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Efficacit� |
Indicateur(s) |
Rendement du capital investi (RCI), �vitements de co�ts et gains d'efficacit� op�rationnelle gr�ce � la prestation des services en direct. |
Explication additionnelle de ce qui est mesur� |
Les donn�es qui suivent font seulement �tat des �conomies de co�ts, des �vitements de co�ts et de l'accroissement de la productivit� � ce jour. Il serait n�cessaire d'effectuer une �valuation compl�te des services �volu�s du GED pour fournir des r�sultats concluants. Un grand nombre d'experts croient qu'il faudra du temps pour r�aliser des �conomies de co�ts, parce que les services en direct constituent un nouveau mode de prestation et parce que les minist�res et organismes n'ont pas �limin� les modes de prestation existants. Il faut noter aussi que l'objectif initial du GED n'�tait pas d'�conomiser un montant particulier, mais bien d'am�liorer la qualit� du service et la satisfaction des clients en offrant les services du gouvernement f�d�ral sur Internet. |
Mesure du rendement : �chelle et technique |
Rendement mesur� � l'�chelle des services et � l'�chelle � pangouvernementale � � l'aide d'auto�valuations. |
Outil(s) de base / source(s) de donn�es |
1) Rapports des minist�res sur les plans relatifs au GED et sur les progr�s qu'ils ont r�alis�s � cet �gard : les rapports font �tat de deux genres de donn�es ayant trait � l'efficacit� : la productivit�, les �conomies de co�t et l'�vitement de co�ts d'une part et les r�percussions de la prestation des services en direct sur les demandes de la client�le, les points de pr�sence (services en personne, centres d'appels et centres de traitement du courrier) et les ressources humaines d'autre part. |
R�sum� des r�sultats obtenus en 2003 |
Variables – Presque la moiti� des services du GED r�alisent une certaine combinaison d'�conomies de co�ts et d'�vitements de co�ts; un grand nombre r�investissent les �conomies r�alis�es pour am�liorer la prestation des services. En outre, environ les deux tiers de ces services obtiennent des gains de productivit� en permettant aux employ�s de se concentrer sur des activit�s plus complexes et de plus grande valeur pour r�pondre aux besoins et aux demandes des clients. Toutefois, peu de donn�es montrent que les minist�res et organismes du GED ont �tabli des strat�gies dynamiques de migration des modes de prestation (et des objectifs en mati�re d'adh�sion), le cas �ch�ant, afin d'optimiser les �conomies d�coulant du co�t moindre des transactions en direct. Les �conomies, g�n�ralement peu substantielles, sont surtout attribuables au fait qu'on utilise moins de papier et de ressources pour les frais postaux. En outre, on ne dispose pas de donn�es d�taill�es sur le co�t de revient, les avantages pour les minist�res et les r�percussions sur les divers modes de prestation, qui sont n�cessaires pour g�rer efficacement la prestation des services � l'�chelle de tous les modes de prestation. |
Donn�es brutes |
– 78 % des services transactionnels signalent ces avantages, par rapport � 62 % des services d'information. – 92 % des services transactionnels �volu�s (� niveaux 7 � 9 � du mod�le examin� � la section Masse critique des services) mentionnent ces avantages.
– Pour plus de renseignements, se reporter aux sections Masse critique des services et Adh�sion des clients du pr�sent rapport. �conomies et �vitements de co�ts
– 28 de ces 59 services rapportent des �conomies de co�ts, 12 signalent des �vitements de co�ts, et 19 font �tat des deux. – 16 services font �tat d'un dividende net. – Un grand nombre de services indiquent qu'ils r�investissent les �conomies r�alis�es afin d'am�liorer les services ou qu'ils les utilisent pour compenser les frais techniques et administratifs plus �lev�s.
– Toutefois, d'apr�s ces donn�es, il n'y a pas de corr�lation entre la r�alisation d'�conomies de co�ts (brutes ou nettes) et le degr� d'�volution de la capacit� de transaction des services en direct.
– Parall�lement, seulement 6 des 47 services qui font �tat d'�conomies de co�ts (13 %) indiquent �galement que le nombre de bureaux de services en personne, de centres de traitement du courrier et (ou) de centres d'appels a diminu� en 2003. Productivit�
– Environ les deux tiers de ces services indiquent que l'utilisation accrue du libre-service par les clients explique l'augmentation de la productivit�; environ le tiers pr�cisent que le libre-service permet aux employ�s de consacrer leur temps � d'autres activit�s de plus grande valeur. – 81 % des services qui mentionnent que les demandes des clients deviennent plus complexes font �galement �tat de gains de productivit� accrus.
– 20 de ces 27 services (74 %) sont des services transactionnels. Gestion des modes de prestation de services
– En outre, 10 services (9 minist�res et organismes) indiquent qu'ils vont diminuer le nombre de centres de services en personne d'ici 2005 en raison de la baisse de la demande de services au comptoir.
– Tous les services qui indiquent que le nombre de centres d'appels (et de services en personne) augmentera d'ici 2005 indiquent �galement que les demandes des clients vont devenir plus complexes.
– Certains services transactionnels pr�disent que le nombre d'interactions sur Internet augmentera plus que le calcul des tendances fond� sur les donn�es des ann�es ant�rieures le laisse croire; de fa�on correspondante, ils surestiment les diminutions futures du nombre de demandes de services en personne (et au t�l�phone - agent). – Certains services d'information pr�disent en outre que le nombre d'interactions par l'entremise d'Internet n'augmentera pas autant que le calcul des tendances fond� sur les donn�es des ann�es ant�rieures le laisse croire. – On peut d�duire de ces donn�es que les services transactionnels devront mettre en œuvre des strat�gies plus dynamiques de migration des modes de prestation de services, afin d'encourager les clients � utiliser les modes de libre-service, et que les services d'information devront peut-�tre s'assurer qu'ils sont capables de traiter le nombre accru de demandes sur Internet (il faut noter cependant que ces constatations d�coulent peut-�tre en partie du fait que l'�chantillon d'analyse �tait plus petit – seulement les services fournissant des pr�dictions pour 2005 ont �t� utilis�s � des fins de comparaison). – Des r�sultats plus d�taill�s figurent � la section Adh�sion des clients du pr�sent rapport |
Plans d'am�lioration |
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