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La pr�paration des �tats financiers ci-joints pour l’exercice clos le 31 mars 2011 et toute l’information figurant dans ces �tats incombe � la direction du Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada. Ces �tats financiers ont �t� pr�par�s par la direction conform�ment aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public.
La direction est responsable de l’int�grit� et de l’objectivit� de l’information pr�sent�e dans ces �tats financiers. Certaines informations pr�sent�es dans les �tats financiers sont fond�es sur les meilleures estimations et le jugement de la direction, et tiennent compte du caract�re significatif. Pour s’acquitter de ses obligations au chapitre de la comptabilit� et de la pr�sentation des rapports, la direction tient des comptes qui permettent l’enregistrement centralis� des op�rations financi�res du Bureau. L’information financi�re pr�sent�e aux fins de l’�tablissement des Comptes publics du Canada et figurant dans le Rapport minist�riel sur le rendement du Bureau concorde avec les �tats financiers audit�s ci-joints.
La direction est �galement responsable du maintien d’un syst�me de contr�le interne efficace en mati�re de rapports financiers, con�u pour donner une assurance raisonnable que l’information financi�re est fiable, que les actifs sont prot�g�s et que les op�rations sont autoris�es et enregistr�es ad�quatement, conform�ment � la Loi sur la gestion des finances publiques et � d’autres lois, r�glements, autorisations et politiques applicables.
La direction cherche � assurer l’objectivit� et l’int�grit� des donn�es pr�sent�es dans ses �tats financiers en choisissant soigneusement des employ�s qualifi�s et en assurant leur formation et leur perfectionnement; en prenant des dispositions pour assurer une r�partition appropri�e des responsabilit�s; en mettant au point des programmes de communication visant � assurer la compr�hension des r�glements, des politiques, des normes et des responsabilit�s de gestion � l’�chelle du Bureau; et en effectuant une �valuation annuelle de l’efficacit� du syst�me de contr�le interne en mati�re de rapports financiers.
Le syst�me de contr�le interne en mati�re de rapports financiers est con�u pour att�nuer les risques � un niveau raisonnable; il se peut toutefois qu’il ne permette pas de pr�venir ou de d�tecter certaines anomalies. Ce syst�me est fond� sur un processus continu qui vise � rep�rer et � prioriser les risques cl�s, � �valuer l’efficacit� des contr�les cl�s associ�s et � apporter les ajustements n�cessaires.
L’efficacit� et le caract�re ad�quat du syst�me de contr�le interne du Bureau font l’objet d’un examen par le personnel de la v�rification interne, qui fait des audits p�riodiques de diff�rents secteurs des activit�s du Bureau. Afin de pouvoir fonder l’approbation des �tats financiers qu’il recommande au Conseil de direction, le Comit� d’audit de Bureau examine les dispositions prises par la direction pour les contr�les internes et les m�thodes comptables utilis�es pour �tablir ses rapports financiers. Le Comit� d’audit tient des r�unions ind�pendantes avec les auditeurs externes et internes du Bureau pour �tudier les r�sultats de leurs travaux.
La politique sur le contr�le interne exige une �valuation de l’efficacit� de conception et de l’efficacit� de fonctionnement op�rationnel de son syst�me de contr�le interne en mati�re de rapports financiers. Le Bureau a effectu� une premi�re �valuation pour l’exercice clos le 31 mars 2011, et a conclu que le syst�me de contr�le interne en mati�re de rapports financiers est bien con�u et fonctionne comme pr�vu. Aucun �cart important n’a �t� observ�. Les r�sultats ainsi que le plan de surveillance continue sont r�sum�s en annexe � la d�claration de responsabilit� de la direction.
Welch LLP, L�vesque Marchand SENC, comptables agr��s, l’auditeur ind�pendant du Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada, a exprim� une opinion sur la pr�sentation fid�le des �tats financiers du Bureau, conform�ment aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public, qui n’inclut pas une opinion d’audit concernant l’�valuation annuelle de l’efficacit� des contr�les internes en mati�re de rapports financiers instaur�s par le Bureau.
Le v�rificateur g�n�ral du Canada par int�rim, |
La v�rificatrice g�n�rale adjointe et
|
John Wiersema, FCA |
Lyn Sachs, FCA |
Ottawa, Canada
Le 7 septembre 2011
Au pr�sident de la Chambre des communes
Rapport sur les �tats financiers
Nous avons effectu� l’audit des �tats financiers ci-joints du Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada, qui comprennent l’�tat de la situation financi�re au 31 mars 2011, et les �tats des r�sultats et du d�ficit, de la variation de la dette nette et des flux de tr�sorerie pour l’exercice clos � cette date, ainsi qu’un r�sum� des principales m�thodes comptables et d’autres informations explicatives.
Responsabilit� de la direction pour les �tats financiers
La direction est responsable de la pr�paration et de la pr�sentation fid�le de ces �tats financiers conform�ment aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public, ainsi que du contr�le interne qu’elle consid�re comme n�cessaire pour permettre la pr�paration d’�tats financiers exempts d’anomalies significatives, que celles-ci r�sultent de fraudes ou d’erreurs.
Responsabilit� de l’auditeur
Notre responsabilit� consiste � exprimer une opinion sur les �tats financiers, sur la base de notre audit. Nous avons effectu� notre audit selon les normes d’audit g�n�ralement reconnues du Canada. Ces normes requi�rent que nous nous conformions aux r�gles de d�ontologie et que nous planifiions et r�alisions l’audit de fa�on � obtenir l’assurance raisonnable que les �tats financiers ne comportent pas d’anomalies significatives.
Un audit implique la mise en œuvre de proc�dures en vue de recueillir des �l�ments probants concernant les montants et les informations fournis dans les �tats financiers. Le choix des proc�dures rel�ve du jugement de l’auditeur, et notamment de son �valuation des risques que les �tats financiers comportent des anomalies significatives, que celles-ci r�sultent de fraudes ou d’erreurs. Dans l’�valuation de ces risques, l’auditeur prend en consid�ration le contr�le interne de l’entit� portant sur la pr�paration et la pr�sentation fid�le des �tats financiers afin de concevoir des proc�dures d’audit appropri�es aux circonstances, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacit� du contr�le interne de l’entit�. Un audit comporte �galement l’appr�ciation du caract�re appropri� des m�thodes comptables retenues et du caract�re raisonnable des estimations comptables faites par la direction, de m�me que l’appr�ciation de la pr�sentation d’ensemble des �tats financiers.
Nous estimons que les �l�ments probants que nous avons obtenus sont suffisants et appropri�s pour fonder notre opinion d’audit.
Opinion
� notre avis, les �tats financiers donnent, dans tous leurs aspects significatifs, une image fid�le de la situation financi�re du Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada au 31 mars 2011, ainsi que des r�sultats de son exploitation, de la variation de sa dette nette et de ses flux de tr�sorerie pour l’exercice clos � cette date, conform�ment aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public.
Rapport relatif � d’autres obligations l�gales et r�glementaires
� notre avis, les op�rations du Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada dont nous avons eu connaissance au cours de notre audit des �tats financiers ont �t� effectu�es, dans tous leurs aspects significatifs, conform�ment � la Loi sur la gestion des finances publiques et ses r�glements et � la Loi sur le v�rificateur g�n�ral et son r�glement.
Welch LLP
L�vesque Marchand SENC
Comptables agr��s
Experts-comptables autoris�s
Ottawa, Canada
Le 7 septembre 2011
Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada
�tat de la situation financi�re
au 31 mars
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Actifs financiers | ||
Somme � recevoir du Tr�sor | 7 916 | 7 494 |
Cr�ances | 624 | 832 |
8 540 | 8 326 | |
Passifs | ||
Cr�diteurs et charges � payer | ||
Sommes dues aux employ�s | 3 692 | 2 649 |
Sommes dues � des tiers | 3 090 | 4 055 |
Indemnit�s de vacances | 3 630 | 3 667 |
Avantages post�rieurs � l’emploi (note 5) | 14 240 | 14 021 |
24 652 | 24 392 | |
Dette nette (note 6) | (16 112) | (16 066) |
Actifs non financiers | ||
Charges pay�es d’avance | 292 | 358 |
Immobilisations corporelles (note 7) | 2 858 | 3 509 |
3 150 | 3 867 | |
D�ficit (note 8) | (12 962) | (12 199) |
Passifs �ventuels (note 12) | ||
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers. |
Approuv� par :
Le v�rificateur g�n�ral du Canada par int�rim, |
La v�rificatrice g�n�rale adjointe et
|
John Wiersema, FCA |
Lyn Sachs, FCA |
Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada
�tat des r�sultats et du d�ficit
Exercice clos le 31 mars
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Charges (note 9) | ||
Audits des �tats financiers des soci�t�s d’�tat, des gouvernements territoriaux, d’autres organisations, et des �tats financiers sommaires du gouvernement du Canada | 44 049 | 40 046 |
Audits de performance et �tudes | 41 162 | 42 947 |
Examens sp�ciaux de soci�t�s d’�tat | 1 269 | 4 095 |
Activit�s de surveillance du d�veloppement durable et p�titions en mati�re d’environnement | 1 004 | 1 157 |
�valuation des rapports sur le rendement des agences | 712 | 358 |
Co�t total des audits | 88 196 | 88 603 |
M�thodes professionnelles (note 10) | 13 496 | 11 627 |
Co�t total de fonctionnement | 101 692 | 100 230 |
Co�ts recouvr�s | ||
Audits d’organisations internationales | 786 | 693 |
Autres | 219 | 219 |
Co�ts recouvr�s non disponibles | (912) | (894) |
Total des co�ts nets recouvr�s | 93 | 18 |
Co�t de fonctionnement net | 101 599 | 100 212 |
Financement gouvernemental | ||
Cr�dits parlementaires utilis�s (note 4) | 86 667 | 87 807 |
Services fournis gratuitement (note 11) | 14 169 | 13 952 |
100 836 | 101 759 | |
(D�ficit) exc�dent de l’exercice | (763) | 1 547 |
D�ficit accumul� au d�but de l’exercice | (12 199) | (13 746) |
D�ficit accumul� � la fin de l’exercice | (12 962) | (12 199) |
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers. |
Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada
�tat de la variation de la dette nette
Exercice clos le 31 mars
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
(D�ficit) exc�dent de l’exercice | (763) | 1,547 |
Acquisitions d’immobilisations corporelles | (503) | (1 267) |
Amortissement des immobilisations corporelles | 1 154 | 1 255 |
(112) | 1 535 | |
Acquisition de charges pay�es d’avance | (292) | (358) |
Utilisation de charges pay�es d’avance | 358 | 283 |
66 | (75) | |
(Augmentation) diminution de la dette nette au cours de l’exercice | (46) | 1,460 |
Dette nette au d�but de l’exercice | (16 066) | (17 526) |
Dette nette � la fin de l’exercice | (16 112) | (16 066) |
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers. |
Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada
�tat des flux de tr�sorerie
Exercice clos le 31 mars
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Activit�s de fonctionnement | ||
Sorties de fonds | ||
Salaires et avantages sociaux | (64 717) | (66 415) |
Cotisations l�gislatives aux r�gimes d’avantages sociaux | (10 942) | (9 543) |
Mat�riel, fournitures et services | (10 919) | (10 174) |
Services fournis par apparent�s | (2 114) | (1 449) |
Autres | (912) | (894) |
(89 604) | (88 475) | |
Rentr�es de fonds | ||
Salaires et avantages recouvr�s pour les employ�s en d�tachement | 2 890 | 1 242 |
Audits d’organisations internationales | 628 | 691 |
Autres | 344 | 563 |
3 862 | 2 496 | |
Cr�dits parlementaires utilis�s (note 4) | 86 667 | 87 807 |
Flux de tr�sorerie provenant des activit�s de fonctionnement | 925 | 1 828 |
Activit�s d’investissement en immobilisations | ||
Sorties de fonds relatives � l’acquisition d’immobilisations corporelles | (503) | (1 267) |
Flux de tr�sorerie affect�s aux activit�s d’investissement en immobilisations | (503) | (1 267) |
Augmentation de la somme � recevoir du Tr�sor | 422 | 561 |
Somme � recevoir du Tr�sor au d�but de l’exercice | 7 494 | 6 933 |
Somme � recevoir du Tr�sor � la fin de l’exercice | 7 916 | 7 494 |
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers. |
Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada
Notes aff�rentes aux �tats financiers de l’exercice clos le 31 mars 2011
La Loi sur le v�rificateur g�n�ral, la Loi sur la gestion des finances publiques et un �ventail d’autres lois et d�crets �noncent les fonctions du v�rificateur g�n�ral et du commissaire � l’environnement et au d�veloppement durable. Ces fonctions ont trait � l’audit l�gislatif des minist�res et organismes f�d�raux, des soci�t�s d’�tat, des gouvernements territoriaux, d’autres organisations et d’une organisation internationale.
L’activit� de programme du Bureau du v�rificateur g�n�ral du Canada est l’audit l�gislatif. Elle comprend les audits de performance et les �tudes de minist�res et d’organismes; l’audit des �tats financiers sommaires du gouvernement du Canada; les audits des �tats financiers des soci�t�s d’�tat, des gouvernements territoriaux et d’autres organismes; les examens sp�ciaux de soci�t�s d’�tat; les activit�s de surveillance du d�veloppement durable et les p�titions en mati�re d’environnement; et l’�valuation des rapports sur le rendement des agences.
Le Bureau est financ� au moyen de cr�dits annuels re�us du Parlement du Canada et n’est pas imposable aux termes de la Loi de l’imp�t sur le revenu.
Conform�ment � la Loi sur la gestion des finances publiques, le Bureau est un minist�re du gouvernement du Canada aux fins de la Loi et figure � l’annexe I.1, et est un organisme distinct aux fins de l’annexe V.
2. Principales m�thodes comptables
a) M�thode de pr�sentation
Les �tats financiers du Bureau ont �t� pr�par�s conform�ment aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public (PCSP) plut�t que selon la norme comptable du Conseil du Tr�sor 1.2 (NCCT). Malgr� les diff�rences, le Bureau et le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada se sont engag�s � revoir la NCCT actuelle d’ici le 31 d�cembre 2011. Cela permettra au Bureau et au Secr�tariat de trouver une solution aux diff�rences entre les PCSP et la NCCT.
b) Cr�dits parlementaires
Les cr�dits parlementaires annuels du Bureau sont pr�sent�s directement � l’�tat des r�sultats et du d�ficit de l’exercice pour lequel ils sont approuv�s par le Parlement et utilis�s par le Bureau.
c) Co�ts recouvr�s
Les co�ts des audits sont pay�s � l’aide des cr�dits vot�s par le Parlement et octroy�s au Bureau. Les honoraires pour les audits d’organisations internationales visent g�n�ralement � recouvrer les co�ts directs engag�s et sont comptabilis�s au cours de l’exercice o� les services d’audit sont rendus. Les montants recouvr�s sont d�pos�s au Tr�sor. Les autres co�ts recouvr�s repr�sentent des services professionnels d’audit rendus aux membres du Conseil canadien des v�rificateurs l�gislatifs (CCVL), et d’autres remboursements et ajustements. Les co�ts directs de salaire et autres co�ts recouvr�s des membres du CCVL peuvent �tre utilis�s par le Bureau.
d) Somme � recevoir du Tr�sor
Les op�rations financi�res du Bureau sont trait�es par l’entremise du Tr�sor du gouvernement du Canada. Le solde de la somme � recevoir du Tr�sor repr�sente le montant d’encaisse que le Bureau a le droit de tirer du Tr�sor, sans autre cr�dit, afin de s’acquitter de ses obligations.
e) Immobilisations corporelles
Les immobilisations corporelles sont comptabilis�es au co�t historique, moins l’amortissement cumul�. Le Bureau inscrit � l’actif les co�ts associ�s au d�veloppement de logiciels utilis�s � l’interne, y compris les licences d’exploitation des logiciels, les frais d’installation, les co�ts des contrats de services professionnels et les co�ts salariaux des employ�s directement associ�s � ces projets. Les frais de maintenance des logiciels, de gestion et d’administration des projets, de conversion des donn�es et de formation et de perfectionnement sont pass�s en charges au cours de l’exercice o� ils sont engag�s.
L’amortissement des immobilisations corporelles est calcul� � partir du moment o� elles sont utilis�es, selon la m�thode de l’amortissement lin�aire sur la dur�e de leur vie utile estimative, de la fa�on suivante :
Immobilisations corporelles | Vie utile |
---|---|
Am�liorations locatives | 10 ans |
Logiciels | 3 ans |
Mobilier et agencements | 7 ans |
Infrastructure et mat�riel informatiques | 3 ans |
Mat�riel de bureau | 4 ans |
V�hicule automobile | 5 ans |
f) Cr�diteurs et charges � payer
i) Sommes dues aux employ�s
Les sommes dues aux employ�s repr�sentent les obligations du Bureau au titre des salaires, d’apr�s les niveaux de salaires � la fin de l’exercice. Elles sont financ�es par des cr�dits parlementaires.
ii) Sommes dues � des tiers
Les sommes dues � des tiers repr�sentent les obligations du Bureau au titre des achats de mat�riel et de fournitures, y compris le co�t des services qui lui ont �t� rendus. Elles sont financ�es par des cr�dits parlementaires.
iii) Indemnit�s de vacances
Les indemnit�s de vacances sont pass�es en charges au fur et � mesure qu’elles sont gagn�es par les employ�s selon leurs conditions d’emploi et le salaire des employ�s � la fin de l’exercice. Le passif li� aux indemnit�s de vacances repr�sente des obligations du Bureau qui sont financ�es par des cr�dits parlementaires.
g) Avantages de retraite et avantages post�rieurs � l’emploi
i) Avantages de retraite
Tous les employ�s admissibles participent au R�gime de retraite de la fonction publique administr� par le gouvernement du Canada. Les cotisations, vers�es par le Bureau, sont �quivalentes � un multiple des cotisations vers�es par les employ�s et pourraient changer au fil du temps selon la situation financi�re du R�gime. Les cotisations du Bureau sont pass�es en charges dans l’exercice o� les services sont rendus et repr�sentent l’ensemble de ses obligations en mati�re de prestations de retraite. Le Bureau n’est pas tenu � l’heure actuelle de verser des cotisations au titre des insuffisances actuarielles du R�gime de retraite de la fonction publique.
ii) Avantages post�rieurs � l’emploi
Les employ�s ont droit � des indemnit�s de d�part, tel que le pr�voient leurs conditions d’emploi respectives. Le co�t de ces indemnit�s s’accumule � mesure que les employ�s rendent les services pour les gagner. La direction utilise le salaire des employ�s � la fin de l’exercice pour calculer la valeur de l’obligation au titre des indemnit�s de d�part. Les indemnit�s de d�part sont financ�es par des cr�dits parlementaires au moment o� les d�parts des employ�s sont confirm�s.
iii) Cong�s de maladie accumul�s
Les employ�s ont droit � des avantages en mati�re de cong� de maladie qui s’accumulent, mais ils ne constituent pas un droit acquis. Aucun passif li� � ces avantages n’est enregistr� dans les �tats financiers en raison de son impact non significatif.
h) Services fournis gratuitement par d’autres minist�res
Les services fournis gratuitement par d’autres minist�res sont comptabilis�s comme charges de fonctionnement par le Bureau � leur co�t estimatif. Un montant correspondant est pr�sent� � titre de financement gouvernemental. Ces charges comprennent les services de locaux fournis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) et le co�t des r�gimes de soins m�dicaux et de soins dentaires, d’invalidit� et d’assurance-vie, de m�me que d’autres co�ts salariaux destin�s aux fonctionnaires, administr�s par TPSGC et financ�s directement par le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada.
i) Imputation des charges
Le Bureau impute tous les co�ts directs des salaires, des services professionnels et des d�placements, ainsi que les autres frais associ�s, � chacun des audits et � chacun des projets de m�thodes professionnelles. Toutes les autres charges, y compris les services fournis gratuitement, sont consid�r�es comme des co�ts indirects et sont imput�es aux audits et aux projets de m�thodes professionnelles en fonction des co�ts directs de la main-d’œuvre correspondants.
j) Incertitude relative � la mesure
Les pr�sents �tats financiers sont pr�par�s conform�ment aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public, qui obligent la direction � faire des estimations et des hypoth�ses ayant une incidence sur les montants des actifs et des passifs d�clar�s � la date des �tats financiers et sur les montants des produits et des charges d�clar�s au cours de l’exercice. Les immobilisations corporelles et les indemnit�s de d�part des employ�s sont les �l�ments les plus significatifs pour lesquels des estimations sont faites. Les montants r�els pourraient �tre sensiblement diff�rents des estimations. Ces estimations sont revues annuellement et, si des ajustements sont n�cessaires, ils sont constat�s dans les �tats financiers au cours de l’exercice o� ils sont connus.
3. Changement dans la pr�sentation des �tats financiers
L’�tat de la situation financi�re pr�sente la dette nette et le d�ficit accumul� comme �tant les deux indicateurs qui, pris ensemble, expliquent notre situation financi�re � la fin de l’exercice. L’�tat de la situation financi�re pr�sente les actifs financiers et les passifs ainsi que la diff�rence entre les deux soldes � titre d’indicateur de la dette nette. � la suite de l’indicateur de la dette nette, l’�tat de la situation financi�re pr�sente les actifs non financiers du Bureau qui, associ�s � la dette, nette constituent le d�ficit accumul�. L’�tat de la variation de la dette nette pr�sente les acquisitions d’immobilisations corporelles effectu�es au cours de l’exercice et d’autres �l�ments significatifs qui expliquent la nature de la diff�rence entre l’exc�dent ou le d�ficit de l’exercice et la variation de la dette nette de l’exercice.
Le Bureau est financ� par des cr�dits parlementaires annuels. Les �l�ments constat�s � l’�tat des r�sultats et du d�ficit au cours d’un exercice peuvent �tre financ�s par des cr�dits parlementaires d’exercices ant�rieurs et post�rieurs.
Le tableau suivant illustre le rapprochement entre les cr�dits parlementaires fournis et les cr�dits parlementaires de l’exercice en cours utilis�s :
2011 | 2010 | ||
---|---|---|---|
(en milliers de dollars) | |||
Cr�dits : | |||
D�penses de fonctionnement approuv�es | 78 874 | 81 662 | |
Cotisations l�gislatives aux r�gimes d’avantages sociaux | 10 077 | 10 524 | |
Produit de la cession d’immobilisations | 1 | – | |
Cr�dits de l’exercice en cours fournis | 88 952 | 92 186 | |
Moins : | Budget de 2010 – mesures visant � limiter les co�ts | 610 | – |
Cr�dits non utilis�s1 | 1 582 | 4 361 | |
Recettes nettes en vertu d’un cr�dit | 93 | 18 | |
2 285 | 4 379 | ||
Cr�dits de l’exercice en cours utilis�s | 86 667 | 87 807 | |
1 Le Bureau peut reporter au prochain exercice le montant des cr�dits non utilis�s apr�s certains ajustements jusqu’� concurrence de 5 % de son budget de fonctionnement du Budget principal des d�penses. En 2010-2011, ces rajustements font monter � 4,3 millions de dollars le montant que le Bureau peut reporter � 2011-2012 (le montant maximum permis pour report en 2010-2011 est de 3,8 millions de dollars). |
5. Avantages de retraite et avantages post�rieurs � l’emploi
a) Avantages de retraite
Les employ�s admissibles du Bureau participent au R�gime de retraite de la fonction publique, qui est parrain� et administr� par le gouvernement du Canada. Les prestations de retraite s’accumulent sur une p�riode maximale de 35 ans, au taux de 2 % par ann�e de services validables multipli� par la moyenne des gains des 5 meilleures ann�es cons�cutives. Les prestations sont pleinement index�es selon la hausse de l’indice des prix � la consommation.
La responsabilit� du Bureau relative au R�gime de retraite se limite aux cotisations vers�es. Les exc�dents ou les d�ficits actuariels sont constat�s dans les �tats financiers du gouvernement du Canada, en sa qualit� de r�pondant du R�gime. Les cotisations du Bureau et des employ�s au R�gime de retraite sont les suivantes :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Cotisations du Bureau | 7 074 | 7 598 |
Cotisations des employ�s | 3 281 | 3 443 |
b) Avantages post�rieurs � l’emploi
Le Bureau verse des indemnit�s de d�part � ses employ�s, fond�es sur les ann�es de service et le salaire en fin d’emploi. La m�thode utilis�e pour estimer le passif � cet �gard refl�te les salaires � la fin de l’exercice et pr�voit une semaine de salaire par ann�e de service, jusqu’� concurrence de 30 ans pour les groupes autres que celui de la direction et de 28 ans pour le groupe de la direction. Le co�t de ces indemnit�s est pass� en charges dans les �tats financiers � mesure que les employ�s accumulent les ann�es de service n�cessaires pour y avoir droit. Les indemnit�s de d�part ne sont pas capitalis�es d’avance et seront pay�es � m�me les cr�dits parlementaires futurs. L’information � l’�gard des indemnit�s de d�part, �valu�e au 31 mars, est la suivante :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Obligation au titre des indemnit�s de d�part au d�but de l’exercice | 14 021 | 13 465 |
Charge de l’exercice | 1 541 | 1 068 |
Indemnit�s vers�es au cours de l’exercice | (1 322) | (512) |
Obligation au titre des indemnit�s de d�part � la fin de l’exercice | 14 240 | 14 021 |
La dette nette est la diff�rence entre les passifs et les actifs financiers. Les avantages post�rieurs � l’emploi constituent le principal �l�ment de la dette nette puisqu’ils sont financ�s par des cr�dits parlementaires futurs.
7. Immobilisations corporelles
Co�t | Amortissement cumul� | 2011 | 2010 | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Solde d’ouverture | Acquisitions | Cessions | Solde de fermeture | Solde d’ouverture | Amortissement | Cessions | Solde de fermeture | Valeur comptable nette | Valeur comptable nette | |
(en milliers de dollars) | ||||||||||
Am�liorations locatives | 3 568 | 88 | 35 | 3 621 | 1 954 | 367 | 35 | 2 286 | 1 335 | 1 614 |
Logiciels | 2 179 | 275 | 54 | 2 400 | 1 373 | 313 | 54 | 1 632 | 768 | 806 |
Mobilier et agencements | 4 729 | 86 | 254 | 4 561 | 4 227 | 245 | 254 | 4 218 | 343 | 502 |
Infrastructure et mat�riel informatiques | 1 159 | 35 | 268 | 926 | 820 | 156 | 268 | 708 | 218 | 339 |
Mat�riel de bureau | 1 127 | 19 | 28 | 1 118 | 890 | 67 | 28 | 929 | 189 | 237 |
V�hicule automobile | 31 | 0 | 0 | 31 | 20 | 6 | 0 | 26 | 5 | 11 |
12 793 | 503 | 639 | 12 657 | 9 284 | 1 154 | 639 | 9 799 | 2 858 | 3 509 |
Le d�ficit repr�sente les passifs du Bureau, d�duction faite des immobilisations et des charges pay�es d’avance, qui n’ont pas encore �t� financ�s par des cr�dits. Ce montant se compose principalement des passifs li�s aux avantages post�rieurs � l’emploi et aux indemnit�s de vacances � payer.
9. Sommaire des charges par grande cat�gorie
Le sommaire des charges par grande cat�gorie pour les exercices termin�s au 31 mars est le suivant :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Salaires et avantages sociaux | 77 650 | 76 284 |
Locaux � bureaux | 8 870 | 8 695 |
Services professionnels | 6 840 | 6 673 |
D�placements et communications | 4 204 | 4 263 |
Informatique, maintenance et r�parations du mat�riel informatique, mat�riel de bureau, mobilier et agencements | 2 488 | 2 871 |
Mat�riel et fournitures, et paiements divers | 984 | 889 |
Services d’impression et de publication | 656 | 555 |
Co�t total de fonctionnement | 101 692 | 100 230 |
Le co�t total de fonctionnement comprend les services fournis gratuitement par d’autres minist�res, comme l’explique la note 11.
Le Bureau travaille avec d’autres bureaux d’audit l�gislatif et des associations professionnelles comme l’Institut Canadien des Comptables Agr��s pour faire avancer les m�thodes d’audit l�gislatif, les normes comptables et d’audit, et les pratiques exemplaires. Les activit�s internationales comprennent la participation aux travaux d’organismes et � des �v�nements qui influent sur le travail du Bureau en tant qu’auditeur l�gislatif. Les examens par des pairs comprennent le co�t de la participation � l’examen par des pairs d’autres bureaux nationaux d’audit l�gislatif et celui li� au fait d’�tre l’objet d’un examen par des pairs.
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
M�thodes et gestion des connaissances | 8 713 | 5 831 |
Activit�s internationales | 2 733 | 2 798 |
Participation � des activit�s de normalisation | 999 | 966 |
Conseil canadien des v�rificateurs l�gislatifs | 679 | 893 |
Examens par des pairs | 372 | 1 139 |
M�thodes professionnelles | 13 496 | 11 627 |
11. Op�rations entre apparent�s
Le Bureau est li� par propri�t� commune � tous les minist�res, organismes et soci�t�s d’�tat du gouvernement du Canada. Le Bureau effectue des op�rations avec ces entit�s dans le cours normal de ses activit�s et selon les conditions commerciales courantes. � titre d’auditeur du Parlement, le Bureau assure son ind�pendance et son objectivit� lorsqu’il effectue de telles op�rations. Le Bureau effectue des audits et des �tudes ind�pendantes gratuitement pour les minist�res et organismes f�d�raux, les soci�t�s d’�tat, les gouvernements territoriaux et d’autres organisations.
En 2011, le Bureau a engag� des charges de 26,1 millions de dollars (26,1 millions en 2010) et recouvr� des charges de 2,4 millions de dollars (1,7 million en 2010) � la suite d’op�rations r�alis�es dans le cours normal de ses activit�s avec d’autres minist�res, organismes et soci�t�s d’�tat. Ces charges comprennent des services fournis gratuitement, comme suit :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Locaux � bureaux | 8 865 | 8 695 |
R�gimes d’assurance des employ�s | 5 304 | 5 257 |
14 169 | 13 952 |
Ces montants sont compris dans les charges pr�sent�es � la note 9.
Au 31 mars, les cr�ances et cr�diteurs avec d’autres minist�res, organismes et soci�t�s d’�tat s’�tablissent comme suit :
2011 | 2010 | |
---|---|---|
(en milliers de dollars) | ||
Cr�ances | 195 | 564 |
Cr�diteurs | 163 | 1 304 |
Ces montants sont compris respectivement dans les montants de cr�ances et de � sommes dues � des tiers � pr�sent�s � l’�tat de la situation financi�re.
En 2000-2001, l’Alliance de la Fonction publique du Canada a engag� une poursuite au titre de la parit� salariale contre l’�tat, all�guant que sept employeurs distincts ont exerc�s une discrimination fond�e sur le sexe entre 1982 et 1997. Le Bureau est l’un des sept employeurs nomm�s dans la poursuite. L’Alliance demande au Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada ou � l’employeur responsable d’augmenter r�troactivement les �chelles salariales des employ�s de certains employeurs distincts pour mettre fin � la discrimination. Cette demande de parit� salariale a initialement �t� pr�sent�e � la Commission canadienne des droits de la personne, mais a par la suite �t� suspendue. La demande est maintenant devant la Commission des relations de travail dans la fonction publique, qui est dor�navant responsable des plaintes en mati�re de parit� salariale pour le secteur public. De l’avis de la direction, il est impossible de d�terminer pour le moment le r�sultat et le montant de cette poursuite, donc aucun passif n’a �t� constat� dans les �tats financiers.
Certains chiffres correspondants de 2009-2010 ont �t� reclass�s conform�ment � la pr�sentation adopt�e en 2010-2011.
Le tableau ci-dessous pr�sente les march�s de services pass�s par le Bureau durant l’ann�e civile 2010.
March�s d’une valeur initiale de moins de 25 000 $ | March�s d’une valeur initiale de plus de 25 000 $ | |||||
---|---|---|---|---|---|---|
($) | Nombre | Pourcentage | ($) | Nombre | Pourcentage | |
March�s concurrentiels | 1 234 451 | 112 | 37,7 % | 3 044 967 | 43 | 95,4 % |
March�s non-concurrentiels | 2 040 332 | 335 | 62,3 % | 146 600 | 1 | 4,6 % |
Total | 3 274 783 | 447 | 100,0 % | 3 191 567 | 44 | 100,0 % |
Les march�s sont class�s en fonction de leur valeur initiale, qui comprend les honoraires, les charges et les taxes. Toutefois, les montants indiqu�s comprennent �galement toutes les modifications, quelles qu’elles soient. Les march�s d’une valeur initiale totale de moins de 25 000 $ sont parfois modifi�s, conform�ment � la politique sur les march�s du Bureau, et, dans certains cas, il peut arriver que la valeur modifi�e totale du march� d�passe 25 000 $ – ces march�s restent compris dans les � march�s d’une valeur originale initiale de moins de 25 000 $ �. Il y a eu deux march�s non concurrentiels d’une valeur initiale totale de moins de 25 000 $ et d’une valeur modifi�e de plus de 25 000 $. La valeur totale des modifications pour ces deux march�s �tait de 8 998 $. Des d�tails suppl�mentaires sont fournis sur le site Web du Bureau, o� la valeur totale modifi�e (valeur initiale plus toute modification � cette valeur) des march�s d�passant 10 000 $ est communiqu�e.
Le pouvoir du v�rificateur g�n�ral de passer des march�s de services professionnels est stipul� � l’article 16.2 de la Loi sur le v�rificateur g�n�ral, et le Bureau est assujetti au R�glement sur les march�s de l’�tat.
Selon la Politique sur la passation de march�s de services du Bureau, les march�s comportant des honoraires estimatifs de 25 000 $ ou plus doivent �tre concurrentiels, sauf si l’un des trois crit�res d’exemption suivants s’applique : il s’agit d’un cas d’extr�me urgence; en raison de la nature du travail, un appel d’offres ne servira pas l’int�r�t public; une seule personne est en mesure d’effectuer le travail. Dans le cas des march�s o� le seuil fix� par l’Accord de libre-�change nord-am�ricain (ALENA) est d�pass�, les r�gles de l’ALENA s’appliquent.
En 2010, le march� non concurrentiel d’une valeur de plus de 25 000 $ visait des avis juridiques li�s � un audit.
Les d�penses de voyage et d’accueil du v�rificateur g�n�ral, du sous-v�rificateur g�n�ral, du commissaire � l’environnement et au d�veloppement durable et des v�rificateurs g�n�raux adjoints, ainsi que le co�t des activit�s organis�es par le Bureau, sont pr�sent�s sur notre site Web, sous la rubrique � Divulgation proactive �. Le Bureau respecte la Directive sur les voyages et la Politique sur l’accueil du Conseil du Tr�sor, tel qu’elles s’appliquent pour les mandataires du Parlement. |
Voici un sommaire de la r�mun�ration et de certains avantages sociaux pay�s aux employ�s du Bureau par niveau. Les employ�s du Bureau re�oivent des avantages comparables � ceux des autres employ�s du gouvernement f�d�ral. Ces avantages ne sont pas pr�sent�s dans ce tableau.
Poste | ETP1 | Salaire ($) | Prime au bilinguisme ($) | R�mun�ration au rendement2 ($) | Automobile3 ($) | Cotisations ($) | Total ($) |
---|---|---|---|---|---|---|---|
V�rificateur g�n�ral | 1 | 318 6004 | 3 795 | 985 | 323 380 | ||
Sous-v�rificateur g�n�ral | 1 | 206 450–247 120 | 0–40 280 | 206 450–287 400 | |||
Commissaire � l’environnement et au d�veloppement durable | 1 | 162 885–213 680 | 0–34 830 | 162 885–248 510 | |||
V�rificateurs g�n�raux adjoints | 14 | 162 885–194 255 | 0–31 700 | 162 885–225 955 | |||
Directeurs principaux sup�rieurs | 6 | 116 975–169 470 | 0–27 770 | 116 975–197 240 | |||
Directeurs principaux | 57 | 116 975–150 870 | 0–18 940 | 116 975–169 810 | |||
Directeurs sup�rieurs | 3 | 91 285–135 585 | 0–17 080 | 91 285–152 665 | |||
Directeurs | 95 | 91 285–121 055 | 0–15 200 | 91 285–136 255 | |||
Auditeurs | 257 | 45 867–101 811 | 800 | 0–3 000 | 45 867–105 611 | ||
Services d’aide � l’audit | 194 | 34 437–92 391 | 800 | 34 437–93 191 | |||
Total ETP | 629 | ||||||
1 �quivalents temps plein (ETP) utilis�s au cours de l’exercice 2010-2011. 2 Les montants repr�sentent la fourchette de la r�mun�ration au rendement que les diff�rents niveaux peuvent recevoir. 3 Avantage imposable pour l’utilisation personnelle d’une voiture de fonction pour l’ann�e civile 2010. 4 Le salaire du v�rificateur g�n�ral est �tabli par la loi en vertu du paragraphe 4(1) de la Loi sur le v�rificateur g�n�ral et est �gal au salaire d’un juge pu�n� de la Cour supr�me du Canada. |
Chaque ann�e, le Bureau �value si les gestionnaires atteignent leurs objectifs en mati�re de gestion des produits et de gestion des personnes. Ces deux objectifs comptent chacun pour 50 % de l’enveloppe consacr�e � la r�mun�ration au rendement. Pour l’ann�e civile 2010, 185 des gestionnaires admissibles (99 %) ont re�u une prime de rendement pour ce qui est de la gestion des produits ou de la gestion des personnes, ou des deux objectifs. Le tableau ci-dessous montre la r�partition de cette r�mun�ration.
Description des cotes | Pourcentage des gestionnaires admissibles qui ont re�u cette cote en 2010 |
|
---|---|---|
Gestion des produits | Gestion des personnes | |
N’ont pas r�pondu � toutes les attentes | 2 % | 1 % |
Ont r�pondu aux attentes | 52 % | 73 % |
Ont d�pass� les attentes | 41 % | 25 % |
Rendement exceptionnel | 5 % | 1 % |
La r�mun�ration au rendement des gestionnaires qui satisfont aux attentes rev�t la forme d’une augmentation de salaire et/ou d’une prime au rendement; cette r�mun�ration additionnelle peut varier entre 7,6 % et 11,4 % du salaire du gestionnaire, selon son niveau. Le gestionnaire qui d�passe les attentes a droit � une prime additionnelle allant de 1 % � 5 % de son salaire, selon son niveau et son rendement.
Les lignes directrices sur la r�mun�ration au rendement du Bureau diff�rent du r�gime de gestion du rendement de la fonction publique quant aux montants vers�s aux gestionnaires. Les deux r�gimes pr�voient des augmentations � l’int�rieur de l’�chelle salariale et des primes forfaitaires additionnelles. Les cadres de la fonction publique peuvent recevoir des augmentations � l’int�rieur de leur �chelle salariale et une r�mun�ration conditionnelle allant jusqu’� 17,6 % (27,4 % pour les dirigeants des niveaux EX-4 et EX-5). La r�mun�ration au rendement maximale totale vers�e par le Bureau, y compris les augmentations � l’int�rieur de l’�chelle salariale et les primes, est de 12,6 % pour les directeurs et les directeurs principaux, et de 16,4 % pour les directeurs principaux sup�rieurs, les v�rificateurs g�n�raux adjoints, le sous-v�rificateur g�n�ral et le commissaire � l’environnement et au d�veloppement durable. Le tableau 4 pr�sente des donn�es d�taill�es sur la r�mun�ration au rendement, par niveau.
Au total, la r�mun�ration au rendement vers�e aux gestionnaires, y compris les augmentations � l’int�rieur de l’�chelle salariale et les primes forfaitaires, a atteint 2 299 747 $ pour 2010. De plus, 58 auditeurs qui n’�taient pas gestionnaires (18 %) ont re�u une prime de rendement fixe de 3 000 $, conform�ment � la convention collective des professionnels de l’audit.
Le v�rificateur g�n�ral a re�u les pouvoirs de dotation de la Commission de la fonction publique directement par la Loi sur le v�rificateur g�n�ral. Comme la Commission doit, apr�s chaque exercice, faire rapport au Parlement sur les questions relevant de sa comp�tence, le Bureau du v�rificateur g�n�ral croit qu’il devrait aussi faire rapport chaque ann�e sur sa dotation.
Le tableau ci-dessous correspond au Cadre de responsabilisation en gestion de la dotation de la Commission de la fonction publique. Il r�sume les onze �l�ments de responsabilisation et d�crit les indicateurs pr�sents au Bureau. Le Cadre vise � garantir le maintien d’un syst�me de dotation fond� sur les valeurs fondamentales, c’est-�-dire la justice, la transparence et l’�galit� d’acc�s, gr�ce auxquelles les principes fondamentaux du m�rite et de l’impartialit� sont appliqu�s.
1. D�l�gation de la dotation aux administrateurs g�n�raux : Le processus d’exercer les pouvoirs et d’�tablir une structure et une administration bien d�finies afin d’appuyer l’atteinte des r�sultats escompt�s. |
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Des m�canismes sont en place pour faire en sorte que les gestionnaires subd�l�gu�s se conforment � leurs pouvoirs subd�l�gu�s. |
Le Conseil de direction a approuv� par �crit la d�l�gation des pouvoirs pour la gestion des ressources humaines. Tous les gestionnaires responsables de la dotation ont re�u de la formation. Les nouveaux membres du Groupe de la direction (directeurs et directeurs principaux) sont tenus d’assister � une s�ance de transition d’une demi-journ�e ou d’une journ�e compl�te. Les points abord�s comprennent les responsabilit�s en mati�re de ressources humaines et la d�l�gation des pouvoirs. |
2. Planification de la dotation et surveillance des r�sultats : Les strat�gies de dotation sont fond�es sur une analyse de l’effectif et sur une analyse des tendances de la dotation et des mod�les suivis. |
|
Les strat�gies de dotation appuient les priorit�s organisationnelles en mati�re de dotation et sont adapt�es aux besoins actuels et futurs. Le Bureau du v�rificateur g�n�ral �value la mesure dans laquelle les r�sultats attendus en mati�re de dotation sont atteints et apporte les ajustements, au besoin. |
Les besoins en dotation sont �valu�s chaque ann�e. Selon les besoins et le budget du Bureau, on attribue � chaque v�rificateur g�n�ral adjoint (VGA) des �quivalents temps plein (ETP). Les VGA, appuy�s par les Ressources humaines (RH), sont alors responsables de doter leur direction. L’�quipe de la planification des ressources d’audit et de la gestion de carri�re suit r�guli�rement l’affectation des ressources de fa�on � d�celer et � combler les �carts entre les besoins de certains audits et les ressources disponibles. Chaque mois, un rapport de suivi portant sur les niveaux globaux de dotation et les budgets en ETP est soumis au Conseil de direction, aux fins de surveillance. La direction de la Dotation et la direction des Finances tiennent des r�unions mensuelles pour s’assurer de l’efficacit� de l’affectation des ressources et de l’atteinte des cibles pr�cis�es dans le plan. |
3. Syst�mes organisationnels de soutien aux ressources humaines (RH) : Le BVG a acc�s � un nombre raisonnable de conseillers en RH poss�dant l’expertise appropri�e en mati�re de dotation pour appuyer les d�cisions � ce sujet. |
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Au cours de l’exercice 2010-2011, il y a eu 132 mesures de dotation, qui ont men� � 241 nominations. Trois conseillers en dotation et un adjoint ont r�pondu aux demandes. Une analyse comparative a confirm� l’opinion selon laquelle ces ressources sont suffisantes. |
4. Communication : Le Bureau du v�rificateur g�n�ral (BVG) doit respecter la Loi sur l’emploi dans la fonction publique (LEFP) et surveiller les activit�s de dotation pour assurer la reddition de comptes � l’�gard de ses d�cisions en mati�re de dotation. |
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Un audit interne sur la dotation men� en 2007 a r�v�l� quelques lacunes dans le syst�me de dotation du BVG. L’�quipe des RH a apport� un certain nombre de modifications aux processus pour rem�dier � ces lacunes. Le suivi de cet audit a permis de conclure que des mesures appropri�es avaient �t� prises. |
5. Souplesse et efficience : Les m�thodes d’embauche sont adapt�es aux besoins du BVG et son syst�me de dotation permet une bonne optimisation des ressources tout en �tant rapide et efficace. |
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6. M�rite : Les personnes nomm�es poss�dent les qualifications essentielles, y compris la comp�tence dans les langues officielles. |
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Les gestionnaires et les candidats sont convaincus que le processus de dotation permet d’�valuer le m�rite. Des enqu�tes internes sont men�es au besoin. |
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7. Impartialit� : Les nominations et les promotions sont men�es de fa�on objective et elles sont exemptes d’influence politique. |
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Le BVG n’a pas eu � mener d’enqu�te sur des cas d’influence politique dans le processus de dotation. |
8. Repr�sentativit� : Les processus de nomination sont men�s de fa�on objective et ne cr�ent pas d’obstacles syst�miques. |
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Dispositions ou initiatives en mati�re de dotation pour accro�tre la repr�sentativit� |
�tant donn� que la repr�sentation globale du BVG d�passe les cibles, cela n’est pas un �l�ment pr�occupant. Les donn�es sur les promotions, les d�parts et les nouveaux employ�s sont analys�es et surveill�es chaque ann�e pour s’assurer que le BVG ne cr�e pas par inadvertance d’obstacles � l’emploi. |
9. Acc�s : Des personnes de partout au Canada ont raisonnablement la possibilit� de poser leur candidature et d’�tre prises en consid�ration pour un emploi au BVG. |
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10. �quit� : La communication assure l’int�grit� du processus de nomination si elle est transparente, facile � comprendre, opportune, accessible et si elle englobe toutes les parties int�ress�es. |
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11. Transparence : Les renseignements concernant les strat�gies, les d�cisions, les lignes directrices et les pratiques de dotation sont communiqu�s ouvertement et en temps opportun. |
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Les priorit�s organisationnelles en mati�re de dotation sont communiqu�es sur le site Web du BVG et clairement communiqu�es aux gestionnaires, au personnel et aux repr�sentants syndicaux du personnel s’il y a lieu. |
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Le d�veloppement durable n�cessite l’int�gration des facteurs environnementaux, �conomiques et sociaux lors de l’�laboration et de la mise en œuvre des programmes f�d�raux. Notre derni�re Strat�gie de d�veloppement durable, qui a �t� d�pos�e au Parlement en d�cembre 2006, est affich�e sur notre site Web. Elle contient nos principaux engagements visant � mieux int�grer les facteurs environnementaux dans la s�lection et la planification des audits et dans la prise de d�cision op�rationnelle. Nous continuons de nous efforcer d’atteindre les cibles �tablies dans la strat�gie, et nos progr�s sont r�sum�s dans le tableau suivant.
Engagement | Indicateurs et cibles | Donn�es r�elles 2010-2011 |
---|---|---|
Pr�parer les plans d’audit � long terme et des audits de performance en utilisant le guide d’�valuation des risques environnementaux du Bureau (Guide sur le 4e E). | Toutes les �quipes d’audit de performance (100 %) utilisent l’outil d’examen du Guide et consultent des experts de l’environnement pour recenser et �valuer les risques environnementaux lorsqu’elles �tablissent leurs plans d’audit � long terme. | 100 % |
Toutes les �quipes d’audit de performance (100 %) utilisent l’outil d’examen du Guide et consultent les experts internes de l’environnement pour d�terminer s’il y a des questions environnementales importantes li�es au sujet de leur audit. | 100 % | |
Fournir un meilleur appui et de meilleurs conseils aux �quipes d’audit effectuant des examens sp�ciaux dans tous les cas o� les �quipes ont �tabli que des soci�t�s d’�tat pr�sentent des risques environnementaux importants. | Tous les cas (100 %) b�n�ficient d’un meilleur appui et de meilleurs conseils depuis 2007. | 100 % |
Le tableau qui suit pr�sente la liste des audits de performance pr�vus qui figure dans le Rapport sur les plans et les priorit�s (RPP) de 2010-2011 du Bureau, ainsi que les dates de d�p�ts pr�vues et r�elles. Les audits sont pr�sent�s selon le titre de la publication.
V�rificateur g�n�ral du Canada | Dans le RPP de 2010-2011 |
Publi� au cours de l’exercice 2010-2011 |
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Les dossiers de sant� �lectroniques au Canada — Survol des rapports de v�rification f�d�ral et provinciaux | Printemps 2010 | Avril 2010 |
Le vieillissement des syst�mes de technologie de l’information | Printemps 2010 | Avril 2010 |
La modernisation de la gestion des ressources humaines | Printemps 2010 | Avril 2010 |
La r�habilitation des �difices du Parlement | Printemps 2010 | Avril 2010 |
Pour un d�veloppement durable dans les Territoires du Nord-Ouest | Printemps 2010 | Avril 2010 |
La recherche scientifique — Agriculture et Agroalimentaire Canada | Printemps 2010 | Avril 2010 |
Les examens sp�ciaux des soci�t�s d’�tat — 2009 | Printemps 2010 | Avril 2010 |
La gestion des conflits d’int�r�ts | Automne 2010 | Octobre 2010 |
Les maladies animales — Agence canadienne d’inspection des aliments | Automne 2010 | Octobre 2010 |
La gestion et le contr�le dans les petites entit�s | Automne 2010 | Octobre 2010 |
Faciliter la circulation des marchandises commerciales import�es — Agence des services frontaliers du Canada | Automne 2010 | Octobre 2010 |
L’achat d’h�licopt�res militaires | Automne 2010 | Octobre 2010 |
Les organismes de bienfaisance enregistr�s — Agence du revenu du Canada | Automne 2010 | Octobre 2010 |
La r�glementation et la surveillance des grandes banques | Automne 2010 | Octobre 2010 |
La prestation des services | Automne 2010 | Octobre 2010 |
Le Plan d’action �conomique du Canada | Automne 2010 | Octobre 2010 |
Non pr�vus | Dans le RPP de 2010-2011 |
Publi� au cours de l’exercice 2010-2011 |
Le Commissariat � l’int�grit� du secteur public | Non | D�cembre 2010 |
Commissaire � l’environnement et au d�veloppement durable | Dans le RPP de 2010-2011 |
Publi� au cours de l’exercice 2010-2011 |
---|---|---|
Les p�titions en mati�re d’environnement | Automne 2010 | D�cembre 2010 |
Les d�versements de p�trole provenant de navires | Automne 2010 | D�cembre 2010 |
La surveillance des ressources en eau | Automne 2010 | D�cembre 2010 |
L’adaptation aux impacts climatiques | Automne 2010 | D�cembre 2010 |
L’�valuation des effets environnementaux cumulatifs | Automne 2010 | Publication report�e — pr�vue, � l’heure actuelle, pour octobre 2011 |
Audits de performance des gouvernements territoriaux | Dans le RPP de 2010-2011 |
Publi� au cours de l’exercice 2010-2011 |
---|---|---|
L’enseignement dans les Territoires du Nord-Ouest — Minist�re de l’�ducation, de la Culture et de l’Emploi | Avril 2010 | Report� � mai 2010 |
Programmes et services de sant� au Yukon — Minist�re de la Sant� et des Affaires sociales du Yukon | F�vrier 2011 | F�vrier 2011 |
Programmes et services visant les enfants, les jeunes et les familles au Nunavut | Mars 2011 | Mars 2011 |
Non pr�vus | Dans le RPP de 2010-2011 |
Publi� au cours de l’exercice 2010-2011 |
Projet du pont de Deh Cho dans les Territoires du Nord-Ouest — Minist�re des Transports | Non | Mars 2011 |
Programmes et services de sant� des Territoires du Nord-Ouest — Minist�re de la Sant� et des Services sociaux | Non | Mars 2011 |
Examen sp�cial | Date d’�ch�ance originale fix�e par la loi* | Date d’�ch�ance fix�e par la loi r�vis�e* | Date de pr�sentation |
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Commission canadienne du lait | 29 juin 2010 | 29 juin 2015 | 16 mars 2011 |
Office de commercialisation du poisson d’eau douce | 3 mars 2010 | 3 mars 2015 | 15 d�cembre 2010 |
Soci�t� du Centre national des Arts | 29 juin 2010 | 29 juin 2015 | 29 juillet 2010 |
T�l�film Canada | 29 juin 2010 | 29 juin 2015 | 10 juin 2010 |
* La Loi d’ex�cution du budget de 2009 a modifi� la fr�quence des examens sp�ciaux pr�vue dans la Loi sur la gestion des finances publiques, qui passe d’au moins une fois tous les cinq ans � au moins une fois tous les dix ans. Les dates d’�ch�ance fix�es par la loi et le calendrier des examens sp�ciaux pr�vus ont �t� r�vis�s par suite de cette modification. |
Audits et revues internes effectu�s durant l’exercice 2010-2011 | ||
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Nom de l’audit interne | Type | Date d’ach�vement1 |
Rapport de la revue des pratiques d’audit annuel — Revues des pratiques effectu�es en 2010-2011 | Conformit� | D�cembre 2010 |
Rapport de la revue des pratiques d’audit de performance — Revues des pratiques effectu�es en 2010-2011 | Conformit� | Mai 20112 |
Rapport de la revue des pratiques d’examen sp�cial — Revues des pratiques effectu�es en 2010-2011 | Conformit� | Octobre 20113 |
Contr�les des frais d’accueil — Audit interne | Conformit� | D�cembre 2010 |
Suivi des mesures prises par la direction pour donner suite aux observations et aux recommandations formul�es dans les revues des pratiques ant�rieures et l’examen par les pairs | Suivi | D�cembre 2010 |
1 Les rapports seront mis en ligne sur le site Web du Bureau du v�rificateur g�n�ral d�s qu’ils seront traduits. 2 Les revues des pratiques ont toutes �t� effectu�es au cours de l’exercice 2010-2011 et le sommaire a �t� pr�sent� au Comit� d’audit en mai 2011. 3 Les revues des pratiques ont toutes �t� effectu�es au cours de l’exercice 2010-2011 et le sommaire sera pr�sent� au Comit� d’audit en octobre 2011. |
Le Bureau a �tabli un ensemble d’indicateurs de base de son incidence et de mesures de son rendement organisationnel pour aider la direction � prendre des d�cisions �clair�es.
Nos indicateurs d’incidence nous aident � �valuer la mesure dans laquelle :
Nos mesures de rendement organisationnel nous aident � surveiller la mesure dans laquelle :
Nous nous servons de sondages pour recueillir une r�troaction sur notre rendement aupr�s de nos clients et des organisations que nous auditons. Des renseignements sur ces sondages sont affich�s sur notre site Web.
Objectifs et indicateurs | Chiffres r�els 2009-2010 |
Chiffres r�els 2010-2011 |
Cibles 2010-2011 |
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Nos travaux offrent une valeur ajout�e aux principaux utilisateurs de nos rapports. | |||
Pourcentage des pr�sidents de comit�s d’audit qui sont d’avis que nos audits des �tats financiers offrent une valeur ajout�e | 95 % | 81 % | 90 % |
Pourcentage des membres de comit�s parlementaires qui sont d’avis que nos audits de performance offrent une valeur ajout�e | 93 %1 | s.o.2 | 90 % |
Pourcentage des pr�sidents de conseils d’administration qui sont d’avis que nos examens sp�ciaux offrent une valeur ajout�e | 80 % | Voir la note 3 | 90 % |
Nos travaux offrent une valeur ajout�e aux organisations que nous auditons. | |||
Pourcentage des cadres sup�rieurs de soci�t�s d’�tat et de grands minist�res qui sont d’avis que nos audits des �tats financiers offrent une valeur ajout�e | 85 % | 89 % | 80 % |
Pourcentage des cadres sup�rieurs de minist�res qui sont d’avis que nos audits de performance offrent une valeur ajout�e | 56 % | 74 % | 70 % |
Pourcentage des directeurs g�n�raux de soci�t�s d’�tat qui sont d’avis que nos examens sp�ciaux offrent une valeur ajout�e | 90 % | Voir la note 3 | 80 % |
Les principaux utilisateurs de nos rapports participent au processus d’audit. | |||
Nombre d’audiences et de s�ances d’information parlementaires auxquelles nous participons | 35 | 46 | � maintenir ou � hausser4 |
Pourcentage des audits de performance �tudi�s par des comit�s parlementaires | 68 % | 62 % | � maintenir ou � hausser4 |
Les principaux utilisateurs de nos rapports et les organisations que nous auditons donnent suite � nos constatations. | |||
Pourcentage des r�serves qui sont r�gl�es d’un audit d’�tat financier � l’autre | 28 %5 | 26 %6 | 100 % |
Pourcentage des recommandations d’audit de performance examin�es dans nos audits de suivi o� les progr�s ont �t� jug�s satisfaisants | 62 % | ||
Pourcentage des d�fauts graves qui sont corrig�s d’un examen sp�cial � l’autre | 50 % (1 sur 2) |
100 % (1 sur 1)7 |
100 % |
1 Les r�sultats pour l’exercice 2009-2010 proviennent du sondage men� aupr�s des parlementaires en juin 2010. 2 En raison de l’�lection f�d�rale, il n’y a pas eu de sondage aupr�s des parlementaires au cours de l’exercice 2010-2011. 3 En raison du nombre limit� de r�pondants, nous ne pr�sentons pas de r�sultats d�taill�s (en pourcentage). Nous avons re�u une r�troaction favorable, conforme � notre cible. 4 Ces indicateurs ne comportent aucune cible num�rique puisqu’ils varient selon le nombre de jours de s�ance du Parlement. La cible porte plut�t sur le maintien du pourcentage d’audiences et de s�ances d’information parlementaires auxquelles nous participons, par rapport au nombre de jours de s�ances parlementaires, et sur le maintien du pourcentage d’audits �tudi�s par les comit�s parlementaires. 5 Ce r�sultat a �t� redress� pour inclure seulement les rapports qui ont �t� publi�s au cours du pr�sent exercice. Auparavant, les rapports dont le travail d’audit �tait termin�, mais qui n’�taient pas encore publi�s �taient inclus. 6 Lors de nos audits d’�tats financiers en 2010-2011, nous avons constat� que seulement 8 des 31 r�serves formul�es dans nos opinions d’audit des �tats financiers de 2009-2010 avaient �t� r�gl�es par les organisations que nous avons audit�es. 7 Pour l’un des quatre examens sp�ciaux effectu�s en 2010-2011, le rapport d’examen sp�cial ant�rieur faisait mention d’un d�faut grave. Ce d�faut grave a depuis �t� corrig�. |
Objectifs et indicateurs | Chiffres r�els 2009-2010 |
Chiffres r�els 2010-2011 |
Cibles 2010-2011 |
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Nos travaux respectent les �ch�ances. | |||
Pourcentage des audits d’�tats financiers termin�s � la date d’�ch�ance1 : | |||
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98 % | 96 % | 100 % |
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100 % | 96 % | 100 % |
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86 % | 100 % | 80 % |
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64 % | 31 % | 60 % |
Pourcentage des rapports d’audit de performance termin�s avant la date de d�p�t pr�vue indiqu�e dans le Rapport sur les plans et les priorit�s | 96 % | 92 % | 90 % |
Pourcentage des rapports d’examen sp�cial remis avant ou � la date d’�ch�ance fix�e par la loi ou avant cette date | 100 % (10 sur 10) |
100 % (4 sur 4) |
100 % |
Nos travaux respectent le budget. | |||
Pourcentage des audits r�alis�s dans les limites du budget3 : | |||
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90 % | 69 % | 80 % |
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84 % | 65 % | 80 % |
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89 % | 69 % | 80 % |
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60 % | 26 % | 80 % |
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96 % | 88 % | 80 % |
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90 % (9 sur 10) |
50 % (2 sur 4) |
80 % |
Nos rapports d’audit sont fiables. | |||
Pourcentage des revues internes des pratiques qui indiquent que les opinions et les conclusions de nos rapports d’audit sont appropri�es et s’appuient sur des �l�ments probants4 | 100 % (18 sur 18) |
95 % (18 sur 19) |
100 % |
Les examens externes par les pairs indiquent que nos cadres de gestion de la qualit� sont bien con�us et efficaces | En majorit�5 | s.o.6 | Oui |
Nous offrons un milieu de travail respectueux. | |||
Pourcentage des employ�s qui trouvent que le Bureau est un employeur sup�rieur � la moyenne | 78 %7 | s.o.8 | 80 % |
Pourcentage des membres de la direction qui satisfont � nos exigences linguistiques : | |||
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85 % | 84 % | 100 % |
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77 %9 | 73 % | 75 % |
Pourcentage de la repr�sentation par rapport � la disponibilit� au sein de la population active pour : | |||
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117 % | 115 % | 100 % |
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117 % | 120 % | 100 % |
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137 % | 129 % | 100 % |
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90 % | 109 % | 100 % |
Taux de maintien en poste des professionnels de l’audit | 89 % | 89 % | 90 % |
1 � Respect des �ch�ances �, en ce qui a trait aux audits d’�tats financiers, signifie l’�ch�ance pr�vue par la loi, s’il y en a une (g�n�ralement 90 jours apr�s la cl�ture de l’exercice), ou 150 jours apr�s la cl�ture de l’exercice lorsque la loi ne fixe pas d’�ch�ance. 2 La Commission des champs de bataille nationaux est exclue de ce calcul puisque l’�ch�ance fix�e par la loi est de seulement 60 jours apr�s la cl�ture de l’exercice. 3 � Respect du budget � signifie que les heures r�elles n�cessaires pour effectuer un audit ne d�passent pas de plus de 15 % les heures pr�vues au budget. 4 Cet indicateur remplace � le pourcentage de revues internes des pratiques dont les responsables trouvent que nos audits se conforment � notre syst�me de gestion de la qualit� �. 5 Les responsables d’un examen par une �quipe internationale de pairs ont constat� que notre Syst�me de gestion de la qualit� (SGQ) �tait con�u ad�quatement. Ils ont �galement constat� que, pour l’audit de performance et les examens sp�ciaux, le SGQ �tait efficace et que, pour les audits annuels, le SGQ �tait efficace dans la plupart des cas (bien qu’ils aient formul� des recommandations pour r�gler deux probl�mes de mise en œuvre). 6 Il n’y a eu aucun examen externe par des pairs au cours de l’exercice 2010-2011. 7 Les r�sultats du sondage aupr�s des employ�s ont �t� re�us en mai 2010. 8 Aucun sondage n’a �t� men� aupr�s des employ�s en 2010-2011. Il s’agit d’un sondage biennal. 9 Le r�sultat pour 2009-2010 a �t� redress�. Le taux de 84 %, indiqu� auparavant, a �t� rajust� en raison d’une modification de la m�thode de calcul. |