et à d’autres lois, règlements, autorisations et politiques applicables.
La direction veille également à assurer l’objectivité et l’intégrité des données figurant dans ses états financiers en choisissant soigneusement des employés qualifiés et en assurant leur formation et leur perfectionnement; en prenant des dispositions pour assurer une répartition appropriée des responsabilités; en établissant des programmes de communication pour faire en sorte que tous les membres de l’Agence sont au fait des règlements, des politiques, des normes et des pouvoirs de la direction; et en effectuant une évaluation annuelle de l’efficacité du système de contrôle interne en matière de rapports financiers.
Une évaluation pour l’exercice s’étant terminé le 31 mars 2011 a été réalisée conformément à la Politique sur le contrôle interne et ses résultats ainsi que les plans d’action qui en découlent sont résumés en annexe.
Le système de contrôle interne en matière de rapports financiers est conçu pour atténuer les risques à un niveau raisonnable fondé sur un processus continu qui vise à identifier les risques clés, évaluer l’efficacité des contrôles clés associés, et apporter les ajustements nécessaires.
Le système de contrôle interne s’appuie sur le travail du personnel de la vérification interne, qui fait des vérifications et des examens périodiques de différents secteurs des activités de l’Agence, ainsi que sur le travail du comité ministériel de vérification, le cas échéant, qui surveille les responsabilités de la direction au regard du maintien de systèmes de contrôle adéquats et de la qualité des rapports financiers, et qui recommande les états financiers au directeur général de l’Agence.
Le Bureau du vérificateur général, vérificateur indépendant du gouvernement du Canada, a émis une opinion sur la présentation fidèle des états financiers de l’Agence sans donner d’opinion du vérificateur au sujet de l’évaluation annuelle de l’efficacité des contrôles internes du ministère en matière de rapports financiers
L’original a été signé par
Le directeur général de l’Agence,
Alan Latourelle
Gatineau, Canada
Le 19 septembre 2011
L’original a été signé par
La dirigeante principale des finances,
Maria Stevens
Au directeur général de l’Agence Parcs Canada et au ministre de l’environnement
J’ai effectué l’audit des états financiers ci-joints de l’Agence Parcs Canada, qui comprennent l’état de la situation financière au 31 mars 2011, et l’état des résultats, l’état de l’avoir du Canada et l’état des flux de trésorerie pour l’exercice clos à cette date, ainsi qu’un résumé des principales méthodes comptables et d’autres informations explicatives.
La direction est responsable de la préparation et de la présentation fidèle de ces états financiers conformément aux normes comptables canadiennes pour le secteur public, ainsi que du contrôle interne qu’elle considère comme nécessaire pour permettre la préparation d’états financiers exempts d’anomalies significatives, que celles-ci résultent de fraudes ou d’erreurs.
Ma responsabilité consiste à exprimer une opinion sur les états financiers, sur la base de mon audit. J’ai effectué mon audit selon les normes d’audit généralement reconnues du Canada. Ces normes requièrent que je me conforme aux règles de déontologie et que je planifie et réalise l’audit de façon à obtenir l’assurance raisonnable que les états financiers ne comportent pas d’anomalies significatives.
Un audit implique la mise en œuvre de procédures en vue de recueillir des éléments probants concernant les montants et les informations fournis dans les états financiers. Le choix des procédures relève du jugement de l’auditeur, et notamment de son évaluation des risques que les états financiers comportent des anomalies significatives, que celles-ci résultent de fraudes ou d’erreurs. Dans l’évaluation de ces risques, l’auditeur prend en considération le contrôle interne de l’entité portant sur la préparation et la présentation fidèle des états financiers afin de concevoir des procédures d’audit appropriées aux circonstances, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne de l’entité. Un audit comporte également l’appréciation du caractère approprié des méthodes comptables retenues et du caractère raisonnable des estimations comptables faites par la direction, de même que l’appréciation de la présentation d’ensemble des états financiers.
J’estime que les éléments probants que j’ai obtenus sont suffisants et appropriés pour fonder mon opinion d’audit.
À mon avis, les états financiers donnent, dans tous leurs aspects significatifs, une image fidèle de la situation financière de l’Agence Parcs Canada au 31 mars 2011, ainsi que des résultats de son exploitation et de ses flux de trésorerie pour l’exercice clos à cette date, conformément aux normes comptables canadiennes pour le secteur public.
Pour le vérificateur général du Canada par intérim,
L’original a été signé par
Sylvain Ricard, CA
vérificateur général adjoint
Le 19 septembre 2011
Ottawa, Canada
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Actif | ||
Actifs financiers | ||
Liquidités disponibles (note 3) | ||
Compte des activités générales | 85 790 | 77 816 |
Comptes à fins déterminées | 4 639 | 2 695 |
Compte des nouveaux parcs et lieux historiques | 17 200 | 20 461 |
107 629 | 100 972 | |
Débiteurs | 9 524 | 7 752 |
117 153 | 108 724 | |
Actifs non financiers | ||
Charges payées d’avance | 6 640 | 6 647 |
Stocks de fournitures renouvelables (note 4) | 6 247 | 6 295 |
Immobilisations corporelles (note 5) | 1 796 132 | 1 600 708 |
Collections et sites archéologiques (note 6) | 1 | 1 |
1 809 020 | 1 613 651 | |
1 926 173 | 1 722 375 | |
Passifs et Avoir du Canada | ||
Passifs | ||
Créditeurs et charges à payer | ||
Ministères et organismes fédéraux | 30 338 | 27 008 |
Autres | 63 882 | 59 704 |
94 220 | 86 712 | |
Revenus reportés (note 7) | 15 981 | 13 706 |
Avantages sociaux futurs (note 8) | 62 488 | 60 025 |
Provision pour nettoyage environnemental (note 9b)) | 19 810 | 56 255 |
192 499 | 216 698 | |
Avoir du Canada | 1 733 674 | 1 505 677 |
1 926 173 | 1 722 375 |
Passif éventuel et obligations contractuelles (notes 9a) et 12)
Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers.
L’original a été signé par
Le directeur général de l’Agence,
L’original a été signé par
La dirigeante principale des finances,
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Charges | ||
Activités de programmes de Parcs Canada | ||
Création de lieux patrimoniaux | 14 431 | 15 534 |
Conservation des ressources patrimoniales | 155 012 | 194 857 |
Appréciation et compréhension du public | 55 536 | 58 425 |
Expérience du visiteur | 245 591 | 226 181 |
Infrastructure des lotissements urbains et routes de transit | 45 596 | 42 131 |
Services internes | 98 989 | 94 736 |
615 155 | 631 864 | |
Amortissement des immobilisations corporelles | 88 749 | 84 206 |
Total des charges | 703 904 | 716 070 |
Revenus | 112 229 | 111 251 |
Coût de fonctionnement net | 591 675 | 604 819 |
Information sectorielle (note 13)
Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers.
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Avoir du Canada, début de l’exercice | 1 505 677 | 1 404 271 |
Coût de fonctionnement net | (591 675) | (604 819) |
Encaisse nette fournie par le gouvernement du Canada | 765 938 | 662 994 |
Variation des liquidités disponibles | 6 657 | (4 038) |
Services fournis gratuitement par d’autres ministères (note 11)) | 47 077 | 45 596 |
Éléments d’actif et de passif transférés d’autres entités gouvernementales | – | 1 673 |
Avoir du Canada, fin de l’exercice | 1 733 674 | 1 505 677 |
Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers.
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Activités de fonctionnement | ||
Coût de fonctionnement net | 591 675 | 604 819 |
Éléments n’affectant pas l’encaisse : | ||
Amortissement des immobilisations corporelles | (88 749) | (84 206) |
Perte nette sur la cession d’immobilisations corporelles | (1 718) | (123) |
Services fournis gratuitement par d’autres ministères | (47 077) | (45 596) |
Variations à l’état de la situation financière: | ||
Augmentation (diminution) des débiteurs | 1 772 | (2 295) |
Diminution des charges payés d’avance | (7) | (299) |
(Diminution) augmentation des stocks de fournitures renouvelables | (48) | 433 |
(Augmentation) diminution des créditeurs et charges à payer | (7 508) | 2 349 |
(Augmentation) diminution des revenus reportés | (2 275) | 206 |
(Augmentation) diminution des avantages sociaux futurs | (2 463) | 6 117 |
Diminution (augmentation) de la provision pour nettoyage environnemental | 36 445 | (12 822) |
Encaisse utilisée pour les activités de fonctionnement | 480 047 | 468 583 |
Activités d’investissement en immobilisations | ||
Acquisitions et améliorations d’immobilisations corporelles | 286 389 | 195 336 |
Produit de la cession d’immobilisations corporelles | (498) | (925) |
Encaisse utilisée pour les activités d’investissement en immobilisations | 285 891 | 194 411 |
Encaisse nette fournie par le gouvernement du Canada | 765 938 | 662 994 |
Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers.
L’Agence Parcs Canada (l’Agence) a été créée en décembre 1998 en vertu de la Loi sur l’Agence Parcs Canada à titre d’établissement public et est mandataire de Sa Majesté du chef du Canada. L’Agence Parcs Canada est une entité distincte qui figure à l’annexe II de la Loi sur la gestion des finances publiques et rend des comptes au ministre de l’Environnement. L’Agence n’est pas assujettie aux dispositions de la Loi de l’impôt sur le revenu.
Le mandat de l’Agence consiste à protéger et mettre en valeur des exemples représentatifs du patrimoine naturel et culturel du Canada, et en favoriser chez le public la connaissance, l’appréciation et la jouissance, de manière à en assurer l’intégrité écologique et commémorative pour les générations d’aujourd’hui et de demain. Pour réaliser son mandat, l’Agence exécute les programmes prévus dans ses lois et pouvoirs.
Les pouvoirs relatifs aux programmes dont Parcs Canada est responsable découlent principalement de la Loi sur l’Agence Parcs Canada, de la Loi sur les parcs nationaux du Canada, de la Loi sur les lieux et monuments historiques, de la Loi sur les aires marines nationales de conservation du Canada, de la Loi sur le ministère des Transports, de la Loi sur la protection des gares ferroviaires patrimoniales, de la Loi sur la protection des phares patrimoniaux et de la Loi sur les espèces en péril.
Ces états financiers ont été préparés conformément aux conventions comptables du Conseil du Trésor énoncés ci-après, lesquelles s’appuient sur les principes comptables généralement reconnus du Canada pour le secteur public. La présentation et les résultats qui découlent de l’utilisation des conventions comptables énoncées ne donnent lieu à aucune différence importante par rapport aux principes comptables généralement reconnus au Canada, à l’exception de l’information divulguée à la note 14 — Indicateur de la dette nette.
L’Agence est financée par le gouvernement du Canada au moyen d’autorisations parlementaires. La présentation des autorisations consenties à l’Agence ne correspond pas à la présentation des rapports financiers selon les principes comptables généralement reconnus étant donné que les autorisations sont fondées, dans une large mesure, sur les besoins de trésorerie. Par conséquent, les postes comptabilisés dans l’état des résultats et dans l’état de la situation financière ne sont pas nécessairement les mêmes que ceux qui sont prévus par les autorisations parlementaires. La note 10 présente un rapprochement entre les deux méthodes de présentation des rapports financiers.
L’Agence fonctionne au moyen du Trésor, qui est administré par le receveur général du Canada. La totalité de l’encaisse reçue par l’Agence est déposée au Trésor, et tous les décaissements faits par l’Agence sont prélevés sur le Trésor. L’encaisse nette fournie par le gouvernement est la différence entre toutes les entrées de fonds et toutes les sorties de fonds, y compris les opérations entre les entités au sein du gouvernement fédéral.
Les revenus reportés comprennent les revenus qui sont reçus avant que les services ne soient rendus ainsi que les fonds reçus de tiers à des fins déterminées. Les revenus reportés sont constatés à titre de revenus lorsque les services sont rendus.
Les stocks de fournitures renouvelables ne sont pas destinés à la revente. Ils sont évalués au coût. S’ils n’ont plus de potentiel de service, ils sont évalués au moindre du coût ou de la valeur de réalisation nette.
(i) Immobilisations corporelles (autres que terrains)
Les immobilisations corporelles qui ont été transférées à l’Agence le 1er avril 1999 sont comptabilisées à leur coût historique estimatif, moins l’amortissement cumulé. Le coût historique estimatif des immobilisations corporelles a été établi en ajustant le coût de remplacement actuel à celui de l’année d’acquisition ou de construction au moyen de facteurs fondés sur les changements des indices des prix au fil du temps. Cette approche tient également compte de l’état général des immobilisations et du coût des améliorations et des réparations importantes depuis l’acquisition ou la construction des immobilisations corporelles.
Les immobilisations corporelles acquises après le 1er avril 1999 sont comptabilisées au coût d’acquisition. Les immobilisations corporelles acquises contre une somme nominale ou par voie de don sont comptabilisées à leur valeur marchande au moment de l’acquisition et les transferts de/à d’autres entités gouvernementales sont comptabilisés à leur valeur comptable nette (coût historique et amortissement cumulé) au moment du transfert. Un montant correspondant est crédité directement à l’avoir du Canada. Les immobilisations corporelles acquises avec le soutien financier d’un autre gouvernement sont comptabilisées à leur coût net. Les améliorations qui prolongent la vie utile ou le potentiel de service sont comptabilisées au prix coûtant.
Les actifs incorporels ne sont pas capitalisés.
Les travaux en cours ne sont pas amortis. Les coûts des travaux en cours sont virés à la catégorie de biens appropriée lorsqu’ils sont complétés et l’amortissement débute lorsqu’ils sont mis en service.
L’amortissement est calculé selon la méthode linéaire en fonction de taux fondés sur la durée de vie utile estimative des biens, comme suit :
Catégorie de biens | Vie utile |
---|---|
Bâtiments | 25–50 ans |
Fortifications | 50–100 ans |
Améliorations locatives | Période la plus courte entre la durée restante du bail ou la durée de vie utile estimative de l’amélioration |
Paysagement | 10–40 ans |
Routes | 40 ans |
Ponts | 25–50 ans |
Canaux et installations maritimes | 25–80 ans |
Services publics | 20–40 ans |
Véhicules et matériel | 3–15 ans |
Expositions | 5–10 ans |
Les terrains acquis sont comptabilisés au coût historique. Les terres publiques acquises dans le cadre de la Confédération ou de l’entrée ultérieure d’une province ou d’un territoire sont comptabilisées à une valeur nominale. Les terrains acquis par voie de don sont comptabilisés à leur valeur marchande estimative à la date de l’acquisition et un montant correspondant est crédité directement à l’avoir du Canada.
Les collections et les sites archéologiques sont comptabilisés à une valeur nominale.
(i) Indemnités de départ
Les employés ont droit à des indemnités de départ, prévues dans leurs conventions collectives ou conditions d’emploi. Le coût de ces indemnités s’accumule à mesure que les employés rendent les services y donnant droit. Le coût des avantages sociaux gagnés par les employés est calculé à l’aide de l’information tirée des résultats du passif déterminé sur une base actuarielle au titre des prestations de départ pour l’ensemble du gouvernement.
(ii) Prestations de retraite
Les employés admissibles participent au Régime de retraite de la fonction publique, un régime multiemployeurs administré par le gouvernement du Canada. Les cotisations de l’Agence au régime sont passées en charges dans l’exercice au cours duquel elles sont engagées et elles représentent l’obligation totale du ministère découlant du régime. En vertu des dispositions législatives en vigueur, l’Agence n’est pas tenu de verser des cotisations au titre de l’insuffisance actuarielle du régime.
Les charges sont comptabilisées selon la méthode de la comptabilité d’exercice.
(i) Contributions
Les contributions sont comptabilisées dans l’exercice au cours duquel le bénéficiaire a satisfait aux critères d’admissibilité ou a rempli les conditions de l’accord de transfert, dans la mesure où le transfert est autorisé et que le montant peut être estimé de manière raisonnable.
(ii) Services fournis gratuitement
Les services fournis gratuitement par d’autres ministères sont comptabilisés à titre de charges de fonctionnement à leur coût estimatif. Un montant correspondant est crédité directement à l’avoir du Canada.
Durant l’année, l’Agence a adopté le chapitre 3260 passif au titre des sites contaminés des principes comptables généralement reconnus du Canada pour le secteur public. L’adoption anticipée est en vigueur pour l’exercice 2011 de l’Agence. L’application des nouveaux critères de constation de la provision n’a aucun impact sur le passif de l’Agence pour l’année en cours ou les années antérieures.
L’Agence comptabilise une provision pour nettoyage environnemental lorsque les conditions suivantes sont satisfaites : (1) la contamination excède les normes environnementales; (2) l’Agence est directement responsable ou accepte la responsabilité de la contamination; (3) qu’il est prévu que des avantages économiques futurs seront perdus; (4) lorsque les coûts peuvent être raisonnablement estimés à la suite d’une évaluation environnementale détaillée.
Les coûts seront divulgués comme un passif éventuel, si une des conditions suivantes est satisfaite: (1) il est probable que l’événement futur déterminant se produira mais que le montant du passif ne peut faire l’objet d’une estimation raisonnable; (2) il est probable que l’événement futur déterminant se produira et si on a comptabilisé un passif mais il existe un risque que le passif soit supérieur au montant comptabilisé; (3) ou si le risque que l’événement futur déterminant se produise est indéterminable.
Les droits d’entrée, droits récréatifs, locations et concessions, autres revenus d’exploitation, revenus de lotissements urbains et du logement du personnel sont constatés dans l’exercice où les biens ou services sont fournis par l’Agence. Les fonds reçus pour des services futurs sont comptabilisés comme revenus reportés.
La préparation d’états financiers conformément aux principes comptables généralement reconnus du Canada exige que la direction fasse des estimations et formule des hypothèses qui influent sur les montants déclarés de l’actif et du passif à la date des états financiers et sur les revenus et les charges déclarés pendant l’exercice visé. Le passif relié aux employés, la durée de vie utile estimative des immobilisations corporelles, le passif relié à l’environnement et les réclamations sont les éléments les plus importants qui font l’objet d’estimations. Les chiffres réels pourraient différer significativement de ces estimations. Les estimations de la direction sont examinées périodiquement et, à mesure que les rajustements deviennent nécessaires, ils sont constatés dans les états financiers de l’exercice où ils sont connus
L’Agence exerce ses activités à même les fonds du Trésor qui est administré par le receveur général du Canada. Toutes les rentrées de fonds de l’Agence sont déposées dans le Trésor et tous les décaissements faits par l’Agence proviennent du Trésor.
Les liquidités disponibles comprennent ce qui suit:
Les liquidités disponibles pour les activités générales représentent le montant d’argent que l’Agence peut retirer du Trésor du gouvernement, sans autres autorisations. Au 31 mars 2011, le compte des activités générales a un solde de 85,8 millions de dollars (77,8 millions en 2010).
Les liquidités disponibles pour les comptes à fins déterminées représentent les sommes reçues d’autres organisations qui doivent être utilisées aux fins prévues. Au 31 mars 2011, l’Agence a un solde de 4,6 millions de dollars (2,7 millions en 2010) pour les comptes à fins déterminées.
Le gouvernement du Canada inclut dans ses recettes et dépenses les opérations de certains comptes consolidés établis à des fins déterminées. La Loi sur l’Agence Parcs Canada exige que les recettes des comptes à fins déterminées soient affectées à des fins particulières et que les paiements et charges connexes soient imputés contre ces recettes. Les opérations ne représentent pas des passifs envers des tiers mais elles sont restreintes à l’interne à des fins déterminées.
Le compte des nouveaux parcs et lieux historiques est financé par des autorisations votées, le produit de la vente de terrains et de bâtiments excédentaires et tous les dons généraux. De plus, le ministre des Finances peut, sur demande du ministre de l’Environnement, autoriser l’octroi d’avances jusqu’à 10 millions de dollars au compte des nouveaux parcs et lieux historiques. Tous les montants reçus sont détenus dans ce compte jusqu’à ce que des dépenses admissibles soient engagées pour l’établissement ou la mise en valeur de nouveaux parcs, de lieux historiques ou d’endroits patrimoniaux, conformément aux conditions établies dans la Loi sur l’Agence Parcs Canada et aux directives connexes du Conseil du Trésor.
Voici le détail des activités pour l’exercice terminé le 31 mars :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Montant disponible au début de l’exercice | 20 461 | 21 228 |
Recettes : | ||
Autorisations parlementaires | 500 | 500 |
Produits de la cession d’immobilisations corporelles | 543 | 799 |
Dons | 71 | 63 |
1 114 | 1 362 | |
Déboursés: | ||
Déboursés en immobilisations | 4 375 | 2 129 |
4 375 | 2 129 | |
Montant disponible à la fin de l’exercice | 17 200 | 20 461 |
Les stocks de fournitures renouvelables au 31 mars sont les suivants :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Articles de papeteries, fournitures de bureau et autres | 1 304 | 864 |
Terre, sable, gravier et autres matériaux bruts | 1 027 | 1 143 |
Combustible et autres produits pétroliers | 864 | 740 |
Matériel, approvisionnements et fournitures | 777 | 860 |
Matériel de sécurité | 713 | 615 |
Produits oeuvrés en bois et en métal | 605 | 617 |
Livres, publications et cartes | 462 | 822 |
Matériaux et fournitures de construction | 324 | 472 |
Uniformes et vêtements protecteurs | 171 | 162 |
6 247 | 6 295 |
Coût | ||||
---|---|---|---|---|
Solde d’ouverture | Acquisitions | Aliénations et radiations | Solde de fermeture | |
Bâtiments, fortifications et améliorations locatives | 851 737 | 58 968 | 5 419 | 905 286 |
Paysagement | 624 520 | 44 919 | 887 | 668 552 |
Routes | 1 103 140 | 89 543 | 5 | 1 192 678 |
Ponts | 241 444 | 37 501 | 616 | 278 329 |
Canaux et installations maritimes | 572 015 | 17 249 | 1 380 | 587 884 |
Services publics | 238 209 | 12 724 | 4 196 | 246 737 |
Véhicules et matériel | 140 413 | 11 454 | 4 063 | 147 804 |
Expositions | 109 759 | 6 451 | 11 973 | 104 237 |
3 881 237 | 278 809 | 28 539 | 4 131 507 | |
Terrains (note 2e(ii)) | ||||
Terrains acquis | 140 696 | 7 580 | 6 | 148 270 |
Terres publiques | 1 | – | – | 1 |
Terrains reçus par voie de dons | 20 144 | – | – | 20 144 |
160 841 | 7 580 | 6 | 168 415 | |
Total | 4 042 078 | 286 389 | 28 545 | 4 299 922 |
Amortissement cumulé | Valeur comptable nette | |||||
---|---|---|---|---|---|---|
Solde d’ouverture | Amortissement | Aliénations et radiations | Solde de fermeture | 2011 | 2010 | |
Bâtiments, fortifications et améliorations locatives | 540 102 | 25 428 | 4 418 | 561 112 | 344 174 | 311 635 |
Paysagement | 537 575 | 13 047 | 75 | 550 547 | 118 005 | 86 945 |
Routes | 663 106 | 22 431 | 157 | 685 380 | 507 298 | 440 034 |
Ponts | 94 178 | 5 224 | 479 | 98 923 | 179 406 | 147 266 |
Canaux et installations maritimes | 296 237 | 9 914 | 833 | 305 318 | 282 566 | 275 778 |
Services publics | 110 604 | 5 217 | 3 020 | 112 801 | 133 936 | 127 605 |
Véhicules et matériel | 104 583 | 6 478 | 4 383 | 106 678 | 41 126 | 35 830 |
Expositions | 94 985 | 1 010 | 12 964 | 83 031 | 21 206 | 14 774 |
2 441 370 | 88 749 | 26 329 | 2 503 790 | 1 627 717 | 1 439 867 | |
Terrains (note 2e(ii)) | ||||||
Terrains acquis | – | – | – | – | 148 270 | 140 696 |
Terres publiques | – | – | – | – | 1 | 1 |
Terrains reçus par voie de dons | – | – | – | – | 20 144 | 20 144 |
– | – | – | – | 168 415 | 160 841 | |
Total | 2 441 370 | 88 749 | 26 329 | 2 503 790 | 1 796 132 | 1 600 708 |
Le coût total des immobilisations corporelles inclut 170,6 millions de dollars (168,2 millions en 2010) de travaux en cours répartis dans leurs catégories respectives. L’Agence est propriétaire de terrains où on y retrouve des parcs nationaux et réserves de parc national, des aires marines nationales de conservation et des lieux historiques nationaux. Au cours de l’exercice, l’Agence a dépensé 7,6 millions de dollars (0,5 millions en 2010) pour l’acquisition de terrains.
La gestion des collections et des sites archéologiques est au cœur du mandat de l’Agence qui consiste à protéger et à mettre en valeur des exemples représentatifs du patrimoine culturel du Canada. Même s’ils ne sont pas capitalisés au même titre que d’autres biens culturels comme les bâtiments ou les fortifications, ces trésors ont une valeur culturelle inestimable.
L’Agence gère des collections d’objets archéologiques et historiques.
La collection d’objets archéologiques comprend des spécimens et documents qui constituent un échantillon représentatif des habitations et des activités de l’être humain. Ces collections renferment un éventail d’artefacts qui témoignent de l’activité tant domestique qu’industrielle et vont des outils et de l’équipement de navire aux échantillons de sol et échantillons botaniques.
La collection d’objets historiques s’étend du Xe siècle à aujourd’hui. Il s’agit d’objets ethnographiques, civils et militaires et d’articles témoignant du commerce des fourrures, de meubles et d’objets mobiliers, d’outils et de documents.
En outre, l’Agence gère une collection de reproductions comprenant des costumes d’époque, des outils et des meubles fabriqués à partir d’originaux ou de données historiques.
Un site archéologique englobe les vestiges en surface, souterrains ou submergés d’une activité humaine. Les archéologues définissent un site en précisant les différentes activités qui se sont déroulées dans un secteur. Plusieurs sites archéologiques ont été délimités dans les 167 lieux historiques nationaux, les 42 parcs nationaux et les 4 aires marines de conservation du Canada. Ces sites comprennent des villages autochtones, des camps de chasse, des aires d’observation et des lieux de transformation des animaux, des postes de traite des fourrures et des postes militaires établis par des européens, des champs de bataille, des épaves, des fermes, des sites associés aux transports ainsi qu’aux industrie.
Les revenus reportés, qui s’élèvent à 16 millions de dollars (13,7 millions en 2010), comprennent un montant de 11,4 millions de dollars (11 millions en 2010) représentant le solde, à la fin de l’exercice, pour les droits d’entrée, les droits récréatifs et les droits de location et de concession perçus d’avance.
La somme de 4,6 millions de dollars (2,7 millions en 2010) qui reste dans les revenus reportés représente les sommes reçues d’autres organisations qui doivent être utilisées aux fins prévues.
L’Agence verse à ses employés des indemnités de départ en fonction de l’admissibilité, des années de service et du salaire final. Ces indemnités ne sont pas capitalisées d’avance. Les prestations seront prélevées sur les autorisations futures. Au 31 mars, les indemnités de départ totalisaient :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Obligation au titre des prestations constituées, début de l’exercice | 60 025 | 66 142 |
Charge de l’exercice | 7 613 | (1 509) |
Prestations versées au cours de l’exercice | (5 150) | (4 608) |
Obligation au titre des prestations constituées, fin de l’exercice | 62 488 | 60 025 |
Les employés de l’Agence participent au Régime de retraite de la fonction publique, qui est parrainé et administré par le gouvernement du Canada. Les prestations de retraite s’accumulent sur une période maximale de 35 ans au taux de 2 % par année de services validables multiplié par la moyenne des gains des cinq meilleures années consécutives. Les prestations sont intégrées aux prestations du Régime de pensions du Canada et du Régime de rentes du Québec et sont indexées à l’inflation.
Tant les employés que l'Agence versent des cotisations couvrant le coût du régime. En 2011, les charges s'élèvent à 39,5 millions de dollars (38,3 millions de dollars en 2010), soit environ 1,9 fois (1,9 fois en 2010) les cotisations des employés.
La responsabilité relative au régime de retraite de l’Agence se limite aux cotisations versées. Les excédents ou les déficits actuariels sont constatés dans les états financiers du gouvernement du Canada, répondant du régime.
Des réclamations ont été faites auprès de l’Agence dans le cours normal de ses activités. Certaines réclamations sont assorties d’un montant déterminé, et d’autres pas. Selon l’évaluation de l’Agence, des poursuites pour des réclamations totalisant environ 6,6 millions de dollars (8,0 millions en 2010) étaient toujours en instance au 31 mars 2011. Certaines obligations éventuelles pourraient devenir des obligations réelles selon que certains événements futurs se produisent ou non. Dans la mesure où l’événement futur risque de se produire ou non et si l’on peut établir une estimation raisonnable de la perte, on comptabilise un passif estimatif et une charge dans les états financiers. Le détails des cas et l’ampleur des réclamations ne sont pas révélés car ils sont de nature délicate.
L’Agence a recensé 455 sites comme étant contaminés ou susceptibles de l’être. Compte tenu de l’information disponible ainsi que des études détaillées effectuées à date sur 433 de ces sites, l’Agence a estimé et enregistré un passif et un passif éventuel. Les estimations sont ajustées afin de refléter l’inflation et les autorisations futures.
L’Agence a estimé et enregistré un passif de 19,8 millions de dollars (56,3 millions en 2010). L’Agence évalué des coûts additionnels d’assainissement de 121,9 millions de dollars (139,8 millions en 2010) qui ne sont pas comptabilisés comme passif car l’Agence ne peut déterminer s’ils seront encourus. Les efforts continus déployés par l’Agence pour évaluer les sites contaminés peuvent entraîner des passifs environnementaux additionnels ayant trait aux sites récemment recensés ou aux modifications apportées aux évaluations ou à l’utilisation prévue des sites existants. Ces passifs éventuels seront comptabilisés comme passif par l’Agence au cours de l’exercice duquel il sera possible d’en établir une estimation raisonnable et que le risque que l’événement futur déterminant se produise est déterminable.
L’Agence reçoit la plus grande partie de son financement au moyen d’autorisations parlementaires annuels. Les éléments comptabilisés dans l’état des résultats et l’état de la situation financière d’un exercice peuvent être financés au moyen d’autorisations parlementaires qui ont été approuvées dans un exercice précédent, pendant l’exercice en cours ou qui le seront dans un exercice futur. En conséquence, les résultats de fonctionnement nets de l’Agence diffèrent selon qu’ils sont présentés selon le financement octroyé par le gouvernement ou selon la méthode de la comptabilité d’exercice. Les différences sont rapprochées dans les tableaux suivants :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Autorisations fournies : | ||
Crédit 25 — Dépenses du programme | 767 405 | 654 973 |
Crédit 30 — Compte des nouveaux parcs et lieux historiques | 500 | 500 |
Montants législatifs : | ||
Revenus reçus en vertu de l’article 20 de la Loi sur l’Agence Parcs Canada | 113 416 | 115 875 |
Cotisations aux régimes d’avantages sociaux | 56 249 | 56 103 |
Total des autorisations | 937 570 | 827 451 |
Moins : | ||
Montant disponible pour les exercices ultérieurs | 46 260 | 49 657 |
Périmés : Fonctionnement | 7 416 | – |
Autorisations de l’exercice en cours utilisées | 883 894 | 777 794 |
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Coût de fonctionnement net | 591 675 | 604 819 |
Revenus reçus en vertu de l’article 20 de la Loi sur l’Agence Parcs Canada | 113 416 | 115 875 |
Rajustements pour les éléments ayant une incidence sur le coût de fonctionnement net, mais qui n’en ont pas sur les autorisations: | ||
Amortissement des immobilisations corporelles | (88 749) | (84 206) |
Services fournis gratuitement par d’autres ministères (note 11a)) | (47 077) | (45 596) |
Perte nette sur la cession d’immobilisations corporelles | (1 718) | (123) |
(137 544) | (129 925) | |
Variations dans les comptes ayant une incidence sur le coût de fonctionnement net, mais qui n’en ont pas sur les autorisations : | ||
Indemnités de vacances incluses dans les créditeurs et charges à payer | (210) | (426) |
Avantages sociaux futurs | (2 463) | 6 117 |
Provision pour nettoyage environnemental | 36 445 | (12 822) |
33 772 | (7 131) | |
Rajustements pour les éléments sans incidence sur le coût de fonctionnement net, mais en ayant une sur les autorisations : | ||
Acquisition et amélioration d’immobilisations corporelles | 286 389 | 195 336 |
Produit de la cession d’immobilisations corporelles | (498) | (925) |
Variation des charges payés d’avance | (7) | (299) |
Variation des stocks de fournitures renouvelables | (48) | 433 |
Variation du compte des nouveaux parcs et lieux historiques | (3 261) | (767) |
Autres | – | 378 |
282 575 | 194 156 | |
Autorisations de l’exercice en cours utilisées | 883 894 | 777 794 |
L’Agence est apparentée en terme de propriété commune à tous les ministères, organismes et sociétés d’État du gouvernement fédéral. Elle effectue des opérations avec ces entités dans le cours normal de ses activités et selon l’usage commercial habituel.
Au cours de l’exercice, le ministère a reçu gratuitement des services de certains organismes de services communs relatifs aux locaux, services juridiques, cotisations de l’employeur aux régimes de soins de santé et de soins dentaires et indemnisation des accidentés du travail. Ces services gratuits ont été constatés comme suit dans l’état des résultats de l’Agence :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Cotisations couvrant la quote-part de l’employeur des primes et des frais d’assurance des employés payées par le Secrétariat du Conseil du Trésor | 28 098 | 27 186 |
Locaux fournis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada | 16 617 | 15 991 |
Salaires et frais connexes des services juridiques fournis par Justice Canada | 1 571 | 1 552 |
Autres services fournis gratuitement | 791 | 867 |
47 077 | 45 596 |
Le gouvernement a centralisé certaines de ses activités administratives de manière à optimiser l’efficience et l’efficacité de la prestation des programmes auprès du public. Le gouvernement fait donc appel à des organismes centraux et à des organismes de services communs, de sorte qu’un seul ministère fournisse gratuitement des services à tous les autres ministères et organismes. Le coût de ces services, qui comprennent les services de paye et d’émission des chèques offerts par Travaux publics et services gouvernementaux Canada ne sont pas inclus dans l’état des résultats de l’Agence.
L’Agence a engagé des dépenses en immobilisations et des charges d’exploitation avec des apparentés s’élevant à 197,1 millions de dollars (147,8 millions en 2010) pour des services fournis par des ministères, y compris des services s’élevant à 188,2 millions de dollars (139,2 millions en 2010) fournis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. Ces services sont principalement reliés à des services d’architecture, de génie et d’environnement s’élevant à 105,4 millions de dollars (86,2 millions en 2010), des services de construction s’élevant à 27 millions de dollars (16,3 millions en 2010), des services de réparations et d’entretien s’élevant à 21,1 millions de dollars (7,2 millions en 2010) et à des paiements tenant lieu d’impôts s’élevant à 12,9 millions de dollars (12,6 millions en 2010). Les revenus tirés d’apparentés ont totalisé 1,9 millions de dollars (1,6 millions en 2010).
a) L’Agence a conclu des contrats de location-exploitation de matériel et de locaux totalisant 8,9 millions de dollars (8,9 millions en 2010). Les contrats prennent fin à différentes dates et la majorité se termineront au cours des douze prochaines années. Les paiements annuels minimaux en vertu de ces contrats pour les cinq prochains exercices et pour les suivants sont approximativement comme suit :
b) L’Agence a conclu des contrats pour des dépenses en immobilisations et des charges d’exploitation qui s’élèvent à environ 157,9 millions de dollars (169 millions en 2010). La majorité des paiements aux termes de ces contrats devraient se faire au cours des trois prochains exercices.
La présentation de l’information sectorielle est fondée sur l’architecture des activités de programme de l’Agence. La présentation par secteur est fondée sur les mêmes conventions comptables décrites à la note 2, Sommaire des principales conventions comptables. Le tableau qui suit présente les charges engagées et les revenus générés par les principales activités de programme, par principaux articles de dépenses et types de revenus. Voici les résultats de chaque segment pour la période :
Création de lieux patrimoniaux | Conservation des ressources patrimoniales | Appréciation et compréhension du public | Expérience du visiteur | Infrastructure des lotissements urbains et routes de transit | Services internes | 2011 Total | 2010 Total | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Salaires et avantages sociaux | 7 434 | 110 804 | 39 018 | 166 491 | 20 279 | 65 423 | 409 449 | 388 266 |
Charges de fonctionnement | ||||||||
Services professionnels et spéciaux | 2 837 | 13 872 | 4 019 | 20 081 | 6 928 | 12 414 | 60 151 | 57 113 |
Services publics matériaux et fournitures | 331 | 10 980 | 1 657 | 25 274 | 9 200 | 4 727 | 52 169 | 53 523 |
Transport et communications | 1 078 | 6 555 | 2 470 | 7 073 | 987 | 7 452 | 25 615 | 27 279 |
Locaux fournis gratuitement (note 11) | 672 | 2 745 | 1 412 | 6 361 | 1 925 | 3 502 | 16 617 | 15 991 |
Réparations et entretien | 14 | 1 974 | 108 | 6 374 | 3 800 | 926 | 13 196 | 11 413 |
Locations | 242 | 7 037 | 592 | 4 098 | 271 | 842 | 13 082 | 15 833 |
Paiements tenant lieu d’impôts | 393 | 4 114 | 557 | 4 893 | 1 985 | 923 | 12 865 | 12 540 |
Information | 299 | 515 | 2 498 | 3 981 | 21 | 688 | 8 002 | 14 389 |
Charges diverses | 5 | 5 582 | 17 | (473) | 95 | 374 | 5 600 | 158 |
Perte nette sur la cession d’immobilisations corporelles | – | – | – | – | – | 1 718 | 1 718 | 123 |
Nettoyage environnemental | – | (20 186) | – | – | – | – | (20 186) | 22 926 |
Total — Charges de fonctionnement | 5 871 | 33 188 | 13 330 | 77 662 | 25 212 | 33 566 | 188 829 | 231 288 |
Subventions et contributions | 1 126 | 11 020 | 3 188 | 1 438 | 105 | – | 16 877 | 12 310 |
Total — Charges (excluant l’amortissement) | 14 431 | 155 012 | 55 536 | 245 591 | 45 596 | 98 989 | 615 155 | 631 864 |
Amortissement | 88 749 | 84 206 | ||||||
Total — Charges | 703 904 | 716 070 | ||||||
Droits d’entrée | – | 10 | – | 55 298 | – | – | 55 308 | 56 631 |
Droits récréatifs | — | 17 | – | 23 170 | 10 | 237 | 23 434 | 24 121 |
Locations et concessions | 41 | 9 | 4 | 19 814 | 906 | 187 | 20 961 | 18 594 |
Autres revenus d’exploitation | 8 | 846 | 5 | 1 765 | 954 | 2 869 | 6 447 | 6 033 |
Logement du personnel | – | 38 | – | 18 | – | 3 008 | 3 064 | 2 990 |
Revenus de lotissements urbains | – | – | – | – | 3 015 | – | 3 015 | 2 882 |
Total - Revenus | 49 | 920 | 9 | 100 065 | 4 885 | 6 301 | 112 229 | 111 251 |
Coût net des activités poursuivies | 591 675 | 604 819 |
La présentation de l’indicateur de la dette nette et d’un état de la variation de la dette nette sont requis par les principes comptables généralement reconnus du Canada.
La dette nette est la différence entre les passifs d’un gouvernement et ses actifs financiers, et vise à fournir une mesure des revenus futurs requis pour payer les transactions et événements passés. Un état de la variation de la dette nette viendrait présenter les changements qui se sont produits sur les éléments tels que les immobilisations corporelles, les charges payées d’avance et les stocks de fournitures renouvelables durant la période. L’Agence est financée par le gouvernement du Canada au moyen d’autorisations parlementaires et ils effectuent leurs opérations à même le Trésor, qui est administré par le receveur général du Canada. Tous les montants reçus par l’Agence sont versés au Trésor et tous les montants déboursés par l’Agence sont payés à même le Trésor. Dans ce modèle d’opération du gouvernement, les actifs reflétés dans les états financiers de l’Agence, à l’exception du montant à recevoir du Trésor, ne sont pas disponibles à être utilisés pour acquitter les passifs existants de l’Agence. Les passifs de l’Agence seront acquittés à l’aide des autorisations parlementaires futures et des autres revenus générés par les opérations de l’Agence qui sont disponible à être dépensés.
2011 | 2010 | |
---|---|---|
Passifs : | ||
Créditeurs et charges à payer | 94 220 | 86 712 |
Revenus reportés (note 7) | 15 981 | 13 706 |
Avantages sociaux futurs (note 8) | 62 488 | 60 025 |
Provision pour nettoyage environnemental (note 9b)) | 19 810 | 56 255 |
Total des passifs | 192 499 | 216 698 |
Actifs financiers : | ||
Liquidités disponibles (note 3) | 107 629 | 100 972 |
Débiteurs | 9 524 | 7 752 |
Total des actifs financiers | 117 153 | 108 724 |
Indicateur de la dette nette | 75 346 | 107 974 |
Durant l’exercice, l’Agence a adopté la révision de la norme comptable du Conseil du Trésor soit la NCCT 1.2 : États financiers des ministères et organismes, qui s’applique à l’Agence à compter de l’exercice 2011.
L’adoption de cette norme révisée n’a eu aucun impact sur le coût de fonctionnement net ou l’état de la situation financière de l’Agence pour l’exercice en cours ou les exercices précédents. Aucun changement n’a été apporté aux conventions comptables de l’Agence. La présentation de l’information sectorielle à la note 13 est le seul changement majeur apporté aux états financiers de l’Agence.
Certains chiffres correspondants de l’exercice précédent ont été reclassés pour être conformes à la présentation du présent exercice.
Depuis l’entrée en vigueur, le 1er avril 2009, de la Politique sur le contrôle interne du Conseil du Trésor, les ministères et agences sont tenus de démontrer qu’ils se sont dotés d’un système de contrôle interne efficace en matière de rapports financiers (CIRF).
Dans le cadre de cette politique, les ministères et agences doivent évaluer annuellement leur système de CIRF, établir des plans d’action pour apporter les ajustements qui s’imposent et joindre à leur Déclaration de responsabilité de la direction un sommaire des résultats de l’évaluation et du plan d’action.
L’efficacité des systèmes de CIRF vise à obtenir des états financiers fiables et à s’assurer que :
Il importe de noter que le système de CIRF n’est pas conçu pour éliminer totalement les risques mais plutôt pour les atténuer à un niveau raisonnable, les contrôles étant efficaces et définis en proportion des risques qu’ils visent à atténuer.
Le système de contrôle interne en matière de rapports financiers est conçu pour atténuer les risques à un niveau raisonnable fondé sur un processus continu qui vise à identifier et à évaluer l’efficacité des contrôles clés et à y apporter les ajustements nécessaires ainsi qu’à surveiller le fonctionnement du système à des fins d’amélioration continue. Par conséquent, la portée, la fréquence et l’état d’avancement des évaluations de l’efficacité du système de CIRF des ministères et des agences peuvent varier d’une organisation à l’autre, compte tenu des risques et des situations qui leur sont propres.
Cette annexe n’a pas fait l’objet d’une vérification.
Le présent document non vérifié est annexé à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers de Parcs Canada pour l’exercice 2010–2011. Conformément à la nouvelle Politique sur le contrôle interne du Conseil du Trésor, en vigueur depuis le 1er avril 2009, pour la première fois ce document contient des renseignements récapitulatifs sur les mesures prises par Parcs Canada pour maintenir un système de contrôle interne des rapports financiers (CIRF). Plus particulièrement, il fournit de l’information sur les évaluations menées par Parcs Canada en date du 31 mars 2011, y compris des renseignements sur les progrès, les résultats et les plans d’action connexes ainsi que les principales données financières permettant de mieux comprendre l’environnement de contrôle propre à l’Agence.
Les pouvoirs, le mandat et les activités de programme de Parcs Canada sont expliqués en détail dans la section 1 de ce Rapport sur le rendement ou dans le Rapport sur les plans et priorités http://www.tbs-sct.gc.ca/rpp/2011-2012/inst/cap/cap00-fra.asp.
La liste ci-dessous énumère les principaux éléments de l’information financière concernant l’exercice 2010–2011. De plus amples renseignements se trouvent dans les états financiers vérifiés de Parcs Canada annexés aux présentes.
Le Bureau du vérificateur général du Canada procède à une vérification annuelle des états financiers de l’Agence. Depuis les 10 dernières années, l’Agence reçoit une opinion sans réserve.
Parcs Canada confie à d’autres organismes le traitement de certaines opérations qui sont consignées dans ses états financiers :
Les changements importants suivants en rapport avec les états financiers sont survenus au cours de l’exercice 2010–2011.
Parcs Canada reconnaît qu’il incombe à la haute direction de donner le ton pour que les employés de tous les niveaux comprennent leur rôle dans le maintien d’un système efficace de CIRF et qu’ils soient en mesure d’exercer leurs responsabilités à cet égard avec compétence. Parcs Canada a pour priorité de s’assurer que les risques sont bien gérés grâce à un environnement de contrôle adaptable et axé sur le risque, qui permet d’améliorer et d’innover constamment.
Les postes et les comités de Parcs Canada énuméré ci-dessous sont chargés d’assurer et d’examiner l’efficacité du système de CIRF :
Directeur général de l’Agence (DGA) — Le DGA, à titre d’administrateur des comptes, assume la responsabilité générale et le leadership des mesures prises pour établir un système efficace de contrôle interne. À ce titre, il préside le Comité de vérification et le Comité de la haute direction.
Dirigeant principal des finances (DPF) — Le DPF de Parcs Canada relève directement du DGA et exerce un leadership à l’égard de la coordination, de la cohérence et de l’orientation de la conception et du maintien d’un système de CIRF efficace et intégré, ce qui comprend son évaluation annuelle.
Cadres supérieurs — Les cadres supérieurs de Parcs Canada chargés de l’exécution des programmes doivent veiller au maintien et à l’efficacité des différents aspects du système de CIRF qui s’inscrivent dans leur mandat.
Dirigeant principal de la vérification (DPV) — Relevant directement du DGA, le DPV de Parcs Canada fournit une assurance au moyen de vérifications internes périodiques, lesquelles sont essentielles au maintien de l’efficacité du système de CIRF.
Comité de vérification — Le comité de vérification fournit un point de vue objectif sur les cadres de gestion des risques, de contrôle et de gouvernance de Parcs Canada. Ce comité est composé de trois membres externes et a été établi en 2008–2009.
Comité exécutif de gestion (CEG) — À titre d’instance décisionnel central de Parcs Canada, le CEG examine, approuve et surveille le profil de risque et le système de contrôle interne de l’organisation, notamment l’évaluation et les plans d’action relatifs au système de CIRF.
Comité des opérations — Le Comité des opérations de Parcs Canada est considéré comme le comité chargé de formuler des recommandations. Il revoit, évalue, recommande, coordonne et surveille la mise en œuvre d’initiatives et de décisions qui ont des incidences notables sur le fonctionnement et les finances.
L’environnement de contrôle de Parcs Canada prévoit en outre un ensemble de mesures visant à aider les employés à gérer efficacement les risques grâce à une sensibilisation accrue, à des connaissances et des outils pertinents ainsi qu’au perfectionnement de leurs compétences. Parmi les principales mesures, mentionnons :
Conformément aux exigences prévues par la loi, les états financiers de Parcs Canada sont vérifiés par le Bureau du vérificateur général (BVG) depuis plus de dix ans. Parallèlement, la haute direction a mis l’accent sur le besoin d’officialiser son approche de gestion et de maintien de son système de CIRF, en appui aux objectifs d’amélioration continue.
De plus, conformément à la Politique sur le contrôle interne du Conseil du Trésor, Parcs Canada a commencé, en 2010–2011, à mettre en œuvre un plan d’évaluation pluriannuel et axé sur les risques systématique de l’efficacité conceptuelle et fonctionnelle de son système de CIRF.
Par l’évaluation de l’efficacité de la conception, Parcs Canada vérifiera si les points de contrôle clés sont précisés, consignés, mis en place, et s’assurera que les contrôles clés correspondent aux risques qu’ils visent à atténuer et que les mesures correctives nécessaires sont appliquées en temps opportun. À cette fin, il faut mettre en correspondance les principaux processus et systèmes de TI avec les principaux comptes ou catégories d’opérations.
Par l’évaluation de l’efficacité du fonctionnement, l’Agence s’assurera que les contrôles clés concernant les rapports financiers ont été mis à l’essai pendant une période définie, qu’ils fonctionnent comme prévu et que les mesures correctives nécessaires ont été apportées en temps opportun.
Ces essais englobent tous les types de contrôle de l’Agence, notamment l’environnement de contrôle, le contrôle informatique général et le contrôle des processus opérationnels.
L’évaluation de l’efficacité conceptuelle et de l’efficacité fonctionnelle du système de CIRF permettra d’assurer une surveillance et une amélioration continue du système.
Parcs Canada a adopté un processus en huit étapes qui vise à faciliter l’adoption d’une vision commune et objective de la robustesse des contrôles dans l’ensemble de l’organisation. Le processus est basé sur une directive distribuée par le Bureau du contrôleur général aux organisations qui mettent en œuvre la Politique sur le contrôle interne.
Selon l’étape initiale de l’évaluation du risque et de la portée, Parcs Canada prendra des mesures afin d’évaluer son système de CIRF, en se concentrant sur les éléments de contrôle suivants :
Élément de contrôle | Portée |
---|---|
Environnement de contrôle |
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Contrôles généraux de la technologie de l’information |
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Contrôles liés aux processus opérationnels |
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Pour chacun des éléments de contrôle et des processus opérationnels importants, Parcs Canada prendra ensuite les mesures suivantes :
Les sections suivantes présentent un résumé des principaux résultats suite à l’évaluation de la documentation, des essais de conception et des essais de fonctionnement en date du 31 mars 2011.
Durant l’exercice financier 2010–2011, Parcs Canada a procédé, dans le menu détail, à l’étape de la planification et de la définition de la portée en décomposant les états financiers et en effectuant une évaluation des risques afin d’identifier les principaux clés et les comptes principaux à évaluer dans le cadre de la mise en œuvre de la Politique sur le contrôle interne.
L’Agence évalue actuellement les documents existants qui se rapportent à l’environnement de contrôle et aux contrôles liés aux processus opérationnels.
Élément de contrôle | Statut des documents |
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Environnement de contrôle |
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Contrôles généraux de la technologie de l’information |
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Contrôles liés aux processus opérationnels |
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Parcs Canada s’est engagé à veiller à l’efficacité de la conception des activités de contrôle dans le but de définir et de renforcer des contrôles clés après l’examen des documents. En procédant à des essais sur l’efficacité de la conception, Parcs Canada vise à s’assurer que les contrôles clés liés au CIRF sont correctement définis, documentés et mis en œuvre, qu’ils sont adaptés aux risques qu’ils sont censés atténuer et que tout correctif est apporté de manière appropriée et en temps opportun. Les activités d’évaluation comprendront la détermination des principaux risques et des contrôles internes mis en œuvre afin d’atténuer ces risques, ainsi qu’une révision structurée visant à évaluer l’efficacité de la conception des contrôles internes.
Élément de contrôle | Statut des essais sur l’efficacité de la conception |
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Environnement de contrôle |
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Contrôles généraux de la technologie de l’information |
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Contrôles liés aux processus opérationnels |
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Parcs Canada s’est engagé à entreprendre des essais sur l’efficacité du fonctionnement des activités de contrôle après avoir procédé à des essais sur l’efficacité de la conception. En procédant à des essais sur l’efficacité du fonctionnement des contrôles clés, Parcs Canada mettra en œuvre une approche et une méthodologie en matière d’essai fondées sur le risque qui permettront de définir les contrôles clés à vérifier pendant une période donnée, y compris la sélection d’un échantillon, la période d’essai, ainsi que la méthode et la fréquence des essais. Les essais sur l’efficacité du fonctionnement de l’environnement de contrôle et des contrôles liés aux processus opérationnels ne s’amorceront que lorsque les correctifs découlant des essais sur l’efficacité de la conception auront été apportés et qu’une période de rodage suffisante se sera écoulée, laissant aux contrôles le temps de fonctionner pendant l’exercice financier.
Élément de contrôle | Statut des essais sur l’efficacité du fonctionnement |
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Environnement de contrôle |
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Contrôles généraux de la technologie de l’information |
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Contrôles liés aux processus opérationnels |
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Au cours de l’exercice 2010–2011, Parcs Canada a entrepris la planification, la documentation et l’évaluation de son système de CIRF. Voici un résumé des principaux progrès réalisés par l’organisation au 31 mars 2011 :
À compter de l’exercice financier 2011–2012, le plan d’action ci-après fait ressortir les progrès que Parcs Canada aura enregistrés au chapitre de l’évaluation de ses contrôles clés. Le plan de travail a été élaboré en fonction d’une évaluation des plus grands risques liés à la production de rapports, et en conformité avec les initiatives en matière de gestion financière de Parcs Canada et du gouvernement du Canada.
2011–12 | 2012–13 | 2013–14 | ||||||||||
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Documentation | Efficacité de la conception | Efficacité du fonctionnement | Surveillance continue | Documentation | Efficacité de la conception | Efficacité du fonctionnement | Surveillance continue | Documentation | Efficacité de la conception | Efficacité du fonctionnement | Surveillance continue | |
Contrôles à l’échelle de l’entité | ||||||||||||
Gouvernance et responsabilisation | • | • | • | • | • | |||||||
Plan comptable | • | • | • | • | • | |||||||
Contrôles généraux de la TI | ||||||||||||
Parcs Canada s’appuiera sur l’évaluation des contrôles généraux de la TI effectuée par Patrimoine canadien. Patrimoine canadien a évalué ses documents et procédé aux essais sur l’efficacité de la conception et du fonctionnement. | ||||||||||||
Contrôles liés aux processus opérationnels | ||||||||||||
Comptes fournisseurs | • | • | • | • | • | |||||||
Gestion des recettes | • | • | • | • | • | • | ||||||
Actifs immobilisés | • | • | • | • | • | |||||||
Passifs environnementaux | • | • | • | • | • | |||||||
Production de rapports financiers | • | • | • | • |
La version électronique de tous les tableaux de renseignements supplémentaires qui figurent dans le Rapport sur le rendement de 2010–2011 est disponible sur le site Web du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, à l’adresse suivante :
http://www.tbs-sct.gc.ca/dpr-rmr/2010-2011/index-fre.asp.
L’application du nouveau cadre de gestion financière du gouvernement, avec ses attentes accrues en matière de rapports et d’intendance, est actuellement en cours à Parcs Canada. Pour satisfaire aux nouvelles normes gouvernementales en matière de rapports, l’Agence a inclus les états financiers orientés vers l’avenir dans son plan d’entreprise 2011–2012. L’Agence est également prête à produire sa première série de rapports financiers trimestriels en septembre 2011 et à faire rapport annuellement sur ses frais en matière de déplacements, de représentation et de conférences dès novembre 2011.
Parcs Canada a continué d’améliorer son cadre de gouvernance en matière de gestion financière en poursuivant la mise en œuvre du modèle de dirigeant principal des finances. Pour garantir le degré souhaité d’indépendance et d’objectivité, l’Agence a créé un poste distinct de chef de la direction financière sans autres responsabilités à l’égard des programmes. Le chef de la direction financière relève directement du chef de la direction et est membre du comité de la haute direction.
En réponse à la politique du Conseil du trésor en matière de contrôle interne, Parcs Canada s’est dotée d’un plan d’action qui fait partie de la déclaration de responsabilité de la direction et comprend le contrôle interne des rapports financiers inclus dans le présent rapport de rendement.
Parcs Canada continue de participer activement aux groupes de travail interministériels dirigés par le Bureau du contrôleur général du Canada et ayant pour mandat d’élaborer des processus opérationnels communs en gestion financière. L’Agence a également approuvé une série d’outils automatisés, dont un système de gestion des déplacements, une fonction de dépôt direct, un système de terminaux de point de vente et de fiches électroniques de signature, pour harmoniser les processus de gestion financière de ses activités. Leur mise en œuvre se poursuivra pendant l’exercice 2011–2012.
Parcs Canada a continué d’étendre sa couverture d’évaluation des dépenses directes au titre des programmes en rationalisant les phases de planification, d’exécution et de rapports de ce processus. Le plan d’évaluation actuellement en vigueur prévoir une couverture de 88 pour 100 entre avril 2011 et mars 2016, les 12 pour 100 restants se rapportant à un programme qui a trait à la gestion des routes et qui a été couvert en 2010–2011.
Parcs Canada a lancé sa nouvelle vision à l’interne en janvier 2009 et, depuis, s’emploie à veiller à ce que tous les employés la comprennent et organisent leur travail de manière à réaliser cette vision. Au cours des dernières années, cette vision a été intégrée à tous les aspects des activités et des programmes de l’Agence. Par exemple, l’Agence a réaligné son processus de planification d’entreprise pour s’assurer que le travail et les priorités de chacune de ses unités fonctionnelles soient en phase avec celle-ci. De plus, les allocutions et les communications des hauts dirigeants, ainsi que les communications externes de l’Agence, sont souvent rédigés dans des termes empruntés à la vision pour que la forme et le contenu de celle-ci y soient fortement associés.
Parcs Canada a encore amélioré sa cote d’employeur de choix représentatif de la diversité canadienne. En juin 2010, l’Agence a lancé son programme Le meilleur emploi d’été au Canada pour recruter 32 jeunes Canadiens enthousiastes et qualifiés et, les ayant mis en rapport étroit avec notre patrimoine naturel et culturel, leur donner la possibilité d’acquérir une précieuse expérience de travail à certains des parcs nationaux, des lieux historiques et des aires marines nationales de conservation de notre pays. Sur le plan de l’équité en matière d’emploi, Parcs Canada a maintenu au sein de ses effectifs la forte représentation d’Autochtones et accru celle des minorités visibles, des personnes handicapées et des femmes, ce qui lui a permis de réduire encore l’écart par rapport à la disponibilité de ces groupes sur le marché du travail. L’Agence a également fait un pas de plus vers un milieu de travail inclusif en mettant en circulation un formulaire électronique d’auto-identification aux fins de l’équité en matière d’emploi.
Parcs Canada s’emploie vigoureusement à promouvoir une culture de la compétence dans tous ses secteurs d’activité et soutient activement ses employés dans leur carrière. L’Agence s’est dotée d’énoncés de qualités normalisés à l’appui de son initiative de Renouvellement de la conservation des ressources afin de favoriser l’embauche et la formation de personnel qualifié. Elle a amélioré le processus de gestion du rendement de ses cadres intermédiaires en incorporant des qualités de leadership à leur fiche d’évaluation et en liant leurs objectifs de rendement à ses propres résultats. À ce jour, les gestionnaires et les superviseurs ont, à plus de 65 pour 100, terminé leurs cours de formation obligatoires. Parcs Canada vise à atteindre le chiffre de 90 pour 100 d’ici mars 2012. L’Agence a également rendu de nouveau obligatoire le programme d’orientation des nouveaux employés pour faire connaître les priorités en vigueur et a incorporé de nouveaux modules sur le perfectionnement professionnel. En outre, l’Agence a formé quelque 4 000 employés aux techniques d’amélioration de la qualité de l’expérience du visiteur. Enfin, l’Agence continue de fournir à son personnel des occasions de perfectionnement dans le cadre de son programme de formation au leadership pour Autochtones et de son programme d’échange - Parks Victoria.
En 2010–2011, Parcs Canada a poursuivi le Programme de prévention des risques et s’est dotée de pratiques de travail génériques sécuritaires à l’appui de son application. Actuellement, ces pratiques sont en train d’être introduites dans tous les bureaux de Parcs Canada d’un bout à l’autre du pays. En collaboration avec la Commission des relations de travail dans la fonction publique et de l’Alliance de la fonction publique du Canada, l’Agence a établi un processus de règlement accéléré des griefs pour régler les griefs liés au processus national de révision de la classification. Elle a également mis en application une version révisée de l’instrument de délégation des compétences en matière de ressources humaines qui est en phase avec les politiques des ressources humaines ainsi que les obligations qui émanent des contrats.
En janvier 2011, Parcs Canada a tenu un atelier avec des spécialistes en gestion de l’actif pour établir l’ordre de priorité des recommandations de l’évaluation 2009 du Programme de gestion des biens de Parcs Canada et prendre en compte les pressions économiques et financières que subissent l’Agence et le gouvernement dans son ensemble. L’atelier a montré que Parcs Canada devrait concentrer ses efforts sur des actions qui en donnent aux Canadiens le plus possible pour leur argent. Pour ce faire, le point de mire de l’Agence dans les prochaines années sera de se fixer un nouvel horizon pour progresser. Ce plan embrassera les recommandations d’évaluation pour les cinq prochaines années et soulignera les mesures que Parcs Canada mettra en œuvre pour se doter d’une base de biens qui satisfera aux exigences les plus élevées tant d’elle-même que du gouvernement afin que les Canadiens puissent continuer d’être attachés aux lieux historiques et aux aires marines de conservation pour de nombreuses années encore.
Parcs Canada a mis en branle l’élaboration de nouveaux systèmes de gouvernance ainsi que de nouvelles politiques, normes et procédures internes pour satisfaire aux exigences des nouvelles politique du Conseil du trésor sur la Planification des investissements — actifs et services acquis, et sur la Gestion de projets. Cela conduira à l’élaboration du Plan d’investissement et à la nouvelle norme de gestion de projets de Parcs Canada d’ici fin 2011–2012. Dans le prolongement de ces activités, début 2011, Parcs Canada a procédé à un réexamen de toutes les directives en matière de biens immobiliers comme première étape de la mise à jour et de l’application d’un ensemble de politiques conformes aux exigences des nouvelles politique du Conseil du trésor sur la Planification des investissements — actifs et services acquis, et sur la Gestion de projets. Les modifications à ces directives seront prioritairement examinées. Les prochaines étapes concerneront notamment l’élaboration et diffusion d’un cadre de gestion des biens qui définira quels instruments de politique sont nécessaires pour satisfaire aux besoins de l’Agence.
Le Programme d’information sur les visiteurs utilise un questionnaire standard visant à fournir aux gestionnaires des parcs nationaux, des lieux historiques nationaux et des aires marines nationales de conservation, des renseignements sur les visiteurs quant à leur utilisation des produits et des services et à leur satisfaction par rapport à divers autres aspects de leur visite. Le processus de sélection des lieux protégés susceptibles de participer au Programme d’information sur les visiteurs, chaque année, est aligné, dans la mesure du possible, sur le calendrier des besoins en matière de la planification de direction et de la production de rapports. Les parcs nationaux, lieux historiques nationaux et aires marines nationales de conservation qui participent au Programme d’information sur les visiteurs sur un cycle de cinq ans, représentent 98 pour 100 du nombre total de visites enregistrées dans les lieux patrimoniaux administrés par Parcs Canada.
En 2010–2011, 19 lieux ont mené le sondage pendant la période de pointe de juin à septembre 2010. Les participants au sondage étaient invités à y répondre sur place et ont donc reçu un formulaire papier à remplir.
Au cours des 11 dernières années, les taux moyens de retour pour les lieux patrimoniaux nationaux ont été supérieurs à 65 pour 100; les taux de retour les plus élevés (75 pour 100) ont été enregistrés dans les lieux historiques nationaux et les plus faibles (45 pour 100) dans les parcs nationaux. Le taux de retour pour les lieux patrimoniaux ayant fait l’objet d’un questionnaire d’appréciation en 2010–2011 était de 59 pour 100, ce qui signifie que six visiteurs sur dix ont retourné un questionnaire de sondage rempli à Parcs Canada. En 2010–2011, l’Agence a modifié le questionnaire de sondage pour le rendre plus convivial; elle a ajouté un préambule mettant en valeur les éléments d’identification de Parcs Canada, a grossi la police de caractères, a modifié l’agencement des questions et a laissé plus d’espace pour les réponses. Dans la version de 2011–2012, un élément ajouté au préambule soulignera la célébration du centenaire de Parcs Canada.
Parcs Canada mesure son résultat stratégique (attachement personnel) et le rendement de son activité de programme 3 (Appréciation et compréhension du public) au moyen d’un sondage d’opinion national. Celui-ci a pour but d’obtenir de l’information sur l’attitude des Canadiens et des Canadiennes envers leur patrimoine naturel et culturel; leur connaissance et leur compréhension de l’Agence, ainsi que de ses programmes et de ses responsabilités; et leur appréciation des lieux administrés par Parcs Canada ainsi que leur appui général du mandat et des activités de l’Agence.
Le sondage se déroule par téléphone et couvre un échantillon représentatif de Canadiens et Canadiennes. Le dernier sondage a eu lieu en mars 2009; 3 779 résidents y ont répondu, ce qui a généré un taux de réponse de 8 pour 100 — soit la norme de l’industrie actuelle en matière de sondages par téléphone. Compte tenu de la taille de l’échantillon, les résultats du sondage sont considérés exacts 19 fois sur 20 (seuil de confiance de 95 pour 100). Le prochain sondage est prévu pour 2011–2012.
Parcs Canada mesure son rendement quant à l’engagement des intervenants et des partenaires au moyen d’un Sondage sur l’engagement des intervenants et des partenaires (SEIP). L’engagement des intervenants et des partenaires est l’une des sous-activités liées à l’activité de programme 3, Appréciation et compréhension du public. Le SEIP est conçu pour évaluer le rendement de Parcs Canada aux yeux des intervenants et des partenaires, plus particulièrement en ce qui concerne la qualité et la pertinence de ses activités de mobilisation du public, la mesure dans laquelle les intervenants et les partenaires soutiennent ses activités et le succès avec lequel Parcs Canada leur fournit des occasions de s’impliquer.
Le SEIP est un sondage en ligne auprès d’un échantillon représentatif d’intervenants et de partenaires de Parcs Canada. Le dernier sondage de ce type a été administré en novembre 2009. Des 2 538 intervenants et partenaires invités à y prendre part, 781 ont rempli le questionnaire, ce qui représente un taux de participation de 31 pour 100. Les résultats du sondage sont considérés exacts 19 fois sur 20 (seuil de confiance de 95 pour 100). Le prochain SEIP est prévu pour 2011–2012.
Le gouvernement du Canada s’est engagé à établir une relation de travail forte, efficace et mutuellement avantageuse avec les Métis et les autres groupes d’autochtones. Dans le cadre d’une stratégie pluriministérielle de mise en œuvre des programmes ayant trait à la réconciliation des Métis et à la gestion de leurs droits ancestraux, Parcs Canada a reçu en 2010–2011 4,25 millions de dollars à investir sur cinq ans.
Ce financement permettra à l’Agence de collaborer avec les communautés et les organismes des Métis à la réalisation de quelque 18 projets de célébration de leur histoire et de leur culture et d’œuvrer à l’établissement d’une relation permanente avec les communautés des Métis. Ces projets aideront également à préserver l’histoire et la culture des Métis et à accroître la sensibilisation des Canadiens et Canadiennes à cet aspect important du patrimoine canadien grâce à des programmes d’éducation publique dans les parcs et les lieux historiques nationaux dans les régions de l’ouest et du nord du Canada.
La stratégie sous-jacente est régie par Affaires autochtones et Développement du Nord Canada (AADNC), anciennement Affaires indiennes et du Nord canadien, et fait également intervenir Environnement Canada et la Gendarmerie royale du Canada.
Au cours des 12 premiers mois de l’initiative, Parcs Canada a accru sa capacité à nouer des relations avec les Métis si bien que l’Agence peut maintenant (2011–2012) procéder à la réalisation des projets.
Renseignements généraux :
Parcs Canada — Bureau national
25-7-N, rue Eddy
Gatineau (Québec)
Canada K1A 0M5
Renseignements généraux :
888-773-8888
Renseignements généraux (Internationale) :
613-860-1251
Téléscripteur (ATS) :
866-787-6221
i. Les différents types de priorités sont les suivants : priorité déjà établie — établie au cours du premier ou du deuxième exercice précédant l’exercice visé dans le rapport; priorité permanente — établie au moins trois exercices avant l’exercice visé dans le rapport; priorité nouvelle — établie au cours de l’exercice visé dans le rapport sur le rendement.
ii. Depuis le cycle des budgets des dépenses 2009–2010, les ressources de l’activité de programme Services internes sont présentées de façon distincte des autres activités de programme; elles ne sont plus distribuées parmi les activités de programme restantes, comme c’était le cas dans les budgets principaux des dépenses précédents. Cette mesure a une incidence sur la comparabilité des dépenses et de l’information liée aux ETP par activité de programme entre les divers exercices.
iii. On calcule la moyenne générale de l’intégrité commémorative en additionnant la valeur numérique de l’intégrité commémorative de chaque lieu historique national, telle que déterminée par les évaluations de référence ou par les réévaluations, et en divisant cette somme par le nombre total de lieux dont l’intégrité commémorative a été évaluée (133 en tout).
iv.Les cotes d’intégrité commémorative pour deux des vingt lieux historiques nationaux réévalués en 2010–2011 ont été initialement calculées par les sites au cours d’une année précédente et le calcul final a été fait en 2010–2011. L’exercice d’évaluation de l’intégrité commémorative a été fait en 2008–2009 à la Tour-Martello-de-Carleton et en 2009–2010 à Port-la-Joye–Fort-Amherst. Six réévaluations ont eu lieu en avril 2011 afin de mesurer l’impact des travaux complétés en 2010–2011 aux lieux historiques nationaux suivants : Centre d’Acceuil-du-Parc-Jasper, Fort-Langley, Fort-McNab, Fort Rodd Hill, Jasper House et Phare-de-Fisgard.
v. Cotes d’intégrité commémorative
Score | Cotes du degré de dégradation |
---|---|
10 |
Absence de dégradation signifie que les trois éléments de l’IC ont obtenu une cote bonne. |
9 |
Une dégradation mineure signifie qu’au moins un élément de l’IC a obtenu une cote inférieure à bonne, mais aucun élément n’a obtenu une cote faible. |
8 |
Une dégradation mineure signifie qu’au moins un élément de l’IC a obtenu une cote inférieure à bonne, mais aucun élément n’a obtenu une cote faible. |
7 |
Une dégradation mineure signifie qu’au moins un élément de l’IC a obtenu une cote inférieure à bonne, mais aucun élément n’a obtenu une cote faible. |
6 |
Une dégradation importante signifie qu’un seul élément de l’IC a obtenu une cote faible. |
5 |
Une dégradation importante signifie qu’un seul élément de l’IC a obtenu une cote faible. |
4 |
Une dégradation importante signifie qu’un seul élément de l’IC a obtenu une cote faible. |
3 |
Une dégradation très importante signifie que deux éléments de l’IC ont obtenu une cote faible. |
2 |
Une dégradation très importante signifie que deux éléments de l’IC ont obtenu une cote faible. |
1 |
Une dégradation grave signifie que les trois éléments de l’IC ont obtenu une cote faible. |
vi. Bien que le nombre de sites demeure 133 pour 2010–2011, la composition est différente de celle de 2008–2009 et 2009–2010. Cathcart Tower était inclus en 2008–2009 et 2009–2010, mais exclus en 2010–2011 vu qu’on avait précédemment jugé qu’il était une composante d’un site historique national plus vaste (Fortifications de Kingston), et la cote de Canso Islands/Fort Grassy Island a été scindée pour souligner queces deux sites sont distincts mais qu’ils se chevauchent. Les données de 2008–2009 et de 2009–2010 ont été ajustées et rapportée ici.
vii. Le processus de création d’un parc national commence par la détermination de plusieurs aires naturelles représentatives d’une région naturelle (étape 1), suivie de la sélection d’une aire d’intérêt pour un éventuel parc national (étape 2), la réalisation d’une étude de faisabilité incluant des consultations (étape 3), la négociation des ententes de création d’un parc (étape 4) et la protection officielle du parc en vertu de la Loi sur les parcs nationaux du Canada (étape 5).
viii. Le processus de création d’une aire marine nationale de conservation commence par la détermination de plusieurs aires représentatives d’une région marine (étape 1), suivie de la sélection d’une aire marine nationale de conservation éventuelle (étape 2), la réalisation d’une étude de faisabilité incluant des consultations (étape 3), la négociation d’ententes en vue de l’établissement d’une aire marine nationale de conservation (étape 4) et la protection officielle de l’aire marine en vertu de la Loi sur les aires marines nationales de conservation du Canada (étape 5).
ix. L’indication de l’état de l’intégrité écologique sans tendance signifie qu’il y a eu une évaluation dans le parc national pour déterminer l’état, mais qu’il n’y a pas suffisamment d’années de données pour indiquer une tendance.
x. Cinq biens qui n’avaient pas été enregistrés à Field en 2009–2010 ont été identifiés et enregistrés comme des biens du lotissement urbain Field en 2010–2011.
xi. Huit biens qui ont été enregistrés à Lake Louise en 2009–2010 ont été identifiés et enlevé du régistre en 2010–2011. De plus, trois biens qui non pas été enregistrés à Lake Louise en 2009–2010 ont été identifiés et enregistrés comme des biens du lotissement urbain Lake Louise en 2010–2011.
xii. Quatre biens qui n’avaient pas été enregistrés à Wasagaming en 2009–2010 ont été identifiés et enregistrés comme des biens du lotissement urbain Wasagaming en 2010–2011.
xiii. Vingt-deux biens qui ont été enregistrés à Waskesiu en 2009–2010 ont été identifiés et enlevé du régistre en 2010–2011. De plus, seize biens qui non pas été enregistrés à Waskesiu en 2009–2010 ont été identifiés et enregistrés comme des biens du lotissement urbain Waskesiu en 2010–2011.
xiv. Cinq biens qui ont été enregistrés à Waterton en 2009–2010 ont été identifiés et enlevé du régistre en 2010–2011. De plus, treize biens qui non pas été enregistrés à Waterton en 2009–2010 ont été identifiés et enregistrés comme des biens du lotissement urbain Waterton en 2010–2011.
xv. En 2009–2010, les ponts inventoriés étaient au nombre de 116, mais l’un de ses ponts, qui était un aménagement temporaire, a été démantelé depuis. Le nombre de références pour les ponts enjambant les voies navigables est de 115.
xvi. Une fois effectuée la classification préliminaire des barrages de la région de Québec, il a été établi que deux barrages situés tout près l’un de l’autre n’étaient en fait qu’une seule et même structure. On a donc ajusté à la baisse le nombre de barrages pour l’année visée, 2009–2010. On a relevé une situation identique pour la voie navigable Trent-Severn.
xvii. Travaux entièrement menés à terme en 2010–2011.
xviii. Le Rapport sur le rendement de Parcs Canada 2009–2010 a présenté ce chiffre comme 1 058 kilometres. On a depuis corrigé ce chiffre à 1 056 kilometres lors de l’Evaluation de la gestion des routes de transit de Parcs Canada, publiée en novembre 2010.