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ARCHIVÉ - Agence du revenu du Canada - Rapport

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2009-2010
Rapport ministériel sur le rendement



Agence du revenu du Canada






La version originale a été signée par
L’honorable Keith Ashfield, C.P., député
Le ministre du Revenu national et ministre de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique et ministre de la porte d’entrée de l’Atlantique






Table des mati�res

Section I : Aper�u de l’Agence

Section II : Analyse des activit�s de programme par r�sultat strat�gique

Section III : Renseignements suppl�mentaires




Section I : Aper�u de l’Agence

Message du ministre


Photo du ministre du Revenu national et ministre de l’Agence de promotion �conomique du Canada atlantique et ministre de la porte d’entr�e de l’Atlantique,L’honorable Keith Ashfield, C.P., d�put�

L’Agence du revenu du Canada (ARC) administre un r�gime d’imp�t et de prestations �quitable et r�ceptif qui contribue au bien-�tre �conomique et social de notre nation. Le soutien offert par l’ARC pendant le climat �conomique difficile que nous avons connu en 2009-2010 a �t� particuli�rement important. En montrant de la souplesse dans sa fa�on de mener des �l�ments cl�s du Plan d’action �conomique du Canada, l’ARC a contribu� � garantir la stabilit� et la prosp�rit� future des Canadiens.

L’ARC s’engage � prot�ger l’assiette fiscale du Canada en s’assurant que tout le monde observe les lois fiscales. Pour ce faire, pendant l’exercice 2009-2010, l’ARC a poursuivi des particuliers et des entreprises, y compris des participants � l’�conomie clandestine et ceux qui �vitaient de payer des imp�ts en cachant leurs avoirs � l’�tranger, qui ne payaient pas l’imp�t et les taxes qu’ils devaient aux Canadiens. Le pr�sent document met en lumi�re un certain nombre de r�alisations de l’ARC pendant la derni�re ann�e et d�crit le r�le jou� par l’ARC pour soutenir les particuliers, les entreprises et les familles de partout au Canada.

� Le r�gime fiscal de notre pays repose sur l’honn�tet� et l’observation volontaire. L’Agence du revenu du Canada veut aider les Canadiens � respecter leurs obligations fiscales. �

En tant que ministre du Revenu national, j’ai le plaisir de d�poser le Rapport sur le rendement 2009-2010.

Le ministre du Revenu national et
ministre de l’Agence de promotion �conomique du Canada atlantique et
ministre de la porte d’entr�e de l’Atlantique,

L’honorable Keith Ashfield, C.P., d�put�

Message de la commissaire et premi�re dirigeante


Photo de la commissaire et premi�re dirigeante,Linda Lizotte-MacPherson

En tant que commissaire et premi�re dirigeante, je suis tenue de rendre compte de toutes les questions qui se rapportent aux programmes au ministre du Revenu national et des questions administratives � notre Conseil de direction. Je suis fi�re d’annoncer que l’Agence du revenu du Canada (ARC) a encore une fois d�montr� sa capacit� d’atteindre des r�sultats significatifs et mesurables pour les Canadiens. Bien que nous reconnaissions qu’il nous reste des progr�s � faire dans certains secteurs, nos r�alisations de la derni�re ann�e fournissent une autre preuve de la force de notre expertise dans nos activit�s de base, c’est-�-dire l’administration des imp�ts et des taxes, le recouvrement des recettes et le versement de prestations.

L’ARC touche la vie de plus de Canadiens que tous les autres minist�res et organismes du pays. En 2009-2010, nous avons trait� environ 358 milliards de dollars en imp�ts, en taxes et en droits, et nous avons �mis plus de 17 milliards de dollars en prestations et en cr�dits � des millions de particuliers et d’entreprises au nom des provinces et territoires du Canada, d’autres minist�res f�d�raux et des Premi�res nations.

Nos r�sultats de 2009-2010

Pendant l’exercice 2009-2010, l’ARC a accord� une place importante � l’assurance de l’int�grit� du r�gime d’imp�t et de prestations du Canada. Nous avons encourag� l’observation des lois fiscales en concevant des initiatives qui rendent l’inobservation plus difficile chez les particuliers et les entreprises. Par exemple, au cours de la derni�re ann�e, nous avons r�ussi � cibler des secteurs tels que la planification fiscale abusive et les paradis fiscaux au moyen de partenariats avec les provinces et des administrations fiscales internationales, et nous avons perfectionn� nos outils d’�valuation et de gestion du risque. Dans l’ensemble, les particuliers, les compagnies constitu�es en personne morale, les entreprises qui per�oivent la TPS/TVH et les employeurs ont continu� � d�montrer des niveaux �lev�s d’observation volontaire quant � leurs obligations en mati�re d’enregistrement, de production et de versement. Notre solide syst�me bas� sur le contr�le et l’�quilibre, associ� aux outils l�gislatifs et autres outils d’observation qui sont mis � notre disposition, nous fournissent l’assurance que l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e.

� L’ARC est reconnue dans l’ensemble du gouvernement comme un organisme de pointe bien g�r� qui s’est engag� vers l’excellence. Cet engagement s’av�re extr�mement important en ces temps d’incertitude �conomique, o� un plus grand nombre de Canadiens que jamais d�pendent des programmes de prestations qu’administre l’ARC. �

Nous avons continu� � renforcer le service afin que les taux d’observation volontaire augmentent. En 2009-2010, nous avons pris d’autres mesures pour rendre l’observation des lois plus facile pour les Canadiens en am�liorant l’acc�s aux renseignements sur l’imp�t et les prestations et aux outils interactifs.

Dans nos activit�s quotidiennes, nous avons respect� la plupart de nos objectifs de rendement en 2009-2010. Pour les objectifs que nous n’avons pas pu respecter, nous avons cherch� � comprendre les facteurs qui sont intervenus – comme le r�cent ralentissement �conomique – et � d�finir les mesures � prendre pour am�liorer notre rendement � l’avenir.

R�sultats en mati�re du gestion
� Les �valuations de 2009-2010 du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada et de notre Conseil de direction ont montr� que l’ARC obtient des notes �lev�es dans la plupart des secteurs de gestion. �

Un d�fi particulier auquel nous sommes confront�s, comme d’autres administrations fiscales partout dans le monde, est l’�laboration d’une mesure qui permettrait d’�valuer � quel point nos activit�s pour rep�rer et contrer l’inobservation portent fruit. M�me si notre cadre de gestion du rendement continue de recevoir des notes �lev�es dans son ensemble, nous reconnaissons qu’il est n�cessaire de l’am�liorer davantage � cet �gard.

Prochaines �tapes

Le mois de novembre 2009 marquait la fin de notre premi�re d�cennie en tant qu’agence. Les programmes et les services que nous avons offerts au cours des 10 derni�res ann�es ont transform� la vie des Canadiens. Nous avons entrepris de nouvelles activit�s, nous avons perfectionn� et adapt� notre fa�on de travailler, nous avons travaill� � partir de nos initiatives de gestion et nous nous sommes assur�s de continuer de r�pondre aux attentes et aux besoins des contribuables, des entreprises et de nos clients du gouvernement. Aucun de ces accomplissements n’aurait �t� possible sans le d�vouement et le travail acharn� de nos employ�s comp�tents. Leur savoir collectif continuera de nous permettre d’offrir des services novateurs et efficaces aux particuliers et aux entreprises au nom du gouvernement du Canada, des autres ordres de gouvernement et des communaut�s des Premi�res nations.

Notre r�putation d’administration fiscale de classe mondiale est bien m�rit�e et nous sommes fiers de nos r�alisations au cours de la derni�re ann�e. En envoyant ce rapport, je tiens � remercier sinc�rement l’ensemble de mes coll�gues, des gestionnaires et des dirigeants syndicaux qui ont rendu possibles les r�ussites de l’ARC. Au fur et � mesure que nous avan�ons, je suis s�re que le d�vouement, les connaissances et le professionnalisme de nos employ�s permettront d’offrir des r�sultats de qualit� qui importent aux Canadiens.


La commissaire et premi�re dirigeante,
Agence du revenu du Canada
Linda Lizotte-MacPherson

Raison d’�tre

Le r�gime fiscal canadien s’appuie sur l’observation volontaire et l’autocotisation. Un r�gime fiscal efficace est essentiel � la capacit� des gouvernements f�d�ral, provinciaux, territoriaux et des Premi�res nations d’offrir des programmes et des services qui sont importants pour les Canadiens et les entreprises canadiennes.

L’Agence du revenu du Canada (ARC) a pour mandat d’ex�cuter les programmes fiscaux et de prestations et d’autres programmes au nom du gouvernement du Canada et des gouvernements provinciaux, territoriaux et des Premi�res nations.

Le Parlement a �tabli l’ARC pour qu’elle puisse remplir le mandat par les moyens suivants :

  • offrir un meilleur service aux Canadiens;
  • ex�cuter de mani�re plus efficiente et plus efficace les programmes gouvernementaux; et
  • favoriser des relations de travail plus �troites et une meilleure responsabilisation avec les provinces et les autres ordres de gouvernement pour qui l’ARC ex�cute des programmes.

Le mandat de l’ARC r�v�le le r�le important qu’elle joue dans la vie des Canadiens. L’ARC contribue � trois des secteurs de r�sultats du gouvernement du Canada:

  • Un gouvernement f�d�ral transparent, responsable et sensible aux besoins des Canadiens;
  • Des activit�s gouvernementales bien g�r�es et efficaces; et
  • S�curit� du revenu et l’emploi pour les Canadiens.

Nous avons per�u environ 358 milliards de dollars en 2009-2010 (8 milliards de dollars moins qu’en 2008-2009) pour le compte du Canada, des provinces (sauf le Qu�bec), des territoires et des Premi�res nations. Nous avons �galement offert plus de 17 milliards de dollars de prestations et de cr�dits fond�s sur le revenu et d’autres services qui contribuent directement au bien-�tre �conomique et social des Canadiens.

Avantage pour les Canadiens

Aucune organisation du secteur public ne touche la vie d’un si grand nombre de Canadiens de fa�on quotidienne que l’ARC. Chaque ann�e, nous administrons des milliards de dollars en recettes fiscales et distribuons les versements de prestations exacts � des millions de Canadiens en temps opportun. Nous fournissons des prestations, des cr�dits et d’autres services connexes qui viennent en aide aux familles et enfants, aux m�nages � revenu faible et modeste et aux personnes handicap�es. Ces programmes contribuent directement au bien-�tre �conomique et social des Canadiens.

Notre capacit� � offrir des programmes et des services efficients, rapides et exacts fait de nous un partenaire pr�cieux pour les clients gouvernementaux.

Les deux objectifs strat�giques �num�r�s ci-dessous r�sument la contribution de l’ARC envers la soci�t� canadienne.

  • Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e; et
  • Les familles et les particuliers re�oivent en temps opportun les paiements exacts auxquels ils ont droit.

En plus d’administrer des programmes fiscaux et de prestations, nous avons administr� la taxe de vente harmonis�e pour le compte de trois provinces et v�rifi� les niveaux de revenu des contribuables � l’appui d’une vaste gamme de programmes f�d�raux, provinciaux et territoriaux, en partant des pr�ts �tudiants aux initiatives en mati�re de soins de sant�. Nous avons aussi offert d’autres services, comme notre Programme de compensation de dettes par remboursement, au moyen duquel nous avons aid� des agences et minist�res f�d�raux, ainsi que des gouvernements provinciaux et territoriaux, � recouvrer des dettes qui pourraient autrement devenir irr�couvrables.

Le pr�sent Rapport sur le rendement �value dans quelle mesure nous avons atteint ces r�sultats au cours de l’exercice 2009-2010. Tout compte fait, nos r�sultats indiquent que nous avons atteint nos deux r�sultats strat�giques.

Analyse des risques

Notre Programme de gestion des risques de l’entreprise a �t� cr�� afin de nous assurer d’�laborer et de mettre en oeuvre une approche syst�matique et d�taill�e � la gestion des risques qui s’int�gre enti�rement � nos processus et m�canismes d�cisionnels strat�giques, op�rationnels et financiers.

Afin de nous tenir au courant des risques que court l’ARC comme organisation, pendant la p�riode de planification, nous avons achev� notre Inventaire des risques organisationnels 2009, une partie int�grante de notre exercice de planification strat�gique annuelle. Les cinq priorit�s cl�s du Plan d’entreprise 2010-2011 � 2012-2013 ont �t� fond�es sur les plus grands risques pour l’ARC, indiqu�s dans l’inventaire 2009 (relativement � l’observation en mati�re de paiement et � l’�conomie clandestine). On a �galement �labor� le Plan d’action de l’ARC ax� sur le risque afin de nous assurer d’avoir des strat�gies d’intervention appropri�es pour tous les risques relev�s dans l’inventaire. De cette fa�on, l’inventaire des risques 2009 a guid� les priorit�s des activit�s strat�giques et op�rationnelles pour la p�riode de planification 2010-2011 et nous a men�s � l’int�gration de la gestion des risques dans nos activit�s quotidiennes.

Une mise � jour de l’Inventaire des risques organisationnels 2009 a �galement �t� lanc�e au d�but de 2010. La mise � jour a indiqu� que le profil g�n�ral des risques de l’ARC demeure g�n�ralement inchang� par rapport � 2009.

Nous croyons que notre approche � la gestion des risques nous permettra de maintenir les services � la population canadienne et � prot�ger ses int�r�ts.

�valuation de nos r�sultats

Les r�sultats atteints par rapport � nos r�sultats strat�giques et � nos r�sultats escompt�s ont �t� �tablis au moyen d’indicateurs qualitatifs et quantitatifs, aussi appel�s mesures. Les donn�es op�rationnelles, les �chantillons statistiques et les r�sultats de sondages que nous recueillons constituent le fondement de nos �valuations. Nous devons encore relever certains d�fis pour ce qui est d’�laborer des indicateurs plus solides, en particulier ceux qui sont tangibles et qui nous permettent d’�tablir des liens clairs entre nos r�alisations, nos r�sultats strat�giques et nos r�sultats attendus. � cette fin, nous �changeons des renseignements sur la mesure des r�sultats avec les autres administrations fiscales par l’entremise de divers forums internationaux. De plus, l’ARC participe � des initiatives internationales pour �tre en mesure de comparer des aspects cl�s de l’administration fiscale avec des autorit�s fiscales de partout dans le monde.

Nous �valuons aussi nos r�sultats strat�giques et ceux de nos activit�s de programme en fonction du fait que les objectifs �tablis dans le Plan d’entreprise 2009-2010 � 2011-2012 ont �t� atteints, en grande partie atteints ou non atteints.

Nos objectifs indiquent le pourcentage ou le degr� que nous pr�voyons atteindre pour un niveau de rendement. Lorsque des objectifs sont de nature num�rique, ils sont �num�r�s � c�t� de chaque indicateur. Les objectifs en mati�re de rendement sont �tablis par nos �quipes de gestion au moyen d’une analyse des contraintes li�es � la viabilit� financi�re, au rendement historique, � la complexit� des travaux concern�s et aux attentes des Canadiens.

�valuation
R�sultats
Atteint
Nos r�sultats r�pondent � nos attentes ou les d�passent.
En grande partie atteint
Bien que les r�sultats r�pondent � la plupart de nos attentes, il y a des lacunes.
Non atteint
Il y a des lacunes importantes dans les r�sultats, et nous n’avons pas r�pondu aux attentes principales ou � la plupart des attentes.

Notre Architecture des activit�s de programme

Notre Architecture des activit�s de programme pr�cise nos activit�s de programme et montre de quelle fa�on elles se rapportent � nos r�sultats strat�giques. Les activit�s de programme sont des groupes d’activit�s li�es qui sont con�ues et g�r�es dans le but de r�pondre � un besoin pr�cis du public et qui sont souvent trait�es comme une unit� budg�taire.


R�sultats strat�giques de l’Agence du revenu du Canada

Sommaire du rendement

(en milliers de dollars)
2009-2010
 
Activit� de programme
2008-2009 D�penses r�elles[Footnote 1] 
Budget principal des d�penses
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
Harmonisation avec les r�sultats du gouvernement du Canada
R�sultat strat�gique : Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e
Aide aux contribuables et aux entreprises[Footnote 2] 
483 467
690 626
690 626
542 727
531 371
Un gouvernement f�d�ral transparent, responsable et sensible aux besoins des Canadiens
Cotisations des d�clarations et traitement des paiements[Footnote 3] 
645 529
587 917
587 917
728 359
690 835
Des activit�s gouvernementales bien g�r�es et efficaces
Comptes d�biteurs et Observation en mati�re de production des d�clarations[Footnote 4] 
497 808
429 712
429 712
533 979
529 982
Des activit�s gouvernementales bien g�r�es et efficaces
Observation en mati�re de d�claration
1 037 944
922 077
922 077
1 129 081
1 092 367
Des activit�s gouvernementales bien g�r�es et efficaces
Appels
132 605
126 895
126 895
149 799
148 009
Un gouvernement f�d�ral transparent, responsable et sensible aux besoins des Canadiens
R�sultat strat�gique : Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le montant exact des prestations auxquelles ils ont droit
Programmes de prestations[Footnote 5] 
341 843
331 566
331 566
342 634
342 440
La s�curit� du revenu et l’emploi pour les Canadiens
R�sultat strat�gique : L'activit� de programme suivante soutient tous les r�sultats strat�giques dans cette organisation
Services Internes1
1 057 515
1 295 854
1 295 854
1 156 451
1 068 803
 
R�sultat strat�gique : Les contribuables et les b�n�ficiaires de prestations re�oivent un examen ind�pendant et impartial de leurs plaintes li�es au service
Ombudsman des contribuables1
1 945
3 328
3 328
3 130
2 741
Un gouvernement f�d�ral transparent, responsable et sensible aux besoins des Canadiens
Total
4 198 656
4 387 974
4 387 974
4 586 160
4 406 548
 
Moins :
Revenus non fiscaux
Revenus disponibles en vertu de l’article 60 de la Loi sur l’Agence du revenu du Canada
219 585
204 803
204 803
213 920
213 920
Revenus non disponibles
51 074
Sans objet
54 183
Sans objet
 
55 676
Plus :
Co�t des services re�us � titre gracieux
250 314
Sans objet
 
259 782
Sans objet
 
269 188
Total des d�penses nettes pour l’ARC
4 178 311
Sans objet
 
4 388 770
Sans objet
 
4 406 140
Note: Tout �cart dans les totaux est attribuable � l’arrondissement

[Footnote 1] Depuis le cycle des budgets des d�penses 2009-2010, les ressources de l’activit� de programme Services internes sont pr�sent�es de fa�on distincte des autres activit�s de programme; elles ne sont plus distribu�es parmi les activit�s de programme restantes. Les d�penses r�elles de 2008-2009 ont �t� redress�es afin de refl�ter de mani�re plus pr�cise les d�penses totales attribuables � chaque activit� de programme et de fournir une meilleure comparaison de l’information sur les d�penses par activit� de programme entre les divers exercices fiscaux.
[Footnote 2] Comprend les versements l�gislatifs reli�s au Bois d’oeuvre (180,5 millions de dollars en 2008-2009 et 205,5 millions de dollars en 2009-2010).
[Footnote 3] Comprend les paiements vers�s au Minist�re du Revenu du Qu�bec li�s aux co�ts de l’administration conjointe des taxes de vente f�d�rale et provinciale (131,7 millions de dollars en 2008-2009 et 148,4 millions de dollars en 2009-2010).
[Footnote 4] Comprend les paiements vers�s aux agences de recouvrement priv�es (9,1 millions de dollars en 2008-2009 et 3,3 millions de dollars en 2009-2010).
[Footnote 5] Comprend : a) les allocations pour frais de chauffage (un programme d’aide annonc� en 2000) (0,9 million de dollars en 2008-2009 et 0,5 million de dollars en 2009-2010); b) les co�ts des mesures d’aide li�es au co�t de l’�nergie (un programme d’aide annonc� � l’automne 2005) (0,5 million de dollars en 2008-2009 et 0 de dollars en 2009-2010); et c) les versements d’allocation sp�ciale pour enfants (211,8 millions de dollars en 2008-2009 et 215,3 millions de dollars en 2009-2010).

Ressources financi�res pour 2009-2010 (en milliers de dollars)

                                            
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
 
4 387 974
4 586 160
4 406 548

Ressources humaines pour 2009-2010

 
Ressources pr�vues
Ressources r�elles
�cart
�quivalent temps plein
39 481
40 228
(747)

Contribution des priorit�s � l’atteinte des r�sultats strat�giques

Comme on l’a indiqu� dans notre Rapport sur les plans et les priorit�s 2009-2010, nous avons centr�s nos efforts au cours de la p�riode de planification sur l’int�grit� fiscale, le renforcement du service, le validation des prestations, le relations efficaces, et la durabilit� des op�rations.

Le tableau suivant pr�cise les priorit�s strat�giques que nous avons poursuivies en 2009-2010, nos r�sultats et la fa�on dont ces priorit�s viennent appuyer nos r�sultats strat�giques. Des d�tails suppl�mentaires concernant les r�alisations par sous-activit� li�es � ces objectifs strat�giques sont fournis dans la Section II : Analyse des activit�s de programme par r�sultat strat�gique.

Priorit�s op�rationnelles en mati�re d’imp�t et de taxe  
 
Int�grit� fiscale
L’inobservation, c’est le manquement, pour quelque raison que ce soit, � s’enregistrer comme l’exige la loi, � produire des d�clarations � temps, � d�clarer des renseignements complets et exacts pour d�terminer l’obligation fiscale, et � payer tous les montants lorsqu’ils deviennent exigibles. Elle se trouve sous bien des formes, des erreurs et des omissions � l’�vasion fiscale intentionnelle. Nous �valuons constamment les risques de l’inobservation et prenons des mesures pour orienter nos ressources vers les secteurs � risque le plus �lev� afin de rendre l’inobservation plus difficile.
Type
Liens avec les r�sultats strat�giques
Progr�s accomplis
Sommaire du rendement 2009-2010
Continue
Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e
et
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
Satisfait � toutes les attentes
Au cours des quelques derni�res ann�es, nous avons consid�rablement accru notre capacit� de recherche qui nous permet de mieux comprendre et g�rer les cr�ances. Nos efforts dans ce domaine nous ont permis d’utiliser des renseignements sur les caract�ristiques des contribuables, le comportement en mati�re d’observation et d’autres facteurs pour b�tir des mod�les ax�s sur le risque qui nous permettent de s�lectionner les mesures appropri�es et efficaces pour les cas de d�biteurs particuliers. Nous avons commenc� � utiliser notre approche ax�e sur les risques pour d�terminer la bonne intervention en mati�re d’observation pour les d�biteurs particuliers, allant d’aider les particuliers � comprendre davantage leurs obligations, � entreprendre des interventions plus rapides et plus fermes pour les personnes dont l’historique pr�sente un risque plus �lev� d’inobservation. Nous int�grons nos mod�les de s�lection ax�s sur les risques � notre prise de d�cisions afin de g�rer de fa�on plus efficace la dette fiscale accumul�e par les contribuables et les entreprises.
Nous avons lanc� la mise en oeuvre de l’�tape II de notre strat�gie nationale sur l’insolvabilit�, dont le but consiste � �laborer une approche visant � am�liorer la coordination et la gestion des d�clarations complexes en vertu de la Loi sur les arrangements avec les cr�anciers des compagnies.
Nous avons �labor� un ensemble de directives qui fixent l’orientation de notre communication future avec les contribuables au moyen de messages d’alertes fiscales et la publication des condamnations criminelles obtenues par l’ARC au moyen du processus judiciaire.
Les secteurs de l’ARC ont travaill� ensemble afin de mieux g�rer le recouvrement li� aux cas de planification fiscale abusive internationale, un effort qui a produit des renseignements utiles. Telles am�liorations serviront � la fois les contribuables et l’ARC en renfor�ant notre capacit� � traiter l’inventaire actuel de comptes clients internationaux.
Nous avons aussi communiqu� avec les Canadiens au sujet des risques et des cons�quences de l’utilisation des paradis fiscaux pour �viter de payer l’imp�t, et au sujet des mesures prises pour lutter contre ces pratiques frauduleuses. Un d�pliant visant � informer les contribuables qui sont des utilisateurs potentiels de paradis fiscaux a �t� publi� en 2009.

Priorit�s op�rationnelles en mati�re d’imp�t et de taxe  
 
Renforcement du service
Les contribuables et les b�n�ficiaires de prestations sont l’objet de notre service. Nous sommes engag�s � fournir, en temps opportun, des renseignements et des services accessibles afin que ce soit plus facile pour les contribuables de respecter leurs obligations et de recevoir les versements auxquels ils ont droit. Chaque service fiscal et de prestation que nous offrons doit �tre int�gr� � notre strat�gie d’observation et doit tenir compte des co�ts et de notre capacit�, ainsi que des besoins et des attentes des particuliers, des entreprises et des gouvernements clients avec qui nous traitons au quotidien.
Type
Liens avec les r�sultats strat�giques
Progr�s accomplis
Sommaire du rendement 2009-2010
Continue
Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e
et
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
Satisfait � toutes les attentes
Le libre-service �lectronique est le moyen le plus �conomique de joindre le plus grand nombre de particuliers et d’entreprises, et il repr�sente la meilleure occasion de r�pondre aux attentes changeantes des contribuables � l’�gard des services. Notre programme � Smartlinks � appuie les contribuables qui utilisent le libre-service en donnant un acc�s t�l�phonique direct � des conseillers fiscaux et nous fournit l’occasion de solliciter des commentaires afin d’am�liorer le site Web. En 2009-2010, nous avons �largi cette fonction aux pages transactionnelles de notre service �lectronique Mon dossier d’entreprise.
M�me si beaucoup de Canadiens utilisent les options libre-service �lectroniques, nous continuons de servir et d’appuyer les contribuables au moyen de modes plus traditionnels. Par exemple, un grand nombre de contribuables interagissent avec nous au t�l�phone. Des syst�mes de r�ponse automatis�e complets fournissent un service tous les jours, 24 heures sur 24. Pendant les heures normales d’ouverture, nous pouvons acheminer les appels entre les centres d’appels � mesure que la demande augmente ou diminue. Cela nous permet d’optimaliser les ressources, de r�duire les co�ts, d’offrir des heures de services prolong�es et de reprendre nos activit�s de fa�on efficace apr�s une interruption de service
Nous am�liorons notre compr�hension des raisons pour lesquelles les contribuables utilisent le t�l�phone au moyen de nos �tudes sur le profil des demandes de renseignements. Nous fournissons �galement � nos agents des outils de r�f�rence plus � jour et pertinents, et apportons des am�liorations aux syst�mes afin de nous s’assurer que les renseignements que fournissent les agents aux demandeurs sont uniformes. Cela permettra � nos services t�l�phoniques assist�s par un agent de r�pondre aux besoins des contribuables.
Au moyen de nos activit�s de communication et de sensibilisation, nous fournissons aux contribuables les renseignements dont ils ont besoin pour respecter leurs obligations. �tant donn� les donn�es d�mographiques changeantes, les risques d’observation et d’autres tendances cl�s, les programmes de sensibilisation et les activit�s de communication effectu�s par les programmes dans toute l’ARC doivent continuellement s’y adapter; ils doivent aussi �tre ajust�s aux besoins des sous-groupes de contribuables particuliers comme les a�n�s, les nouveaux Canadiens, les jeunes, les petites ou nouvelles entreprises et les secteurs � risque �lev�.
 
 
 
En 2009-2010, nous avons travaill� avec plusieurs minist�res et organismes du gouvernement afin de joindre diff�rents segments et diverses collectivit�s pour offrir des services ou des messages personnalis�s. On compte comme partenaires Agriculture et Agroalimentaire Canada, Ressources humaines et D�veloppement des comp�tences Canada, l’Agence de la consommation en mati�re financi�re du Canada et la Province du Manitoba. Nous continuons aussi � renforcer nos partenariats avec les provinces d’Ontario et de la Colombie-Britannique afin de fournir des s�ances d’information sur la transition � la taxe de vente harmonis�e. Nous utilisons des webinaires et des web�missions comme outils de sensibilisation. Cela permet aux contribuables qui se trouvent en r�gion �loign�e d’avoir acc�s facilement � des renseignements. Nous avons aussi men� une campagne d’intervention afin de fournir aux propri�taires de petites entreprises rurales de l’Ontario et de la Colombie-Britannique des renseignements sur la mise en oeuvre imminente de la taxe de vente harmonis�e dans leurs provinces.
Il est tr�s important pour les b�n�ficiaires de prestations de pouvoir communiquer avec nous par t�l�phone. Bon nombre de personnes comptent sur le t�l�phone, car il s’agit de leur moyen de communication principal pour diff�rentes raisons, comme la disponibilit� et l’acc�s rapide aux renseignements et aux services. Les renseignements �chang�s au t�l�phone peuvent �tre essentiels aux mises � jour opportunes des dossiers et des calculs exacts des montants de prestations et de cr�dits. Le nombre de b�n�ficiaires du cr�dit pour la Prestation fiscale canadienne pour enfants et pour la TPS/TVH qui ont joint notre service t�l�phonique a d�pass� 90 % pour la deuxi�me ann�e cons�cutive. Le niveau de service accru offert aux b�n�ficiaires de prestations a �t� possible en raison des ressources suppl�mentaires affect�es directement � nos services t�l�phoniques depuis 2008.
Nous avons lanc� le service de Demandes de prestations automatis�es qui permet aux parents de demander des prestations pour enfants et familles d�s la naissance de leur enfant en cochant une case sur leurs formulaires d’enregistrement de naissance provinciaux ou territoriaux.

Priorit�s op�rationnelles en mati�re d’imp�t et de taxe  
 
Relations efficaces
Le maintien de partenariats efficaces avec d’autres organismes et minist�res f�d�raux, avec les gouvernements des provinces, des territoires et des Premi�res nations accro�t l’efficacit� et l’efficience de notre administration du r�gime d’imp�t et de prestations du Canada. La collaboration entre les administrations fiscales, y compris l’�change de renseignements de nature fiscale, est essentielle pour prot�ger l’int�grit� du r�gime fiscal du Canada.
Type
Liens avec les r�sultats strat�giques
Progr�s accomplis
Sommaire du rendement 2009-2010
Continue
Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e
et
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
Satisfait � toutes les attentes
Nous avons maintenu une forte pr�sence au sein d’organisations telles que le Centre interam�ricain des administrateurs fiscaux, la Commonwealth Association of Tax Administrators, et le Centre de Rencontre et d’�tudes des Dirigeants des Administrations Fiscales afin de participer � l’avancement de protocoles et de pratiques permettant d’orienter le travail des administrations fiscales partout dans le monde.
Nous avons travaill� avec un bon nombre de groupes internationaux, comme l’Organisation pour la coop�ration et le d�veloppement �conomiques, afin d’identifier les menaces � l’observation et prendre des mesures � cet �gard. Nous avons aussi travaill� avec des groupes d’observation multilat�raux, comme le Centre d’information conjoint sur les abris fiscaux internationaux, avec qui nous menons des analyses des questions li�es � l’observation.
Nous avons renforc� nos relations avec d’autres administrations fiscales au moyen de conventions fiscales et d’�changes de renseignements fiscaux. En 2009-2010, nous avons particip�, avec le minist�re des Finances du Canada, � des n�gociations visant � mettre � jour les conventions existantes avec l’Australie, la Malaisie, les Pays-Bas, la Nouvelle-Z�lande, la Pologne, Singapour et la Suisse. Nous avons de m�me cherch� � �changer des renseignements fiscaux avec Anguilla, Aruba, les Bahamas, Bahre�n, les Bermudes, les �les Ca�mans, la Dominique, Guernesey, Jersey, le Lib�ria, Sainte-Lucie, Saint-Kitts-et-Nevis, Saint-Vincent-et-les Grenadines, Saint-Marin, et les �les Turks et Caicos. Ces relations renforc�es permettent d’am�liorer notre capacit� � mener des travaux d’observation internationale en donnant � l’ARC l’acc�s aux renseignements fiscaux � l’�tranger, y compris les renseignements bancaires, malgr� les lois sur le secret bancaire.
Notre relation avec le minist�re des Finances du Canada est essentielle � la r�ussite des strat�gies. En 2009-2010, nous avons travaill� avec ce minist�re pour nous pr�parer � la mise en oeuvre de la taxe de vente harmonis�e de l’Ontario et de la Colombie-Britannique.
Lorsque nous administrons les programmes et versons des prestations et des cr�dits pour le compte des gouvernements clients, nous r�duisons la n�cessit� d’effectuer un calcul distinct et d’avoir des syst�mes de prestations aux niveaux f�d�ral, provincial et territorial. L’�tablissement et l’entretien de relations efficaces entre l’ARC et diff�rents gouvernements clients leur permettent de collaborer avec nous plus facilement et les encouragent � utiliser nos syst�mes de prestations, comme l’autorise la loi, dans la mesure du possible. Le travail coop�ratif permet de r�duire le co�t global du gouvernement.
 
 
 
Pendant l’exercice 2009-2010, nous avons travaill� avec Ressources humaines et D�veloppement des comp�tences Canada afin de d�terminer si l’administration de la Prestation universelle pour la garde d’enfants est efficace et efficiente. On s’attend � obtenir les r�sultats de cet examen en 2010-2011.

Priorit�s op�rationnelles en mati�re d’imp�t et de taxe 
 
Validation des prestations
Notre travail de validation aide les b�n�ficiaires de prestations � comprendre leurs droits et obligations et �tablit une pr�sence cr�dible en mati�re d’observation afin de pr�venir l’inobservation. Nous continuons d’assurer l’int�grit� des programmes de prestations et de cr�dits gr�ce � des initiatives strat�giques ax�es sur la validation.
Type
Liens avec les r�sultat strat�gique
Progr�s accomplis
Sommaire du rendement 2009-2010
Continue
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
Satisfait � toutes les attentes
Nous avons appliqu� certains �l�ments de notre strat�gie d’observation afin d’am�liorer l'exactitude des prestations et des cr�dits �mis. Afin de mesurer des niveaux d’observation, nous examinons et v�rifions les renseignements des b�n�ficiaires chaque ann�e; nous communiquons avec les particuliers afin de confirmer les d�tails de leurs comptes.
En 2009-2010, nous avons communiqu� avec 212 017 b�n�ficiaires afin de confirmer l’exactitude des renseignements � leur dossier. Les r�ponses que nous avons re�ues nous ont permis de d�terminer quels b�n�ficiaires recevaient des paiements en trop et ceux qui recevaient des paiements en moins. Les r�sultats obtenus indiquent que nos examens cibl�s r�v�lent avec succ�s les secteurs d’inobservation.
Le calcul exact des prestations et des cr�dits d�pend de la fourniture rapide des renseignements par les b�n�ficiaires. Il incombe � chaque b�n�ficiaire de nous fournir des renseignements complets et exacts afin de maintenir leur admissibilit� et de recevoir le montant exact de prestations auxquelles ils ont droit. Les r�sultats de la plus r�cente �tude sur la mesure des prestations indiquent que 94,4 % des b�n�ficiaires de la PFCE nous ont fourni des renseignements exacts; ils ont ainsi re�u les paiements de prestations auxquels ils avaient droit.

Priorit�s de la gestion
 
 
La durabilit� des op�rations
Des pratiques de gestion modernes et innovatrices ainsi que la saine infrastructure sont des conditions n�cessaires pour appuyer les services d’imp�t, de prestation et services connexes de haute qualit� que nous offrons pour le compte des gouvernements partout au Canada.
Type
Liens avec les r�sultats strat�giques
Progr�s accomplis
Sommaire du rendement 2009-2010
Continue
Les contribuables respectent leurs obligations et l’assiette fiscale du Canada est prot�g�e
et
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
Satisfait � toutes les attentes
Pour nous assurer que nous r�pondons efficacement � nos obligations � l’�gard de la responsabilit�, nous utilisons deux outils compl�mentaires : l’�valuation du Cadre de responsabilisation de gestion (CRG) men�e par le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada et l’�valuation du Cadre de surveillance du Conseil de direction effectu�e par notre Conseil. Ensemble, les deux outils pr�sentent une �valuation compl�te du rendement de l’ARC en mati�re de gestion.
L’�valuation du CRG en 2009-2010 a donn� des r�sultats tr�s positifs. Sur les 11 indicateurs, nous avons obtenu 7 cotes � fort � et 4 cotes � acceptable �. L’�valuation du notre Conseil de direction a donn� des r�sultats tr�s positifs aussi. Sur les 18 indicateurs, nous avons obtenu 14 cotes � fort � et 4 cotes � acceptable �.
L’ARC a mis en oeuvre son premier plan d’investissement strat�gique pluriannuel, appuy� d’une approche document�e � la gestion du portefeuille de projets. Le Comit� de gestion de l’Agence examinait r�guli�rement les projets d’investissement afin de s’assurer que les ressources sont affect�es aux priorit�s les plus �lev�es de l’ARC.
Nous avons achev� notre Inventaire des risques organisationnels 2009. On a �galement �labor� le Plan d’action de l’ARC ax� sur le risque afin de nous assurer d’avoir des strat�gies d’intervention appropri�es pour tous les risques relev�s dans l’inventaire.
L’ARC a �labor� et publi� des lignes directrices afin d’aider les gestionnaires dans le domaine de la planification.
Nous continuons de l’utilisation soutenue de processus de pr�qualification obligatoires (PPC) et du projet Transition vers les PPC au stade final. Les r�sultats initiaux indiquent que le temps n�cessaire � la dotation a �t� r�duit de 185 jours � moins de 100 jours.
En 2009-2010, afin de compl�ter la Politique sur l’apprentissage de l’ARC, une directive et des proc�dures ont �t� �labor�es dans le but de renforcer la planification, l’�valuation et l’harmonisation des investissements en mati�re d’apprentissage avec les objectifs de l’ARC.
 
 
 
La technologie de l’information est un �l�ment fondamental de la capacit� de l’ARC li�e � l’ex�cution de ses programmes et � la prestation de services aux Canadiens. Pour maintenir cette capacit�, nous travaillons avec diligence afin de nous assurer que nos syst�mes et notre infrastructure sont robustes, s�curitaires, fiables et r�cup�rables. En 2009-2010, nous avons :
  • mis � jour avec succ�s les programmes d’Administration de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s pour l’Ontario, de la Gestion du contenu d’entreprise, de l’Int�gration du recouvrement des recettes et de la Restructuration des syst�mes d’observation afin de r�pondre aux exigences op�rationnelles changeantes de l’ARC.
  • remplac� l’ancienne technologie, entra�nant de grandes am�liorations � la capacit� des syst�mes et � la stabilit� des applications.
Pour am�liorer les contr�les qui sont d�j� en place pour emp�cher l’acc�s inappropri� et la divulgation de l’information, l’ARC a entrepris l’�laboration d’un programme de Gestion de l’identit� et de l’acc�s.
Nous avons �labor� la Strat�gie de gestion de l’information de l’ARC 2010-2011 � 2012-2013.
Nous avons modernis� davantage nos capacit�s d’�valuation et de gestion des vuln�rabilit�s en d�ployant une technologie anti-espion � tous les postes de travail de l’ARC.

Les mesures de notre r�sultat strat�gique

Nous utilisons les mesures de nos r�sultats strat�giques pour �valuer le comportement conforme des contribuables canadiens. En utilisant des renseignements de sources internes et externes comme point de r�f�rence des renseignements sur l’observation, nous regroupons nos indicateurs en quatre cat�gories g�n�rales d’obligations des contribuables afin d’aider et de mesurer nos r�sultats par rapport � nos r�sultats strat�giques des services fiscaux : observation en mati�re d’inscription; observation en mati�re de production de d�claration; observation en mati�re de d�claration; et observation en mati�re de versement.

Pour faciliter davantage la recherche et l’expos� sur l’observation, nous analysons les segments de la population suivants : les particuliers, les travailleurs autonomes, les soci�t�s, les inscrits aux fins de la TPS/TVH et les employeurs. Notre expos� sur l’observation comprend des macro-indicateurs qui nous permettent d’�valuer les tendances de l’observation en mati�re de d�claration et de d�terminer si les donn�es �conomiques donnent une indication anticip�e du changement dans les niveaux d’observation.

Observation en mati�re d’inscription

Les indicateurs de l’observation en mati�re d’inscription estiment le pourcentage des entreprises canadiennes qui se sont inscrites conform�ment � la loi dans le but de percevoir la TPS/TVH.

Notre mesure
Exercice
Evaluation de rendement
Qualit� des donn�es
Taux d’inscription � la TPS/TVH
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne

Nos indicateurs[Footnote 1] 
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Entreprise canadiennes inscrites aux fins de la TPS/TVH[Footnote 2] 
90 %
97,2 %
97,8 %
98,4 %
95,8 %
93,5  %
Atteint
[Footnote 1] Les donn�es pour la p�riode de 2005-2006 � 2008-2009 ont �t� redress�es � mesure que des renseignements plus complets et exacts ont �t� obtenus.
[Footnote 2] Ces estimations utilisent le nombre des entreprises qui produisent leur d�claration � temps est utilis� comme indicateur approximatif des inscrits. La population des entreprises comprend de petites entreprises qui ne sont pas tenues de s’inscrire. Par cons�quent, il est possible que l’indicateur approximatif sous estime la proportion des entreprises qui s’inscrivent pour percevoir la TPS/TVH.

Nos estimations du taux d’observation en mati�re d’inscription sont demeur�es constamment au-dessus de notre objectif au cours des quelques derni�res ann�es.

Notre �valuation est �galement appuy�e par les r�sultats de notre programme des non-inscrits, qui cherche � s’assurer que toutes les entreprises qui doivent s’inscrire aux fins de la TPS/TVH respectent leurs obligations. Chaque ann�e, ce programme identifie plusieurs milliers de petites entreprises qui doivent s’inscrire, surtout de nouvelles entreprises ou celles qui viennent de d�passer le seuil d’inscription. Par cons�quent, nous sommes persuad�s qu’il y a un risque tr�s faible que des moyennes ou grandes entreprises exercent des activit�s sans �tre inscrites aux fins de la TPS/TVH.

Observation en mati�re de production de d�claration

Les indicateurs de l’observation en mati�re de production de d�claration estiment le pourcentage de la population canadienne qui produit leur d�claration � temps.

Notre mesure
Exercice
Evaluation de rendement
Qualit� des donn�es
Observation en mati�re de production de d�claration - Taux de production � temps
2009-2010
En grande parti atteint
Bonne
2008-2009
En grande parti atteint
Bonne

Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Taux de production de d�claration de revenus pour les particuliers de plus de 18 ans qui produisent leur d�claration � temps
90 %
92,8 %
93,0 %
92,5 %
92,8 %
92,8 %
Atteint
Soci�t�s – entreprises constitu�es en personne morale imposables qui ont produit leurs d�clarations � temps[Footnote 1] 
90 %
86,4 %
86,4 %
85,8 %
84,4 %
85,5 %
Non atteint
Entreprises qui ont produit leurs d�clarations de TPS/TVH � temps
90 %
91,8 %
91,4 %
Non disponible
90,5 %
Non disponible
Sans objet
Employeurs qui ont produit leur d�clarations T4 � temps
90 %
94,5 %
96,0 %
95,5 %
96,4 %
96,3 %
Atteint

[Footnote 1] Le pourcentage restant des soci�t�s imposables utilis� pour ce calcul ont produit leur d�claration apr�s la date limite, soit volontairement, soit en raison de nos efforts aupr�s des non-d�clarants.

Pour �valuer l’observation des contribuables particuliers relativement � leur obligation de produire une d�claration de revenus � temps, nous comparons nos donn�es pour les d�clarants particuliers �g�s de 18 ans ou plus avec celles du Recensement de la population de Statistique Canada pour la m�me population. En fait, ces estimations sont constamment demeur�es au-dessus du niveau de 92,5 % pour chaque exercice depuis l’exercice 2001-2002, fournissant une tendance fiable pour le niveau �lev� d’observation volontaire en mati�re de production de d�claration que nous constatons.

Notre recherche sur le comportement en mati�re de production indique que, pour le restant des particuliers qui n’observaient pas leurs obligations (7,2 % en 2005-2006 et en 2009-2010), une grande majorit� d’entre eux ont produit leur d�claration dans un d�lai de cinq ans. Par exemple, m�me si 92,6 % des particuliers ont produit leurs d�clarations � temps pour l’ann�e d’imposition 2003, ce pourcentage est pass� � 97,4 % en moins de cinq ans. La production de d�claration pour l’ann�e d’imposition suivante (2004) a indiqu� exactement la m�me tendance, atteignant 97,4 % en moins de cinq ans, et le comportement en mati�re de production de d�claration pour les ann�es suivantes affiche une trajectoire semblable. Nous avons tir� de cette recherche la conclusion que la majorit� des d�clarants particuliers fautifs produisent leur d�claration dans un d�lai d’environ cinq ans, ce qui indique un taux de non-production � long terme d’environ 2,6 % pour la population �g�e de 18 ans ou plus. Au cours des six derni�res ann�es d’imposition, plus des deux tiers des d�clarations produites tardivement n’avaient aucun imp�t exigible pour une ann�e d’imposition au moment de la production de la d�claration, le tiers restant devant de l’imp�t pour au moins une ann�e d’imposition.

Observation en mati�re de versement

Les indicateurs de l’observation en mati�re de versement estiment le pourcentage des contribuables qui ont pay� leurs imp�ts exigibles � temps.

Notre mesure
Exercice
Evaluation de rendement
Qualit� des donn�es
Taux des paiements � temps
2009-2010
En grande partie atteint
Bonne
2008-2009
En grande partie atteint
Bonne

Nos indicateur
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
Evaluation
Particuliers qui ont vers� l’imp�t d�clar� � temps
90 %
92,4 %
92,9 %
91,5 %
93,2 %
93,7 %
Atteint
Soci�t�s imposables qui ont vers� l’imp�t d�clar� � temps
90 %
92,9 %
90,9 %
92,4 %
92,2 %
93,5 %
Atteint
Employeurs qui ont achemin� des retenues � la source � temps pour le compte de leurs employ�s
90 %
88,7 %
87,7 %
89,2 %
87,3 %
89,9 %
En grande partie atteint
Tendance du ratio de la dette fiscale en souffrance par rapport aux recettes brutes en esp�ces[Footnote 1] 
Tendance � la baisse
5,64 %
5,78 %
6,30 %
6,65 %
6,98 %
Non atteint
 
[Footnote 1] Cet indicateur a �t� redress� pour la p�riode de 2005-2006 � 2008-2009 afin de tenir compte des plus r�centes donn�es disponibles.

Nous mesurons la mani�re dont divers segments de contribuables respectent leurs obligations en mati�re de versement par le niveau selon lequel ils paient tous leurs imp�ts, en fonction de l’autocotisation, � la date limite ou avant. Lorsque des sommes dues ne sont pas vers�es au moment de la production de la d�claration, nous prenons des mesures pour en obtenir le paiement.

Pour les employeurs qui versent des retenues � la source pour le compte de leurs employ�s, le taux de versement � temps est en dessous de notre objectif de 90 % depuis plusieurs ann�es. Cette ann�e, nos estimations laissent toutefois entendre que les employeurs ont effectu� leurs versements de fa�on plus ponctuelle par rapport aux ann�es ant�rieures. C’est pourquoi nous sommes enclins � conclure que nous avons en grande partie atteint notre objectif pour cette mesure de l’observation.

Observation en mati�re de d�claration

Nous menons divers examens et v�rifications afin de d�terminer les secteurs o� la d�claration par des particuliers et des soci�t�s peut ne pas �tre conforme � leurs obligations de d�clarer des renseignements complets et exacts.

En 2009-2010, nos programmes d’examen ont d�termin� que 15,4 % des demandes ou des d�ductions effectu�es par des particuliers �taient non conformes, ce qui veut dire qu’elles seraient refus�es apr�s l’examen[Footnote 1] . Il faut noter que le nombre et le type de cr�dits et de d�ductions ont chang� au cours de la p�riode de 2007-2008 � 2009-2010, de sorte que le taux d’inobservation pr�sent� dans le tableau ci-dessus repr�sente � la fois des changements � l’observation et � la port�e de l’�tude.

R�sultats des examens des d�clarations de revenus des particuliers
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
Taux d’inobservation (%)
14,7
14,8
16,5
15,4
Valeur de l’imp�t suppl�mentaire cotis� (en millions $)
669
890
895
987

Dans le cas des grandes entreprises, nous avons rep�r� les cas d’inobservation et pris des mesures � leur �gard au moyen d’une combinaison de v�rifications de l’entreprise et d’�valuation du risque, qui comprend la recherche, et la surveillance. Cette approche comporte une �valuation annuelle des risques des grandes entreprises qui utilisent une expertise dans l’ensemble de l’ARC pour �valuer les niveaux du risque en utilisant des renseignements sur la nature de l’entreprise du contribuable, son comportement actuel et pass�, y compris la planification fiscale abusive, et la transparence. Nous utilisons aussi les renseignements de nos partenaires de conventions fiscales qui indiquent un risque possible de comportement non conforme. Notre d�pendance accrue � l’�gard de la recherche li�e � l’�tablissement d’objectifs r�pond � la mani�re dont les grandes entreprises ont �volu� en raison de la mondialisation, du commerce �lectronique et d’autres tendances �lectroniques qui ont rendu certaines structures d’entreprise complexes plus sensibles aux risques d’inobservation.

Pour les petites entreprises, y compris les travailleurs autonomes, nous comptons davantage sur l’�valuation du risque dans la s�lection d’entreprises pour v�rification. Notre programme de v�rification des petites et moyennes entreprises s�lectionne les v�rifications qu’il effectue en fonction d’un �ventail de renseignements sur le risque qui comprennent l’historique du risque et les indicateurs de la condition de l’entreprise qui sont associ�s au risque d’inobservation.

De plus, nous surveillons et analysons un certain nombre de macro-indicateurs qui �valuent les tendances globales du comportement des contribuables relativement � l’observation en mati�re de d�claration.

Macro-indicateurs
Figure 1 La tendance du revenu personnel d�clar� � l’ARC comparativement au revenu personnel estim� par Statistique Canada.

Figure 1 : Tendance du revenu personnel d�clar� � l’ARC

Les chiffres pour les ann�es 2005, 2006 et 2007 ont �t� redress�s en raison de donn�es am�lior�es.

Qualit� des donn�es : Raisonnable

Figure 2 La tendance de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s cotis� par rapport aux b�n�fices des soci�t�s avant imp�t d�clar�s � Statistique Canada.

Figure 2 : Tendance de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s cotis�

Les chiffres pour les ann�es 2001 et 2002 ont �t� redress�s en raison de donn�es am�lior�es.

Qualit� des donn�es : Raisonnable

Figure 3 La tendance du revenu net des entreprises non constitu�es en soci�t� qui nous est d�clar� par rapport � l’estimation de Statistique Canada pour ses Comptes nationaux.

Figure 3 : Tendance du revenu net des entreprises non constitu�es en soci�t�
Les chiffres pour les ann�es 2005, 2006 et 2007 ont �t� redress�s en raison de donn�es am�lior�es.
Qualit� des donn�es : Raisonnable
Figure 4 La tendance du revenu net de la TPS/TVH de l’ARC comparativement aux ventes au d�tail et aux d�penses personnelles estim�es par Statistique Canada

Figure 4 : Tendance du revenu net de la TPS/TVH de l’ARC
Qualit� des donn�es : Raisonnable

Conclusion

Nos mesures des r�sultats strat�giques pr�sentent des estimations de l’observation en mati�re de production de d�clarations, d’inscription, de versement et de d�claration afin d’�valuer les niveaux d’observation volontaire des lois fiscales du Canada. Notre examen de ces estimations pour l’exercice 2009-2010 indique que l’observation volontaire est demeur�e g�n�ralement �lev�e, bien que la valeur mon�taire de l’inobservation rep�r�e soit de plus en plus importante financi�rement. Selon notre �valuation de nos indicateurs de r�sultats, ceux-ci correspondent � un haut niveau d’observation chez les contribuables.

Nous estimons est que nous avons atteint notre r�sultat strat�gique des Services fiscaux en 2009-2010. Nous tirons, en grande partie, notre conclusion g�n�rale de la proportion importante de l’assiette fiscale du Canada provenant du revenu des particuliers qui est assujettie � l’�tablissement de rapports par des tiers et au reste qui provient des grandes soci�t�s assujetties � un taux �lev� de v�rification. De plus, une grande partie de notre assurance voulant que nous atteignions notre r�sultat strat�gique est fond�e sur notre syst�me rigoureux bas� sur le contr�le et l’�quilibre, ce qui comprend � la fois des mesures pr�ventives et dissuasives. Ces activit�s int�grent un m�lange d’outils d’observation.

Nos mesures du r�sultat strat�gique des Programmes de prestations

Notre mesure
Exercice
Evaluation de rendement
Qualit� des donn�es
Les familles et les particuliers admissibles re�oivent en temps opportun le paiements exacts auxquels ils ont droit
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
�tablissement de l’admissibilit�
Pourcentage des b�n�ficiaires potentiels qui re�oivent la PFCE
95 %
Sans objet
Sans objet
Sans objet
94.9 %
Sans objet[Footnote 1] 
Sans objet
Le d�lai de traitement des paiements
Les b�n�ficiaires de prestations re�oivent les paiements � temps
99 %
99,9 %
99,9 %
99,9 %
99,9 %
99,7 %
Atteint
Les paiements de prestations sont exacts
Les b�n�ficiaires de la Prestation fiscale canadienne pour enfants fournissent des renseignements complets et exacts, et re�oivent les paiements auxquels ils ont droit
95 %
95,1 %
95,5 %
95,5 %
92,9 %
94,4 %
En grande partie atteint
Dette de trop-pay�e de la PFCE en pourcentage des paiements vers�s
<0,4 %
0,3 %
0,2 %
0,3 %
0,4 %
0,1 %
Atteint
Les provinces, les territoires et les autres minist�res comptent sur l’ARC comme important fournisseur de services
Nombre de programmes et de services administr�s
� la hausse
67
72
77
93
96
Atteint
[Footnote 1] Ces pourcentages sont disponibles uniquement pour les ann�es de recensement.

Selon notre �valuation, nous avons atteint notre r�sultat strat�gique des Programmes de prestations. Gr�ce aux efforts que nous avons d�ploy�s pour administrer les programmes de prestations, les familles et les particuliers admissibles ont re�u en temps opportun des paiements de prestations exacts. De leur c�t�, nos clients gouvernementaux ont re�u des services fiables, ont vu leurs frais administratifs r�duits et ont b�n�fici� d’une observation plus efficace. Les b�n�ficiaires de prestations peuvent compter sur l’ARC en ce qui concerne l’administration d’un syst�me de prestations mieux int�gr� et d’une plus grande int�grit� et �tre assur�s que l’ARC contribue � la r�duction du co�t g�n�ral du gouvernement au Canada.

Pour obtenir d’autres renseignements au sujet des r�alisations par notre r�sultat strat�gique, visitez notre site Web : www.arc.gc/rapportannuel

Tendances au chapitre des d�penses

Figure 5 Tendances au chapitre des d�penses

Figure 5 Tendances au chapitre des d�penses
 
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
 
(en millions de dollars)
Budget principal des d�penses
3 029
3 228
3 380
3 737
4 388
D�penses pr�vues
3 450
3 222
3 480
3 875
4 388
Total des autorisations
3 812
3 626
4 560
4 371
4 586
D�penses r�elles
3 707
3 405
4 423
4 199
4 407

Pour la p�riode de 2005-2006 � 2009-2010, le total des d�penses comprend les cr�dits parlementaires et les sources de revenus suivants : le budget principal des d�penses, les budgets suppl�mentaires des d�penses, le cr�dit 5 du Conseil du Tr�sor (CdT) – �ventualit�s du gouvernement, le cr�dit 15 du CdT – Rajustements de la r�mun�ration et le cr�dit 23 du CdT – Besoins en mati�re de r�mun�ration ainsi que les reports de fonds inutilis�s des ann�es pr�c�dentes. Sont inclus �galement la d�pense des revenus r�sultant de la poursuite des op�rations de l’Agence du revenu du Canada (ARC) en vertu de l’article 60 de la Loi sur l’Agence du revenu du Canada, les versements d’allocations sp�ciales pour enfants, les paiements aux agences de recouvrement priv�es en vertu de l’article 17.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques, ainsi que les versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre.

Depuis 2005-2006, l’augmentation du niveau de r�f�rence du cr�dit 1 de l’Agence du revenu du Canada est principalement attribuable � ce qui suit : les conventions collectives / attributions de contrats; les mesures de v�rification et d’ex�cution l�gislatives am�lior�es, incluant les initiatives li�es aux politiques et aux op�rations d�coulant des budgets et des �nonc�s �conomiques f�d�raux; le transfert provenant de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada pour les services en mati�re d’installations et de biens immobiliers; la prise en charge des responsabilit�s associ�es � l’administration de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s de l’Ontario, l’Accord sur le bois d’oeuvre r�sineux et au probl�me de l’�vitement fiscal interprovincial.

L’augmentation au cr�dit 1 est compens�e par divers exercices de r�duction budg�taire, incluant  la revue en 2005 des d�penses et les r�ductions en approvisionnement; les mesures de compression des d�penses de 2006; les �conomies co�t-efficacit� r�alis�es au budget f�d�ral de 2007; les �conomies d�coulant de l’examen strat�gique du budget f�d�ral de 2008.

Les autorisations l�gislatives de l’Agence ont fluctu� au cours de la p�riode de 2005-2006 � 2009-2010 en raison des �l�ments suivants: rajustements aux versements d’allocations sp�ciales pour enfants, pour les enfants admissibles � la charge des institutions sp�cialis�es; rajustements aux taux de contribution aux r�gimes d’avantages sociaux des employ�s; augmentations de la d�pense des revenus r�sultant de la poursuite des op�rations en vertu de l’article 60 de la Loi sur l’Agence du revenu du Canada; instauration entre 2007-2008 et 2009-2010 des paiements aux agences de recouvrement priv�es en vertu de l’article 17.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques; versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre.

En 2009-2010, des autorisations totales de 4 586,2 millions de dollars, les d�penses r�elles de l’ARC totalisaient 4 406,5 millions de dollars, portant le solde inutilis� � 179,6 millions de dollars � la fin de l’exercice. Apr�s avoir tenu compte des ressources non utilis�es li�es aux fiducies r�siduelles � l’�tranger et au financement de l’affectation � but sp�cial li�e aux installations, ainsi que les co�ts pour les r�gimes d’avantages sociaux des employ�s associ�s � la conversion des autres co�ts de fonctionnement aux co�ts reli�s au personnel, les 150,3 millions de dollars restants peuvent �tre utilis�s par l’Agence en 2010-2011. Ce montant repr�sente 3,3 % des autorisations totales.

Cr�dits vot�s et l�gislatifs
(en milliers de dollars)
2007-2008
2008-2009
2009-2010
Libell� tronqu� du poste vot� ou l�gislatif
D�penses r�elles
D�penses r�elles
Budget principal des d�penses
D�penses r�elles
1
D�penses du programme et d�penses recouvrables au titre du R�gime de pensions du Canada et de la Loi sur l’assurance-emploi
3 023 433
3 154 525
3 114 391
3 297 434
(S)
Ministre du Revenu national – Traitement et allocation pour automobile
71
76
78
78
(S)
D�pense des revenus r�sultant de la poursuite des op�rations en vertu de l’article 60 de la Loi sur l’Agence du revenu du Canada
171 763
219 585
204 803
213 920
(S)
Contributions aux r�gimes d’avantages sociaux des employ�s
402 012
419 900
413 423
469 401
(S)
Versements d’allocations sp�ciales pour enfants
208 163
211 848
221 000
215 264
(S)
Paiements aux agences de recouvrement priv�es en vertu de l’article 17.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques
12 431
9 067
5 279
3 286
(S)
Paiements en vertu de la Loi sur les mesures d'aide li�es au co�t de l'�nergie
992
489
 
13
(S)
Versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre
603 602
180 495
429 000
205 545
(S)
Produits de la disposition des biens exc�dentaires de la Couronne
126
785
 
111
(S)
Montants adjug�s par la cour
366
1 886
 
1 496
Total de l’Agence
4 422 959
4 198 656
4 387 974
4 406 548
           
Autorisations approuv�es apr�s le d�p�t du Budget principal des d�penses

Le tableau suivant expose en d�tail les autorisations re�ues par l’Agence apr�s le d�p�t du Budget principal des d�penses et correspond aux autorisations totales montr�es � la Page.

(en milliers de dollars)
 
Budget principal des d�penses 2009-2010
4 387 974
 
 
D�penses pr�vues (RPP)
4 387 974
Report de fonds non utilis�s en 2008-2009
147 065
Indemnit�s de d�part, b�n�fices parentaux et cr�dits de cong�s
70 860
Diverses conventions collectives
56 641
Rajustement de fin d’exercice aux autorit�s l�gislatives 
 
Cotisations aux r�gimes d’avantages sociaux des employ�s
55 978
Versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre
(223 455)
Allocations sp�ciales pour enfants
(5 736)
R�duction des paiements aux agences de recouvrement priv�es
(1 993)
R�forme de l’administration de la taxe de vente provinciale
39 957
Transfert de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada pour l’augmentation des frais de service en mati�re d’installations et biens immobiliers
18 551
Initiatives d�coulant du budget f�d�ral de 2009 en appui au Plan d’action �conomique du Canada telles que le cr�dit d’imp�t pour la r�novation domiciliaire et le cr�dit d’imp�t pour l’achat d’une premi�re habitation
12 338
Programmes de publicit� gouvernementale
11 000
Rajustement aux revenus disponibles principalement pour traiter les r�clamations d’Assurance-Emploi pour le compte de Service Canada au Qu�bec et en Ontario
9 117
Initiative sur l’interop�rabilit� et la g�rance financi�res en soutien aux Syst�mes administratifs d’entreprise
6 349
Montants adjug�s par la cour
1 496
Accroissement de l’embauche d’�tudiants dans la fonction publique f�d�rale
861
Produits de la disposition des biens exc�dentaires de la Couronne
111
Paiements en vertu de la Loi sur les mesures d’aide li�es au co�t de l’�nergie
13
R�duction dans la recherche sur l’opinion publique
(564)
Transfert � Affaires �trang�res et Commerce international – Pour fournir un soutien au personnel de l’ARC dans les missions � l’�tranger.
(203)
Transfert au Secr�tariat du Conseil du Tr�sor – Pour appuyer la communaut� nationale des gestionnaires
(200)
 
Autorisations totales � la fin de l’exercice
4 586 160

[Footnote 1] Les cr�dits et les d�ductions pour l’�chantillon al�atoire en 2009-2010 comprenaient un cr�dit suppl�mentaire comparativement � l’exercice pr�c�dent, avec un taux d’inobservation inf�rieur � la moyenne. Exclure ce poste entra�nerait un taux d’inobservation de 17 %. De m�me, l’�tude qui a produit les r�sultats de 2008-2009 comprenait un poste qui ne faisait pas partie des principaux cr�dits et d�ductions pour l’exercice pr�c�dent. Exclure ces derniers de 2008-2009 et de 2009-2010 entra�nerait des taux d’inobservation de 16,2 % et de 16,7 %.




Section II : Analyse des activit�s de programme par r�sultat strat�gique

Aide aux contribuables et aux entreprises (AP1)


Aide aux contribuables et aux entreprises (PA1)

Avantages pour les Canadiens

Notre secteur de l’Aide aux contribuables et aux entreprises aide les contribuables, les entreprises et les inscrits � respecter leurs obligations en vertu du syst�me d’autocotisation du Canada en fournissant un acc�s � des renseignements opportuns et pr�cis. Les contribuables ont acc�s aux renseignements dont ils ont besoin au moyen de divers modes (p. ex. notre site Web, nos services t�l�phoniques, nos publications imprim�es, les visites en personne et nos activit�s de visibilit�). Il fournit aussi des d�cisions et des interpr�tations afin de clarifier et d’interpr�ter les lois fiscales, ainsi qu’aux fins du RPC/AE, et aux fins de l’application des lois fiscales f�d�rales r�gissant les r�gimes enregistr�s et les organismes de bienfaisance enregistr�s.

Nos r�sultats escompt�s sont les crit�res que nous utilisons pour mesurer l’efficacit� de nos activit�s et en rendre compte aux Canadiens. Nous ex�cutons cette activit� de programme afin de r�aliser ce qui suit :

Les contribuables, les entreprises et les inscrits ont acc�s � des produits et � des services d’information opportuns et pr�cis en mati�re d’imp�t et les cas d’inobservation des lois applicables chez les organisations et les entreprises qui administrent et/ou produisent des r�gimes enregistr�s, les organismes de bienfaisance et les produits passibles du droit d’accise sont rep�r�s et des mesures sont prises � leur �gard.

Aper�u de l’AP1

Figure 6 D�penses r�elles


Figure 6 D�penses r�elles
Ressources financi�res 2009-2010 (en milliers de dollars)
Ressources humaines (ETP) 2009-2010
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
Pr�vues
R�elles
�cart
690 626 $
542 727 $
531 371 $
4 137
3 817
320

Principales donn�es

Demandes de renseignements et services d’information – Nous avons trait� plus de 17,7 millions de demandes de renseignements de la part du public et enregistr� plus de 35,6 millions de visites sur le site Web de l’ARC.

D�cisions et interpr�tations en mati�re d’accise et de TPS/TVH – Nous avons trait� plus de 3 700 demandes de renseignements �crites relatives � des d�cisions et des interpr�tations ainsi que trait� plus de 101 000 demandes de renseignements t�l�phoniques relatives � la TPS/TVH.

D�cisions aux fins du RPC/AE – Nous avons trait� plus de 73 000 demandes de d�cisions.

R�gimes enregistr�s – Nous avons assur� la conformit� d’environ 33 000 r�gimes (p. ex., r�gimes de pension enregistr�s, r�gimes de participation diff�r�e aux b�n�fices, r�gimes de prestations suppl�mentaires de ch�mage, placements enregistr�s), examin� les d�clarations connexes et men� 470 v�rifications.

Organismes de bienfaisance – Nous avons trait� plus de 80 000 d�clarations de renseignements annuelles pour les organismes de bienfaisance et men� 719 v�rifications.

Contribution aux priorit�s de l’ARC

Renforcement du service et int�grit� fiscale

Pour appuyer ces priorit�s, en 2009-2010, nous avons r�alis� ce qui suit :

Comme on l’indique dans notre Rapport sur les plans et les priorit�s 2009-2010 
R�alisations
Am�liorer la gamme d’options de libre-service
Nous avons ajout� � Smartlinks � aux pages de transaction de Mon Dossier d’entreprise afin d’encourager et de soutenir les contribuables qui utilisent ce service.
Nous avons formul� des recommandations importantes d’am�liorations fond�es sur l’analyse des visites des utilisateurs dans le site Web.
Nous avons am�lior� notre portail en ligne et l’application des postes de travail des agents des services aux contribuables afin de nous assurer que toute la documentation pertinente (telle que les renseignements sur la taxe de vente harmonis�e pour les r�sidents de l’Ontario et de la Colombie-Britannique et sur le cr�dit d’imp�t pour la r�novation domiciliaire) a �t� publi�e sur le site Web et ajout�e � leur mat�riel de r�f�rence en ligne.
Les am�liorations apport�es au site intranet des Services aux contribuables et au moteur de recherche interne ont permis aux agents de fournir un meilleur service.
Optimiser la voie t�l�phonique
Selon des r�sultats du profil des demandes de renseignements ainsi que des consultations avec les agents des centres d’appels, nous avons s�lectionn� des sujets de demandes de renseignements hautement complexes qui correspondent mieux aux comp�tences des experts en la mati�re des Centres d’expertise. Nous avons r�achemin� les appels li�s � ces sujets � ces experts afin d’am�liorer la qualit� et l’efficience de nos services.
Renforcer les activit�s de visibilit�
Nous avons pr�sent� des s�ances d’information sur la transition � la taxe de vente harmonis�e en Ontario et en Colombie-Britannique. Afin de faciliter cette transition, nos agents des demandes de renseignements ont particip� � notre campagne de rappel de sensibilisation afin de fournir aux propri�taires de petites entreprises rurales les renseignements sur l’application � venir de la taxe de vente harmonis�e.
Dans le cadre de notre Programme communautaire des b�n�voles en mati�re d’imp�t, nous avons observ� une augmentation du nombre de b�n�voles et du nombre de d�clarations qu’ils ont pr�par�es pour les contribuables qui sont admissibles � ce service. Dans le but de maximiser l’utilisation de la technologie, nous avons lanc� un programme de formation en ligne dans le site Web de l’ARC pour les b�n�voles communautaires.
Nous avons effectu� de nombreuses activit�s de sensibilisation pour les particuliers et les entreprises et avons remarqu� que le nombre de participants a augment� de mani�re importante par rapport � l’ann�e pr�c�dente.
Mettre en application un nouveau r�gime d’estampillage des produits du tabac muni de fonctions de s�curit� ouvertes et secr�tes
En tant qu’�tape importante pour emp�cher que les produits du tabac de contrebande entrent sur le march� canadien, et pour appuyer les objectifs en mati�re de sant� du gouvernement du Canada, nous avons mis au point un prototype de timbre d’accise sur le tabac, qui fait actuellement l’objet d’essai par l’industrie du tabac. Le 29 mars 2010, le projet de loi C-9 a �t� d�pos� au Parlement. Il comprend des propositions de modifications � la Loi de 2001 sur l’accise qui visent � appuyer la mise en oeuvre du timbre, pr�vue en 2010-2011. Le projet de loi a re�u la sanction royale en juillet 2010.
Continuer la mise en oeuvre d’une approche ax�e sur les risques quant aux r�gimes enregistr�s
Le processus d’enregistrement des r�gimes enregistr�s a �t� simplifi� � l’aide d’une approche ax�e sur le risque afin de nous assurer que des ressources �taient consacr�es aux r�gimes qui pr�sentaient les risques les plus �lev�s. En 2009-2010, nous avons men� un examen sur la modernisation des programmes de v�rification au bureau et sur place afin de nous assurer qu’ils fonctionnaient de la mani�re la plus efficiente et efficace possible. Nous menons nous avons r�ussi � accro�tre le nombre de v�rifications des r�gimes enregistr�s de 5,9 %.
Moderniser et renforcer le programme des organismes de bienfaisance
Nous avons beaucoup acc�l�r� la r�ponse aux demandes simples et r�guli�res d’obtention du statut d’organisme de bienfaisance enregistr� dans les d�lais �tablis. En 2009-2010, l’arrivage des demandes d’enregistrement est demeur� relativement uniforme; cependant, des changements de proc�dures � cette charge de travail ont �t� mis en oeuvre et ont am�lior� notre temps de r�ponse.

Le�ons retenues

Ce qui a bien fonctionn� : Nous avons am�lior� la qualit� de nos services aux contribuables en les rendant plus opportuns, plus accessibles et plus conviviaux. Nous avons maintenu nos niveaux �lev�s d’accessibilit� aux demandeurs pour tous nos services t�l�phoniques de demandes de renseignements. Les efforts en mati�re d’observation au sein de l’industrie du tabac se sont accrus gr�ce � l’�laboration et � la mise � l’essai un prototype de timbre d’accise sur le tabac. Nous avons aussi mis en oeuvre des initiatives visant des remboursements r�troactifs et le paiement de droits plus �lev�s en vertu de l’Accord de 2006 sur le bois d’oeuvre r�sineux.

Ce qui pourrait �tre am�lior�: En 2009-2010, notre d�fi est de poursuivre la transformation de toutes les voies de service, pour bien r�pondre aux besoins des contribuables et ainsi encourager l’observation volontaire. Nous devons continuer � am�liorer notre offre de services diversifi�s pour tenir compte des modifications l�gislatives et pour accro�tre notre capacit� de r�pondre aux besoins �volutifs en information des contribuables. Un des moyens qui nous permettra de poursuivre ces am�liorations sera de tirer profit des technologies �mergeantes.

Fiche de rendement

R�sultat escompt�
Exercice
�valuation du rendement
Qualit� des donn�es
Les contribuables, les entreprises et les inscrits ont acc�s en temps opportun � des renseignements exacts
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
En grande partie atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Appels g�n�raux r�pondus dans un d�lai de deux minutes apr�s la mise en attente
80 %
80 %
82 %
83 %
82 %
81 %
Atteint
Appels des entreprises r�pondus dans un d�lai de deux minutes apr�s la mise en attente
80 %
85 %
81 %
82 %
87 %
86 %
Atteint
Appels des organismes de bienfaisance r�pondus dans un d�lai de deux minutes apr�s la mise en attente
80 %
86 %
88 %
86 %
87 %
90 %
Atteint
R�pondre aux demandes �crites de d�cisions et d’interpr�tations relatives � la TPS/TVH dans un d�lai de 45 jours ouvrables suivant la r�ception de la demande
80 %
88 %
87 %[Footnote 1] 
89 %
93 %
94 %
Atteint
Nombre moyen de jours pour l’envoi aux contribuables d’une interpr�tation technique en mati�re d’imp�t sur le revenu
90 jours (moy.)
87 jours
105 jours
89 jours
91 jours
89 jours
Atteint
Nombre moyen de jours pour l’envoi aux contribuables d’une d�cision anticip�e en mati�re d’imp�t sur le revenu
60 jours (moy.)
84 jours
94 jours
101 jours
104 jours
98 jours
Non atteint
Pourcentage des d�cisions aux fins du RPC/AE �mises dans la limite des d�lais vis�s
85 %
91 %
84 %
93 %
91 %
88 %
Atteint
Pourcentage des r�ponses aux demandes simples d’enregistrement des organismes de bienfaisance dans les d�lais �tablis (2 mois)
80 %
Sans objet
Sans objet
42 %
58 %
82 %
Atteint
Pourcentage des r�ponses aux demandes r�guli�res d’enregistrement des organismes de bienfaisance dans les d�lais �tablis (6 mois)
80 %
Sans objet
Sans objet
53 %
22 %
80 %
Atteint
Pourcentage des demandes de r�gimes enregistr�s examin�es dans la limite des d�lais �tablis
85 %
96 %
97 %
94 %
92,%
86 %
Atteint
Pourcentage des documents de r�f�rence internes mis � jour avec exactitude pour les agents des services aux contribuables et des organismes de bienfaisance
100 %
Sans objet
Sans objet
Sans objet
100 %
100 %
Atteint
Pourcentage des demandeurs de renseignements g�n�raux qui joignent notre service t�l�phonique[Footnote 2] 
90 %
83 %
83 %
84 %
92 %
91 %
Atteint
Pourcentage des demandeurs de renseignements sur les entreprises qui joignent notre service t�l�phonique2
90 %
91 %
86 %
79 %
94 %
93 %
Atteint
Demandeurs de renseignements sur les organismes de bienfaisance qui joignent notre service t�l�phonique
90 %
93 %
96 %
93 %
92 %[Footnote 3] 
95 %
Atteint
[Footnote 1] Cet indicateur est devenu une norme de service en 2006-2007. Les r�sultats des ann�es ant�rieures tiennent compte du rendement par rapport � un objectif interne.
[Footnote 2] Les objectifs d’accessibilit� des demandeurs de renseignements g�n�raux et sur les entreprises sont pass� de 80 % � 90 % en 2008-2009.
[Footnote 3] Ce r�sultat a �t� redress�.
R�sultat escompt�
Exercice
�valuation du rendement
Qualit� des donn�es
Les cas d’inobservation sont rep�r�s et des mesures sont prises � leur �gard
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Pourcentage des examens r�glementaires de la taxe d’accise achev�s par rapport aux examens pr�vus
90 %
Sans objet
Sans objet
98 %
91 %
92 %
Atteint
Pourcentage des v�rifications de la taxe d’accise achev�es par rapport aux v�rifications pr�vues
90 %
Sans objet
Sans objet
100 %
96 %
109 %
Atteint
Pourcentage des v�rifications de r�gimes enregistr�s achev�es par rapport aux v�rifications pr�vues
100 %
Sans objet
Sans objet
Sans objet
96 %
101 %
Atteint
Pourcentage des v�rifications d’organismes de bienfaisance enregistr�s achev�es par rapport aux v�rifications pr�vues
100 %
Sans objet
Sans objet
Sans objet
100 %
89 %
Non atteint
Pour obtenir des renseignements suppl�mentaires sur cette activit� de programme, veuillez consulter le
www.arc.gc.ca/rapportannuel.

Cotisation des d�clarations et traitement des paiements (AP2)


Cotisation des d�clarations et traitement des paiements

Avantages pour les Canadiens

Nos programmes contribuent � ce que les particuliers et les entreprises respectent leurs obligations en mati�re de production, de d�claration et de paiement. Nous entreprenons une vaste gamme d’activit�s pour �tablir la cotisation des d�clarations de revenus et traiter les paiements des particuliers et des entreprises. Nous utilisons l’�valuation du risque, le rapprochement de donn�es provenant de tiers et la validation des renseignements dans le but de rep�rer les cas d’inobservation et de prendre des mesures � leur �gard.

Nos r�sultats escompt�s sont les crit�res que nous utilisons pour mesurer et pr�senter l’efficacit� de nos activit�s aux Canadiens. Nous menons cet activit� de programme afin d’attendre les r�sultats escompt�s suivants :

Les particuliers, les entreprises et les inscrits re�oivent des avis de cotisation exacts et � temps et le traitement des paiements d’imp�t est effectu� de fa�on pr�cise et en temps opportun alors que les examens cibl�s rep�rent et r�solvent les cas d’inobservation des particuliers � l’�gard des lois fiscales applicables

Aper�u de l’AP2

Figure 7 D�penses r�elles


Figure 3 : D�penses r�elles
Ressources financi�res 2009-2010
(en milliers de dollars)
Ressources humaines (ETP) 2009-2010
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
Pr�vues
R�elles
�cart
587 917 $
728 359 $
690 835 $
6 511
6 867
(356)

Principales donn�es

Traitement des d�clarations de revenus des particuliers – Nous avons trait� plus de 26,7 millions de d�clarations de revenus des particuliers, dont plus de 11 millions �taient sur papier; nous avons rembours� pr�s de 26,6 milliards de dollars � plus de 17 millions de particuliers et trait� plus de 229 000 d�clarations de fiducie. Il y a eu plus de 338 000 nouvelles inscriptions et plus de 4,5 millions de visites � Mon dossier.

Traitement des d�clarations des soci�t�s – Nous avons trait� pr�s de 1,6 million de d�clarations de renseignements. Nous avons aussi trait� plus de 1,9 million de d�clarations des soci�t�s et 7 millions de d�clarations de TPS/TVH.

Nous avons trait� plus de 34,4 millions de paiements totalisant un peu plus de 357,9 milliards de dollars.

Contribution aux priorit�s de l’ARC

Int�grit� fiscale et renforcement du service
Pour appuyer ces priorit�s, en 2009-2010, nous avons r�alis� ce qui suit :
Comme on l’indique dans notre Rapport sur les plans et les priorit�s 2009-2010 
R�alisations
Optimiser l’efficience des programmes et l’exactitude de la cotisation de l’imp�t d�
En 2009-2010, nous nous sommes engag�s � �liminer certains obstacles et exclusions particuli�res relativement � la production par voie �lectronique pour les entreprises.
Depuis l’automne 2009, les soci�t�s qui participent � la recherche scientifique et au d�veloppement exp�rimental (RS&DE) peuvent produire leur d�claration de revenus au moyen du syst�me de transmission par Internet des d�clarations des soci�t�s.
Dans le but d’�largir la population admissible � la production par voie �lectronique, nous avons augment� la limite de d�clarations de cr�dit de TPS/TVH produites par voie �lectronique. Cela a permis aux inscrits de transmettre par IMP�TNET leur d�claration de TPS/TVH plut�t que d’envoyer une d�claration papier pour les p�riodes dont le solde de cr�dit est sup�rieur � 10 000 $ et inf�rieur � 50 000 $.
Am�liorer la capacit� � traiter les cas d’inobservation
Au fil des ann�es, nous avons am�lior� notre capacit� � mener des activit�s de postcotisation pour les d�clarations de particuliers. Nous reconnaissons le besoin de mettre en place des mesures �galement efficaces en vue d’am�liorer les capacit�s d’�valuation du risques de nos programmes d’observation visant les d�clarations de revenus des soci�t�s T2. � ce sujet, nous avons lanc� le Programme de revue de cotisation des soci�t�s. L’objectif de ce nouveau programme est de renforcer la couverture g�n�rale de l’observation de l’ARC et de mieux rep�rer les activit�s non conformes dans les d�clarations des soci�t�s. Il est important de noter que nous en sommes actuellement aux �tapes d’�laboration de ce programme et, par cons�quent, nous n’avons pas produit de donn�es mesurables pour 2009-2010.
Am�liorer les services �lectroniques
� l’automne 2009, l’ARC a lanc� une nouvelle option appel�e � Mon paiement �. Ce service permet aux particuliers et aux entreprises de faire des paiements par voie �lectronique, � l’aide d’un lien s�curis� avec les �tablissements financiers canadiens participants qui offrent le service de paiement Interac� en ligne[Footnote 1] . Mon paiement devrait simplifier la comptabilit� puisque le transfert du paiement est imm�diat; il n’est pas n�cessaire que les contribuables payent � l’avance pour s’assurer que leur paiement arrive � temps ou qu’ils surveillent leur compte en raison d’un ch�que en transit.
Nous avons ajout� plus d’options � Mon dossier, notre portail s�curis� qui permet aux particuliers de voir des renseignements sur leurs imp�t et leurs prestations. Les contribuables peuvent maintenant voir certains feuillets de renseignements T4, ainsi que leurs droits de cotisation inutilis�s � leur compte d’�pargne libre d’imp�t.
Nous avons lanc� une nouvelle option de production par Internet pour les d�clarations de TPS/TVH.
Notre service Repr�senter un client, qui offre aux repr�sentants autoris�s un point d’acc�s unique et s�curis� � de nombreux renseignements de leurs clients, continue de susciter une attention consid�rable de la part des repr�sentants. En 2009-2010, l’ARC a permis aux propri�taires d’entreprise et aux administrateurs principaux de voir les op�rations effectu�es par les repr�sentants dans les comptes de particuliers et aux repr�sentants de t�l�charger des listes de clients.
Maintenir des relations efficaces et les renforcer
Nous avons continu� � accro�tre l’utilisation du num�ro d’entreprise comme identificateur commun des entreprises afin qu’elles puissent traiter de mani�re s�curis�e et efficiente avec les divers paliers du gouvernement. � l’automne 2009, nous avons remplac� le num�ro d’identification du d�clarant par le num�ro d’entreprise. L’ancien num�ro d’identification du d�clarant �tait utilis� � titre de num�ro de compte par les �tablissements financiers et les administrateurs de fiducies pour produire les d�clarations de renseignements T5. Cette toute derni�re conversion pourrait r�duire le fardeau administratif des clients puisqu’ils auront moins de num�ros de comptes � conserver. Elle contribue aussi aux efforts continus du secteur public �largi pour simplifier et rationaliser la mani�re avec laquelle les entreprises interagissent avec le gouvernement f�d�ral.

[Footnote 1] � Marque d�pos�e d’Interac Inc. utilis�e sous licence.

Le�ons retenues

Ce qui a bien fonctionn� : Nous avons �largi nos options de services �lectroniques afin qu’il soit plus facile pour les contribuables d’interagir avec nous. Nous avons trait� les d�clarations de revenus et de renseignements ainsi que des paiements des particuliers et des entreprises de mani�re exacte et � temps. Nous avons men� des activit�s de pr�cotisation et de postcotisation afin de rep�rer les cas d’inobservation et de prendre des mesures � leur �gard.

Ce qui pourrait �tre am�lior�: Cette activit� de programme est primordiale, pour permettre aux Canadiens de profiter des mesures annonc�es dans les budgets et dans les mises � jour �conomiques des gouvernements f�d�rales, provinciales et territoriales. Limit� par des �ch�anciers serr�s, notre d�fi est de nous assurer que ces mesures sont en place et que nous sommes � m�me de maintenir une prestation efficace de nos programmes, tout en continuant de nous concentrer sur la durabilit� � long terme en ce qui touche la modernisation, l’int�gration, les restrictions financi�res et les attentes du public.

Fiche de rendement

R�sultat escompt�s
Exercice
�valuation du rendement
Qualit� des donn�es
L’�tablissement des cotisations et le traitement des paiements sont rapides et exacts
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Normes de service[Footnote 1] 
Traitement des d�clarations de revenus des particuliers T1 (sur papier) dans un d�lai moyen de 4 � 6 semaines
100 %
3,6 semaines
3,9 semaines
4,1 semaines
4,0 semaines
4,3 semaines
Atteint
Traitement des d�clarations de revenus des particuliers T1 (�lectronique) : dans un d�lai moyen de 2 semaines[Footnote 2] 
100 %
1,9 semaine
1,6 semaine
1,7 semaine
1,6 semaine
1,6 semaine
Atteint
Pourcentage des d�clarations de TPS/TVH trait�es dans un d�lai de 30 jours
95 %
98,3 %
98,5 %
91.9 %
97.3 %
Non disponible[Footnote 3] 
Sans objet
 
Traitement des d�clarations de revenus des soci�t�s T2 dans un d�lai de 60 jours
90 %
Sans objet
 
Sans objet
 
92 %
90,8 %
92,8 %
Atteint
Traitement des d�clarations de la taxe d’accise, du droit d’accise et du droit pour la s�curit� des passagers du transport a�rien dans un d�lai de 90 jours
95 %
Sans objet
 
98,1 %
98,2 %
99 %
97 %
Atteint
Normes de rendement
Pourcentage des fonds provenant des paiements non �lectroniques d�pos�s dans un d�lai de 24 heures apr�s avoir �t� re�u
96 %
99,4 %
95,9 %
93,9 %
95,2 %
96,6 %
Atteint
D�clarations T1 re�ues � temps trait�es au plus tard � la mi-juin
98 %
99,7 %
99,7 %
99,8 %
99,9 %
99,7 %
Atteint
Participation au traitement �lectronique
Pourcentage des particuliers qui produisent leur d�claration par voie �lectronique
Tendance � la hausse
Non disponible
50,6 %
53,5 %
55,8 %
57,9 %
Atteint
Pourcentage des soci�t�s qui produisent leur d�claration par voie �lectronique
Tendance � la hausse
Non disponible
14.0 %
18,0 %
21,5 %
28,5 %
Atteint
Pourcentage des d�clarations T1 ayant fait l’objet d’une cotisation exacte
98 %
99,0 %
98,9 %
99,1 %
98,9 %
99 %
Atteint
Pourcentage des redressements demand�s par les contribuables ayant fait l’objet d’une nouvelle cotisation exacte
96 %
Non disponible
97,4 %
96,6 %
97,0 %
96,1 %
Atteint
[Footnote 1] Voir www.arc.gc/rapportannuel pour la ventilation des indicateurs, des objectifs et des r�sultats globaux par rapport aux normes de service externes.
[Footnote 2] Repr�sente le nombre de semaines moyen.
[Footnote 3] Les r�sultats fond�s ne sont pas disponibles pour 2009-2010. La m�thode r�vis�e de saisie des donn�es a commenc� en juin 2010.
Pour obtenir des renseignements suppl�mentaires sur cette activit� de programme, veuillez consulter le www.arc.gc.ca/rapportannuel.

Comptes d�biteurs et Observation en mati�re de production des d�clarations (AP3)


Comptes d�biteurs et Observation en mati�re de production des d�clarations

Avantages pour les Canadiens

Notre secteur des Comptes d�biteurs et de l’Observation en mati�re de production des d�clarations g�re le plus grand service de recouvrement des cr�ances au Canada. Il recouvre les dettes qui proviennent des imp�ts sur le revenue et des TPS/TVH et des programmes tels que le R�gime de pensions du Canada, l’assurance-emploi et les pr�ts d’�tudes canadiens non rembours�s. De plus, ce secteur fait la promotion de l’observation des lois fiscales du Canada qui visent les employeurs, les retenues sur la paie et la TPS/TVH.

Nos r�sultats escompt�s sont les crit�res que nous utilisons pour mesurer et pr�senter l’efficacit� de nos activit�s aux Canadiens. Nous ex�cutons cette activit� de programme afin de r�aliser ce qui suit :

Les particuliers, les employeurs et les inscrits qui ne se conforment pas aux exigences de production, d’inscription et de versements en vertu des lois fiscales applicables sont rep�r�s et des mesures sont prises � leur �gard afin de prot�ger l’assiette fiscale du Canada.

Aper�u de l’AP3

Figure 8 D�penses r�elles


Figure 8 D�penses r�elles
Ressources financi�res 2009-2010 (en milliers de dollars)
Ressources humaines (ETP) 2009-2010
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
Pr�vues
R�elles
�cart
429 712 $
533 979 $
529 982 $
7 216
7 562
(346)

Principales donn�es

Comptes d�biteurs – Le recouvrement mon�taire des BSF a atteint un total de 12,4 milliards de dollars, dont 1,1 milliard de dollars provenaient des mesures des bassins nationaux. Nous avons r�gl� plus de 95 % de la valeur en dollars de l’arrivage de nouvelles dettes.

Observation des d�clarations – Plus de 728 000 de d�clarations ont �t� obtenues de particuliers et de soci�t�s contribuables qui n’avaient pas produit leurs d�clarations, plus de 7 600 non-inscrits de la TPS/TVH ont �t� identifi�s et 552 000 cas d’inobservation en mati�re de retenues sur la paie ont �t� trait�s. Notre Initiative de d�claration des paiements contractuels a obtenu un total de 43 425 d�clarations de revenus des particuliers et des soci�t�s suppl�mentaires.

Contribution � la priorit� de l’ARC

Int�grit� fiscale
Pour appuyer cette priorit�, en 2009-2010, nous avons r�alis� ce qui suit :
Comme on l’indique dans notre Rapport sur les plans et les priorit�s 2009-2010 
R�alisations
G�rer le niveau de la dette fiscale
Nous utilisons davantage notre programme de recouvrement principal qui se concentre sur le r�glement des dettes fiscales courantes et � faible risque � un co�t minime dans un d�lai pr�cis. Cela permet � nos agents des bureaux des services fiscaux (BSF) de se concentrer sur les comptes qui exigent plus d’analyse et d’enqu�te. Les activit�s principales se concentrent sur le r�glement pr�coce des comptes, par l’entremise d’activit�s telles que la communication t�l�phonique et les lettres automatis�es, avant que les comptes n’entrent dans les activit�s de gestion des dettes exigeantes en ressources. Les activit�s de nos BSF se concentrent sur les comptes plus complexes et � risque plus �lev� qui nous obligent � utiliser des mesures de recouvrement progressives, y compris des mesures l�gales et d’ex�cution, afin de nous occuper des contribuables contrevenants.
Mettre en oeuvre le transfert des activit�s de recouvrement
Lors du budget f�d�ral de 2008, une proposition d�coulant de l’examen strat�gique a �t� approuv�e, laquelle exigeait que l’ARC cesse de recourir � des agences de recouvrement priv�es (ARP) pour recouvrer les pr�ts d'�tudes canadiens (PEC) en souffrance et que la charge de travail des ARP soit confi�e � l’ARC. Durant la p�riode de mise en oeuvre, nous avons refa�onn� le processus de recouvrement en utilisant des outils de d�pistage am�lior�s, en centralisant les charges de travail de certains bureaux locaux et en restructurant les charges de travail actuelles des bureaux locaux. En 2009-2010, nous avons compl�t� le transfert des activit�s de recouvrement des PEC en souffrance des ARP � l’ARC.
Mettre en oeuvre les inventaires nationaux d’observation pour les comptes de fiducie
La mise en oeuvre de l’initiative d’Inventaires nationaux d’observation des comptes de fiducie nous a permis de r�aliser certains gains importants. Elle a cr�� un inventaire national pour tout le travail li� � l’observation des comptes de fiducie, qui nous permet de distribuer �quitablement divers types de t�ches li�es � l’observation aux agents de l’observation. Elle a aussi �limin� les fronti�res g�ographiques et permis la mise en oeuvre de processus plus efficaces, l’�tablissement de rapports plus d�taill�s et la clarification des responsabilisations. Elle a eu des incidences positives sur le Programme d’observation des comptes de fiducie pour les employeurs et sur le Programme des d�clarants contrevenants de la TPS/TVH.
Maintenir et am�liorer les projets d’identification des non-d�clarants et des non-inscrits visant l’�conomie clandestine
Dans la deuxi�me partie de l’exercice, nous avons lanc� un projet pilote pour am�liorer la fa�on dont nous ciblons les comptes de non-d�clarants potentiels. Ce projet pilote utilise l’analyse pr�visionnelle et l’�valuation du risque pour am�liorer la d�termination du potentiel fiscal pour les cas de non-d�clarants connus. Les r�sultats du projet pilote seront diffus�s en 2010-2011. Ils seront utilis�s pour am�liorer davantage les strat�gies et les outils visant � rep�rer les cas d’inobservation en mati�re de production.
La pr�valence des activit�s de l’�conomie clandestine et sa menace permanente contre l’int�grit� de l’assiette fiscale du Canada continuent de motiver le besoin de l’ARC � modifier le comportement des contribuables qui ne respectent pas leurs obligations � l’aide d’activit�s de sensibilisation, de l’�ducation et de mesures d’ex�cution responsables. Les projets d’identification des non-d�clarants et non-inscrits visant l’�conomie clandestine sont repr�sent�s et ont rendu possible la production de 26 907 d�clarations de revenus par des d�clarants auparavant inconnus de l’ARC. Les incidences fiscales connexes s’�l�vent � 274,8 millions de dollars.
Am�liorer le cadre de gestion du rendement
En 2009-2010, nous avons r�vis� notre cadre de gestion du rendement afin d’am�liorer notre mesure du rendement dans le rep�rage des cas d’inobservation.

Le�ons retenues

Ce qui a bien fonctionn� : En 2009-2010, nous avons atteint en grande partie le niveau cibl� pour la r�solution de notre dette fiscale et de la dette des programmes gouvernementaux (non fiscale) de mani�re opportune. Notre dette fiscale et la dette non fiscale des programmes gouvernementaux se trouvaient dans les limites pr�vues. Les cas d’inobservation ont �t� rep�r�s et des mesures ont �t� prises � leur �gard selon les objectifs.

Ce qui pourrait �tre am�lior�: Notre d�fi est de rep�rer les cas d’inobservation, de prendre des mesures � leur �gard, de pr�venir l’inobservation et de nous assurer que nous continuons de recouvrer la dette fiscale de mani�re opportune et qu’elle demeure dans les limites pr�vues.

Fiche de rendement

R�sultat escompt�
Exercice
�valuation du rendement
Qualit� des donn�es
Les dettes fiscales et non fiscales sont r�gl�es en temps opportun et elles demeurent dans les limites vis�es.
2009-2010
En grande partie atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Pourcentage des arrivages r�gl�s au cours de l’exercice des arrivages
60 %
62,4 %
66,7 %
60,4 %
62,7 %
54,6 %
Non atteint
Valeur mon�taire de la production des BSF en pourcentage de la valeur mon�taire des arrivages de nouveaux comptes d�biteurs aux BSF
90 %
99,8 %
90 %
83 %
93 %
95,5 %
Atteint
Valeur mon�taire des comptes d�biteurs d’imp�t des BSF de plus de cinq ans (en milliards de dollars)[Footnote 1] 
2,7 $
2,5 $
3,0 $
2,6 $
2,8 $
2,9 $
Non atteint
Recouvrement des encaisses par les BSF (en milliards de dollars)
8,9 $
9,5 $
9,7 $
11,9 $
16,0 $
12,4 $
Atteint
Dette non fiscale – Valeur mon�taire recouvr�e (en millions de dollars)
590,5 $
S.O.
592,0 $
614,7 $
622,7 $
615,3 $
Atteint
[Footnote 1] Il s’agit d’un indicateur et d’un objectif r�vis�s.
R�sultat escompt�
Exercice
�valuation du rendement
Qualit� des donn�es
Les cas d’inobservation sont rep�r�s et des mesures sont prises � leur �gard
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Inobservation – Non-d�clarants T1/T2/non-inscrits aux fins de la TPS/TVH (en milliards de dollars)[Footnote 1] 
2,4 $
2,5 $
2,4 $
2,4 $
2,4 $
2,8 $
Atteint
Inobservation – Employeurs/retenues � la source/TPS/TVH et des comptes de fiducie (en milliards de dollars)
1,4 $[Footnote 2] 
2,3 $
2,4 $
Non disponible
2,5 $
1,6 $
Atteint
[Footnote 1] L’objectif de 2,4 milliards de dollars comprend les sources des non-d�clarants T1 et T2, ainsi que celles de la TPS/TVH des non-inscrits. La valeur fiscale d�coulant de l’inobservation a �t� d�termin�e � 2,78 milliards de dollars � l’aide de la source des non-d�clarants T1 et T2 et � 65 millions de dollars pour ce qui est de la source de la TPS/TVH des non-inscrits.
[Footnote 2] L’objectif ne comprend pas le programme des d�clarants contrevenants de la TPS/TVH. Les r�sultats de la production et de l’incidence fiscale n’�taient pas disponibles en 2009-2010 en raison du projet de restructuration de la TPS/TVH et de l’initiative des inventaires nationaux d’observation pour les comptes de fiducie.
Pour obtenir des renseignements suppl�mentaires sur cette activit� de programme, veuillez consulter le www.arc.gc.ca/rapportannuel.

Observation en mati�re de d�claration (AP4)


Observation en mati�re de d�claration

Avantages pour les Canadiens

Nous menons des examens, des v�rifications et des enqu�tes afin d’assurer l’observation des lois fiscales du Canada. Cela comprend des activit�s de v�rification et d’ex�cution au niveau national et international, ainsi que l’administration des conventions fiscales internationales. Nous fournissons aussi des renseignements aux contribuables afin de les aider � se conformer. Nous effectuons de la recherche pour mieux rep�rer les cas d’inobservation et d’�laborer des strat�gies visant � les d�courager.

Notre r�sultat escompt� est le crit�re que nous utilisons pour mesurer nos activit�s et rendre compte aux Canadiens quant � leur efficacit�. Nous ex�cutons cette activit� de programme afin de r�aliser ce qui suit :

Le non-respect par les individus, les entreprises et les d�clarants des exigences de d�clarations des mesures l�gislatives que l’ARC administre sont identifi�s et trait�s afin de prot�ger l’assiette fiscale du Canada.

Aper�u de l’AP4

Figure 9 D�penses r�elles


Figure 9 D�penses r�elles
Ressources financi�res 2009-2010 (en milliers de dollars)
Ressources humaines (ETP) 2009-2010
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
Pr�vues
R�elles
�cart
922 077 $
1 129 081 $
1 092 367 $
10 563
10 147
416

Principales donn�es

Secteur international et des grandes entreprises – Nous avons men� 51 600 v�rifications, ayant entra�n� une incidence fiscale de 7,2 milliards de dollars.

Petites et moyennes entreprises – Nous avons men� 380 373 v�rifications et examens, ayant entra�n� une incidence fiscale de pr�s de 2,1 milliards de dollars.

Ex�cution et divulgations – Nous avons men� 928 v�rifications dans le cadre du Programme sp�cial d’ex�cution, pour d�couvrir 78 millions de dollars en imp�t suppl�mentaire d�. Nous avons aussi renvoy� 149 cas li�s � l’imp�t sur le revenu et � la TPS/TVH au Service des poursuites p�nales du Canada.

Programme de la recherche scientifique et du d�veloppement exp�rimental – Ce programme a fourni pr�s de 3,3 milliards de dollars en cr�dits d’imp�t � plus de 21 000 demandeurs.

Contribution aux priorit�s de l’ARC

Int�grit� fiscale et renforcement du service
Pour appuyer ces priorit�s, en 2009-2010, nous avons r�alis� ce qui suit :
Comme on l’a indiqu� dans notre Rapport sur les plans et les priorit�s 2009-2010 
R�alisations
S’attaquer � la planification fiscale abusive
En 2009-2010, l’ARC s’est davantage attaqu�e � la planification fiscale abusive en mettant eu oeuvre le Plan d’action en mati�re d’observation fiscale internationale. Nous avons aussi entrepris des discussions avec d’autres administrations fiscales sur les ententes sur l’�change de renseignements fiscaux dans le cadre de notre initiative d’�change de renseignements. Le 29 ao�t 2009, le Canada a sign� sa premi�re entente sur l’�change de renseignements fiscaux avec les Antilles n�erlandaises.
Combattre l’�conomie clandestine (EC)
L’EC mine la comp�titivit� des entreprises canadiennes, puisqu’elle offre un avantage injuste � celles qui n’observent pas les lois fiscales du Canada. Pour combattre l’EC, nos objectifs en 2009-2010 �taient d’accro�tre la sensibilisation au sujet de ce probl�me aupr�s des Canadiens et de prendre des mesures efficaces afin de r�duire son occurrence. Nous avons utilis� une combinaison d’activit�s d’�ducation, de sensibilisation, de communication et d’observation pour atteindre nos objectifs. Nous avons aussi travaill� avec d’autres organismes et minist�res f�d�raux, les gouvernements provinciaux, les administrations fiscales d’autres pays, les organismes internationaux, les organisations professionnelles et les groupes d’industries cl�s pour �changer des pratiques exemplaires et �laborer des strat�gies innovatrices visant � lutter contre l’EC.
L’ARC a continu� de mettre en oeuvre le plan d’action de Strat�gie d’observation en mati�re d’�conomie clandestine. Un certain nombre de projets pilotes ont mis � l’essai des approches innovatrices visant l’observation afin de rep�rer les activit�s de l’EC et de lutter contre celles-ci. En 2009-2010, neuf projets relatifs � l’�conomie clandestine se sont termin�s. Leurs r�sultats seront analys�s afin de d�terminer si nous pouvons int�grer de nouveaux processus ou de nouvelles techniques afin d’am�liorer nos activit�s de programmes, nos syst�mes d’�valuation du risque et nos strat�gies. Nous examinerons �galement les rapports finaux des anciens projets pilotes relatifs � l’EC afin de d�terminer les pratiques exemplaires que nous pourront ajouter � nos activit�s r�guli�res d’observation
Mettre l’accent sur l’observation de la TPS/TVH � risque �lev�
En 2009-2010, l’ARC a continu� de mettre en oeuvre son plan d’action de Strat�gie d’observation de la TPS/TVH � risque �lev�. Notre approche � l’observation en mati�re de TPS/TVH comprend ce qui suit :
  • l’am�lioration de nos activit�s d’ex�cution;
  • l’am�lioration de notre capacit� d’identifier les inscrits � risque �lev� et de traiter les demandes de remboursement avant que les remboursements soient �mis; et
  • l’�largissement de notre engagement aupr�s des intervenants.
En 2009-2010, afin de renforcer notre capacit� � lutter contre l’inobservation volontaire, nous avons men� trois projets pilotes sur l’observation de la TPS/TVH � risque �lev�. Nous analyserons les r�sultats de ces trois projets afin de d�terminer si nous pourrons int�grer de nouveaux processus ou de nouvelles techniques dans nos activit�s et strat�gies d’observation de la TPS/TVH.
Am�liorer le programme de la RS&DE
Dans le budget f�d�ral de 2008, l’ARC s’est engag�e � am�liorer la m�thodologie d’assurance de la qualit� du programme de la recherche scientifique et du d�veloppement exp�rimental (RS&DE). En 2008-2009, nous avons consult� les intervenants et avons ensuite �labor� un cadre national d’assurance de la qualit� de la RS&DE. Ce cadre aidera � nous assurer que les demandes et les d�cisions en mati�re de RS&DE sont appropri�es et conformes aux politiques de l’ARC et � la l�gislation applicable dans l’ensemble du pays. � partir de ce cadre, le manuel des activit�s de l’assurance de la qualit� de la RS&DE et les outils n�cessaires ont �t� �labor�s en 2009-2010.
Dans le budget f�d�ral de 2008, l’ARC s’est aussi engag�e � examiner les politiques et les proc�dures de la RS&DE. En 2009-2010, nous avons analys�, organis� et clarifi� tous les renseignements li�s aux politiques de la RS&DE. Au cours des deux prochains ann�es, dans le cadre du programme de RS&DE nous m�nerons des s�ances de discussion en ligne afin d’obtenir les commentaires du public sur les nouveaux documents relatifs aux politiques.
En 2009-2010, nous avons accru les capacit�s de production du service de Transmission par Internet des d�clarations des soci�t�s de l’ARC afin de permettre aux soci�t�s admissibles de produire leurs demandes au titre de la RS&DE avec leur d�claration de revenus.
En 2009, le programme de la RS&DE du Canada a fourni une aide fiscale d’environ 3,3 milliards de dollars � plus de 21 000 demandeurs.
Am�liorer le Programme des divulgations volontaires (PDV)
Le PDV encourage les contribuables � corriger les erreurs ou les omissions du pass� et � d�clarer leurs obligations fiscales sans p�nalit� ou poursuite. En 2009-2010, le programme a connu une croissance de 14 % des arrivages et a trait� 12 506 divulgations. Les revenus non d�clar�s d�termin�s en 2009-2010 s’�levaient � plus de 1,8 milliard de dollars, une augmentation de 135 % par rapport � l’exercice pr�c�dent.
Nous avons am�lior� l’administration du PDV en 2009-2010 par l’analyse des arrivages et de l’environnement. Nous avons men� notre examen annuel de la qualit� du PDV dans certains bureaux choisis dans l’ensemble du Canada et avons observ� que tous les bureaux examin�s respectaient la norme de qualit� interne de 90 %. De plus, nous avons fait la promotion du PDV dans des communiqu�s de presse et des alertes fiscales, et l’avons int�gr� aux initiatives en mati�re d’observation. Au cours de 2009-2010, nous avons remarqu� une augmentation des cas du PDV qui ont �t� re�us et de revenus non d�clar�s qui ont �t� rep�r�s.
En 2009-2010, nous avons continu� � observer une augmentation de l’arrivage de d�clarations de renseignements dans le cadre du Programme des divulgations volontaires, telles que celles requises aux fins de la d�claration � l’�tranger. Nous utilisons les renseignements de ces d�clarations pour am�liorer nos processus d’�valuation du risque et rep�rer les activit�s d’inobservation.

Le�ons retenues

Ce qui a bien fonctionn� : Nous avons maintenu un bilan solide d’ex�cution, encourag� la communication publique pour dissuader l’inobservation et am�lior� l’administration du Programme des divulgations volontaires et du programme de la recherche scientifique et du d�veloppement exp�rimental. Nous avons effectu� notre deuxi�me examen de l’observation, en d�terminant cinq priorit�s majeures en mati�re d’observation, et nous avons am�lior� notre compr�hension des risques relatifs � l’observation, qui menacent le r�gime fiscal canadien. Au cours des derni�res ann�es, notre �valuation servant � d�terminer si nos activit�s d’observation en mati�re de d�claration atteignaient les r�sultats escompt�s �tait fond�e sur plusieurs indicateurs de rendement puisque nous cherchons � trouver ceux qui mesurent l’atteinte des r�sultats le plus efficacement possible. Cette ann�e, nous avons introduit dans la fiche de rendement, plusieurs nouveaux indicateurs qui mettent l’accent sur la mesure dans laquelle nos activit�s d’observation ont entra�n� une modification des montants de taxes et imp�ts impay�s et des recettes recouvr�es. Nous admettons que c’est un v�ritable d�fi de mesurer l’efficacit� de nos activit�s de validation, de v�rification et d’ex�cution pour rep�rer les cas d’inobservation en mati�re de d�claration et prendre des mesures � leur �gard.

Ce qui pourrait �tre am�lior�: En 2009-2010, comme dans les ann�es pr�c�dentes, la complexit� croissante des �conomies canadienne pr�sentent des d�fis constants li�s au rep�rage et � la dissuasion des activit�s d’inobservation. M�me si notre cadre de gestion du rendement continue de recevoir des notes �lev�es dans son ensemble, nous reconnaissons qu’il est n�cessaire de le renforcer davantage � cet �gard. C’est un d�fi commun auquel sont confront�es les administrations fiscales partout dans le monde et sur lequel nous devrons continuer de travailler afin de cerner des mesures qui �valueront le plus efficacement possible l’atteinte des r�sultats d’observation escompt�s en mati�re de d�claration.

Fiche de rendement

R�sultat escompt�
Exercice
�valuation du rendement
Qualit� des donn�es
Les cas d’inobservation sont rep�r�s et des mesures sont prises � leur �gard
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Nombre de dossiers v�rifi�s comme pourcentage des estimations
Secteur international et des grandes entreprises
100 %
Non disponible
197 %
124,4 %
133,4 %
169 %
Atteint
Petites et moyennes entreprises
100 %
Non disponible
153 %
126,9 %
136,1 %
115 %
Atteint
Recouvrements financiers[Footnote 1]  comme pourcentage des estimations
Secteur international et des grandes entreprises
100 %
Non disponible
169 %
167 %
116 %
133 %
Atteint
Petites et moyennes entreprises
100 %
Non disponible
267,5 %
123,8 %
124,7 %
141,9 %
Atteint
Pourcentage des cas[Footnote 2]  entra�nant un changement
Secteur international et des grandes entreprises
90 %
Non disponible
92 %
94 %
95 %
96 %
Atteint
Petites et moyennes entreprises
75 %
Non disponible
80,2 %
79,6 %
80,9 %
81,1 %
Atteint
Programme des divulgations volontaires (PDV)
D�lai de traitement des divulgations volontaires (en jours)
Tendance � la baisse
Non disponible
225
227
253
196
Atteint
Pourcentage des divulgations volontaires qui sont enti�rement conformes aux politiques et proc�dures du PDV selon l’examen men� dans le cadre du programme d’assurance de la qualit�
90 %
Non disponible
Non disponible
Non disponible
Non disponible
97 %
Atteint
[Footnote 1] Les recouvrements financiers correspondent aux montants suppl�mentaires de l’imp�t d� qui sont d�couverts au moyen de nos activit�s en mati�re d’observation, y compris la valeur actuelle des cotisations d’imp�t futures. L’incidence fiscale correspond aux montants inclus dans les recouvrements financiers et comprend �galement les int�r�ts, les p�nalit�s ainsi que les imp�ts provinciaux tir�s des cotisations
[Footnote 2] � compter du pr�sent exercice, nous avons chang� la m�thode d’�tablissement de rapports pour les PME et le secteur international et des grandes entreprises. Nous avons d�clar� les � cas � achev�s plut�t que les � dossiers � achev�s comme nous l’avions fait dans les exercices pr�c�dents. Les cas repr�sentent les principales v�rifications ax�es sur le risque effectu�es � l’�gard d’un contribuable, alors que les dossiers comprennent tous les cas secondaires ou li�s aux cas principaux. Un cas pourrait �tre associ� � plus d’un dossier.
Pour obtenir des renseignements suppl�mentaires sur cette activit� de programme, veuillez consulter le
www.arc.gc.ca/rapportannuel.

Appels (AP5)


Appels

Avantages pour les Canadiens

Les contribuables peuvent contester les cotisations et les d�terminations concernant l’imp�t sur le revenu et les taxes � la consommation, de m�me que des cotisations et d�cisions li�es au R�gime de pensions du Canada et � l’assurance-emploi (RPC/AE).

Notre programme Plaintes li�es au service offre aux contribuables un processus de r�glement officiel quant aux droits mati�re de service contenus dans Charte des droits du contribuable. Si les contribuables ne sont pas d’accord avec une d�cision qui provient de notre programme Plaintes li�es au service, ils peuvent pr�senter une plainte � l’ombudsman des contribuables.

Nos r�sultats escompt�s sont les crit�res que nous utilisons pour mesurer nos activit�s et rendre compte aux Canadiens quant � leur efficacit�. Nous ex�cutons cette activit� de programme afin de r�aliser ce qui suit :

Les contribuables ont recours � un examen opportun et impartial des d�cisions contest�es prises en vertu des lois administr�es par l’ARC et le traitement des plaintes li�es au service est opportun et uniforme.

Aper�u de l’AP5

Figure 10 D�penses r�elles


Figure 6 D�penses r�elles
Ressources financi�res 2009-2010
(en milliers de dollars)
Ressources humaines (ETP) 2009-2010
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
Pr�vues
R�elles
�cart
126 895 $
149 799 $
148 009 $
1 339
1 286
53

Principales donn�es

Diff�rends – Nous avons r�gl� plus de 67 000 diff�rends. La valeur totale des diff�rends li�s � l’imp�t s’�l�ve � plus de 13,7 milliards de dollars (la valeur des dossiers traitables est de 4,7 milliards de dollars, et la valeur des dossiers non traitables est d’environ 9,0 milliards de dollars).

Dispositions d’all�gement pour les contribuables – Un total de 82 911 demandes d’all�gement de l’int�r�t et des p�nalit�s ont �t� trait�es par l’ARC; 51 218 de ces demandes ont �t� accept�es en faveur du contribuable. La valeur totale de toutes les annulations et renonciations repr�sentait plus de 478 millions de dollars pour 332 141 contribuables.

Contribution aux priorit�s de l’ARC

Int�grit� fiscale et renforcement du service
Pour appuyer ces priorit�s, en 2009-2010, nous avons r�alis� ce qui suit :
Comme on l’indique dans notre Rapport sur les plans et les priorit�s 2009-2010 
R�alisations
Int�grer enti�rement les initiatives du Programme de solution de probl�mes et des Plaintes li�es au service de l’ARC
En 2009-2010, nous avons poursuivi l’initiative d’int�gration du Programme de solution de probl�mes et des Plaintes li�es au service afin de mieux r�pondre � nos clients. L’int�gration a pour but de permettre � tout le personnel de l’ARC de r�pondre aux pr�occupations des contribuables, et elle am�liore notre fa�on de d�terminer et de r�gler les questions li�es au service. L’int�gration sera achev�e au cours de 2010-2011.
Relever les d�fis que pose l’accroissement des charges de travail obligatoires
Le fait que l’ARC s’est concentr�e davantage sur les stratag�mes de planification fiscale abusive douteuse a entra�n� une augmentation importante des diff�rends de type � collectifs � li�s � l’imp�t sur le revenu de la part des contribuables. � ce jour, les contribuables qui participent � des stratag�mes de planification fiscale abusive douteuse ont aussi choisi de contester leurs cotisations. Une augmentation importante du volume des diff�rends li�s � l’imp�t sur le revenu pr�sent�s par les contribuables a continu� � affecter notre capacit� de traitement.
� titre de r�ponse, l’ARC a mis en place un certain nombre de strat�gies administratives afin de faire face au volume �lev� de diff�rends. Nous avons r�affect� des ressources existantes pour ex�cuter les activit�s principales de gestion de notre processus de r�solution des diff�rends.
Nous avons renforc� le service en permettant que les diff�rends moins complexes soient r�partis et assign�s aux ressources disponibles partout au pays. Cela augmente la souplesse de la gestion et devrait am�liorer les d�lais de traitement pour cette cat�gorie de travail. Environ 1,5 million de dollars ont �t� r�affect�s au cours du quatri�me trimestre de 2009-2010, notre p�riode de pointe, pour l’embauche et la formation de nouveaux employ�s.
Nous avons lanc� un examen des motifs de la hausse du volume dans notre programme de r�glement des diff�rends, en vue de renforcer la r�ponse g�n�rale de l’ARC. Ce volume accru des diff�rends d�coulait principalement de la focalisation de l’ARC sur des stratag�mes de planification fiscale abusive particuliers. L’ARC s’efforcera d’accro�tre sa capacit� de planification afin de traiter le volume �lev� de diff�rends de fa�on plus efficace.
Nous avons renouvel� notre protocole avec le minist�re de la Justice du Canada. Le protocole modifi� vient am�liorer le r�glement de certaines questions faisant l’objet d’un appel devant les tribunaux. Le minist�re a plus de latitude pour prendre des d�cisions sans devoir nous consulter. Cette souplesse accrue vient appuyer notre objectif d’am�liorer le service aux contribuables en fournissant des d�cisions plus rapidement.

Le�ons retenues

Ce qui a bien fonctionn� : En 2009-2010, nous avons fait preuve d’�quit� dans notre examen des d�cisions contest�es des contribuables. Cependant, il nous a fallu plus de temps pour rendre des d�cisions en raison d’une nette augmentation des diff�rends li�s aux stratag�mes de planification fiscale abusive. Les plaintes li�es au service et les dispositions d’all�gement pour les contribuables ont �t� administr�es de fa�on uniforme, � l’appui de notre engagement � l’�gard de l’�quit�.

Ce qui pourrait �tre am�lior�: Notre d�fi demeure la gestion des processus op�rationnels de l’ARC afin de r�pondre de mani�re efficace au volume accru de diff�rends li�s � l’imp�t sur le revenu provenant des activit�s d’observation cibl�es qui mettent l’accent sur les stratag�mes de planification fiscale ou d’autres stratag�mes douteux.

Fiche de rendement

R�sultat escompt�
Exercice
�valuation du rendement
Qualit� des donn�es
Les contribuables obtiennent un examen impartial et rapide des d�cisions contest�es
2009-2010
En grande partie atteint
Bonne
2008-2009
En grande partie atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Activit�s des appels qui ont atteint la norme en mati�re d’uniformit�
Imp�t sur le revenu
97 %
99,5 %
99,6 %
99,5 %
99,0 %
98,6 %
Atteint
Taxes � la consommation
97 %
98,0 %
97,0 %
95,4 %
96,2 %
94,9 %
En grande partie atteint
RPC/AE
95 %
99,6 %
99,6 %
99,4 %
99,3 %
99,4 %
Atteint
Activit�s des appels qui ont atteint la norme en mati�re de transparence
Imp�t sur le revenu
98 %
98,1 %
99,3 %
99,6 %
99,5 %
99,7 %
Atteint
Taxes � la consommation
98 %
99,4 %
98,8 %
99,2 %
99,5 %
99 %
Atteint
Indicateurs de rapidit�
Norme de service pour le premier contact
85 %
89 %
89 %
84 %
68 %
50 %
Non atteint
Nombre de jours ouvrables pour r�gler un cas[Footnote 1] 
Imp�t sur le revenu
Divers
120
107
141
157
187
Non atteint
Taxes � la consommation
Divers
170
171
169
214
250
Non atteint
RPC/AE
Divers
183
203
123
117
149
Non atteint
�ge moyen de l’inventaire en cours de traitement (en jours)
Imp�t sur le revenu
Tendance neutre ou � la baisse
159
175
177
205
215
Non atteint
Taxes � la consommation
Tendance neutre ou � la baisse
175
181
204
243
276
Non atteint
RPC/AE
Tendance neutre ou � la baisse
178
80
70
103
135
Non atteint
[Footnote 1] L’�valuation g�n�rale est fond�e sur l’atteinte des r�sultats par rapport aux objectifs �tablis pour les charges de travail regroup�es.
R�sultat escompt�
Exercice
�valuation du rendement
Qualit� des donn�es
Les plaintes li�es au service et les dispositions d’all�gement pour les contribuables sont administr�es de fa�on uniforme
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
En grande partie atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
  • Plaintes li�es au service – Accus� de r�ception dans un d�lai de 48 heures
90 %
Sans objet
 
Sans objet
Sans objet
93,8 %
97,9 %
Atteint
  • Plaintes li�es au service – Communication avec les contribuables dans un d�lai de 15 jours
90 %
Sans objet
Sans objet
Sans objet
86,7 %
94,5 %
Atteint
  • Dispositions d’all�gement pour les contribuables – Application uniforme (conform�ment au Programme d’assurance de la qualit�)
90 %
Sans objet
Sans objet
Sans objet
95 %
97 %
Atteint
Pour obtenir des renseignements suppl�mentaires sur cette activit� de programme, veuillez consulter le
www.arc.gc.ca/rapportannuel.

Programmes de prestations (AP6)


Programmes de prestations

Avantages pour les Canadiens

Nous contribuons directement au bien-�tre social et �conomique des Canadiens en offrant des prestations, des cr�dits et des services aux b�n�ficiaires admissibles. Nous administrons la prestation fiscale canadienne pour enfants, le cr�dit pour la taxe sur les produits et services/taxe de vente harmonis�e et les allocations sp�ciales pour enfants, qui sont les programmes f�d�raux de base qui versent les paiements de prestations. Nous administrons aussi la prestation universelle pour la garde d’enfants pour le compte de Ressources humaines et D�veloppement des comp�tences Canada, le cr�dit d’imp�t pour personnes handicap�es ainsi que d’autres programmes et services de prestations et de cr�dits pour le compte de clients gouvernementaux provinciaux, territoriaux et autres.

Nos r�sultats escompt�s sont les crit�res que nous utilisons pour mesurer nos activit�s et rendre compte aux Canadiens quant � leur efficacit�. Nous ex�cutons cette activit� de programme afin de r�aliser ce qui suit :

Les b�n�ficiaires de prestations re�oivent des d�terminations de l’admissibilit� et des paiements opportuns et exacts et ils ont acc�s � des renseignements opportuns et exacts.

Aper�u de l’AP6

Figure 11 D�penses r�elles


Figure 7 D�penses r�elles
Ressources financi�res 2009-2010
(en milliers de dollars)
Ressources humaines (ETP) 2009-2010
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
Pr�vues
R�elles
�cart
331 566 $
342 634 $
342 440 $
1 595
1 511
84

Principales donn�es

Services � la client�le des programmes de prestations – Nous avons trait� pr�s de 6,5 millions de demandes de renseignements t�l�phoniques.

Administration des programmes de prestations – Nous avons envoy� 88,5 millions de paiements de prestations totalisant plus de 17,6 milliards de dollars[Footnote 1]  � pr�s de 11,5 millions de b�n�ficiaires. Nous avons d�termin� un montant de 816 millions de dollars en cr�dits d’imp�t pour personnes handicap�es (CIPH) pour 547 000 particuliers. Nous avons trait� 729 000 demandes et choix, et avons effectu� 726 000 mises � jour de comptes et 1 023 000 nouvelles d�terminations de comptes du cr�dit pour la TPS/TVH en cours d’exercice.

Paiements de transfert directs en vertu des programmes l�gislatifs – Nous avons �mis 215 millions de dollars en vertu du programme des allocations sp�ciales pour enfants (ASE).

Contribution aux priorit�s de l’ARC

Renforcement du service, validation des prestations et maintien de relations efficaces
Pour appuyer ces priorit�s, en 2009-2010, nous avons r�alis� ce qui suit :
Comme on l’indique dans notre Rapport sur les plans et les priorit�s 2009-2010 
R�alisations
Assurer le versement en temps voulu de paiements exacts � tous les particuliers admissibles
Nous avons atteint l’objectif de notre norme de service en mati�re de rapidit� pour la r�ponse aux demandes de renseignements par �crit et les renvois t�l�phoniques. En 2009-2010, notre taux d’exactitude g�n�ral a �t� de 97,4 % � l’�gard du traitement des demandes de prestations et des formulaires de l’�tat civil et de 99,3 % pour le traitement des demandes de renseignements �crites et des renvois t�l�phoniques, ce qui nous a permis d’atteindre notre objectif de 98 %. L’exactitude des paiements pour ces activit�s �tait de 99,4 % pour le traitement des demandes de prestations et des formulaires de changement d’�tat civil et de 100 % pour le traitement des demandes de renseignements �crites et des renvois t�l�phoniques.
En 2009-2010, nous avons mis en ligne une nouvelle page Web � l’intention des praticiens qualifi�s afin qu’ils disposent des renseignements dont ils ont besoin pour remplir le Certificat pour le cr�dit d’imp�t pour personnes handicap�es au nom de leurs patients.
Afin que nos avis soient clairs et que nos messages soient compr�hensibles, nous les avons r�vis�s au cours de 2009-2010. Nous avons aussi r�vis� la qualit� de la correspondance que nous envoyons aux contribuables.
Am�liorer les options de libre-service
Nous avons renforc� le service en 2009-2010 en am�liorant l’accessibilit� et l’efficacit� de nos programmes et services. Nous avons investi des ressources afin d’am�liorer nos options de libre-service �lectroniques et de veiller � ce que les b�n�ficiaires de prestations aient acc�s en temps voulu aux renseignements et aux outils dont ils ont besoin.
Par exemple, les particuliers peuvent maintenant verser les paiements de prestations en trop par voie �lectronique. Cela peut maintenant �tre fait par l’entremise de certaines institutions financi�res et aussi par l’entremise du service Web Mon paiement de l’ARC. Le nombre de demandes de prestations re�ues par voie �lectronique au moyen des Demandes en ligne de prestations a augment� de 52,9 % par rapport � 2008-2009.
Optimiser la voie t�l�phonique
Nous communiquons avec les Canadiens par Internet et sur papier, mais le t�l�phone repr�sente pour de nombreuses personnes le mode de communication principal. En 2009-2010, nous avons r�ussi � atteindre notre objectif pour le pourcentage de demandeurs en mesure de nous joindre au t�l�phone, soit 91,8 % pour la prestation canadienne fiscale pour enfants (PFCE) et 90,7 % pour le cr�dit pour la TPS/TVH. Nous nous effor�ons d’offrir un service t�l�phonique exact en utilisant divers outils et en mettant � jour les documents de r�f�rence dont nous avons besoin pour travailler efficacement. Cette ann�e, afin d’am�liorer les documents de formation de nos agents, nous avons entrepris une r�vision et une restructuration importantes de mani�re � les pr�senter dans des formats en ligne modernis�s.
Renforcer la visibilit�
Afin de nous assurer que les Canadiens sont inform�s des programmes de prestations et de cr�dits et qu’ils peuvent y acc�der, nous avons men� des activit�s de sensibilisation au cours de l’ann�e 2009-2010. Dans le cadre de notre initiative sur les mesures fiscales pour les personnes handicap�e, des repr�sentants ont particip� � plusieurs conf�rences li�es au domaine de la sant�. Conscients que des messages cibl�s devaient �tre formul�s � l’intention des Premi�res nations et du territoire du Nunavut, nous avons produit et distribu� des affiches pr�sentant des renseignements sur les programmes de prestations et de cr�dits. L’affiche � l’intention du Nunavut est disponible en fran�ais, en anglais et en Inuktitut.
Renforcer les activit�s de validation des prestations
Afin de mesurer les niveaux d’observation, nous examinons et v�rifions les renseignements des b�n�ficiaires chaque ann�e; nous communiquons avec les particuliers afin de confirmer les d�tails de leurs comptes. Les renseignements que nous donnons aux b�n�ficiaires au cours des examens de validation sont con�us pour les informer et les sensibiliser sur les exigences relatives � leur admissibilit� et les montants auquels ils ont droit. Nous offrons ce service afin d’encourager les b�n�ficiaires � observer leurs obligations en mati�re de d�claration aux fins du programme pour que leurs paiements soient exacts.
G�rer la croissance des activit�s et les partenariats
Le nombre de programmes et de services administr�s par l’ARC est pass� de 93 en 2008-2009 � 96 en 2009-2010, avec le lancement de trois nouveaux programmes de v�rification du revenu relatifs aux pr�ts d’�tudes de l’�le-du-Prince-�douard.

Le�ons retenues

Ce qui a bien fonctionn� : En 2009-2010, nous avons relev� tous les d�fis auxquels nous avons fait face. Nous avons maintenu un rendement exceptionnel dans l’ex�cution des programmes tout en int�grant d’importants ajouts et changements � nos programmes et services. Nos r�sultats indiquent que nous avons administr� de fa�on uniforme des programmes et des services fiables et de haute qualit� pour les b�n�ficiaires de prestations et les clients gouvernementaux pendant l’une des p�riodes �conomiques les plus difficiles auxquelles les Canadiens ont d� faire face depuis bien des ann�es.

Ce qui pourrait �tre am�lior�: Nous connaissons l’importance pour les Canadiens de notre �mission fiable et exacte de paiements et de cr�dits pour le compte de nos clients gouvernementaux. Chaque ann�e, nous sommes mis au d�fi de faire en sorte que les besoins accrus et les ressources limit�es n’aient pas d’effet n�gatif sur notre �mission de prestations et notre prestation de services essentiels.

Fiche de rendement

R�sultat escompt�
Exercice
�valuation du rendement
Qualit� des donn�es
Les b�n�ficiaires de prestations ont acc�s en temps opportun � des renseignements exacts
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Pourcentage des appels sur la PFCE r�pondus dans les deux minutes suivant la mise en attente
75 %
76 %
75 %
78,3 %
78 %
74,9 %
Atteint
Pourcentage des demandeurs de la PFCE qui r�ussissent � joindre notre service t�l�phonique[Footnote 1] 
90 %
77 %
80 %
87,1 %
94 %
91,8 %
Atteint
Pourcentage des demandeurs du cr�dit pour la TPS/TVH qui r�ussissent � joindre notre service t�l�phonique[Footnote 2] 
90 %
74 %
77 %
83,2 %
92,8 %
90,7 %
Atteint
[Footnote 1] L’objectif de l’accessibilit� des demandeurs pour la PFCE est pass� de 80 % � 90 % en 2008-2009.
[Footnote 2] Il n’y avait aucun objectif li� � l’accessibilit� des appelants au sujet du cr�dit pour la TPS/TVH avant 2008-2009.
R�sultat escompt�
Exercice
�valuation du rendement
Qualit� des donn�es
Les d�cisions en mati�re d’admissibilit� et le traitement des paiements sont rapides et exacts
2009-2010
Atteint
Bonne
2008-2009
Atteint
Bonne
Nos indicateurs
Objectif actuel
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
�valuation
Pourcentage des demandes de prestations et des formulaires de changement d’�tat civil trait�s � temps
98 %
99,4 %
99 %
99,1 %
97,4 %
98,8 %
Atteint
Pourcentage des comptes de la PFCE redress�s qui �taient cibl�s en vertu des programmes de validation
50 %
62,3 %
61,4 %
65,6 %
58,8 %
53,5 %
Atteint
Pourcentage des paiements exacts dans le traitement des demandes de prestations et des formulaires de changement d’�tat civil
98 %
99,5 %
99,7 %
98,9 %
99,2 %
99,4 %
Atteint
Pourcentage des paiements exacts dans le traitement des mises � jour des comptes
98 %
99,7 %
98,5 %
98,4 %
98,8 %
100 %
Atteint
Pour obtenir des renseignements suppl�mentaires sur cette activit� de programme, veuillez consulter le
www.arc.gc.ca/rapportannuel.

Services internes (AP7)


Services internes

Avantages pour les Canadiens

L’ARC offre des services fiscaux et de prestations et des services connexes de haute qualit� pour le compte de gouvernements partout au Canada. La prestation de services internes fait partie int�grante de l’efficacit� de notre ex�cution de programmes. Nous mettons en place des conditions op�rationnelles qui favorisent l’excellence dans l’ex�cution de programmes par l’interm�diaire de pratiques de gestion responsables, comme la responsabilisation efficace et les mesures de surveillance, ainsi que d’une saine gestion du risque d’entreprise, des ressources humaines, de la technologie de l’information, du savoir op�rationnel, de l’information et de la croissance. Pour appuyer nos deux th�mes strat�giques, nos services internes doivent �tre enti�rement int�gr�s afin de nous assurer que nos services fiscaux et de prestations ont l’orientation, l’infrastructure et les ressources n�cessaires � une ex�cution efficace.

Aper�u de l’AP7

Figure 12 D�penses r�elles


Figure 12 D�penses r�elles
Ressources financi�res 2009-2010 (en milliers de dollars)
Ressources humaines (ETP) 2009-2010
D�penses pr�vues
Total des autorisations
D�penses r�elles
Pr�vues
R�elles
�cart
1 295 854
1 156 451 $
1 068 803 $
8 086
9 010
(924)

Contribution aux priorit�s de l’ARC

Pour appuyer ces priorit�s, en 2009-2010, nous avons r�alis� ce qui suit :
Cette activit� de programme appuie toutes les priorit�s de l’organisation.
Comme on l’indique dans notre Rapport sur les plans et les priorit�s 2009-2010 
R�alisations
Renforcer la responsabilisation et la surveillance
Pour nous assurer de respecter de mani�re efficace nos responsabilit�s en mati�re de responsabilisation, nous utilisons deux outils compl�mentaires :
  • L’�valuation du CRG en 2009-2010 a donn� des r�sultats tr�s positifs. Sur les 11 indicateurs, nous avons obtenu 7 cotes “fort” et 4 cotes “acceptable”. Une r�alisation digne de mention se rapporte au progr�s r�alis� dans la composante de gestion de l’information, qui a obtenu une cote � acceptable � en 2009-2010 par rapport � “occasion d’am�lioration” en 2008-2009;
  • l’�valuation du Cadre de surveillance du Conseil de direction est men�e par notre Conseil de direction : Sur les 18 indicateurs, nous avons obtenu 14 cotes � fort � et 4 cotes � acceptable �. Cependant, notre m�canisme de recours � l’�gard des services a obtenu une cote inf�rieure cette ann�e (de � fort � � � acceptable �). La cote inf�rieure est conforme au budget de 2010, qui demande � l’ARC d’entreprendre l’examen du programme Plaintes li�es au service dans le but de le rendre plus visible et accessible pour les contribuables.
En 2009-2010, afin de promouvoir l’utilisation efficiente et efficace des ressources financi�res, nous avons am�lior� nos syst�mes et processus financiers ainsi que les liens entre nos ressources et les r�sultats obtenus. Apr�s un examen approfondi de nos d�penses de programmes et dans le cadre de l’Examen strat�gique de l’ARC, nous avons atteint notre engagement et r�duit les budgets des programmes de 14,3 millions de dollars
Optimiser l’ex�cution des programmes
L’ARC a mis en oeuvre son premier plan d’investissement strat�gique pluriannuel, appuy� d’une approche de gestion de portefeuille de projets document�e. Au moyen du plan d’investissement et de son approche sous-jacente � long terme, la haute direction a obtenu des renseignements pour d�terminer les priorit�s en mati�re d’investissement et les strat�gies de financement pour soutenir les applications et les biens n�cessaires � la prestation de services cl�s aux Canadiens. Le rapport du printemps de 2010 de la v�rificatrice g�n�rale du Canada sur les syst�mes informatiques vieillissants refl�te positivement sur les r�alisations de l’ARC dans la planification des investissements strat�giques.
Gestion du risque
Nous avons achev� notre Inventaire des risques de l’entreprise en 2009. Il s’agit d’un �l�ment int�gral de notre exercice annuel de planification strat�gique. Les cinq priorit�s cl�s du Plan d’entreprise 2010-2011 � 2012-2013 ont �t� fond�es sur les plus grands risques pour l’ARC, indiqu�s dans l’inventaire de 2009 (relativement � l’observation en mati�re de paiement et � l’�conomie clandestine). Un plan d’action des risques de l’ARC a �galement �t� �labor� afin de nous assurer d’avoir les strat�gies d’intervention appropri�es pour tous les risques indiqu�s dans l’inventaire.
Planifier nos besoins en mati�re de talents
L’ARC a �labor� et publi� des lignes directrices afin d’aider les gestionnaires dans le domaine de la planification de la rel�ve � des niveaux autres que l’effectif de la direction. En 2009-2010, des progr�s ont �t� r�alis�s dans la d�termination des postes cl�s � l’ARC pour lesquels il faudra �laborer des strat�gies de transfert des connaissances dans le but de r�duire le risque de perte de connaissances collectives dans certains secteurs. De plus, des produits particuliers comme la trousse d’outils d’observation au poste de travail et la communaut� des pratiques ont �t� �labor�s afin de faciliter le transfert des connaissances.
Acquisition des talents
Nous avons pris des mesures importantes et fondamentales envers l’avancement de notre syst�me de gestion des ressources humaines ax�e sur les comp�tences en 2009-2010, y compris l’utilisation soutenue du processus de pr�qualification des candidats (PPC) et du projet de transition vers les PPC au stade final. Les PPC au stade final exigent que les employ�s poss�dent les niveaux de comp�tence de base comme pr�requis avant de poser leur candidature � un processus de s�lection. Les r�sultats initiaux indiquent que le temps n�cessaire � la dotation a �t� r�duit, passant de 185 jours � moins de 100 jours.
Nous avons recrut� 298 dipl�m�s postsecondaires, d�passant ainsi notre engagement de 275. Nous avons �galement augment� notre taux de recrutement d’employ�s permanents � 8,6 % (2 975) par rapport � 7,5 % (2 544) dans l’exercice pr�c�dent.
Investir dans le perfectionnement des employ�s
En 2009-2010, afin de compl�ter la Politique sur l’apprentissage de l’ARC, une directive et des proc�dures ont �t� �labor�es dans le but de renforcer la planification, l’�valuation et l’harmonisation des investissements en mati�re d’apprentissage avec les objectifs de l’ARC. En 2009-2010, 96 % des employ�s avaient rempli le Plan personnel d’apprentissage, d�passant ainsi les r�sultats du dernier exercice (94,5 %) et notre objectif de 90 %.
En 2009-2010, nous avons investi environ 146,2 millions de dollars dans l’apprentissage, pour une moyenne de 9,4 jours de formation par employ�. Nous avons aussi connu une augmentation des inscriptions aux programmes de perfectionnement en gestion, de 54 participants en 2008-2009 � 66 participants en 2009-2010, d�passant notre engagement annuel de 65.
De plus, nous offrons un nouvel atelier de trois jours, appel� � D�fi de gestion � (Programme de perfectionnement continu � l’intention des gestionnaires exp�riment�s), dans le cadre du programme d’apprentissage en gestion. Il contribue au transfert des connaissances en permettant � l’effectif de la direction et aux cadres sup�rieurs de fournir un encadrement et une r�troaction aux gestionnaires.
Renforcer la r�activit� et la durabilit� de la technologie de l’information
En 2009-2010, nous avons poursuivi plusieurs priorit�s en vue d’investir dans les ressources appropri�es pour renouveler nos applications dans le but de r�pondre aux besoins op�rationnels croissants et d’atteindre la durabilit� � long terme.
En 2009-2010, nous avons mis en oeuvre avec succ�s les programmes de l’Administration de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s pour l’Ontario, de la Gestion du contenu d’entreprise, de l’Int�gration du recouvrement des recettes et de la Restructuration des syst�mes d’observation afin de r�pondre aux exigences op�rationnelles changeantes de l’ARC.
Les services en ligne de l’ARC continuent de gagner en popularit�. En octobre 2009, nous avons remplac� l’ancienne technologie, entra�nant de grandes am�liorations � la capacit� des syst�mes et � la stabilit� des applications. Cette technologie nous permettra de continuer � fournir aux citoyens et aux entreprises du Canada un service de haut niveau pour les applications sur le Web. De plus, nous avons d�ploy� des mises � niveau de l’environnement dans les centres de donn�es de l’ARC, tout en nous assurant que les efforts de r�cup�rabilit� continuent de r�pondre aux exigences de tous les syst�mes de l’ARC.
Au cours de l’exercice, nous avons maintenu des niveaux de disponibilit� �lev�s des nombreux syst�mes nationaux de l’ARC et de l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), tout en r�pondant aux difficult�s li�es � la protection de nos biens de la TI contre les menaces de s�curit� accidentelles ou d�lib�r�es. Nous avons aussi travaill� avec l’ASFC afin de nous assurer que notre relation de services de la TI partag�s, la plus importante au sein du gouvernement du Canada, demeure rentable pour le gouvernement, et nous sommes engag�s � maintenir cette relation dans un avenir pr�visible. En 2009, nous avons achev� un examen externe des services de la TI que l’ARC fournit � l’ASFC, et des mesures ont �t� prises en vue de renforcer le partenariat.
 
En octobre 2009, nous avons re�u deux prix du Salon des gouvernements innovateurs au Canada (GTEC) pour nos r�alisations dans le domaine de la technologie de l’information. Notre strat�gie de la TI met l’accent sur notre engagement � l’�gard du soutien et de l’am�lioration de notre rendement par le renforcement de la gouvernance de nos investissements de TI et la mise en oeuvre de pratiques exemplaires en mati�re de gestion des risques.
Nous avons aussi consacr� d’importantes ressources � pr�parer nos syst�mes aux Jeux olympiques de 2010.
Am�liorer la s�curit�, la fiabilit� et la souplesse de notre infrastructure et de nos solutions de technologie de l’information
Nous avons fait progresser encore davantage nos capacit�s en �valuation et en gestion des vuln�rabilit�s en d�ployant une technologie de logiciel anti-espion � tous les postes de travail de l’ARC. Notamment, en 2009-2010, nous avons am�lior� notre Programme de durabilit� des applications, qui nous permet d’�valuer et de g�rer de fa�on uniforme le risque li� � la durabilit� des applications � mesure qu’elles vieillissent, afin de continuer � r�pondre aux besoins op�rationnels actuels et futurs. De telles am�liorations, jumel�es � la mise en oeuvre de notre programme pluriannuel de l’Environnement r�parti contr�l�, ont permis de traiter les faiblesses de notre environnement informatique.
G�rer de fa�on efficace et s�curitaire les renseignements prot�g�s sur les contribuables
L’ARC consacre beaucoup de ressources et d’attention � la protection d’une vaste quantit� de renseignements que les particuliers, les b�n�ficiaires de prestations, les entreprises et les fiducies lui confient. Pour appuyer cette priorit�, l’ARC a commenc� � �tablir des exigences op�rationnelles pour l’outil de Gestion de l’identit� et de l’acc�s afin de s’assurer que des contr�les appropri�s sont en place pour emp�cher l’acc�s et la divulgation de renseignements inappropri�s. Nous avons �galement poursuivi la modernisation du Syst�me national de piste de v�rification, afin de d�celer les acc�s non autoris�s aux renseignements des contribuables, et l’�laboration d’un programme complet de contr�le de la fraude interne, afin de g�rer de mani�re plus efficace le risque de fraude interne. Ces trois initiatives aideront � donner aux Canadiens encore plus d’assurance que leurs renseignements sont bien prot�g�s.
Int�grit� des renseignements et qualit� des donn�es
Nous avons �labor� la Strat�gie de gestion de l’information de l’ARC de 2010-2011 � 2012-2013. �labor�e en tenant compte des exigences des programmes et services en mati�re d’information ainsi que des lois et politiques r�gissant la gestion de l’information, la strat�gie cerne des secteurs o� les m�thodes de gestion de l’information de l’ARC sont moins �volu�es et fixe un programme de changement collaboratif au sein de toute l’ARC en vue de traiter ces secteurs.
En 2009-2010, nous avons mis en oeuvre un programme d’intendance des donn�es.
Communication
L’ARC a mis en oeuvre deux campagnes publicitaires au cours du dernier exercice : une campagne qui faisait la promotion du cr�dit d’imp�t pour la r�novation domiciliaire (CIRD), de la mi-juillet � la mi-novembre 2009, et une campagne qui faisait la promotion des mesures d’all�gement fiscal, de la mi-janvier � la fin mars 2010.
La campagne sur le CIRD avait pour but de faire conna�tre le cr�dit d’imp�t et comportait un programme de partenariat en plus d’une publicit� de masse pay�e. Ce programme consistait en �talages aux points de vente et en enveloppes de re�us du CIRD dans les magasins de neuf grandes cha�nes au d�tail nationales qui vendent des produits de r�novation domiciliaire. La visibilit� de la campagne publicitaire et de son programme de partenariat �tait si grande que 60 autres cha�nes et d�taillants ont communiqu� avec l’ARC afin de recevoir du mat�riel de partenariat � exposer dans leurs magasins.
La campagne sur les mesures d’all�gement fiscal avait pour but de faire conna�tre le vaste �ventail de cr�dits et de prestations mis � la disposition des Canadiens lorsqu’ils produisent leurs d�clarations de revenus. Une �valuation men�e apr�s la campagne publicitaire sur les mesures d’all�gement fiscal a d�montr� que 39 % des r�pondants se rappelaient avoir vu la publicit�. Parmi ceux qui l’ont vue, 20 % ont apport� des am�liorations ou r�novations domiciliaires, 16 % ont demand� le cr�dit d’imp�t pour la r�novation domiciliaire et 14 % se sont rendus en ligne pour obtenir de plus amples renseignements.
De plus, le premier concours sur YouTube � L’�conomie clandestine : pas ton probl�me? � a �t� lanc� en 2009. Il invitait les Canadiens � cr�er de courtes vid�os sur les cons�quences n�gatives de la participation et du soutien � l’�conomie clandestine. En puisant dans les r�seaux sociaux, l’ARC renseigne la plus grande population d�mographique possible au sujet de l’inobservation.

Le�ons retenues

Ce qui a bien fonctionn� : En 2009-2010, nous avons respect� nos priorit�s en mati�re de gestion par une prise de d�cision opportune et r�ceptive, une culture de haute direction enti�rement responsable, des pratiques et des politiques de gestion simplifi�es et une planification et un �tablissement de rapports am�lior�s.

Ce qui pourrait �tre am�lior�: En 2009-2010, notre d�fi consistait � faire le meilleur usage de toutes les ressources disponibles, allant de la capacit� des ressources humaines � la durabilit� et � la souplesse de la technologie de l’information, afin d’appuyer les besoins op�rationnels nouveaux et continus, et de composer avec le milieu �volutif dans lequel l’ARC m�ne ses activit�s.

Pour obtenir des renseignements suppl�mentaires sur cette activit� de programme, veuillez consulter le www.arc.gc.ca/rapportannuel.

Initiatives du Plan d’action �conomique du Canada

Dans le cadre du Plan d’action �conomique du Canada, l’administration f�d�rale offre une nouvelle r�duction significative de l’imp�t sur le revenu des particuliers. Les mesures, entr�es en vigueur le 1er janvier 2009, ont profit� plus particuli�rement aux Canadiens � faible ou � moyen revenu.

L’ARC a mis en oeuvre un grand nombre des initiatives du Plan d’action �conomique, comme les all�gements fiscaux pour les particuliers et une prestation fiscale pour le revenu du travail augment�e, ainsi que d’autres mesures pour aider les familles, les a�n�s, les travailleurs et les personnes handicap�es. Nous avons aussi administr� les r�ductions d’imp�t sur le revenu des soci�t�s qui avaient �t� mises en place pour aider les entreprises canadiennes � r�sister aux effets des d�fis �conomiques mondiaux, pour maintenir et cr�er des emplois, et pour ressortir encore plus fort du ralentissement �conomique.

L’ARC a re�u 12,3 millions de dollars en financement dans le cadre du Plan d’action �conomique pour le cr�dit d’imp�t pour la r�novation domiciliaire, le cr�dit d’imp�t pour l’achat d’une premi�re habitation, les p�nalit�s pour production tardive ou dans un format incorrect et la simplification de la TPS/TVH pour le secteur du d�marchage. Ce montant repr�sente seulement 0,25 % des autorisations de l’ARC pour 2009-2010.

(million de dollars)
2007-2008
2008-2009
2009-2010
Budget principal des d�penses
3 380
3 737
4 388
Ressources pr�vues
3 480
3 875
4 388
Total des autorisations
4 560
4 371
4 586
D�penses r�elles
4 423
4 199
4 407
Plan d’action �conomique du Canada
-
-
12

En f�vrier 2009, peu apr�s la pr�sentation du Plan d’action �conomique, notre ministre a annonc� le lancement de la campagne de publicit� � Vous les avez m�rit�es. Demandez-les. � visant � informer les Canadiens au sujet des cr�dits d’imp�t et des prestations qui leur sont offerts.

Le Plan d’action �conomique a mis en �vidence les programmes suivants que nous avons administr�s et offerts pour le compte des Canadiens.

La prestation fiscale pour le revenu du travail accordait un cr�dit d’imp�t remboursable aux particuliers et aux familles � faible revenu admissibles qui travaillent et qui font d�j� partie de la population active, et encourageait les Canadiens � se joindre � la population active.

Pour l’ann�e d’imposition 2009, le cr�dit d’imp�t pour la r�novation domiciliaire �tait un cr�dit d’imp�t non remboursable pour les d�penses admissibles engag�es pour des travaux effectu�s ou des biens acquis pour une habitation admissible.

La prestation fiscale canadienne pour enfants �tait un paiement mensuel non imposable vers� aux familles admissibles visant � les aider � subvenir aux besoins de leurs enfants de moins de 18 ans. Par l’interm�diaire du Plan d’action �conomique, le gouvernement f�d�ral a hauss� le niveau � partir duquel le suppl�ment de la prestation nationale pour enfants pour les familles � faible revenu et la prestation fiscale canadienne pour enfants sont �limin�s progressivement, de sorte que les familles admissibles avec deux enfants ont pu recevoir une prestation suppl�mentaire allant jusqu’� 436 $ � compter de juillet 2009.

Les efforts que nous avons d�ploy�s au cours de la derni�re ann�e pour mettre en oeuvre les initiatives du Plan d’action d�montrent notre engagement � nous assurer que les Canadiens re�oivent tous les renseignements dont ils ont besoin pour respecter leurs obligations fiscales et pour tirer pleinement profit des �pargnes fiscales auxquelles ils pourraient avoir droit.

[Footnote 1] Incluant les 816 millions de dollars en versements au programme du CIPH, qui sont �mis par l’interm�diaire du processus de cotisation T1 plut�t que comme paiements comptants directs, le montant total des prestations et des cr�dits �mis s’�l�ve � 18,4 milliards de dollars.




Section III : Renseignements suppl�mentaires

D�claration de responsabilit� de la direction

Nous avons pr�par� les �tats financiers ci-joints de l’Agence du revenu du Canada conform�ment aux principes comptables utilis�s pour pr�parer les �tats financiers du gouvernement du Canada. Les principales conventions comptables sont �nonc�es � la note 2 compl�mentaire aux �tats financiers. Certaines informations pr�sent�es dans les �tats financiers, comme les comptes de r�gularisation et la provision pour cr�ances douteuses, sont fond�es sur les meilleures estimations et le jugement de la direction, compte tenu de l’importance relative. La direction de l’Agence est charg�e d’assurer l’int�grit� et l’objectivit� des donn�es pr�sent�es dans les pr�sents �tats financiers. Les informations financi�res soumises aux Comptes publics du Canada et incluses dans le rapport annuel de l’Agence concordent avec les pr�sents �tats financiers.

Pour s’acquitter de ses obligations au chapitre de la comptabilit� et de la pr�sentation de rapports, la direction tient des comptes pour l’enregistrement des op�rations financi�res de l’Agence. La direction exploite aussi des syst�mes de gestion financi�re et de contr�le interne qui tiennent compte des co�ts, des avantages et des risques. Ces syst�mes sont con�us pour donner une assurance raisonnable que les op�rations respectent les autorisations du Parlement et des autres parties telles que les provinces et les territoires, qu’elles sont ex�cut�es en conformit� avec les r�glements et la Loi sur la gestion des finances publiques, et qu’elles sont enregistr�es de mani�re � rendre compte de l’utilisation des fonds et � assurer la protection des actifs. Les syst�mes de gestion financi�re et de contr�le interne sont appuy�s par des programmes de v�rification interne. L’Agence veille �galement � l’objectivit� et � l’int�grit� des donn�es de ses �tats financiers par la s�lection soign�e, la formation et le perfectionnement d’employ�s qualifi�s, par des dispositions assurant une r�partition appropri�e des responsabilit�s et par des programmes de communication visant � assurer la compr�hension des r�glements, des politiques, des normes et des responsabilit�s de gestion dans toute l’organisation.

Le Conseil de direction doit veiller � ce que la direction remplisse ses obligations en mati�re de pr�sentation de l’information financi�re et de contr�le interne, responsabilit� dont il s’acquitte par l’entremise de son Comit� de v�rification. Afin d’assurer l’objectivit� et l’impartialit� des �tats financiers, ces derniers sont r�vis�s par le Comit� de v�rification et approuv�s par le Conseil de direction. Le Comit� de v�rification est ind�pendant de la direction et tient des r�unions � intervalles r�guliers avec cette derni�re de m�me qu’avec les v�rificateurs internes et la v�rificatrice g�n�rale du Canada. Les v�rificateurs ont libre acc�s au Comit� de v�rification.

La v�rificatrice g�n�rale du Canada effectue une v�rification ind�pendante et exprime des opinions sur les �tats financiers ci-joints.

Approuv� par :

La commissaire et premi�re dirigeante,

Linda Lizotte-MacPherson

L’administrateur sup�rieur des affaires financi�res et sous-commissaire, Finances et administration,

Stephen O’Connor

Ottawa, Ontario
Le 23 ao�t 2010

Renseignements sur le rendement financier – Cr�dits parlementaires

Introduction

Cette section du Rapport sur le rendement 2009-2010 fournit des renseignements sur le rendement de la gestion des ressources de l’Agence pour rendre compte au Parlement de l’utilisation des cr�dits en 2009-2010. Ces renseignements compl�tent ceux qui sont fournis dans le profil des d�penses suivant chaque activit� de programme et satisfont aux exigences visant les rapports minist�riels sur le rendement.

M�thode d’�tablissement de rapports financier

Le financement de l’Agence du revenu du Canada (ARC) est attribu� par le Parlement au moyen de cr�dits annuels (m�thode de comptabilit� de caisse modifi�e). Dans cette section, l’ARC fait �tat de ses d�penses et de son rendement au Parlement et fournit des renseignements sur la gestion des cr�dits parlementaires selon la m�me m�thode. En plus des exigences pr�cit�es, l’ARC doit pr�parer ses �tats financiers annuels conform�ment aux principes comptables appliqu�s � la pr�paration des �tats financiers du gouvernement du Canada (soit la m�thode de comptabilit� d’exercice int�grale). En cons�quence, l’�tat des r�sultats v�rifi�s – Activit�s de l’Agence, de notre rapport annuel 2009-2010 comprend les �l�ments comme les services re�us � titre gracieux par d’autres minist�res et organismes f�d�raux. Nous pr�sentons un rapprochement dans la note 3b de ce m�me rapport.

L’ARC a particip� � un projet pilote du Secr�tariat du Conseil de Tr�sor (SCT) afin d’�largir la comptabilit� d’exercice au processus d’affectation des cr�dits et de budg�tisation. Ainsi, l’ARC a pr�par� et inclus les �tats financiers prospectifs au Rapport sur les plans et priorit�s (RPP) de 2009-2010. L’information financi�re est pr�par�e selon une comptabilit� d’exercice afin de renforcer l’obligation de rendre compte, d’accro�tre la transparence et d’am�liorer la gestion financi�re. En tant qu’�l�ment de l’analyse du co�t d’exploitation net, ce RMR compare les r�sultats r�els aux �tats financiers prospectifs initiaux inclus dans le RPP de 2009-2010.

Information financi�re de l’ARC

Activit�s de l’Agence
Agence du revenu du Canada
2009-20010
(en milliers de dollars)
Budget principal des d�penses[Footnote 1] 
4 387 974
D�penses pr�vues[Footnote 2] 
4 387 974
Autorisations totales [Footnote 3] 
4 586 160
D�penses r�elles
4 406 548
[Footnote 1] D�penses autoris�es par le Parlement au d�but de l’ann�e fiscale.
[Footnote 2] Les autorisations au Budget principal des d�penses plus les autres montants anticip�s �tre autoris�s au cours de l’ann�e fiscale.
[Footnote 3] Les d�penses totales autoris�es par le Parlement au cours de l’ann�e fiscale.

Les �tats financiers – Activit�s de l’Agence indiquent un total de 3 985,2 millions de dollars en cr�dits parlementaires utilis�s (la note 3b de notre rapport annuel 2009-2010 fait le rapprochement avec le co�t net des op�rations). Pour arriver aux d�penses r�elles totales de 4 406,5 millions de dollars indiqu�s dans cette section, nous avons ajout� trois autres �l�ments dont il est question dans les �tats financiers – Activit�s administr�es : les versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre, 205,5 millions de dollars; les allocations sp�ciales pour enfants, 215,3 millions de dollars; et les allocations pour frais de chauffage, 0,5 million de dollars (comprises dans le cr�dit 1, D�penses des programmes).

Vue d’ensemble

En 2009-2010, le Parlement a approuv� 4 388 millions de dollars pour l’ARC dans le Budget principal des d�penses tel qu’il est pr�sent� dans le Rapport sur les plans et les priorit�s 2009-2010 de l’ARC.

Le Budget principal des d�penses de 2009-2010 a �t� rajust� afin d’inclure :

  • 147,1 millions de dollars pour le report de fonds inutilis�s en 2008-2009;
  • 70,9 millions de dollars pour les versements de prestations de maternit� et d’indemnit� de d�part;
  • 9,1 millions de dollars pour un rajustement � la hausse aux revenus disponibles, principalement pour la fourniture de services � Service Canada;
  • 56,6 millions de dollars pour les conventions collectives;
  • 12,3 millions de dollars pour les mesures budg�taires incluses dans le budget f�d�ral de 2009 � l’appui du Plan d’action �conomique du Canada;
  • 18,6 millions de dollars de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada pour les services des locaux;
  • 11,0 millions de dollars pour les programmes de publicit� gouvernementale;
  • 1,6 million de dollars pour les montants adjug�s par une cour et la disposition des biens de la Couronne;
  • 0,9 million de dollars pour l’accroissement de l’embauche d’�tudiants dans la fonction publique f�d�rale;
  • 6,3 millions de dollars pour l’initiative sur l’interop�rabilit� et la g�rance financi�res en soutien aux Syst�mes administratifs d’entreprise;
  • 40,0 millions de dollars pour la R�forme de l’administration de la taxe de vente provinciale;
  • 56,0 millions de dollars pour les plans des r�gimes d’avantages sociaux des employ�s.

Ces augmentations sont rajust�es par les r�ductions suivantes :

  • 223,5 millions de dollars pour les versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre;
  • 2,0 millions de dollars pour les paiements aux agences de recouvrement priv�es;
  • 5,7 millions de dollars pour les versements d’allocations sp�ciales pour enfants;
  • 0.6 million de dollars pour la recherche sur l’opinion publique;
  • 0,2 million de dollars transf�r� au Secr�tariat du Conseil du Tr�sor pour soutenir la collectivit� nationale des gestionnaires;
  • 0.2 million de dollars transf�r� aux Affaires �trang�res et Commerce international en soutien au personnel de l’ARC dans les missions � l’�tranger.

Cela a r�sult� en autorisations approuv�es totales de 4 586,2 millions de dollars pour 2009-2010, ce qui repr�sente une augmentation en cours d’exercice de 4,5 % par rapport au Budget principal des d�penses.

Des autorisations totales de 4 586,2 millions de dollars, les d�penses r�elles de l’ARC totalisent 4 406,5 millions de dollars, portant le solde inutilis� � 179,6 millions de dollars � la fin de l’exercice. Apr�s avoir tenu compte des ressources non utilis�es li�es aux fiducies r�siduelles � l’�tranger, aux locaux et services immobiliers ainsi que les co�ts pour les r�gime d’avantages sociaux des employ�s associ�s � la conversion des autres co�ts de fonctionnement aux co�ts reli�s au personnel, les 150,3 millions de dollars restant peuvent �tre utilis�s par l’Agence en 2010-2011. Ce montant repr�sente 3,3 % des autorisations totales.

Le report de 150,3 millions de dollars en 2010-2011 sera utilis� principalement pour des investissements prioritaires s�lectionn�s li�s aux points qui suivent :

  • D�penses relatives � des projets majeurs et d’infrastructure (p.ex., Restructuration des syst�mes d’observation, compte d’�pargne libre d’imp�t, projets importants de services offerts aux locataires et infrastructures de la technologie de l’information).
  • Cr�dits � des fins sp�ciales (p.ex., R�forme de l’administration de la taxe de vente provinciale, Programmes d’aide et de partenariat de la Direction des organismes de bienfaisance, Administration de la TPS par le Minist�re du Revenu du Qu�bec).
  • Diverses autres pressions li�es aux op�rations et � la charge de travail.
Revenus administr�s par l’Agence

Les revenus totaux administr�s par l’ARC s’�l�vent � quelque 279 milliards de dollars en 2009-2010, ce qui repr�sente une baisse de 3 % par rapport aux 287,5 milliards de dollars administr�s en 2008-2009.

(en milliers de dollars)
2008-2009
2009-20010
Gouvernement f�d�ral
190 756 240
180 455 735
Gouvernements provinciaux, territoriaux et Premi�res nations
60 192 842
62 154 726
R�gime de pensions du Canada
36 545 498
36 365 844
Total
287 494 580
278 976 305

Principales donn�es financi�res

Pour la p�riode se terminant le 31 mars 2010

�tat de la situation financi�re
(en milliers de dollars)
2010
2009
Actif
Total de l’actif
777 203
846 926
Passif
Total du passif
979 651
1 130 210
Passif net
Total du passif net
(207 448)
(313 284)
Total du passif et du passif net
772 203
816 926

Pour la p�riode se terminant le 31 mars 2010

�tat des r�sultats
(en milliers de dollars)
2010
2009
�tats prospectifs 2010
D�penses
Total des d�penses
4 441 321
4 433 698
4 284 975
Revenus
Total des revenus
569 421
537 559
536 593
Co�t d’exploitation net
3 871 900
3 896 139
3 748 382

Il y a trois changements importants apport�s � l’administration des programmes qui ont influenc� les r�sultats dans les �tats financiers.

1. R�forme de l’administration de la taxe de vente provinciale

En 2009, les provinces de l’Ontario et de la Colombie-Britannique ont conclu des protocoles d’entente avec le gouvernement du Canada afin d’harmoniser leur taxe de vente provinciale respective avec la taxe sur les produits et services (TPS) f�d�rale � partir du 1er juillet 2010.

L’ARC a re�u un financement suppl�mentaire de 47,5 millions de dollars (y compris les cotisations vers�es au r�gime d’avantages sociaux des employ�s) en 2009-2010 afin d’assurer que les syst�mes et les processus n�cessaires �taient en place pour la mise en oeuvre de la TVH en Ontario et en Colombie Britannique, de communiquer les renseignements n�cessaires aux entreprises et aux particuliers et d’int�grer les employ�s provinciaux touch�s � l’effectif de l’Agence. Le niveau de financement qui sera accord� dans les ann�es subs�quentes devrait �tre confirm� par le Conseil du Tr�sor dans un avenir rapproch�.

La mise en oeuvre d’une administration harmonis�e et la transition r�ussie des employ�s provinciaux continueront de repr�senter une priorit� pour l’ARC en 2010-2011.

2. Administration de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s pour l’Ontario

L’ARC a commenc� le traitement des d�clarations de revenus des entreprises (T2) harmonis�es de l’Ontario, et offre �galement des services connexes, tels que les v�rifications, les d�cisions, les interpr�tations, les oppositions et les appels. � ce titre, l’administration de l’imp�t des soci�t�s de l’Ontario est enti�rement int�gr�e aux op�rations de base de l’ARC.

L’ARC a re�u du gouvernement f�d�ral un financement de 210,5 millions de dollars sur une p�riode de quatre ans (de 2006-2007 � 2009-2010) pour les co�ts d’�laboration et de transition li�s � cette initiative. De ce montant, 83,2 millions de dollars ont �t� d�pens�s en 2009-2010. Dans le cadre du Protocole d’entente sur l’administration unique de l’imp�t ontarien des soci�t�s sign� le 6 octobre 2006, les gouvernements du Canada et de l’Ontario ont convenu de transf�rer l’administration de l’imp�t des soci�t�s de l’Ontario du minist�re du Revenu de l’Ontario � l’ARC � compter de l’ann�e d’imposition 2009. L’initiative de l’Administration de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s pour l’Ontario a d�sormais atteint ses principaux jalons, et tous les accords et les changements de syst�me requis ont �t� mis en place en date d’avril 2009.

3. Investissements dans les syst�mes de la technologie de l’information

Au cours de l’exercice 2010, l’ARC a continu� d’investir dans des importants syst�mes de la TI pour assurer une ex�cution de programme moderne et efficace. L’Agence avait plusieurs projets de grande envergure qui ont n�cessit� des investissements importants dans le d�veloppement des syst�mes informatiques. Combin�s aux acquisitions d’�quipement de TI, l’Agence a investi 137 millions de dollars en immobilisations reli�es aux TI au cours de cet exercice financier. La valeur de ces nouvelles immobilisations a �t� compens�e par l’amortissement de 87 millions de dollars en 2009-2010.

Le tableau suivant donne un aper�u des investissements en technologie de l’information qui ont �t� comptabilis�s � titre d’immobilisation au cours des quatre derni�res ann�es.

Figure 13 Investissements en technologie de l’information dans les immobilisations

Figure 3 Investissements en technologie de l’information

Analyse du co�t d’exploitation net

Le co�t d’exploitation net de 2009-2010 de l’Agence a diminu� de 24 millions de dollars comparativement � 2008-2009. Les charges de l’Agence se chiffrent � 4 441 millions de dollars en 2009-2010 (2008-2009 – 4 434 millions de dollars) (voir la Note 9 des �tats financiers – Activit�s de l’Agence pour la ventilation des charges par cat�gorie). Apr�s ajustement pour les revenus non fiscaux de 569 millions de dollars (2008-2009 – 538 millions de dollars), le co�t d’exploitation net se chiffre � 3 872 millions de dollars, tel que d�montr� ci-dessous :

Table 1 D�tails du co�t d’exploitation net

Charges
2010
2009
 
(en milliers de dollars)
Personnel
3 230 297
3 240 513
Locaux
331 587
312 681
Mat�riel et services de TI
256 778
289 559
Transport et communications
197 804
201 274
Services professionnels et d’affaires excluant TI
162 506
168 674
Frais d’administration de la taxe de vente f�d�rale – province de Qu�bec
148 437
131 732
Autres
113 912
89 265
Total des charges
4 441 321
4 433 698
Moins : Revenus non fiscaux
569 421
537 559
Co�t d’exploitation net
3 871 900
3 896 139

Les charges de l’Agence sont constitu�es de 73 % de charges relatives au personnel (salaires, autres indemnit�s et avantages) et de 27 % de charges non relatives au personnel, tel qu’il est illustr� par la figure ci dessous.

Les charges relatives au personnel sont le principal inducteur de co�ts de l’Agence. Plusieurs facteurs ont contribu� � la diminution nette de 10 millions de dollars pour ce type de d�penses en 2009-2010. Des co�ts additionnels ont �t� encourus pour les r�visions de salaires conform�ment aux clauses des conventions collectives et dans l’augmentation de l’effectif en raison de nouvelles initiatives, telle que la r�forme de l’administration de la taxe de vente provinciale, l’administration de l’imp�t sur le revenu des soci�t�s pour l’Ontario, la planification Fiscale Internationale Abusive en Ontario et d’autres annonc�es dans les budgets f�d�raux r�cents, mais ont �t� contrebalanc�es par une diminution du co�t des indemnit�s de d�part.

Au total, les charges non relatives au personnel ont augment� de 18 millions de dollars. Les principales composantes des charges non relatives au personnel sont constitu�es de d�penses li�es aux locaux, ainsi qu’au transport et communications, qui sont, pour la plupart, li�es aux charges relatives au personnel. La r�duction de 33 millions de dollars des co�ts de la technologie de l’information est reli�e � la diminution de l’achat de mat�riel informatique et de logiciels ainsi que des diminutions de la perte sur cessions et radiation d’actifs. Les co�ts d’administration de la taxe f�d�rale sur les produits et services par la province de Qu�bec ont augment� en raison des co�ts plus �lev�s en salaire.

Figure 14 Charges totales par cat�gorie

Figure 14 Charges totales par cat�gorie

Figure 14 Charges totales par cat�gorie

Comparaison de l'information financi�re prospective et des r�sultats r�els

Le co�t d’exploitation net de l’Agence pour 2009-2010 a exc�d� de 124 millions de dollars ce qui �tait anticip� dans les �tats financiers prospectifs inclus dans le RPP de 2009-2010 (3 872 millions de dollars – 3 748 millions de dollars). Cela repr�sente un �cart de 3,3 % et il s’explique comme suit :

  • Les �tats financiers prospectifs ont �t� compl�t�s en se basant sur les cr�dits parlementaires obtenus lors du budget principal des d�penses de 2009-2010 et n’ont pas consid�r� les d�penses r�sultant des ressources re�ues pour le reste de l’ann�e pour des �l�ments tels que:
    • le report de fonds inutilis�s en 2008-2009;
    • le financement li� aux mesures budg�taires incluses dans le budget f�d�ral de 2009 � l’appui du Plan d’action �conomique du Canada; et
    • la R�forme de l’administration de la taxe de vente provinciale. 
  • Ces ressources suppl�mentaires furent rajust�es par des r�ductions principalement dans les versements l�gislatifs aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre.
  • D’autres raisons expliquant cet �cart concernent les rajustements pour la comptabilit� d’exercice d�s aux modifications dans les acquisitions d’immobilisations, l’amortissement, la perte/la radiation des immobilisations; les co�ts relatifs au personnel pour les conventions collectives, pour les versements de prestations de maternit� et d’indemnit� de d�part; et les plans des r�gimes d’avantages sociaux des employ�s;

�tats financiers v�rifi�s et non v�rifi�s

Pour obtenir d’autres renseignements au sujet des �tats v�rifi�s et non v�rifi�s de l’ARC, veuillez visiter le site Web suivant : www.arc.gc.ca/rapportannuel

La comparaison de l’information financi�re prospective est disponible sur le site WEB de l’ARC au
www.arc.gc.ca.

Tableaux �lectroniques

Les tableaux suivants se trouvent dans le site Web du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor � l’adresse suivante :
http://www.tbs-sct.gc.ca/dpr-rmr/2009-2010/index-fra.asp.

Sources des recettes disponibles et non disponibles

Recettes non fiscales disponibles

Recettes non fiscales non disponibles

Frais d’utilisation et frais externes

Loi sur les frais d’utilisation – Frais pour les d�cisions anticip�es en mati�re d’imp�t sur le revenu

Politique sur les normes de service pour les frais d’utilisation – Frais pour les d�cisions anticip�es en mati�re d’imp�t sur le revenu

Loi sur les frais d’utilisation – Frais pour les services d’analyse statistique et de traitement de donn�es de l’imp�t

Politique sur les normes de service pour les frais d’utilisation – Frais pour les services d’analyse statistique et de traitement de donn�es de l’imp�t

Loi sur les frais d’utilisation – Frais de traitement pour les demandes d’acc�s � l’information

Politique sur les normes de service pour les frais d’utilisation – Frais de traitement pour les demandes d’acc�s � l’information

D�tails sur les d�penses li�es aux projets

D�tails sur les programmes de paiements de transfert

Versements d’allocations sp�ciales pour enfants (L�gislatifs)

Versements aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d’oeuvre (L�gislatifs)

Rapprochement � l’�tat des r�sultats

Approvisionnements �cologiques

R�ponse aux comit�s parlementaires et v�rifications externes

V�rifications et �valuations internes

Autres sujets d’int�r�t

�valuation de la qualit� des donn�es

En m�me temps que l’�valuation des r�sultats du rendement, nous attribuons aussi � chacun des indicateurs une �valuation de la qualit�.

Pour chaque indicateur, nous utilisons des approches uniformes pour l’�valuation des renseignements tir�s de nos syst�mes de collecte des donn�es et de toute autre source. Nous nous fions aux gestionnaires de l’ARC pour se porter garants de l’int�gralit� des dossiers aux fins de l’int�grit� des donn�es (c.-�-d. que les donn�es appartiennent � la m�me cat�gorie, sont collect�es pour la m�me p�riode et par la m�me m�thode). Nous examinons les donn�es en fonction de leur pertinence, des formules pour calculer l’exactitude ainsi que d’autres facteurs dont il faut tenir compte. Nous utilisons aussi des renseignements comparables tir�s d’exercices ant�rieurs pour �tablir une comparaison historique, qui figure souvent dans le Rapport sur le rendement de l’Agence du revenu du Canada. Pour assurer l’uniformit�, nous effectuons les t�ches suivantes dans le but de v�rifier si les renseignements d�clar�s dans nos nombreux rapports sont valides, fiables et accompagn�s des preuves appropri�es :

  • Validation : Il s’agit d’un processus de v�rification visant � garantir que les donn�es respectent les exigences aux fins pr�vues. Nous examinons et �valuons l’int�gralit� et la plausibilit� (exactitude, rapidit�, interpr�tabilit�, coh�rence) des donn�es. Nous d�terminons aussi les coordonn�es, v�rifions les calculs, confirmons la fiabilit� du syst�me (en v�rifiant la source d’information) et nous notons et corrigeons les erreurs.
  • �valuation de la qualit� des donn�es : Nous appliquons une liste de v�rification de la qualit� des donn�es et examinons les donn�es des exercices pr�c�dents afin d’�valuer la qualit� des donn�es pour chaque indicateur.
  • Syst�me de production �lectronique des d�clarations : Nous emmagasinons les donn�es dans une base de donn�es pour consultation rapide et analyse plus approfondie � d’autres fins.
  • Syst�me de production mat�riel : Nous maintenons des dossiers mat�riels des preuves collect�es de toutes les sources afin d’obtenir la validation et l’assurance que nos �valuations de la qualit� des donn�es sont exactes et appuy�es.

Nous nous effor�ons continuellement d’utiliser les donn�es les plus appropri�es et les plus fiables pour �valuer nos r�sultats. Il y a principalement deux sources de donn�es pour le Rapport sur le rendement de l’Agence du revenu du Canada : les donn�es administratives (habituellement communiqu�es en bloc ou apr�s avoir subi des calculs simples) et les donn�es de sondage. Toutes les sources de donn�es sont valid�es quant � l’exactitude, et une �valuation de la qualit� comme �tant bonne, raisonnable ou faible, telle que pr�sent�e ci-dessous, est appliqu�e � chaque indicateur.

Nous croyons que les trois niveaux d’�valuation de la qualit� des donn�es offrent une �valuation raisonnable quant � la fiabilit� de celles-ci. G�n�ralement, nos sources de donn�es offrent des renseignements fiables. Dans les cas o� les donn�es � l’appui sont trop vagues pour nous permettre de tirer des conclusions fermes, l’�valuation de la qualit� des donn�es en tient compte.

�valuation de la qualit� des donn�es
Bonne
La direction estime que l’�valuation des r�sultats repose sur une quantit� appropri�e de renseignements pr�cis (y compris ses propres estimations) obtenus de sources ou de m�thodes fiables.
Raisonnable
La direction estime que l’�valuation des r�sultats repose, dans la plupart des cas, sur une quantit� appropri�e de renseignements pr�cis (y compris ses propres estimations) obtenus de sources ou de m�thodes fiables.
Faible
Il y a des lacunes importantes dans la fiabilit� des renseignements sur les r�sultats, et la direction estime que l’�valuation du rendement repose surtout ou enti�rement sur des donn�es qualitatives obtenues de sources ou de m�thodes officieuses.

Normes de service � l’ARC

Notre r�gime de normes de service est une partie essentielle et int�grante de nos processus de planification, d’�tablissement de rapports et de gestion du rendement. Le respect des objectifs de nos normes de service d�montre que nous sommes � l’�coute des besoins des contribuables et des b�n�ficiaires de prestations, ce qui aide � �tablir la cr�dibilit� de nos op�rations et contribue � augmenter le niveau de confiance que les Canadiens peuvent avoir envers le gouvernement.

Pour obtenir d’autres renseignements au sujet des normes de service de l’ARC, veuillez visiter le site Web suivant : www.arc.gc.ca/normesservice

D�veloppement durable

� l’aide de la Strat�gie de d�veloppement durable 2007-2010 de l’ARC, nous avons poursuivi la modernisation de la fa�on dont nous acqu�rons les biens, les utilisons et en disposons. Conform�ment � la strat�gie, nous avons r�alis� des �conomies tout en r�duisant l’incidence environnementale de nos activit�s et programmes.

En 2009-2010, environ 28 % des d�pens�s totales affect�es � des produits ont �t� consid�r�es comme de l’approvisionnement �cologique dans Synergy, le syst�me d’achat Internet de l’Agence. Quatre-vingt pour cent des nouveaux v�hicules achet�s pouvaient utiliser du carburant de remplacement ou �taient des v�hicules hybrides, ce qui a fait passer la proportion des v�hicules de la flotte de l’ARC consid�r�s comme �cologiques de 43 % en 2008-2009 � 47 % en 2009-2010 (voir le graphique ci-dessous).

Nous avons r�duit notre consommation de papier de bureau de 4,4 % de plus, ce qui signifie que la consommation de papier est pass�e � 5 147 feuilles par employ� et que nous avons d�pass� notre objectif de d�veloppement durable, qui �tait de 5 643 feuilles (voir le tableau ci-dessous). Cette r�duction a entra�n� des �conomies d’environ 48 000 $ � l’�gard des co�ts du papier de bureau.

En �tendant le programme � Non aux d�chets � � six autres installations de l’ARC, nous permettons maintenant � 90 % des employ�s de l’ARC de r�duire la quantit� de d�chets solides qu’ils produisent dans le milieu de travail. Des v�rifications men�es dans les installations s�lectionn�es ont indiqu� que ce programme a aid� l’ARC � faire en sorte que 84 % des d�chets solides ne se retrouvent pas dans des d�charges. Afin d’appuyer la prestation de service durable, nous avons aussi int�gr� les crit�res de d�veloppement durable � 85 % des protocoles d’entente et des lettres d’intention entre l’ARC et les autres organisations.

Figure 15 Profil du parc automobile de l’ARC

Figure 5 Profil du parc automobile de l’ARC

Qualit� des donn�es : Bonne

Un appui important de la haute direction et des communications efficaces ont encourag� les employ�s � appliquer des pratiques de d�veloppement durable dans leur travail. Par exemple, 99 % de l’effectif de la direction avaient int�gr� des engagements de d�veloppement durable � ses ententes de rendement. Le Fonds d’innovation du d�veloppement durable, qui appuie les innovations men�es par les employ�s, a permis le financement de six autres initiatives au sein de l’ARC. En modernisant les syst�mes qui favorisent le d�veloppement durable, nous avons am�lior� l’outil Web d’�tablissement des rapports de rendement et avons mis � jour les neuf programmes qui g�rent les principaux secteurs environnementaux de l’ARC (p. ex.  papier et d�chets solides).

Figure 16 Feuilles de papier achet�es par employ� de l’ARC

Figure 6 Feuilles de papier achet�es par employ� de l’ARC
Qualit� des donn�es : Bonne

Pour en savoir plus sur notre rendement en mati�re de d�veloppement durable, visitez le :
www.arc.gc.ca/sdd.

La structure de r�gie de l’Agence

Conseil de direction

Le Conseil est form� de 15 membres, dont quatre, y compris sa pr�sidente et le commissaire et premier dirigeant sont propos�s par le gouvernement f�d�ral. Un directeur est nomm� par chacune des provinces et un directeur est nomm� par les territoires. Les membres du Conseil am�nent une perspective d’affaire du secteur priv� � la direction et dans cet �gard, un programme significatif pour des changements envers l’ARC.

La liste suivante pr�sente les membres du Conseil en date du 31 mars 2010.[Footnote 1] 


Conseil de direction

Structure organisationnelle (depuis mars 2010)


Structure organisationnelle

[Footnote 1] En date du 31 mars 2010, le Conseil comptait deux si�ges vacants.