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ARCHIVÉ - Agence du revenu du Canada - Rapport

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Section I : Aper�u de l’Agence

Message du ministre


Photo du ministre du Revenu national et ministre de l’Agence de promotion �conomique du Canada atlantique et ministre de la porte d’entr�e de l’Atlantique,L’honorable Keith Ashfield, C.P., d�put�

L’Agence du revenu du Canada (ARC) administre un r�gime d’imp�t et de prestations �quitable et r�ceptif qui contribue au bien-�tre �conomique et social de notre nation. Le soutien offert par l’ARC pendant le climat �conomique difficile que nous avons connu en 2009-2010 a �t� particuli�rement important. En montrant de la souplesse dans sa fa�on de mener des �l�ments cl�s du Plan d’action �conomique du Canada, l’ARC a contribu� � garantir la stabilit� et la prosp�rit� future des Canadiens.

L’ARC s’engage � prot�ger l’assiette fiscale du Canada en s’assurant que tout le monde observe les lois fiscales. Pour ce faire, pendant l’exercice 2009-2010, l’ARC a poursuivi des particuliers et des entreprises, y compris des participants � l’�conomie clandestine et ceux qui �vitaient de payer des imp�ts en cachant leurs avoirs � l’�tranger, qui ne payaient pas l’imp�t et les taxes qu’ils devaient aux Canadiens. Le pr�sent document met en lumi�re un certain nombre de r�alisations de l’ARC pendant la derni�re ann�e et d�crit le r�le jou� par l’ARC pour soutenir les particuliers, les entreprises et les familles de partout au Canada.

� Le r�gime fiscal de notre pays repose sur l’honn�tet� et l’observation volontaire. L’Agence du revenu du Canada veut aider les Canadiens � respecter leurs obligations fiscales. �

En tant que ministre du Revenu national, j’ai le plaisir de d�poser le Rapport sur le rendement 2009-2010.

Le ministre du Revenu national et
ministre de l’Agence de promotion �conomique du Canada atlantique et
ministre de la porte d’entr�e de l’Atlantique,

L’honorable Keith Ashfield, C.P., d�put�

Message de la commissaire et premi�re dirigeante


Photo de la commissaire et premi�re dirigeante,Linda Lizotte-MacPherson

En tant que commissaire et premi�re dirigeante, je suis tenue de rendre compte de toutes les questions qui se rapportent aux programmes au ministre du Revenu national et des questions administratives � notre Conseil de direction. Je suis fi�re d’annoncer que l’Agence du revenu du Canada (ARC) a encore une fois d�montr� sa capacit� d’atteindre des r�sultats significatifs et mesurables pour les Canadiens. Bien que nous reconnaissions qu’il nous reste des progr�s � faire dans certains secteurs, nos r�alisations de la derni�re ann�e fournissent une autre preuve de la force de notre expertise dans nos activit�s de base, c’est-�-dire l’administration des imp�ts et des taxes, le recouvrement des recettes et le versement de prestations.

L’ARC touche la vie de plus de Canadiens que tous les autres minist�res et organismes du pays. En 2009-2010, nous avons trait� environ 358 milliards de dollars en imp�ts, en taxes et en droits, et nous avons �mis plus de 17 milliards de dollars en prestations et en cr�dits � des millions de particuliers et d’entreprises au nom des provinces et territoires du Canada, d’autres minist�res f�d�raux et des Premi�res nations.

Nos r�sultats de 2009-2010

Pendant l’exercice 2009-2010, l’ARC a accord� une place importante � l’assurance de l’int�grit� du r�gime d’imp�t et de prestations du Canada. Nous avons encourag� l’observation des lois fiscales en concevant des initiatives qui rendent l’inobservation plus difficile chez les particuliers et les entreprises. Par exemple, au cours de la derni�re ann�e, nous avons r�ussi � cibler des secteurs tels que la planification fiscale abusive et les paradis fiscaux au moyen de partenariats avec les provinces et des administrations fiscales internationales, et nous avons perfectionn� nos outils d’�valuation et de gestion du risque. Dans l’ensemble, les particuliers, les compagnies constitu�es en personne morale, les entreprises qui per�oivent la TPS/TVH et les employeurs ont continu� � d�montrer des niveaux �lev�s d’observation volontaire quant � leurs obligations en mati�re d’enregistrement, de production et de versement. Notre solide syst�me bas� sur le contr�le et l’�quilibre, associ� aux outils l�gislatifs et autres outils d’observation qui sont mis � notre disposition, nous fournissent l’assurance que l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e.

� L’ARC est reconnue dans l’ensemble du gouvernement comme un organisme de pointe bien g�r� qui s’est engag� vers l’excellence. Cet engagement s’av�re extr�mement important en ces temps d’incertitude �conomique, o� un plus grand nombre de Canadiens que jamais d�pendent des programmes de prestations qu’administre l’ARC. �

Nous avons continu� � renforcer le service afin que les taux d’observation volontaire augmentent. En 2009-2010, nous avons pris d’autres mesures pour rendre l’observation des lois plus facile pour les Canadiens en am�liorant l’acc�s aux renseignements sur l’imp�t et les prestations et aux outils interactifs.

Dans nos activit�s quotidiennes, nous avons respect� la plupart de nos objectifs de rendement en 2009-2010. Pour les objectifs que nous n’avons pas pu respecter, nous avons cherch� � comprendre les facteurs qui sont intervenus – comme le r�cent ralentissement �conomique – et � d�finir les mesures � prendre pour am�liorer notre rendement � l’avenir.

R�sultats en mati�re du gestion
� Les �valuations de 2009-2010 du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada et de notre Conseil de direction ont montr� que l’ARC obtient des notes �lev�es dans la plupart des secteurs de gestion. �

Un d�fi particulier auquel nous sommes confront�s, comme d’autres administrations fiscales partout dans le monde, est l’�laboration d’une mesure qui permettrait d’�valuer � quel point nos activit�s pour rep�rer et contrer l’inobservation portent fruit. M�me si notre cadre de gestion du rendement continue de recevoir des notes �lev�es dans son ensemble, nous reconnaissons qu’il est n�cessaire de l’am�liorer davantage � cet �gard.

Prochaines �tapes

Le mois de novembre 2009 marquait la fin de notre premi�re d�cennie en tant qu’agence. Les programmes et les services que nous avons offerts au cours des 10 derni�res ann�es ont transform� la vie des Canadiens. Nous avons entrepris de nouvelles activit�s, nous avons perfectionn� et adapt� notre fa�on de travailler, nous avons travaill� � partir de nos initiatives de gestion et nous nous sommes assur�s de continuer de r�pondre aux attentes et aux besoins des contribuables, des entreprises et de nos clients du gouvernement. Aucun de ces accomplissements n’aurait �t� possible sans le d�vouement et le travail acharn� de nos employ�s comp�tents. Leur savoir collectif continuera de nous permettre d’offrir des services novateurs et efficaces aux particuliers et aux entreprises au nom du gouvernement du Canada, des autres ordres de gouvernement et des communaut�s des Premi�res nations.

Notre r�putation d’administration fiscale de classe mondiale est bien m�rit�e et nous sommes fiers de nos r�alisations au cours de la derni�re ann�e. En envoyant ce rapport, je tiens � remercier sinc�rement l’ensemble de mes coll�gues, des gestionnaires et des dirigeants syndicaux qui ont rendu possibles les r�ussites de l’ARC. Au fur et � mesure que nous avan�ons, je suis s�re que le d�vouement, les connaissances et le professionnalisme de nos employ�s permettront d’offrir des r�sultats de qualit� qui importent aux Canadiens.


La commissaire et premi�re dirigeante,
Agence du revenu du Canada
Linda Lizotte-MacPherson

Raison d’�tre

Le r�gime fiscal canadien s’appuie sur l’observation volontaire et l’autocotisation. Un r�gime fiscal efficace est essentiel � la capacit� des gouvernements f�d�ral, provinciaux, territoriaux et des Premi�res nations d’offrir des programmes et des services qui sont importants pour les Canadiens et les entreprises canadiennes.

L’Agence du revenu du Canada (ARC) a pour mandat d’ex�cuter les programmes fiscaux et de prestations et d’autres programmes au nom du gouvernement du Canada et des gouvernements provinciaux, territoriaux et des Premi�res nations.

Le Parlement a �tabli l’ARC pour qu’elle puisse remplir le mandat par les moyens suivants :

  • offrir un meilleur service aux Canadiens;
  • ex�cuter de mani�re plus efficiente et plus efficace les programmes gouvernementaux; et
  • favoriser des relations de travail plus �troites et une meilleure responsabilisation avec les provinces et les autres ordres de gouvernement pour qui l’ARC ex�cute des programmes.

Le mandat de l’ARC r�v�le le r�le important qu’elle joue dans la vie des Canadiens. L’ARC contribue � trois des secteurs de r�sultats du gouvernement du Canada:

  • Un gouvernement f�d�ral transparent, responsable et sensible aux besoins des Canadiens;
  • Des activit�s gouvernementales bien g�r�es et efficaces; et
  • S�curit� du revenu et l’emploi pour les Canadiens.

Nous avons per�u environ 358 milliards de dollars en 2009-2010 (8 milliards de dollars moins qu’en 2008-2009) pour le compte du Canada, des provinces (sauf le Qu�bec), des territoires et des Premi�res nations. Nous avons �galement offert plus de 17 milliards de dollars de prestations et de cr�dits fond�s sur le revenu et d’autres services qui contribuent directement au bien-�tre �conomique et social des Canadiens.

Avantage pour les Canadiens

Aucune organisation du secteur public ne touche la vie d’un si grand nombre de Canadiens de fa�on quotidienne que l’ARC. Chaque ann�e, nous administrons des milliards de dollars en recettes fiscales et distribuons les versements de prestations exacts � des millions de Canadiens en temps opportun. Nous fournissons des prestations, des cr�dits et d’autres services connexes qui viennent en aide aux familles et enfants, aux m�nages � revenu faible et modeste et aux personnes handicap�es. Ces programmes contribuent directement au bien-�tre �conomique et social des Canadiens.

Notre capacit� � offrir des programmes et des services efficients, rapides et exacts fait de nous un partenaire pr�cieux pour les clients gouvernementaux.

Les deux objectifs strat�giques �num�r�s ci-dessous r�sument la contribution de l’ARC envers la soci�t� canadienne.

  • Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e; et
  • Les familles et les particuliers re�oivent en temps opportun les paiements exacts auxquels ils ont droit.

En plus d’administrer des programmes fiscaux et de prestations, nous avons administr� la taxe de vente harmonis�e pour le compte de trois provinces et v�rifi� les niveaux de revenu des contribuables � l’appui d’une vaste gamme de programmes f�d�raux, provinciaux et territoriaux, en partant des pr�ts �tudiants aux initiatives en mati�re de soins de sant�. Nous avons aussi offert d’autres services, comme notre Programme de compensation de dettes par remboursement, au moyen duquel nous avons aid� des agences et minist�res f�d�raux, ainsi que des gouvernements provinciaux et territoriaux, � recouvrer des dettes qui pourraient autrement devenir irr�couvrables.

Le pr�sent Rapport sur le rendement �value dans quelle mesure nous avons atteint ces r�sultats au cours de l’exercice 2009-2010. Tout compte fait, nos r�sultats indiquent que nous avons atteint nos deux r�sultats strat�giques.

Analyse des risques

Notre Programme de gestion des risques de l’entreprise a �t� cr�� afin de nous assurer d’�laborer et de mettre en oeuvre une approche syst�matique et d�taill�e � la gestion des risques qui s’int�gre enti�rement � nos processus et m�canismes d�cisionnels strat�giques, op�rationnels et financiers.

Afin de nous tenir au courant des risques que court l’ARC comme organisation, pendant la p�riode de planification, nous avons achev� notre Inventaire des risques organisationnels 2009, une partie int�grante de notre exercice de planification strat�gique annuelle. Les cinq priorit�s cl�s du Plan d’entreprise 2010-2011 � 2012-2013 ont �t� fond�es sur les plus grands risques pour l’ARC, indiqu�s dans l’inventaire 2009 (relativement � l’observation en mati�re de paiement et � l’�conomie clandestine). On a �galement �labor� le Plan d’action de l’ARC ax� sur le risque afin de nous assurer d’avoir des strat�gies d’intervention appropri�es pour tous les risques relev�s dans l’inventaire. De cette fa�on, l’inventaire des risques 2009 a guid� les priorit�s des activit�s strat�giques et op�rationnelles pour la p�riode de planification 2010-2011 et nous a men�s � l’int�gration de la gestion des risques dans nos activit�s quotidiennes.

Une mise � jour de l’Inventaire des risques organisationnels 2009 a �galement �t� lanc�e au d�but de 2010. La mise � jour a indiqu� que le profil g�n�ral des risques de l’ARC demeure g�n�ralement inchang� par rapport � 2009.

Nous croyons que notre approche � la gestion des risques nous permettra de maintenir les services � la population canadienne et � prot�ger ses int�r�ts.

�valuation de nos r�sultats

Les r�sultats atteints par rapport � nos r�sultats strat�giques et � nos r�sultats escompt�s ont �t� �tablis au moyen d’indicateurs qualitatifs et quantitatifs, aussi appel�s mesures. Les donn�es op�rationnelles, les �chantillons statistiques et les r�sultats de sondages que nous recueillons constituent le fondement de nos �valuations. Nous devons encore relever certains d�fis pour ce qui est d’�laborer des indicateurs plus solides, en particulier ceux qui sont tangibles et qui nous permettent d’�tablir des liens clairs entre nos r�alisations, nos r�sultats strat�giques et nos r�sultats attendus. � cette fin, nous �changeons des renseignements sur la mesure des r�sultats avec les autres administrations fiscales par l’entremise de divers forums internationaux. De plus, l’ARC participe � des initiatives internationales pour �tre en mesure de comparer des aspects cl�s de l’administration fiscale avec des autorit�s fiscales de partout dans le monde.

Nous �valuons aussi nos r�sultats strat�giques et ceux de nos activit�s de programme en fonction du fait que les objectifs �tablis dans le Plan d’entreprise 2009-2010 � 2011-2012 ont �t� atteints, en grande partie atteints ou non atteints.

Nos objectifs indiquent le pourcentage ou le degr� que nous pr�voyons atteindre pour un niveau de rendement. Lorsque des objectifs sont de nature num�rique, ils sont �num�r�s � c�t� de chaque indicateur. Les objectifs en mati�re de rendement sont �tablis par nos �quipes de gestion au moyen d’une analyse des contraintes li�es � la viabilit� financi�re, au rendement historique, � la complexit� des travaux concern�s et aux attentes des Canadiens.

�valuation
R�sultats
Atteint
Nos r�sultats r�pondent � nos attentes ou les d�passent.
En grande partie atteint
Bien que les r�sultats r�pondent � la plupart de nos attentes, il y a des lacunes.
Non atteint
Il y a des lacunes importantes dans les r�sultats, et nous n’avons pas r�pondu aux attentes principales ou � la plupart des attentes.

Notre Architecture des activit�s de programme

Notre Architecture des activit�s de programme pr�cise nos activit�s de programme et montre de quelle fa�on elles se rapportent � nos r�sultats strat�giques. Les activit�s de programme sont des groupes d’activit�s li�es qui sont con�ues et g�r�es dans le but de r�pondre � un besoin pr�cis du public et qui sont souvent trait�es comme une unit� budg�taire.


R�sultats strat�giques de l’Agence du revenu du Canada

Sommaire du rendement

(en milliers de dollars)
2009-2010
 
Activit� de programme
2008-2009 D�penses r�elles[Footnote 1] 
Budget principal des d�penses
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
Harmonisation avec les r�sultats du gouvernement du Canada
R�sultat strat�gique : Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e
Aide aux contribuables et aux entreprises[Footnote 2] 
483 467
690 626
690 626
542 727
531 371
Un gouvernement f�d�ral transparent, responsable et sensible aux besoins des Canadiens
Cotisations des d�clarations et traitement des paiements[Footnote 3] 
645 529
587 917
587 917
728 359
690 835
Des activit�s gouvernementales bien g�r�es et efficaces
Comptes d�biteurs et Observation en mati�re de production des d�clarations[Footnote 4] 
497 808
429 712
429 712
533 979
529 982
Des activit�s gouvernementales bien g�r�es et efficaces
Observation en mati�re de d�claration
1 037 944
922 077
922 077
1 129 081
1 092 367
Des activit�s gouvernementales bien g�r�es et efficaces
Appels
132 605
126 895
126 895
149 799
148 009
Un gouvernement f�d�ral transparent, responsable et sensible aux besoins des Canadiens
R�sultat strat�gique : Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le montant exact des prestations auxquelles ils ont droit
Programmes de prestations[Footnote 5] 
341 843
331 566
331 566
342 634
342 440
La s�curit� du revenu et l’emploi pour les Canadiens
R�sultat strat�gique : L'activit� de programme suivante soutient tous les r�sultats strat�giques dans cette organisation
Services Internes1
1 057 515
1 295 854
1 295 854
1 156 451
1 068 803
 
R�sultat strat�gique : Les contribuables et les b�n�ficiaires de prestations re�oivent un examen ind�pendant et impartial de leurs plaintes li�es au service
Ombudsman des contribuables1
1 945
3 328
3 328
3 130
2 741
Un gouvernement f�d�ral transparent, responsable et sensible aux besoins des Canadiens
Total
4 198 656
4 387 974
4 387 974
4 586 160
4 406 548
 
Moins :
Revenus non fiscaux
Revenus disponibles en vertu de l’article 60 de la Loi sur l’Agence du revenu du Canada
219 585
204 803
204 803
213 920
213 920
Revenus non disponibles
51 074
Sans objet
54 183
Sans objet
 
55 676
Plus :
Co�t des services re�us � titre gracieux
250 314
Sans objet
 
259 782
Sans objet
 
269 188
Total des d�penses nettes pour l’ARC
4 178 311
Sans objet
 
4 388 770
Sans objet
 
4 406 140
Note: Tout �cart dans les totaux est attribuable � l’arrondissement

[Footnote 1] Depuis le cycle des budgets des d�penses 2009-2010, les ressources de l’activit� de programme Services internes sont pr�sent�es de fa�on distincte des autres activit�s de programme; elles ne sont plus distribu�es parmi les activit�s de programme restantes. Les d�penses r�elles de 2008-2009 ont �t� redress�es afin de refl�ter de mani�re plus pr�cise les d�penses totales attribuables � chaque activit� de programme et de fournir une meilleure comparaison de l’information sur les d�penses par activit� de programme entre les divers exercices fiscaux.
[Footnote 2] Comprend les versements l�gislatifs reli�s au Bois d’oeuvre (180,5 millions de dollars en 2008-2009 et 205,5 millions de dollars en 2009-2010).
[Footnote 3] Comprend les paiements vers�s au Minist�re du Revenu du Qu�bec li�s aux co�ts de l’administration conjointe des taxes de vente f�d�rale et provinciale (131,7 millions de dollars en 2008-2009 et 148,4 millions de dollars en 2009-2010).
[Footnote 4] Comprend les paiements vers�s aux agences de recouvrement priv�es (9,1 millions de dollars en 2008-2009 et 3,3 millions de dollars en 2009-2010).
[Footnote 5] Comprend : a) les allocations pour frais de chauffage (un programme d’aide annonc� en 2000) (0,9 million de dollars en 2008-2009 et 0,5 million de dollars en 2009-2010); b) les co�ts des mesures d’aide li�es au co�t de l’�nergie (un programme d’aide annonc� � l’automne 2005) (0,5 million de dollars en 2008-2009 et 0 de dollars en 2009-2010); et c) les versements d’allocation sp�ciale pour enfants (211,8 millions de dollars en 2008-2009 et 215,3 millions de dollars en 2009-2010).

Ressources financi�res pour 2009-2010 (en milliers de dollars)

                                            
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
 
4 387 974
4 586 160
4 406 548

Ressources humaines pour 2009-2010

 
Ressources pr�vues
Ressources r�elles
�cart
�quivalent temps plein
39 481
40 228
(747)

Contribution des priorit�s � l’atteinte des r�sultats strat�giques

Comme on l’a indiqu� dans notre Rapport sur les plans et les priorit�s 2009-2010, nous avons centr�s nos efforts au cours de la p�riode de planification sur l’int�grit� fiscale, le renforcement du service, le validation des prestations, le relations efficaces, et la durabilit� des op�rations.

Le tableau suivant pr�cise les priorit�s strat�giques que nous avons poursuivies en 2009-2010, nos r�sultats et la fa�on dont ces priorit�s viennent appuyer nos r�sultats strat�giques. Des d�tails suppl�mentaires concernant les r�alisations par sous-activit� li�es � ces objectifs strat�giques sont fournis dans la Section II : Analyse des activit�s de programme par r�sultat strat�gique.

Priorit�s op�rationnelles en mati�re d’imp�t et de taxe  
 
Int�grit� fiscale
L’inobservation, c’est le manquement, pour quelque raison que ce soit, � s’enregistrer comme l’exige la loi, � produire des d�clarations � temps, � d�clarer des renseignements complets et exacts pour d�terminer l’obligation fiscale, et � payer tous les montants lorsqu’ils deviennent exigibles. Elle se trouve sous bien des formes, des erreurs et des omissions � l’�vasion fiscale intentionnelle. Nous �valuons constamment les risques de l’inobservation et prenons des mesures pour orienter nos ressources vers les secteurs � risque le plus �lev� afin de rendre l’inobservation plus difficile.
Type
Liens avec les r�sultats strat�giques
Progr�s accomplis
Sommaire du rendement 2009-2010
Continue
Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e
et
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
Satisfait � toutes les attentes
Au cours des quelques derni�res ann�es, nous avons consid�rablement accru notre capacit� de recherche qui nous permet de mieux comprendre et g�rer les cr�ances. Nos efforts dans ce domaine nous ont permis d’utiliser des renseignements sur les caract�ristiques des contribuables, le comportement en mati�re d’observation et d’autres facteurs pour b�tir des mod�les ax�s sur le risque qui nous permettent de s�lectionner les mesures appropri�es et efficaces pour les cas de d�biteurs particuliers. Nous avons commenc� � utiliser notre approche ax�e sur les risques pour d�terminer la bonne intervention en mati�re d’observation pour les d�biteurs particuliers, allant d’aider les particuliers � comprendre davantage leurs obligations, � entreprendre des interventions plus rapides et plus fermes pour les personnes dont l’historique pr�sente un risque plus �lev� d’inobservation. Nous int�grons nos mod�les de s�lection ax�s sur les risques � notre prise de d�cisions afin de g�rer de fa�on plus efficace la dette fiscale accumul�e par les contribuables et les entreprises.
Nous avons lanc� la mise en oeuvre de l’�tape II de notre strat�gie nationale sur l’insolvabilit�, dont le but consiste � �laborer une approche visant � am�liorer la coordination et la gestion des d�clarations complexes en vertu de la Loi sur les arrangements avec les cr�anciers des compagnies.
Nous avons �labor� un ensemble de directives qui fixent l’orientation de notre communication future avec les contribuables au moyen de messages d’alertes fiscales et la publication des condamnations criminelles obtenues par l’ARC au moyen du processus judiciaire.
Les secteurs de l’ARC ont travaill� ensemble afin de mieux g�rer le recouvrement li� aux cas de planification fiscale abusive internationale, un effort qui a produit des renseignements utiles. Telles am�liorations serviront � la fois les contribuables et l’ARC en renfor�ant notre capacit� � traiter l’inventaire actuel de comptes clients internationaux.
Nous avons aussi communiqu� avec les Canadiens au sujet des risques et des cons�quences de l’utilisation des paradis fiscaux pour �viter de payer l’imp�t, et au sujet des mesures prises pour lutter contre ces pratiques frauduleuses. Un d�pliant visant � informer les contribuables qui sont des utilisateurs potentiels de paradis fiscaux a �t� publi� en 2009.

Priorit�s op�rationnelles en mati�re d’imp�t et de taxe  
 
Renforcement du service
Les contribuables et les b�n�ficiaires de prestations sont l’objet de notre service. Nous sommes engag�s � fournir, en temps opportun, des renseignements et des services accessibles afin que ce soit plus facile pour les contribuables de respecter leurs obligations et de recevoir les versements auxquels ils ont droit. Chaque service fiscal et de prestation que nous offrons doit �tre int�gr� � notre strat�gie d’observation et doit tenir compte des co�ts et de notre capacit�, ainsi que des besoins et des attentes des particuliers, des entreprises et des gouvernements clients avec qui nous traitons au quotidien.
Type
Liens avec les r�sultats strat�giques
Progr�s accomplis
Sommaire du rendement 2009-2010
Continue
Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e
et
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
Satisfait � toutes les attentes
Le libre-service �lectronique est le moyen le plus �conomique de joindre le plus grand nombre de particuliers et d’entreprises, et il repr�sente la meilleure occasion de r�pondre aux attentes changeantes des contribuables � l’�gard des services. Notre programme � Smartlinks � appuie les contribuables qui utilisent le libre-service en donnant un acc�s t�l�phonique direct � des conseillers fiscaux et nous fournit l’occasion de solliciter des commentaires afin d’am�liorer le site Web. En 2009-2010, nous avons �largi cette fonction aux pages transactionnelles de notre service �lectronique Mon dossier d’entreprise.
M�me si beaucoup de Canadiens utilisent les options libre-service �lectroniques, nous continuons de servir et d’appuyer les contribuables au moyen de modes plus traditionnels. Par exemple, un grand nombre de contribuables interagissent avec nous au t�l�phone. Des syst�mes de r�ponse automatis�e complets fournissent un service tous les jours, 24 heures sur 24. Pendant les heures normales d’ouverture, nous pouvons acheminer les appels entre les centres d’appels � mesure que la demande augmente ou diminue. Cela nous permet d’optimaliser les ressources, de r�duire les co�ts, d’offrir des heures de services prolong�es et de reprendre nos activit�s de fa�on efficace apr�s une interruption de service
Nous am�liorons notre compr�hension des raisons pour lesquelles les contribuables utilisent le t�l�phone au moyen de nos �tudes sur le profil des demandes de renseignements. Nous fournissons �galement � nos agents des outils de r�f�rence plus � jour et pertinents, et apportons des am�liorations aux syst�mes afin de nous s’assurer que les renseignements que fournissent les agents aux demandeurs sont uniformes. Cela permettra � nos services t�l�phoniques assist�s par un agent de r�pondre aux besoins des contribuables.
Au moyen de nos activit�s de communication et de sensibilisation, nous fournissons aux contribuables les renseignements dont ils ont besoin pour respecter leurs obligations. �tant donn� les donn�es d�mographiques changeantes, les risques d’observation et d’autres tendances cl�s, les programmes de sensibilisation et les activit�s de communication effectu�s par les programmes dans toute l’ARC doivent continuellement s’y adapter; ils doivent aussi �tre ajust�s aux besoins des sous-groupes de contribuables particuliers comme les a�n�s, les nouveaux Canadiens, les jeunes, les petites ou nouvelles entreprises et les secteurs � risque �lev�.
 
 
 
En 2009-2010, nous avons travaill� avec plusieurs minist�res et organismes du gouvernement afin de joindre diff�rents segments et diverses collectivit�s pour offrir des services ou des messages personnalis�s. On compte comme partenaires Agriculture et Agroalimentaire Canada, Ressources humaines et D�veloppement des comp�tences Canada, l’Agence de la consommation en mati�re financi�re du Canada et la Province du Manitoba. Nous continuons aussi � renforcer nos partenariats avec les provinces d’Ontario et de la Colombie-Britannique afin de fournir des s�ances d’information sur la transition � la taxe de vente harmonis�e. Nous utilisons des webinaires et des web�missions comme outils de sensibilisation. Cela permet aux contribuables qui se trouvent en r�gion �loign�e d’avoir acc�s facilement � des renseignements. Nous avons aussi men� une campagne d’intervention afin de fournir aux propri�taires de petites entreprises rurales de l’Ontario et de la Colombie-Britannique des renseignements sur la mise en oeuvre imminente de la taxe de vente harmonis�e dans leurs provinces.
Il est tr�s important pour les b�n�ficiaires de prestations de pouvoir communiquer avec nous par t�l�phone. Bon nombre de personnes comptent sur le t�l�phone, car il s’agit de leur moyen de communication principal pour diff�rentes raisons, comme la disponibilit� et l’acc�s rapide aux renseignements et aux services. Les renseignements �chang�s au t�l�phone peuvent �tre essentiels aux mises � jour opportunes des dossiers et des calculs exacts des montants de prestations et de cr�dits. Le nombre de b�n�ficiaires du cr�dit pour la Prestation fiscale canadienne pour enfants et pour la TPS/TVH qui ont joint notre service t�l�phonique a d�pass� 90 % pour la deuxi�me ann�e cons�cutive. Le niveau de service accru offert aux b�n�ficiaires de prestations a �t� possible en raison des ressources suppl�mentaires affect�es directement � nos services t�l�phoniques depuis 2008.
Nous avons lanc� le service de Demandes de prestations automatis�es qui permet aux parents de demander des prestations pour enfants et familles d�s la naissance de leur enfant en cochant une case sur leurs formulaires d’enregistrement de naissance provinciaux ou territoriaux.

Priorit�s op�rationnelles en mati�re d’imp�t et de taxe  
 
Relations efficaces
Le maintien de partenariats efficaces avec d’autres organismes et minist�res f�d�raux, avec les gouvernements des provinces, des territoires et des Premi�res nations accro�t l’efficacit� et l’efficience de notre administration du r�gime d’imp�t et de prestations du Canada. La collaboration entre les administrations fiscales, y compris l’�change de renseignements de nature fiscale, est essentielle pour prot�ger l’int�grit� du r�gime fiscal du Canada.
Type
Liens avec les r�sultats strat�giques
Progr�s accomplis
Sommaire du rendement 2009-2010
Continue
Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e
et
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
Satisfait � toutes les attentes
Nous avons maintenu une forte pr�sence au sein d’organisations telles que le Centre interam�ricain des administrateurs fiscaux, la Commonwealth Association of Tax Administrators, et le Centre de Rencontre et d’�tudes des Dirigeants des Administrations Fiscales afin de participer � l’avancement de protocoles et de pratiques permettant d’orienter le travail des administrations fiscales partout dans le monde.
Nous avons travaill� avec un bon nombre de groupes internationaux, comme l’Organisation pour la coop�ration et le d�veloppement �conomiques, afin d’identifier les menaces � l’observation et prendre des mesures � cet �gard. Nous avons aussi travaill� avec des groupes d’observation multilat�raux, comme le Centre d’information conjoint sur les abris fiscaux internationaux, avec qui nous menons des analyses des questions li�es � l’observation.
Nous avons renforc� nos relations avec d’autres administrations fiscales au moyen de conventions fiscales et d’�changes de renseignements fiscaux. En 2009-2010, nous avons particip�, avec le minist�re des Finances du Canada, � des n�gociations visant � mettre � jour les conventions existantes avec l’Australie, la Malaisie, les Pays-Bas, la Nouvelle-Z�lande, la Pologne, Singapour et la Suisse. Nous avons de m�me cherch� � �changer des renseignements fiscaux avec Anguilla, Aruba, les Bahamas, Bahre�n, les Bermudes, les �les Ca�mans, la Dominique, Guernesey, Jersey, le Lib�ria, Sainte-Lucie, Saint-Kitts-et-Nevis, Saint-Vincent-et-les Grenadines, Saint-Marin, et les �les Turks et Caicos. Ces relations renforc�es permettent d’am�liorer notre capacit� � mener des travaux d’observation internationale en donnant � l’ARC l’acc�s aux renseignements fiscaux � l’�tranger, y compris les renseignements bancaires, malgr� les lois sur le secret bancaire.
Notre relation avec le minist�re des Finances du Canada est essentielle � la r�ussite des strat�gies. En 2009-2010, nous avons travaill� avec ce minist�re pour nous pr�parer � la mise en oeuvre de la taxe de vente harmonis�e de l’Ontario et de la Colombie-Britannique.
Lorsque nous administrons les programmes et versons des prestations et des cr�dits pour le compte des gouvernements clients, nous r�duisons la n�cessit� d’effectuer un calcul distinct et d’avoir des syst�mes de prestations aux niveaux f�d�ral, provincial et territorial. L’�tablissement et l’entretien de relations efficaces entre l’ARC et diff�rents gouvernements clients leur permettent de collaborer avec nous plus facilement et les encouragent � utiliser nos syst�mes de prestations, comme l’autorise la loi, dans la mesure du possible. Le travail coop�ratif permet de r�duire le co�t global du gouvernement.
 
 
 
Pendant l’exercice 2009-2010, nous avons travaill� avec Ressources humaines et D�veloppement des comp�tences Canada afin de d�terminer si l’administration de la Prestation universelle pour la garde d’enfants est efficace et efficiente. On s’attend � obtenir les r�sultats de cet examen en 2010-2011.

Priorit�s op�rationnelles en mati�re d’imp�t et de taxe 
 
Validation des prestations
Notre travail de validation aide les b�n�ficiaires de prestations � comprendre leurs droits et obligations et �tablit une pr�sence cr�dible en mati�re d’observation afin de pr�venir l’inobservation. Nous continuons d’assurer l’int�grit� des programmes de prestations et de cr�dits gr�ce � des initiatives strat�giques ax�es sur la validation.
Type
Liens avec les r�sultat strat�gique
Progr�s accomplis
Sommaire du rendement 2009-2010
Continue
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
Satisfait � toutes les attentes
Nous avons appliqu� certains �l�ments de notre strat�gie d’observation afin d’am�liorer l'exactitude des prestations et des cr�dits �mis. Afin de mesurer des niveaux d’observation, nous examinons et v�rifions les renseignements des b�n�ficiaires chaque ann�e; nous communiquons avec les particuliers afin de confirmer les d�tails de leurs comptes.
En 2009-2010, nous avons communiqu� avec 212 017 b�n�ficiaires afin de confirmer l’exactitude des renseignements � leur dossier. Les r�ponses que nous avons re�ues nous ont permis de d�terminer quels b�n�ficiaires recevaient des paiements en trop et ceux qui recevaient des paiements en moins. Les r�sultats obtenus indiquent que nos examens cibl�s r�v�lent avec succ�s les secteurs d’inobservation.
Le calcul exact des prestations et des cr�dits d�pend de la fourniture rapide des renseignements par les b�n�ficiaires. Il incombe � chaque b�n�ficiaire de nous fournir des renseignements complets et exacts afin de maintenir leur admissibilit� et de recevoir le montant exact de prestations auxquelles ils ont droit. Les r�sultats de la plus r�cente �tude sur la mesure des prestations indiquent que 94,4 % des b�n�ficiaires de la PFCE nous ont fourni des renseignements exacts; ils ont ainsi re�u les paiements de prestations auxquels ils avaient droit.

Priorit�s de la gestion
 
 
La durabilit� des op�rations
Des pratiques de gestion modernes et innovatrices ainsi que la saine infrastructure sont des conditions n�cessaires pour appuyer les services d’imp�t, de prestation et services connexes de haute qualit� que nous offrons pour le compte des gouvernements partout au Canada.
Type
Liens avec les r�sultats strat�giques
Progr�s accomplis
Sommaire du rendement 2009-2010
Continue
Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e
et
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
Satisfait � toutes les attentes
Pour nous assurer que nous r�pondons efficacement � nos obligations � l’�gard de la responsabilit�, nous utilisons deux outils compl�mentaires : l’�valuation du Cadre de responsabilisation de gestion (CRG) men�e par le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada et l’�valuation du Cadre de surveillance du Conseil de direction effectu�e par notre Conseil. Ensemble, les deux outils pr�sentent une �valuation compl�te du rendement de l’ARC en mati�re de gestion.
L’�valuation du CRG en 2009-2010 a donn� des r�sultats tr�s positifs. Sur les 11 indicateurs, nous avons obtenu 7 cotes � fort � et 4 cotes � acceptable �. L’�valuation du notre Conseil de direction a donn� des r�sultats tr�s positifs aussi. Sur les 18 indicateurs, nous avons obtenu 14 cotes � fort � et 4 cotes � acceptable �.
L’ARC a mis en oeuvre son premier plan d’investissement strat�gique pluriannuel, appuy� d’une approche document�e � la gestion du portefeuille de projets. Le Comit� de gestion de l’Agence examinait r�guli�rement les projets d’investissement afin de s’assurer que les ressources sont affect�es aux priorit�s les plus �lev�es de l’ARC.
Nous avons achev� notre Inventaire des risques organisationnels 2009. On a �galement �labor� le Plan d’action de l’ARC ax� sur le risque afin de nous assurer d’avoir des strat�gies d’intervention appropri�es pour tous les risques relev�s dans l’inventaire.
L’ARC a �labor� et publi� des lignes directrices afin d’aider les gestionnaires dans le domaine de la planification.
Nous continuons de l’utilisation soutenue de processus de pr�qualification obligatoires (PPC) et du projet Transition vers les PPC au stade final. Les r�sultats initiaux indiquent que le temps n�cessaire � la dotation a �t� r�duit de 185 jours � moins de 100 jours.
En 2009-2010, afin de compl�ter la Politique sur l’apprentissage de l’ARC, une directive et des proc�dures ont �t� �labor�es dans le but de renforcer la planification, l’�valuation et l’harmonisation des investissements en mati�re d’apprentissage avec les objectifs de l’ARC.
 
 
 
La technologie de l’information est un �l�ment fondamental de la capacit� de l’ARC li�e � l’ex�cution de ses programmes et � la prestation de services aux Canadiens. Pour maintenir cette capacit�, nous travaillons avec diligence afin de nous assurer que nos syst�mes et notre infrastructure sont robustes, s�curitaires, fiables et r�cup�rables. En 2009-2010, nous avons :
  • mis � jour avec succ�s les programmes d’Administration de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s pour l’Ontario, de la Gestion du contenu d’entreprise, de l’Int�gration du recouvrement des recettes et de la Restructuration des syst�mes d’observation afin de r�pondre aux exigences op�rationnelles changeantes de l’ARC.
  • remplac� l’ancienne technologie, entra�nant de grandes am�liorations � la capacit� des syst�mes et � la stabilit� des applications.
Pour am�liorer les contr�les qui sont d�j� en place pour emp�cher l’acc�s inappropri� et la divulgation de l’information, l’ARC a entrepris l’�laboration d’un programme de Gestion de l’identit� et de l’acc�s.
Nous avons �labor� la Strat�gie de gestion de l’information de l’ARC 2010-2011 � 2012-2013.
Nous avons modernis� davantage nos capacit�s d’�valuation et de gestion des vuln�rabilit�s en d�ployant une technologie anti-espion � tous les postes de travail de l’ARC.

Les mesures de notre r�sultat strat�gique

Nous utilisons les mesures de nos r�sultats strat�giques pour �valuer le comportement conforme des contribuables canadiens. En utilisant des renseignements de sources internes et externes comme point de r�f�rence des renseignements sur l’observation, nous regroupons nos indicateurs en quatre cat�gories g�n�rales d’obligations des contribuables afin d’aider et de mesurer nos r�sultats par rapport � nos r�sultats strat�giques des services fiscaux : observation en mati�re d’inscription; observation en mati�re de production de d�claration; observation en mati�re de d�claration; et observation en mati�re de versement.

Pour faciliter davantage la recherche et l’expos� sur l’observation, nous analysons les segments de la population suivants : les particuliers, les travailleurs autonomes, les soci�t�s, les inscrits aux fins de la TPS/TVH et les employeurs. Notre expos� sur l’observation comprend des macro-indicateurs qui nous permettent d’�valuer les tendances de l’observation en mati�re de d�claration et de d�terminer si les donn�es �conomiques donnent une indication anticip�e du changement dans les niveaux d’observation.

Observation en mati�re d’inscription

Les indicateurs de l’observation en mati�re d’inscription estiment le pourcentage des entreprises canadiennes qui se sont inscrites conform�ment � la loi dans le but de percevoir la TPS/TVH.

Notre mesure
Exercice
Evaluation de rendement
Qualit� des donn�es
Taux d’inscription � la TPS/TVH
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne

Nos indicateurs[Footnote 1] 
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Entreprise canadiennes inscrites aux fins de la TPS/TVH[Footnote 2] 
90 %
97,2 %
97,8 %
98,4 %
95,8 %
93,5  %
Atteint
[Footnote 1] Les donn�es pour la p�riode de 2005-2006 � 2008-2009 ont �t� redress�es � mesure que des renseignements plus complets et exacts ont �t� obtenus.
[Footnote 2] Ces estimations utilisent le nombre des entreprises qui produisent leur d�claration � temps est utilis� comme indicateur approximatif des inscrits. La population des entreprises comprend de petites entreprises qui ne sont pas tenues de s’inscrire. Par cons�quent, il est possible que l’indicateur approximatif sous estime la proportion des entreprises qui s’inscrivent pour percevoir la TPS/TVH.

Nos estimations du taux d’observation en mati�re d’inscription sont demeur�es constamment au-dessus de notre objectif au cours des quelques derni�res ann�es.

Notre �valuation est �galement appuy�e par les r�sultats de notre programme des non-inscrits, qui cherche � s’assurer que toutes les entreprises qui doivent s’inscrire aux fins de la TPS/TVH respectent leurs obligations. Chaque ann�e, ce programme identifie plusieurs milliers de petites entreprises qui doivent s’inscrire, surtout de nouvelles entreprises ou celles qui viennent de d�passer le seuil d’inscription. Par cons�quent, nous sommes persuad�s qu’il y a un risque tr�s faible que des moyennes ou grandes entreprises exercent des activit�s sans �tre inscrites aux fins de la TPS/TVH.

Observation en mati�re de production de d�claration

Les indicateurs de l’observation en mati�re de production de d�claration estiment le pourcentage de la population canadienne qui produit leur d�claration � temps.

Notre mesure
Exercice
Evaluation de rendement
Qualit� des donn�es
Observation en mati�re de production de d�claration - Taux de production � temps
2009-2010
En grande parti atteint
Bonne
2008-2009
En grande parti atteint
Bonne

Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Taux de production de d�claration de revenus pour les particuliers de plus de 18 ans qui produisent leur d�claration � temps
90 %
92,8 %
93,0 %
92,5 %
92,8 %
92,8 %
Atteint
Soci�t�s – entreprises constitu�es en personne morale imposables qui ont produit leurs d�clarations � temps[Footnote 1] 
90 %
86,4 %
86,4 %
85,8 %
84,4 %
85,5 %
Non atteint
Entreprises qui ont produit leurs d�clarations de TPS/TVH � temps
90 %
91,8 %
91,4 %
Non disponible
90,5 %
Non disponible
Sans objet
Employeurs qui ont produit leur d�clarations T4 � temps
90 %
94,5 %
96,0 %
95,5 %
96,4 %
96,3 %
Atteint

[Footnote 1] Le pourcentage restant des soci�t�s imposables utilis� pour ce calcul ont produit leur d�claration apr�s la date limite, soit volontairement, soit en raison de nos efforts aupr�s des non-d�clarants.

Pour �valuer l’observation des contribuables particuliers relativement � leur obligation de produire une d�claration de revenus � temps, nous comparons nos donn�es pour les d�clarants particuliers �g�s de 18 ans ou plus avec celles du Recensement de la population de Statistique Canada pour la m�me population. En fait, ces estimations sont constamment demeur�es au-dessus du niveau de 92,5 % pour chaque exercice depuis l’exercice 2001-2002, fournissant une tendance fiable pour le niveau �lev� d’observation volontaire en mati�re de production de d�claration que nous constatons.

Notre recherche sur le comportement en mati�re de production indique que, pour le restant des particuliers qui n’observaient pas leurs obligations (7,2 % en 2005-2006 et en 2009-2010), une grande majorit� d’entre eux ont produit leur d�claration dans un d�lai de cinq ans. Par exemple, m�me si 92,6 % des particuliers ont produit leurs d�clarations � temps pour l’ann�e d’imposition 2003, ce pourcentage est pass� � 97,4 % en moins de cinq ans. La production de d�claration pour l’ann�e d’imposition suivante (2004) a indiqu� exactement la m�me tendance, atteignant 97,4 % en moins de cinq ans, et le comportement en mati�re de production de d�claration pour les ann�es suivantes affiche une trajectoire semblable. Nous avons tir� de cette recherche la conclusion que la majorit� des d�clarants particuliers fautifs produisent leur d�claration dans un d�lai d’environ cinq ans, ce qui indique un taux de non-production � long terme d’environ 2,6 % pour la population �g�e de 18 ans ou plus. Au cours des six derni�res ann�es d’imposition, plus des deux tiers des d�clarations produites tardivement n’avaient aucun imp�t exigible pour une ann�e d’imposition au moment de la production de la d�claration, le tiers restant devant de l’imp�t pour au moins une ann�e d’imposition.

Observation en mati�re de versement

Les indicateurs de l’observation en mati�re de versement estiment le pourcentage des contribuables qui ont pay� leurs imp�ts exigibles � temps.

Notre mesure
Exercice
Evaluation de rendement
Qualit� des donn�es
Taux des paiements � temps
2009-2010
En grande partie atteint
Bonne
2008-2009
En grande partie atteint
Bonne

Nos indicateur
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
Evaluation
Particuliers qui ont vers� l’imp�t d�clar� � temps
90 %
92,4 %
92,9 %
91,5 %
93,2 %
93,7 %
Atteint
Soci�t�s imposables qui ont vers� l’imp�t d�clar� � temps
90 %
92,9 %
90,9 %
92,4 %
92,2 %
93,5 %
Atteint
Employeurs qui ont achemin� des retenues � la source � temps pour le compte de leurs employ�s
90 %
88,7 %
87,7 %
89,2 %
87,3 %
89,9 %
En grande partie atteint
Tendance du ratio de la dette fiscale en souffrance par rapport aux recettes brutes en esp�ces[Footnote 1] 
Tendance � la baisse
5,64 %
5,78 %
6,30 %
6,65 %
6,98 %
Non atteint
 
[Footnote 1] Cet indicateur a �t� redress� pour la p�riode de 2005-2006 � 2008-2009 afin de tenir compte des plus r�centes donn�es disponibles.

Nous mesurons la mani�re dont divers segments de contribuables respectent leurs obligations en mati�re de versement par le niveau selon lequel ils paient tous leurs imp�ts, en fonction de l’autocotisation, � la date limite ou avant. Lorsque des sommes dues ne sont pas vers�es au moment de la production de la d�claration, nous prenons des mesures pour en obtenir le paiement.

Pour les employeurs qui versent des retenues � la source pour le compte de leurs employ�s, le taux de versement � temps est en dessous de notre objectif de 90 % depuis plusieurs ann�es. Cette ann�e, nos estimations laissent toutefois entendre que les employeurs ont effectu� leurs versements de fa�on plus ponctuelle par rapport aux ann�es ant�rieures. C’est pourquoi nous sommes enclins � conclure que nous avons en grande partie atteint notre objectif pour cette mesure de l’observation.

Observation en mati�re de d�claration

Nous menons divers examens et v�rifications afin de d�terminer les secteurs o� la d�claration par des particuliers et des soci�t�s peut ne pas �tre conforme � leurs obligations de d�clarer des renseignements complets et exacts.

En 2009-2010, nos programmes d’examen ont d�termin� que 15,4 % des demandes ou des d�ductions effectu�es par des particuliers �taient non conformes, ce qui veut dire qu’elles seraient refus�es apr�s l’examen[Footnote 1] . Il faut noter que le nombre et le type de cr�dits et de d�ductions ont chang� au cours de la p�riode de 2007-2008 � 2009-2010, de sorte que le taux d’inobservation pr�sent� dans le tableau ci-dessus repr�sente � la fois des changements � l’observation et � la port�e de l’�tude.

R�sultats des examens des d�clarations de revenus des particuliers
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
Taux d’inobservation (%)
14,7
14,8
16,5
15,4
Valeur de l’imp�t suppl�mentaire cotis� (en millions $)
669
890
895
987

Dans le cas des grandes entreprises, nous avons rep�r� les cas d’inobservation et pris des mesures � leur �gard au moyen d’une combinaison de v�rifications de l’entreprise et d’�valuation du risque, qui comprend la recherche, et la surveillance. Cette approche comporte une �valuation annuelle des risques des grandes entreprises qui utilisent une expertise dans l’ensemble de l’ARC pour �valuer les niveaux du risque en utilisant des renseignements sur la nature de l’entreprise du contribuable, son comportement actuel et pass�, y compris la planification fiscale abusive, et la transparence. Nous utilisons aussi les renseignements de nos partenaires de conventions fiscales qui indiquent un risque possible de comportement non conforme. Notre d�pendance accrue � l’�gard de la recherche li�e � l’�tablissement d’objectifs r�pond � la mani�re dont les grandes entreprises ont �volu� en raison de la mondialisation, du commerce �lectronique et d’autres tendances �lectroniques qui ont rendu certaines structures d’entreprise complexes plus sensibles aux risques d’inobservation.

Pour les petites entreprises, y compris les travailleurs autonomes, nous comptons davantage sur l’�valuation du risque dans la s�lection d’entreprises pour v�rification. Notre programme de v�rification des petites et moyennes entreprises s�lectionne les v�rifications qu’il effectue en fonction d’un �ventail de renseignements sur le risque qui comprennent l’historique du risque et les indicateurs de la condition de l’entreprise qui sont associ�s au risque d’inobservation.

De plus, nous surveillons et analysons un certain nombre de macro-indicateurs qui �valuent les tendances globales du comportement des contribuables relativement � l’observation en mati�re de d�claration.

Macro-indicateurs
Figure 1 La tendance du revenu personnel d�clar� � l’ARC comparativement au revenu personnel estim� par Statistique Canada.

Figure 1 : Tendance du revenu personnel d�clar� � l’ARC

Les chiffres pour les ann�es 2005, 2006 et 2007 ont �t� redress�s en raison de donn�es am�lior�es.

Qualit� des donn�es : Raisonnable

Figure 2 La tendance de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s cotis� par rapport aux b�n�fices des soci�t�s avant imp�t d�clar�s � Statistique Canada.

Figure 2 : Tendance de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s cotis�

Les chiffres pour les ann�es 2001 et 2002 ont �t� redress�s en raison de donn�es am�lior�es.

Qualit� des donn�es : Raisonnable

Figure 3 La tendance du revenu net des entreprises non constitu�es en soci�t� qui nous est d�clar� par rapport � l’estimation de Statistique Canada pour ses Comptes nationaux.

Figure 3 : Tendance du revenu net des entreprises non constitu�es en soci�t�
Les chiffres pour les ann�es 2005, 2006 et 2007 ont �t� redress�s en raison de donn�es am�lior�es.
Qualit� des donn�es : Raisonnable
Figure 4 La tendance du revenu net de la TPS/TVH de l’ARC comparativement aux ventes au d�tail et aux d�penses personnelles estim�es par Statistique Canada

Figure 4 : Tendance du revenu net de la TPS/TVH de l’ARC
Qualit� des donn�es : Raisonnable

Conclusion

Nos mesures des r�sultats strat�giques pr�sentent des estimations de l’observation en mati�re de production de d�clarations, d’inscription, de versement et de d�claration afin d’�valuer les niveaux d’observation volontaire des lois fiscales du Canada. Notre examen de ces estimations pour l’exercice 2009-2010 indique que l’observation volontaire est demeur�e g�n�ralement �lev�e, bien que la valeur mon�taire de l’inobservation rep�r�e soit de plus en plus importante financi�rement. Selon notre �valuation de nos indicateurs de r�sultats, ceux-ci correspondent � un haut niveau d’observation chez les contribuables.

Nous estimons est que nous avons atteint notre r�sultat strat�gique des Services fiscaux en 2009-2010. Nous tirons, en grande partie, notre conclusion g�n�rale de la proportion importante de l’assiette fiscale du Canada provenant du revenu des particuliers qui est assujettie � l’�tablissement de rapports par des tiers et au reste qui provient des grandes soci�t�s assujetties � un taux �lev� de v�rification. De plus, une grande partie de notre assurance voulant que nous atteignions notre r�sultat strat�gique est fond�e sur notre syst�me rigoureux bas� sur le contr�le et l’�quilibre, ce qui comprend � la fois des mesures pr�ventives et dissuasives. Ces activit�s int�grent un m�lange d’outils d’observation.

Nos mesures du r�sultat strat�gique des Programmes de prestations

Notre mesure
Exercice
Evaluation de rendement
Qualit� des donn�es
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
�tablissement de l’admissibilit�
Pourcentage des b�n�ficiaires potentiels qui re�oivent la PFCE
95 %
Sans objet
Sans objet
Sans objet
94.9 %
Sans objet[Footnote 1] 
Sans objet
Le d�lai de traitement des paiements
Les b�n�ficiaires de prestations re�oivent les paiements � temps
99 %
99,9 %
99,9 %
99,9 %
99,9 %
99,7 %
Atteint
Les paiements de prestations sont exacts
Les b�n�ficiaires de la Prestation fiscale canadienne pour enfants fournissent des renseignements complets et exacts, et re�oivent les paiements auxquels ils ont droit
95 %
95,1 %
95,5 %
95,5 %
92,9 %
94,4 %
En grande partie atteint
Dette de trop-pay�e de la PFCE en pourcentage des paiements vers�s
<0,4 %
0,3 %
0,2 %
0,3 %
0,4 %
0,1 %
Atteint
Les provinces, les territoires et les autres minist�res comptent sur l’ARC comme important fournisseur de services
Nombre de programmes et de services administr�s
� la hausse
67
72
77
93
96
Atteint
[Footnote 1] Ces pourcentages sont disponibles uniquement pour les ann�es de recensement.

Selon notre �valuation, nous avons atteint notre r�sultat strat�gique des Programmes de prestations. Gr�ce aux efforts que nous avons d�ploy�s pour administrer les programmes de prestations, les familles et les particuliers admissibles ont re�u en temps opportun des paiements de prestations exacts. De leur c�t�, nos clients gouvernementaux ont re�u des services fiables, ont vu leurs frais administratifs r�duits et ont b�n�fici� d’une observation plus efficace. Les b�n�ficiaires de prestations peuvent compter sur l’ARC en ce qui concerne l’administration d’un syst�me de prestations mieux int�gr� et d’une plus grande int�grit� et �tre assur�s que l’ARC contribue � la r�duction du co�t g�n�ral du gouvernement au Canada.

Pour obtenir d’autres renseignements au sujet des r�alisations par notre r�sultat strat�gique, visitez notre site Web : www.arc.gc/rapportannuel

Tendances au chapitre des d�penses

Figure 5 Tendances au chapitre des d�penses

Figure 5 Tendances au chapitre des d�penses
 
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
 
(en millions de dollars)
Budget principal des d�penses
3 029
3 228
3 380
3 737
4 388
D�penses pr�vues
3 450
3 222
3 480
3 875
4 388
Total des autorisations
3 812
3 626
4 560
4 371
4 586
D�penses r�elles
3 707
3 405
4 423
4 199
4 407

Pour la p�riode de 2005-2006 � 2009-2010, le total des d�penses comprend les cr�dits parlementaires et les sources de revenus suivants : le budget principal des d�penses, les budgets suppl�mentaires des d�penses, le cr�dit 5 du Conseil du Tr�sor (CdT) – �ventualit�s du gouvernement, le cr�dit 15 du CdT – Rajustements de la r�mun�ration et le cr�dit 23 du CdT – Besoins en mati�re de r�mun�ration ainsi que les reports de fonds inutilis�s des ann�es pr�c�dentes. Sont inclus �galement la d�pense des revenus r�sultant de la poursuite des op�rations de l’Agence du revenu du Canada (ARC) en vertu de l’article 60 de la Loi sur l’Agence du revenu du Canada, les versements d’allocations sp�ciales pour enfants, les paiements aux agences de recouvrement priv�es en vertu de l’article 17.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques, ainsi que les versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre.

Depuis 2005-2006, l’augmentation du niveau de r�f�rence du cr�dit 1 de l’Agence du revenu du Canada est principalement attribuable � ce qui suit : les conventions collectives / attributions de contrats; les mesures de v�rification et d’ex�cution l�gislatives am�lior�es, incluant les initiatives li�es aux politiques et aux op�rations d�coulant des budgets et des �nonc�s �conomiques f�d�raux; le transfert provenant de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada pour les services en mati�re d’installations et de biens immobiliers; la prise en charge des responsabilit�s associ�es � l’administration de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s de l’Ontario, l’Accord sur le bois d’oeuvre r�sineux et au probl�me de l’�vitement fiscal interprovincial.

L’augmentation au cr�dit 1 est compens�e par divers exercices de r�duction budg�taire, incluant  la revue en 2005 des d�penses et les r�ductions en approvisionnement; les mesures de compression des d�penses de 2006; les �conomies co�t-efficacit� r�alis�es au budget f�d�ral de 2007; les �conomies d�coulant de l’examen strat�gique du budget f�d�ral de 2008.

Les autorisations l�gislatives de l’Agence ont fluctu� au cours de la p�riode de 2005-2006 � 2009-2010 en raison des �l�ments suivants: rajustements aux versements d’allocations sp�ciales pour enfants, pour les enfants admissibles � la charge des institutions sp�cialis�es; rajustements aux taux de contribution aux r�gimes d’avantages sociaux des employ�s; augmentations de la d�pense des revenus r�sultant de la poursuite des op�rations en vertu de l’article 60 de la Loi sur l’Agence du revenu du Canada; instauration entre 2007-2008 et 2009-2010 des paiements aux agences de recouvrement priv�es en vertu de l’article 17.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques; versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre.

En 2009-2010, des autorisations totales de 4 586,2 millions de dollars, les d�penses r�elles de l’ARC totalisaient 4 406,5 millions de dollars, portant le solde inutilis� � 179,6 millions de dollars � la fin de l’exercice. Apr�s avoir tenu compte des ressources non utilis�es li�es aux fiducies r�siduelles � l’�tranger et au financement de l’affectation � but sp�cial li�e aux installations, ainsi que les co�ts pour les r�gimes d’avantages sociaux des employ�s associ�s � la conversion des autres co�ts de fonctionnement aux co�ts reli�s au personnel, les 150,3 millions de dollars restants peuvent �tre utilis�s par l’Agence en 2010-2011. Ce montant repr�sente 3,3 % des autorisations totales.

Cr�dits vot�s et l�gislatifs
(en milliers de dollars)
2007-2008
2008-2009
2009-2010
Libell� tronqu� du poste vot� ou l�gislatif
D�penses r�elles
D�penses r�elles
Budget principal des d�penses
D�penses r�elles
1
D�penses du programme et d�penses recouvrables au titre du R�gime de pensions du Canada et de la Loi sur l’assurance-emploi
3 023 433
3 154 525
3 114 391
3 297 434
(S)
Ministre du Revenu national – Traitement et allocation pour automobile
71
76
78
78
(S)
D�pense des revenus r�sultant de la poursuite des op�rations en vertu de l’article 60 de la Loi sur l’Agence du revenu du Canada
171 763
219 585
204 803
213 920
(S)
Contributions aux r�gimes d’avantages sociaux des employ�s
402 012
419 900
413 423
469 401
(S)
Versements d’allocations sp�ciales pour enfants
208 163
211 848
221 000
215 264
(S)
Paiements aux agences de recouvrement priv�es en vertu de l’article 17.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques
12 431
9 067
5 279
3 286
(S)
Paiements en vertu de la Loi sur les mesures d'aide li�es au co�t de l'�nergie
992
489
 
13
(S)
Versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre
603 602
180 495
429 000
205 545
(S)
Produits de la disposition des biens exc�dentaires de la Couronne
126
785
 
111
(S)
Montants adjug�s par la cour
366
1 886
 
1 496
Total de l’Agence
4 422 959
4 198 656
4 387 974
4 406 548
           
Autorisations approuv�es apr�s le d�p�t du Budget principal des d�penses

Le tableau suivant expose en d�tail les autorisations re�ues par l’Agence apr�s le d�p�t du Budget principal des d�penses et correspond aux autorisations totales montr�es � la Page.

(en milliers de dollars)
 
Budget principal des d�penses 2009-2010
4 387 974
 
 
D�penses pr�vues (RPP)
4 387 974
Report de fonds non utilis�s en 2008-2009
147 065
Indemnit�s de d�part, b�n�fices parentaux et cr�dits de cong�s
70 860
Diverses conventions collectives
56 641
Rajustement de fin d’exercice aux autorit�s l�gislatives 
 
Cotisations aux r�gimes d’avantages sociaux des employ�s
55 978
Versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre
(223 455)
Allocations sp�ciales pour enfants
(5 736)
R�duction des paiements aux agences de recouvrement priv�es
(1 993)
R�forme de l’administration de la taxe de vente provinciale
39 957
Transfert de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada pour l’augmentation des frais de service en mati�re d’installations et biens immobiliers
18 551
Initiatives d�coulant du budget f�d�ral de 2009 en appui au Plan d’action �conomique du Canada telles que le cr�dit d’imp�t pour la r�novation domiciliaire et le cr�dit d’imp�t pour l’achat d’une premi�re habitation
12 338
Programmes de publicit� gouvernementale
11 000
Rajustement aux revenus disponibles principalement pour traiter les r�clamations d’Assurance-Emploi pour le compte de Service Canada au Qu�bec et en Ontario
9 117
Initiative sur l’interop�rabilit� et la g�rance financi�res en soutien aux Syst�mes administratifs d’entreprise
6 349
Montants adjug�s par la cour
1 496
Accroissement de l’embauche d’�tudiants dans la fonction publique f�d�rale
861
Produits de la disposition des biens exc�dentaires de la Couronne
111
Paiements en vertu de la Loi sur les mesures d’aide li�es au co�t de l’�nergie
13
R�duction dans la recherche sur l’opinion publique
(564)
Transfert � Affaires �trang�res et Commerce international – Pour fournir un soutien au personnel de l’ARC dans les missions � l’�tranger.
(203)
Transfert au Secr�tariat du Conseil du Tr�sor – Pour appuyer la communaut� nationale des gestionnaires
(200)
 
Autorisations totales � la fin de l’exercice
4 586 160

[Footnote 1] Les cr�dits et les d�ductions pour l’�chantillon al�atoire en 2009-2010 comprenaient un cr�dit suppl�mentaire comparativement � l’exercice pr�c�dent, avec un taux d’inobservation inf�rieur � la moyenne. Exclure ce poste entra�nerait un taux d’inobservation de 17 %. De m�me, l’�tude qui a produit les r�sultats de 2008-2009 comprenait un poste qui ne faisait pas partie des principaux cr�dits et d�ductions pour l’exercice pr�c�dent. Exclure ces derniers de 2008-2009 et de 2009-2010 entra�nerait des taux d’inobservation de 16,2 % et de 16,7 %.