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ARCHIVÉ - Mesure du rendement de l'Initiative du Gouvernement en direct

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Rapports des institutions sur la mise en œuvre de la NSI – Le 31 décembre 2002 était la date butoir pour la mise en œuvre de la NSI. En 2003, les institutions fédérales ont utilisé un outil d'autoévaluation pour examiner les progrès accomplis à ce chapitre, déterminer les obstacles restants et fixer une date cible pour en achever la mise en œuvre (s'il y a lieu). Leurs rapports sommaires sur certains éléments de la NSI (notamment ceux de la navigation, de la présentation, de l'accessibilité, des langues officielles et des avis importants) sont particulièrement utiles aux fins du présent exercice de mesure du rendement. Quant à la méthodologie ou l'approche adoptée, chaque institution a évalué tous ses sites Web, ou un échantillon représentatif, par rapport aux diverses normes décrites dans le guide d'autoévaluation de la NSI. Pour chacune des normes de la NSI, les institutions ont attribué une note sur 100 d'après leur évaluation des progrès réalisés jusque là (par exemple, pour ce qui est d'afficher leur contenu Web dans le langage le plus clair et le plus simple possible) ou du nombre de leurs pages ou documents Web qui s'étaient révélés conformes (p. ex., ceux qui avaient HTML comme format principal). Les notes des institutions pour chacun des éléments de la NSI représentent simplement une moyenne des normes qui s'y rattachent. Les notes globales, c'est-à-dire pour « l'ensemble du gouvernement » mentionnées au chapitre quatre du présent rapport sont calculées de la même façon; elles représentent les progrès à ce jour des institutions fédérales assujetties à la NSI et non pas la proportion des ministères et organismes (ou des sites Web) qui sont entièrement conformes aux normes. (Nota. – Étant donné que l'on ajoute ou modifie constamment des renseignements sur les sites Web, il sera important de suivre régulièrement les progrès des ministères et organismes à l'égard de la NSI.)

Commentaires des citoyens et des clients – Les ministères et organismes qui participent à la création de passerelles et de portails Internet intégrés évaluent régulièrement leurs travaux à l'aide de groupes de discussions, de sondages et d'autres recherches axées sur les citoyens et les clients. Ainsi, 26 études de ce genre ont été menées en 2003. Par le biais du Panel de recherche sur le GED qu'il a mis sur pied, le SCT recueille en outre de l'information sur un éventail de sujets, comme la facilité d'accès aux sites et d'exploration de ces derniers, la clarté du langage ainsi que les perceptions à l'égard de la protection des renseignements personnels et de la sécurité. Le SCT suit également de près les recherches sur l'opinion publique relatives à la PSE qui sont menées par d'autres organisations gouvernementales et des firmes de consultants du secteur privé, et y prend part lorsque cela est pertinent. Parmi ces recherches, citons l'Enquête sur l'utilisation d'Internet par les ménages de Statistique Canada, les études sur l'autoroute de l'information des Associés de recherche EKOS et les rapports Les citoyens d'abord produits par l'Institut des services axés sur les citoyens.

Autres sources de données – En plus des sources mentionnées ci-dessus, le système de mesure du GED utilise des données provenant d'autres sources, par exemple :

  • des paramètres du Web;
  • les rapports annuels de la Commissaire aux langues officielles et du Commissaire à la protection de la vie privée;
  • des sources externes, comme l'Enquête sur le commerce électronique et la technologie de Statistique Canada, le e-Readiness Index (l'indice d'état d'avancement des services électroniques) du Economist Intelligence Unit et le Networked Readiness Index (indice de l'état de préparation relatif au réseautage) du Forum économique mondial;
  • des comparaisons internationales entre diverses initiatives de cybergouvernement réalisées par des organismes comme le Centre for Public Policy de la Brown University, des organismes non gouvernementaux comme la section d'économie et d'administration publique des Nations Unies et de sociétés privées de consultants, comme Accenture.