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Ministères responsables : Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC)
Activité de programme du ministère responsable : L’infrastructure communautaire
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : Le 1er avril 2008
Date de clôture de l'initiative horizontale : Le 31 mars 2010
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) : Le gouvernement fédéral a alloué à cette initiative 735 639 806 dollars, répartis sur deux ans. De ce montant, 202 500 000 dollars par année seront financés à même les niveaux de référence de 2008-2009 et de 2009-2010. Dans le Budget de 2008, le cadre financier prévoyait également des investissements de 165 318 143 dollars en 2008-2009 et de 165 321 663 dollars en 2009-2010 pour couvrir notamment les régimes d’avantages sociaux et le coût des locaux fournis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada.
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Le Plan d’action a pour principal objectif d’aider les Premières nations dans les réserves à avoir accès à des services d’approvisionnement en eau potable et de traitement des eaux usées d’une qualité comparable à celle dont se prévalent les autres collectivités canadiennes de taille et de situation semblables. Le Plan d’action se concentre sur cinq secteurs prioritaires : l’infrastructure; les pratiques d’exploitation et d’entretien; la formation; la surveillance et la sensibilisation du public; les normes.
Dans le but d’atteindre ces objectifs, on a apporté des améliorations au programme, notamment en entreprenant une évaluation technique de tous les réseaux qui existent à l’échelle nationale, en procédant à des consultations sur le nouveau cadre législatif fédéral relatif à l’eau potable et en investissant dans le Programme de formation itinérante. On a également modifié les politiques régissant les petits systèmes d’alimentation en eau et les fosses septiques, on a conclu des ententes sur la prestation de services d’approvisionnement en eau et de traitement des eaux usées, on a investi dans un programme national de gestion des eaux usées et, enfin, on a mis en place des procédures afin de mieux détecter les maladies d’origine hydrique.
En somme, la mise en œuvre du Plan d’action aide les Premières nations à avoir accès à un approvisionnement en eau potable et permet du coup au gouvernement fédéral de s’acquitter des engagements qu’il a pris dans le Budget de 2008 et dans le discours du Trône de 2007.
Le Plan d’action contribue également à l’atteinte du résultat stratégique d’AINC portant sur l’économie, notamment en aidant les Autochtones et les résidants du Nord à prendre une part plus active dans l’économie. De même, il permet d’obtenir « de meilleurs résultats en matière de santé et [de réduire les] inégalités entre l’état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens », un des résultats stratégiques établis par Santé Canada dans le cadre de ses programmes et services de santé destinés aux Premières nations et aux Inuit.
Pour d’autres renseignements sur le sujet, veuillez consulter les documents suivants :
Affaires indiennes et du Nord Canada, Plan d’action pour l’approvisionnement en eau potable et le traitement des eaux usées des Premières nations
Gouvernement du Canada, Le budget de 2008 : Un leadership responsable, Chapitre 4 — Leadership au pays et à l’étranger
Santé Canada, Rapport sur les plans et les priorités de 2007-2008, Opérations régionales
Résultats partagés :
Le Plan d’action vise quatre grands objectifs :
Structures de gouvernance : Le Plan d’action pour l’approvisionnement en eau potable et le traitement des eaux usées des Premières nations succède à la Stratégie de gestion de l’eau des Premières nations (2003-2008) et au Plan d’action pour la gestion de l’eau potable dans les collectivités des Premières nations (2006-2008). En 2005, AINC et Santé Canada ont conclu un protocole d’entente par lequel ils s’engageaient à échanger toute information pertinente relative à l’eau potable. Par conséquent, AINC informe Santé Canada sur les investissements proposés dans les installations d’aqueduc et d’égouts, sur les inspections menées chaque année dans les usines de traitement de l’eau et des eaux usées et sur les mesures prises à la suite d’un avis concernant la qualité de l’eau. En retour, Santé Canada transmet des renseignements sur les échantillons d’eau qui ne respectent pas les Recommandations pour la qualité de l’eau potable au Canada et sur les raisons justifiant l’émission d’un avis concernant la qualité de l’eau. Sur le plan pratique, on a créé le Comité de gestion stratégique de l’eau dans les réserves, qui regroupe des représentants de Santé Canada, d’AINC, d’Environnement Canada et de l’Assemblée des Premières Nations. Ce comité offre une tribune privilégiée pour discuter, échanger de l’information et planifier les travaux collectifs. Même s’il n’a pas de pouvoir de décision comme tel, le Comité de gestion stratégique s’occupe de coordonner la mise en œuvre du Plan d’action et d’offrir aux collectivités des Premières nations un approvisionnement fiable en eau potable.
Les directeurs généraux et les sous-ministres adjoints d’AINC et de Santé Canada se réunissent, au besoin, pour discuter ou pour coordonner les activités à l’appui du Plan d’action.
Partenaires fédéraux | Activités de programme des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
Affaires indiennes et du Nord Canada | L’infrastructure communautaire | Programme d’immobilisations et d’entretien | 671,0 | 335,3 | Augmenter à 85 % le pourcentage d’installations d’aqueduc et d’égouts présentant de faibles risques ou des risques modérés |
Santé Canada | Santé des Premières nations et des Inuits | Programme sur la qualité de l’eau potable (fonds obtenus dans le cadre du Plan d’action) | 54,6 | 27,3 | Augmenter le nombre de collectivités au sud du 60e parallèle qui ont maintenu ou augmenté leur capacité à réduire les risques associés à l’approvisionnement en eau et à la qualité de l’eau potable et à surveiller la qualité de leur eau, conformément aux Recommandations pour la qualité de l’eau potable au Canada |
Programme sur la qualité de l’eau potable (budget des services votés) | 10,0 | 5,0 | |||
Total | 735,6 | 367,6 |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : sans objet
Personne-ressource :
Sébastien Labelle
Directeur des politiques
Direction générale des infrastructures communautaires
Affaires indiennes et du Nord Canada
10, rue Wellington
Gatineau (Québec) K1A 0H4
Téléphone : 819-994-6466
Télécopieur : 819-953-3321
Ministères responsables : Affaires du Nord, Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC)
Activité de programme du ministère responsable : Des collectivités nordiques en santé
Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : Le 1er avril 2007
Date de clôture de l’initiative horizontale : Le 31 mars 2012
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) : 150 millions de dollars sur une période de cinq ans
Description de l’initiative horizontale (y compris de l’accord de financement) : Le gouvernement du Canada a investi 150 millions de dollars sur une période de cinq ans afin d’appuyer la participation du Canada à l’Année polaire internationale. Ces fonds ont servi à mettre en œuvre un programme de recherche novateur sur l’Arctique couvrant plusieurs disciplines. AINC dirige le Programme du gouvernement du Canada pour l’Année polaire internationale en collaboration avec sept autres ministères et organismes : Santé Canada, Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, Ressources naturelles Canada, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (au nom d’Industrie Canada), les Instituts de recherche en santé du Canada et l’Agence canadienne d’inspection des aliments.
En participant activement à l’Année polaire internationale de 2007-2009 et en y investissant des sommes appréciables, le gouvernement du Canada s’acquitte du mandat administratif qui lui incombe dans l’Arctique canadien. Le Programme du gouvernement du Canada pour l’Année polaire internationale fait participer les chercheurs canadiens et les collectivités du Nord à l’élaboration et à l’exécution d’activités diversifiées, comme la recherche, la formation et le perfectionnement des compétences.
En particulier, le Programme propose les activités suivantes :
Les ministères et organismes fédéraux reçoivent des fonds en fonction de leur participation aux divers aspects du programme, que ce soit la réalisation de projets en sciences et en recherche, le soutien logistique, la planification des mesures d’urgence, les communications, la sensibilisation du public, la formation ou le perfectionnement des compétences. Les fonds sont versés aux quatre bureaux de coordination dans le Nord, qui assurent la liaison avec les chercheurs et les collectivités nordiques pour tout ce qui touche à l’Année polaire internationale. Ces bureaux de coordination forment un réseau régional qui appuie les divers aspects du Programme du gouvernement du Canada pour l’Année polaire internationale.
Résultats partagés :
Structures de gouvernance :
Le Programme du gouvernement du Canada pour l’Année polaire internationale travaille de concert avec le Comité national canadien et le Secrétariat canadien de l’Année polaire internationale; ces deux organismes assurent la liaison avec le Comité mixte international et les comités des autres pays participants.
Partenaires fédéraux | Activités de programme des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
Affaires indiennes et du Nord Canada | Des collectivités nordiques en santé | Programme du gouvernement du Canada pour l’Année polaire internationale | 59 694 657 $ | 16 896 000 $ | Améliorer l’infrastructure de recherche dans le Nord et celle des organisations de recherche et sauvetage Faire participer davantage les résidants du Nord aux activités scientifiques entreprises dans l’Arctique |
Santé Canada | Hygiène de l’environnement durable | 158 234 $ | 15 009 $ | (Somme insuffisante pour établir des objectifs à atteindre) | |
Environnement Canada | La biodiversité est conservée et protégée Meilleures connaissances et renseignements sur les conditions météorologiques et environnementales afin d’exercer une influence sur la prise de décisions Les Canadiens sont informés sur les prévisions et les conditions météorologiques courantes et y réagissent bien |
11 169 875 $ | 1 893 101 $ | Resserrer les liens entre les nations circumpolaires, renforcer les partenariats et protéger l’environnement Améliorer la capacité à prévoir les conditions météorologiques et environnementales dans les régions polaires |
|
Pêches et Océans Canada | Climat des océans Écosystèmes aquatiques |
31 542 477 $ | 1 970 093 $ | Mieux connaître les effets du changement climatique sur les écosystèmes aquatiques et les espèces exploitables de l’Arctique et être mieux informé sur leur capacité de s’adapter à ces changements Acquérir des connaissances de base sur les zones océaniques à la limite du territoire canadien, tant au point de vue physique qu’au point de vue biologique, et délimiter les principales zones et frontières afin de permettre des comparaisons temporelles et d’orienter les futurs travaux de recherche et de surveillance |
|
Ressources naturelles Canada | S’adapter au changement climatique et gestion du risque lié aux dangers | 3 063 000 $ | 532 770 $ | Évaluer les effets du changement climatique sur la masse terrestre et les régions côtières du Canada et élaborer des stratégies afin de s’adapter aux changements | |
Gestion du risque lié aux écosystèmes | Intégrer au processus décisionnel le savoir sur les forêts canadiennes | ||||
Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada | 31 290 669 $ | 5 213 952 $ | Acquérir de nouvelles connaissances sur l’environnement polaire et élaborer des stratégies afin de s’adapter aux changements observés dans ces régions | ||
Instituts de recherche en santé du Canada | Recherche stratégique prioritaire | 9 747 988 $ | 1 403 376 $ | Établir et soutenir des collectivités nordiques en santé et capables d’adaptation Évaluer la vulnérabilité et la capacité d’adaptation des collectivités et des écosystèmes |
|
Agence canadienne d’inspection des aliments | Risques liés à la salubrité des aliments et à la nutrition | 414 500 $ | 11 250 $ | Améliorer les services de laboratoire dans les collectivités de l’Arctique en offrant notamment un soutien technique et une formation sur deux bactéries que l’on trouve dans la viande et qui sont susceptibles de menacer la santé publique | |
Agence Parcs Canada | Conserver les ressources patrimoniales | 1 350 000 $ | 385 000 $ | Faire l’inventaire de tous les écosystèmes terrestres qui composent le Parc national du Canada Wapusk Analyser les données hiérarchiques recueillies en eau douce dans le Parc national du Canada Sirmilik Mieux faire connaître les activités entreprises sous le mandat de l’Année polaire internationale |
|
Agence de la santé publique du Canada | 617 000 $ | 95 000 $ | Acquérir des connaissances générales essentielles pour réduire les inégalités observées au sein des populations autochtones du Nord sur le plan de la santé | ||
Agriculture et Agroalimentaire Canada | 156 400 $ | 0 $ | Non déterminé | ||
Musée canadien des civilisations | 795 200 $ | 91 800 $ | Acquérir de nouvelles connaissances sur les rapports qu’entretenaient les Inuit, leurs prédécesseurs tuniit (culture de Dorset) et les premiers Européens | ||
Total | 150 000 000 $ | 28 507 351 $ |
Personne-ressource :
Kathleen Fischer
Directrice exécutive
Bureau du Programme canadien de l’Année polaire internationale
Affaires indiennes et du Nord Canada
10, rue Wellington, pièce 745
Gatineau (Québec) K1A 0H4
Téléphone : 819-934-6085
Télécopieur : 819-934-0584
fischerk@ainc-inac.gc.ca
Ministères responsables : Secteur de la résolution et des affaires individuelles, Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC)
Activité de programme du ministère responsable : Le règlement des revendications
Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : Novembre 2003
Date de clôture de l’initiative horizontale : Le 31 mars 2013
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) : 112,038 millions de dollars
Description de l’initiative horizontale (y compris de l’accord de financement) : Le Programme de soutien en santé, une composante de la Convention de règlement relative aux pensionnats indiens, vise à s’assurer que les anciens élèves des pensionnats indiens et leur famille immédiate ont accès à des services de soutien adéquats afin qu’ils puissent aborder sans crainte tous les problèmes de santé mentale pouvant résulter du fait d’avoir raconté les sévices dont ils ont été victimes pendant leur enfance. De façon générale, le Programme offre aux personnes qui y sont admissibles la possibilité d’obtenir des services de soutien affectif offerts par des travailleurs en santé communautaire, des services de soutien culturel fournis par des aînés et un allègement des frais de déplacement qu’ils ont dû assumer pour accéder à des services de consultation professionnelle ainsi qu’aux services d’un guérisseur traditionnel ou d’un aîné.
Résultats partagés : Favoriser la guérison des anciens élèves des pensionnats indiens et de leur famille tout au long du processus.
Structures de gouvernance : Le Secteur de la résolution et des affaires individuelles à AINC supervise la mise en œuvre générale de la Convention de règlement relative aux pensionnats indiens et travaille en partenariat avec Santé Canada afin de coordonner et de fournir des services de soutien aux anciens élèves des pensionnats. Les deux ministères mettent en œuvre, chacun de leur côté, certaines composantes du Programme de soutien en santé — Résolution des questions des pensionnats indiens.
Voici les responsabilités qui incombent au Ministère :
Pour sa part, Santé Canada offre un soutien culturel, professionnel et paraprofessionnel aux membres, aux familles et aux collectivités et leur fournit un appui financier afin de les aider à couvrir leurs frais de transport, et ce, à toutes les étapes du processus, que ce soit dans le cadre des activités commémoratives et des travaux de la Commission de vérité et de réconciliation, lors des audiences sur le Processus d’évaluation indépendant ou encore avant, pendant ou après la présentation d’une demande de paiement d’expérience commune.
Partenaires fédéraux | Activités de programme des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
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Santé Canada | Santé mentale et toxicomanie (Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits) | Programme de soutien en santé — Résolution des questions des pensionnats indiens | 112 038 $ | 22 451 $ | Offrir un soutien dans le cadre des audiences sur le Processus d’évaluation indépendant, des activités commémoratives et des travaux de la Commission de vérité et de réconciliation Augmenter le nombre d’aînés disposés à offrir un soutien culturel Augmenter le nombre de travailleurs en santé communautaire disposés à offrir un soutien affectif |
Total | 112 038 $ | 22 451 $ |
Personne-ressource à Santé Canada
Kari Nisbet
Gestionnaire
Programme de soutien en santé — Résolution des questions des pensionnats indiens
Personne-ressource à AINC
Patricia Power
Directrice intérimaire
Secteur de la résolution et des affaires individuelles
Planification politique et stratégique
Affaires indiennes et du Nord Canada
90, rue Sparks, pièce 341
Ottawa (Ontario) K1A 0H4
Téléphone : 613-947-4146
ppower@ainc-inac.gc.ca
Ministères responsables : Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC), principal responsable, Santé Canada et la Société canadienne d’hypothèques et de logement
Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : Juin 2001
Date de clôture de l’initiative horizontale : Mars 2010
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) : En juin 2001, le Cabinet a approuvé la Stratégie globale de guérison des Innus du Labrador et y a affecté 81 millions de dollars sur une période de trois ans; ces fonds ont été répartis entre AINC (59 millions de dollars), Santé Canada (20 millions de dollars) et le Solliciteur général (2 millions de dollars). Au départ, la Stratégie était censée prendre fin en mars 2004, mais elle a été prolongée d’une année. En conséquence, AINC a reçu un supplément de 15 millions de dollars afin d’offrir les programmes et les services essentiels, tandis que les 5,5 millions de dollars versés à Santé Canada ont servi à poursuivre le travail amorcé. En décembre 2004, le Cabinet a approuvé une nouvelle stratégie quinquennale mettant à contribution les divers partenaires d’AINC et de Santé Canada. Ainsi, dans son budget de 2005, le gouvernement a alloué 102,5 millions de dollars, répartis sur cinq ans (de 2005–2006 à 2009–2010), afin de donner un second souffle à la Stratégie.
Description de l’initiative horizontale (y compris de l’accord de financement) : AINC, Santé Canada et l’ancien Solliciteur général ont mis sur pied la Stratégie globale de guérison des Innus du Labrador dans le but de résoudre le problème d’inhalation de vapeurs d’essence auquel ont fait face les Innus du Labrador en 2000. La Stratégie avait donc pour but de régler les graves problèmes de santé, de sécurité et de société qui sévissaient au sein des collectivités de Davis Inlet et de Sheshatshiu. Des progrès importants ont été réalisés depuis, mais la situation demeure problématique. Pour y remédier, AINC et Santé Canada ont demandé au Cabinet l’autorisation de poursuivre la Stratégie et d’obtenir le financement requis. L’approche qu’ils ont proposée pour répondre aux besoins des Autochtones au Canada reflétait les priorités énoncées dans le discours du Trône d’octobre 2004.
Résultats partagés : En collaboration avec les Innus, les partenaires se sont entendus sur une approche qui se poursuivra pendant les cinq années du renouvellement de la Stratégie. De façon plus précise, le gouvernement fédéral, la Province et les Innus travailleront à assurer la guérison de la communauté innue; à parfaire la capacité des Innus à gérer et à offrir certains programmes gouvernementaux; à conclure une entente de principe sur le règlement des revendications territoriales; à aborder les questions de violence physique, sexuelle et psychologique; à améliorer la santé, l’éducation, le bien-être social et familial, le développement économique et communautaire, la sécurité publique et la gouvernance au sein de la Première nation; à assurer la gestion efficace et cohérente de la Stratégie.
Structures de gouvernance : La table de discussion principale est présidée par le négociateur en chef du gouvernement fédéral chargé du dossier des Innus du Labrador; elle regroupe les dirigeants des Innus du Labrador, les représentants de la Province de Terre-Neuve–et–Labrador et les divers partenaires fédéraux engagés dans la Stratégie.
On a également confié à des sous-comités tripartites la gestion de différents dossiers : la création d’une réserve, l’éducation, la construction d’une école à Sheshatshiu, l’aide au revenu, les services d’aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille, le développement économique, la santé et l’évaluation.
Partenaires fédéraux | Activités de programme des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
Affaires indiennes et du Nord Canada | L’infrastructure communautaire | Plans de l’école de Sheshatshiu | 0,1 | 0 | Ouvrir l’école de Sheshatshiu en septembre 2009 |
L’éducation | Éducation | 14,8 | 6,8 | Créer un conseil scolaire innu et lui confier la gestion des programmes d’éducation | |
Le développement social | Aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille | 27,9 | 9,1 | Négocier une entente tripartite sur les services à l’enfance, à la jeunesse et à la famille qui mettrait davantage l’accent sur la prévention | |
Le développement social | Aide au revenu | 6,1 | 1,5 | Entamer des négociations sur le transfert des programmes d’aide au revenu aux collectivités innues | |
L’infrastructure communautaire | Électrification à Natuashish | 6,0 | 3,6 | Réaliser des travaux d’électrification à Natuashish | |
L’infrastructure communautaire | Entente sur le partage des coûts d’exploitation de l’aéroport à Natuashish | 0,5 | 0,1 | Conclure une entente sur le partage des coûts d’exploitation de l’aéroport de Natuashish avec la Province de Terre-Neuve–et–Labrador | |
L’infrastructure communautaire | Capacité à exploiter et à entretenir les installations | 3,6 | 0,45 | Confier l’exploitation des installations à un gestionnaire immobilier | |
L’infrastructure communautaire | Capacité à gérer le parc de logements | 0,6 | 0 | Non déterminé | |
La certitude en matière de titres fonciers et d’accès aux ressources | Capacité à offrir des services fonciers et fiduciaires | 1,4 | 0,12 | Améliorer la capacité à offrir des services fonciers et fiduciaires grâce à des programmes de formation | |
La certitude en matière de titres fonciers et d’accès aux ressources | Création de la réserve | 0,2 | 0 | Créer la réserve | |
La gouvernance et les institutions gouvernementales | Planification du transfert des responsabilités et transition | 0,75 | 0,15 | Organiser des rencontres entre le groupe de travail sur l’éducation et le comité tripartite sur les services d’aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille | |
L’éducation | Nouveau sentier (pour les collectivités éloignées) | 1,0 | 0,2 | Organiser des excursions éducatives sur les terres innues afin de permettre aux membres des collectivités de vivre à la manière traditionnelle et ainsi de favoriser leur guérison | |
L’éducation | Stratégies d’apprentissage | 2,2 | 0,5 | Mettre le comité mixte de transition à la disposition du conseil scolaire innu Engager un directeur de l’éducation qui supervisera le transfert des responsabilités et la mise en œuvre des 61 recommandations du rapport Philpott |
|
La gouvernance et les institutions gouvernementales | Planification et consultation | 0,5 | 0,1 | Non déterminé | |
Le développement social | Refuges | 1,4 | 0,4 | Permettre l’accès en tout temps au refuge pour jeunes de Sheshatshiu et au refuge à double vocation de Natuashish | |
Santé Canada | Santé mentale et toxicomanie | 31,75 | 2,7 | Poursuivre les thérapies au centre de traitement familial de Sheshatshiu et au pavillon de ressourcement de Natuashish | |
Santé de la mère et de l’enfant | 8,1 | 1,2 | Continuer d’offrir des programmes de promotion de la santé au centre de ressources familiales de Sheshatshiu et au centre du bien-être de Natuashish | ||
Planification en santé communautaire | 3,99 | 0,351 | S’appuyer sur les résultats de l’évaluation pour élaborer les nouveaux programmes de santé dans les deux collectivités | ||
Gestion et soutien | 6,4 | 0,718 | Renouveler le mandat du Secrétariat de la santé du Labrador jusqu’à ce que les employés locaux aient acquis les compétences requises pour fournir de façon autonome les programmes et les services de santé Assurer une coordination plus étroite entre les organismes de santé communautaires et les régies de la santé grâce à des projets tripartites misant sur l’intégration et l’adaptation |
||
Refuges | 1,65 | 0,4 | Continuer d’offrir des programmes, d’élaborer des politiques et de mettre sur pied des activités | ||
Frais généraux de Santé Canada | 1,18 | 0,137 | Non déterminé | ||
Société canadienne d’hypothèques et de logement | Refuges | 0,95 | 0 | Terminer la construction des refuges |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Resserrer les liens de collaboration entre les parties.
Personne-ressource :
Stelios Loizides
Direction générale de la politique sociale et des programmes
Affaires indiennes et du Nord Canada
10, rue Wellington
Gatineau (Québec) K1A 0H4
819-997-6717
Ministères responsables : Affaires indiennes et du Nord Canada (Bureau de l’interlocuteur fédéral auprès des Métis et des Indiens non inscrits)
Activité de programme du ministère responsable : Stratégie pour les Autochtones vivant en milieu urbain
Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : 2007
Date de clôture de l’initiative horizontale : 2012
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) : 68,5 millions de dollars
Description de l’initiative horizontale (y compris de l’accord de financement) :
Élaborée en 1997, la Stratégie pour les Autochtones vivant en milieu urbain a pour objectif de répondre aux besoins des Autochtones vivant dans les centres urbains. Pour ce faire, le gouvernement du Canada s’efforce d’établir des partenariats avec les divers ordres de gouvernement, les organisations communautaires et les Autochtones dans le but d’appuyer les projets qui tiennent compte des priorités locales. En 2007, il a renouvelé la Stratégie en investissant 68,5 millions de dollars sur une période de cinq ans en vue de combler les besoins des Autochtones vivant dans les principaux centres urbains.
À l’heure actuelle, la Stratégie permet d’améliorer la coordination entre les ministères et les organismes fédéraux dans le but de tirer le maximum des investissements du gouvernement du Canada. Le Bureau de l’interlocuteur fédéral s’assure donc que les priorités, les politiques et les dépenses qui profitent aux Autochtones des grands centres urbains contribuent parallèlement à l’avancement des objectifs du gouvernement du Canada. Ainsi, la Stratégie lui permet de résoudre les problèmes communautaires tout en tirant parti des possibilités locales et en harmonisant les programmes et les objectifs stratégiques des intervenants fédéraux, provinciaux, municipaux, autochtones et privés.
Le Bureau de l’interlocuteur fédéral transfère les fonds aux bénéficiaires admissibles grâce à une entente globale de financement, annuelle ou pluriannuelle. Il peut également conclure des ententes financières sur plusieurs années, conformément à ce qui est prévu dans la Politique sur les paiements de transfert du Conseil du Trésor et dans les conditions de renouvellement et de renforcement de la Stratégie. Toutes les composantes de la Stratégie sont admissibles au programme de contribution.
Résultats partagés : Les améliorations apportées à la nouvelle Stratégie ont pour but d’aider les Autochtones vivant en milieu urbain à affirmer leur autonomie et à s’ouvrir à de nouveaux choix de vie. En effet, ce programme est directement lié au résultat stratégique du Bureau de l’interlocuteur fédéral, c’est-à-dire assurer le bien-être socioéconomique des Métis, des Indiens non inscrits et des Autochtones vivant en milieu urbain.
De façon plus précise, le Bureau de l’interlocuteur fédéral s’est fixé les objectifs suivants :
Pour atteindre ces objectifs, la Stratégie prévoit des investissements dans trois domaines prioritaires :
La réalisation des objectifs de la Stratégie permettra au gouvernement du Canada d’utiliser au mieux les fonds consacrés aux Autochtones en milieu urbain au profit des programmes provinciaux et municipaux.
Structures de gouvernance : Les collectivités visées par la Stratégie ont toutes mis sur pied un comité communautaire, qui travaille en partenariat avec le secteur privé et tous les ordres de gouvernement afin de résoudre, par la planification, la prise de décisions financières et l’élaboration de solutions, les problèmes qui se posent aux Autochtones en milieu urbain. Chaque comité communautaire est formé de représentants autochtones œuvrant dans différents secteurs d’activité de façon à s’assurer que les décisions sont prises en fonction des principales préoccupations et priorités locales.
Les projets entrepris dans le cadre de la Stratégie sont gérés et exécutés selon une approche locale, faisant appel soit au modèle d’entité communautaire, soit au modèle d’exécution partagée. Dans les deux cas, les propositions sont évaluées par différents ministères fédéraux. Ceux qui estiment que le projet cadre bien avec leur mandat ont le choix entre les deux options suivantes : 1) verser les fonds à Affaires indiennes et du Nord Canada ou à un autre ministère responsable, conformément aux modalités horizontales de la Stratégie, ce qui exige la signature d’un protocole d’entente et d’une lettre d’entente interministérielle; 2) négocier une entente distincte et financer directement l’organisation chargée de réaliser le projet.
Pour maximiser les investissements fédéraux, la Stratégie permet une homogénéisation des programmes d’application générale et des programmes autochtones offerts par les ministères signataires. D’ailleurs, cette pratique, considérée comme un modèle de coopération fédérale, a permis une plus grande compatibilité avec les programmes provinciaux et municipaux. Pour sa part, le Caucus national, un groupe consultatif formé des représentants de chacun des comités communautaires, s’occupe de fournir une perspective nationale aux responsables de la Stratégie.
Partenaires fédéraux | Activités de programme des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
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Bureau de l’interlocuteur fédéral auprès des Métis et des Indiens non inscrits | Stratégie pour les Autochtones vivant en milieu urbain | 68 500 000 $ | 13 567 000 $ | Investir de façon stratégique dans trois domaines prioritaires : améliorer les habiletés fondamentales; encourager la formation professionnelle, l’acquisition de nouvelles compétences et l’entrepreneuriat; venir en aide aux femmes, aux enfants et aux familles autochtones. |
Durant les cinq années de validité des autorisations, les fonds attribués à chaque ministère fédéral varieront d’année en année en fonction du financement disponible et des priorités et projets choisis par la collectivité. | ||||
Ressources humaines et Développement des compétences Canada | Stratégie de développement des ressources humaines autochtones | 137 072 $ | Réaliser trois projets collectifs, qui généreront les retombées suivantes : à Vancouver, 24 Autochtones recevront une formation professionnelle ou acquerront de nouvelles compétences, qui leur permettront par la suite d’occuper un emploi spécialisé ou de poursuivre leur apprentissage; un service de promotion de l’emploi sera mis sur pied; le degré de participation des Autochtones à ce nouveau service sera précisé dans un rapport de résultats; à Prince George, 30 Autochtones auront la possibilité de parfaire leurs habiletés fondamentales et participeront à une formation professionnelle ou à un programme de perfectionnement des compétences. |
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Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance | 1 109 677 $ | Réaliser huit projets collectifs, qui généreront les retombées suivantes : au total, 50 Autochtones participeront à des activités culturelles et à des projets de communication; on présentera un compte rendu des avantages et des résultats que ces projets auront engendrés pour les femmes autochtones; à Winnipeg, 10 Autochtones itinérants se verront offrir un logement abordable; de même, on établira ou renforcera 3 partenariats avec les gouvernements locaux dans le but d’améliorer les programmes et les services; au total, 104 Autochtones participeront à des activités culturelles et à des projets de communication et on offrira à 7 Autochtones des services d’aide à l’emploi; on ajoutera un volet autochtone à un programme de dynamique de la vie et on donnera la possibilité à 5 Autochtones de participer à un programme de réunification familiale; 75 Autochtones auront la chance de parfaire leurs habiletés fondamentales; 12 Autochtones recevront une formation professionnelle ou acquerront de nouvelles compétences; de même, on établira ou renforcera 2 partenariats à long terme avec des organisations représentant les Autochtones en milieu urbain; on offrira des programmes et des services à 40 Autochtones vivant en milieu urbain, et tout particulièrement aux femmes et aux enfants; 9 360 Autochtones auront la possibilité de parfaire leurs habiletés fondamentales et de participer à des mesures de réduction du risque.[1] |
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Partenariat pour les compétences et l’emploi des Autochtones | 328 691 $ | Réaliser deux projets collectifs, qui généreront les retombées suivantes : 12 Autochtones auront la chance de parfaire leurs habiletés fondamentales et pourront ainsi se trouver un emploi; 12 Autochtones participeront à un programme de dynamique de la vie et 10 autres, à un programme d’aide à l’emploi. |
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Direction des affaires autochtones | 15 000 $ | Réaliser deux projets collectifs, qui généreront les retombées suivantes : à l’occasion d’une conférence, 250 Autochtones participeront à des projets axés sur le bien-être; lors d’un forum international sur les questions autochtones, le Pacific Business and Law Institute examinera les mesures mises de l’avant pour promouvoir la culture et les traditions autochtones partout dans le monde.[2] |
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Santé Canada | Programme d’aide préscolaire aux Autochtones dans les réserves | 36 278 $ | Réaliser un projet collectif, qui générera les retombées suivantes : 100 Autochtones itinérants se verront offrir un logement abordable et 300 Autochtones participeront à des projets axés sur le bien-être. |
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Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits | 30 000 $ | Réaliser un projet collectif, qui générera les retombées suivantes : à l’occasion de la 9e conférence nationale en matière de leadership pour les dirigeantes autochtones, 250 Autochtones participeront à des projets axés sur le bien-être. |
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Patrimoine canadien | Initiative des centres urbains polyvalents pour les jeunes Autochtones | 338 943 $ | Réaliser sept projets collectifs, qui généreront les retombées suivantes : 505 Autochtones recevront une formation professionnelle ou acquerront de nouvelles compétences; à Calgary, 3 000 personnes participeront à des activités culturelles et à des projets de communication; 20 Autochtones auront la chance de parfaire leurs habiletés fondamentales; des fonds seront investis afin d’améliorer 4 programmes de promotion de l’emploi; à Prince Albert, 120 personnes participeront à des activités culturelles, à des projets de communication ou à des mesures de réduction du risque. |
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Service Canada | Sensibilisation jeunesse | 76 763 $ | Réaliser deux projets collectifs, qui généreront les retombées suivantes : on offrira à 42 Autochtones des services d’aide à l’emploi; 60 Autochtones en milieu urbain seront initiés à des mesures de réduction du risque. |
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Emplois d’été Canada Programme fédéral d’expérience de travail étudiant |
22 672 $ | Réaliser deux projets collectifs, qui généreront les retombées suivantes : 152 Autochtones auront la chance de parfaire leurs habiletés fondamentales et on établira ou renforcera 2 partenariats à long terme avec des organisations représentant les Autochtones en milieu urbain; à Saskatoon, 200 Autochtones participeront à des activités culturelles et à des projets de communication. |
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Condition féminine Canada | Programme de promotion de la femme | 50 000 $ | Réaliser un projet collectif, qui générera les retombées suivantes : 200 Autochtones seront initiés à des mesures de réduction du risque; un rapport sur les pratiques exemplaires sera ensuite produit. |
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Sécurité publique Canada | Stratégie nationale pour la prévention du crime | 733 136 $ | Réaliser, de concert avec le Centre national de prévention du crime, trois projets collectifs, qui généreront les retombées suivantes : 48 élèves autochtones poursuivront leurs études grâce aux programmes et aux mesures de réduction du risque; 60 Autochtones participeront à des activités culturelles, à des projets de communication ainsi qu’à des programmes de perfectionnement et de valorisation culturelle et auront accès à des services de formation, de consultation, de soutien et d’intervention; 10 Autochtones auront la chance de parfaire leurs habiletés fondamentales, d’accéder à des services de formation professionnelle et d’aide à l’emploi, de participer à un programme culturel et d’acquérir de nouvelles compétences. |
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Recherche | 50 000 $ | Réaliser un projet collectif, qui générera les retombées suivantes : une étude sur les Autochtones en milieu urbain sera entreprise afin de mieux comprendre et documenter leur expérience, leurs aspirations et leur quête identitaire.[3] |
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Agence de santé publique du Canada | VIH et sida | 143 771 $ | Réaliser, de concert avec la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance, un projet collectif, qui générera les retombées suivantes : 9 360 Autochtones auront la chance de parfaire leurs habiletés fondamentales et de participer à des mesures de réduction du risque.[4] |
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Service correctionnel Canada | Groupe de la politique correctionnelle autochtone | 100 000 $ | Réaliser un projet collectif, qui générera les retombées suivantes : 12 Autochtones recevront une formation professionnelle ou acquerront de nouvelles compétences. |
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Société canadienne d’hypothèques et de logement | Recherche | 50 000 $ | Réaliser un projet collectif, qui générera les retombées suivantes : une étude sur les Autochtones en milieu urbain sera entreprise afin de mieux comprendre et documenter leur expérience, leurs aspirations et leur quête identitaire.[5] |
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Ministère de la Justice du Canada | Portefeuille des affaires autochtones | 20 000 $ | Réaliser un projet collectif, qui générera les retombées suivantes : lors d’un forum international sur les questions autochtones, le Pacific Business and Law Institute examinera les mesures mises de l’avant pour promouvoir la culture et les traditions autochtones partout dans le monde.[6] |
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Total | Non déterminé | 16 809 003 $ |
Notes en bas de page :
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : La Stratégie a été remaniée de manière à mieux répondre aux besoins locaux et à miser sur la responsabilité partagée. De ce fait, elle favorise une meilleure coordination des programmes fédéraux, garantissant ainsi un investissement optimal et une harmonisation plus étroite avec les programmes provinciaux et municipaux.
On s’attend à ce que la Stratégie permette une meilleure gestion horizontale et qu’elle relève d’un partage équitable des responsabilités entre les différents partenaires fédéraux. Les objectifs qu’elle vise indiquent clairement que le gouvernement du Canada est en voie de donner aux Autochtones vivant dans les grandes villes canadiennes un meilleur accès aux compétences et à l’expérience dont ils ont besoin pour s’adapter à la vie urbaine et y prospérer.
Personne-ressource :
Allan MacDonald
Directeur général
Bureau de l’interlocuteur fédéral auprès des Métis et des Indiens non inscrits
66, rue Slater
Ottawa (Ontario) K1A 0H4
Téléphone : 613-992-8186
Ministères responsables: Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) et Pêches et Océans Canada (MPO).
Activité de programme du ministère responsable: Harmonisation du PNSAA avec les normes internationales.
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale: 1er avril 2005.
Date de clôture de l'initiative horizontale: En cours.
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance): $59 millions de dollars (de 2005-2006 à 2010-2011) plus 10,33 millions de dollars (financement permanent)
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement): Le PNSAA vise à maintenir la productivité des ressources aquatiques du Canada de trois façons : en atténuant les risques d’introduction de maladies infectieuses préoccupantes; en éliminant les barrières commerciales non tarifaires imposées par les partenaires commerciaux, puisque les règlements canadiens de lutte contre les maladies ne sont pas conformes aux normes commerciales internationales; et en permettant au Canada de contrôler les importations susceptibles d’introduire des maladies au pays. Le PNSAA repose sur le cadre de gestion et le cadre législatif de l’ACIA visant la santé des animaux ainsi que sur l’infrastructure et l’expertise des laboratoires du MPO en ce qui concerne la recherche sur la santé des animaux aquatiques. L’ACIA établit l’orientation générale du programme en vertu de la Loi sur la santé des animaux. Elle appuie les opérations locales de surveillance de l’aquaculture, d’intervention en cas d’urgence, de certification des exportations et de contrôle des importations. Quant au MPO, il surveille et contrôle les activités liées aux ressources sauvages, en plus d’offrir des services de diagnostic et de soutenir la recherche. Le financement permanent a été accordé par le Conseil du Trésor.
Résultats partagés: Productivité durable des ressources aquatiques et compétitivité à l’échelle mondiale des industries ayant pour matière première des animaux aquatiques.
Structures de gouvernance: L’ACIA est l’organisme fédéral responsable de la prestation du PNSAA. Les rôles et les responsabilités de l’ACIA et du MPO sont énoncés dans un protocole d’entente signé par les deux parties. Un comité directeur, formé des directeurs généraux des deux organismes, a été mis sur pied pour établir l’orientation stratégique du PNSAA et pour surveiller et analyser sa mise en œuvre. Le directeur de la Division de la santé des animaux aquatiques (ACIA) et celui de la Direction de la recherche sur la santé des animaux aquatiques (MPO) font également partie du comité. Le Comité de la santé des animaux aquatiques (CSAA) s’occupe de recueillir les commentaires des intervenants au sujet de la conception du PNSAA. Ce comité réunit notamment les autorités provinciales et territoriales chargées de la gestion des poissons et fruits de mer issus de l’aquaculture ou de la pêche sauvage, les représentants d’associations de médecins vétérinaires, les groupes autochtones ainsi que les intervenants des industries des ressources aquatiques d’élevage et sauvages. Le Conseil canadien des ministres des pêches et de l’aquaculture (ACIA) et les comités des sous-ministres adjoints fédéraux, provinciaux et territoriaux de l’agriculture chargés de la réglementation sont informés de toutes les étapes de conception et de mise en œuvre du PNSAA.
Partenaires fédéraux | Activité de programme | Nom du programme | Total des fonds alloués par le SCT (du début à la fin) | Dépenses prévues 2009- 2010 | Résultats prévus 2009- 2010 |
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Agence canadienne d’inspection des aliments | Harmonisation du PNSAA avec les normes internationales | Programme national sur la santé des animaux aquatiques | 32,13 M$ sur 5 ans (plus 6,35 M$ permanents)26 |
$6,35M26 |
Modification des règlements après consultation approfondie (FPT, groupes autochtones et OMC). Ouverture de la discussion sur les protocoles d’entente FTP liés à l’intervention en cas d’urgence et délimitation des zones de contrôle intérieures des maladies. Politiques et priorités principales requises pour appliquer les règlements révisés. Intégration du PNSAA aux principaux systèmes de GI/TI (SIMS, SARI, SCSI, SLI, SCGIU) et mise en lien avec le SGDL du MPO. Modules de formation sur les principales activités de mise en œuvre du PNSAA. |
Pêches et Océans Canada | Diagnostic et recherche | Système national des laboratoires pour la santé des animaux aquatiques | 26,92 M$ sur 5 ans (plus 3,98 M$ permanents) 26 |
$3.98M26 | Normes de laboratoire et système de suivi conformes aux normes internationales de vérification et de validation des certificats d’exportation et de contrôle des importations, et accréditation des laboratoires selon la norme ISO 17025 |
Total | $59,05M | $10,33M |
Objectifs des partenaires non fédéraux (le cas échéant): s. o.
Personnes-ressources: Sharon McGladdery, ((613) 221-1487; 613-668-6492)
Stephen Stephen, (613) 990-0292
Au cours des trois prochaines années, l’Agence de la santé publique du Canada participera aux initiatives horizontales suivantes :
Nom du ministère responsable : Agence de la santé publique du Canada (« l’Agence »)
Activité de programme du ministère responsable : Prévention et contrôle des maladies infectieuses
Date de mise en œuvre : 13 janvier 2005
Date de clôture : Il s’agit d’une initiative permanente
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 84,4 millions de dollars (affectation permanente)
L’affectation fédérale initiale de 84,4 millions de dollars pour 2009-2010 est permanente. Elle a été portée à 72,6 millions de dollars à la suite d’une réaffectation au profit de l’Initiative canadienne de vaccin contre le VIH (- 5,2 millions de dollars), de réductions des subventions et contributions (- 2,4 millions de dollars) ainsi que de compressions touchant les dépenses de fonctionnement (- 4,2 millions de dollars).
Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) :
L’Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada se veut la réponse du gouvernement au problème du VIH/sida au Canada. À ce titre, elle renforce les mesures nationales visant à lutter contre le VIH/sida, coordonne l’approche du gouvernement du Canada et appuie les interventions mondiales à l’égard du VIH/sida. L’Initiative est axée sur la prévention et sur l’accès à une panoplie de services (diagnostic, soins, traitements et soutien) au profit des populations les plus touchées par l’épidémie d’infection à VIH/sida au Canada, c’est-à -dire les personnes vivant avec le VIH/sida, les homosexuels, les Autochtones, les utilisateurs de drogues injectables, les détenus, les jeunes, les femmes et les ressortissants de pays où le VIH/sida est endémique. Par ailleurs, l’Initiative fédérale appuie et renforce les partenariats multisectoriels existants en vue d’agir sur les déterminants de la santé. Elle épaule les efforts concertés qui visent à influer sur les facteurs augmentant le risque de transmission et d’acquisition du VIH — y compris les infections transmises sexuellement (ITS) — et sur les problèmes de co-infection par d’autres maladies infectieuses (comme l’hépatite C et la tuberculose), dans l’optique de la progression de la maladie et du taux de mortalité chez les personnes vivant avec le VIH/sida. L’analyse comparative entre les sexes et l’analyse des droits de la personne constituent deux éléments essentiels de cette approche. Les personnes qui vivent avec le VIH/sida ou qui sont vulnérables à ce problème participent activement à l’initiative et, à ce titre, contribuent à façonner les politiques et les pratiques susceptibles d’influencer leur vie.Résultats partagés :
Résultats immédiats :
Résultats intermédiaires :
Résultats à long terme :
L’Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada contribue :
Structure de gouvernance :
Le Comité des centres de responsabilité (CCR) est l’organe de régie de l’Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada. Il réunit des représentants de dix centres de responsabilité à qui l’Initiative octroie un financement. Sous la direction de l’Agence de la santé publique du Canada, le CCR favorise la cohérence des politiques et des programmes des ministères et organismes participants tout en veillant au respect des engagements en matière d’évaluation et de rapports.
Dans les dossiers liés au VIH/sida au Canada, l'Agence est le maître d’œuvre du gouvernement fédéral qui veille à la coordination générale, aux communications, au marketing social, à l’établissement de rapports, à l’évaluation, aux programmes nationaux et régionaux, à l’élaboration de politiques, à la surveillance et aux sciences de laboratoire.
Santé Canada (SC) appuie l’éducation communautaire sur le VIH/sida, le renforcement des capacités de même que la prévention dans certaines collectivités inuites et dans les collectivités des Premières nations vivant dans les réserves. De plus, le ministère exerce un leadership à l’égard des politiques et programmes de santé à l’échelle internationale.
À titre d’organisme du gouvernement du Canada responsable de la recherche en santé, les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) définissent les priorités du programme de recherches menées à l’externe et en assurent la gestion.
Aux détenus qui purgent une peine d’emprisonnement de deux ans ou plus, le Sécurité publique Canada — offre des services de santé au regard du VIH/sida, notamment des services de prévention, de diagnostic, de soins et de traitement.Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
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Agence | Prévention et contrôle des maladies infectieuses | VIH/sida | Continu | 28,0 millions de dollars |
Meilleure connaissance et sensibilisation accrue à l’égard :
Mobilisation accrue et meilleure harmonisation à l’échelon multisectoriel Renforcement des capacités individuelles et organisationnelles, à l’appui :
Meilleure intégration des interventions de santé publique et des activités communautaires |
Programme d’action communautaire sur le sida | Continu | 14,4 millions de dollars |
Meilleure connaissance et sensibilisation accrue à l’égard de stratégies précises visant à joindre les populations prioritaires Examen des problèmes de co-infection par l’hépatite C, la tuberculose ou les ITS Renforcement des capacités individuelles et organisationnelles Sensibilisation accrue aux facteurs économiques et sociaux qui constituent des obstacles pour les personnes à risque et les personnes qui vivent avec le VIH/sida |
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SC | Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits (DGSPNI) | Santé des membres des Premières Nations dans les réserves et des Inuits dans les collectivités | Continu | 4,0 millions de dollars |
Amélioration de la recherche et de la surveillance communautaires Sensibilisation accrue à l’égard de la nécessité de subir des tests de dépistage du VIH Meilleur accès à une information préventive, à des réseaux de soins ou de soutien et à des milieux offrant un soutien adapté Resserrement de la collaboration entre partenaires en vue d’assurer le déploiement d’interventions coordonnées et intégrées Collaboration entre les collectivités et les fournisseurs de soins de santé régionaux de la DGSPNI Apport aux activités mondiales de lutte contre le VIH/sida chez les peuples autochtones Amélioration de l’accessibilité des interventions fondées sur des données probantes concernant le VIH |
Direction des affaires internationales | Engagement international | Continu | 1,4 million de dollars |
Participation accrue aux travaux d’organismes multilatéraux ou internationaux Renforcement du soutien accordé par les partenaires du monde entier à l’égard des efforts déployés par le secteur de la santé des pays en développement pour contrer le VIH Cohérence des politiques relatives aux activités internationales que déploie le gouvernement fédéral |
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IRSC | Institut des maladies infectieuses et immunitaires | Projets de recherche sur le VIH/sida et soutien du personnel | Continu | 20,6 millions de dollars |
Financement de projets de recherche sur le VIH/sida (recherche socio-comportementale, biomédicale ou clinique, recherche sur l’infrastructure d’essais cliniques et recherche communautaire) Mise au point d’une stratégie relative à l’application des connaissances et aux partenariats Instruments de financement souples Financement de la tenue de conférences et d’ateliers sur le VIH/sida et participation à de tels événements Nouvelles possibilités de financement de projets de recherche pour les scientifiques travaillant dans des domaines de recherche stratégiques sur le VIH/sida Amélioration des mesures visant à renforcer les capacités des chercheurs Mise en œuvre du plan stratégique 2008‑2013 pour l’Initiative de recherche sur le VIH/sida |
SCC | Services de santé | a. Services de santé en établissement | Continu | 4,2 millions de dollars |
Efforts accrus de surveillance et de collecte des données Analyse des résultats de l’enquête sur les comportements à risque menée auprès des détenus Élargissement des mesures éducatives et des mesures de promotion de la santé Échange accru de renseignements sur les pratiques exemplaires entre membres du Groupe de travail fédéral-provincial-territorial des responsables des services correctionnels sur la santé Meilleure coordination de la planification des libérations, en fonction des besoins des détenus fédéraux atteints de maladies infectieuses tenaces Amélioration du soutien et de l’apprentissage offerts aux professionnels de la santé en milieu correctionnel Amélioration des mesures et programmes de réduction des préjudices Mise en œuvre d’une stratégie relative aux détenues atteintes de maladies infectieuses Mise au point de programmes et de services de santé adaptés sur le plan culturel pour les Autochtones détenus dans les établissements correctionnels fédéraux |
Total | 72,6 millions de dollars | ||||
Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux : Les intervenants non gouvernementaux majeurs sont considérés comme des partenaires à part entière de l’Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada. Leur rôle consiste à s’engager et à collaborer avec tous les ordres de gouvernement de même qu’avec les collectivités, les autres organisations non gouvernementales, les groupes professionnels, les établissements et le secteur privé afin de faire progresser tous les résultats susmentionnés de l’Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada. |
Personne-ressource : Dr Howard Njoo 130, chemin Colonnade Ottawa (Ontario) K1A 0K9 No de tél. : 613-948-6799 howard_njoo@phac-aspc.gc.ca |
Nom du ministère responsable : Agence de la santé publique du Canada
Activités de programme du ministère responsable :
Date de mise en œuvre : Fin 2006
Date de clôture : Il s’agit d’une initiative permanente
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 422 millions de dollars pour le portefeuille de la santé et 195 millions de dollars pour l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA)
Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) :
Le Canada fait face à deux grandes menaces interdépendantes en matière de santé animale et de santé publique : la possible propagation du virus de l’influenza aviaire (H5N1) aux oiseaux sauvages et aux volailles du Canada ainsi que l’éventuelle apparition d’une souche adaptée à l’humain, ce qui aurait pour résultat une transmission interhumaine susceptible de déclencher une pandémie de grippe humaine. Il faut un plan coordonné et complet pour faire face aussi bien à l’influenza aviaire qu’à une pandémie de grippe.
En 2006, le portefeuille de la santé s’est vu octroyer 422 millions de dollars à dépenser sur cinq ans afin d’améliorer l’état de préparation en cas de grippe aviaire et pandémique. La plupart des initiatives sont en cours et concernent les domaines suivants : vaccins et antiviraux ; capacité d’appoint ; prévention et alerte rapide ; préparation aux situations d’urgence ; données scientifiques et réglementation essentielles ; communication des risques ; et collaboration entre les administrations. On s’efforcera aussi de combler les lacunes touchant la planification et l’état de préparation dans les réserves autochtones et d’augmenter la capacité fédérale d’affronter une pandémie dans les réserves.
En 2006, dans le cadre du projet « Se préparer à intervenir en cas d’urgence », l’ACIA s’est vu octroyer 195 millions de dollars à dépenser sur cinq ans afin d’améliorer l’état de préparation du Canada à l’influenza aviaire. Le Groupe de travail sur l’influenza aviaire du Canada a été créé en 2006 pour mettre à jour les politiques, protocoles, procédures opérationnelles et systèmes nécessaires à l’amélioration de l’état de préparation du Canada — par la collaboration et la création de partenariats — en se fondant sur cinq piliers de stratégies et de processus pour la prévention et l’alerte rapide, la préparation aux situations d’urgence, les interventions en cas d’urgence, la reprise des activités et les communications.Résultats partagés : Ces initiatives permettront au gouvernement fédéral de renforcer la capacité du Canada de prévenir la grippe aviaire et de réagir à ses conséquences immédiates sur la santé animale et l’économie, tout en augmentant l’état de préparation à une éventuelle pandémie.
On assurera une meilleure protection des Canadiens grâce à des vaccins et à des antiviraux améliorés, à une meilleure préparation en cas d’urgence, à une plus grande capacité d’appoint pour faire face au surcroît de demandes ainsi qu’à des processus scientifiques et réglementaires essentiels dans le domaine. Dans les réserves, la planification et la préparation seront renforcées, tout comme la capacité fédérale d’intervention en cas de pandémie.
On améliorera les connaissances et les délais d’intervention grâce à des mesures de prévention et d’alerte rapide, de communication des risques et de collaboration entre les administrations.Structure de gouvernance : En janvier 2008, l’Agence, les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) et Santé Canada (SC) ont mis la dernière main à un accord interministériel et inter-organismes sur la gouvernance de la préparation à la grippe aviaire et à la grippe pandémique. Par sa portée, l’accord s’attarde surtout à la gestion des initiatives horizontales particulières et/ou des programmes découlant de l’engagement d’un milliard de dollars prévu au budget de 2006 au titre de la préparation à la grippe aviaire et à la grippe pandémique. L’accord ne modifie en rien la responsabilité ministérielle, et il incombe toujours aux ministères et organismes de gérer les domaines sous leur mandat de même que les crédits dont ils sont dépositaires.
La structure qui sous-tend l’accord relève du Comité des sous-ministres pour la planification en cas de grippe aviaire et pandémique. L’application de l’accord est dirigée par le Comité des sous-ministres adjoints pour la préparation à la grippe aviaire et à la grippe pandémique (CSMAPGAGP), lequel s’attarde à la mise en œuvre des initiatives faisant l’objet d’un financement prévu au budget de 2006.
Chargé de fixer des orientations stratégiques et de surveiller l’encadrement des activités, le CSMAPGAGP facilite la préparation de survols à l’intention du Secrétariat du Conseil du Trésor et en autorise la présentation. Les membres s’assurent d’appuyer le déploiement des mesures adoptées au sein de leur ministère ou organisme respectif. Pour informer de ses travaux le Comité des sous-ministres adjoints qui veille à la planification chapeautée par le Comité des sous-ministres, le CSMAPGAGP mise sur le fait que certaines personnes siègent aux deux instances.
Le Comité des directeurs généraux des opérations pour la préparation à la grippe aviaire et à la grippe pandémique (CDGOPGAGP) soutient les travaux du CSMAPGAGP, formule des recommandations à son endroit et encadre la coordination de la démarche. Pour informer de ses travaux le Comité d’orientation des directeurs généraux qui veille à la planification chapeautée par le Comité des sous-ministres, le CDGOPGAGP mise sur le fait que certaines personnes siègent aux deux instances. L’Agence et l’ACIA président le CDGOPGAGP, où siègent des porte-parole de SC et des IRSC (directeurs généraux ou l’équivalent) ainsi que les présidents de différents groupes de travail.
Des groupes de travail sont créés pour les secteurs où se chevauchent les activités des ministères et organismes. Ces groupes de travail relèvent du CSMAPGAGP, par l’entremise du CDGOPGAGP.
L’Agence offre des services de secrétariat au CSMAPGAGP de même qu’au CDGOPGAGP.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
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Agence | Prévention et contrôle des maladies infectieuses | a. Préparation des vaccins et essais cliniques | Continu | 15,9 millions de dollars |
Lancement d’essais cliniques visant un vaccin prépandémique et évaluation de la pertinence de la conduite d’essais particuliers, compte tenu des besoins du Canada Renforcement de la capacité de surveillance de l’efficacité des vaccins en cas de pandémie et de surveillance des événements indésirables connexes |
b. Mise au point et essai rapide de vaccins | Continu | 1,7 million de dollars | Progrès réalisés en vue de la mise au point de vaccins commerciaux de qualité clinique contre le virus de l’influenza aviaire (H5N1) | ||
c. Contribution à la Réserve nationale d’antiviraux | Continu | 7,4 millions de dollars |
Réduction du délai qui s’écoulerait entre le déclenchement d’une pandémie et le moment où il serait possible d’avoir accès à un vaccin Établissement de plans de remplacement des stocks d’antiviraux au terme de leur durée de validité |
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d. Capacité de préparation à une pandémie | Continu | 4,8 millions de dollars |
Présentation de la gamme des enjeux relatifs à la grippe aviaire et pandémique, à l’intention du ministre et des cadres supérieurs Renforcement des capacités découlant de l’exploitation accrue des systèmes de communication régionaux mis en place au cours des trois dernières années |
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e. Surveillance | Continu | 8,2 millions de dollars | Renforcement de la capacité de reconnaissance et de déclaration opportunes des cas de grippe aviaire chez l’humain et des incidents pandémiques dignes d’intérêt touchant les soins de santé | ||
f. Ressources humaines en cas d’urgence | Continu | 0,4 million de dollars | Mise à jour du plan d’intervention visant les ressources humaines en cas d’urgence | ||
g. Laboratoire national de microbiologie (LNM) de Winnipeg et optimisation de l’espace | Continu | 7,2 millions de dollars |
Parachèvement de la conception des travaux de rénovation du nouveau laboratoire Parachèvement de la planification des travaux de rénovation du Laboratoire J.C. Wilt Renforcement de la capacité canadienne de recherche et d’intervention en laboratoire |
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h. Renforcement du réseau de laboratoires de santé publique | Continu | 1,2 million de dollars |
Formation et déploiement des techniciens de liaison de laboratoire fédéraux dans les établissements provinciaux et territoriaux, dotation du matériel requis par ces techniciens, amélioration des communications entre le LNM et les laboratoires provinciaux et territoriaux et renforcement des capacités nationales en ce qui touche les laboratoires Application des dispositions de l’annexe C du Plan canadien de lutte contre la pandémie d’influenza pour le secteur de la santé |
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i. Réseau de recherche sur la grippe | Continu | 2,2 millions de dollars |
Mise en place d’un programme de recherche qui pare aux besoins de préparation en cas de grippe aviaire et pandémique Affectation optimale des ressources octroyées pour la recherche conformément à la décision du Conseil du Trésor concernant la préparation en cas de grippe aviaire et pandémique |
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j. Modélisation et évaluation du risque de pandémie de grippe | Continu | 0,8 million de dollars |
Élaboration et mise en place de modèles de prévision et d’évaluation devant servir à la préparation à une pandémie Poursuite de la prestation d’une formation en modélisation mathématique dans les collèges et les universités, à l’intention d’apprenants éventuels qui pourront gonfler l’effectif de la profession |
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k. Rendement et évaluation | Continu | 0,6 million de dollars |
Mise en place d’un plan d’évaluation de l’état de préparation en cas de grippe aviaire et pandémique Mise en place des éléments d’un cadre de mesure du rendement au niveau des centres de responsabilité Adoption de mesures pour faciliter la cueillette de données au moyen d’un système Web Recours aux données de surveillance et de mesure du rendement et aux données probantes à des fins de gestion et d’établissement de rapports |
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l. Stratégie de communication des risques de pandémie de grippe | Continu | 1,8 million de dollars |
Apport à l’élaboration d’une stratégie en vue du lancement, à l’automne 2009, d’une campagne pancanadienne triennale de marketing social visant la prévention des infections et de la grippe aviaire Mise au point d’un plan opérationnel de communication, à l’appui de l’annexe K du Plan canadien de lutte contre la pandémie d’influenza pour le secteur de la santé (annexe portant sur les communications) |
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m. Effectif national de santé publique qualifié | Continu | 6,0 millions de dollars |
Parachèvement des protocoles d’accord conclus avec les institutions qui, partout au pays, accueilleront des agents de santé publique Poursuite du déploiement des agents de santé publique Poursuite du déploiement, dans tout le Canada, des coordonnateurs régionaux du Programme canadien de services en santé publique Élaboration de modules de formation et prestation de cette formation auprès des ressources déployées sur le terrain Mise au point de profils de compétences pour les agents de santé publique Recrutement de nouveaux étudiants en santé publique, à l’appui de projets de déploiement dans des organismes de santé publique |
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Mesures et interventions d’urgence | a. État de préparation en cas d’urgence | Continu | 6,6 millions de dollars |
Mise en place d’une série d’éléments capables d’intervenir en cas d’éclosion de grippe aviaire ou en cas de pandémie de grippe Accréditation de laboratoires ayant la capacité de travailler avec des souches grippales Resserrement de l’intégration des postes de quarantaine et des services classiques au sein des trois grandes installations portuaires du Canada Maintien de l’état de préparation de la Réserve nationale de secours et du Centre des opérations d’urgence Établissement de plans avec les organisations non gouvernementales et les ministères provinciaux ou territoriaux chargés d’intervenir en cas d’éclosion de maladies Amélioration de l’efficacité et de l’efficience des ressources régionales en poste pour faciliter la circulation de l’information entre les instances fédérales, provinciales et territoriales |
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SC | Accès à des produits de santé et à des aliments sûrs et efficaces et à des renseignements permettant de faire des choix santé | a. Activités réglementaires liées au vaccin contre la grippe pandémique | Continu | 1,5 million de dollars | Établissement des épreuves en laboratoire requises par l’Organisation mondiale de la santé en vue de la distribution de lots de vaccins sur les marchés mondiaux |
b. Ressources pour l’examen et l’approbation des présentations de médicaments antiviraux contre la grippe pandémique | Continu | 0,3 million de dollars | Établissement de procédures d’examen des présentations d’antiviraux, avant et pendant le déclenchement d’une pandémie | ||
c. Établissement d’une unité de gestion des risques en cas de crise, chargée de la surveillance et de l’évaluation post-commercialisation des produits thérapeutiques | Continu | 0,4 million de dollars | Mise en place d’une fonction de communication et de gestion post-commercialisation des risques liés aux questions de sécurité que soulève l’utilisation des antiviraux et des vaccins | ||
De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l’état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens | a. Capacité de pointe – Premières nations et Inuits | 1,48 million de dollars (2007-2008 à 2009-2010) | 0,4 million de dollars | Mise en œuvre de mesures éducatives et d’activités de formation visant le contrôle des infections et des pandémies | |
b. Renforcement des capacités fédérales en santé publique | Continu | 0,7 million de dollars |
Collaboration avec l’Agence, la Commission de la fonction publique et le ministère des Affaires indiennes et du Nord canadien, à des fins de planification et d’intervention Concertation avec l’Agence au regard des besoins de surveillance Renforcement du soutien offert aux collectivités des Premières nations Établissement et maintien de liens avec le personnel du programme de mesures et d’interventions d’urgence (à l’échelon national et régional) de même qu’avec les provinces et les territoires |
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c. Préparation, planification, formation et intégration en cas d’urgence chez les Premières nations et les Inuits | Continu | 0,4 million de dollars | Maintien de l’appui visant la mise à l’essai et la révision des plans communautaires de préparation en cas de pandémie | ||
Réduction des risques pour la santé et pour l’environnement causés par des substances et des produits réglementés, et milieux de vie et de travail plus sains | a. Mesures et interventions d’urgence en santé publique dans les moyens de transport public | Continu | 0,3 million de dollars |
Enrichissement de la formation portant sur la mise en quarantaine et sur les mesures et interventions d’urgence, conformément à l’évaluation des besoins de formation Développement et mise à l’essai d’une capacité d’appoint, à l’appui des capacités d’intervention Vérification par des tiers et évaluation portant sur le programme de mesures et d’interventions d’urgence dans les moyens de transport public Poursuite de la prestation continue du programme et redressement de ce dernier à la lumière des constats formulés |
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IRSC | Initiative de recherche sur la capacité d’intervention en cas de pandémie | a. Priorités en matière de recherche sur la grippe | 38,2 millions de dollars (2006-2007 à 2010-2011) | 10,7 millions de dollars |
Examen des projets de recherche par les pairs et financement des travaux Mise au point et publication d’appels de demandes visant des projets de recherche, au besoin Examen des progrès réalisés au regard des projets financés et des résultats de recherche, prise de mesures visant à faciliter l’application des résultats de recherche ainsi qu’établissement de rapports et convocation de réunions en vue de consulter les chercheurs, les intervenants et les décideurs quant aux besoins futurs en matière de recherche Exercice de la présidence du groupe de travail sur la recherche relevant du CDGOPGAGP |
ACIA | Prévention et contrôle des maladies | a. Mesures accrues de mise en application | Continu | 1,5 million de dollars | Capacité accrue de soutien du dépistage chez les oiseaux vivants et les produits de la volaille aux différents points d’entrée du Canada, dans le but d’atténuer le risque d’éclosion d’influenza aviaire au pays |
b. Biosécurité aviaire à la ferme | Continu | 2,7 millions de dollars | Mise en œuvre des normes nationales de biosécurité aviaire, poursuite des programmes d’information du public, de communications et de prise de contact ainsi que formulation d’un cadre de gouvernance portant sur les normes | ||
c. Exigences en biens immobiliers | 4,0 millions de dollars (2006-2007 à 2007-2008) | Néant | Aucune dépense n’est prévue, car les investissements ont été effectués au cours des exercices précédents | ||
d. Surveillance des animaux domestiques et des animaux sauvages | Continu | 3,1 millions de dollars | Renforcement et intégration d’un système canadien de surveillance qui mise sur une solide plateforme informatique et sur l’analyse et l’interprétation des données recueillies afin d’assurer une détection et des interventions plus opportunes en cas d’éclosion d’influenza aviaire | ||
e. Renforcement du cadre économique et réglementaire | Continu | 0,9 million de dollars | Renforcement de la capacité d’examen réglementaire, y compris l’analyse du cadre législatif et réglementaire actuel | ||
f. Évaluation du rendement | Continu | 1,1 million de dollars | Gestion et évaluation des activités de l’ACIA en matière d’influenza aviaire, y compris la mesure permanente du rendement à des fins de surveillance des résultats ainsi que la conduite d’une évaluation formative (cette dernière se penchera, d’une part, sur la conception, la prestation et la gestion des interventions ciblant l’influenza aviaire et, d’autre part, sur la probabilité d’atteindre les objectifs fixés de même que la pertinence de la stratégie de mesure et de déclaration du rendement) | ||
g. Communication des risques | Continu | 1,6 million de dollars | Organisation, à l’échelon national, de séances d’information sur la biosécurité aviaire à la ferme et maintien de la campagne de prise de contact traitant des « notions de base sur la santé des oiseaux », poursuite de la mise en œuvre de la campagne de prise de contact intitulée « Pensez-y et déclarez » au sujet de la biosécurité aux frontières ainsi que surveillance permanente des reportages des médias, prestation d’une formation et communication des risques à propos des activités de prévention, de préparation et d’intervention ciblant l’influenza aviaire | ||
Mesures et interventions d’urgence | a. Formation sur le terrain | Continu | 1,1 million de dollars |
Perfectionnement qui contribuera à la formation d’une main-d’œuvre compétente et expérimentée, prête à intervenir en cas d’éclosion d’influenza aviaire Élaboration constante de matériel didactique (à des fins d’apprentissage avec instructeur ou d’apprentissage électronique), à l’appui des procédures et des plans visant les interventions d’urgence, ainsi que perfectionnement continu d’instructeurs en vue de la prestation d’une formation aux utilisateurs finaux |
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b. Capacité renforcée de gestion de l’influenza aviaire | Continu | 1,0 million de dollars | Saisie électronique de données à jour sur les efforts qui sont déployés sur le terrain afin de gérer et de déclarer les cas d’influenza aviaire et d’autres maladies animales provenant de l’étranger | ||
c. Mise à jour des plans d’intervention d’urgence | Continu | 2,0 millions de dollars | Poursuite de l’élaboration et de la mise à jour des procédures et des plans d’intervention d’urgence | ||
d. Évaluation et modélisation des risques | Continu | 2,1 millions de dollars | Poursuite du travail de modélisation de l’influenza aviaire afin de mieux comprendre la propagation de la maladie et de déterminer l’efficacité des mesures de lutte afférentes | ||
e. Recherche sur l’influenza aviaire | Continu | 1,5 million de dollars |
Investissements visant à améliorer la capacité fédérale en matière de modélisation mathématique, d’analyse statistique et de recherche opérationnelle sur les questions liées à l’influenza aviaire, de façon à mieux comprendre la propagation de l’influenza et de mieux déterminer l’efficacité des mesures de contrôle de la maladie (les
investissements permettront également de prendre des décisions plus rapides, fondées sur des données probantes, au regard des interventions en cas d’influenza aviaire, ce qui aidera à réduire le risque de transmission aux humains et à diminuer les pertes sur les plans de l’économie et de la production) Constatation des lacunes en matière de recherche sur l’influenza aviaire et mise au point, avec le concours des partenaires, d’outils et de connaissances efficaces qui facilitent la prise de décisions et la formulation de politiques Projets de recherche portant sur la sacrification humanitaire et sur les méthodes efficaces d’élimination, à l’appui des besoins d’abattage et d’élimination intégraux |
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f. Collaboration internationale | Continu | 1,6 million de dollars | Participation à des forums internationaux, consécutive au repérage d’occasions de contribuer à l’effort mondial de lutte contre la grippe aviaire et pandémique | ||
g. Banque de vaccins pour les animaux | 1,0 million de dollars (2006-2007 à 2007-2008) | Néant | Aucune dépense n’est prévue, car les investissements ont été effectués au cours des exercices précédents | ||
h. Accès aux antiviraux | Continu | 0,1 million de dollars | Maintien de protocoles d’accès et d’une réserve d’antiviraux afin d’offrir une protection adéquate aux employés fédéraux et, par le fait même, d’assurer la rapidité et l’efficacité des interventions en cas d’épisode d’influenza aviaire tout en procurant une meilleure protection aux Canadiens | ||
i. Équipement spécialisé | 20,8 millions de dollars (2006-2007 à 2008-2009) | Néant | Aucune dépense n’est prévue, car les investissements ont été effectués au cours des exercices précédents | ||
j. Capacité d’appoint des laboratoires | Continu | 3,8 millions de dollars | Renforcement des capacités de coordination par la création, dans tout le pays, d’un réseau intégré de laboratoires (fédéraux, provinciaux ou universitaires) assurant le dépistage, la détection et la déclaration rapides de l’influenza aviaire | ||
k. Capacité d’appoint sur le terrain | Continu | 1,0 million de dollars | Formulation d’un plan d’intervention viable, élargi et amélioré, qui considère notamment l’équipement et la capacité en ressources humaines | ||
l. Réserve vétérinaire canadienne | Continu | 0,9 million de dollars | Formation continue d’une réserve de vétérinaires professionnels en vue de renforcer la capacité d’appoint, les connaissances spécialisées et la capacité d’intervention rapide, dans le cadre de la lutte contre les maladies animales | ||
Total | 105,5 millions de dollars | ||||
Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux (s’il y a lieu) : |
Personne-ressource : Dre Arlene King 130, chemin Colonnade Ottawa (Ontario) K1A 0K9 No de tél. : 613-948-7929 Adresse électronique : Arlene_King@phac-aspc.gc.ca |
Nom du ministère responsable : Agence de la santé publique du Canada (« l’Agence »)
Activité de programme du ministère responsable : Prévention et contrôle des maladies infectieuses
Date de mise en œuvre : 20 février 2007
Date de clôture : Mars 2013
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 111 millions de dollars
Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) :
Représentant l’apport du Canada à la Global HIV Vaccine Enterprise, l’ICVV est le fruit de la collaboration entre le gouvernement du Canada et la Fondation Bill et Melinda Gates. Elle vise à contribuer à l’effort mondial pour la mise au point d’un vaccin sûr, efficace, à prix abordable et universellement accessible contre le VIH. Cette collaboration repose sur l’engagement du gouvernement du Canada d’adopter une approche globale et à long terme à l’égard des techniques de prévention. Les ministères et organismes fédéraux participants sont l’Agence canadienne de développement international (ACDI), l’Agence, Industrie Canada (IC), les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), les Santé Canada (SC). Les objectifs généraux de l’ICVV sont les suivants : renforcer la capacité de découverte de vaccins contre le VIH et la capacité de recherche sociale ; renforcer la capacité et les réseaux d’essais cliniques, surtout dans les pays à revenu faible et moyen (PRFM) ; accroître la capacité de fabrication à l’échelle préindustrielle de lots de vaccins contre le VIH en vue d’essais cliniques ; renforcer les approches stratégiques et réglementaires sur les vaccins contre le VIH et promouvoir les aspects communautaires et sociaux de la recherche sur un vaccin contre le VIH et la fourniture de ce vaccin ; et veiller à maintenir une collaboration horizontale au sein de l’ICVV ainsi qu’avec les intervenants canadiens et internationaux.Résultats partagés :
Résultats immédiats (court terme, un à trois ans) :
Résultats intermédiaires :
Résultats à long terme :
Structures de gouvernance :
Le ministre de la Santé, en consultation avec le ministre de l’Industrie et le ministre de la Coopération internationale, sera le ministre responsable de la coordination générale de l’ICVV. Les communications relatives à l’ICVV seront une responsabilité commune.
Le Comité directeur interministériel, qui est formé de représentants des ministères et organismes fédéraux participants, coordonne les activités pour le gouvernement du Canada afin d’appuyer les ministres. Le Comité est chargé de fixer les orientations et priorités stratégiques et d’examiner les progrès réalisés.
Pour fournir de l’information à l’appui de l’ICVV, des comités consultatifs et des groupes de travail multipartites ont été et seront encore créés avec la participation des gouvernements, du secteur privé, des intervenants internationaux, des personnes vivant avec le VIH/sida, des chercheurs, des organisations non gouvernementales et d’autres intervenants concernés. Les rôles des ministères et organismes qui participent à l’ICVV sont les suivants :
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
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Agence | Prévention et contrôle des maladies infectieuses | Programme de contributions à la santé publique | 27 millions de dollars (2007-2008 à 2012-2013) | 10,7 millions de dollars |
Achèvement d’un concours public transparent afin qu’une société sans but lucratif construise et exploite une unité de fabrication à l’échelle préindustrielle de lots de vaccins en vue d’essais cliniques Négociation et mise au point définitive d’un accord de contribution avec la société sans but lucratif retenue Mise en œuvre d’un nouveau fonds pour les initiatives communautaires (en partenariat avec SC) Réalisation intégrale d’une évaluation |
SC | Affaires internationales de santé | Subventions versées aux organisations internationales sans but lucratif admissibles pour appuyer leurs projets ou programmes sur la santé | 1 million de dollars | 0,2 million de dollars | Mise en œuvre d’un nouveau fonds pour les initiatives communautaires (en partenariat avec l’Agence) |
IC | Secteur de l’industrie – science et technologie et innovation | Sans objet | 13 millions de dollars | 3,2 millions de dollars |
Soutien d’un concours public transparent (dirigé par l’Agence) afin qu’une société sans but lucratif construise et exploite une unité de fabrication à l’échelle préindustrielle de lots de vaccins en vue d’essais cliniques Soutien de la négociation et de la mise au point définitive d’un accord de contribution avec la société sans but lucratif retenue |
ACDI | Institutions – capacité et efficacité accrues des institutions multilatérales et des organisations internationales et canadiennes en vue d’atteindre les objectifs de développement | Programme d’aide au développement international | 60 millions de dollars | 6,2 millions de dollars |
Dans le cadre du volet de découverte et de recherche sociale, et de concert avec les IRSC, formulation définitive d’une lettre d’intention et d’étapes pour les subventions de développement au regard du programme de subventions d’équipes qui vise à appuyer les équipes de recherche en collaboration constituées de membres provenant du Canada et
de PRFM Mise sur pied d’un programme visant à appuyer les équipes constituées de chercheurs et d’établissements de recherche provenant du Canada et de PRFM, afin de renforcer leur capacité d’effectuer des essais cliniques de qualité supérieure portant sur un vaccin contre le VIH et sur d’autres techniques de prévention connexes Soutien d’activités visant à améliorer les compétences de réglementation dans les PRFM, particulièrement là où des essais cliniques sont prévus ou réalisés en permanence Soutien d’un concours public transparent (dirigé par l’Agence) afin qu’une société sans but lucratif construise et exploite une unité de fabrication à l’échelle préindustrielle de lots de vaccins en vue d’essais cliniques Soutien de la négociation et de la mise au point définitive d’un accord de contribution avec la société sans but lucratif retenue |
IRSC | Initiative de recherche sur le VIH/sida – Code 12300 de l’architecture des activités de programme | Initiative de recherche sur le VIH/sida | 10 millions de dollars | 1,3 million de dollars |
Soutien des chercheurs canadiens qui travaillent seuls ou au sein de petites équipes, par le biais de programmes de subventions de fonctionnement ou de subventions « catalyseurs » Dans le cadre du volet de découverte et de recherche sociale, et de concert avec l’ACDI, formulation définitive d’une lettre d’intention et d’étapes pour les subventions de développement au regard du programme de subventions d’équipes qui vise à appuyer les équipes de recherche en collaboration constituées de membres provenant du Canada et de PRFM |
Total | 111 millions de dollars | 21,6 millions de dollars | |||
Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux : Les intervenants non gouvernementaux (y compris les établissements de recherche et les organisations communautaires sans but lucratif) contribuent de façon essentielle au succès de l’ICVV. Leur rôle consiste à dialoguer et à collaborer avec les ministères et organismes participants, la Fondation Bill et Melinda Gates et d’autres organismes de financement en vue de favoriser l’atteinte des objectifs de l’ICVV et de soutenir une contribution canadienne importante à la Global HIV Vaccine Enterprise. |
Personne-ressource : Steven Sternthal 130, chemin Colonnade Ottawa (Ontario) K1A 0K9 No de tél. : 613-952-5120 Steven_Strenthal@phac-aspc.gc.ca |
1. Initiative horizontale | 2. Ministère responsable | |
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Programme de promotion du commerce extérieur (PPCE) | Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) | |
3. Activité de programme du ministère responsable | ||
Développement des entreprises (sous activité de programme : Commerce) | ||
4. Date de mise en œuvre | 5. Date de clôture | 6. Total des fonds fédéraux |
Le 11 avril 2005 | Le 31 mars 2010 | 7 millions de dollars |
7. Description | ||
Le Programme de promotion du commerce extérieur vise les quatre provinces atlantiques et trois ministères fédéraux, soit l’APECA, Affaires étrangères et Commerce international Canada et Industrie Canada. L’ancienne Entente sur la promotion du commerce extérieur (EPCE) a été signée pour la première fois en mai 1994 pour une période de trois ans et une
valeur de trois millions de dollars. Elle a ensuite été reconduite en mars 1997 pour trois autres années et une valeur de deux millions de dollars. Une deuxième prolongation d’une valeur de huit millions de dollars a été signée par les sept partenaires de la promotion du commerce extérieur pour une période de quatre ans, soit de 2000 à 2004. Le PPCE de dix millions de dollars poursuivra le travail des partenaires jusqu’en 2010. Le financement de l’entente provient de l’APECA (70 %) et des gouvernements provinciaux (30 %). Le mandat du PPCE est d’entreprendre des mesures précises afin de maximiser la coordination régionale à l’échelle panatlantique et de combiner les ressources limitées en vue de coordonner les activités relatives au commerce. L’engagement au PPCE, compte tenu de cette affectation accrue de fonds, atteste des résultats positifs de l’EPCE et de l’importance dans l’avenir de la promotion du commerce extérieur dans la région. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web http://www.acoa-apeca.gc.ca/Français/EPCE/Pages/accueil.aspx?ProgramID. |
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8. Résultats partagés | ||
Les résultats partagés du PPCE, qui vont dans le sens des priorités de l’APECA en matière de commerce, sont les suivants:
Depuis l’entrée en vigueur de l’EPCE initiale en 1994, l’Agence et ses partenaires ont administré plus de 207 projets qui ont fait intervenir environ 3 500 entreprises du Canada atlantique. L’EPCE a aidé 182 entreprises à commencer à exporter, 380 exportateurs à accroître leurs ventes à l’exportation et 259 exportateurs à se lancer sur de nouveaux marchés. |
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9. Structure de gouvernance | ||
L’APECA est l’organisme responsable de cette initiative et héberge le secrétariat chargé d’administrer l’entente. Un comité de gestion composé d’un représentant de chacun des partenaires voit à la planification et à la gestion des programmes exécutés en vertu de l’entente, et il s’occupe aussi de l’évaluation des projets. | ||
10. Partenaires participant à chaque programme | ||
Ministères et organismes fédéraux (70 % du financement)
Gouvernements provinciaux et territoriaux (30 % du financement)
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12. Nom du programme | 13. Total des fonds fédéraux alloués | 14. Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Programme de promotion du commerce extérieur | 7 millions de dollars | 1,1 million de dollars |
15. Résultats prévus | ||
Pour la durée de l’entente (de 2005-2006 à 2009-2010) | 2009-2010 | |
Augmentation du nombre de nouveaux exportateurs | 40 entreprises | 8 |
Augmentation du nombre d’exportateurs déclarant des ventes vers de nouveaux marchés | 75 entreprises | 15 |
Augmentation du nombre d’exportateurs déclarant des ventes accrues vers des marchés existants | 150 entreprises | 30 |
16. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (s’il y a lieu) | ||
Voir ci-dessus. | ||
17. Personne-ressource | ||
Michel Têtu Directeur général, Commerce et investissement APECA 644, rue main, Moncton (N.-B.)506-851-6496 Michel.Têtu@acoa-apeca.gc.ca |
1. Initiative horizontale | 2. Ministère responsable | |
---|---|---|
Équipe Canada Atlantique (ECA) | Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) | |
3. Activité de programme du ministère responsable | ||
Développement des entreprises (sous-activité de programme : Commerce) | ||
4. Date de mise en œuvre | 5. Date de clôture | 6. Total des fonds fédéraux |
Avril 1999 | Juillet 2010 | 11,14 millions de dollars |
7. Description: | ||
Équipe Canada Atlantique est le résultat d’un partenariat entre l’APECA et les quatre provinces atlantiques, qui ont l’appui d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC), d’Industrie Canada (IC), d’Affaires étrangères et Commerce international Canada (AECIC) et de la Société d’expansion du Cap‑Breton (SECB). L’approche d’ECA repose essentiellement sur la mission commerciale, qui permet à des petites et moyennes entreprises (PME) des quatre provinces de l’Atlantique de rencontrer des acheteurs éventuels, des agents, des distributeurs et des partenaires stratégiques aux États-Unis. La mission commerciale est assortie d’un programme d’appui complet qui vise à fournir aux participants du secteur privé – avant, pendant et après leur mission – les connaissances, les contacts et les conseils dont ils ont besoin pour tirer le meilleur parti des débouchés commerciaux qui se présentent à l’étranger. La mission commerciale offre également au gouvernement du Canada et aux quatre provinces de l’Atlantique d’importantes occasions de promouvoir la région en tant que marché exceptionnel pour les investissements étrangers. L’initiative aide également à commercialiser la technologie et à mieux faire connaître la région. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web http://www.teamcanadaatlantic.ca/. |
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8. Résultats partagés | ||
Les missions commerciales d’ECA sont axées sur les PME de la région de l’Atlantique, et elles ont pour but de les aider à accroître leurs exportations et à attirer des investissements sur les marchés clés. En voici les objectifs :
En novembre 2008, Équipe Canada Atlantique avait mené à bien quatorze missions aux États-Unis, auxquelles 530 entreprises ont participé, et plus de 3 665 réunions d’affaires se sont tenues; le chiffre d’affaires réel atteignait près de 45 millions de dollars. |
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9. Structure de gouvernance | ||
Un comité de gestion, qui est composé de hauts fonctionnaires de l’APECA, d’AECIC et des gouvernements provinciaux, joue le rôle d’organe décisionnel. Il dirige et supervise la coordination et le déroulement des missions d’ECA. Le comité organisateur d’ECA est chargé de l’organisation de la mission et comprend des représentants des quatre ministères du commerce des provinces atlantiques, d’AECIC, d’AAC et du secrétariat d’Équipe Canada Atlantique. Ce secrétariat, qui loge dans les bureaux de l’APECA, est chargé de la coordination globale et de la mise en œuvre des missions commerciales d’ECA. | ||
10. Partenaires fédéraux participant à chaque programme | ||
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12. Nom du programme | 13. Total des fonds fédéraux alloués | 14. Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Équipe Canada Atlantique |
APECA : 11,14 millions de dollars AAC : 132 000 $ |
APECA : 0 $ (S et C) 10,000 $ (F et E) AAC : 0 $ |
15. Résultats prévus pour 2009-2010 | ||
PME mieux préparées à l’exportation | Il n’y a pas de résultats prévus car les missions commerciales d’Équipe Canada Atlantique font l’objet d’un moratoire pendant l’exercice 2009-2010. | |
Nouveaux exportateurs | ||
Exportateurs perçant de nouveaux marchés | ||
Ventes d’exportation prévues par les PME | ||
16. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux(s’il y a lieu): | ||
Aucun résultat n’est attendu pour 2009-2010, car les missions commerciales d’Équipe Canada Atlantique font l’objet d’un moratoire pour cet exercice. Les partenaires fédéraux (AAC et AECIC) seront invités aux discussions sur le renouvellement de cette initiative. Les seuls coûts prévus sont associés aux sondages après un an et deux ans. | ||
17. Personne-ressource | ||
Michel Têtu Directeur général, Commerce et investissement APECA 644, rue Main, Moncton (N.-B.)506-851-6496 Michel.Têtu@acoa-apeca.gc.ca |
Des renseignements supplémentaires sur la participation de l'ASFC aux initiatives horizontales figurent sur le site Web du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada à l'adresse suivante : http://www.tbs-sct.gc.ca/rpp/2008-2009/info/info-fra.asp.
Agri-protection
Agri-investissement
Programme d'aide aux agriculteurs en cas de catastrophe (PAAC) d'Agri-relance
Agri-stabilité
Volet « Plan d'action en matière de réglementation pour l'agriculture » de Cultivons l'avenir
Protocole d'entente entre Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) et l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA)
Initiative de développement coopératif
Partenariat rural canadien
Nom de l'initiative horizontale : Agri-protection (législatif)
Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
Activité de programme du ministère responsable : Gestion des risques de l'entreprise (GRE)
Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2008
Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2012
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) : 1,6 milliards de dollars
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Le programme Agri-protection est un programme législatif. Il fait partie de l'ensemble des programmes de GRE. Il offre une assurance contre les pertes de production attribuables à certains risques. Le gouvernement fédéral contribue aux coûts des primes avec les provinces et les producteurs, et aux frais d'administration avec les provinces. Les produits agricoles couverts varient par province et les provinces continuent d'élargir la couverture de manière à inclure des produits agricoles supplémentaires.
Résultats partagés :
Atténuer les impacts financiers des pertes de production en offrant une protection d'assurance abordable.
Structures de gouvernance :
Agri-protection est un programme provincial auquel le gouvernement fédéral contribue financièrement en vertu de l'accord fédéral-provincial territorial « Cultivons l'avenir ». La structure de gouvernance comprend les différentes normes nationales énoncées dans le Règlement canadien sur l'assurance production et des comités fédéraux provinciaux territoriaux [les groupes de travail sur Agri-protection et la gestion des risques de l'entreprise, ainsi que le Comité des sous ministres adjoints (politiques)].
(En millions de dollars)
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) | Dépenses prévues 2009-2010 | Résultats prévus 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. AAC | Gestion des risques de l'entreprise | a. Partenaires fédéraux-provinciaux-territoriaux d'exécution | 1,6 G$ | 410,8 M$ | Minimiser les pertes de production et d'actifs causées par une catastrophe naturelle grave, mais imprévisible, comme la sécheresse, les inondations, le vent, le gel, les pluies abondantes, la chaleur, la neige, ou les pertes résultant de maladies incontrôlables, d'infestations d'insectes et de dommages causés par la faune. |
Total | 1,6 G$ | 410,8 M$ |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Sans objet.
Personne-ressource :
Jody Aylard
Directrice générale
Direction des programmes d'aide financière et de renouveau
Direction générale des programmes financiers pour l'agriculture
613-759-7333
Remarque :
La somme des dépenses prévues correspond aux montants inclus dans le Budget principal des dépenses et la présentation au CT approuvée et ne tient pas compte des montants additionnels qui pourraient s'ajouter aux niveaux de référence du ministère. Puisqu'il s'agit d'un programme législatif régi par la demande, les dépenses réelles pourraient varier. Les dépenses reflètent également tous les coûts engagés par le ministère (salaires, coûts opérationnels, paiements de transfert). Voir aussi les initiatives horizontales connexes liées à Agri-stabilité, Agri-investissement et Agri-relance.
Nom de l'initiative horizontale : Agri-investissement (législatif)
Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
Activité de programme du ministère responsable : Gestion des risques de l'entreprise (GRE)
Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : 25 octobre 2007
Date de clôture de l'initiative : 31 mars 2012
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) : 1,5 milliard de dollars sur cinq ans.
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Le programme Agri-investissement permet aux producteurs de gérer eux-mêmes la première tranche de 15 % des pertes de revenu. Il leur donne en effet la possibilité de déposer chaque année un montant dans leur compte d'épargne et de recevoir des contributions de contrepartie du gouvernement. Agri-stabilité et Agri-investissement remplacent le Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA). Les producteurs peuvent effectuer des retraits à partir des fonds qu'ils ont mis de côté afin de stabiliser les pertes de revenu et de gérer de façon proactive les risques agricoles.
Le programme Agri-investissement est exécuté par le fédéral dans toutes les provinces sauf au Québec. Les coûts du programme, y compris les paiements et les frais d'administration, sont partagés entre le gouvernement fédéral et les provinces/territoires selon la formule 60:40.
Le programme est associé au résultat stratégique du Ministère « Un secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de produits agro-industriels compétitif qui gère les risques de façon proactive » et au résultat du gouvernement du Canada « Une croissance économique forte ».
Résultats partagés :
Offrir aux producteurs une marge de manœuvre dans la façon dont ils choisissent de gérer et/ou d'atténuer les pertes de revenu moins importantes (pertes d'au plus 15 % par rapport à la marge de référence historique) grâce à la disponibilité en temps opportun de fonds prévisibles.
Structures de gouvernance :
Le programme Agri-investissement fait partie du cadre stratégique global pour l'agriculture et l'agroalimentaire intitulé « Cultivons l'avenir » et élaboré par les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux de l'Agriculture. Le programme relève de la priorité en matière de gestion des risques de l'entreprise.
Comme dans le cas d'autres programmes de GRE, la structure de gouvernance est composée d'un certain nombre de groupes de travail et de comités, notamment le Groupe de travail fédéral-provincial-territorial (FPT) sur la GRE, le Groupe de travail des administrateurs FPT et le Comité consultatif national sur les programmes (CCNP). Ces groupes sont chargés d'examiner les questions relatives aux politiques et aux programmes de GRE et, selon la demande, d'élaborer des options qui seront présentées aux cadres supérieurs, y compris aux sous-ministres adjoints, sous-ministres et ministres FPT.
(En millions de dollars)
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) | Dépenses prévues 2009-2010 | Résultats prévus 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. AAC | Gestion des risques de l'entreprise | Agri-investissement | 1,5 G$ | 168,9 M$ | Agri-investissement est pleinement opérationnel. Des comptes ont été créés dans les institutions financières participantes et les producteurs peuvent effectuer un dépôt dans leur compte Agri investissement pour recevoir une contribution de contrepartie du gouvernement. Le programme aide les producteurs à réduire/atténuer les pertes de revenu moins importantes (pertes d'au plus 15 % de la marge par rapport à la marge historique). |
Total | 1,5 G$ | 168,9 M$ |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Réaliser conjointement les activités de planification et d'exécution (c.-à -d. le fédéral et les provinces) pour que les résultats fédéraux et provinciaux soient uniformes.
Personne-ressource :
Danny Foster
Directeur général
Élaboration des programmes de gestion des risques de l'entreprise
Direction générale des programmes financiers pour l'agriculture
613-715-5044
Remarque :
La somme des dépenses prévues correspond aux montants inclus dans le Budget principal des dépenses et la présentation au CT approuvée et ne tient pas compte des montants additionnels qui pourraient s'ajouter aux niveaux de référence du Ministère. Puisqu'il s'agit d'un programme législatif régi par la demande, les dépenses réelles pourraient varier. Les dépenses reflètent également tous les coûts engagés par le Ministère (salaires, coûts opérationnels, paiements de transfert). Voir aussi les initiatives horizontales connexes liées à Agri-stabilité, Agri-protection et Agri-relance.
Nom de l'initiative horizontale : Programme d'aide aux agriculteurs en cas de catastrophe (PAAC) d'Agri-relance (Programme législatif)
Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
Activité de programme du ministère responsable : Gestion des risques de l'entreprise (GRE)
Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : 6 décembre 2007
Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2011
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) : 440,7 millions de dollars sur quatre ans.
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Le cadre d'aide en cas de catastrophe Agri-relance est l'un des quatre principaux piliers du nouvel ensemble de programmes de GRE offert aux producteurs par le truchement de Cultivons l'avenir. Agri relance aide le gouvernement à collaborer avec les provinces et les industries visées dans le but de fournir rapidement une aide à court terme qu'elles n'auraient pas obtenue dans le cadre d'autres programmes. Ce programme permet aux producteurs de rétablir leur source de revenu et de contenir les répercussions à long terme d'une catastrophe naturelle.
Dans le cadre d'Agri-relance, le PAAC aide à concentrer les efforts de coordination en fournissant des programmes distincts et accélérés d'aide en cas de catastrophe dotés d'un budget d'au plus 20 millions de dollars (jusqu'à 125 millions de dollars par exercice financier et jusqu'à concurrence de 440,7 millions de dollars sur quatre ans) en fonds fédéraux pour aider les producteurs à se relever d'une catastrophe, à reprendre rapidement leurs activités et/ou à réduire ou à atténuer les répercussions à long terme d'une catastrophe. Le fédéral et les provinces/territoires participants devraient partager les coûts de ces initiatives selon la formule 60:40. En ce qui concerne les autres programmes d'Agri relance, les options de financement sont négociées avec les provinces au cas par cas.
Ce programme est associé au résultat stratégique du Ministère « Un secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de produits agro industriels compétitif qui gère les risques de façon proactive » et au résultat du gouvernement du Canada « Une croissance économique forte ».
Résultats partagés :
Parmi les résultats partagés du PAAC d'Agri relance, notons :
Structures de gouvernance :
Le cadre Agri-relance, y compris le PAAC, fait partie du cadre stratégique global pour l'agriculture et l'agroalimentaire intitulé « Cultivons l'avenir » et élaboré par les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux de l'Agriculture. Le programme relève de la priorité en matière de gestion des risques de l'entreprise.
Comme dans le cas d'autres programmes de GRE, la structure de gouvernance d'Agri-relance et du PAAC est composée d'un certain nombre de groupes de travail et de comités, notamment le Groupe de travail fédéral provincial territorial (FPT) sur la GRE, le Groupe de travail des administrateurs FPT et le Comité consultatif national sur les programmes (CCNP). Ces groupes sont chargés d'examiner les questions relatives aux politiques et aux programmes de GRE et, selon la demande, d'élaborer des options qui seront présentées aux cadres supérieurs, y compris aux sous ministres adjoints, sous ministres et ministres FPT. Des groupes de travail FPT propres à Agri-relance et au PAAC sont mis sur pied au cas par cas lorsqu'il faut analyser une catastrophe et ses répercussions et, le cas échéant, élaborer des options relatives à un programme d'aide en cas de catastrophe distinct qui seront présentées aux ministres FPT participants.
(En millions de dollars)
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) | Dépenses prévues 2009 2010 | Résultats prévus 2009 2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. AAC | Gestion des risques de l'entreprise | PAAC | 440,7 M$ (72,9 millions pour l'exercice 2007-2008 et 122,6 millions par année pour les exercices 2008-2009 à 2010-2011) |
122,6 M$ | Continuer à aider les producteurs touchés par une catastrophe naturelle en offrant une aide en temps opportun pour couvrir les coûts extraordinaires engagés par les producteurs et pour les aider à reprendre rapidement leurs activités ou à prendre des mesures visant à atténuer les répercussions d'une catastrophe. |
Total | 440,7 M$ | 122,6 M$ |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Réaliser conjointement les activités de planification et d'exécution (c. à d. le fédéral et les provinces) des initiatives qui sont conformes au cadre d'Agri relance et aux modalités du PAAC.
Personne-ressource :
Danny Foster
Directeur général
Développement des programmes de GRE
613-715-5044
Remarque :
La somme des dépenses prévues correspond aux montants inclus dans le Budget principal des dépenses et la présentation au CT approuvée et ne tient pas compte des montants additionnels qui pourraient s'ajouter aux niveaux de référence du Ministère. Puisqu'il s'agit d'un programme législatif régi par la demande, les dépenses réelles pourraient varier. Les dépenses reflètent également tous les coûts engagés par le Ministère (salaires, coûts opérationnels, paiements de transfert). Voir aussi les initiatives horizontales connexes liées à Agri-stabilité, Agri-investissement et Agri-protection.
Nom de l'initiative horizontale : Agri-stabilité (programme législatif)
Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
Activité de programme du ministère responsable : Gestion des risques de l'entreprise (GRE)
Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2008
Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2012
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) : 2,6 milliards de dollars sur cinq ans.
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Le programme Agri-stabilité est un programme fondé sur la marge qui vise à aider les producteurs à protéger leurs exploitations agricoles contre les baisses de revenu plus importantes (plus de 15 %) en raison de circonstances hors de leur contrôle. Agri-stabilité et Agri-investissement remplacent le Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA). Le programme Agri-stabilité a été mis en oeuvre au cours de l'année de programme 2007.
Agri-stabilité est exécuté par l'administration fédérale en Colombie Britannique, en Saskatchewan, au Manitoba, au Nouveau Brunswick, en Nouvelle Écosse, à Terre Neuve et Labrador et au Yukon, et par les administrations provinciales en Alberta, en Ontario, au Québec et à l'Île du Prince Édouard. Les coûts du programme, y compris les paiements et les frais d'administration, sont partagés entre le gouvernement fédéral et les provinces selon la formule 60:40.
Le programme est associé au résultat stratégique du Ministère « Un secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de produits agro-industriels compétitif qui gère les risques de manière proactive » et au résultat du gouvernement du Canada « Une croissance économique forte .
Résultats partagés : Atténuer les répercussions liées à des pertes de revenu plus importantes (pertes de plus de 15 % par rapport à la marge de référence historique) grâce à un programme d'aide fondé sur la marge.
Structures de gouvernance :
Le programme Agri-stabilité fait partie du cadre stratégique global pour l'agriculture et l'agroalimentaire intitulé « Cultivons l'avenir » et élaboré par les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux de l'Agriculture. Le programme relève de la priorité en matière de gestion des risques de l'entreprise.
Comme dans le cas d'autres programmes de GRE, la structure de gouvernance est composée d'un certain nombre de groupes de travail et de comités, notamment le Groupe de travail fédéral provincial territorial (FPT) sur la GRE, le Groupe de travail des administrateurs FPT et le Comité consultatif national sur les programmes (CCNP). Ces groupes sont chargés d'examiner les questions relatives aux politiques et aux programmes de GRE et, selon la demande, d'élaborer des options qui seront présentées aux cadres supérieurs, y compris aux sous ministres adjoints, sous ministres et ministres FPT.
(En millions de dollars)
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) | Dépenses prévues 2009 2010 | Résultats prévus 2009 2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. AAC | Gestion des risques de l'entreprise | Agri-stabilité | 2,6 G$ | 644,1 M$ | Agri-stabilité vise à aider les producteurs à protéger leurs exploitations agricoles contre les baisses de revenu plus importantes (pertes de plus de 15 % de la marge par rapport à la marge historique) en raison de circonstances hors de leur contrôle. |
Total | 2,6 G$ | 644,1 M$ |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Réaliser conjointement les activités de planification et d'exécution (c.-à -d. le fédéral et les provinces) pour que les résultats fédéraux et provinciaux soient uniformes.
Personne-ressource :
Danny Foster
Développement des programmes de GRE
Direction générale des programmes financiers pour l'agriculture
613-715-5044
Remarque :
La somme des dépenses prévues correspond aux montants inclus dans le Budget principal des dépenses et la présentation au CT approuvée et ne tient pas compte des montants additionnels qui pourraient s'ajouter aux niveaux de référence du Ministère. Puisqu'il s'agit d'un programme législatif régi par la demande, les dépenses réelles pourraient varier. Les dépenses reflètent également tous les coûts engagés par le Ministère (salaires, coûts opérationnels, paiements de transfert). Voir aussi les initiatives horizontales connexes liées à Agri-protection, Agri-investissement et Agri-relance.
Nom de l'initiative horizontale : Volet « Plan d'action en matière de réglementation pour l'agriculture » de Cultivons l'avenir
Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada
Activité de programme du ministère responsable : Facilitation de l'efficacité de la réglementation
Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : Date de mise en oeuvre proposée aux termes du nouveau cadre de travail Cultivons l'avenir : le 1er avril 2009
Date de clôture de l'initiative horizontale : Date de clôture proposée : le 31 mars 2013
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) : Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes.
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Cette activité de programme cible quatre enjeux réglementaires identifiés par les intervenants, à savoir : 1) allégations-santé, aliments nouveaux et ingrédients; 2) application du règlement régissant l'enrichissement alimentaire; 3) reconduction du Programme des pesticides à usage limité; 4) médicaments vétérinaires. Les initiatives mises en œuvre dans le cadre de l'activité de programme « Facilitation de l'efficacité de la réglementation » appuient les principes généraux du gouvernement du Canada énoncés dans la Directive du Cabinet sur la rationalisation de la réglementation. Elles traitent notamment de l'élaboration de cadres de réglementation fondés sur l'adoption de saines pratiques scientifiques, tout en renforçant la transparence, la rapidité, la souplesse, l'efficacité, l'intérêt public et la collaboration gouvernementale afin de minimiser le fardeau de la réglementation pour les intervenants.
Résultats partagés :
Surmonter les principaux obstacles en matière de réglementation dans le but de promouvoir un secteur compétitif et innovateur, tout en protégeant et en renforçant l'intérêt public.
Structures de gouvernance :
AAC, Santé Canada (SC) et l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) ont travaillé ensemble afin d'élaborer une structure de gouvernance globale. Les sous ministres (SM) de SC et d'AAC, et la présidente de l'ACIA superviseront le processus de gouvernance. Trois niveaux de gouvernance ont été établis par le truchement d'un protocole d'entente (PE) :
(En millions de dollars)
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) | Dépenses prévues 2009-2010 | Résultats prévus 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. AAC | En ce qui concerne les allégations-santé, les aliments nouveaux et les ingrédients, ainsi que les pesticides, l'AP d'AAC est « Facilitation de l'efficacité de la réglementation » | a. Allégations-santé, aliments nouveaux et ingrédients; pesticides à usage limité; médicaments vétérinaires | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Un milieu de la réglementation amélioré qui promeut l'innovation, l'investissement et la compétitivité du secteur |
2. ACIA | En ce qui concerne l'enrichissement alimentaire, l'AP de l'ACIA est « Risques liés à la salubrité des aliments et à la nutrition » | b. Enrichissement alimentaire | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Voir ci-dessus |
3. Santé Canada |
En ce qui concerne les allégations-santé, les aliments nouveaux et les ingrédients, l'AP de SC est « Aliments et nutrition »
En ce qui concerne les pesticides à usage limité, l'AP de SC est « Réglementation des pesticides » En ce qui concerne les médicaments vétérinaires, l'AP de SC est « Produits de santé » |
c. Allégations-santé, aliments nouveaux et ingrédients; pesticides à usage limité; médicaments vétérinaires | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Voir ci-dessus |
Total | S.O. | S.O. |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : s.o.
Personne-ressource :
Michael Silverman
Directeur adjoint, Division des enjeux réglementaires en alimentation
1341, chemin Baseline, tour 5, 2e étage, pièce 144
Ottawa (Ontario) K1A 0C5
Tél. : 613-773-0170
Remarque :
Cultivons l'avenir est le nouveau cadre stratégique quinquennal qui remplace le CSA à compter de l'exercice 2008-2009, passant par un cadre de continuité transitoire qui sera en vigueur jusqu'à l'instauration de la nouvelle politique et des nouveaux programmes en 2009-2010. Le budget n'a prévu de fonds que pour 2008-2009 et 2009-2010 (ainsi que des réaffectations internes). Les présentations subséquentes au CT portant sur chaque secteur fonctionnel se poursuivront tout au long de la période de cinq ans que durera le cadre. Entre les deux cadres, il se peut que des programmes soient modifiés pour refléter une nouvelle orientation stratégique.
Nom de l'initiative horizontale : Protocole d'entente entre Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) et l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA)
Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et agroalimentaire Canada
Activité de programme du ministère responsable : Systèmes de gestion des risques liés à la salubrité et à la biosécurité des aliments
Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : Première date de mise en œuvre proposée aux termes du CSA : le 1er avril 2003. Date de mise en oeuvre proposée aux termes du nouveau cadre de travail Cultivons l'avenir : le 1er avril 2009
Date de clôture de l'initiative horizontale : Date de clôture proposée : le 31 mars 2013
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) : Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes.
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Conformément au PE, les initiatives suivantes seront exécutées par l'ACIA :
Les dépenses de fonctionnement de ces deux initiatives sont financées sur quatre ans par le truchement du crédit 1.
Résultats partagés :
Architecture des activités de programme (AAP) d'AAC
Un secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de produits agro-industriels qui gère les risques de manière proactive.
Résultats stratégiques de Cultivons l'avenir
Un secteur de l'agriculture qui contribue aux priorités de la société à l'égard du respect de l'environnement et de la salubrité des aliments.
Un secteur qui gère les risques de façon proactive.
Résultats des initiatives : bénéfices à court et à long terme pour les Canadiens.
A 1) Le Programme de reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments à la ferme sera complètement opérationnel. A 2) Le Programme de reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments en aval de la ferme sera élaboré et opérationnel. B) Les normes nationales de biosécurité visant des groupes de produits prioritaires seront élaborées et approuvées.
Structures de gouvernance :
L'administration générale du PE incombe au directeur général de la Direction des programmes de transformation du secteur agricole d'AAC et au directeur exécutif de la Direction de la salubrité des aliments et de la protection des consommateurs de l'ACIA.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) | Dépenses prévues 2009-2010 | Résultats prévus 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. AAC (travail exécuté par l'ACIA) | Systèmes de gestion des risques liés à la salubrité et à la biosécurité des aliments | a. Reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments à la ferme et en aval de la ferme | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Travail exécuté par l'ACIA |
b. Élaboration de normes nationales de biosécurité | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Travail exécuté par l'ACIA | ||
2. ACIA | Risques liés à la salubrité des aliments et à la nutrition | A. Reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments à la ferme et en aval de la ferme | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. |
1) Élaboration continue du Programme de reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments à la ferme.
2) Élaboration initiale du Programme de reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments en aval de la ferme. 3) Examen et évaluations techniques continus des programmes de reconnaissance des systèmes de salubrité des aliments à la ferme. 4) Soutien scientifique et technique fourni sur demande aux employés et aux intervenants d'AAC. |
B. Élaboration de normes nationales de biosécurité | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. |
1) Élaboration et approbation des normes de biosécurité pour un groupe de produits prioritaire.
2) Élaboration initiale des normes de biosécurité pour un maximum de deux autres groupes de produits prioritaires. |
||
Total | S.O. | S.O. |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : sans objet
Personne-ressource :
Linda Parsons
Directrice générale
Direction des programmes de transformation du secteur agricole
Direction générale des programmes financiers pour l'agriculture
613-759-6234
Remarque :
Cultivons l'avenir est le nouveau cadre stratégique quinquennal qui remplace le CSA à compter de l'exercice 2008-2009, passant par un cadre de continuité transitoire qui sera en vigueur jusqu'à l'instauration de la nouvelle politique et des nouveaux programmes en 2009-2010. Le budget n'a prévu de fonds que pour 2008-2009 et 2009-2010 (ainsi que des réaffectations internes). Les présentations subséquentes au CT portant sur chaque secteur fonctionnel se poursuivront tout au long de la période de cinq ans que durera le cadre. Entre les deux cadres, il se peut que des programmes soient modifiés pour refléter une nouvelle orientation stratégique.
Nom de l'initiative horizontale : Initiative de développement coopératif
Nom du ou des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
Activité de programme du ministère responsable : Développement des régions rurales et développement des coopératives
Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : Première date de mise en oeuvre proposée aux termes du CSA : le 1er avril 2003. Date de mise en oeuvre proposée aux termes du nouveau cadre de travail Cultivons l'avenir : le 1er avril 2009
Date de clôture de l'initiative horizontale : Date de clôture proposée : le 31 mars 2013
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) : Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes.
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Au moyen de l'Initiative de développement coopératif, le Secrétariat aux coopératives fournit des conseils sur les politiques et les programmes touchant les coopératives et conclut des partenariats avec le gouvernement fédéral et l'industrie, les provinces et d'autres intervenants clés afin de mettre en oeuvre des initiatives qui favorisent le développement des coopératives. Le Secrétariat gère un programme de subvention et de contribution qui permet :
Résultats partagés :
Offrir des services à l'échelle du pays afin de créer un environnement favorable au développement et à la croissance des coopératives.
Un plus grand nombre de coopératives solides permet de répondre aux défis liés aux politiques générales.
Les Canadiens sont plus à même d'utiliser le modèle coopératif pour satisfaire à leurs besoins socio-économiques.
Structures de gouvernance :
Le Secrétariat aux coopératives a été créé pour assurer la liaison entre les coopératives canadiennes et les ministères et organismes fédéraux. Il a mis en place des mécanismes visant à faire connaître davantage et à inclure les coopératives dans les politiques et les programmes fédéraux. Ces mécanismes comprennent le dialogue et la collaboration avec des ministères fédéraux clés, ainsi qu'avec des homologues provinciaux et le secteur.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) | Dépenses prévues 2009-2010 | Résultats prévus 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. Secrétariat aux coopératives / AAC | Initiative de développement coopératif | Développement des coopératives | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. |
Des projets coopératifs innovateurs sont mis en oeuvre.
Offrir des services à l'échelle du pays afin de créer un environnement favorable au développement et à la croissance des coopératives. |
Total | S.O. | S.O. |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : S.O.
Personne-ressource :
Donna Mitchell
Directrice exécutive
Secrétariat rural et Secrétariat aux coopératives
613-759-7113
Remarque :
Cultivons l'avenir est le nouveau cadre stratégique quinquennal qui remplace le CSA à compter de l'exercice 2008-2009, passant par un cadre de continuité transitoire qui sera en vigueur jusqu'à l'instauration de la nouvelle politique et des nouveaux programmes en 2009-2010. Le budget n'a prévu de fonds que pour 2008-2009 et 2009-2010 (ainsi que des réaffectations internes). Les présentations subséquentes au CT portant sur chaque secteur fonctionnel se poursuivront tout au long de la période de cinq ans que durera le cadre. Entre les deux cadres, il se peut que des programmes soient modifiés pour refléter une nouvelle orientation stratégique.
Nom de l'initiative horizontale : Partenariat rural canadien
Nom du our des ministères responsables : Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
Activité de programme du ministère responsable : Développement des régions rurales et développement des coopératives
Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : Première date de mise en oeuvre proposée aux termes du CSA : le 1er avril 2003. Date de mise en oeuvre proposée aux termes du nouveau cadre de travail Cultivons l'avenir : le 1er avril 2009
Date d'échéance de l'initiative horizontale : Date de clôture proposée : le 31 mars 2013
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) : Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes.
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Le Partenariat rural canadien (PRC) dirige une initiative intégrée et pangouvernementale dans le cadre de laquelle le gouvernement s'emploie à coordonner ses politiques socio économiques, environnementales et culturelles axées sur le développement socio économique et le renouvellement du Canada rural.
Résultats partagés :
Favoriser la collaboration entre les collectivités rurales et les intervenants pour qu'ils puissent surmonter les obstacles et les défis liés au développement local.
Des renseignements et des outils sont utilisés dans les collectivités et les régions rurales en vue de développer les attraits locaux et d'autres atouts.
De nouvelles activités économiques sont mises en œuvre dans le Canada rural.
Structures de gouvernance :
Le PRC est géré par le Secrétariat rural. Il a mis en place des mécanismes qui visent à faire connaître davantage et à inclure le Canada rural dans les politiques et les programmes fédéraux. Il y a notamment :
Ces efforts sont renforcés par les équipes rurales de chaque province et territoire composées de représentants du gouvernement fédéral dans la région. La plupart des équipes comprennent également des membres du gouvernement provincial ou territorial et/ou des intervenants du secteur.
(En millions de dollars)
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) | Dépenses prévues 2009-2010 | Résultats prévus 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. Secrétariat rural
26 ministères et organismes participent au Réseau de développement rural |
Partenariat rural canadien | Développe-ment rural | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. | Non disponible à l'heure actuelle. Le Conseil du Trésor n'a pas encore approuvé le départage entre les programmes. |
Des initiatives régionales et nationales de partenariat sont en place pour surmonter les obstacles liés au développement rural.
Des intervenants du milieu rural ont accès à des renseignements, à de l'expertise et à des outils nouveaux et révisés ou adaptés en matière de développement rural qui contribuent à éliminer les obstacles au développement innovateur. |
Total | S.O. | S.O. |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : S.O.
Personne-ressource :
Donna Mitchell
Directrice exécutive
Secrétariat rural et Secrétariat aux coopératives
613-759-7113
Remarque :
Cultivons l'avenir est le nouveau cadre stratégique quinquennal qui remplace le CSA à compter de l'exercice 2008-2009, passant par un cadre de continuité transitoire qui sera en vigueur jusqu'à l'instauration de la nouvelle politique et des nouveaux programmes en 2009-2010. Le budget n'a prévu de fonds que pour 2008-2009 et 2009-2010 (ainsi que des réaffectations internes). Les présentations subséquentes au CT portant sur chaque secteur fonctionnel se poursuivront tout au long de la période de cinq ans que durera le cadre. Entre les deux cadres, il se peut que des programmes soient modifiés pour refléter une nouvelle orientation stratégique.
Au cours des trois prochains exercices, CANAFE participera à titre de partenaire aux initiatives horizontales suivantes : |
|
Pour de plus amples renseignements concernant les initiatives horizontales susmentionnées, veuillez consulter : http://www.tbs-sct.gc.ca/est-pre/estimf.asp.
La Commission nationale des libérations conditionnelles participe à la mise en application de la Loi sur les armes à feu à titre de partenaire depuis 1999-2000. L’adoption de cette loi et de modifications connexes du Code criminel a entraîné l’imposition de peines plus longues pour des infractions liées à l’utilisation d’une arme à feu ou d’une fausse arme à feu. Ces peines plus longues occasionnent un plus grand nombre d’examens en vue de la mise en liberté sous condition, ce qui contribue à accroître les coûts (salariaux et non salariaux) de l’exécution des programmes.
C’est pourquoi la Commission s’est vu accorder une augmentation permanente de sa base de financement, qui correspondait à la croissance prévue de sa charge de travail. Cette augmentation était progressive : le montant est passé de 437 000 $ en 1999-2000 à 858 000 $ en 2004-2005 et dans les années ultérieures. Selon les données sur la charge de travail, la Commission effectue chaque année entre 1 400 à 2 000 examens relatifs à des délinquants condamnés pour des infractions liées aux armes à feu. Le coût total estimatif de ces examens se chiffre en moyenne à 1,6 million de dollars, dont 858 000 $ proviennent de fonds alloués en raison des changements apportés aux dispositions législatives sur les armes à feu.
La Commission participera également à la mise en œuvre de la Stratégie nationale antidrogue une fois que les propositions législatives comportant l’instauration de peines minimales obligatoires pour les infractions graves liées à la drogue auront reçu la sanction royale. Il est actuellement prévu d’allouer 7,2 millions de dollars à la CNLC sur quatre ans, ce qui comprend une somme de 2,2 millions en 2009-2010 pour faire face à l’augmentation du nombre d’examens sur la mise en liberté sous condition découlant des peines minimales obligatoires.
Nom de l’initiative horizontale : Initiative de R-D en génomique
Activité de programme du ministère responsable : Recherche et développement
Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : 1999-2000
Date de clôture de l’initiative horizontale : 2010-11
Note : Une présentation au CT est actuellement à l’étude pour l’octroi d’une somme additionnelle de 19,9 M$ par année pour la prochaine phase (2008-2009 à 2010-2011), ce qui porterait les crédits totaux à 59,7 M$ pour cette période.
Total des crédits fédéraux affectés (mise en œuvre à la clôture) : 234 100 000 $
Description de l’initiative horizontale (y compris de l’accord de financement) :
L’Initiative de R-D en génomique a été lancée afin d’établir et de maintenir à l’intérieur des ministères fédéraux une capacité de recherche en génomique. Véritable technologie de base, la génomique met à la disposition des scientifiques de puissants outils et une information précise à l’appui des mandats opérationnels et sur laquelle les décisions en matière
de politique et de réglementation peuvent être fondées. Les ministères et organismes fédéraux à vocation scientifique interagissent avec des partenaires, des parties intéressées et des clients afin que ces technologies et ces outils de base servent au développement d’applications à valeur ajoutée qui permettront au Canada de poursuivre ses priorités nationales et Ã
l’administration fédérale de s’acquitter de son mandat, et qui appuient la création de richesse pour les Canadiens.
Entre autres applications, mentionnons la capacité de répondre à l’obligation internationale de procéder à des essais génomiques pour garantir l’accès des produits canadiens aux marchés internationaux; la capacité d’interpréter et d’analyser l’information génomique incluse dans l’information sur les produits fournie aux autorités réglementaires; le développement d’essais et de produits s’appuyant sur les méthodes de la génomique pour améliorer la qualité de vie des Canadiens, assainir l’environnement et assurer la pérennité de l’activité humaine; certaines considérations socio-économiques et éthiques liées à l’utilisation et à l’intégration de la génomique dans les soins de santé; les activités visant à promouvoir un environnement durable; des produits et des applications industriels ou destinés aux consommateurs ainsi que la stimulation de l’accès des Canadiens à une information précise et compréhensible relative aux sciences génomiques.
Partage des résultats :
Le CGRR de l’Initiative a été révisé en 2006-2007 et son objectif ultime est de rehausser la qualité de vie des Canadiens grâce à une amélioration de leur santé et de leur sécurité, à l’assainissement de l’environnement et au développement social et économique. Les résultats à long terme comprennent entre autres
l’amélioration des soins de santé (notamment des méthodes de diagnostic et de traitement, la diminution des risques pour la santé et l’environnement et la diminution des coûts de la santé); l’atténuation des retombées environnementales de l’activité humaine (amélioration de la qualité de l’eau, promotion d’écosystèmes aquatiques sains et productifs,
viabilité de l’industrie des pêches, de l’agriculture, de la foresterie et de l’aquaculture); et un accroissement de la compétitivité des entreprises canadiennes (grâce notamment à la diversification de l’industrie, à des gains de productivité, à la diminution des coûts et au développement durable).
Structure(s) de gouvernance :
Un comité de coordination interministériel de SMA a été créé pour superviser la gestion de l’Initiative fédérale de R-D en génomique et la coordonner. Ce comité s’assure que des mécanismes efficaces d’établissement des priorités sont en place au sein des différents ministères et que l’Initiative poursuit des objectifs et des priorités qui correspondent à ceux
du gouvernement.
Le comité s’assure également que les principes courants de gestion de la R-D en génomique sont appliqués et qu’il y a bien une collaboration horizontale entre les différents organismes partout où cela est pertinent et possible. Le comité comprend des membres de chacune des organisations recevant des crédits ainsi qu’un représentant d’Industrie Canada.
Un groupe de travail interministériel (GTI) appuie les travaux du comité. Le mandat du GTI consiste à formuler des recommandations et à prodiguer des conseils au comité de coordination de SMA au sujet des priorités stratégiques et de la gestion globale de l’Initiative de R-D en génomique. Le GTI appuie également les efforts déployés pour répondre aux exigences liées à l’évaluation et à la production de rapports dans le cadre de l’Initiative.
Partenaires fédéraux | Activité de programme du partenaire fédéral (AP) | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) (en millions de $) |
Dépenses prévues 2008-2009 (en millions de $) |
Résultats prévus 2008-2009 |
---|---|---|---|---|---|
Agriculture and Agroalimentaire Canada (AAFC) | Projet canadien de génomique des plantes cultivées | Projet canadien de génomique des plantes cultivées d’AAFC | 71,0 $ | 6,0 $ | Voir annexe |
Ministère des Pêches et des Océans (MPO) | Génomique et biotechnologie | Programme de R-D en biotechnologie et génomique aquatiques | 10,6 $ | 0,9 $ | Voir annexe |
Environnement Canada (EC) | Démarches de consommation et de production durables | Applications stratégiques de la génomique à l'environnement | 12,0 $ | 1,0 $ | Voir annexe |
Santé Canada (SC) | Direction générale des produits de santé et des aliments –Produits de santé – Biologie |
Initiative ne génomique de SC/ASPC | 46,0 $ | 4,0 $ | Voir annexe |
Ressources naturelles Canada (RNCan) | Des connaissances pour les Canadiens sur les ressources naturelles et la masse continentale | Initiative de R-D en génomique RNCan-SCF | 23,0 $ | 2,0 $ | Voir annexe |
Conseil national de recherches du Canada (CNRC) | Recherche et développement | Initiative en génomique et en santé | 71,0 $ | 6,0 $ | Voir annexe |
Instituts canadiens de recherche en santé (ICRS) | S. o. – Allocation ponctuelle versée en 1999-2000 pour faciliter la création du Secrétariat de Génome Canada | S. o. | 0,5 $ | 0,0 $ | S. o. |
Total | $ 234,1 | $ 19,9 |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : S. o.
Personne-ressource :
Gary Fudge, ing.
Directeur, Initiatives horizontales des sciences de la vie
Conseil national de recherches du Canada
613-949-0542
Résultats escomptés en 2009-2010
Ministères responsables : Diversification de l’économie de l’Ouest
Activités de programme du ministère responsable : Développement économique des collectivités; Expansion des entreprises et entrepreneuriat; Innovation
Date de mise en ouvre de l'initiative horizontale : Le 17 avril 2008
Date de clôture de l'initiative horizontale : Le 31 mars 2014
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en ouvre à l'échéance) : 100 millions de dollars
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) : Les EPDEO sont des ententes de partage des coûts, de 50 millions de dollars sur quatre ans, entre le gouvernement fédéral et chacune des quatre provinces de l'Ouest en vue de promouvoir les priorités communes de développement économique. L’approbation de nouveaux projets se termine le 31 mars 2012, mais les dépenses liées à des projets approuvés de l’EPDEO peuvent être engagées jusqu’en septembre 2013.
Résultat(s) commun(s) : Une plus grande collaboration entre les administrations fédérale et provinciales pour réaliser le potentiel de développement économique et régional des provinces de l'Ouest afin de soutenir l’innovation, l’entrepreneuriat et la viabilité des collectivités de l’Ouest.
Structures de gouvernance : Comités de gestion fédéraux-provinciaux
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en ouvre à l'échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. Diversification de l’économie de l’Ouest 2. Diversification de l’économie de l’Ouest |
AP 1 – Planification, développement et adaptation de l’économie des collectivités | Diversification de l’économie de l’Ouest | 10 M$ | 5,1 M$ | Fonds obtenus par effet de levier (de toutes les sources) : 1,21 $ pour chaque dollar dépensé |
AP 2 – Expansion des entreprises et entrepreneuriat | Diversification de l’économie de l’Ouest | 45 M$ | 7,8 M$ | Fonds obtenus par effet de levier (de toutes les sources) : 1,21 $ pour chaque dollar dépensé | |
3. Diversification de l’économie de l’Ouest | AP 3 - Innovation | Diversification de l’économie de l’Ouest | 45 M$ | 8,1 M$ | Fonds obtenus par effet de levier (de toutes les sources) : 1,21 $ pour chaque dollar dépensé |
Total | 100 M$ | 21 M$ |
Personne-ressource : Jim Monzer, conseiller principal en politiques
780-495-6881 jim.monzer@wd.gc.ca
2. Ministères responsables : Environnement Canada
3. Activité de programme du ministère responsable : Les Canadiens sont informés des prévisions et des conditions environnementales courantes et y réagissent adéquatement
4. Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : juillet 2003
5. Date de clôture de l'initiative horizontale : activité permanente
6. Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) : absence d'argent neuf - apports multiministériels annuels
7. Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) : Un secrétariat interministériel établie, a coordonné la participation du Canada aux activités intergouvernementales du Groupe sur l'Observation de la Terre (GEO); et avancé des activités coordonnés, systémiques et soutenues d'observation de la terre au Canada, financées par des transferts interministériels annuels et des contributions équivalentes.
8. Résultats partagés :
- accroître l'accès aux données et aux travaux scientifiques d'observation de la Terre en fonction des besoins canadiens de surveillance des conditions environnementales et socioéconomiques;
- optimiser l'efficacité des investissements canadiens dans les réseaux d'observation de la Terre aussi bien au pays qu'à l'étranger;
- améliorer les décisions basées sur des preuves en matière opérationnelle et sur le plan des politiques en se fondant sur des activités coordonnées, systématiques et soutenues d'observation de la Terre.
9. Structures de gouvernance :
- Comité directeur des sous-ministres adjoints (président : sous-ministre adjoint au Service météorologique du Canada);
- Comité interministériel de coordination des directeurs généraux;
- Secrétariat du Groupe sur l'Observation de la Terre.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. Environnement Canada |
AP1
s.o. |
a. Observation des conditions météoÂrologiques et environnementales | chiffre non disponible |
230 000 $ salaires 140 F‑E 38 S‑C 25 en nature |
a) Stratégie fédérale d'observation de la Terre en application; b) comités de travail GEO (humidité des sols, Arctique, données et politique) qui font de véritables progrès; démarche entreprise d'élaboration d'une stratégie nationale d'observation de la Terre; c) GEO s'occupant du SSGOT dans les initiatives des Amériques; d) activités bilatérales entreprises avec les États-Unis; e) autres ministères fédéraux participant aux activités GEO. |
2. Ressources naturelles Canada |
AP1 s.o. |
a. Secteur des sciences de la terre | chiffre non disponible | à déterminer | comme ci‑dessus |
b. Service canadien des forêts | chiffre non disponible | à déterminer | comme ci‑dessus | ||
3. Agriculture et Agroalimentaire Canada |
AP1 s.o. |
a. Sciences et technologie | chiffre non disponible |
20 000 en nature - à déterminer |
comme ci‑dessus |
b. Administration du rétablissement agricole des Prairies et environnement | chiffre non disponible |
20 000 en nature - à déterminer |
comme ci‑dessus | ||
4. Agence spatiale canadienne |
AP 1 s.o. |
a. Observation de la Terre | chiffre non disponible |
40 000 en nature - à déterminer |
comme ci‑dessus |
5. Pêches et Océans Canada |
AP 1 s.o. |
a. Sciences et technologie | chiffre non disponible | à déterminer | comme ci‑dessus |
6. Santé Canada |
AP 1 s.o. |
a. Sources radiatives | chiffre non disponible | à déterminer | comme ci‑dessus |
7. Statistique Canada |
AP 1 s.o. |
a. Agriculture | chiffre non disponible | à déterminer | comme ci‑dessus |
8. Affaires étrangères et Commerce international |
AP 1 s.o. |
a. Environnement | chiffre non disponible | à déterminer | comme ci‑dessus |
Total | chiffre non disponible | à déterminer |
Résultats assignés aux partenaires non fédéraux (s'il y a lieu) : Sans objet
Personne-ressource : Kenneth Korporal, coordonnateur, Secrétariat du Groupe sur l'Observation de la Terre, 373, promenade Sussex, Ottawa (Ontario) K1A 0H3; 613‑995‑2466; kenneth.korporal@ec.gc.ca.
2. Nom du (des) ministère(s) responsable(s) : Environnement Canada
3. Activité de programme du (des) ministère(s) responsable(s) : application de l'ACO
4. Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2005 (PAGL IV - ressources)
5. Date d'échéance de l'initiative horizontale : 31 mars 2010 (date d'expiration de l'ACO et du programme PAGL IV - ressources)
6. Affectation totale de fonds fédéraux (du début à la fin) : 40 millions sur 5 ans (PAGL IV - ressources), plus crédits des services votés.
7. Description de l'initiative horizontale (et de l'accord de financement) : L'Initiative de l'écosystème du bassin des Grands Lacs est le mécanisme dont dispose Environnement Canada pour la coordination et l'exécution des engagements fédéraux en vue du rétablissement et du maintien de l'intégrité chimique, physique et biologique de l'écosystème du bassin des Grands Lacs et aux fins des dispositions de l'Accord Canada-États-Unis relatif à la qualité de l'eau des Grands Lacs. Ce ministère se reporte à l'Accord Canada‑Ontario concernant l'écosystème du bassin des Grands Lacs (ACO) pour faire en sorte que les autres ministères fédéraux et l'Ontario donnent la suite voulue à leurs engagements relatifs à l'accord en question.
L'Initiative de l'écosystème du bassin des Grands Lacs (IEBGL) tient compte des investissements consentis dans le budget de 2005 pour que se poursuivent les efforts déployés dans le cadre du Plan d'action des Grands Lacs en vue de renforcer l'intégrité écologique de cet écosystème. On a affecté au PAGL 40 millions au total sur 5 ans pour la poursuite des activités de rétablissement écologique des principaux milieux aquatiques préoccupants dans la région des Grands Lacs. Les ministères fédéraux ont aussi recours aux ressources de services votés pour mieux parvenir aux résultats prévus par l'ACO.
8. Résultat(s) commun(s) : Dans l'Accord relatif à la qualité de l'eau des Grands Lacs, on énonce pour le Canada et les États-Unis de grands objectifs à long terme pour l'assainissement et la protection des Grands Lacs. L'ACO dresse un plan à court terme pour l'exécution des engagements de l'ACO. Grâce à cet accord, les organismes fédéraux et provinciaux s'inspirent d'une vision commune d'un écosystème sain, prospère et durable du bassin des Grands Lacs pour la présente génération et les générations futures. L'ACO arrête également une finalité et des objectifs communs, ainsi que des résultats et des engagements partagés dans quatre secteurs prioritaires : rétablissement des secteurs préoccupants; lutte aux polluants nocifs; durabilisation des Grands Lacs et de leur bassin; coordination des activités de surveillance, de recherche et d'information.
9. Structure(s) de gouvernance : Huit ministères fédéraux visent à l'obtention des résultats de l'IEBGL dans le cadre de l'ACO : Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Ressources naturelles Canada, Parcs Canada, Transports Canada, Infrastructure Canada et Santé Canada.
Le Comité de gestion de l'ACO est l'organe fédéral-provincial supérieur de direction en ce qui concerne la fixation des priorités et l'établissement de stratégies représentatives des intérêts canadiens et donnant lieu à des initiatives en collaboration avec les organismes américains et la Commission mixte internationale.
Pour gérer les activités de planification, de fixation de priorités et d'affectation des fonds du PAGL IV, il existe un Comité exécutif des Grands Lacs où sont réunis les huit signataires fédéraux de l'ACO. Ce comité a pour rôle d'approuver les orientations et les priorités stratégiques des activités du PAGL IV, ainsi que de coordonner les positions, les stratégies et les initiatives fédérales aux fins des activités et des discussions binationales.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
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Environnement Canada | Utilisation et gestion durables du capital naturel et des paysages exploités | ACO | 37,5 millions du PAGL IV, plus crédits des services votés | 2,4 millions du PAGL IV, plus 2,1 millions en crédits des services votés | Tous les résultats de l'ACO sauf ceux de l'ann. 2‑3.2 |
Pêches et Océans Canada | Écosystèmes aquatiques sains et productifs | ACO | 2,5 millions du PAGL IV, plus crédits des services votés | 445 000 $ du PAGL IV, plus 5,164 millions en crédits des services votés | Ann. 1-2.4; Ann. 1-2.6; Ann. 3-1.2; Ann. 3-1.3; Ann. 3-1.4; Ann. 3-3.1; Ann. 3-3.2; Ann. 3-4.1; Ann. 3-4.2; Ann. 3-5.1; Ann. 4-1.1; Ann. 4-2.2 |
Agriculture et AgroaliÂmentaire Canada | Santé de l'enÂvironnement | ACO | Crédits des services votés | 8 - 10 millions | Ann. 1-1.2; Ann. 1-2.2; Ann. 2-2.3; Ann. 3-1.2; Ann. 3-1.4; Ann. 3-2.2; Ann. 4-1.1; Ann. 4-2.2 |
Ressources naturelles Canada |
Le Canada est un leader mondial en matière de responsabilité environneÂmentale pour la mise en valeur et l'exploitation des ressources naturelles Gestion des risques écoÂsystémiques : le Canada comprend et atténue les risques pour les écosystèmes de ressources naturelles et la santé humaine |
Projet de gestion des déchets radioactifs de faible activité et de longue durée de Port Hope Récoltes forestières du SCF dans les zones riveraines Programme des pesticides du SCF |
Crédits ministériels des services votés; budget C |
675 000 $ | Ann. 1-2.3; Ann. 2-3.1; Ann. 3-1.4; Ann. 3-2.4; Ann. 3-5.1; Ann. 4-2.2 |
Parcs Canada | Conservation des ressources patrimoniales | ACO | Crédits ministériels des services votés | 0 $ | Ann. 3-1.1; Ann. 3-1.2; Ann. 3-1.3; Ann. 3-2.2; Ann. 3-3.2; Ann. 3-3.3; Ann. 4-1.1; Ann. 4-2.2 |
Transports Canada | Protection et assainissement de l'environÂnement : Programme canadien des eaux de ballast | ACO | Crédits ministériels des services votés | 507 000 $ | Ann. 3-1.3; Ann. 3-2.1; Ann. 3-4.1; Ann. 3-4.2 |
InfrastrucÂture Canada | Programmes de financement de l'infrastructure | Plan de Chantiers Canada et programmes d'une durée déterminée (FCIS-FIMR) | Plan de Chantiers Canada et programmes d'une durée déterminée (FCIS-FIMR) | À déterminer* | Ann. 1-2.1; Ann. 3-6.1** |
Santé Canada | Santé environÂnementale et sécurité des consommaÂteurs | ACO | Crédits ministériels des services votés | Absence de crédits des services votés; engagements de l'ACO intégrés aux initiatives du PGPC | Ann. 2-3.2 |
TOTAL: Fonds du PAGL IV, plus crédits ministériels des services votés |
2,85 millions du PAGL IV 17,45 millions en crédits ministériels |
||||
*Pour INFC, nous ne disposons pas de chiffres précis sur les affectations totales et les dépenses prévues pour l'exercice 2009‑2010. Les projets à financer pourraient être déterminés par un cadre concurrentiel au mérite et des discussions fédérales-provinciales ou le ministre des Transports, de l'Infrastructure et des Collectivités pourrait accepter un plan
annuel d'immobilisations décrivant les projets en question. ** À INFC, on entend atteindre les objectifs de l'ACO en mettant l'accent sur les dispositions des annexes 1.2‑1 et 3‑6.1; Il reste qu'INFC emploie sa propre procédure de sélection de projets en recourant à des critères d'admissibilité bien précis. Résultats prévus en 2009-2010 : En 2009‑2010, les progrès pouvant mener à un écosystème durable du bassin des Grands Lacs continueront à maints égards.
Résultats précis par ministère : Environnement Canada Les travaux se poursuivront dans la voie menant au rétablissement des secteurs préoccupants du bassin des Grands Lacs. Environnement Canada prévoit affecter 4,5 millions à un grand nombre de projets et d'initiatives, dont les suivants : · collaboration avec la ville de Toronto à l'élaboration d'un plan directeur de gestion des eaux de pluie (SP de Toronto); · obtention de données et autres renseignements locaux sur les substrats aquatiques immergés en vue de l'élaboration d'options de gestion des sédiments (divers SP); · établissement d'indicateurs d'évaluation de l'efficacité des activités d'assainissement des secteurs préoccupants (divers SP). Nous continuerons à viser à une meilleure compréhension de l'état et des tendances de l'écosystème du bassin des Grands Lacs. Environnement Canada travaillera avec les universités et d'autres organismes gouvernementaux à un grand nombre de projets de recherche sur les eaux et la faune, dont les suivants : · constatation des effets sur la santé du poisson dans les secteurs préoccupants; · surveillance des populations fauniques dans les secteurs préoccupants des Grands Lacs; · modélisation de bassin en vue de l'évaluation des charges nutritives et de la qualité de l'eau.
On continuera à s'attaquer aux rejets de substances nocives. Environnement Canada travaillera avec la communauté des Grands Lacs à divers projets, dont les suivants : · participation à l'élaboration et à l'application de la stratégie de gestion des effluents d'eaux usées municipales en Ontario; · encouragement des citoyens et des membres des Premières nations à rapporter les médicaments et les produits de soins personnels inutilisés et/ou périmés aux pharmacies locales; · participation à des activités de sensibilisation dans le cadre de l'élaboration d'une stratégie provinciale de réduction de l'utilisation de substances toxiques.
Pêches et Océans On continuera à mener des activités scientifiques, à améliorer les habitats du poisson et à combattre les effets négatifs de la présence d'espèces envahissantes établies, ce qui comprend les activités suivantes : · élaboration d'indices d'intégrité du biote et de productivité de l'habitat pour l'évaluation de la diversité et de la biomasse des populations halieutiques côtières (baie de Quinte); · élaboration de schémas classificatoires de l'habitat du poisson pour l'évaluation du rétablissement des habitats halieutiques (baie de Quinte et port de Hamilton); · conception et application de nouvelles méthodes d'échantillonnage pour que les inspecteurs soient plus capables de prélever des échantillons d'eau sur les ballasts en général et sur les réservoirs ne contenant que des eaux résiduaires en particulier.
Agriculture et Agroalimentaire Canada On continuera à améliorer les pratiques de bonne gestion de l'agriculture en associant la communauté agricole du bassin des Grands Lacs à de nombreux projets, dont les suivants : · amélioration des pratiques de gestion des éléments nutritifs; · amélioration de l'efficience de l'utilisation de l'eau; · amélioration de la gestion des zones riveraines (plantation de zones tampons, établissement de clôtures et mise en place de systèmes novateurs d'approvisionnement en eau).
Ressources naturelles Canada On continuera à viser au développement durable des ressources énergétiques, forestières, minérales et métalliques du Canada dans le bassin des Grands Lacs, notamment par les activités suivantes : · amélioration des politiques et des pratiques d'atténuation des effets de l'exploitation forestière sur les cours d'eau; · amélioration de la précision de l'application de pesticides en zone forestière en vue d'atténuer les répercussions sur les organismes aquatiques; · direction des activités de conception de stations d'épuration des eaux usées pour la gestion des déchets radioactifs de faible activité que connaît depuis longtemps la région de Port Hope à la suite des décisions prévues d'autorisation de la Commission canadienne de sûreté nucléaire en 2009 et 2010.
Parcs Canada On continuera à gérer les parcs du bassin des Grands Lacs en vue de mettre en place un réseau viable de zones protégées. |
Résultats assignés aux partenaires non fédéraux (s'il y a lieu) :
Personne-ressource :
Linda Klaamas, Gestionnaire, Bureau de l'environnement des Grands Lacs, Environnement Canada, 416-739-5810
Annexe - Énoncés de résultats de l'ACO
ANNEXE 1 - SECTEURS PRÉOCCUPANTS
Résultat 1.1 - réduire les contaminants microbiens et autres et les charges nutritives excessives venant des eaux usées industrielles ou municipales de manière à atteindre les objectifs de retrait de la liste des SP dans la baie de Nipigon et le fleuve Saint-Laurent (Cornwall);
Résultat 1.2 - réduire les contaminants microbiens et autres et les charges nutritives excessives venant de sources rurales diffuses en fonction des critères de retrait de la liste des SP du fleuve Saint-Laurent (Cornwall);
Résultat 1.3 - élaborer des stratégies de gestion des sédiments contaminés pour le SP de Wheatley Harbour et les mettre en application pour le fleuve Saint-Laurent (Cornwall);
Résultat 1.4 - établir et mettre en application des plans de rétablissement des habitats et des populations du poisson et de la faune en vue d'atteindre les objectifs de retrait de la liste des SP de Wheatley Harbour et du fleuve Saint-Laurent (Cornwall);
Résultat 1.5 - assurer une collaboration éclairée et féconde du gouvernement, des collectivités et des citoyens en vue de mesures prioritaires et complètes de retrait de la liste et de confirmation du rétablissement écologique des SP de la baie de Nipigon, de Jackfish Bay, de Wheatley Harbour et du fleuve Saint-Laurent (Cornwall);
Résultat 1.6 - surveiller l'environnement et produire des rapports permettant de décrire les améliorations et de suivre le mouvement de rétablissement de l'environnement;
Résultat 2.1 - réduire les contaminants microbiens et autres et les charges nutritives excessives venant des stations municipales d'épuration des eaux usées, des débordements d'égouts unitaires et des eaux usées industrielles en vue d'atteindre les objectifs de retrait de la liste des SP des rivières St. Marys, St. Clair, Detroit et Niagara, du port de Hamilton, de Toronto et sa région et de la baie de Quinte;
Résultat 2.2 - réduire les contaminants microbiens et autres et les charges nutritives excessives venant de sources rurales diffuses en fonction des critères d'assainissement (PA) et de retrait de la liste des secteurs préoccupants des rivières St. Clair, Detroit et Niagara, du port de Hamilton et de Toronto et sa région;
Résultat 2.3 - progresser dans l'adoption de stratégies de gestion des sédiments qui visent à atténuer les risques pour l'environnement et la santé humaine que présentent les sédiments contaminés des SP de Thunder Bay, de Peninsula Harbour, des rivières St. Marys, St. Clair, Detroit et Niagara, du port de Hamilton, de Port Hope et de la baie de Quinte;
Résultat 2.4 - élaborer des plans de gestion à long terme et des mesures prioritaires de rétablissement et de protection des habitats et des populations du poisson et de la faune en vue du retrait de la liste des SP des rivières St. Marys, St. Clair, Detroit et Niagara, du port de Hamilton, de Toronto et sa région et de la baie de Quinte;
Résultat 2.5 - assurer une collaboration éclairée et féconde du gouvernement, des collectivités et des citoyens en vue d'activités prioritaires et complètes permettant de retirer des SP de la liste et de confirmer leur rétablissement écologique;
Résultat 2.6 - constater les besoins de surveillance, effectuer des études et jauger les résultats en vue d'évaluer les stratégies de rétablissement écologique des SP et d'appuyer les stratégies d'assainissement.
ANNEXE 2 - POLLUANTS NOCIFS
Résultat 1.1 - réduire les rejets de substances en première étape en vue de réaliser leur quasi-élimination par-delà les réalisations de 2005;
Résultat 2.1 - réduire les rejets de polluants atmosphériques;
Résultat 2.2 - coordonner les activités de réduction des rejets d'eaux usées municipales;
Résultat 2.3 - concevoir et mettre en route un programme de saine gestion des substances chimiques dans le bassin des Grands Lacs;
Résultat 3.1 - enrichir notre compréhension de l'origine, du sort et de l'incidence des polluants nocifs dans le bassin des Grands Lacs;
Résultat 3.2 - comprendre et prendre en charge les risques des polluants nocifs pour la santé humaine dans ce même bassin.
ANNEXE 3 - DURABILITÉ DES GRANDS LACS ET DE LEUR BASSIN
Résultat 1.1 - mieux faire comprendre et apprécier ce qu'est le bassin des Grands Lacs et la contribution qu'il apporte au bien-être social, économique et écologique;
Résultat 1.2 - renforcer les mesures d'intendance qui visent à l'équilibre entre le bien-être et la prospérité des humains et la santé des écosystèmes aquatiques;
Résultat 1.3 - assurer une exploitation durable des ressources du sol et de l'eau et des autres ressources naturelles pour que le bassin des Grands Lacs répande ses bienfaits, aujourd'hui et demain;
Résultat 1.4 - enrichir la compréhension des effets utiles et nocifs de l'activité humaine sur les écosystèmes et les ressources aquatiques du bassin des Grands Lacs;
Résultat 2.1 - réduire les contaminants microbiens et autres et les charges nutritives excessives venant des eaux usées industrielles et municipales, des débordements d'égouts unitaires et des eaux pluviales urbaines en application des mesures prévues par les plans binationaux de gestion à l'échelle des Grands Lacs et les plans d'action correspondants;
Résultat 2.2 - réduire les contaminants microbiens et autres et les charges nutritives excessives venant de sources rurales grâce aux mesures prévues par les plans binationaux de gestion à l'échelle des Grands Lacs et les plans d'action correspondants;
Résultat 2.3 - relever les sédiments contaminés et élaborer des plans de gestion en vue de combattre les rejets et les effets des contaminants sédimentaires sur l'écosystème du bassin des Grands Lacs;
Résultat 2.4 - enrichir la compréhension des effets utiles et nocifs de l'activité humaine sur la qualité des eaux des Grands Lacs;
Résultat 3.1 - protéger, rétablir et maintenir les écosystèmes et les habitats aquatiques des Grands Lacs suivant les plans binationaux applicables;
Résultat 3.2 - progresser dans le rétablissement des espèces indigènes des Grands Lacs pour l'assainissement des écosystèmes aquatiques suivant les plans binationaux applicables;
Résultat 3.3 - enrichir la compréhension des effets utiles et nocifs de l'activité humaine sur les écosystèmes, les habitats et les espèces aquatiques du bassin des Grands Lacs;
Résultat 4.1 - appliquer le Plan d'action national de lutte contre les espèces aquatiques envahissantes dans le bassin des Grands Lacs;
Résultat 4.2 - enrichir la connaissance des effets nocifs des espèces aquatiques envahissantes sur les écosystèmes, les chaînes alimentaires et les espèces aquatiques du bassin des Grands Lacs;
Résultat 5.1 - s'assurer que les gouvernements et la communauté des Grands Lacs comprennent l'incidence des changements climatiques sur la composition, la structure et le fonctionnement de l'écosystème des Grands Lacs, ce qui comprend les aspects de la biodiversité (organismes et leur habitat), de la qualité et de la quantité des eaux, de la santé et de la sécurité humaines (accès à une eau potable propre à la consommation, etc.), du bien-être social et de la prospérité économique;
Résultat 6.1 - constater et évaluer les risques possibles pour la consommation d'eau potable dans les Grands Lacs et adopter rapidement des mesures de prise en charge de ces risques;
Résultat 6.2 - parvenir à connaître et à comprendre les questions préoccupantes de qualité et de quantité des eaux des Grands Lacs comme source d'eau potable.
ANNEXE 4 - COORDINATION DES ACTIVITÉS DE SURVEILLANCE, DE RECHERCHE ET D'INFORMATION
Résultat 1.1 - assurer des programmes souples et complets de surveillance et de recherche;
Résultat 2.1 - améliorer les rapports décrivant les conditions, les changements et les progrès environnementaux;
Résultat 2.2 - mieux mettre en commun les données et autres renseignements entre les gouvernements, les organismes et les occupants du bassin des Grands Lacs.
2. Nom du (des) ministère(s) responsable(s): Environnement Canada
3. Activité de programme du (des) ministère(s) responsable(s): La biodiversité est conservée et protégée
4. Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale: 2000
5. Date d'échéance de l'initiative horizontale: activité permanente (l'approbation actuelle des ressources affectées pour une période déterminée vient à expiration en 2011‑2012)
6. Affectation totale de fonds fédéraux (du début à la fin): 713 millions
7. Description de l'initiative horizontale (et de l'accord de financement) : Cette initiative horizontale appuie l'élaboration et la mise en œuvre de la Stratégie nationale de protection des espèces en péril, qui relève de la loi du même nom (Loi sur les espèces en péril ou LEP) en vigueur depuis juin 2004. Environnement Canada, Pêches et Océans Canada et Parcs Canada sont les ministères et organismes responsables de la protection des espèces en péril de ressort fédéral. Les trois ont reçu des fonds en 2000 du Conseil du Trésor pour la mise en œuvre de la Stratégie nationale de protection des espèces en péril et de leur habitat essentiel, en 2003 pour l'application de la Loi sur la protection des espèces en péril au Canada et en 2007 « pour obtenir des résultats en vertu de la Loi sur les espèces en péril ».
8. Résultat(s) commun(s):
- mise en œuvre de la LEP;
- protection des espèces en péril;
- protection de la biodiversité.
9. Structure(s) de gouvernance:
- Conseil canadien de conservation des espèces en péril (CCCEP) - ministres responsables de la faune aux paliers fédéral et provincial-territorial;
- Sous-ministres canadiens responsables de la faune;
- Comité des directeurs canadiens de la faune (CDCF) - directeurs responsables de la faune aux paliers fédéral et provincial-territorial;
- Comité des sous-ministres délégués (Environnement Canada, Pêches et Océans Canada et Parcs Canada);
- Comité des sous-ministres adjoints (Environnement Canada, Pêches et Océans Canada et Parcs Canada);
- Comité des opérations des directeurs généraux (Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, Parcs Canada et autres).
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
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1. Environnement Canada | AP1 - La biodiversité est conservée et protégée | a. Programme des espèces en péril d'Environnement Canada | 424 000 000 $ | 59 900 000 $ |
Administration générale de la LEP, ce qui comprend la production de rapports annuels au Parlement Préparation de la révision parlementaire de la LEP aux cinq ans et selon les besoins et participation à cet exercice et aux travaux de la Table ronde du Ministre Suite donnée aux recommandations de la Table ronde du Ministre sur la LEP (LEP, art. 127) Officialisation et application des politiques Poursuite de l'application du plan d'action en matière d'évaluation de la LEP Administration permanente des programmes de contributions (PIH, FAEP, FIR, FREP, etc.) Préparation des réponses ministérielles Poursuite des travaux d'officialisation des ententes bilatérales avec les provinces et les territoires Consultations sur les stratégies d'inscription et de rétablissement Initiatives réglementaires nécessaires, ce qui comprend les ajouts d'espèces à la Liste des espèces en péril Élaboration de stratégies de rétablissement Établissement de matériel de sensibilisation, ce qui comprend les mesures d'application et de promotion de la conformité en ce qui concerne la LEP
Mesures prises en cas de contestation judiciaire |
2. Pêches et Océans Canada | AP1 | a. Programme des espèces en péril de Pêches et Océans Canada | 176 500 000 $ | 26 000 000 $ | |
3. Parcs Canada |
AP2 Conservation des ressources patrimoniales |
a. Programme des espèces en péril de Parcs Canada | 102 500 000 $ |
14 100 000 $ (sans les crédits des services votés de plus de 2 millions) |
|
Total | 713 000 000 $ | À déterminer |
Résultats assignés aux partenaires non fédéraux (s'il y a lieu):
Évaluation et réévaluation des espèces, des sous-espèces et des populations par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC)
Activités de financement complémentaire et activités diverses d'intendance des secteurs public et privé pour la protection de l'habitat des espèces en péril dans le cadre du Programme d'intendance de l'habitat
Élaboration de stratégies de rétablissement par les provinces et les territoires avec le concours de spécialistes des universités et des organisations non gouvernementales
Activités de recherche et d'éducation pour le rétablissement des espèces canadiennes en péril grâce au Fonds de rétablissement des espèces canadiennes en péril et avec des fonds ministériels
Protection de l'habitat important ou essentiel grâce au Fonds autochtone pour la protection de l'habitat essentiel
Personnes-ressources:
Mary Taylor
Directrice
Division de la prestation des services de conservation et permis
Service canadien de la faune
Environnement Canada
819-953-6283
Mary.Taylor@ec.gc.ca
Eleanor Zurbrigg
Directrice intérimaire
Région de l'Ontario
Service canadien de la faune
Environnement Canada
613-949-8262
Eleanor.Zurbrigg@ec.gc.ca
2. Nom du (des) ministère(s) responsable(s): Environnement Canada et Secrétariat du Conseil du Trésor
3. Activité de programme du (des) ministère(s) responsable(s): Réduction des risques posés par les substances toxiques et les autres substances nocives pour les Canadiens, leur santé et l'environnement (EC); Élaboration de la politique sur la gestion et surveillance (SCT)
4. Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale: 1er avril 2003 (le PASCF est en cours depuis avril 2005)
5. Date d'échéance de l'initiative horizontale: Financement du PAASCF jusqu'au 31 mars 2008; programme remplacé par le PASCF en avril 2005 pour une durée de 12 à 15 ans; le financement actuel est approuvé jusqu'au 31 mars 2010.
6. Affectation totale de fonds fédéraux (du début à la fin): PAASCF et PASCF - 1 629,1 millions
7. Description de l'initiative horizontale (et de l'accord de financement) : Le Programme d'action accéléré pour les sites contaminés fédéraux (PAASCF) et le programme qui l'a remplacé, à savoir le Plan d'action pour les sites contaminés fédéraux (PASCF), constituent un mécanisme à long terme de prise en charge des lieux contaminés qui présentent les plus grands risques pour la santé humaine et l'environnement. À la fin de mars 2004, il s'agissait là pour les sites contaminés fédéraux d'un engagement financier d'environ 3,5 milliards. Bien que les activités effectives de gestion et d'assainissement des lieux en question incombent aux ministères de garde, le programme est coadministré dans l'ensemble par Environnement Canada et le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada.
8. Résultat(s) commun(s): Réduire l'engagement financier fédéral et les risques pour la santé humaine et l'environnement, ce qui comprend l'habitat du poisson. Accroître la confiance du public dans la gestion globale des biens immobiliers fédéraux par l'efficacité de la gestion des risques ou des mesures individuelles d'assainissement des lieux contaminés de ressort fédéral.
9. Structure(s) de gouvernance pour le PAASCF et le programme qui l'a remplacé, le PASCF: Le Comité directeur des sous-ministres adjoints chargé des sites contaminés fédéraux s'appuie sur les groupes de travail sur la gestion des sites contaminés et le Secrétariat du PASCF (Environnement Canada), lequel assure la coordination générale des activités en question.
Ministère responsable | Environnement Canada |
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Partenaires fédéraux | Ressources naturelles Canada, Transports Canada, Santé Canada, Agence de la santé publique du Canada, Conseil national de recherches, Affaires indiennes et du Nord Canada, Affaires étrangères et Commerce international |
Date de début | Le 1 er avril 2007 |
Date de fin | Le 31 mars 2011 |
Le Programme sur la qualité de l'air (PQA) est le plan d'action du gouvernement visant à apporter des améliorations tangibles à l'environnement du Canada, notamment la réduction de la pollution atmosphérique et des émissions de gaz à effet de serre (GES). Le PQA s'inscrit parmi les mesures prises par le gouvernement pour contrer les changements climatiques et la pollution
atmosphérique dans le but de procurer un environnement propre et sain aux Canadiens. Ces mesures seront mises en œuvre dans deux grandes initiatives :
Pour appuyer les mesures générales prises pour contrer les changements climatiques et la pollution atmosphérique dans le but de créer un environnement propre et sain pour les Canadiens, l'objectif demeurera de réduire les émissions de GES et les polluants atmosphériques par la mise en œuvre de mesures de réglementation, de programmes et d'initiatives, axés notamment sur
le renforcement des capacités, des connaissances et des partenariats avec les principales parties intéressées telles que l'industrie, tant au pays qu'au niveau international.
Il est prévu la création ou la modification de règlements, l'adoption de nouveaux produits, de pratiques et de technologies éconergétiques et une plus grande sensibilisation vont réduire les émissions de GES et de polluants atmosphériques.
Les travaux menés dans le cadre du PQA vont aussi appuyer des mesures visant à aider les Canadiens à s'adapter aux changements climatiques, notamment la poursuite de la collaboration avec les partenaires et les parties intéressées visant à accroître l'utilisation de produits, de pratiques et de technologies d'adaptation. Des outils seront créés pour encourager les Canadiens Ã
adopter des comportements plus durables. Le PQA appuie aussi la participation du Canada aux processus internationaux visant à conclure des ententes et à créer des mécanismes mondiaux destinés à atténuer et à contrer les changements climatiques au niveau international.
La production de rapports sur ces actions sert à démontrer les progrès réalisés vers l'objectif commun de réduire les émissions de gaz à effet de serre et la pollution atmosphérique.
Le CHGRR est dirigé par un Comité de sous-ministres, un Comité directeur de sous-ministres adjoints et un Comité de coordination de directeurs généraux responsables de thèmes, afin de garantir une gestion collective et horizontale fructueuse, notamment par la responsabilisation et la transparence, l'inclusion et la prise de décisions.
Le Secrétariat de la gestion des résultats du Programme sur la qualité de l'air a été créé à Environnement Canada pour faciliter la coordination et la collaboration et appuyer la mise en œuvre du Cadre.
Pour appuyer l'atteinte des objectifs communs du Programme, des résultats précis ont été fixés pour 2009-2010 au regard de chacun des huit (8) thèmes du Programme sur la qualité de l'air. Les résultats attendus pour chacun des thèmes sont détaillés ci-dessous.
Dépenses totales prévues pour 2009-2010 pour l'ensemble du Programme | Dépenses totales approuvées pour la durée du Programme sur la qualité de l'air (2007-2011) |
---|---|
464 608 364 $ |
1 891 840 000 $ |
Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Les réductions préliminaires des émissions de gaz à effet de serre auxquelles on s'attend pour l'exercice 2010-2011 dans le cadre du Programme sur la qualité de l'air comportent des réductions de l'ordre
de 11,0Mt provenant de l'énergie propre, 9,6Mt provenant des transports écologiques et moins de 1Mt provenant des thèmes catalyseurs suivants : qualité de l'air intérieur, adaptation, partenariats, actions internationales et gestion et reddition de comptes, ainsi que des réductions provenant des règlements des industries, selon une quantité tributaire de la formulation définitive
et du moment d'application des règlements.
Les réductions estimatives sont fondées sur les estimations des différents programmes du PQA. Ces estimations ont été considérées au cas par cas puis résumées par thème. En raison des interactions et des synergies qui s'opèrent à l'intérieur des programmes et des règlements et entre eux, l'impact en termes d'émissions totales pour un thème donné peut être moindre que la somme des
différents programmes du PQA.
Ministère responsable | Environnement Canada |
---|---|
Partenaires fédéraux pour le thème | Transports Canada, Ressources naturelles Canada, Santé Canada |
Le PRQA est une approche intégrée uniforme à l'échelle nationale visant à réduire les émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre, conçue pour protéger la santé et l'environnement des Canadiens et éviter de prendre encore plus de retard par rapport à nos partenaires commerciaux. Le règlement et les cibles à rechercher en vertu du PRQA sont conçus dans les
buts suivants :
a) réduire sensiblement les émissions de GES (réduction de 20 % par rapport aux niveaux de 2006 d'ici 2020) et les polluants atmosphériques produits par les principaux secteurs sources;
b) fournir à l'industrie une plus grande certitude à long terme et des règles du jeu uniformes pour lui permettre de faire des investissements importants, synergétiques et rentables en vue de réduire les émissions;
c) renforcer la capacité du Canada à s'engager efficacement dans des discussions internationales, concernant entre autres le mouvement transfrontalier de polluants atmosphériques entre la Canada et les É.-U. et agir sur les négociations internationales relatives aux changements climatiques;
d) contrôler les émissions de produits qui rejettent des polluants intérieurs.
Pour appuyer la réduction des émissions atmosphériques :
Résultats immédiats
Dépenses totales prévues pour 2009-2010 pour les programmes du thème | Dépenses totales approuvées pour la durée du thème de 2007-2011 | Réductions de GES attendues des programmes du thème d'ici 2011 |
---|---|---|
105 343 100 $ | 347 300 000 $ | Tributaire de la formulation définitive et du moment d'application des règlements* |
* Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. La principale réalisation pour la période 2007-2011 est l'élaboration et la mise en œuvre des diverses composantes fédérales qui contribueront à ces réductions. Les réductions débuteront
progressivement pour s'accélérer vers 2020 et atteindre la cible susmentionnée.
L'estimation préliminaire des réductions des émissions de gaz à effet de serre auxquelles on s'attend provenant des règlements des industries sera calculée selon les niveaux prévus (maintien du statu quo) et découlant de l'intensité des émissions réduites pour l'exercice 2010-2011.
Ministère responsable | Ressources naturelles Canada |
---|---|
Partenaires fédéraux pour le thème | Affaires indiennes et du Nord Canada |
La production et l'utilisation de l'énergie sont responsables de la majorité des émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques du Canada. Même si la réglementation nationale obligatoire est la pièce maîtresse du Programme sur la qualité de l'air du gouvernement, il demeure nécessaire d'aborder les sources importantes d'émissions et de polluants atmosphériques
liées à l'énergie qui ne peuvent pas être traitées de façon efficace au moyen d'une réglementation.
Dans le cadre du Programme sur la qualité de l'air, Ressources naturelles Canada (RNCan) et Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC) exécutent les initiatives écoÉNERGIE : un ensemble de mesures visant à promouvoir une utilisation plus intelligente de l'énergie, à accroître l'offre d'énergie propre et à appuyer l'élaboration et le déploiement de technologies énergétiques
propres.
La série d'initiatives de l'Énergie propre ont été conçues pour compléter les aspects réglementaires du Programme sur la qualité de l'air en mettant en vedette les travaux existants du gouvernement et en lançant de nouvelles mesures qui traitent immédiatement d'importantes sources d'émissions et qui faciliteront la transition vers les réductions majeures des émissions qui seront
exigées par réglementation à long terme.
À titre de ministère responsable du thème de l'Énergie propre, RNCan est chargé de recueillir, de rassembler et de rendre compte des renseignements sur les progrès réalisés par les programmes d'Énergie propre.
L'adoption de produits et de services à faible consommation d'énergie qui mènent à une réduction des émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques.
Résultats immédiats
Dépenses totales prévues pour 2009-2010 pour les programmes du thème | Dépenses totales approuvées pour la durée du thème de 2007-2011 | Réductions de GES attendues des programmes du thème d'ici 2011 |
---|---|---|
224 862 000 $ |
877 040 000 $ | 11,0 MT* |
*Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Ce qui est indiqué ci-dessus représente les réductions préliminaires attendues des GES pour le thème de l'Énergie propre. Les réductions estimatives des émissions sont fondées sur les estimations relatives aux divers programmes du PAA. Les estimations des réductions attribuables aux divers programmes du PAA ont été déterminées au cas par cas et totalisées par thème. À cause des interactions et des synergies qu'il peut y avoir au sein des programmes et des règlements ainsi qu'entre ces programmes et ces règlements, l'effet total des émissions, pour un thème particulier du PAA, peut être inférieur à la somme des différents programmes du PAA.
Ministère responsable | Transports Canada |
---|---|
Partenaires fédéraux pour le thème | Ressources naturelles Canada, Environnement Canada |
Les mesures programme du thème du transport écologique viseront ce qui suit : une meilleure gestion de l'infrastructure des transports durable dans les collectivités, une plus grande efficacité et la réduction des émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre (GES) issues du transport de marchandises, et une meilleure efficacité du carburant et la réduction des émissions issues du parc de véhicules personnels.
En 2009-2010, les douze programmes relevant du thème du transport écologique se situeront à leur troisième année de fonctionnement. Dotés de tout le personnel nécessaire et efficaces, ces programmes aideront à obtenir les résultats immédiats et intermédiaires qui sont prévus dans le cadre de ce thème. En cette époque de fluctuations des prix du carburant, ces programmes
inciteront de façon constante et énergique à mettre au point et à appliquer des technologies de réduction des émissions, à rehausser la connaissance qu'a le public des occasions de réduire les émissions et à faire participer ce dernier à la réduction des émissions dues au secteur du transport. Les réalisations attendues sont résumées sous les rubriques suivantes :
Des positions éclairées sur les politiques et les programmes
Résultats immédiats
Dépenses totales prévues pour 2009-2010 pour les programmes du thème | Dépenses totales approuvées pour la durée du thème de 2007-2011 | Réductions de GES attendues des programmes du thème d'ici 2011 |
---|---|---|
77 565 762 $ |
461 600 000 $ |
9,6 MT* |
*Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Ce qui est indiqué ci-dessus représente les réductions préliminaires attendues des GES pour le thème du transport écologique. Les réductions estimatives des émissions sont fondées sur les estimations relatives aux divers programmes du PAA. Les estimations des réductions attribuables aux divers programmes du PAA ont été déterminées au cas par cas et totalisées par thème. À cause des interactions et des synergies qu'il peut y avoir au sein des programmes et des règlements ainsi qu'entre ces programmes et ces règlements, l'effet total des émissions, pour un thème particulier du PAA, peut être inférieur à la somme des différents programmes du PAA.
Ministère responsable | Santé Canada |
---|---|
Partenaires fédéraux pour le thème | Conseil national de recherches du Canada |
Santé Canada et le Conseil national de recherches du Canada sont responsables de la mise en œuvre du thème de la qualité de l'air intérieur comme élément intégral du Programme sur la qualité de l'air général du gouvernement. Ce thème du Programme sur la qualité de l'air comprend deux éléments : l'initiative de R-D sur l'air intérieur (Conseil national de recherches du Canada) et le Programme du radon (Santé Canada). Ensemble, ces initiatives contribueront aux résultats du thème en appuyant la recherche, le développement et la diffusion des connaissances sur les risques pour la qualité de l'air intérieur et les manières de gérer ces risques. En générant et en partageant les connaissances sur les polluants de l'air intérieur et la façon de les gérer, les éléments du thème de la qualité de l'air appuieront une prise de décision informée des gouvernements, de l'industrie et des consommateurs sur des moyens rentables de réduire les expositions dangereuses et ainsi de réduire les risques pour la santé. Même si les résultats de ces deux initiatives fondées sur la recherche peuvent fournir des données utiles à des initiatives réglementaires éventuelles en vertu du Programme sur la qualité de l'air, leur utilité dépasse grandement cela, surtout en aidant à cerner et à cibler des mesures non réglementaires qui traitent des préoccupations relatives à l'air intérieur.
Résultats immédiats
La sensibilisation accrue du public, des gestionnaires de propriété et des gouvernements au sujet des risques à la santé et des causes de qualité réduite de l'air intérieur ainsi que des stratégies pour l'améliorer.
Dépenses totales prévues pour 2009-2010 pour les programmes du thème | Dépenses totales approuvées pour la durée du thème de 2007-2011 | Réductions de GES attendues des programmes du thème d'ici 2011 |
---|---|---|
5 700 000 $ | 23 000 000 $ |
Moins de 1 MT* |
*Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Ce qui est indiqué ci-dessus représente les réductions préliminaires attendues des GES pour le thème de la qualité de l'air intérieur. Les réductions des émissions estimées sont fondées sur les estimations pour les programmes individuels du Programme sur la qualité de l'air. Les estimations des réductions des programmes individuels du Programme sur la qualité de l'air ont été calculées au cas par cas et résumées en fonction des thèmes. Vu les interactions et les synergies au sein des programmes et des règlements et entre eux, les répercussions des émissions totales pour un thème donné du Programme sur la qualité de l'air peuvent être inférieures à la somme des mesures des programmes individuels du Programme sur la qualité de l'air.
Ministère responsable | Environnement Canada |
---|---|
Partenaires fédéraux pour le thème | Santé Canada, Ressources naturelles Canada, Affaires indiennes et du Nord Canada, Agence de la santé publique du Canada |
Les programmes d'adaptation commenceront à aider tous les Canadiens à renforcer leur capacité à s'adapter, en développant les connaissances, l'information, les outils, et/ou des accords de collaboration dont ils ont besoin pour prendre des mesures visant à réduire leurs risques avec succès. Ces initiatives diffèrent d'un grand nombre des programmes du Programme sur la qualité de l'air puisqu'ils ne contribuent pas à des réductions des gaz à effet de serre, mais ils appuient plutôt l'activité complémentaire critique d'adaptation aux répercussions des changements climatiques. Environ la moitié du financement total renforcera la capacité à intervenir aux divers risques partout au pays et demeure pertinent à beaucoup de secteurs économiques et de régions. L'autre moitié visera trois risques urgents : (i) le Nord, où les répercussions d'un climat en plein changement sont déjà nettement visibles, la vulnérabilité des collectivités et de l'infrastructure est élevée et le gouvernement fédéral a des obligations constitutionnelles et des réclamations territoriales uniques envers les peuples autochtones et les résidents du Nord; (ii) la santé humaine, qui fait face à des risques particuliers en raison de conditions et de temps extrême liés aux changements climatiques, et de la propagation de maladies infectieuses; et (iii) l'infrastructure, dans laquelle les gouvernements et les entreprises investiront des centaines de milliards de dollars au cours de la prochaine décennie, qui doit être conçu de façon à endurer les conditions climatiques qui seront différentes de celles du passé.
Voici certains des principaux résultats prévus en 2009-2010 :
La Cote air santé et le Programme de prévision de la qualité de l'air du thème de l'Adaptation ont obtenu l'approbation du Conseil du Trésor (CT) en 2007-2008, alors que d'autres programmes n'ont pas été approuvés avant le début d'avril 2008 - certains résultats ont été déclarés en 2007Â2008 (voir ci-dessous).
Résultats immédiats
Dépenses totales prévues pour 2009-2010 pour les programmes du thème | Dépenses totales approuvées pour la durée du thème de 2007-2011 | Réductions de GES attendues des programmes du thème d'ici 2011 |
---|---|---|
33 587 536 $ |
115 900 000 $ |
Non applicable* |
*Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Même si ce thème n'entraînera pas de réduction directe des émissions, il joue quand même un rôle complémentaire important en aidant les Canadiens à s'adapter aux effets des changements climatiques, à former des partenariats pour l'exécution de programmes ou le transfert des connaissances et à placer le Canada dans l'importante collectivité environnementale internationale.
Ministère responsable | Environnement Canada |
---|---|
Partenaires fédéraux pour le thème | Ressources naturelles Canada, ministère des Affaires étrangères et du Commerce international, Industrie Canada |
Ce thème vise l'avancement des mesures internationales du Canada sur les changements climatiques, l'amélioration de la qualité de l'air canadien et la réduction des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Un financement de 50 M$ est nécessaire afin de mettre en œuvre les mesures suivantes :
Afin de faire progresser les intérêts et les objectifs stratégiques du Canada liés aux changements climatiques et à la qualité de l'air, et d'harmoniser les politiques canadiennes nationales et internationales sur les changements climatiques et la pollution atmosphérique :
Résultats immédiats
Dépenses totales prévues pour 2009-2010 pour les programmes du thème | Dépenses totales approuvées pour la durée du thème de 2007-2011 | Réductions de GES attendues des programmes du thème d'ici 2011 |
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13 299 966 $ | 50 000 000 $ |
Non applicable* |
*Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Même si ce thème ne permettra pas de réaliser des réductions directes des émissions, il sert en fait de catalyseur pour ces thèmes qui comportent des cibles de réduction.
Ministère responsable | Environnement Canada |
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Ce programme a été établi par le gouvernement fédéral à l'appui de « Prendre le virage : Un plan d'action pour réduire les gaz à effet de serre et la pollution atmosphérique ». Le principal objectif est d'améliorer la capacité des collectivités et des
personnes d'adopter des mesures positives en faveur de la protection de l'environnement à la maison, à l'école et en milieu de travail qui peuvent présenter des avantages durables.
Le but du programme est de veiller à ce que tous les projets financés aient des résultats mesurables et puissent être repris par d'autres groupes ou organisations. Les projets financés dans le cadre des Partenariats communautaires pour l'air pur (PCAP) visent à amener les Canadiens à prendre des mesures environnementales positives dans les secteurs suivants :
Efficacité énergétique au foyer et à l'extérieur - Encourager l'efficacité énergétique et l'économie d'eau, la réduction des déchets, et le remplacement ou l'achat de produits ou de technologies plus efficaces sur le plan de l'énergie, y compris des appareils électroménagers, de l'éclairage et des tondeuses éconergétiques, ainsi que l'achat d'énergie
provenant de sources renouvelables; Durabilité à l'école - Améliorer l'efficacité énergétique des opérations scolaires et la gestion des installations en faisant participer les responsables, les directeurs, les enseignants, les étudiants et les parents. Le programme comporte également un volet éducationnel visant à amener les enseignants et les étudiants
à en apprendre davantage sur l'efficacité énergétique, l'économie des ressources en eau et la réduction des déchets; et Écologisation du milieu de travail - Inciter les employés à adopter des comportements écologiques au travail et encourager les propriétaires et les gestionnaires d'entreprises à appliquer des mesures pour réduire la consommation
d'énergie et les émissions connexes dans leurs activités quotidiennes.
Ce type d'activité joue un rôle important. On examine la possibilité d'utiliser des initiatives complémentaires et différentes, au sein et à l'extérieur d'EC, afin de remplir ce rôle à l'aide d'une approche plus rentable. Bien qu'il pourrait y avoir une réduction générale des investissements dans les ententes particulières devant être financées par ce programme, des programmes
similaires seront maintenus pour que le gouvernement fédéral puisse continuer de financer des projets communautaires axés sur l'efficacité énergétique et la réduction de la pollution atmosphérique. Le Ministère continuera de réinvestir dans une panoplie d'activités de programme différentes qui visent à atteindre les résultats escomptés.
Une demande de propositions sera émise en vue de projets nationaux, régionaux ou locaux qui encourageront les Canadiens à adopter des comportements plus durables à la maison, à l'école et au travail. Les projets seront notamment axés sur l'efficacité énergétique au foyer et à l'extérieur, la durabilité à l'école et l'écologisation du milieu de travail.
L'infrastructure du programme sera élaborée :
Résultats immédiats
Dépenses totales prévues pour 2009-2010 pour les programmes du thème | Dépenses totales approuvées pour la durée du thème de 2007-2011 | Réductions de GES attendues des programmes du thème d'ici 2011 |
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3 000 000 $ | 12 000 000 $ |
Non applicable* |
*Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Même si ce thème ne permettra pas de réaliser des réductions directes des émissions, il sert en fait de catalyseur pour ces thèmes qui comportent des cibles de réduction.
Ministère responsable | Environnement Canada |
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Le thème de la gestion et de la responsabilisation trace la voie pour le Cadre horizontal de gestion, de responsabilisation et de rapport (CHGRR) du Programme sur la qualité de l'air. Ce thème facilite la gestion et les rapports des renseignements sur le rendement financier et non financier au niveau du programme dans la limite des huit thèmes de façon consolidée (aux niveaux du thème et du programme) dans l'ensemble des ministères et des organismes participants. Ce thème assure la surveillance et l'évaluation continues des progrès vers l'atteinte des objectifs et des résultats attendus par rapport aux investissements financiers, et il facilite l'établissement de priorités et la réaffectation des ressources, le cas échéant, assurant l'engagement de la structure de gouvernance au sein du CHGRR du Programme sur la qualité de l'air.
Afin d'appuyer l'amélioration de la responsabilisation à l'égard des parlementaires et des citoyens canadiens; l'engagement actif de ministères et d'organismes partenaires; la collecte efficace et opportune d'information sur le rendement; et la cohérence de l'architecture du Programme sur la qualité de l'air :
Résultats immédiats
Dépenses totales prévues pour 2009-2010 pour les programmes du thème | Dépenses totales approuvées pour la durée du thème de 2007-2011 | Réductions de GES attendues des programmes du thème d'ici 2011 |
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1 250 000 $ | 5 000 000 $ |
Non applicable* |
*Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Le thème de la gestion et de la responsabilisation coordonne et appuie la mise en œuvre du Cadre du Programme sur la qualité de l'air, agissant de facteur habilitant pour les thèmes qui se sont engagés à des cibles de réduction.
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.3 Programme sur l'air pur |
Dans le cadre des Mesures réglementaires du secteur industriel et conformément au plan Prendre le virage publié le 10 mars 2008, Environnement Canada prévoit, pour 2009-2010 :
Cadre réglementaire : Élaboration d'un cadre réglementaire pour les polluants atmosphériques et les GES émis par tous les secteurs industriels, en partenariat avec toutes les compétences responsables grâce à une approche à polluants multiples.
Analyse juridique : Les règlements sont conformes aux autorités de la loi habilitante.
Mécanismes de conformité souples : Offrir aux sociétés différentes options de conformité, réduisant ainsi l'incidence économique des règlements.
Cibles d'émissions atmosphériques : Fixer des objectifs d'émissions conformes aux meilleures normes environnementales et au moins aussi rigoureux que ceux des États-Unis.
Système de rapport : Système rigoureux garantissant que les cibles sont atteintes tout en allégeant le plus possible le fardeau des industries ciblées, en évitant le chevauchement, si possible, et en assurant la transparence de l'information.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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20 390 000 $ | 60 500 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air pur |
Réductions des émissions atmosphériques proposées (sur route et hors route)
Réduire les émissions de polluants atmosphériques (NOx , COV et matières particulaires) rejetées par les véhicules et les moteurs. Les réductions des émissions réalisées varient selon les réglementations et dépendent de nombreux facteurs, tels que les taux d'émissions des produits en place, l'intransigeance par rapport aux niveaux réglementés et les taux d'attrition de
certains types de véhicules et de moteurs.
Moteurs nautiques à allumage commandé et véhicules récréatifs hors route
Réduire progressivement les émissions totales des parcs en service de moteurs hors bord, de motomarines, de motoneiges, de motocyclettes et de véhicules tout terrain hors route, à mesure que de nouveaux produits écologiques remplacent les anciens véhicules et moteurs dont les émissions sont plus importantes. Il est prévu que des moteurs marins et des véhicules récréatifs hors
route plus écologiques entraînent une réduction de 46 % de l'ensemble des émissions d'hydrocarbures et de NOx en 2020, comparativement aux taux d'émissions dans la situation où il n'y a pas de réglementation. De même, les émissions de CO devront être réduites de 30 %.
Moteurs diesel de véhicules hors route
Entrée en vigueur progressive des modifications au Règlement sur les émissions des moteurs hors route à allumage par compression aux fins d'harmonisation avec les normes, plus sévères, sur les émissions du groupe 4 de l'EPA (agence américaine de protection de l'environnement), en commençant par l'année modèle 2008, ce qui contribuera à abaisser les niveaux d'émission admissibles
concernant les moteurs des véhicules de 50 à 95 % pour les matières particulaires (MP) et de 37 à 85 % pour les hydrocarbures et les NOx , selon la catégorie de puissance du moteur. D'ici 2020, on estime que le lancement des moteurs hors route du groupe 4 qui sont plus écologiques et utilisés dans des activités hors route, telles que les travaux publics, l'agriculture,
l'exploitation minière et la foresterie permettra de réduire les émissions contribuant au smog et provenant des parcs en service de moteurs diesel hors route de 54 % pour les MP, de 39 % pour les NOx , de 21 % pour les COV et de 54 % pour le CO.
Gros moteurs à allumage commandé de véhicules hors route
Introduire de nouvelles normes sur les émissions contribuant au smog pour les gros moteurs à allumage, tels que ceux des chariots à fourche et des surfaceuses de patinoire. Les premières estimations laissent prévoir que d'ici l'an 2020, le lancement de gros moteurs à allumage plus écologiques permettra de réduire les polluants atmosphériques provenant de ces parcs de moteurs en
service de 17 % pour les NOx , de 22 % pour les COV et de 36 % pour les CO.
Le système de diagnostic intégré pour moteurs routiers lourds
Introduire de nouvelles exigences réglementées pour les systèmes de diagnostic intégrés des véhicules routiers lourds qui seront produits à partir de l'année 2010 aux fins d'harmonisation avec les nouvelles exigences américaines. Les systèmes de diagnostic intégrés surveillent les composants liés aux émissions, détectent la détérioration ou les défaillances et les communiquent au
conducteur ainsi qu'au technicien en réparations, veillant ainsi à ce que les avantages d'une meilleure qualité de l'air soient réalisés grâce aux meilleures technologies de contrôle des émissions atmosphériques durant tout le cycle de vie des nouveaux véhicules. Les nouvelles exigences permettront de garantir que les réductions des émissions prévues à partir de 2010 concernant
les véhicules lourds soient réalisées grâce aux conditions appliquées aux véhicules et aux moteurs en service.
Réductions des émissions atmosphériques proposées (navires)
Un travail initial permettra de déterminer les réductions d'émissions potentielles. Il sera suivi d'efforts visant à mettre en place des normes internationales. Cela a pour objectif de réduire les émissions des polluants atmosphériques (SO2 , NOx et des matières particulaires) provenant des navires. Étant donné qu'on est en train de travailler à la mise en
place d'une réglementation, l'étendue des réductions à réaliser n'a pas encore été déterminée; toutefois, d'importantes réductions des émissions de SO2 , des NOx et des MP devraient être faites grâce à la mise en œuvre de normes internationales plus sévères concernant les moteurs et les carburants marins.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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6 830 000 $ | 24 200 000 $ |
Ministère | Transports Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.1 - Politiques et programmes à l'appui du développement durable |
Réduction des émissions atmosphériques proposées (chemin de fer)
Le ministre des Transports, en collaboration avec celui de l'Environnement, continuera d'appuyer la conclusion d'un protocole d'entente avec l'Association des chemins de fer du Canada (ACFC) conforme aux normes sur la pollution atmosphérique de l'EPA des États-Unis et faisant en sorte que l'industrie continue d'améliorer son
rendement relatif aux émissions au cours de la période de 2006 à 2010. À l'expiration du protocole, l'approche volontaire sera remplacée par un régime de réglementation. Le nouveau règlement sera mis en œuvre par le ministre des Transports en vertu de la Loi sur la sécurité ferroviaire et entrera en vigueur en 2011. Des consultations avec les parties intéressées seront entreprises.
Réductions des émissions atmosphériques proposées (navires)
Transports Canada élaborera des règlements en vertu du de la Loi sur la marine marchande du Canada (2001) pour appliquer des normes plus strictes en matière de polluants atmosphériques. Le Ministère appuiera aussi Environnement Canada dans sa proposition d'établir une zone nord-américaine de contrôle des émissions, en
collaboration avec les États-Unis. Enfin, le Ministère proposera à l'Organisation maritime internationale des mesures mondiales uniformes destinées à réduire les émissions de gaz à effet de serre des navires.
Réductions d'émissions atmosphériques proposées (véhicules à moteur)
Comme il l'a annoncé en janvier 2008, le Canada élaborera des règlements qui, à tout le moins, atteindront l'objectif fixé par le Congrès américain dans l'Energy Independence and Security Act. Cette loi prescrit un rendement combiné du parc d'automobiles et de camions légers de 35 milles au gallon (6,7 litres aux 100
kilomètres) d'ici 2020. Le gouvernement continue de travailler pour la mise en œuvre d'un règlement sur la consommation de carburant pour les véhicules de l'année modèle 2011.
Conformément aux politiques gouvernementales, Transports Canada effectue une analyse de rentabilisation afin d'élaborer les règlements canadiens. Cette évaluation comprendra une analyse, dans le contexte canadien, des normes définitives d'économie moyenne de carburant appliquées aux États-Unis. Transports Canada mène aussi, à des
fins de comparaison, une analyse technique détaillée des normes proposées par l'État de la Californie, dans un contexte canadien.
Le gouvernement canadien a mené de vastes consultations pour recueillir des avis sur l'élaboration du tout premier règlement sur la consommation de carburant des véhicules à moteur. Le gouvernement tiendra compte de ces avis dans le déroulement de ses travaux. Le projet de règlement sur la consommation de carburant sera conçu de
manière à offrir aux Canadiens un vaste choix de véhicules, pour différents usages, à l'intérieur d'une gamme de produits à faible consommation. Cette réglementation prendra aussi en considération la nature intégrée du marché de l'automobile en Amérique du Nord.
Réduction des émissions atmosphériques proposées (chemin de fer)
Le résultat prévu est la réduction des émissions de polluants atmosphériques (NOx) et des GES des locomotives de chemin de fer. Des cibles particulières seront élaborées au moyen du processus de réglementation.
Réductions d'émissions atmosphériques proposées (navires)
Après un travail initial visant à déterminer les réductions d'émissions potentielles, les efforts se porteront sur la mise en place de normes internationales. Cela a pour objectif de réduire les émissions des polluants atmosphériques (SO2, NOx et des matières particulaires) provenant des navires. Étant donné qu'on est en train de travailler à la mise en place
d'une réglementation, l'étendue des réductions à réaliser n'a pas encore été déterminée; toutefois, d'importantes réductions des émissions de SO2, des NOx et des MP devraient être faites grâce à la mise en œuvre de normes internationales plus sévères concernant les moteurs et les carburants marins.
Réductions des émissions atmosphériques proposées (véhicules à moteur)
Une réduction mesurable de la consommation de carburant, en litres/100 km, du nouveau parc de véhicules légers au Canada, à compter de 2011. Le programme réduira les émissions de GES à mesure qu'un plus grand nombre de véhicules à haut rendement énergétique sont ajoutées au parc de véhicules canadiens chaque année.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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6 115 500 $ | 22 500 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 - Énergie propre |
En 2009-2010 :
RNCan continuera de diriger l'élaboration de la partie du règlement portant sur l'étiquetage des véhicules. En collaboration avec Transports Canada, RNCan élabore les critères du règlement énonçant le contenu, le format et la méthode de détermination des valeurs des cotes de consommation de carburant à afficher sur l'étiquette et qui doivent être définies dans le règlement qui
sera pris en vertu de la Loi sur les normes de consommation de carburant des véhicules automobiles . Les prescriptions relatives à la nouvelle étiquette doivent être établies et approuvées à temps pour la publication du règlement provisoire dans la Gazette du Canada , Partie I.
RNCan fournira aussi des avis spécialisés dans l'analyse menant à l'établissement de normes efficaces par rapport au coût pour les véhicules à moteur au Canada. Une partie de l'analyse nécessaire à la réalisation de l'engagement du Canada à comparer sa norme de consommation de carburant à des normes dominantes en Amérique du Nord a été retardée en 2008-2009 en raison de retards
dans le processus de réglementation des États-Unis. À la lumière des décisions prises par le gouvernement américain, RNCan travaillera avec Transports Canada en 2009-2010 aux dernières analyses nécessaires pour comparer les normes canadiennes.
Une réduction mesurable de la consommation de carburant, en litres/100 km, du nouveau parc de véhicules légers au Canada, à compter de 2011. Des cibles de réductions particulières seront établies d'ici la fin de 2008. Le programme réduira les émissions de GES à mesure qu'un plus grand nombre de véhicules à haut rendement énergétique sont ajoutées au parc de véhicules canadiens chaque année. Le règlement axé sur l'amélioration de la consommation de carburant des véhicules a la possibilité de réduire la pollution atmosphérique au tuyau d'échappement aussi.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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400 000 $ |
3 200 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air pur |
En 2009-2010, au moyen des Mesures réglementaires relatives aux produits commerciaux et de consommation, Environnement Canada prévoit achever et mettre en œuvre les règlements suivants :
Réduire les émissions de polluants atmosphériques provenant des produits grand public et commerciaux. On procède actuellement à la détermination d'objectifs précis dans le cadre du processus réglementaire. Les polluants qui font l'objet de préoccupations particulières concernent les COV, en plus des émissions provenant du chauffage résidentiel au bois.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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3 260 000 $ | 12 000 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
En 2009 -2010, ce programme contrôlera la mise en œuvre des normes et des composantes d'étiquetage de la modification 10 au Règlement sur l'efficacité énergétique. Cette modification, dont l'approbation est attendue pour décembre 2008, mettra en œuvre sept nouvelles normes de produits et renforcera les normes de quatre produits déjà assujettis à des normes.
Les dispositions relatives à l'étiquetage des ampoules électriques seront aussi mises en œuvre.
Le programme comporte aussi l'analyse et la consultation nécessaires à la pré-publication et à la publication de la Modification 11 au Règlement sur l'efficacité énergétique , qui proposera six nouvelles normes et renforcera les normes de sept produits.
Les activités de conformité et de surveillance menées pour l'ensemble des produits assujettis à des normes d'efficacité énergétique seront poursuivies.
La communication d'information aux consommateurs et des échanges avec les intervenants appuieront les programmes d'étiquetage de haute efficacité Energy Star. On prévoit faire la démonstration de produits d'éclairage et de chauffage commercial à haut rendement. De plus, des analyses de normes et de possibilités de transformation du marché seront menées en collaboration
avec les services publics et les provinces.
RNCan continuera d'examiner les projets de modification de la Loi sur l'efficacité énergétique.
Programme d'étiquetage du rendement énergétique
Les répercussions annuelles cumulatives estimées en 2010-2011 sont : des économies d'énergie de 13,37 à 14,85 pétajoules par année, ce qui se convertissent actuellement en réductions annuelles des émissions de 1,4 à 1,6 mégatonnes par année pour les GES et, pour les polluants atmosphériques, les plus importants sont : 725-1002 tonnes de NOx , 837-3446 tonnes de
SO2 , 204-1155 tonnes de PM10 .
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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8 750 000 $ | 32 000 000 $ |
Ministère | Santé Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.1 - Environnements sains et sécurité du consommateur |
Mesures de gestion de la qualité de l'air intérieur
Santé Canada continuera de travailler avec les parties intéressées et ses partenaires provinciaux et territoriaux à recueillir de l'information sur les polluants de l'air intérieur, à évaluer les sources d'exposition et les niveaux de risque afin d'établir des lignes directrices appropriées et d'élaborer des programmes de sensibilisation et de prévention pour le public et les professionnels de la santé et à mettre au point des règlements sur les produits sources, au besoin, afin de réduire l'exposition à ces contaminants.
Air intérieur
Santé Canada appuie les mesures de gestion des risques et veille à leur amélioration en vue d'éliminer les risques que représente la qualité de l'air intérieur pour la santé, notamment le radon. À cet effet, Santé Canada élabore des directives concernant l'air intérieur, des programmes de sensibilisation et de prévention ainsi que des règlements concernant les produits sources,
en vue de réduire l'exposition aux contaminants intérieurs.
Mettre en œuvre les règlements, les directives et d'autres mesures visant à réduire la pollution de l'air intérieur, ce qui engendrera des avantages pour la santé des Canadiens. Durant une période de quatre ans, s'occuper des plus importants contaminants intérieurs de l'environnement résidentiel intérieur au Canada, en étudiant 20 contaminants ou groupes de contaminants et
en recourant à des consultations à ce propos, tout en organisant des réunions de suivi et d'information portant sur un maximum de 10 priorités, en plus d'élaborer des directives et, le cas échéant, des règlements concernant les produits sources, afin de réduire l'exposition à ces contaminants.
Diffuser des renseignements pertinents sur la santé et adresser des conseils aux Canadiens en vue de mettre en œuvre les règlements concernant la qualité de l'air intérieur et les mesures de réduction de la pollution.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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5 478 000 $ | 17 500 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air pur |
Programme 5, résultat 1 : Les objectifs et les lignes directrices en matière de qualité de l'air sont basés sur une information scientifique valable.
Science à l'appui des activités de réglementation et de la responsabilisation
Dégager et combler les lacunes importantes dans les connaissances sur l'environnement et la santé afin de fournir les renseignements nécessaires à l'accomplissement des fonctions dans le cadre du Programme de réglementation de la qualité de l'air.
Mettre en pratique les résultats de la recherche lors de l'élaboration des règlements proposés et d'autres mesures de la réduction de la pollution atmosphérique qui sont en rapport avec l'Avis d'intention publié conjointement avec le Programme de réglementation de la qualité de l'air.
Surveillance
Fournir des évaluations, des données et des modèles qui décrivent l'impact des sources de pollution atmosphérique, afin d'éclairer les évaluations scientifiques ainsi que l'élaboration et la mise en œuvre des règlements.
Effectuer des évaluations et établir des rapports concernant les progrès réalisés pour ce qui est de la qualité de l'air en général, de la qualité de l'air ambiant, des avantages acquis dans le domaine de la santé et de l'environnement ainsi que de la valorisation économique, après la mise en œuvre des mesures entreprises dans le cadre du Programme de réglementation de la
qualité de l'air. En outre, fournir les renseignements requis pour assurer un choix et une élaboration de règlements et d'autres mesures de réduction de la pollution fondés.
Modélisation
Mettre au point, modifier et appliquer des techniques de modélisation de la qualité de l'air pour éclairer l'élaboration et la mise en œuvre du Programme de réglementation de la qualité de l'air.
Évaluations
Fournir des renseignements et des avis fondés sur la science pour informer correctement les Canadiens et les décideurs; déterminer si les réductions des émissions se traduisent par une meilleure qualité de l'air ambiant et des bienfaits pour l'écosystème et la santé humaine; aider à déterminer si d'autres mesures pourraient s'avérer nécessaires et fournir des évaluations et des
avis scientifiques pour l'établissement d'objectifs de qualité de l'air.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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13 566 000 $ |
40 100 000 $ |
Ministère | Santé Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.1 - Environnements sains et sécurité du consommateur |
Santé Canada et Environnement Canada vont fixer ensemble des objectifs de qualité de l'air pour les matières particulaires et l'ozone, assortis d'une concentration cible pour l'air ambiant, fondée sur une évaluation des effets sanitaires et environnementaux de l'exposition à ces polluants. À mesure qu'ils seront adoptés, les nouveaux carburants et les nouvelles technologies
seront évalués au regard de leurs effets sur la santé. Les activités de recherche vont améliorer l'estimation des effets de la pollution atmosphérique et des sources de pollution sur la santé. Des modèles et des outils servant à quantifier les effets sur la santé et les coûts économiques de la pollution atmosphérique et les avantages d'une meilleure qualité de l'air, comme la Cote
air santé et l'Outil pour évaluer les avantages d'une meilleure qualité de l'air (OEAQA), seront perfectionnés et utilisés pour fournir des orientations sur le choix des options de gestion dans la lutte contre la pollution atmosphérique.
Mesures et produits livrables :
Santé Canada appuie et améliore les mesures de gestion des risques afin de traiter les risques pour la santé de la qualité de l'air extérieur et travail à déterminer et à régler les écarts du savoir lié à la santé et à l'environnement critique afin de fournir des renseignements visant à exécuter des responsabilités en vertu du PRQA.
Fournir des mesures, des données et des modèles qui décrivent les répercussions des sources de pollution atmosphérique afin d'informer les évaluations scientifiques et de présenter des suggestions pour l'élaboration et la mise en œuvre du PRQA.
Mesurer et rendre compte des progrès réalisés en matière de qualité de l'air, des améliorations à la qualité de l'air ambiant, et les avantages pour la santé et l'environnement et l'évaluation économique obtenue, découlant de mesures entreprises en vertu du PQRA, et informer le choix et l'élaboration de futurs règlements et autres mesures de réduction de la pollution.
Fournir des renseignements et des conseils fondés sur la science, afin de donner de l'information précise aux Canadiens et aux décideurs : dans le but de déterminer si les réductions des émissions engendrent une meilleure qualité de l'air ambiant ainsi que des avantages pour l'écosystème et la santé des êtres humains; d'aider à déterminer si d'autres mesures pourraient s'avérer nécessaires; et de fournir des évaluations ainsi que des conseils scientifiques en vue de fixer les objectifs concernant la qualité de l'air.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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24 304 600 $ | 71 300 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air pur |
Le programme de déclaration des émissions permettra ce qui suit :
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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10 005 000 $ | 39 000 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air pur |
Élaboration du programme d'échange de droits : Fournir des conseils stratégiques sur la conception de systèmes d'échange de droits d'émissions pour les gaz à effet de serre et les polluants atmosphériques dans le contexte d'un régime nord-américain de plafonnement et d'échange de droits.
Registre national canadien relatif au Protocole de Kyoto : Préparer de la documentation à l'intention des utilisateurs et du personnel de soutien et donner au personnel une formation sur l'utilisation du système. Lancer le registre national à l'usage des titulaires de compte privés. Fournir l'évaluation des quantités d'émissions du Canada aux fins du relevé international des
transactions des Nations Unies.
Système intérieur de suivi des crédits (SISC) du Canada : Achever la conception du manuel sur le SISC et élaborer des politiques sur la protection des renseignements personnels et la confidentialité. Mettre le système à l'essai. Préparer de la documentation pour les utilisateurs et le personnel de soutien et donner au personnel une formation sur l'utilisation du système.
Mettre en place un système national d'échange de droits d'émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphérique (NOx et SO2 ) et un système de compensation national pour les émissions de gaz à effet de serre. Par ailleurs, on réfléchira à la conception d'un système de compensation national pour les polluants atmosphériques.
Fournir une base dans le cas où le Canada décidait de lancer des négociations avec les É.-U. pour adopter leur système d'échange de droits d'émissions des NOx et des SO2 .
Encourager le développement et le déploiement des technologies de réduction des émissions grâce aux mesures incitatives axées sur le marché, offertes dans le cadre des systèmes d'échange de droits d'émissions.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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2 502 000 $ | 10 000 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air pur |
Des améliorations et des mises à jour seront apportées continuellement à l'outil de cartographie et d'information relatif aux émissions, extension logicielle de cartographie offrant une méthode simplifiée d'extraction de données détaillées sur les polluants atmosphériques jusqu'à l'échelle des municipalités.
Des analyses de la circulation de l'air à différents endroits au Canada et à des emplacements à proximité aux États-Unis seront menées et comparées aux données ambiantes pour contribuer à déterminer les régions et les facteurs atmosphériques associés aux concentrations de PM2,5 et d'ozone. Cette information pourra être combinée aux données sur les émissions mentionnées
plus haut pour définir les bassins atmosphériques et les régions sources qui contribuent à hausser les niveaux de polluants.
L'analyse antérieure de modélisation des récepteurs à des lieux de surveillance de la spéciation des PM2,5 en zone urbaine au Canada sera élargie pour inclure l'examen des postes ruraux de contrôle des PM2,5 situés à proximité. Cette analyse servira à répartir les contributions de PM2,5 de source locale par rapport au transport en direction (et en
provenance) de zones urbaines.
L'examen de la représentativité spatiale des PM2,5 , de l'ozone et de leurs échantillons précurseurs dans le réseau de surveillance canadien permettra de mieux évaluer comment les populations y sont exposées.
Un atelier servira à élaborer des méthodes uniformes permettant de transformer les données sur les PM2,5 afin de les rendre compatibles avec les mesures des instruments plus récents, de façon à ce que les données puissent servir à l'analyse des tendances et des changements dans les MP au fil du temps.
Établir un « Rapport annuel sur la qualité de l'air » qui informera les Canadiens sur l'état actuel et les tendances de la qualité de l'air au Canada ainsi que sur les facteurs qui l'influencent.
Établir une référence qui permettra d'évaluer les progrès réalisés à l'échelle nationale et l'efficacité des politiques.
Garantir l'applicabilité du règlement proposé à l'étape de la rédaction et préparer l'application de l'éventuel règlement au moyen d'activités comme la formation des agents de l'autorité.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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1 742 000 $ | 7 000 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air pur |
Mettre à jour les données de base sur l'énergie, les émissions et l'économie, qui serviront de point de référence pour les prochaines analyses du programme canadien de lutte aux changements climatiques.
Effectuer une analyse de modélisation économique des principaux éléments des méthodes de réduction des émissions industrielles. Cette analyse examinera les effets potentiels sur les principaux paramètres comme les réductions d'émissions, les coûts de l'énergie et la croissance économique par secteur.
Effectuer une analyse de modélisation économique des principales options d'atténuation axées sur l'objectif national canadien de réduire de 20 % les émissions responsables des changements climatiques d'ici 2020 (p. ex. normes d'économie de carburant plus strictes pour les véhicules à passagers, resserrement des codes du bâtiment et des normes des appareils et équipements, réseau
est-ouest de distribution d'électricité, captage et stockage du carbone).
Effectuer une analyse de modélisation économique des options de rechange à un régime nord-américain de plafonnement et d'échange de droits d'émissions.
Élaborer des profils économiques des principaux secteurs industriels (pipelines; pâtes et papiers; produits chimiques; raffinage du pétrole; ciment; chaux et gypse; fer et acier; aluminium et fusion; minerai de fer; potasse et autres ressources minières; pétrole et gaz conventionnels; production d'électricité; sables bitumineux).
Maintenir l'aptitude des politiques à appuyer le gouvernement fédéral dans ses prises de décision, en lui offrant une analyse politique fiable et des conseils judicieux pour ce qui est de la poursuite de l'élaboration du volet portant sur la qualité de l'air et les changements climatiques dans le cadre du programme environnemental.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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2 000 000 $ | 8 000 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
Le programme écoÉNERGIE pour les bâtiments et les habitations encourage à la fois la construction et la rénovation d'un plus grand nombre de bâtiments et d'habitations éconergétiques.
En 2009-2010 :
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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16 100 000 $ | 61 000 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
L'initiative écoÉNERGIE Rénovation offre aux propriétaires de maison, ainsi qu'aux entreprises et aux organisations de petite taille, une aide financière pour rénover leurs maisons, leurs petits immeubles et leurs procédés industriels.
En 2009-2010, pour les habitations :
Prolonger l'Initiative pour les bâtiments existants (IBE)
La prolongation devrait engendrer jusqu'à 300 nouveaux projets de rénovation et vérifications énergétiques, ce qui entraînera une réduction de 0,2 MT des émissions de GES.
écoÉNERGIE Rénovation - Maisons
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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56 500 000 $ | 220 000 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
L'initiative écoÉNERGIE pour l'industrie vise à activer les investissements axés sur les économies d'énergie ainsi que l'échange de renseignements sur les pratiques exemplaires au sein du secteur industriel du Canada.
En 2009-2010 :
Résultats intermédiaires
L'industrie met en œuvre des projets et des pratiques d'efficacité énergétique.
Résultats final
Des économies d'énergie entraînant la réduction des émissions de GES et de PCA.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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4 300 000 $ | 18 000 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
Résultats
Produire, d'ici 2011, 14,3 térawatt-heures d'électricité par an, soit environ 4 000 MW de capacité de production, selon le mélange des sources d'énergie utilisées, ce qui représente actuellement des réductions annuelles des émissions se situant entre 6 et 6,7 Mt pour les émissions à effet de serre et, pour les principaux contaminants atmosphériques (PCA), les plus significatives
réductions se situent entre 2 et 3 kilotonnes pour les NOx , entre 3 et 12 kilotonnes pour le SO2 , entre 0,6 et 4 kilotonne pour les PM10 , en plus d'autres PCA. Acquérir une plus grande expérience au Canada ainsi qu'une plus importante production d'énergie renouvelable à faible impact réalisée par les services publics, les producteurs
d'électricité indépendants et d'autres intervenants.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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74 850 000 $ | 276 000 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
Résultats
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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8 000 000 $ | 36 000 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
Électricité propre
Résultats
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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55 222 000 $ |
226 440 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
Politique
Politique
Résultats
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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6 140 000 $ |
24 600 000 $ |
Ministère | Affaires indiennes et du Nord Canada |
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Activité de programme du ministère | Collectivités nordiques saines |
En 2009-2010, l'initiative écoÉNERGIE pour les collectivités autochtones et nordiques continuera de soutenir les efforts faits par les collectivités autochtones et nordiques pour mettre sur pied leurs propres projets d'énergie propre, de façon à aider à réduire leur dépendance à l'égard du carburant diesel, à réduire leurs coûts d'énergie, à contribuer à la réduction des gaz Ã
effet de serre et des principaux contaminants atmosphériques au Canada et, par-dessous tout, à intervenir dans l'amélioration de l'état de santé de leurs membres.
Le programme mettra des fonds à la disposition :
Résultats immédiats
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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3 750 000 $ | 15 000 000 $ |
Ministère | Transports Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Air pur - Transport |
Soutien financier
Les résultats à court terme comprennent
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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2 803 000 $ |
9 300 000 $ |
Ministère | Transports Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Air pur - Transport |
Information et soutien décisionnel
Résultats immédiats
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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4 315 000 $ | 14 100 000 $ |
Ministère | Transports Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Air pur - Transport |
L'élément principal de cette initiative est lié à la mise en place de dispositifs de limitation de vitesse dans les camions de grande taille, une mesure qui relève de la compétence des provinces et des territoires. En 2009, les provinces de l'Ontario et du Québec, qui représentent plus de 60 % des activités de camionnage au Canada, de même qu'à la suite, en partie, d'études que Transports Canada a menées et de rapports qu'il a produits au cours de l'été 2008, commenceront à réglementer la vitesse maximale des véhicules commerciaux de grande taille grâce à la mise en place obligatoire d'un dispositif de limitation de vitesse (vitesse maximale limitée à 105 km/h) à bord de ces véhicules. Cette exigence s'appliquera à tous les véhicules exploités dans ces deux provinces, indépendamment de leur lieu d'attache. L'Ontario et le Québec mettent également au point les détails d'un programme de sensibilisation à l'exécution de cette mesure, qui sera mise en œuvre sur leur territoire, afin d'accorder un délai de « grâce » lors de la période de transition. Transports Canada a réservé une somme maximale de 5 millions de dollars en fonds de contribution afin d'aider les provinces à acquérir des dispositifs qui contribueront à appliquer les mesures de détection et d'exécution. Transports Canada s'attend également à recevoir une proposition des provinces qui pourraient avoir l'intention d'obliger à doter les camions de grande taille de limitateurs de vitesse. Il pourrait être nécessaire d'accorder à cette fin une aide financière et Transports Canada est disposé à examiner des propositions. Transports Canada a fait part de ses conclusions à toutes les provinces et tous les territoires, qui évaluent actuellement leur intérêt à cet égard.
Ce programme de contribution est conçu pour atteindre les objectifs suivants
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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2 153 000 $ | 5 400 000 $ |
Ministère | Transports Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Air pur - Transport |
Soutien financier
Le programme de contribution est en réponse directe à la croissance rapide des activités de transport du fret, dont il est prévu qu'elle mènera à une augmentation des émissions.
Ce programme de contribution est conçu pour atteindre les objectifs suivants
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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3 718 201 $ | 9 300 000 $ |
Ministère | Transports Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Air pur - Transport |
Soutien financier
Le programme de contribution est en réponse directe à la croissance rapide des activités de transport du fret, dont il est prévu qu'elle mènera à une augmentation des émissions.
Ce programme de contribution est conçu pour atteindre les objectifs suivants
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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4 109 561 $ | 9 350 000 $ |
Ministère | Transports Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Air pur - Transport |
Partenariats et réseaux. Industrie nationale du transport des marchandises
Partenariats internationaux sur les réductions des émissions
Les Partenariats internationaux sur les réductions des émissions permettront d'intensifier la présence aux comités internationaux, aux groupes de travail et à d'autres tribunes qui mettent au point des approches internationales concernant les modes aérien et maritime. Cette activité suscitera une réglementation, des normes et de meilleures pratiques ou directives plus sévères qui
sont en cours de développement et mèneront à une réduction globale des émissions de gaz à effet de serre et des polluants atmosphériques ainsi qu'à une efficacité accrue au sein des secteurs maritimes et de l'aviation.
Initiative des partenariats avec l'industrie du transport
TC mettra en œuvre et surveillera le protocole d'entente (PE) actuellement conclu avec l'Association du transport aérien du Canada. TC signera également, mettra en œuvre et suivra de près un protocole d'entente avec l'Association des chemins de fer du Canada. TC établira des partenariats similaires avec l'industrie maritime. Les activités du programme comprendront
l'apport de fonctions de secrétariat aux divers comités de gestion des protocoles d'entente, l'examen des rapports annuels et de progrès, et les vérifications de surveillance. TC mènera également des études et des initiatives, en collaboration avec l'industrie, dans le but de favoriser les progrès vers les objectifs en matière d'émissions et de continuer de jouer un rôle de
facilitateur pour aider l'industrie à aborder les barrières qui s'opposent à la réduction des émissions et qui sont au-delà de la portée des industries individuelles. Cette initiative mènera à une entente volontaire dans le cadre de laquelle les associations modales et leurs membres s'engageront à réduire leurs émissions de contaminants atmosphériques.
Programme d'efficacité pour les expéditeurs et les transitaires de fret
TC prendra appui sur les résultats obtenus par des groupes de consultation récents en vue de nouer de nouveaux partenariats directement avec les utilisateurs des systèmes de fret, de façon à améliorer les décisions qu'ils prennent sur le plan du transport et à intensifier l'adoption de pratiques et de choix modaux plus durables. TC mènera des études, des évaluations de rendement
et prendra d'autres initiatives afin de se procurer et de produire les renseignements exigés par les expéditeurs et les transitaires pour que ceux-ci soient en mesure de prendre des décisions de transport éclairées. TC travaillera aussi avec l'industrie à préparer des enquêtes annuelles sur les pratiques environnementales et les décisions prises par l'industrie, et commanditera ou
accueillera des conférences, des ateliers, etc. Ce programme instruira les usagers des systèmes de fret quant aux effets causés par leurs décisions en matière de transport du fret. À l'aide de ces connaissances, les usagers seront en mesure d'inclure les impacts environnementaux dans leur processus décisionnel lorsqu'ils exerceront un choix entre les divers modes et
transporteurs.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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1 860 000 $ | 6 550 000 $ |
Ministère | Transports Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Air pur - Transports |
Lignes directrices et ententes/soutien financier
Le programme de contribution est en réponse directe à la croissance rapide des activités de transport du fret, dont il est prévu qu'elle mènera à une augmentation des émissions.
Ce programme de contribution est conçu pour atteindre les objectifs suivants
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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1 406 000 $ | 5 700 000 $* |
* Exclut des fonds approuvés de $0,3 millions pour l'exercice financier 2011-2012 accordés suite à l'extension du programme.
Ministère | Transports Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Air pur - Transport |
Conseils/études de recherche
Dans le cadre de ce programme, Transports Canada lancera un certain nombre d'études et analysera diverses options stratégiques concernant des secteurs qui suscitent un intérêt important pour le Ministère sur le plan de l'environnement. Cela consistera notamment à élaborer et à lancer une stratégie de données sur les changements climatiques en collaboration avec divers
intervenants, dont les principaux ministères fédéraux chargés des politiques relatives aux changements climatiques (comme Environnement Canada et Ressources naturelles Canada), les gouvernements des provinces et des territoires ainsi que les industries et les associations du secteur des transports, de façon à s'attaquer aux lacunes importantes et de répondre aux besoins en
données. Le succès de cette initiative dépend à tout prix de la collaboration des provinces et des territoires. Les études seront principalement axées sur l'amélioration des données et des outils relatifs au transport du fret et au transport urbain, tout en notant que les provinces et les territoires ont compétence sur ces deux volets importants du secteur des transports.
Une étude importante qui sera lancée en 2009-2010 portera sur l'établissement d'un modèle d'énergie - gaz à effets de serre pour le secteur ferroviaire; une fois terminée, cette étude améliorera la capacité de Transports Canada d'évaluer diverses options réglementaires et stratégiques visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre dues au système de transport du Canada.
Des discussions auront lieu avec les provinces et d'autres intervenants quant à la façon de combler d'autres lacunes statistiques dans le secteur du transport de fret (comme le camionnage), ainsi qu'à propos d'une mesure visant à mettre à jour la Table des transports sur les changements climatiques de 1999.
En outre, des travaux sont actuellement en cours sur la mise au point d'un modèle de véhicule utilitaire léger. Ce modèle, une fois terminé, devrait permettre d'analyser les objectifs concernant la réglementation de la consommation de carburant, avec et sans politiques incitatrices. Le modèle est conçu pour permettre d'analyser les impacts potentiels des mesures complémentaires
provinciales et nationales.
Un projet important sera la création de données sur les parcs provinciaux de véhicules utilitaires légers, afin d'évaluer les mesures provinciales. Ces données seront obtenues en décodant les dossiers d'immatriculation des véhicules, ce qui se poursuivra au cours de l'année 2009-2010. On s'attend aussi à ce que les données relatives à la consommation de carburant soient liées aux
achats des parcs de véhicules utilitaires légers nouveaux ou existants. Le succès de ces projets et de ces initiatives oblige à collaborer avec les provinces et les territoires.
L'objectif crucial de cette initiative est d'aider à assurer la présence des compétences nécessaires spécialisées en matière d'analyse et de politiques, afin d'appuyer et de pousser plus loin la recherche, les politiques et les programmes associés aux priorités fédérales concernant le transport durable, l'assainissement de l'air et les changements climatiques.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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985 000 $ | 4 000 000 $ |
Ministère | Transports Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Air pur - Transport |
Toutes les demandes relatives au Programme de remise écoAUTO doivent être reçues avant le 31 mars 2009. Toutes les demandes reçues avant cette date, mais non encore examinées à ce moment-là , seront traitées au début de l'exercice 2009-2010.
Il n'y aura donc en 2009-2010 aucune activité de demande à mesurer.
Cependant, au cours de l'exercice 2009-2010, Transports Canada mettra en œuvre et effectuera un sondage auprès de la clientèle, c'est-à -dire les consommateurs et les concessionnaires canadiens. Ce sondage évaluera l'impact du Programme de remise écoAUTO sur le comportement des acheteurs de véhicules utilitaires légers relativement au changement de comportement des
consommateurs et des détaillants. ÉcoAUTO aura fourni jusqu'à la somme de 247 millions de dollars aux consommateurs pour qu'ils achètent des véhicules plus éconergétiques.
Les renseignements figurant dans les dossiers ainsi que le sondage mené auprès de la clientèle devraient fournir des renseignements exacts sur la sensibilisation des consommateurs et des concessionnaires aux véhicules de rechange consommant moins de carburant, ainsi que leur degré d'acceptation à l'égard de ces derniers.
L'objectif principal du Programme de remise écoAUTO est d'offrir des mesures incitatives en vue d'encourager à acheter des véhicules personnels éconergétiques, et réduire ainsi les émissions atmosphériques et la consommation d'énergie dans le secteur du transport, au soutien du Programme sur la qualité de l'air du gouvernement.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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1 943 000 $ | 252 700 000 $* |
* Veuillez noter que le programme se termine avec l'exercice financier 2009-2010
Ministère | Ressources humaines et Développement social Canada |
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Activité de programme du ministère |
Toutes les demandes relatives au Programme de remise écoAUTO doivent être reçues avant le 31 mars 2009. Toutes les demandes reçues avant cette date, mais non encore examinées à ce moment-là , seront traitées au début de l'exercice 2009-2010, pour l'exercice 2008-2009, à l'aide du processus des CAFE.
Il n'y aura donc en 2009-2010 aucune activité de demande à mesurer.
Cependant, au cours de l'exercice 2009-2010, Transports Canada mettra en œuvre et mènera un sondage auprès de la clientèle, c'est-à -dire les consommateurs et les concessionnaires canadiens; ce sondage permettra de mesurer l'efficacité et l'impact du Programme de remise écoAUTO.
Les renseignements figurant dans les dossiers ainsi que le sondage mené auprès de la clientèle devraient fournir des renseignements exacts sur la sensibilisation des consommateurs et des concessionnaires aux véhicules de rechange consommant moins de carburant, ainsi que leur degré d'acceptation à l'égard de ces derniers.
Les activités du programme écoAUTO comprennent également la réception et le traitement des demandes de rabais des consommateurs qui achètent des véhicules admissibles, à la suite de quoi les bénéficiaires admissibles reçoivent des chèques de rabais en temps opportun.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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300 000 $ | 11 300 000 $* |
* Veuillez noter que le programme se termine avec l'exercice financier 2009-2010
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 - Énergie propre |
Objectifs visés pour 2009-2010
Résultats finals
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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6 050 000 $ | 21 000 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 - Énergie propre |
Résultats visés pour 2009-2010
Résultats finals
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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6 000 000 $ | 22 000 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air propre |
Soutien financier
Le programme de mise à la casse visera les modèles d'automobiles personnelles datant de 1995 ou avant, en état de marche et immatriculées, et assurées depuis au moins six mois. Une série d'encouragements sera proposée à ces propriétaires. Ces incitatifs pourraient comprendre un encouragement financier, des passages gratuits dans les transports en commun, d'autres encouragements
favorisant d'autres modes de transport durables (comme l'adhésion à un système de covoiturage ou un rabais sur l'achat d'une bicyclette); ou un rabais sur un véhicule de modèle 2004 ou plus récent, fourni par un constructeur et/ou un concessionnaire. Il y aura des différences régionales quant au genre et à la valeur des encouragements selon la contribution des partenaires locaux,
par exemple les commissions de transport.
À la fin de quatre ans, le programme aura obtenu les résultats suivants
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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41 923 000 $ | 92 000 000 $ |
Ministère | Conseil national de recherches |
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Activité de programme du ministère | 1.1 Recherche et développement |
Évaluation des effets sur la santé humaine et sur la qualité de l'air intérieur, d'une amélioration de la ventilation de l'air intérieur et de la distribution de l'air intérieur
Le laboratoire de recherche sur l'air intérieur terminera la conception des interventions (rénovation des systèmes de ventilation à récupération de chaleur, amélioration de la circulation de l'air, et accroissement des taux de renouvellement de l'air), y compris les mesures réelles des taux de renouvellement d'air et l'utilisation d'outils de modélisation, au moyen des données
recueillies sur les maisons à Québec, dans le cadre de l'étude sur le terrain continue.
Depuis le mois de novembre 2008, les maisons où vivent des enfants asthmatiques sont étudiées avec l'aide de deux équipes sur le terrain. La plupart des 120 maisons (max.) auront été étudiées trois fois en 2009-2010, et par la suite, 50 % des maisons feront l'objet d'interventions; les autres 50 % serviront de témoins. Les interventions débuteront à l'automne 2009 et se
poursuivront jusqu'au cours du printemps 2010.
Évaluation des technologies et des solutions liées à la qualité de l'air intérieur
Une analyse environnementale des technologies actuelles liées aux « solutions de QAI » a été effectuée pour cerner les technologies candidates en vue de l'élaboration de protocoles. Plus de 40 technologies ont été classées et priorisées en fonction de leur pertinence potentielle pour la santé, de leur impact mesurable sur les polluants qui influent sur la santé, de la faisabilité
d'évaluations au moyen des protocoles élaborés, de la disponibilité des produits, du soutien en ce qui a trait à l'étiquetage, et de critères de faisabilité liés au temps et aux coûts. Un document portant sur ces technologies de « solution de QAI » est en cours de rédaction et sera présenté à des fins d'examen par les pairs d'ici le mois de septembre 2009.
Trois à quatre protocoles d'évaluation des technologies seront élaborés, évalués puis validés à l'égard de ces solutions de QAI priorisées. Cette tâche comprendra également la préparation des établissements de recherche ainsi que la préparation des appareils d'analyse nécessaires à l'évaluation de l'impact des technologies. La première technologie de solution de QAI qui sera
abordée est celle des épurateurs d'air mobiles. Un atelier technique sur les aspects scientifiques, techniques et technologies de cette solution de QAI aura lieu en avril 2009. Un document technique sur le protocole visant cette solution sera rédigé au plus tard vers le milieu de 2009. Le rapport sur l'essai technique connexe sera présenté à des fins d'examen par les pairs et de
publication d'ici la fin de l'exercice 2009-2010.
Établissement d'un comité national consacré à l'air intérieur
Un nouveau comité national sur la QAI et les immeubles entreprendra l'élaboration de deux guides des pratiques exemplaires aux fins de la définition d'une QAI acceptable et de l'évaluation de la QAI.
Évaluation des effets sur la santé humaine et sur la qualité de l'air intérieur, d'une amélioration de la ventilation de l'air intérieur et de la distribution de l'air intérieur
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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2 000 000 $ | 8 000 000 $ |
Ministère | Santé Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.1 Santé environnementale et sécurité des consommateurs |
Cartographie
Levés de plans, cartographie et détermination systématique des points chauds en termes de radon dans toutes les régions les plus populeuses du Canada, dont on sait ou pense qu'elles sont à risque en raison des conditions géologiques et climatiques locales associées à des niveaux élevés de radon.
Santé Canada effectuera, en collaboration avec RNCan, des relevés aériens d'emplacements sélectionnés au Canada afin d'évaluer les niveaux de radioactivité provenant de l'uranium et d'autres sources de radioactivité naturelle. Le radon provient de la désintégration de l'uranium se trouvant dans le sol, la roche ou l'eau. Il est prévu qu'au cours de l'exercice 2009-2010, les
relevés radiologiques aériens engloberont les régions du sud des provinces des Prairies. Dans le cadre de ces travaux, on mesurera les concentrations de radon dans les gaz du sol dans environ 500 endroits au Canada, y compris 100 grandes agglomérations.
Tous ces efforts permettront de recueillir des données essentielles qui seront intégrées à une carte des régions où les niveaux de radon sont élevés.
Éducation et sensibilisation
Des connaissances, une sensibilisation et une réactivité accrues de tous les secteurs clés ainsi que des consommateurs canadiens, des employés fédéraux et des gérants d'immeuble, concernant la nature et l'étendue des risques pour la santé humaine issus de l'exposition au radon et des mesures disponibles de prévention et d'atténuation permettant de faire face à ces risques d'une
manière efficace.
La deuxième étape de la campagne nationale de sensibilisation au radon (le lancement de la première étape aura lieu au cours de l'exercice 2008-2009) se tiendra au cours de l'automne et de l'hiver en 2009-2010 et ciblera les propriétaires canadiens. Les messages de la deuxième étape porteront sur les risques que le radon présente pour la santé et encourageront les Canadiens Ã
soumettre leurs maisons à un test et leur fourniront à cette fin des renseignements sur la détection et l'atténuation du radon. Les médias publicitaires utilisés comprendront des magazines canadiens nationaux, des annonces radiophoniques de 30 secondes diffusées à l'échelle nationale et des annonces diffusées sur Internet.
Le résultat visé est une augmentation de 15 % du pourcentage de maisons canadiennes soumises à un test de détection du radon et une augmentation de la sensibilisation « éclairée » des Canadiens de 30 % par rapport au niveau de 2007 à la fin de l'exercice 2009-2010.
Essais
Des essais et des tests de dépistage systématiques sur place dans environ 15 000 immeubles et installations fédéraux, dans le but de déterminer les niveaux de radon par rapport aux nouvelles directives à ce sujet, ces chiffres comprenant toutes les installations fédérales situées dans des régions à risque élevé ou potentiellement à risque élevé.
Les essais entrepris dans les immeubles fédéraux l'année dernière dans la région de la capitale nationale, au Québec et au Manitoba se poursuivront et le projet sera étendu aux autres régions du Canada. On poursuivra également les projets d'essai de grande envergure exécutés en collaboration avec le ministère de la Défense nationale en vue de procéder à des essais dans les
immeubles et les logements familiaux (LG) sur les bases des Forces canadiennes, et en collaboration avec la Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits (DGSPNI) en vue d'effectuer des essais dans les immeubles fédéraux sur les réserves à l'échelle du Canada. Le résultat visé est de soumettre au moins 2 000 immeubles fédéraux à des essais au cours de
l'exercice 2009-2010.
On mettra la dernière main à un protocole d'atténuation du radon visant les immeubles résidentiels et les grands édifices afin d'aider les Canadiens à réduire leur exposition au radon à domicile et au travail. Ces protocoles d'atténuation seront expressément adaptés au climat et aux pratiques de construction du Canada au besoin. Santé Canada montera un dossier en collaboration
avec Ressources humaines et Développement des compétences Canada en vue demander que la prochaine révision du Code canadien du travail soit harmonisée avec la ligne directrice canadienne sur le radon de sorte que les employés fédéraux ne soient pas exposés à des niveaux élevés de radon au travail.
Cartographie
Levés de plans, cartographie et détermination systématique des points chauds en termes de radon dans toutes les régions les plus populeuses du Canada, dont on sait ou pense qu'elles sont à risque en raison des conditions géologiques et climatiques locales associées à des niveaux élevés de radon.
Éducation et sensibilisation
Des connaissances, une sensibilisation et une réactivité accrues de tous les secteurs clés ainsi que des consommateurs canadiens, des employés fédéraux et des gérants d'immeuble, concernant la nature et l'étendue des risques pour la santé humaine issus de l'exposition au radon et des mesures disponibles de prévention et d'atténuation permettant de faire face à ces risques d'une
manière efficace.
Essais
Des essais et des tests de dépistage systématiques sur place dans environ 15 000 immeubles et installations fédéraux, dans le but de déterminer les niveaux de radon par rapport aux nouvelles directives à ce sujet, ces chiffres comprenant toutes les installations fédérales situées dans des régions à risque élevé ou potentiellement à risque élevé.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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3 700 000 $ | 15 000 000 $ |
Ministère | Affaires indiennes et du Nord Canada |
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Activité de programme du ministère | Terres et ressources du Nord |
Les gens du Nord et les Autochtones auront des connaissances et des capacités accrues pour s'adapter aux répercussions des changements climatiques. Les mesures du programme visent à améliorer l'accès à l'information et à augmenter le savoir-faire technique en matière d'adaptation aux changements climatiques, à évaluer les risques et à déterminer les réponses pour faire face Ã
ces risques, et à mettre en place des mécanismes de collaboration, afin de concevoir des solutions efficaces. Elles visent aussi à ce que les collectivités autochtones et du Nord mettent au point des mesures d'adaptation qui leur permettront de remédier aux principales vulnérabilités. Le programme facilite la distribution de l'information concernant les outils, les pratiques
exemplaires et les résultats des projets, afin de permettre aux collectivités d'intégrer la gestion des risques liés aux changements climatiques dans leur planification, leurs prises de décision et dans la mise en œuvre des projets.
Résultats attendus pour 2007-2008 (énoncés dans le CGRR/CVAR du programme)
Résultat à long terme
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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5 400 000 $ | 14 000 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.2 - Programme de prévisions météorologiques et environnementales |
Prestation des prévisions de la Cote air santé (CAS) et diffusion des prévisions dans des régions métropolitaines de recensement supplémentaires au Canada atlantique, au Québec et dans les Prairies.
Les centres régionaux de prévision des intempéries d'Environnement Canada prépareront des rapports sur la qualité de l'air et des prévisions en s'appuyant sur les systèmes de prévisions météorologiques et environnementales d'Environnement Canada ainsi que sur les données en temps réel obtenues auprès des programmes fédéraux-provinciaux de contrôle de la qualité de l'air.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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5 800 000 $ | 21 300 000 $ |
Ministère | Santé Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.1 Santé environnementale et sécurité des consommateurs |
Mise en œuvre de la CAS dans des régions métropolitaines de recensement supplémentaires au Canada atlantique, au Québec et dans les Prairies.
Les résultats attendus au cours des quatre prochaines années sont de permettre à la totalité des 27 régions métropolitaines (collectivités de plus de 100 000 personnes) qui, ensemble, regroupent 80 % de la population canadienne, d'obtenir des prévisions locales de la cote air santé. L'objectif à plus long terme est de permettre à toutes les collectivités au Canada, y compris celles du Nord canadien, d'obtenir des prévisions de la cote air santé là où les systèmes nécessaires sont en place.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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2 200 000 $ | 8 700 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.2 - Programme de prévisions météorologiques et environnementales |
Modèles climatiques, 2 e année : entreprendre l'élaboration et la mise à l'essai de la composante du modèle atmosphérique de prochaine génération (en mettant l'accent sur l'amélioration de la représentation des cycles du soufre et du carbone); poursuivre l'élaboration du modèle global couplé (plus particulièrement, améliorer la représentation du mélange océanique);
effectuer des simulations préliminaires des changements climatiques historiques et futurs au moyen du modèle couplé le plus récent, de concert avec l'analyse de rendement connexe; entreprendre l'élaboration et la mise en œuvre d'un régime de couplage amélioré (nécessaire pour assurer une meilleure représentation de l'interaction entre l'atmosphère, l'océan et la glace
marine); poursuivre la mise à l'essai et l'évaluation du modèle climatique régional; en collaboration avec OURANOS, analyser les simulations climatiques régionales, en mettant plus particulièrement l'accent sur la représentation de la neige au Canada.
Scénarios, 2 e année : Élargir le RCSCC de manière à inclure des nœuds régionaux; intégrer les plus récents développements scientifiques au RCSCC; élaborer des directives et organiser des ateliers de formation sur l'utilisation de scénarios et les comparaisons corrélatives des modèles; élaborer des scénarios de conditions climatiques extrêmes; collaborer avec
OURANOS à l'élaboration de scénarios.
Dangers, 2 e année : Terminer tous les sites Web sur les dangers climatiques régionaux; élaborer des méthodologies en vue d'inclure les tendances climatiques et les projections futures à l'information sur les dangers climatiques, les évaluations des risques et la conception climatique aux fins des infrastructures; établir l'ordre de priorité des besoins à combler en
matière d'amélioration et cerner des méthodologies en vue d'améliorer l'information existante sur la conception climatique; élargir les consultations menées auprès des intervenants.
Des renseignements et des projections climatiques exacts sont essentiels à l'évaluation des impacts ainsi qu'à l'élaboration de stratégies et de mesures d'adaptation fiables. Le Ministère améliorera les projections et les scénarios relatifs aux changements climatiques, surtout ceux qui touchent aux extrêmes et aux dangers pour une infrastructure vulnérable (p. ex., les ponts et les égouts, qui nécessitent des données de conception dans le cas de très fortes précipitations) et pour les collectivités canadiennes. Les principaux résultats de ce programme incluent : la prise de décisions adaptée, la diminution des risques et la préparation aux situations d'urgence.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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4 899 641 $ | 15 000 000 $ |
Ministère | Santé Canada |
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Activité de programme du ministère | 4.1 Programmes et services liés à la santé des Premières nations et des Inuits |
Disponibilité accrue de plans d'adaptation liés aux changements climatiques et à la santé pour les collectivités et les organisations des Premières nations et des Inuits du Nord, telle que mesurée par le nombre d'ateliers tenus et le nombre de participants à ceux-ci, ainsi que par le nombre d'outils d'éducation et de sensibilisation mis au point et diffusés dans le cadre de la
recherche communautaire réalisée l'année précédente.
Sensibilisation et compréhension accrues des collectivités et des organisations des Premières nations et des Inuits du Nord concernant les risques que représentent les changements climatiques pour leur santé, telles que mesurées par le nombre de collectivités et d'organisations ayant présenté une demande de financement à l'égard de projets de recherche sur les changements
climatiques et la santé en 2009-2010, en fonction des critères énoncés dans le document intitulé « Programme sur l'adaptation et la santé liées aux changements climatiques de Santé Canada pour les communautés du Nord, des Inuits et des Premières nations 2009-2010 - Guide de présentation des demandes de financement ».
Capacité accrue des collectivités et des organisations des Premières nations et des Inuits du Nord de mener et de mettre en application des recherches scientifiques liées à l'adaptation en matière de santé et de changements climatiques, telle que mesurée par le nombre de collectivités et d'organisations ayant satisfait aux critères de financement et reçu le financement requis pour
réaliser leurs recherches en 2009-2010.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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2 150 000 $ | 7 000 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 1.1 Sciences de la Terre |
Outils innovateurs de gestion des risques
Outils innovateurs de gestion des risques
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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8 500 000 $ | 35 000 000 $ |
Ministère | Santé Canada |
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Activité de programme du ministère | 3.1 Santé environnementale et sécurité des consommateurs |
Interventions et formation des professionnels de la santé
Les Canadiens et les professionnels en soins de santé auront accès à de meilleures connaissances sur les risques pour la santé découlant des changements climatiques dans les secteurs clés suivants :
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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2 150 000 $ | 7 900 000 $ |
Ministère | Agence de santé publique du Canada |
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Activité de programme du ministère | 1.2 Prévention et contrôle des maladies |
Quatre collectivités pilotes auront commencé à utiliser une approche communautaire pour l'évaluation des risques de maladie infectieuse liés aux changements climatiques et des plans d'intervention.
Des renseignements seront fournis aux membres de quatre collectivités pilotes afin d'appuyer les activités d'adaptation communautaires liées aux changements climatiques et aux menaces de maladies infectieuses; ils seront mieux informés sur les mesures à prendre pour se protéger eux-mêmes et protéger leurs familles, grâce à l'élaboration de nouveaux moyens d'information et de
nouveaux systèmes de réaction.
Des partenariats seront établis avec deux universités et on entreprendra des activités de recherche dans le but d'accroître les connaissances et la capacité de prédire quelles régions et quelles sous-populations seront plus à risque, en raison des changements dans l'incidence, la prévalence et la propagation des maladies infectieuses spécifiées qui sont causées par les changements
climatiques.
Des recherches et des analyses des risques fondées sur des données probantes seront fournies aux collectivités pilotes afin d'appuyer l'élaboration de stratégies d'atténuation à l'échelon local.
Élaboration d'une approche communautaire pilote pour l'évaluation des risques de maladie infectieuse et l'efficacité de la réponse dans jusqu'à quatre collectivités.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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2 487 895 $ | 7 000 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 4.2 Les relations avec les autres gouvernements et partenaires sont bien gérées, afin de soutenir les priorités environnementales |
Prestation de financement à des organisations internationales sélectionnées qui jouent un rôle clé dans l'amélioration de l'analyse et de l'évaluation des options liées à l'élaboration d'un futur accord sur les changements climatiques. Ce financement contribue à la participation constructive et active aux discussions internationales sur les changements climatiques grâce à une meilleure compréhension des principales questions englobant l'établissement d'un accord sur les changements climatiques après 2012 qui fait présentement l'objet de négociations en vertu de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques.
Paiement effectué en vue de l'acquittement des obligations financières au titre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
Le paiement de ses cotisations de membre et la participation active à des partenariats technologiques internationaux hors du giron de l'ONU renforceront la crédibilité du Canada et son influence dans les discussions préalables à une entente éventuelle sur les changements climatiques. Cette dernière devrait également créer des possibilités pour les entreprises canadiennes.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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623 000 $ | 2 892 000 $ |
Ministère | Affaires étrangères et Commerce international Canada |
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Activité de programme du ministère | 1.3 Enjeux mondiaux |
Le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI) veillera à ce que toutes les obligations de financement à l'égard de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) soient remplies. Des contributions volontaires supplémentaires seront faites à la CCNUCC au besoin, en vue d'appuyer les intérêts stratégiques du Canada en ce
qui a trait aux négociations.
S'il y a lieu, le MAECI fournira également un financement à des organisations internationales afin de faire progresser les intérêts du Canada et les objectifs stratégiques de celui-ci, et d'assurer une meilleure compréhension des principales options stratégiques concernant l'établissement d'un accord après 2012.
Le MAECI fournira une orientation stratégique, des renseignements et des conseils, et travaillera avec d'autres ministères en vue d'élaborer des positions de négociation préliminaire, intermédiaire et finale. Le MAECI continuera en outre de soutenir l'engagement bilatéral stratégique avec d'autres pays par le biais de son réseau de missions à l'étranger, et favorisera l'intégration des questions liées aux changements climatiques dans la politique étrangère par l'intermédiaire du G8, du Conseil de l'Arctique, de l'Organisation de coopération et de développement économiques, de l'Agence internationale de l'énergie, et d'autres forums multilatéraux.
En continuant à remplir ses obligations de financement envers le Secrétariat de l'ONU sur les changements climatiques, le Canada contribuera au maintien de sa réputation internationale et au fonctionnement général de cet organisme, et permettra au Secrétariat de continuer d'organiser des réunions dans l'avenir.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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477 000 $ | 1 908 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 4.2.3 Régime de changements climatiques mondiaux à long terme. |
Poursuite des mesures visant à faire progresser les intérêts stratégiques du Canada concernant les changements climatiques dans le cadre de forums multilatéraux et bilatéraux par le biais d'une collaboration étroite avec d'autres ministères dans le but d'élaborer des politiques, de fournir des conseils stratégiques, et d'élaborer des positions correspondant aux objectifs du
gouvernement du Canada à l'égard d'un éventail de questions liées à la négociation de l'établissement d'un accord après 2012 en vertu de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
Poursuite des mesures visant à faire progresser les intérêts et les objectifs nationaux du Canada concernant les changements climatiques par le biais d'une présence et d'une participation active aux négociations effectuées dans le cadre de la CCNUCC et des processus internationaux clés qui complètent ces négociations, y compris le G8, la Coopération économique de la zone
Asie-Pacifique, et l'initiative des grands émetteurs dirigée par les États-Unis, afin de défendre les positions et les points de vue du Canada. La participation du Canada à ces processus internationaux est conforme à la politique nationale du Canada sur les changements climatiques et favorise les intérêts économiques et environnementaux nationaux.
Étant donné la démarche interdisciplinaire et collaborative des ministères à l'égard de cette composante, certains résultats attendus pour ce travail sont communs à plusieurs ministères. Les résultats prévus partagés sont les suivants :
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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2 800 000 $ | 11 400 000 $ |
Ministère | Affaires étrangères et Commerce international Canada |
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Activité de programme du ministère | 1.3 Enjeux mondiaux |
Étant donné la démarche interdisciplinaire et collaborative des ministères à l'égard de cette composante, certains résultats attendus pour ce travail sont communs à plusieurs ministères. Les résultats prévus partagés sont les suivants :
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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1 550 000 $ | 6 400 000 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
Les résultats attendus de l'élaboration d'une politique en matière de changements climatiques à l'échelle internationale et de la participation poursuivie de RNCan aux négociations sur les changements climatiques mondiaux, sous l'égide ou non de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), incluent :
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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1 300 000 $ | 5 200 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
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Activité de programme du ministère | 4.2.3 Régime de changements climatiques mondiaux à long terme |
Au cours de la première année, le Canada a exécuté une phase de conception dans le cadre de laquelle les activités liées au Partenariat Asie-Pacifique ont été axées sur : 1) l'obtention du statut de membre; 2) la consultation auprès d'intervenants des principaux secteurs industriels canadiens; et 3) l'élaboration d'une structure de gouvernance canadienne et de lignes
directrices opérationnelles par l'intermédiaire de la mise sur pied du Secrétariat du Partenariat Asie-Pacifique.
Maintenant que le statut de membre du Canada a été confirmé, le point de convergence des activités est passé de la conception à la mise en œuvre du programme. Au Canada, les activités passeront de la promotion et de la consultation à la sélection de projets. Sur le plan international, le Canada cherchera à influer sur la portée et l'orientation du Partenariat pour s'assurer
qu'il est conforme aux intérêts du Canada, tout en stimulant des relations bilatérales améliorées qui serviront à façonner le rôle des principaux pays émetteurs dans toute entente éventuelle sur les changements climatiques.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
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5 738 166 $ | 18 882 700 $ |
Ministère | Ressources naturelles Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
Au cours de la première année, le Canada devait exécuter une phase de conception dans le cadre de laquelle les activités liées au Partenariat Asie-Pacifique seraient axées sur : 1) l'obtention du statut de membre; 2) la consultation auprès d'intervenants des principaux secteurs industriels canadiens; et 3) l'élaboration d'une structure de gouvernance canadienne et de lignes
directrices opérationnelles par l'intermédiaire de la mise sur pied du Secrétariat du Partenariat Asie-Pacifique.
Maintenant que le statut de membre du Canada a été confirmé, le point de convergence des activités est passé de la conception à la mise en œuvre du programme. Au Canada, les activités passeront de la promotion et de la consultation à la sélection de projets. Sur le plan international, le Canada cherchera à influer sur la portée et l'orientation du Partenariat pour s'assurer
qu'il est conforme aux intérêts du Canada, tout en stimulant des relations bilatérales améliorées qui serviront à façonner le rôle des principaux pays émetteurs dans toute entente éventuelle sur les changements climatiques.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
---|---|
211 800 $ | 877 300 $ |
Ministère | Industrie Canada |
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Activité de programme du ministère | 2.1 Énergie propre |
Au cours de la première année, le Canada devait exécuter une phase de conception dans le cadre de laquelle les activités liées au Partenariat Asie-Pacifique seraient axées sur : 1) l'obtention du statut de membre; 2) la consultation auprès d'intervenants des principaux secteurs industriels canadiens; et 3) l'élaboration d'une structure de gouvernance canadienne et de lignes
directrices opérationnelles par l'intermédiaire de la mise sur pied du Secrétariat du Partenariat Asie-Pacifique.
Maintenant que le statut de membre du Canada a été confirmé, le point de convergence des activités est passé de la conception à la mise en œuvre du programme. Au Canada, les activités passeront de la promotion et de la consultation à la sélection de projets. Sur le plan international, le Canada cherchera à influer sur la portée et l'orientation du Partenariat pour s'assurer
qu'il est conforme aux intérêts du Canada, tout en stimulant des relations bilatérales améliorées qui serviront à façonner le rôle des principaux pays émetteurs dans toute entente éventuelle sur les changements climatiques.
La participation d'Industrie Canada au PAP entraînera une meilleure participation et liaison avec les principaux secteurs canadiens et les principaux secteurs à l'échelle internationale.
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
---|---|
50 000 $ | 240 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
---|---|
Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air pur |
Les activités à entreprendre pour élaborer une annexe sur les matières particulaires qui sera ajoutée à l'Accord Canada-États-Unis sur la qualité de l'air comprendront les suivantes :
Les négociations concernant l'annexe sur les matières particulaires donneront les résultats suivants à long terme (c.-à -d., d'ici 2011) :
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
---|---|
550 000 $ | 2 200 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
---|---|
Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air pur |
Ce type d'activité joue un rôle important. On examine la possibilité d'utiliser des initiatives complémentaires et différentes, au sein et à l'extérieur d'EC, afin de remplir ce rôle à l'aide d'une approche plus rentable. Bien qu'il pourrait y avoir une réduction générale des investissements dans les ententes particulières devant être financées par ce programme, des programmes
similaires seront maintenus pour que le gouvernement fédéral puisse continuer de financer des projets communautaires axés sur l'efficacité énergétique et la réduction de la pollution atmosphérique. Le Ministère continuera de réinvestir dans une panoplie d'activités de programme différentes qui visent à atteindre les résultats escomptés.
En 2009-2010, le programme des Partenariats communautaires relatifs à l'air pur sera lancé. Une demande de propositions sera émise en vue de projets nationaux, régionaux ou locaux qui encourageront les Canadiens à adopter des comportements plus durables à la maison, à l'école et au travail. Les projets porteront sur l'efficacité énergétique au foyer et à l'extérieur, la durabilité
à l'école et l'écologisation du milieu de travail.
L'infrastructure du programme sera élaborée :
Les résultats à court terme comprennent
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
---|---|
3 000 000 $ | 12 000 000 $ |
Ministère | Environnement Canada |
---|---|
Activité de programme du ministère | 3.3 - Programme sur l'air pur |
Afin d'appuyer l'amélioration de la responsabilisation à l'égard des parlementaires et des citoyens canadiens; l'engagement actif de ministères et d'organismes partenaires; la collecte efficace et opportune d'information sur le rendement; et la cohérence de l'architecture du Programme sur la qualité de l'air :
Le gouvernement s'est engagé à apporter des améliorations concrètes à l'environnement canadien, y compris à réduire la pollution de l'air et les émissions de gaz à effet de serre. Il s'est également engagé à mettre en œuvre une approche de gestion des dépenses plus stratégique dans les domaines prioritaires horizontaux. Le CRRGH aidera à répondre à la nécessité
d'améliorer la gouvernance et la responsabilisation en matière de gestion des initiatives horizontales auxquelles participent plusieurs ministères.
Les objectifs du Programme de l'air pur consistent à fortifier la santé des Canadiens et à améliorer l'environnement, en réduisant la pollution atmosphérique et les émissions de gaz à effet de serre. Ces objectifs seront atteints au moyen de deux grandes initiatives :
Dépenses prévues du programme pour 2009-2010 | Dépenses du programme approuvées pour la période 2007-2011 |
---|---|
1 250 000 $ | 5 000 000 $ |
Équipes intégrées de la police des frontières (EIPF)
Nom du ministère responsable :
Gendarmerie royale du Canada (GRC)
Activité de programme du ministère responsable :
Opérations fédérales et internationales (OFI)
Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale :
le 1er avril 2008
Date de clôture de l’initiative horizontale :
le 31 mars 2009
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) :
25,9 millions de dollars
Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) :
Le mandat des équipes intégrées de la police des frontières (EIPF) est d’améliorer l’intégrité de la frontière entre le Canada et les États-Unis en identifiant les personnes et les organisations qui représentent une menace pour la sécurité nationale ou qui sont impliquées dans d’autres activités criminelles, en enquêtant sur les personnes et les organisations en question et en leur interdisant l’entrée au pays.
Résultat(s) partagé(s) :
Augmentation de la sécurité des frontières et amélioration des relations internationales le long de la frontière partagée par l’amélioration de l’échange d’informations entre les organismes d’exécution de la loi du Canada et des États-Unis et par la réalisation d’enquêtes axées sur le renseignement. Grâce aux renseignements intégrés recueillis et échangés par les partenaires de toutes les EIPF, les enquêtes frontalières seront plus efficaces. L’interopérabilité en matière d’exécution de la loi sera améliorée puisque de multiples organismes seront reliés au moyen du système de technologie des communications qui sera élaboré. Ce système simplifiera les opérations conjointes, tout en éloignant les préoccupations relatives à la santé et à la sécurité des agents de l’exécution de la loi le long du 49e parallèle.
Structure(s) de gouvernance :
L’équipe de gestion conjointe internationale (EGCI), qui fournit la surveillance et l’orientation du programme, est composée de hauts fonctionnaires des cinq organismes de base : GRC, ASFC et département de la Sécurité intérieure (Service des douanes et de la protection des frontières/Patrouille frontalière des États-Unis, Bureau de l’immigration et de l’exécution des douanes des États-Unis, Garde côtière américaine). L’équipe régionale de gestion (ERG) de chacune des 15 régions des EIPF permet de prendre des décisions conjointes et d’encadrer le programme de l’EIPF au niveau local. L’équipe nationale de coordination (ENC) est composée de représentants de l’Administration centrale des cinq partenaires de base et fournit une orientation stratégique aux organismes participants et au programme. De plus, elle facilite la réalisation des objectifs de la Déclaration sur la frontière intelligente et du mandat de l’EIPF.
Partenaires fédéraux | Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) | Dépenses prévues pour 2009 2010 | Résultats attendus pour 2009 2010) |
---|---|---|---|---|---|
GRC | Opérations fédérales et internationales (OFI) | Programme de l’équipe intégrée de la police des frontières |
25,9 M $
|
25,9 M $
|
|
ASFC |
$0
|
$0
|
|
||
Total |
25,9 $
|
25,9 $
|
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Les partenaires de base des EIPF comprennent le Service des douanes et de la protection des frontières/la Patrouille frontalière des États Unis, le Bureau de l’immigration et de l’exécution des douanes des États Unis et la Garde côtière américaine, qui font tous partie du département de la Sécurité intérieure. Le programme des EIPF contribue de façon significative à leur objectif d’améliorer l’intégrité de la frontière entre le Canada et les États Unis en identifiant les personnes et les organisations qui représentent une menace pour la sécurité nationale ou qui sont impliquées dans d’autres activités du crime organisé, en enquêtant sur les personnes et les organisations en question et en leur interdisant l’entrée au pays. Ces organismes participent au programme des EIPF afin d’atteindre les objectifs de la Déclaration sur la frontière intelligente et d’assurer : 1. une circulation sécuritaire des personnes, 2. une circulation sécuritaire des biens, 3. une infrastructure sécuritaire, 4. une coordination et un échange de renseignements dans l’application de ces objectifs.
Personne-ressource :
Surintendant Warren Coons, directeur des EIPF
Nom de l’initiative horizontale :
Investissements dans la lutte contre l’utilisation d’armes à feu à des fins criminelles (ILUAFC)
Nom du ministère responsable :
Gendarmerie royale du Canada (GRC)
Activité de programme du ministère responsable :
Programme canadien des armes à feu
Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale :
Mai 2004
Date de clôture de l’initiative horizontale :
En cours
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) :
49,9 millions de dollars sur 5 ans
Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) :
Le principal objectif des ILUAFC est d’améliorer la collecte, l’analyse et l’échange des renseignements sur les armes à feu à l’échelle nationale. Le financement est distribué, au sein de la GRC, à l’Équipe nationale de soutien à l’application de la Loi sur les armes à feu (ENSALA), aux Services des sciences judiciaires et de l’identité (SSJI), aux Renseignements criminels (RC) et au Service canadien de renseignements criminels (SCRC). Dans le cadre de cette initiative, des fonds sont aussi donnés à l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) et à Sécurité publique Canada (SPC).
Les ILUAFC soutiennent directement l’objectif du gouvernement de lutter contre les crimes avec violence (en particulier les infractions impliquant une arme à feu liées au crime organisé et aux gangs de rue), tel qu’énoncé dans le discours du Trône de 2008.
Résultat(s) partagé(s):
Améliorer la capacité de la GRC et de l’ASFC de recueillir, d’analyser et d’échanger les renseignements criminels afin de mieux mener les enquêtes et connaître l’ampleur et les tendances de la contrebande et du trafic des armes à feu utilisées à des fins criminelles. Ces activités soutiendront l’élaboration d’une stratégie nationale d’exécution de la loi fondée sur le renseignement.
Structure(s) de gouvernance :
Une équipe de gestion conjointe (EGC) coordonne les activités des ILUAFC. Les partenaires prendront une part active aux réunions de l’EGC. Sécurité publique Canada maintiendra son statut d’observateur en assistant aux réunions au besoin et en participant à la collecte nationale des données dans la mesure nécessaire à son rôle de recherche.
Partenaires fédéraux | Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) | Dépenses prévues pour 2009 2010 | Résultats attendus pour 2009 2010) |
---|---|---|---|---|---|
SPC | Police et exécution de la loi | ILUAFC | En cours |
,244 $
|
|
RCMP | Canadian Firearms Program | ILUAFC |
En cours
|
8,42 $
|
Renseignements criminels précieux communiqués en appui aux enquêtes sur des crimes avec usage d’armes à feu |
CBSA | ILUAFC |
En cours
|
1,23 $
|
Renseignements criminels précieux communiqués en appui aux enquêtes sur des crimes avec usage d’armes à feu | |
Total |
|
9,89 $
|
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
sans objet
Personne-ressource :
Surintendant Geoffrey Francis, directeur, Direction des services de soutien liés aux armes à feu
Programme canadien des armes à feu de la GRC
1450 Meyerside Drive, bureau 415
Mississauga (Ontario) L5T 2N5
Tél. : 905-795-5205
Nom de l’initiative horizontale :
Équipe nationale de soutien à l’application de la Loi sur les armes à feu (ENSALA)
Noms du ministère responsable :
Gendarmerie royale du Canada (GRC)
Activité de programme du ministère responsable :
Programme canadien des armes à feu
Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale :
Mai 2004
Date de clôture de l’initiative horizontale :
En cours
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) :
22,5 millions de dollars sur cinq ans
Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) :
L’ENSALA est un partenariat avec les services de police canadiens municipaux et provinciaux. Elle soutient les activités d’exécution de la loi visant à contrecarrer la circulation illégale d’armes à feu entrant au Canada et y circulant, de même que leur usage criminel violent. L’ENSALA joue un rôle essentiel dans la lutte contre le crime organisé et le terrorisme au Canada.
La GRC fournit le financement permettant le détachement d’agents de police des services de police partenaires ainsi que l’acquisition de véhicules et d’autre équipement de soutien; des locaux à bureau sont fournis par les services de police municipaux et provinciaux dans certains secteurs.
Résultat(s) partagé(s):
Structure(s) de gouvernance :
Des PE sont signés avec d’autres services de police relativement au détachement d’agents à l’ENSALA. Le Conseil consultatif de l’ENSALA est constitué d’agents de police supérieurs et d’autres intervenants.
Partenaires fédéraux | Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) | Dépenses prévues pour 2009 2010 | Résultats attendus pour 2009 2010) |
---|---|---|---|---|---|
Gendarmerie royale du Canada | Programme canadien des armes à feu | ENSALA |
En cours
|
5 $
|
Fournir des renseignements opérationnels aux services de police; améliorer la sécurité de toutes les communautés |
Total |
5 $
|
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Les services de police de tout le pays collectent des informations en appui aux enquêtes sur les armes à feu.
Personne-ressource :
Surintendant Geoffrey Francis
Directeur, Direction des services de soutien liés aux armes à feu/
Programme canadien des armes à feu de la GRC
1450 Meyerside Drive, bureau 415
Mississauga, Ontario L5T 2N5
Tél. : 905-795-5205
Résultat stratégique
Les entreprises concurrentielles sont les moteurs de la création de la richesse durable
Ministère responsable Industrie Canada |
Date de mise en œuvre : 31 janvier 2005 |
Date de clôture : 31 mars 2011 |
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Description (y compris l’entente de financement) : PerLE est un outil en ligne qui offre aux entreprises un point d’accès unique aux renseignements sur les permis et les licences requis de tous les ordres de gouvernement pour mettre sur pied et exploiter une entreprise. En ce sens, il illustre une collaboration exceptionnelle entre les administrations publiques fédérale, provinciales‑territoriales et municipales. Intégré aux sites Web ou aux portails des administrations publiques locales, PerLE fournit un point de contact unique aux entrepreneurs, à qui il permet de savoir rapidement quels sont les permis et licences exigés par les administrations publiques municipales, provinciales‑territoriales ou fédérale. Le financement fédéral appuie les services de secrétariat, l’expansion et le développement du service et le rôle du gouvernement. Aucun des participants (provinces, territoires ou municipalités) ne reçoit de fonds fédéraux pour l’initiative PerLE. Ils fournissent un appui « en nature » dans leur domaine de compétence respectif. Les participants des provinces et des territoires versent également des fonds à un compte à fins déterminées pour appuyer les coûts de fonctionnement de base, conformément à une formule de partage des coûts fondée sur la taille de la population. |
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Résultats communs
|
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Structure de gouvernance PerLE représente un modèle de gouvernance partagée qui comprend des participants des administrations publiques fédérale, provinciales ou territoriales, et municipales. Industrie Canada gère l’expansion et l’évolution du service PerLE et tisse des relations entre les administrations publiques participantes. Bien que la gouvernance soit partagée entre divers comités participants, Industrie Canada rend compte des ressources fédérales versées à l’initiative PerLE. En outre, Industrie Canada est chargé de dresser la liste des ministères fédéraux participant à PerLE et de gérer le bureau national de PerLE. |
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Fédéral et autres partenaires | Activité de programme des partenaires fédéraux | Nom des programmes | Allocation totale (pour toute la durée de l’initiative) (en milliers de dollars) |
Dépenses prévues 2009‑2010 (en milliers de dollars) |
---|---|---|---|---|
Industrie Canada (ministère responsable) | Économie entrepreneuriale | PerLE | 15,7 | 3,0 |
Ressources naturelles Canada | Gestion et supervision (services internes) | PerLE | s. o. | s. o. |
Gouvernements provinciaux et territoriaux (10)* | s. o. | PerLE | s. o. | s. o. |
Gouvernements municipaux et locaux (150) | s. o. | PerLE | s. o. | s. o. |
Total | 15,7 | 3,0 | ||
Résultats prévus pour 2009‑2010 : Expansion accélérée du service à toutes les administrations publiques provinciales ou territoriales intéressées et à toutes les administrations municipales participantes au sein de ces provinces et territoires. |
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Personne‑ressource Directeur exécutif Prestation de services et partenariats Services axés sur les marchés et les petites entreprises Industrie Canada 613‑954‑3576 |
* Alberta, Colombie‑Britannique, Manitoba, Nouveau‑Brunswick, Territoires du Nord‑Ouest, Terre‑Neuve‑et‑Labrador, Nouvelle‑Écosse, Ontario, Saskatchewan, Yukon
Ministère responsable Industrie Canada |
Date de mise en œuvre : 1er avril 1995 (CSEC) 1er avril 2000 (PA) |
Date de clôture : 31 mars 2009 (CSEC) (en attente de renouvellement) 31 mars 2006 (PA) |
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Description (y compris l’entente de financement) : Le Réseau Entreprises Canada a été créé afin d’améliorer les services aux petites entreprises et aux entrepreneurs qui se lancent en affaires en leur offrant un guichet unique où ils peuvent trouver des renseignements détaillés sur les services, les programmes et les exigences de conformité des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux. Au nom du gouvernement du Canada et de ses partenaires, Entreprises Canada offre une foule de produits d’information et de ressources par l’entremise de divers modes de prestation des services dans l’ensemble du Canada (Web, en personne, par téléphone). Grâce à sa collaboration avec les provinces et les territoires, Entreprises Canada offre des produits d’information et des ressources dont le contenu est propre à chaque champ de compétence, offrant ainsi des services d’information intégrés véritablement axés sur les besoins de la clientèle. |
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Résultats communs
|
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Structure de gouvernance Le REC est géré au nom du gouvernement fédéral par l’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA), Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC), Industrie Canada (IC) et Diversification de l’économie de l’Ouest Canada (DEO). Les organismes responsables sont chargés d’assurer la conformité à toutes les politiques fédérales ayant trait à la prestation de programme dans un environnement de collaboration, en particulier les politiques sur les langues officielles, ainsi que les politiques d’accessibilité, d’accès à l’information et de protection des renseignements personnels, d’image de marque et de diversification des modes de prestation de services. |
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Fédéral et autres partenaires | Activité de programme des partenaires fédéraux | Nom des programmes | Allocation totale (pour toute la durée de l’initiative) (en milliers de dollars) |
Dépenses prévues 2009‑2010 (en milliers de dollars) |
---|---|---|---|---|
Industrie Canada (ministère responsable) | Économie entrepreneuriale | Réseau Entreprises Canada | 98,9 | 6,5 |
APECA | Développement d’entreprise | Réseau Entreprises Canada | 38,7 | 2,6 |
DEO | Développement des entreprises et entrepreneuriat | Réseau Entreprises Canada | 53,9 | 4,0 |
DEC | Compétitivité des entreprises | Réseau Entreprises Canada | 25,1 | 1,9 |
Total | 216,6 | 15,0 | ||
Résultats prévus pour 2009‑2010 : Utilisation par les PME de l’information, des programmes et des services gouvernementaux s’adressant aux entreprises et facilitation de la conformité des entreprises |
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Personne‑ressource Directeur exécutif Prestation de services et partenariats Services axés sur les marchés et les petites entreprises Industrie Canada 613‑954‑3576 |
1. Nom de l’initiative horizontale : Fonds canadien sur l’infrastructure stratégique
2. Nom du ou des ministères responsables : Infrastructure Canada
3. Activité de programme du ministère responsable : Financement axé sur les projets d’infrastructure ciblés
4. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : 2003-2004
5. Date de clôture de l’initiative horizontale : 2012-2013
6. Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 4,8 milliards de dollars
7. Description de l’initiative horizontale (y compris de l’entente de financement) :
Le Fonds canadien sur l’infrastructure stratégique, qui a été voté dans les budgets fédéraux de 2001 et de 2003 s’agit d’un programme de contribution à frais partagés pour les projets d’infrastructures stratégiques. À ce jour, le fonds a permis au fédéral d’appuyer 71 projets.
Les investissements sont destinés aux projets de grande importance nationale et régionale et sont destinés à être faits dans des domaines indispensables au soutien de la croissance économique et à l’appui d’une meilleure qualité de vie pour les Canadiennes et les Canadiens. Le fonds est mis en œuvre dans le cadre d’ententes négociées avec les gouvernements provinciaux ou territoriaux, ou des administrations locales, des partenaires du secteur privé ou des organisations non gouvernementales. Les ententes de contribution sont élaborées en fonction des exigences des projets.
La Loi sur le Fonds canadien pour l’infrastructure stratégique définit les principales catégories d’investissement dans les projets qui comportent des immobilisations utilisées ou exploitées dans l’intérêt du public. Les catégories admissibles en vertu du Fonds canadien sur l’infrastructure stratégique sont :
Pour obtenir de plus amples renseignements sur le Fonds canadien sur l’infrastructure stratégique, consulter : http://www.infc.gc.ca/ip-pi/csif-fcis/csif-fcis-fra.html.
8. Résultats partagés :
Les résultats globaux escomptés qu’Infrastructure Canada espère obtenir dans le cadre du Fonds canadien sur l’infrastructure stratégique sont liés aux investissements dans des projets qui :
9. Structures de gouvernance :
Tous les projets du Fonds canadien sur l’infrastructure stratégique sont sélectionnés sous l’autorité du ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités. Avant de sélectionner les projets, le ministre consulte d’autres ministres qui s’intéressent à la région ou au secteur fondamental du projet. Après la sélection des projets, l’approbation du Conseil du Trésor est requise pour chaque contribution. En parallèle, les fonds de fonctionnement supplémentaires requis pour la gestion et la surveillance des projets par les ministères/les organismes de mise en œuvre sont déterminés et demandés dans la présentation au Conseil du Trésor.
Le fonds est mis en œuvre dans le cadre de partenariats qui font principalement intervenir trois groupes de collaborateurs essentiels :
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Nom des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture)1 | 14. Dépenses prévues 2009-20101 | 15. Résultats prévus 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) | AP 1 | a. | 152,8 millions de dollars | 9,3 millions de dollars | Le projet du port d’Halifax doit donner lieu à la construction d’usines de traitement des eaux usées à Dartmouth et à Herring Cove. L’effluent ainsi traité sera conforme aux exigences de qualité des effluents stipulées par le ministère provincial de l’Environnement et du Travail ou encore les dépasser. Le traitement primaire amélioré et la désinfection connexe des eaux usées au moyen des UV permettront de réduire l’introduction dans le port de pathogènes humains reliés aux égouts. La qualité des eaux du port et l’habitat benthique vont s’améliorer, ce qui, dans l’ensemble, aura des répercussions positives sur la pêche. Le traitement des eaux usées éliminera 75 % des particules qui se trouvent dans ces eaux. |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
2. Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC-Q) | AP 1 | a. | 144,5 millions de dollars | 43,1 millions de dollars | Le Projet de traitement des eaux usées de la rivière Saint-Charles à Québec aidera à protéger l’environnement de cette rivière en minimisant la quantité d’eaux usées contaminées qui s’y écoulent, et en rétablissant l’habitat naturel des berges, afin de les rendre mieux adaptées aux activités récréatives. |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
3. Diversification économique de l’Ouest (DEO) | AP 1 | a. | 655,5 millions de dollars | 69,1 millions de dollars | |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
4. Industrie Canada | AP 1 | a. | 398 millions de dollars | 34,6 millions de dollars | Le stade de soccer de Toronto pourra accueillir 20 000 personnes et on s’attend à ce que le tourisme augmente de même que la capacité de recevoir des événements de soccer de calibre mondial. |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
5. Affaires indiennes et du Nord (AINC) | AP 1 | a. | 41 millions de dollars | 12,6 millions de dollars | Le Projet de logement social du Nunavut est pour 182 nouvelles habitations et chacune des 25 communautés du Nunavut en aura au moins une. Le projet donne lieu à une augmentation du nombre de logements sociaux disponibles et permet de raccourcir les listes d’attente, de réduire le surpeuplement et d’améliorer la qualité des logements. |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
6. Transports Canada | AP 1 | a. | 3 340,5 millions de dollars | 332,6 millions de dollars | |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
Total 4 732,3 millions de dollars | Total 501,3 millions de dollars |
16. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : s.o.
17. Personne-ressource :
Jocelyne St Jean
Directrice générale des Opérations intergouvernementales
(613) 948-8003 jocelyne.stjean@infc.gc.ca
1 Inclue 89,1 million de dollars en vertu du Fonds Chantiers Canada.
1. Nom de l’initiative horizontale : Fonds sur l’infrastructure frontalière
2. Nom du ou des ministères responsables : Infrastructure Canada
3. Activité de programme du ministère responsable : Financement axé sur les projets d’infrastructure ciblés
4. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : 2003-2004
5. Date de clôture de l’initiative horizontale : 2013-2014
6. Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 600 millions de dollars
7. Description de l’initiative horizontale (y compris de l’entente de financement) :
Le Fonds sur l’infrastructure frontalière, qui a été annoncé dans le budget de 2001, est un programme de contribution à frais partagés de 600 millions de dollars. Il complète d’autres programmes d’infrastructure du gouvernement du Canada, comme le Fonds canadien sur l’infrastructure stratégique et le Programme stratégique d’infrastructures routières, un programme de Transports Canada.
Dans le cadre de « l’engagement du Canada à alléger les pressions aux routes d’accès en direction des points d’entrée frontaliers, comme la congestion routière, et à continuer de faciliter les échanges commerciaux entre le Canada et les États-Unis », les contributions du fonds sont destinées aux routes qui conduisent aux postes frontaliers canado-américains, particulièrement aux six plus importants :
Dans le cadre du Fonds sur l’infrastructure frontalière, on consacre également des fonds aux petits postes frontaliers, d’importance régionale, dans tout le Canada. Une fois qu’ils seront terminés, les projets financés par ce fonds contribueront à réduire les encombrements, à augmenter la capacité du système et à promouvoir la déclaration sur la frontière intelligente. (Une déclaration Canada-États-Unis; voir http://www.dfait-maeci.gc.ca/anti-terrorism/declaration-fr.asp).
Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet du Fonds sur l’infrastructure frontalière, consulter : http://www.infc.gc.ca/ip-pi/bif-fsif/bif-fsif-fra.html.
8. Résultats partagés :
Les résultats globaux prévus qu’Infrastructure Canada espère atteindre par le biais du Fonds sur l’infrastructure frontalière sont des investissements dans des projets qui contribuent à la sécurité et à l’efficacité des opérations transfrontalières. Les résultats escomptés sont l’allégement de la congestion routière à la frontière et l’augmentation de la capacité des postes frontaliers, le renforcement de la sûreté et de la sécurité aux postes frontaliers, ce qui conduit à l’efficacité commerciale aux postes frontaliers.
9. Structures de gouvernance :
Tous les projets du Fonds sur l’infrastructure frontalière sont sélectionnés sous l’autorité du ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités. Avant de sélectionner les projets, le ministre consulte d’autres ministres qui s’intéressent à la région ou au secteur fondamental du projet. Après la sélection des projets, le ministre des Transports, des Infrastructures et des Collectivités fait l’annonce au public. L’approbation du Conseil du Trésor est requise pour chaque contribution. En parallèle, les fonds de fonctionnement supplémentaires requis pour la gestion et la surveillance des projets par Transports Canada sont déterminés et demandés dans la présentation au Conseil du Trésor.
Le fonds est mis en œuvre dans le cadre de partenariats qui font principalement intervenir trois groupes de collaborateurs essentiels :
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux (AP) | 12. Nom des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) | 14. Dépenses prévues 2009-2010 | 15. Résultats prévus 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. Transports Canada | AP 1 | 542 millions de dollars | 66,7 millions de dollars | Le Windsor/VACIS s’agit d'un projet conjoint avec les chemins de fer du Canadien Pacifique qui devait porter sur les couloirs ferroviaires du CPR de 7,5 km entre Walker Road à Windsor et la frontière des États-Unis. Le projet cherche à protéger le tronçon de voie ferrée et à préparer l’emplacement pour l’aménagement des systèmes d’inspection des véhicules et des cargaisons par le gouvernement des États-Unis. | |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
2. | AP 1 | a. | $ | $ | |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
Total 542 millions de dollars | Total 66,7 millions de dollars |
16. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : s.o.
17. Personne-ressource :
Jocelyne St Jean
Directrice générale des Opérations intergouvernementales
(613) 948-8003 jocelyne.stjean@infc.gc.ca
1. Nom de l’initiative horizontale :
Fonds sur l’infrastructure municipale rurale
2. Nom du ou des ministères responsables : Infrastructure Canada
3. Activité de programme du ministère responsable : Financement axé sur les projets d’infrastructure ciblés
4. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : 2004-2005
5. Date de clôture de l’initiative horizontale : 2010-2011
6. Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 1,2 milliard de dollars
7. Description de l’initiative horizontale (y compris de l’entente de financement) :
Le Fonds sur l’infrastructure municipale rurale de 1,2 milliard de dollars a été conçu pour répondre de façon équilibrée aux besoins d’infrastructures locaux de toutes les collectivités canadiennes, qu’elles soient urbaines ou rurales, et fera en sorte que tous les Canadiennes et tous les Canadiens, qu’ils vivent dans des collectivités grandes, petites ou éloignées, bénéficieront des avantages de ces investissements en infrastructure.
Le fonds permettra d’améliorer les infrastructures publiques de base, et d’en accroître le nombre, dans des secteurs tels que l’eau potable, les eaux usées, la culture et les loisirs; ces domaines mêmes qui font que nos collectivités des endroits dynamiques et productifs, où il fait bon vivre, travailler et élever nos enfants. Il cible les collectivités de moins de 250 000 habitants et les collectivités des Premières nations. Comme les autres programmes d’infrastructure, le but du Fonds sur l’infrastructure municipale rurale est d’assurer que les projets financés appuient les objectifs du gouvernement fédéral, encouragent la création de nouvelles approches et d’approches novatrices et stimulent les partenariats tout en mettant l’accent sur des projets verts durables qui, en outre, réduisent les émissions de gaz à effet de serre.
Par l’intermédiaire du fonds, le gouvernement du Canada continuera de travailler de concert avec les provinces, les territoires et les municipalités, ainsi que les Premières nations et le secteur privé, en vue d’investir dans des projets d’infrastructures locaux. Ces projets seront indispensables au soutien de la croissance économique et à l’amélioration de la qualité de vie dans les collectivités canadiennes.
Le fonds sera géré en fonction du partage des coûts et le gouvernement du Canada versera, en moyenne, le tiers des coûts totaux des projets admissibles. Les deux autres tiers viendront des administrations provinciales et municipales. En reconnaissance des circonstances uniques qui prévalent dans les territoires et pour les Premières nations, où de nombreuses collectivités n’ont pas d’assiette fiscale, le gouvernement du Canada pourra couvrir plus du tiers des coûts.
Pour obtenir de plus amples renseignements sur le fonds, consulter : http://www.infc.gc.ca/ip-pi/mrif-fimr/mrif-fimr-fra.html.
8. Résultats partagés :
Les résultats globaux escomptés sont :
9. Structures de gouvernance :
Le Fonds sur l’infrastructure municipale rurale repose sur des ententes de partenariat entre Infrastructure Canada et cinq ministères fédéraux : Diversification de l’économie de l’Ouest du Canada, Industrie Canada (pour les projets de l’Ontario), Agence de développement économique Canada pour les régions du Québec, Agence de promotion économique du Canada atlantique et Affaires indiennes et du Nord. Dans le cadre du fonds, on négocie la création de 14 sous-programmes, soit un sous-programme conjoint pour chaque province et territoire et un sous-programme pour les collectivités des Premières nations. Chacun des 14 sous-programmes respectera les mêmes conditions générales, priorités et approches, mais, selon la nature individuelle de chaque sous-programme, les ententes comprendront des nuances relatives à l’ordre de gouvernement partenaire.
Pour favoriser l’atteinte des résultats attendus, les projets admissibles du Fonds sur l’infrastructure municipale rurale doivent respecter un cadre d’optimisation des politiques fondé sur une référence commune, mais adaptée à chaque administration. Dans le but d’assurer un vaste appui et la prestation efficace et novatrice des projets, divers types de partenariats (incluant des partenariats publics-privés) sont encouragés pour l’élaboration et la réalisation des projets du fonds. Le programme devra compter sur l’obtention de commentaires solides des municipalités locales et rurales, notamment des conseils locaux élus. En outre, des représentants municipaux prendront part au processus et à la gestion du programme dans leur province ou territoire respectif.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux (AP) | 12. Nom des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture)1 | 14. Dépenses prévues 2009-20101 | 15. Résultats prévus 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) | AP 1 | a. | 143,4 millions de dollars | 37,5 millions de dollars | Dans la ville de Bathurst au Nouveau-Brunswick, l’expansion du réseau des eaux usées, qui doit raccorder environ 450 nouvelles habitations au service d’aqueduc municipal. |
b. | $ | $ | Dans la municipalité régionale du Cap-Breton en Nouvelle-Écosse, on prévoit terminer le réseau d’égouts sanitaires de traitement du Dominion qui doit traiter les eaux usées d’environ 1 100 habitations afin d’obtenir une eau de meilleure qualité et accroître la capacité de traitement des eaux usées d’environ 1 360 000 mètres cubes par année. | ||
AP 2 | c. | $ | $ | L’auditorium de Mealy Mountain à Terre-Neuve-et-Labrador est une installation culturelle qui attirera environ 5 000 visiteurs par année. | |
d. | $ | $ | Le centre de mieux-être de Montague à l’ÃŽle-du-Prince-Édouard devrait attirer environ 15 000 visiteurs par année. De plus, il devrait être utilisée par environ 25 000 personnes chaque année. | ||
2. Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC-Q) | AP 1 | a. | 241,8 millions de dollars | 166,3 millions de dollars | Un parc industriel dans la ville de New Richmond s’attend à ce que sept nouveaux commerces s’y établissent. On prévoit aussi créer 200 emplois permanents directement en raison de ce projet. |
b. | $ | $ | La Maison des jeunes Kekpart appuiera les utilisateurs en leur offrant des ateliers et une formation pratique dans le domaine des arts et des multimédias. Une fois le projet terminé, l’immeuble profitera à au moins 6 000 jeunes. | ||
AP 2 | c. | $ | $ | Le Centre communautaire Patro de Lévis pourra mieux répondre à la demande croissante d’activités et de services de la population de Lévis en plein essor. | |
d. | $ | $ | Les réparations à l’avenue Royal entre le pont de la rivière Montmorency et la Côte de l’Église vise le remplacement de 1 000 mètres d’égout sous l’avenue Royal et fera en sorte que 4 500 personnes auront accès à de l’eau potable de meilleure qualité. | ||
3. Diversification économique de l’Ouest (DEO) | AP 1 | a. | 286,3 millions de dollars | 151,3 millions de dollars | L’amélioration de l’installation de traitement des eaux usées de Drayton Valley doit permettre de raccorder environ 300 nouvelles habitations au réseau municipal de traitement des eaux usées et raccorder un plus grand nombre d’industries, d’établissements commerciaux et institutions à ce réseau et de répondre à la demande de la Ville de Drayton Valley et des zones rurales environnantes du comté de Brazeau en libérant un effluent de meilleure qualité dans l’environnement. |
b. | $ | $ | Le projet d’égout et d’aqueduc de Grand Rapids au Manitoba permettra de raccorder 140 nouvelles habitations au service d’aqueduc municipal et d’améliorer la qualité de l’eau pour 30 autres. Ces installations devraient réduire d’environ 20 par année le nombre d’incidents de santé reliés à l’eau. | ||
AP 2 | c. | $ | $ | Le système d’aqueduc de la Ville de Yorkton en Saskatchewan, permettra d’améliorer la qualité de l’eau potable pour 6 800 nouvelles habitations. | |
d. | $ | $ | Le raccordement routier de Chiliwack-Evans en Colombie-Britannique permettra de réduire les accidents de la circulation d’environ 20 par année. Il permettra également de réduire la congestion et ainsi d’économiser environ 1,1 millions d’heures-véhicules par année et d’économiser également 6 553 tonnes d’émissions équivalentes en dioxyde de carbone par année. | ||
4. Industrie Canada | AP 1 | a. | 373,3 millions de dollars | 99,1 millions de dollars | En Ontario, l’usine de filtration d’eau de North Bay permettra d’améliorer la qualité de l’eau potable pour 22 500 habitations tout en améliorant la qualité de 230 000 mètres de tuyauterie dans le réseau de distribution des eaux usées. |
b. | $ | $ | La modernisation de l’usine de traitement des eaux usées de Renfrew permettra de raccorder 395 nouvelles habitations au réseau municipal de collecte et de traitement des eaux usées tout en améliorant la qualité pour 3 460 autres. | ||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
5. Affaires indiennes et du Nord (AINC) | AP 1 | a. | 59,1 millions de dollars | 29,5 millions de dollars | Le programme de remplacement de Wood Box Utilidor à Inuvik, dans les Territoires du Nord-Ouest, permettra d’accroître la fiabilité du service des installations de traitement et des réseaux de collecte des eaux usées. Cela permettra également de réduire les coûts d’exploitation et de gestion et de minimiser les interruptions de services. |
b. | $ | $ | Le Centre communautaire de Pond Inlet permettra aux résidants de profiter d’un nouvel emplacement pour les réunions et les interactions sociales et permettra d’accroître le nombre d’activités prévues, tant éducatives que récréatives, pour les jeunes et les enfants de la communauté. | ||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
Total 1 103,9 millions de dollars | Total 483,7 millions de dollars |
16. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : s.o.
17. Personne-ressource :
Jocelyne St Jean
Directrice générale des Opérations intergouvernementales
(613) 948-8003 jocelyne.stjean@infc.gc.ca
1 Inclue 113,6 million de dollars en vertu du Fonds Chantiers Canada.
1. Nom de l’initiative horizontale : Programme infrastructures Canada
2. Nom du ou des ministères responsables : Industrie Canada, Agence de promotion économique du Canada atlantique, Agence de développement économique Canada pour les régions du Québec, Diversification de l’économie de l’Ouest du Canada et Affaires indiennes et du Nord. En 2002, Infrastructure Canada a été créé pour assumer le rôle de coordination qui était auparavant la responsabilité du Secrétariat du Conseil du Trésor.
3. Activité de programme du ministère responsable : Financement axé sur les projets d’infrastructure ciblés
4. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : 2000-2001
5. Date de clôture de l’initiative horizontale : 2010-2011
6. Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 2,05 milliards de dollars
7. Description de l’initiative horizontale (y compris de l’entente de financement) :
Le Programme infrastructures Canada est un programme de contribution, qui a été lancé en 2000 pour les projets d’infrastructures municipales. Le gouvernement du Canada fournit une contribution égale à celle des gouvernements provinciaux-territoriaux, et finance jusqu’à un tiers des coûts de chaque projet d’infrastructure municipale. Il est un programme de 2,05 milliards de dollars, qui est en vigueur sur une période de sept années financières. Le programme est en bonne voie de réalisation et des projets sont en cours dans toutes les régions du pays. Presque tous les fonds ont été soit attribués à des projets approuvés, soit affectés théoriquement à des projets à l’étude.
La première priorité du programme en matière de financement est l’ensemble des « projets municipaux verts », c.-à -d. ceux qui présentent des avantages pour l’environnement, qui améliorent sa qualité ou présentent des avantages pour la santé qui améliorent la qualité de vie. Les autres priorités du programme englobent également le logement à prix abordable, la culture, le tourisme et les loisirs, les télécommunications dans les collectivités rurales et éloignées, l’accès à haute vitesse pour les institutions publiques et le transport local. Le programme reconnaît que les gouvernements locaux sont les mieux placés pour déterminer les infrastructures qui ont la plus grande incidence sur leurs collectivités. Par conséquent, le programme adopte une approche prenant ses assises à la base et donne aux municipalités et aux Premières nations la latitude et la flexibilité pour identifier leurs priorités en matière d’infrastructure. Il comprend également des dispositions qui garantissent une répartition équitable des fonds destinés aux communautés urbaines et rurales.
Pour de plus amples renseignements, consulter : http://www.infc.gc.ca/ip-pi/icp-pic/icp-pic-fra.html.
8. Résultats partagés :
Les résultats globaux prévus sont les suivants : bonifier une infrastructure municipale urbaine et rurale au Canada et améliorer la qualité de vie des Canadiennes et des Canadiens grâce à des investissements qui protègent l’environnement et appuient la croissance communautaire et économique à long terme.
9. Structures de gouvernance :
Les principaux rôles et responsabilités des partenaires sont les suivants :
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux (AP) | 12. Nom des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) | 14. Dépenses prévues 2009-2010 | 15. Résultats prévus 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) | AP 1 | a. | 188,2 millions de dollars | 0 $ | En Nouvelle-Écosse, la municipalité de Baddeck, dans le comté de Victoria, devrait terminer la modernisation de son réseau de traitement des eaux usées qui doit traiter les eaux usées de 287 habitations, pour que ces eaux aient une meilleure qualité, tout en raccordant 80 autres habitations au réseau de traitement des eaux usées. |
b. | $ | $ | Dans le village de Dorchester, au Nouveau-Brunswick, la modernisation du système d’aqueduc permettra d’alimenter en eau potable les résidences de cet endroit. | ||
AP 2 | c. | $ | $ | L’usine de traitement des eaux usées de Glenwood-Applewood à Terre-Neuve-et-Labrador permettra d’augmenter la qualité de l’eau potable pour 540 habitations. | |
d. | $ | $ | |||
2. Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC-Q) | AP 1 | a. | 525,3 millions de dollars | 12,4 millions de dollars | |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
3. Diversification économique de l’Ouest (DEO) | AP 1 | a. | 568,3 millions de dollars | 6,8 millions de dollars | |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
4. Industrie Canada | AP 1 | a. | 693,8 millions de dollars | 0 $ | |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
5. Affaires indiennes et du Nord (AINC) | AP 1 | a. | 40 millions de dollars | 0 $ | |
b. | $ | $ | |||
AP 2 | c. | $ | $ | ||
d. | $ | $ | |||
b. | $ | $ | |||
Total 2 015,6 millions de dollars | Total 19,2 millions de dollars |
16. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : s.o.
17. Personne-ressource :
Jocelyne St Jean
Directrice générale des Opérations intergouvernementales
(613) 948-8003 jocelyne.stjean@infc.gc.ca
1. Nom de l’initiative horizontale : Fonds Chantiers Canada
2. Nom du ministère responsable : Infrastructure Canada
3. Principale activité de programme ministérielle : Financement axé sur des projets d'infrastructure ciblés
4. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : 2007-2008
5. Date de clôture de l’initiative horizontale : 2016-2017
6. Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral (entre la date de mise en œuvre et la date de clôture) : 8,8 G$
7. Description de l’initiative horizontale (y compris l’entente de financement) :
Le Fonds Chantiers Canada est centré sur les projets qui profitent à tous les Canadiens sur les plans social, économique et environnemental.
Les priorités nationales du financement versé aux termes du fonds comprennent les routes principales du réseau routier national, l’eau potable, les eaux usées, le transport en commun et l’énergie verte. Les autres catégories admissibles comprennent les projets qui appuient la croissance et le développement économiques (transport ferroviaire et maritime à courte distance, connectivité et large bande, tourisme et aéroports régionaux et locaux), les projets environnementaux (gestion des déchets solides), ainsi que les projets qui contribuent au développement continu de collectivités fortes et sécuritaires (atténuation des effets des catastrophes, culture, sports, routes et ponts locaux, et réaménagement des friches industrielles). Le financement sert à appuyer les infrastructures publiques appartenant aux provinces, aux territoires et aux municipalités, ainsi qu’au secteur sans but lucratif et à l’industrie privée, dans certains cas.
Le financement est affecté à des projets dans l’ensemble des provinces et des territoires, en fonction de leur population (selon le recensement de 2006). Dans les provinces, le programme est exécuté par le biais de deux volets, soit le volet Grandes infrastructures et le volet Collectivités. Dans les territoires, compte tenu du nombre peu élevé d’habitants, le financement du Fonds Chantiers Canada est versé aux termes du Programme de financement de base pour les provinces et les territoires, et géré en vertu des modalités de ce programme dans chaque territoire.
Le volet Grandes infrastructures vise les grands projets stratégiques d’importance régionale et nationale. Aux termes de ce volet, deux tiers du financement national sont consacrés aux priorités nationales mentionnées ci-dessus. Les projets du volet Grandes infrastructures sont sélectionnés conjointement en fonction du mérite au moyen d’un processus de négociation fédéral-provincial/territorial. De plus, tous les projets doivent répondre à des critères liés à l’environnement, à l’économie et à la qualité de vie. On mettra également l’accent sur les technologies innovatrices et sur les partenariats.
Le volet Collectivités est axé sur les projets dans les collectivités comptant moins de 100 000 habitants. Les projets sont choisir en fonction d’un processus fondé sur les demandes reçues. Comme c’est le cas pour le volet Grandes infrastructures, les projets proposés seront évalués en fonction de la mesure dans laquelle ils correspondent aux objectifs touchant l’environnement, l’économie et la qualité de vie. Cette mesure permettra d’aider considérablement les petites collectivités à répondre à leurs besoins urgents en matière d’infrastructure. Il s’agira d’un outil complémentaire au Fonds de la taxe sur l’essence.
Pour obtenir de plus amples renseignements sur le Fonds Chantiers Canada, visitez le site Web suivant : http://www.buildingcanada-chantierscanada.gc.ca/funprog-progfin/target-viser/bcf-fcc/bcf-fcc-fra.html
8. Résultat(s) commun(s) :
Les résultats généraux prévus consistent à fournir des résultats qui comptent pour les Canadiennes et les Canadiens – la propreté de l’air et de l’eau, la sécurité routière, la réduction du temps de transport, ainsi que la mise en place de collectivités prospères et viables – tout en appuyant les priorités du Canada, à savoir le renforcement de l’économie, l’assainissement de l’environnement et le renforcement des collectivités.
9. Structure(s) de gouvernance :
Tous les projets du volet Grandes infrastructures sont choisis sous l’autorité du ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités. Les priorités sont établies à la suite de discussions avec les provinces et les territoires, y compris par l’entremise des comités de l’entente cadre en matière d’infrastructure. Avant de choisir les projets, le ministre consulte d’autres ministres qui ont un intérêt pour la région ou le secteur touché par le projet. À la suite du processus de diligence raisonnable, on sollicite l’approbation du Conseil du Trésor pour les contributions à tout projet dépassant le seuil des pouvoirs délégués (p. ex. contribution fédérale de 50 millions de dollars). En parallèle, les fonds de fonctionnement supplémentaires requis pour la surveillance et la gestion des projets par le ministère/organisme chargé de la mise en œuvre sont décrits dans la présentation au Conseil du Trésor.
Le volet Grandes infrastructures est principalement exécuté en partenariat avec trois collaborateurs clés :
Le volet Collectivités est régi par des ententes de financement fédérales-provinciales distinctes. Chaque entente est gérée par un comité de surveillance établi par le Comité de l’entente-cadre en matière d’infrastructure, qui est composé de hauts fonctionnaires fédéraux et provinciaux. Pour soutenir le fonctionnement du volet Collectivités et des comités de surveillance, chaque administration dispose d’un secrétariat conjoint fédéral-provincial formé de représentants du partenaire d’exécution fédéral et de fonctionnaires provinciaux.
Toutes les demandes soumises au titre du volet Collectivités font l’objet d’un processus concurrentiel. Le secrétariat conjoint administre le processus, mais l’association municipale provinciale (dans les provinces qui ont de telles associations) peut être appelée à jouer un rôle important, tel qu’il aura été déterminé dans le cadre du processus d’étude des demandes. Si les secrétariats conjoints et les comités de surveillance disposent d’une certaine souplesse pour exécuter le processus, ils sont toutefois tenus de lancer des appels de demandes (soit en une seule période ouverte ou en plusieurs périodes plus courtes assorties de dates de clôture) dans le cas de tous les processus. Certaines provinces peuvent limiter le nombre de demandes par collectivité au cours d'un ou de l'ensemble des appels de demande.
Les secrétariats conjoints assurent le premier niveau de diligence raisonnable, ce qui comprend l’étude des demandes sur les plans technique, environnemental et juridique, et préparent les documents de breffage pour les comités de surveillance. Ces derniers étudient ensuite les demandes et les classent en fonction des critères obligatoires et d’autres critères établis dans le cadre d’optimisation des politiques du Fonds Chantiers Canada. Le comité de surveillance soumet la liste des projets recommandés à l’examen du ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités ou du ministre responsable du partenaire d’exécution fédéral, conformément à la délégation de pouvoir. Après avoir consulté d’autres ministres ayant un mandat à remplir dans le secteur fondamental du projet, le ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités ou le ministre responsable du partenaire d’exécution fédéral communique ses commentaires relatifs à la liste des projets au comité de surveillance. Ce dernier revoit une dernière fois la liste et fait une recommandation au ministre concerné, conformément à la délégation de pouvoir. Les projets qui recevront l’aide financière du gouvernement fédéral sont annoncés lorsqu’ils ont reçu l’approbation finale écrite.
Les ententes-cadres stipulent que les ententes de financement fédérales-provinciales individuelles régissent le volet Collectivités dans chaque province et sont gérées par un comité de surveillance, relevant du Comité de l’entente-cadre en matière d’infrastructure. Chaque comité de surveillance est composé de hauts fonctionnaires fédéraux et provinciaux, mais peut également comprendre des représentants des associations municipales provinciales (s’il y a lieu). Le coprésident fédéral du comité de surveillance est un cadre supérieur d’Infrastructure Canada nommé par le ministre.
Conformément à l’entente de contribution fédérale-provinciale, les parties conviennent d’établir un secrétariat conjoint pour prêter main-forte au comité de surveillance et administrer le volet Collectivités. Ce secrétariat est doté d’un personnel composé de hauts fonctionnaires du gouvernement provincial et du partenaire d’exécution fédéral.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activité de programme du partenaire fédéral (AP) | 12. Noms des programmes pour les partenaires fédéraux | 13. Affectation totale (entre la date de mise en œuvre et la date de clôture) | 14. Dépenses prévues pour 2009-20101 | 15. Résultats prévus pour 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) | PA 1 | a. FCC VGI | 12,0 M$ | 5,4 M$ | Conception et construction d’une installation sportive polyvalente de 176 000 pieds carrés et d’un espace dédié au Canadian Sport Centre Atlantic, afin d’offrir des services à la collectivité et d’accueillir les Jeux d’hiver de 2011. |
b. FCIS | 26,6 M$ | 9,3 M$ | Port de St. John’s. | ||
c. FCC VC | 148,3 M$ | 30,0 M$ | Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse, Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve-et-Labrador | ||
d. FIMR | 23,2 M$ | 8,5 M$ | |||
2. Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC-Q) | PA 1 | a. FCC VGI | 40,0 M$ | 11,0 M$ | Quartier des spectacles à Montréal |
b. FCC VC | 210,0 M$ | 0 M$ | Québec | ||
c. FIMR | 39,8 M$ | 19,8 M$ | |||
3. Transports Canada | PA 1 | a. FCC VGI | 1 517,7 M$ | 239,2 M$ |
Toronto-York Spadina - Un réseau transport combiné efficace et rentable qui est intégré à des réseaux adjacents et d’autres municipalités. Phase II de l’autoroute 30 au Québec, route 1 en C.-B., route 97 en C.-B., Kicking Horse Canyon en C.-B., autoroutes du Nouveau-Brunswick, voie de contournement d’Antigonish en Nouvelle-Écosse. |
b. FCIS | 100,0 M$ | 32,6 M$ | Autoroutes du Nouveau-Brunswick | ||
4. Diversification de l’économie de l’Ouest canadien (DEO) | PA 1 | a. FCC VGI | 100,0 M$ | 47,4 M$ |
Centre d’expositions de Northlands (Alberta) – L’agrandissement permettra de satisfaire la demande actuelle et prévue pour les expositions, conférences et restaurations ainsi qu’attirer des conventions internationaux et des événements régionaux et nationaux. Banff Centre en Alberta – Accroître le nombre possibilités de formation professionnelle dans les disciplines artistiques menant à une hausse dans les inscriptions. Calgary Olympic Development Association (CODA) – Offrir l’entraînement à long terme et accroître les possibilités de compétitions. Améliorer les possibilités pour les athlètes Canadiens à gagner des médailles aux Jeux olympiques et paralympiques en centralisant l’entrainement et en appuyant l’excellence. IPSCO Place (anciennement Regina Exhibition Park) – Accroître la capacité du plus grand centre d’événements en Saskatchewan pour conserver sa clientèle de longue date et d’attirer de nouveaux événements de grande envergure. |
b. FCIS | 170,5 M$ | 47,2 M$ | Canal de dérivation de la rivière Rouge | ||
c. FCC VC | 359,5 M$ | 47,5 M$ | Alberta, C.-B., Manitoba, Saskatchewan | ||
d. FIMR | 58,5 M$ | 46,0 M$ | |||
5. Industrie Canada | PA 1 | a. FCC VGI | 50,1 M$ | 24,8 M$ |
Centre des congrès d’Ottawa – Le nouveau centre permettra d’accommoder des événements de grande envergure et d’attirer un plus grand nombre de visiteurs dans la région. |
b. FCC VC | 362,0 M$ | 35,0 M$ | Ontario | ||
c. FIMR | 64,0 M$ | 33,0 M$ | |||
6. Affaires indiennes et du Nord canadien | PA 1 | a. FIMR | 9,5 M$ | 6,3 M$ | |
Total : 3 399,7 M$ | Total : 643,0 M$ |
16. Résultats devant être obtenus par les partenaires non fédéraux (s’il y a lieu) : S/O
17. Personne-ressource :
Jocelyne St Jean
Directrice générale des Opérations intergouvernementales
(613) 948-8003 jocelyne.stjean@infc.gc.ca
Nom du ministère responsable: Ministère de la Justice
Activité de programme du ministère responsable: Politiques, lois et programmes de Justice
Date de mise en œuvre de l’initiative: 2007-08
Date de clôture de l’initiative horizontale: 2011-2012 et continue
Total du financement fédéral versé (de la date de mise en œuvre à la date de clôture): 578,1 millions[1]
Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement):
La Stratégie nationale antidrogue repose sur l’ancienne Stratégie canadienne antidrogue, est clairement axée sur les drogues illicites, et plus particulièrement sur les jeunes. Elle a comme objectif de contribuer à l’amélioration de la santé et la sécurité des collectivités au moyen de mesures coordonnées de prévention de la consommation, de traitement de la dépendance et de réduction de la production et de la distribution des drogues illicites. Elle englobe trois plans d’action : prévention, traitement et application de la loi.
Le plan d’action sur la prévention soutient des mesures pour empêcher les jeunes de consommer des drogues illicites en approfondissant leur sensibilisation et leur compréhension des effets préjudiciables sur la société et la santé de la consommation de drogues illicites. Il cible l’élaboration et la mise en œuvre d’interventions et d’initiatives communautaires de prévention de la consommation des drogues illicites. Le plan d’action sur le traitement soutient les systèmes et services efficaces de traitement et de réadaptation au moyen de l’élaboration et la mise en œuvre d’approches novatrices concertées. Le plan d’action sur l’application de la loi vise à contribuer à la perturbation des activités liées aux drogues illicites d’une manière sécuritaire et il cible particulièrement les organisations criminelles.
Résultats partagés:
Structures de gouvernance:
La structure de gouvernance de la Stratégie se compose du Comité directeur des sous-ministres adjoints et des groupes de travail sur les politiques et le rendement, la prévention et le traitement, l’application de la loi et les communications. La structure de gouvernance est soutenue par l’Unité des initiatives stratégiques du ministère de la Justice du Canada.
Le Comité directeur des sous-ministres adjoints (CDSMA), qui est présidé par le ministère de la Justice du Canada, surveille la mise en œuvre de la Stratégie, prend les décisions nécessaires à l’avancement de l’initiative, le cas échéant, et veille à l’obtention de résultats appropriés en temps opportun pour l’initiative et à l’obligation de rendre compte de l’affectation des ressources de l’initiative. Le CDSMA prépare des questions à la considération des sous-ministres, le cas échéant.
Le Groupe de travail sur la prévention et le traitement, présidé par Santé Canada, surveille l’élaboration et l’application des plans d’action sur la prévention et le traitement. Le Groupe de travail sur l’application de la loi, présidé par le ministère de la Sécurité publique du Canada, surveille l’élaboration et la mise en œuvre du plan d’action sur l’application de la loi. Le Groupe de travail sur les politiques et le rendement, présidé par le ministère de la Justice du Canada, surveille l’élaboration et la formulation d’orientations et de résultats stratégiques pour la Stratégie et les travaux du Sous-comité sur l’évaluation et le rendement. Le Groupe de travail sur les communications, présidé par le ministère de la Justice du Canada, surveille la communication de la Stratégie, notamment, la prise des décisions nécessaires à l’avancement de la communication de l’initiative et la coordination des communications.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
Ministère de la Justice | A1-Politiques, lois et programmes de Justice | a. Tribunaux de traitement de la toxicomanie | 16,23 M$ | 3,63 M$ | Réduction des récidives de ceux qui comparaissent devant les tribunaux de traitement de la toxicomanie |
b. Fonds de justice pour les jeunes – Composante Désintoxi-cation de la justice pour les jeunes
(Plan d’action sur le traitement) |
6,8 M$ | 1,58 M$ |
Résultats dans l’ensemble :
Retombées immédiates :
|
||
c. Rôle de premier plan de Justice Canada pour la Stratégie nationale antidrogue | 1,34 M$ | 0,25 M$ |
Leadership efficace de la réponse fédérale aux préoccupations que suscitent la prévention, le traitement et l’application de la loi à l’égard des drogues illicites
|
||
C1 – Services internes | a. Rôle de premier plan de Justice Canada pour la Stratégie nationale antidrogue | 1,53 M$ | 0,33 M$ |
Leadership efficace de la réponse fédérale aux préoccupations que suscitent la prévention, le traitement et l’application de la loi à l’égard des drogues illicites
|
|
b. Stratégie nationale antidrogue | 0,25 M$ | 0,05 M$ | |||
Santé Canada | s.o. |
a. Campagne médiatique de masse
(Plan d’action sur la prévention) |
29,8 M$ | 6 M$ | Sensibilisation et compréhension plus approfondies des drogues illicites et de leurs conséquences négatives |
3.4.3 Substances réglementées |
b. Fonds des initiatives commu-nautaires de la Stratégie antidrogue (FICSA)
(Plan d’action sur la prévention) |
59 M$ | 11,8 M$ |
Sensibilisation et compréhension plus approfondies des drogues illicites et de leurs conséquences négatives
Connaissance accrue dans les collectivités pour considérer la consommation de drogues illicites et les conséquences négatives. |
|
3.4 Consommation de substances et toxicomanie |
c. Programme de financement du traitement de la toxicomanie (PFTT)
(Plan d’action sur le traitement) |
124,7 M$ | 30,77 M$ |
Meilleure collaboration pour les réponses et connaissance des enjeux du traitement
Capacité accrue de planifier un éventail de programmes et services de traitement et d’en faire la prestation aux groupes ciblés Meilleurs engagements FPT pour améliorer les systèmes de traitement dans des secteurs ciblés qui en ont besoin |
|
4.1.1.2 Santé mentale et toxicomanie chez les Inuit et les Premières nations |
d. Programme national de lutte contre l’abus de l’alcool et des drogues chez les Autochtones (PNLAADA)
(Plan d’action sur le traitement) |
35,5 M$ | 7,9 M$ | Capacité accrue de planifier un éventail de programmes et services de traitement et d’en faire la prestation aux groupes ciblés | |
3.4.3 |
e. Bureau des substances contrôlées
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
12,8 M$ | 2,66 M$ | Capacité accrue de réglementer et surveiller les substances contrôlées et les précurseurs chimiques | |
f. Service d’analyse des drogues
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
49,2 M$[2]
3,4 M$[3] |
9,44 M$ |
Capacité accrue d’obtenir, d’analyser – d’échanger des renseignements criminels et d’analyser des données probantes
Sensibilisation approfondie aux enjeux des drogues illicites et des précurseurs chimiques pour les représentants de l’application de la loi |
||
Instituts de recherche en santé du Canada | 1.2 Recherche sur les priorités stratégiques |
Recherche sur un modèle de traitement de la toxicomanie
(Plan d’action sur le traitement) |
4,0 M$ | 0,97 M$ | Meilleure collaboration pour les réponses et connaissance des enjeux du traitement |
Ministère de la Sécurité publique du Canada | 5 |
a. Program-mation et financement de la prévention de la criminalité : (Fonds d’action en prévention du crime et Fonds pour la recherche et le dévelop-pement des connais-sances)
(Plan d’action sur la prévention) |
20,0 M$ | 5 M$ |
Soutien accru des groupes à risque ciblés
Connaissance accrue dans les collectivités pour considérer la consommation de drogues illicites et les conséquences négatives. |
3.1 Politique sur l’application de la loi |
b. Coordination nationale des mesures d’amélioration des rensei-gnements, des connais-sances, de la gestion, de la recherche et de l’évaluation
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
4,0 M$ | 0,8 M$ | Collectivités plus sûres et intervention policière plus efficace au moyen de politiques stratégiques nationales d’application de la loi | |
Gendarmerie royale du Canada | 1.1.2.7 |
a. Service de sensibilisation aux drogues et au crime organisé (SSDCO)
(Plan d’action sur la prévention) |
15,1 M$ | 3,0 M$ | Sensibilisation plus approfondie aux drogues illicites et à leurs conséquences négatives et compréhension accrue en ce sens chez les jeunes ciblés par l’intermédiaire de la programmation du SSDCO. |
3.5.2 Programmes commu-nautaires et pour les jeunes |
b. Programme national d’intervention et de déjudiciarisation à l’intention des jeunes (Plan d’action sur le traitement) |
3,6 M$ | 0,745 M$ |
Des lieux de mise en œuvre sont aménagés dans les divisions participantes de la GRC.
Des représentants des divisions de la GRC sont choisis pour aider à la prestation des programmes locaux et la collecte des données. |
|
1.1.2.9 |
c. Programme antidrogue de la GRC
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
91,4 M$ | 17,3 M$ |
Capacité accrue d’application de la loi contre les fabricants et distributeurs de drogues illicites, en particulier par l’intermédiaire du démantèlement des cultures de marijuana et des opérations de fabrication de drogues synthétiques.
Capacité accrue d’obtenir, d’analyser et d’échanger les renseignements criminels et les données probantes de l’analyse par l’intermédiaire de ressources supplémentaires aux Services de renseignements criminels. Changement du nombre de CM ou de lab. cland. perturbés ou ayant fait l’objet d’une enquête. Maintien continu de l’intégration, de la collaboration et de la capacité entre les secteurs, organismes d’application de la loi, administrations publiques, collectivités et partenaires internationaux pour considérer l’importation et l’exportation illicites, la fabrication et la distribution pertinentes aux CM ou aux OFDS. Sensibilisation plus approfondie aux questions de drogues illicites et de précurseurs chimiques chez les représentants de l’application de la loi et les premiers intervenants. |
|
Service correctionnel du Canada | 3.0 Supervision communautaire |
Préparation des cas et supervision des contre-venants provinciaux
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
23,3 M$ [4] | 6,8 M$ | Préparation des cas en temps opportun, taux des délinquants réintégrés avec succès dans la collectivité (si les mesures législatives sur l’application des peines minimales pour infractions graves liées aux drogues sont adoptées) |
Commission nationale des libérations conditionÂnelles du Canada |
Libérations condition-nelles
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
7,2 M$ [5] | 2,2 M$ |
Préparation à l’application des peines minimales pour infractions graves en matière de drogue.
Après la sanction royale des peines minimales pour infractions graves en matière de drogue, achever les examens de libération conditionnelle des contrevenants incarcérés pour infractions assujetties aux peines minimales. |
|
Bureau du directeur des poursuites pénales | 1 – Programme de poursuites des infractions en matière de drogues, au titre du Code criminel et en matière de terrorisme |
a. Poursuites et services liés aux poursuites
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
8,6 M$ | 1,6 M$ | Prestation d’avis juridiques préalables à l’inculpation et soutien des litiges de même que poursuite des infractions en matière de drogues en vertu de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances (LRDS) en réponse à la charge de travail générée par l’amélioration des équipes anti-drogue de la GRC, des renseignements criminels et du personnel de soutien des opérations techniques. |
b. Poursuite des infractions graves en matière de drogue prévues par la LRDS
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
33,5 M$ [6] | 0 $ | Prestation d’avis juridiques sur les poursuites et soutien des litiges lors d’enquêtes policières, poursuite des inculpations liées à la drogue en vertu de la LRDS et découlant des peines minimales si la législation proposée reçoit la sanction royale. | ||
3 – Services internes | Plan d’action sur l’application de la loi | 1,3 M$ | 0,2 M$ | ||
Agence des services frontaliers du Canada | 1 |
Renseigne-ments sur les frontières, détournement de précurseurs chimiques, analyse et services scientifiques
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
12,7 M$ | 2,35 M$ | Les ressources seront ciblées sur la collecte de renseignements criminels, l’échange de renseignements, les activités d’application de la loi, les capacités d’évaluation, les services et le soutien aux laboratoires. |
Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international | 1.2 Opérations et programmes interna-tionaux |
Contributions annuelles à l’ONUDC et à la CICAD
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
4,5 M$ | 0,9 M$ |
Meilleure capacité de l’ONUDC d’accomplir son mandat dans la lutte contre les drogues et la criminalité internationale à l’échelon mondial.
Meilleure capacité de la CICAD d’accomplir son mandat dans la lutte contre les drogues dans les Amériques. |
Agence du revenu du Canada | 4 Conformité à l’obligation de faire rapport |
Programme spécial d’application de la loi
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
4,2 M$ | 0,8 M$ | Quinze vérifications de cibles impliquées dans des cultures de marijuana ou des activités de drogues illicites ont donné environ 750 000 $ en impôt fédéral |
Travaux publics et Services gouvernemen- taux Canada | 1.7 Programmes et services spécialisés |
Groupe de gestion juricomptable (GGJ)
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
1,6 M$ | 0,2 M$ | Éliminer l’incitatif financier de l’exercice d’activités criminelles |
Centre d’analyse des opérations et déclarations financières du Canada | 4881 Collecte, analyse et diffusion de rensei-gnements financiers |
Centre d’analyse des opérations et déclarations financières du Canada
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
2,5 M$ | 512 000 $ |
Soutien accru de l’application de la loi
Élaboration de renseignements financiers Veiller à la conformité dans les secteurs déclarants à risque élevé |
Total | 578,1 M$ | 117,8 M$ |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant): S/O
Personne-ressource:
Catherine Latimer
Avocate générale et directrice générale
Unité des initiatives stratégiques
613-957-9623
[1] Comprend le financement de mise en œuvre des peines minimales pour infractions graves liées aux drogues faisant l’objet d’une affectation qui sera débloquée quand la législation proposée recevra la sanction royale.
[2] L’affectation originale selon le CGRR est de 62,4 M$. L’écart découle d’une réaffectation interne pour soutenir les activités des SAD (recherche, politiques, élaboration réglementaire).
[3] Ce financement de mise en œuvre des peines minimales pour infractions graves liées aux drogues fait l’objet d’une affectation qui sera débloquée quand la législation proposée recevra la Sanction royale.
[4] Ce financement de mise en œuvre des peines minimales en matière d’infractions graves liées aux drogues fait l’objet d’une affectation qui sera débloquée quand la législation proposée recevra la sanction royale. Pas de financement disponible en 2007-2008.
[5] Ce financement de mise en œuvre des peines minimales en matière d’infractions graves liées aux drogues fait l’objet d’une affectation qui sera débloquée quand la législation proposée recevra la sanction royale.
[6] Ce financement de mise en œuvre des peines minimales en matière d’infractions graves liées aux drogues fait l’objet d’une affectation qui sera débloquée quand la législation proposée recevra la sanction royale.
Ministères responsables : Affaires étrangères et Commerce international Canada
Activité de programme du ministère responsable : Diplomatie et Défense des intérêts
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : lancement - 2 octobre 2005; opérationnalisation - 18 septembre 2006
Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2013
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) : 1 108,0
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) : financé à partir des éléments de l'enveloppe de l'aide internationale touchant à la paix et à la sécurité, le FPSM comble une lacune en matière de financement en offrant des ressources spécifiques à l'égard d'activités nécessaires à une intervention opportune concernant des pays en crise ou présentant un risque de crise, mais qui ne relèvent pas à proprement parler du ministère de la Défense nationale et qui n'entrent pas dans le programme classique d'aide au développement du Canada. Parmi les exemples d'activités, mentionnons l'appui aux opérations de paix et aux processus de paix, le soutien à la réforme du système judiciaire et de sécurité, la promotion de la réconciliation et l'amélioration de la justice transitoire ainsi que des capacités de la police et de l'armée d'imposer la paix en Afrique et dans les Amériques. Les principaux bénéficiaires du financement sont l'Afghanistan, le Soudan et Haïti.
Le FPSM est un programme à la fois directif et réactif qui a été mis sur pied afin d'assurer une aide internationale opportune, ciblée, efficace et responsable, et ce, en réponse aux défis importants en matière de paix et de sécurité. Le MAECI collabore avec plusieurs ministères, notamment l'ACDI, la GRC, le MDN, le SCC, l'ASFC et Justice Canada. Parmi les autres formes d'aide, ces partenariats contribuent une expertise essentielle aux composantes civiles des opérations de paix des Nations Unies dans les domaines de la réforme du système judiciaire et de sécurité. En 2007-2008, le FPSM a conclu des ententes avec plusieurs partenaires fédéraux chargés de la mise en œuvre. Ces derniers ont contribué un montant de 82,4 millions de dollars, s'ajoutant à la contribution de 86,3 millions de dollars du MAECI pour des dépenses totales de 168,7 millions de dollars. De manière toute particulière, il faut noter la contribution aux opérations de soutien de la paix au Soudan par l'entremise de la Corporation commerciale canadienne et la mise en œuvre des projets de stabilisation et de reconstruction dans la province de Kandahar, en Afghanistan.
Résultats partagés :
Structures de gouvernance : le FPSM est géré par le secrétariat du Groupe de travail sur la stabilisation et la reconstruction (GTSR) dans le contexte d'une approche pangouvernementale coordonnée par l'entremise du conseil consultatif du GTSR. Sous la présidence du directeur général du secrétariat du GTSR et réunissant des hauts fonctionnaires de l'ensemble du gouvernement, le conseil consultatif du GTSR est responsable de l'établissement d'une politique stratégique pangouvernementale, de l'établissement des priorités et des orientations concernant les États fragiles et les urgences complexes dans le cadre des autorisations ministérielles individuelles. De plus, il doit offrir une plateforme d'échanges de renseignements sur les activités liées au programme de façon à garantir la complémentarité et à éviter le double emploi. Le secrétariat du GTSR fait partie du Secteur de la sécurité internationale du Ministère et doit rendre des comptes au MAECI, qui est responsable d'offrir des ressources financières, humaines et matérielles au GTSR.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l’éché- ance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
Affaires étrangères et Commerce international Canada (MAECI) | AP 2 : Diplomatie et Défense des intérêts | Programme pour la paix et la sécurité mondiales; Programme d'opérations mondiales de maintien de la paix; Programme Glyn-Berry pour la paix et la sécurité | 91,8 | Renforcement de la contribution canadienne à la paix et à la sécurité, ainsi qu'à la sécurité et au bien-être des bénéficiaires vivant dans les régions ciblées. | |
Gendarmerie royale du Canada (GRC) | AP 1 : Opérations fédérales et internationales | Arrangement sur la police civile au Canada | 11,4**** | Mise en œuvre des projets de police de la GRC pour le maintien de la paix dans le monde | |
Agence canadienne de développement international (ACDI) | AP 1 : Programmes géographiques | s. o. | 0 (l'ACDI ne devrait avoir aucun fonds du FPSM à administrer en 2009-2010) |
s. o. | |
Corporation commerciale canadienne (CCC) | s. o. | Opérations de soutien de la paix dans les États fragiles | 6,5 | Soutien logistique aux opérations de soutien de la paix au Soudan (MUAS et MINUAD) | |
Service correctionnel du Canada (SCC) | AP 1 : Interventions correctionnelles | Opérations en Afghanistan et stabilisation et reconstruction en Haïti | 2,0 | Appui au déploiement de conseillers en matière correction- nelle auprès de l'EPR en Afghanistan | |
Justice Canada | AP 1 : Politiques, lois et programmes en matière de justice | s. o. | 0 (aucune dépense identifiée à ce jour) | s. o. | |
Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) | AP 1 : Sécurité | Opérations en Afghanistan (frontière pakistano-afghane); soutien du Canada au processus de paix au Moyen-Orient; stabilisation et reconstruction en Haïti | 0 (aucune dépense identifiée à ce jour) |
Fourniture d'une aide technique | |
Ministère de la Défense nationale (DND) | AP 1 : Contribution au Canada et à la communauté internationale | Opérations en Afghanistan | 10,4 (comprend les questions de nature policière et correctionnelle et les initiatives de Kandahar pour la paix et la sécurité) |
Soutien à la mise en œuvre de projets à Kandahar | |
*Comprend les subventions. **La colonne " Nom des programmes des partenaires fédéraux " renvoie au soutien accordé aux activités du FPSM et ne reflète pas nécessairement le nom officiel donné par un ministère au programme. Il arrive souvent que les ministères qui collaborent avec le FPSM n'ont pas de nom officiel pour le programme. ***Les chiffres exacts demeurent inconnus en raison de définitions ambiguës, notamment les dates d'inclusion ou d'exclusion et les reports liés au Programme sur la sécurité humaine (maintenant le Programme Glyn Berry) pour les années financières 2005-2006 et 2006-2007. ****Ceci représente les fonds destinés à couvrir les coûts de fonctionnement de la GRC pour le déploiement de policiers en appui aux opérations policières internationales de maintien de la paix. Exclus sont les transferts à la GRC en appui au Programme international de police civile. |
Total 122,1 |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : le FPSM est mené en collaboration avec une multitude de partenaires chargés de la mise en œuvre, y compris des organisations internationales et régionales, comme les Nations Unies et ses organes, l'Organisation des États américains et l'Union africaine, ainsi que des organisations non gouvernementales, des universités, des gouvernements étrangers et d'autres entités juridiques. Le Rapport ministériel sur le rendement de 2007-2008 du MAECI contient de plus amples renseignements sur les projets du FPSM.
Personne-ressource : Robert Derouin, directeur général, secrétariat du GTSR, Affaires étrangères et Commerce international Canada, téléphone : 613-992-1361, télécopieur : 613-944-1226, courriel : robert.derouin@international.gc.ca.
Nom du ministère responsable: Ministère des Finances Canada
Activité de programme du ministère responsable: Cadre des politiques économique et fiscale
Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale: Juin 2000
Date de clôture de l'initiative horizontale: 2009-2010
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à la clôture): 455 408 $ (en milliers de dollars)
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement):
L'Initiative nationale de lutte contre le blanchiment d'argent (INLBA) a été lancée formellement en 2000 dans le cadre des mesures systématiques qui sont prises par le gouvernement pour lutter contre le blanchiment d'argent au Canada. Une loi adoptée cette année-là , la Loi sur le recyclage des produits de la criminalité (LRPC), mettait en place un système de déclaration obligatoire des opérations douteuses, des mouvements transfrontaliers d'espèces de grande valeur et de certaines opérations interdites. La LRPC établissait également le Centre d'analyse des opérations et déclarations financières du Canada (CANAFE), chargé de colliger et d'analyser des rapports sur ces opérations financières et de communiquer l'information pertinente aux organismes d'exécution de la loi et de renseignement. En décembre 2001, la LRPC a été modifiée pour comprendre des mesures visant à lutter contre le financement des activités terroristes et un nouveau titre lui a été donné, Loi sur le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes (LRPCFAT)).
La portée de l'INLBA a été élargie, et l'initiative a été rebaptisée Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes (RCLRPC/FAT). En décembre 2006, le projet de loi C-25 a modifié la LRPCFAT afin que la législation canadienne demeure conforme aux normes internationales en matière de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes énoncées par le Groupe d'action financière (GAFI) sur le blanchiment des capitaux et qu'elle s'applique à des secteurs présentant des risques au Canada. Au nombre des modifications, il y a un renforcement des exigences concernant l'identification des clients, la création d'un régime d'enregistrement pour les entreprises de transfert de fonds et l'instauration d'un régime de sanctions administratives et pécuniaires pour punir les infractions de moindre importance à la LRPCFAT.
Résultat(s) partagé(s): Détecter et décourager le blanchiment d'argent et le financement d'activités terroristes et faciliter les enquêtes et les poursuites pour blanchiment d'argent et financement d'activités terroristes
Structure(s) de gouvernance:Le RCLRPC/FAT est une initiative horizontale à laquelle participent des partenaires financés et non financés par l'État. Le ministère des Finances Canada, le ministère de la Justice Canada, le Service des poursuites pénales du Canada (SPPC), le Centre d'analyse des opérations et déclarations financières du Canada (CANAFE), l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) — Immigration et Douanes, l'Agence du revenu du Canada (ARC) — Direction des organismes de bienfaisance ainsi que la Gendarmerie royale du Canada (GRC) sont les partenaires financés par l'État. Sécurité publique Canada (SPC) et le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) sont les partenaires non financés par l'État.
Un groupe interministériel des SMA/groupe de travail où sont représentés tous les partenaires et que dirige le ministère des Finances Canada a été mis sur pied pour gérer et coordonner les mesures gouvernementales de lutte contre le blanchiment d'argent et le financement d'activités terroristes. De plus, le Ministère préside un comité consultatif composé de représentants du secteur public et du secteur privé. Il s'agit d'un comité consultatif qui inclut des représentants des secteurs public et privé et qui est chargé d'assurer l'orientation générale du Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la date du début à la date de la fin) | Dépenses prévues 2009Â2010 | Résultats prévus pour 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
Ministère des Finances Canada | Politique du secteur financier | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 2 700 $ | 300 $ | Surveillance efficace du Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes (le régime) |
Entreprendre une évaluation décennale du régime mandatée par le Conseil du Trésor afin d'évaluer l'efficacité et l'accès à un financement continu | |||||
Surveiller les risques de recyclage des produits de la criminalité et de financement des activités terroristes ainsi que d'autres risques financiers émergents dans le secteur des services financiers | |||||
Participer à des tribunes internationales liées à la lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes, en particulier les réunions d'experts financiers du G7, le Groupe d'action financière (GAFI), le Groupe d'action financière des Caraïbes, et le Groupe anti-blanchiment de l'Asie-Pacifique | |||||
Ministère de la Justice Canada (JUS) | L'Initiative nationale de lutte contre le blanchiment d'argent | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 7 000 $ | 100 $ | La Section du droit pénal du ministère de la Justice Canada joue un rôle primordial à l'égard du régime. Il est prévu qu'en 2009-2010, les ressources de la Section seront consacrées à l'exécution de travaux relatifs au GAFI, y compris la participation à ses réunions internationales. Des ressources seront également prévues afin que la Section continue de contribuer à l'élaboration des politiques relatives au blanchiment d'argent et au financement des activités terroristes. Finalement, la Section des droits de la personne recevra les crédits nécessaires pour s'occuper des questions constitutionnelles connexes soulevées durant les poursuites. |
Service des poursuites pénales du Canada (SPPC) | S'attaquer aux enjeux de droit pénal dans le but de contribuer à une société plus sécuritaire pour le Canada | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 9 200 $ | 2 300 $ | Le SPPC joue un rôle primordial à l'égard du régime. Pour l'exercice 2008-2009, on s'attend à ce que l'information communiquée aux organismes d'exécution de la loi par le CANAFE suscite une augmentation des conseils juridiques en matière de poursuites qui leur sont fournis. De plus, un plus grand nombre d'accusations seront portées pour le blanchiment d'argent et le financement d'activités terroristes, ce qui entraînera une augmentation de la charge de travail des procureurs. Le SPPC doit aussi assumer des responsabilités relatives à la LRPCFAT. Les travaux prévus comprennent des demandes d'ordonnances de production et l'augmentation des saisies aux frontières et des confiscations associées à de présumés produits de la criminalité, ainsi que des poursuites relatives aux nouvelles infractions énoncées dans la Loi. En outre, des crédits seront affectés à la formation des procureurs et du personnel chargé de l'exécution de la loi ainsi qu'à l'élaboration et à la coordination de politiques concernant le blanchiment d'argent et le financement d'activités terroristes. Finalement, des ressources du SPPC seront consacrées à l'exécution de travaux relatifs au GAFI, y compris la participation à ses réunions internationales. |
Centre d'analyse des opérations et déclarations financières du Canada (CANAFE) | Collecte, analyse et diffusion de renseignements financiers | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 269 085 $ | 37 500 $ | Produire une analyse des renseignements financiers effectuée au moyen de la technologie et la divulgation de cas qui sont largement utilisées par les organismes de renseignements et d'exécution de la loi, au moyen d'un programme qui favorise la conformité des entités qui produisent des rapports |
Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) | Sécurité | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 57 008 $ | 7 727 $ | Les agents des services frontaliers de l'ASFC sont responsables de la mise en application des dispositions du DMTE relatives à l'exécution de la loi, y compris des fouilles, l'interrogation d'individus et la saisie d'espèces non déclarées ou faussement déclarées ainsi que de produits présumés d'activités criminelles. De plus, le CANAFE communique des renseignements à l'ASFC — Immigration, qui a un rôle clé à jouer pour empêcher que le territoire canadien soit utilisé par les criminels et les personnes qui constituent une menace à la sécurité du Canada. |
L'ASFC est responsable de l'application de la partie 2 de la LRPCFAT, « Déclaration des espèces et effets ». Le programme « Déclaration des mouvements transfrontaliers des espèces » (DMTE) exige que les voyageurs déclarent l'importation et l'exportation d'espèces et d'effets dont la valeur égale ou excède 10 000 $CAN. La partie 2 de la Loi prévoit la mise en application des dispositions du DMTE relatives à l'exécution de la loi, y compris des fouilles, l'interrogation d'individus et la saisie d'espèces non déclarées ou faussement déclarées ainsi que de produits présumés d'activités criminelles. | |||||
Agence du Revenu du Canada (ARC) | Direction des organismes de bienfaisance | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 7 429 $ | 4 976 $ | Il incombe à l'ARC d'administrer le système d'enregistrement des organismes de bienfaisance aux termes de la Loi de l'impôt sur le revenu (LIR). Comme l'existence d'un solide mécanisme réglementaire de dissuasion contre l'utilisation des organismes de bienfaisance par des terroristes contribue à la suppression du financement des activités terroristes au Canada, et afin de protéger et de préserver la cohésion sociale et le mieux-être des Canadiens, le cadre de surveillance réglementaire des organismes de bienfaisance à l'ARC a été renforcé par la promulgation de mesures complémentaires aux termes de la Loi sur l'enregistrement des organismes de bienfaisance (renseignements de sécurité) et de la Loi sur le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes, et au moyen de modifications apportées à la Loi de l'impôt sur le revenu autorisant un plus vaste échange de renseignements entre les organismes de LRPC/FAT. En vertu de ces pouvoirs, les renseignements de sécurité fournis à l'ARC l'aident à s'acquitter de l'aspect de son mandat qui consiste à protéger l'intégrité du système d'enregistrement des organismes de bienfaisance, et les renseignements communiqués par l'ARC peuvent servir à des fins d'enquête. Pour 2009-2010, on prévoit que l'ARC utilisera les ressources qu'elle reçoit pour renforcer sa capacité d'intervenir et de cerner les cas qui sont susceptibles d'être liés à des activités terroristes au moyen d'investissements dans les installations et dans le développement des TI, ainsi que d'une augmentation des équivalents à temps plein affectés à des programmes directs permanents. |
Agence du Revenu du Canada (ARC) | Programme spécial d'exécution | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 21 568 $ | 2 200 $ |
L'ARC met l'accent sur les quatre éléments suivants :
Tous les renseignements divulgués au CANAFE sont examinés attentivement, et les plus prometteurs sont soumis à une vérification du Programme spécial d'exécution. Le nombre prévu de vérifications s'élève à 90, et le montant d'impôt fédéral recouvré devrait atteindre 7 000 000 $. |
Gendarmerie royale du Canada (GRC) - unités de lutte contre le blanchiment d'argent | Unités de lutte contre le blanchiment d'argent | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 55 898 $ | 6 872 $ | Accroître, à l'échelle nationale et internationale, les occasions de déceler les activités de blanchiment d'argent et de mener des enquêtes à leur sujet |
Intensifier les communications du CANAFE et la collecte de renseignements en général, de sorte que les ressources des unités mixtes de contrôle des produits de la criminalité ou d'autres unités au sein de la GRC soient consacrées aux enquêtes en vue de multiplier les saisies. | |||||
Le niveau des ressources dans les trois principaux centres urbains du Canada (Vancouver, Toronto et Montréal) a été haussé en 2007 et il continue d'y renforcer la capacité d'enquêter sur des pistes relatives au régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes. | |||||
GRC (Équipe de lutte contre le financement des activités terroristes -ELFAT) | Initiatives spéciales | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 22 937 $ | 5 158 $ | L'équipe de lutte contre le financement des activités terroristes s'efforcera d'utiliser les renseignements financiers qu'elle recueille et analyse pour des enquêtes proactives, renforçant ainsi notre capacité de déceler et de prévenir le financement des activités terroristes. |
Total | 453 125 $1 | 67 133 $ |
Résultats que doivent atteindre les partenaires non fédéraux (s'il y a lieu) : Sans objet
Personne ressource :
Rachel Grasham
Chef, Section des crimes financiers
Téléphone : 613-943-2883
1. Certaines organisations qui sont partenaires du RLRPC/FAT ne sont pas tenues de produire de déclarations. Il est donc possible que les données présentées dans le tableau ne correspondent pas au montant total alloué.
Ministère responsable : Ministère du Patrimoine canadien
Activité de programme du Ministère responsable : Langues officielles
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2008
Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2013
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l'échéance) : 1 110,1 millions de dollars
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) : La Feuille de route pour la dualité linguistique canadienne 2008-2013 : Agir pour l’avenir (Feuille de route) est un énoncé de politique du gouvernement du Canada. Il comprend diverses initiatives destinées au renforcement et à la promotion de la dualité linguistique. Treize institutions fédérales ont reçu des fonds pour des activités et des programmes sectoriels liés aux langues officielles. La Feuille de route contribue à la réalisation d’un des résultats stratégiques de Patrimoine canadien (Les Canadiens ont conscience de leur identité canadienne) ainsi qu’à un des résultats stratégiques du gouvernement du Canada (Une société diversifiée qui favorise la dualité linguistique et l’inclusion sociale).
Une autre composante clé de la Feuille de route est la mise en œuvre d’un plan de responsabilisation et la mise en place d’une coordination globale de l’approche des langues officielles à l’échelle du gouvernement. La mise en œuvre de la Feuille de route est une composante du grand Programme des langues officielles, tel que défini et approuvé par le Comité des sous-ministres responsables des langues officielles en décembre 2004.
Site web : http://www.pch.gc.ca/slo-ols/Résultats partagés :
Trois niveaux de résultat ont été établis.
Un résultat ultime : Les Canadiens bénéficient des avantages de la dualité linguistique; ils vivent et travaillent au sein de communautés reflétant les valeurs canadiennes en ce qui concerne l’utilisation des langues française et anglaise et ont accès aux services gouvernementaux dans la langue de leur choix.
Trois résultats intermédiaires :
Huit résultats immédiats :
Structure de gouvernance :
Le ministre du Patrimoine canadien et des Langues officielles a la responsabilité de la mise en œuvre de la Feuille de route. Le Secrétariat des Langues officielles (SLO) (Patrimoine canadien) appuie le ministre du Patrimoine canadien et des Langues officielles et, sur le plan des rôles et responsabilités, il est imputable pour le développement et la coordination des résultats de la Feuille de route. Le SLO s’assure de rassembler toute l’information (financière et non financière) dont il a besoin et de faire état de l’ensemble des contenus de tous les modèles logiques de la structure de la Feuille de route. Le SLO est aussi responsable de la mise en œuvre complète et de la reddition de comptes pour la Feuille de route. Ce rôle a été transmis aux partenaires par l’élaboration du Cadre de gestion de la Feuille de route qui définit la structure des activités et des résultats, la structure de gouvernance ainsi que les rôles et responsabilités des ministères et des différents comités interministériels tout en identifiant les questions opérationnelles pertinentes concernant sa mise en œuvre horizontale. Le SLO appuiera également la gouvernance du Programme des langues officielles grâce à divers mécanismes et comités.
Une structure de gouvernance a été mise en place. L’échelon le plus élevé de la structure est le Comité des sous-ministres adjoints sur les langues officielles (CSMALO). Il agit au nom de l’ensemble des ministères, agences et organismes fédéraux qui sont partenaires de la Feuille de route, et ce, à différents niveaux : il appuie le ministre du Patrimoine canadien et des Langues officielles ainsi que tous les ministres ayant des responsabilités en vertu de la Loi sur les langues officielles; il assure le leadership de la gestion du PLO, en particulier de la Feuille de route, en prenant des décisions et il veille à la coordination des actions des partenaires; il assure la direction de la mise en œuvre du Cadre horizontale de gestion sur le rendement axé sur les résultats (CHGRR) et il veille à l’évaluation de la stratégie gouvernementale (la Feuille de route) en matière de langues officielles. Lors des rencontres du CSMALO, plusieurs ministères ayant des responsabilités particulières eu égard à la Loi comme le ministère du Patrimoine canadien, Justice Canada et l’Agence de la fonction publique du Canada, rendent compte sur les réalisations qui sont particulières à leur mandat et mettent en relief les défis et les enjeux liés à ces responsabilités.
Le CSMALO est appuyé dans sa tâche par trois comités interministériels qui lui font des recommandations. Tout d’abord, le Comité interministériel de politiques (CIP) offre un forum d’échange d’information aux partenaires afin de présenter une approche commune à l’égard des questions stratégiques concernant le PLO. Ensuite, le Comité interministériel de gestion du Programme des langues officielles (CIGPLO) veille à officialiser et à structurer la coordination interministérielle du PLO, notamment en évaluant la mise en œuvre du PLO et en renforçant l’ensemble des processus de gestion et de reddition de comptes. Enfin, le Comité de coordination de la recherche sur les langues officielles (CRRLO) veille à ce que la recherche sur les langues officielles soit menée de manière coordonnée. Les comités peuvent, au besoin, mettre en place, des groupes de travail afin de mener à bien un projet particulier. Par exemple, un Groupe de travail a été créé à l’été 2008 pour effectuer la révision du CHGRR.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l'échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
---|---|---|---|---|---|
1. Patrimoine canadien | Langues officielles |
a. Cadre d’imputabilité et de coordination
|
13,5 M$ |
2,8 M$ |
Appui au ministre des Langues officielles et aux cadres supérieurs par la préparation de documentation en temps opportun, en insistant sur la qualité de l’information transmise et les conseils stratégiques.
|
Langues officielles |
b.1 Éducation dans la langue de la minorité – Volet : Appui à l’enseignement dans la langue de la minorité et dans la langue seconde
|
470,0 M$ |
94,0 M$ |
Renouvellement du Protocole multilatéral avec le Conseil des ministres de l'Éducation (Canada) (CMEC) et des ententes assorties de plans d'action avec les provinces et territoires quant à l'éducation dans la langue de la minorité et à l'apprentissage de la langue seconde. | |
Langues officielles |
b.2 Éducation dans la langue de la minorité – Volet : Moniteurs de langues officielles
|
20,0 M$ |
4,0 M$ |
Mise en place d’une entente avec le CMEC pour la prestation du programme de moniteurs Accent et Odyssée visant à appuyer les enseignements en milieu minoritaire et dans les classes de langue seconde. | |
Langues officielles |
b.3 Éducation dans la langue de la minorité – Volet : Bourses d’été de langues
|
40,0 M$ |
8,0 M$ |
Mise en place d’une entente avec le CMEC pour la prestation des programmes de bourses de perfectionnement du français chez les jeunes francophones des CLOSM (Destination Clic) et de bourses de langue seconde (Explore). | |
Langues officielles |
c.1 Vie communautaire –Volet : Initiatives jeunesse
|
12,5 M$ |
12,5 M$ |
Subventions et contributions pour la mise en œuvre de projets et d’activités jeunesse dans divers domaines permettant l’utilisation de la langue de la minorité, l’utilisation de la langue seconde et l’exposition à la langue seconde. | |
Langues officielles |
c. 2 Vie communautaire –Volet : Appui aux communautés de langue officielle en situation minoritaire
|
22,5 M$ |
4,5 M$ |
Subventions et contributions pour la création, l’amélioration et la prestation d’activités et de services à l’appui de milieux de vie favorisant l’utilisation de la langue en milieu minoritaire. | |
Langues officielles |
c. 3 Vie communautaire –Volet : Coopération intergouvernementale
|
22,5 M$ |
4,5 M$ |
Mise en place d’ententes avec les gouvernements provinciaux et territoriaux visant la prestation de services provinciaux et territoriaux dans la langue de la minorité. | |
Langues officielles |
c.4 Vie communautaire –Volet : Fonds de développement culturel
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14,0 M$ |
3,5 M$ |
Subventions et contributions pour la mise en œuvre de services, activités ou produits culturels favorisant le développement d’une vitalité culturelle au sein des CLOSM. | |
Industries culturelles |
d. Vitrines musicales pour les artistes des communautés
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4,5 M $ |
1,0 M$ |
Ententes de financement en place avec les partenaires qui organisent les vitrines et financent les artistes.
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Langues officielles
Politiques et programmes de la radiodiffusion |
e. Étude du CRTC
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Non monétaire |
S.O. |
Étude du CRTC sur l’accessibilité et la qualité des services de radiodiffusion offerts aux communautés francophones et anglophones en situation minoritaire complétée le 31 mars 2009. | |
Industries culturelles |
f. Programme national de traduction pour l’édition du livre
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5,0 M$ |
0,75 M$ |
Fonds attribués aux éditeurs de livres pour des traductions admissibles.
Traductions de livres d’auteurs canadiens dans les deux langues officielles produites par des éditeurs canadiens. |
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2. Justice Canada | Services juridiques au gouvernement |
a. 1 Cadre d’imputabilité et de coordination
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2,18 M$ |
0,44 M$ |
Prestation de services axée sur les clients.
Gestion efficace des risques juridiques. |
Services internes
|
a. 2 Cadre d’imputabilité et de coordination |
1,89 M$ |
0,03 M$ |
S.O. | |
Justice, politiques, lois et programmes |
b. 1 Fonds de mise en application de la Loi sur les contraventions
|
47,46 M$ |
9,49 M$ |
Accès continu et accru à des services de justice dans les deux langues officielles par la mise en œuvre du régime de contraventions dans une province. | |
Services internes | b. 2 Fonds de mise en application de la Loi sur les contraventions |
1,92 M$ |
0,38 M$ |
S.O. | |
Justice, politiques, lois et programmes |
c. 1 Initiative d’appui à l’accès à la justice dans les deux langues officielles (nouveau volet : formation en justice)
|
38,02 M$ |
6,97 M$ |
Priorités de formation établies suivant les résultats de l’analyse pancanadienne des besoins de formation dans les deux langues officielles dans le domaine de la justice.
|
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Services internes | c. 2 Initiative d’appui à l’accès à la justice dans les deux langues officielles (nouveau volet : formation en justice) |
0,15 M$ |
0,44 M$ |
S.O. | |
3. Santé Canada | Système de santé canadien |
Formation, réseaux et accès aux services de santé
|
174,3 M$ |
34,8 M$ |
Réaliser une étude préliminaire dont le but est d’identifier les lacunes dans l’information pour renforcer la base de données et pour collecter systématiquement l’information de base sur les indicateurs de rendement qui serviront de points de référence pour mesurer les changements au fil du temps.
|
4. Ressources humaines et Développement des compétences Canada | Développement social |
a. Renforcer les moyens des ONG pour le développement de la petite enfance Résultat de la Feuille de route 2008-2013 : La capacité des ONG dans le développement de la petite enfance en milieu minoritaire est accrue. |
4,0 M$ |
0,8 M$ |
Développer des outils pour la mise en œuvre du Cadre national de collaboration en développement de la petite enfance afin de promouvoir la langue et la culture des communautés minoritaires francophones au Canada :
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Compétences et emploi |
b. Initiative d’alphabétisation familiale
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7,5 M$ |
1,8 M$ |
Lancer quatre projets de recherche sur les besoins spécifiques en alphabétisation de nouveaux groupes tels les immigrants, pères, grands-parents, familles exogames, ayants droits, ainsi que sur des façons d'intégrer l'alphabétisation familiale dans d'autres domaines comme les milieux de travail, les sports, et le théâtre.
Mettre en œuvre un cadre de mesure de rendement axé sur les résultats. |
|
Développement social |
c. Projet pilote de garde d’enfants
|
13,5 M$ | 2,7 M$ (Note : Une portion des fonds en 2009-2010 pourrait être dépensée pour des projets qui permettraient de mieux comprendre les enjeux reliés à l’alphabétisation et/ou aux immigrants) |
Mener des évaluations des enfants et des enquêtes auprès des parents et des communautés dans la perspective d’accroître la connaissance collective de ce qui fonctionne afin permettre d’assurer le développement d’habilités auprès des enfants francophones vivant en situation minoritaire qui entament leur cheminement scolaire. | |
Compétences et emploi |
d. Fonds d’habilitation pour les communautés
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69,0 M$ | 13,8 M$ |
Conclure des ententes de contribution avec 14 organismes responsables de favoriser le développement économique communautaire et le développement des ressources humaines des communautés de langue officielle en situation minoritaire.
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5. Citoyenneté et immigration Canada (CIC) | Intégration des immigrants d’expression française |
Recrutement et intégration des immigrants
|
20,0 M$ | 4,5 M$ |
Pour la période 2009-2010 CIC poursuivra les activités déjà en place afin de favoriser l’immigration au sein des communautés francophones en situation minoritaire. De surcroît, cette période servira à intensifier et concrétiser les efforts quant à la mise en œuvre de priorités du Plan stratégique pour favoriser l’immigration au sein des
communautés francophones en situation minoritaire. Plus spécifiquement, CIC s’attend à :
|
6. Travaux publics et services gouvernementaux Canada |
Gestion linguistique
Services connexes |
a. Portail linguistique du gouvernement du Canada
|
16,0 M$ | 4,48 M$ | Lancement du Portail linguistique du gouvernement du Canada à l’automne 2009. |
Gestion linguistique
Services connexes |
b. Initiative de l’industrie de la langue
|
10,0 M$ | 1,68 M$ | Lancement de l’initiative de l’industrie de la langue au printemps 2009. | |
Gestion linguistique
Services connexes |
c. Programme de bourses universitaires en traduction
|
8,0 M$ | 1,45 M$ | Lancement du Programme de bourses universitaires en traduction à l’automne 2009. | |
7. École de la fonction publique du Canada |
Apprentissage de base
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a. Élargir l’accès des produits d’apprentissage linguistiques aux universités canadiennes
|
2,5 M$ | 0,9 M$ | Nouveaux partenariats établis avec certaines universités canadiennes. |
8. Agence de la fonction publique du Canada |
Programme d’orientation stratégique, de partenariats et d’intégration
Programme d’intégrité et de durabilité |
a. Centre d’excellence
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17,0 M$ | 3,4 M$ |
Des instruments de politique sur les langues officielles simplifiés, modernisés et restructurés pour permettre aux administrateurs généraux de mieux s’acquitter de leurs responsabilités quant à la mise en œuvre de la Loi sur les langues officielles.
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Programme de services stratégiques |
Mode de collaboration renouvelé avec les champions afin de favoriser un leadership plus fort par rapport aux langues officielles.
Mode de collaboration renouvelé avec les comités consultatifs en vue de leur proposer des pistes de réflexion et de les inciter à entreprendre des initiatives communes en vue d’améliorer le rendement global des institutions à l’égard des langues officielles. |
||||
Programme d’intégrité et de durabilité |
Un suivi des pratiques et des contrôles de gestion concernant les langues officielles dans le cadre de l’exercice des bilans annuels sur les langues officielles fondé sur les risques. Une évaluation de l’état des langues officielles dans les institutions faisant partie de l’administration publique centrale dans le contexte du Cadre de responsabilisation de gestion (CRG). Un rapport annuel sur les langues officielles au Parlement qui présente un portrait stratégique du Programme dans les institutions assujetties à la Loi sur les langues officielles tout en ciblant un thème particulier pour l’année. |
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9. Agence de promotion économique du Canada atlantique | Développement des collectivités |
a. Appui à l’immigration francophone au Nouveau-Brunswick
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10,0 M$ | 2,7 M$ | Nombre de centres d’immigration ouverts dans les CLOSM (2). Nombre de sessions d’information sur l’immigration offertes aux propriétaires d’entreprises (4). |
Développement des collectivités |
b. Initiative de développement économique
|
6,2 M$ | 1,8 M$ |
Nombre de partenariats dans le Canada atlantique avec des groupes représentant les CLOSM (10).
|
|
10. Industrie Canada –FedNor
Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC) |
Développement communautaire économique et régional
L’économie du Nord |
a. Initiative de développement économique
|
10,9 M$ | 2,7 M$ |
Consultations sur les collectivités à un niveau national avec les partenaires tenues par Industrie Canada.
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11. Développement économique Canada (DEC) pour les régions du Québec | Développement des collectivités |
a. Initiative de développement économique
|
10,2 M$ | 2,0 M$ | DEC : mise en œuvre de l’Initiative de développement économique pour les communautés anglophones du Québec. Accent mis notamment sur des projets de planification locale, d’entreprenariat, de création et de développement de PME, de tourisme, d’intégration des groupes cibles ou de capital attrayant afin de créer un environnement économique qui favorise et attire le développement des entreprises dans les CLOSM, particulièrement pour les jeunes. |
12. Développement économique de l’Ouest Canada |
Recherche et analyse
|
a. Initiative de développement économique Résultats de la Feuille de route 2008-2013 : 1) Développement du savoir-faire grâce à l’innovation, à la diversification des activités ainsi que grâce à des partenariats et à un soutien accru des petites entreprises. 2) Compréhension des enjeux économiques des CLOSM accrue. |
3,2 M$ | 0,8 M$ |
Compréhension améliorée des questions économiques de l’Ouest canadien ainsi que des défis, des occasions et des priorités.
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13. Conseil national de recherches Canada | Technologies de l’information |
Centre de recherche en technologies langagières
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10,0 M$ | 2,0 M$ |
Résultat immédiat – Transferts de connaissances et de Technologies : installation du système de traduction automatique PORTAGE au Bureau de la Traduction (Travaux publics et Services gouvernementaux Canada) et dans au moins un cabinet de traduction du secteur privé. Négociation d’une licence commerciale pour la technologie de traduction automatique
PORTAGE.
|
Total | 1 110,1 M$ | 235,61 M$ |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : S.O.
Personne-ressource : Geneviève Postolec (819) 934-9196
Ministère responsable : Ministère du Patrimoine canadien
Activité de programme du Ministère responsable : Sport
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 2003-2004
Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2012
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l'échéance) : 654,65 M$
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) : Surveiller l’apport du gouvernement du Canada aux Jeux d’hiver de 2010 et en rendre compte, afin que ceux-ci mettent à contribution les Canadiens de tout le pays, tiennent compte des valeurs et des priorités canadiennes dans leur planification, leur réalisation et leur profil international, et favorisent les occasions de promouvoir les objectifs de politique publique et de faire des investissements stratégiques qui appuient des avantages économiques concrets à long terme de même que des legs d’ordre sportif, social, culturel et environnemental pour toute la population canadienne (www.pch.gc.ca).
Le gouvernement du Canada est un partenaire essentiel des Jeux d’hiver de 2010. Le Secrétariat fédéral 2010, qui relève du ministère du Patrimoine canadien, adopte une approche horizontale pour soutenir et promouvoir la participation du gouvernement fédéral dans la planification et la réalisation des Jeux, y compris la prestation de services fédéraux essentiels de haute qualité, de même que l’attribution de fonds pour les immobilisations et l’utilisation ultérieure des installations. Le Secrétariat fédéral 2010 travaille en collaboration avec des partenaires et intervenants pour tirer parti des Jeux afin d’atteindre les objectifs stratégiques publics, établir des legs durables et d’en retirer le plus d’avantages possible pour tous les Canadiens. (www.canada2010.gc.ca).Résultats partagés :
Structure de gouvernance :
Secrétariat fédéral des Jeux de 2010
Groupe de travail représentatif (GTR)
Le Secrétariat fédéral des Jeux de 2010, sous la direction de la sous-ministre du ministère du Patrimoine canadien, appuie le Cadre fédéral de coordination (CFC). Le CFC est le principal mécanisme visant à favoriser la gestion horizontale des Jeux d’hiver. Cette structure de gouvernance comprend trois niveaux.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l'échéance) | Dépenses prévues pour 2009-2010 |
Résultats prévus pour 2009-2010 |
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A. Patrimoine canadien | Sport |
Programme d’accueil de manifestations sportives
Secrétariat fédéral de 2010 |
527,05 M$ | 94 M$ |
Visibilité nationale et internationale.
Le Canada a établi des legs aux niveaux sportif, social et culturel. |
B. Gendarmerie royale du Canada, Sécurité publique Canada, Ministère de la Défense nationale, Service canadien du renseignement de sécurité, Agence de la santé publique du Canada | L’objectif est d’assurer la sécurité des Jeux au moyen d’un modèle de sécurité intégré en tant que partenaires de la sécurité, de la paix et des célébrations. | Services de sécurité | 87,5M$ | Le total des dépenses prévues est en cours d’évaluation. |
Les partenaires de la sécurité individuelle et de la sécurité publique à l'échelle fédérale, provinciale et municipale confirment leur niveau de préparation et d’interopérabilité.
Opérations de sécurité. |
C. Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) | Accès | Sécurité | 15,8 M$ | 11,2 M$ |
Mettre au point et établir les plans, les processus et les politiques.
Offrir de la formation et procéder à la sélection préliminaire aux fins d’accréditation. Voir à la préparation opérationnelle. Veiller à la prestation de services frontaliers intégrés. |
D. Citoyenneté et Immigration (CIC) | La contribution des migrations au développement social, culturel et économique du Canada est optimisée. | Programme des résidents temporaires | 5,0 M$ | 2,7 M$ | Le traitement de toutes les demandes sera complété. |
E. Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) | La productivité et participation canadiennes est accrue par des marchés du travail efficients et inclusifs, des milieux de travail compétitifs et l'accès à l'apprentissage. | Travailleurs étrangers et immigrants | S.O. Le Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET) n'a pas reçu de financement par ce mécanisme pour appuyer son processus en vue des Jeux olympiques. |
S.O. Le Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET) n'a pas reçu de financement par ce mécanisme pour appuyer son processus en vue des Jeux olympiques. |
DRHC/Service Canada, CIC et l'ASFC travaillent de concert pour établir un processus de bout en bout pour faciliter l'entrée des travailleurs temporaires étrangers, lorsque justifiée, pour aider les employeurs lors des Jeux de 2010. |
F. Santé Canada (SC) | Les risques pour la santé et pour l'environnement causés par des substances et des produits réglementés sont réduits, et les milieux de vie et de travail sont plus sains. |
Direction générale des régions et des programmes :
Direction générale de la santé environnementale et de la sécurité des consommateurs :
Direction générale des produits de santé et des aliments :
|
Soutien du CT : 2,6 M$ |
Soutien du CT :
1,275 M$
0,2 M$
0,2 M$ 0,325 M$ |
Répondre aux exigences opérationnelles ayant trait à la mise en œuvre du plan médical d’urgence pour les dignitaires, et mettre en œuvre le plan.
Inspectorat de la Direction générale des produits de santé et des aliments :
Financement supplémentaire sera nécessaire pour couvrir :
|
G. Environnement Canada (EC) |
Les prévisions et services météorologiques réduisent les risques et contribuent au bien-être des Canadiens et Canadiennes. | Les connaissances et les données plus justes sur le temps et les conditions environnementales exercent une influence sur la prise de décision. | 9,3 M$ | 2,3 M$ | Offrir des services météorologiques à l’appui des partenaires fédéraux et du déroulement des Jeux, de même qu’à l’intention de la population du Canada et des visiteurs. |
Le capital naturel du Canada est remis en état, conservé et amélioré. | La population canadienne adopte des approches qui assurent l’utilisation et la gestion durables du capital naturel et de l’écopaysage. | 2,6 M$ | 0,5 M$ |
Coordonner et faire connaître les initiatives entreprises par les partenaires des Jeux de 2010 dont les objectifs sont les suivants :
|
|
L’évaluation environnementale fait partie de la prise de décisions concernant les programmes et les politiques. | Évaluations environnementales efficaces et efficientes | 1,5 M$ | 0,1 M$ | Réaliser des activités de suivi de l’évaluation environnementale. | |
H. Pêches et Océans Canada | Les écosystèmes aquatiques sont sains et productifs. | Gestion de l’habitat | 0,6 M$ | 0,1 M$ | |
Total : 654,65M$ (Ceci comprend 2,7M$ de APC pour financement (non-sécurité), 26M$ de CCT et 34,55M$ pour la subvention des legs de AINC) |
Total :
112,9M$ |
Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : s/o
Personne-ressource : Karen Mackarous (613) 949-7816
Les initiatives horizontales sont des programmes ou des initiatives dans le cadre desquels des partenaires provenant de deux organisations ou plus ont accepté, en vertu d'une entente de financement officielle, de collaborer à l'atteinte de résultats communs.
Le MPO est responsable d'une initiative horizontale, soit la Santé des océans, qui s'est vue accorder 61,4 millions de dollars en subventions fédérales sur une période de cinq ans. Cette initiative est décrite en détail dans le Rapport sur les plans et priorités du MPO.
Ministères responsables : Pèches et Océans Canada
Activité de programme du ministère responsable : Gestion des océans
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : Le 7 avril 2007
Date de clôture de l'initiative horizontale : Le 31 mars 2012
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l’échéance) : 61,5 $million
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Dans le cadre de la Stratégie nationale sur l'eau, cette initiative fait en sorte de fournir des fonds sur une période de cinq ans en vue d'appuyer 22 initiatives dans cinq ministères et organismes. L'objectif de cette initiative est de réaliser des progrès sur la santé des océans en établissant de nouvelles aires marines protégées (AMP), en augmentant la capacité du gouvernement à faire respecter les règles sur la prévention de la pollution et à faire face à des urgences environnementales, et en renforçant les modalités de collaboration en matière d'océans avec nos partenaires de l'Arctique et du golfe du Maine.
Résultats partagés :
L'initiative vise à permettre la réalisation de trois résultats partagés, tels qu'ils sont définis par le Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR), à savoir :
Structures de gouvernance :
Cette initiative est assujettie à l'initiative interministérielle du gouvernement par l'intermédiaire du Comité interministériel des sous ministres adjoints sur les océans, appuyé par un comité parallèle de directeurs généraux. Cette structure de gouvernance permet d'étudier régulièrement les initiatives, ainsi que d'examiner et d'approuver les rapports annuels présentés aux ministres sur les progrès dans le cadre de cette initiative.
Partenaires fédéraux | Activités de programme des partenaires fédéraux | Titres des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à l'échéance) | Dépenses prévues pour 2009-10 |
Résultats escomptés pour 2009-10 |
---|---|---|---|---|---|
Pêches et Océans | Gestion des océans | Mise en œuvre de la Stratégie fédérale sur les AMP au ministère des Pêches et des Océans (MPO) | 1 250,0 | 250,0 | D'ici la fin de l'année 2012, faire progresser l'établissement d'un réseau fédéral d'aires marines protégées qui contribue à la santé des océans canadiens. Le réseau sera établi et géré dans le contexte d'un cadre de gestion intégrée des océans. |
Établissement d'un réseau fédéral-provincial-territorial d'AMP | 2 500,0 | 725,0 | Progrès considérables liés à la planification et au développement d'un réseau national (fédéral-provincial-territorial) d'aires marines protégées dans les trois océans du Canada. | ||
Conseil de l'Arctique - Projets de gestion écosystémi-que | 1 000,0 | 275,0 |
Un rapport sur l'état du bassin de l'Arctique et le recours à des stratégies communes de surveillance des écosystèmes dans les eaux partagées et limitrophes, d'ici la fin de l'année 2012;
la participation du Canada à des ateliers d'experts et à des conférences importantes concernant l'approche écosystémique, en vue de faire progresser les concepts et les approches liés à la gestion écosystémique (GE), de promouvoir le leadership du Canada lié à l'application de la GE dans l'Arctique, ainsi que l'échange de renseignements et de pratiques avec d'autres pays circumpolaires, y compris les Etats-Unis (É.-U.); un article sur la GE dans l'Arctique canadien, publié dans des revues spécialisées ou dans les comptes rendus des ateliers;une série d'indicateurs pour la surveillance et l'évaluation de la situation et des tendances des écosystèmes, des aspects socioéconomiques et des structures de gouvernance actuelles dans l'Arctique; le rapport du Conseil de l'Arctique sur les pratiques exemplaires de gestion écosystémique des océans dans l'Arctique (principal produit découlant de la réunion ministérielle de 2009). |
||
Centres d'expertise sur les océans (zones côtières, coraux, intégration des données, savoir écologique traditionnel) | 3 000,0 | 700,0 | Établissement de quatre centres d'excellence. Des approches et des outils communs seront élaborés et mis en œuvre dans les cinq zones étendues de gestion des océans (ZEGO) afin de protéger les coraux abyssaux et les récifs spongieux, d'intégrer le savoir écologique traditionnell, d'établir des normes de gestion et d'échange d'information et d'accélérer les progrès dans la résolution des questions liées à la gestion des zones côtières. | ||
Collaboration avec le Fonds mondial pour la nature (WWF) | 213,0 | 42,6 | Contribution accrue des organisations non gouvernementales de l'environnement à la Santé des océans. | ||
Golfe du Maine (MPO) | 750,0 | 147,5 | Cette initiative s'appuie sur la réussite de la collaboration et de la gestion tranfrontalières actuelles des stocks de poisson de fond par l'intermédiaire du Comité directeur Canada-É.-U., et sur l'excellente coopération des États et des provinces par le truchement du Conseil du golfe du Maine. Une étude documentaire et un plan de travail fondés sur la norme nationale du MPO ont servi à préparer un rapport conjoint Canada-É.-U. sur les aperçus et les évaluations des écosystèmes pour la baie de Fundy et le golfe du Maine. Ce rapport a été élaboré dans le cadre du Plan d'action pour les océans 2005. | ||
Établissement d'aires marines protégées | 5 250,0 | 1 500,0 | Six nouvelles AMP seront désignées parmi les zones étendues de gestion des océans (ZÉGO) d'ici la fin de l'année 2012, et un système national de surveillance et de rapport sera mis en œuvre pour toutes les AMP établies en vertu de la Loi sur les océans. | ||
Gestion de l'habita | Liens entre les outils d'évaluation de la gestion intégrée et ceux de la Loi canadienne sur l'évaluation environnementale | 1 450,0 | 425,0 | Les processus et les outils élaborés en vue de soutenir la gestion intégrée des océans et de promouvoir la santé des océans sont harmonisés avec les évaluations environnementales des projets et les évaluations environnementales stratégiques de la Loi canadienne sur l'évaluation environnementale pour l'évaluation des effets cumulatifs sur les écosystèmes. | |
Science pour écosystèmes aquatiques sains et productifs | Soutien aux sciences écosystémiques et avis sur la santé des océans | 5 500,0 | 1 100,0 | Avis scientifiques sur les aires marines protégées et sur les répercussions et mesures d'atténuation prioritaires propre au secteur. | |
Garde côtière canadienne | Capacité en matière de déversements et stratégie d'intervention d'urgence | 2 260,0 | 750,0 | Évaluation de la capacité d'intervention du Canada en cas de déversement dans l'Arctique, et préparation de l'équipement et des systèmes pour répondre à ces risques particuliers. | |
Environnement Canada (EC) | Biodiversité et Services intégrés | Mise en œuvre de la Stratégie fédérale sur les aires marines protégées à EC | 1 250,0 | 250,0 | D'ici la fin de l'année 2012, faire progresser l'établissement d'un réseau fédéral d'aires marines protégées qui contribue à la santé des océans canadiens. Le réseau sera établi et géré dans le contexte d'un cadre de gestion intégrée des océans. |
Établissement d'aires marines protégées | 2 000,0 | 507,0 | La réserve nationale de faune à l'île de Sable et la réserve de faune marine aux îles Scott seront prêtes pour être désignées, d'ici la fin de l'année 2012. Une contribution aura été faite au processus d'établissement d'un réseau fédéral d'aires marines protégées. | ||
Meilleures connaissances et renseignements sur les conditions météorologiques et environnementales afin d'exercer une influence sur la prise de décisions et Services intégrés. | Station météorologique de l'île de Sable | 4 000,0 | 800,0 |
La production de prévisions et d'avertissements météorologiques précises au moyen des données de la station météorologique de l'île de Sable permet de réduire les risques de perte de vies ou de biens matériels pour les marins, les citoyens canadiens et la communauté internationale.
Le maintien de la station météorologique de l'île de Sable permet aux chercheurs scientifiques de mieux comprendre les conditions dans la haute atmosphère et les mouvements des polluants atmosphériques et des gaz à effet de serre. L'écosystème fragile et unique de l'île de Sable est protégé des dommages causés par les activités humaines. |
|
Les Canadiens adoptent des approches qui permettent d'assurer l'utilisation et la gestion durable du capital naturel et des paysages exploités et des Services intégrés. | Golfe du Maine (à EC) | 751,0 | 148,0 | Accroissement du soutien accordé au Conseil du golfe du Maine et mise en place du plan d'action quinquennal conjoint Canada États Unis, qui comprend la mise en œuvre de stratégies régionales d'adaptation aux changements climatiques, l'élaboration des indicateurs, la sensibilisation et l'engagement ainsi que la surveillance conjointe des contaminants toxiques dans les écosystèmes limitrophes. | |
Agence Parcs Canada | Établir des lieux patrimoniaux | Mise en œuvre de la Stratégie fédérale sur les aires marines protégées à Parcs Canada | 1 250,0 | 361,0 | D'ici la fin de l'année 2012, favoriser l'établissement d'un réseau fédéral d'AMP qui contribue à la santé des océans du Canada. Le réseau est établi et géré à l'intérieur d'un cadre de gestion intégrée des océans. |
Aire marine nationale de conservation dans le détroit Lancaster | 5 000,0 | 1 250,0 | D'ici la fin de l'année 2012, obtenir une pleine compréhension de la faisabilité d'une aire marine nationale de conservation dans le détroit de Lancaster avec l'appui des Inuits, du Nunavut et des principales parties intéressées sectorielles, en vue de la conservation d'une partie représentative et significative du milieu marin du Canada et de la démonstration sans équivoque de la souveraineté arctique dans le passage du Nord-Ouest. | ||
Transports Canada | Sécurité et sûreté des transports et Services internes | Application de la réglementation sur l'eau de ballast | 4 500,0 | 966,5 | Application des règlements qui réduisent au minimum les risques d'introduction accidentelle d'organismes aquatiques nocifs ou de pathogènes par le rejet de l'eau de ballast dans les eaux de compétence canadienne. |
Prévention de la pollution - Surveillance | 13 000,0 | 3 181,6 | Application des règlements de prévention de la pollution du Canada dans les eaux du Pacifique, de l'Arctique et de la côte Est ainsi que dans le golfe et l'estuaire du Saint-Laurent. | ||
Prévention de la pollution - armement du Dash 7 | 5 000,0 | 100,0 | Application des règlements de prévention de la pollution du Canada dans les eaux du Pacifique, de l'Arctique et de la côte Est ainsi que dans le golfe et l'estuaire du Saint-Laurent. Modernisation de l'aéronef de surveillance Dash 7 actuel pour que son système soit identique à celui de l'avion Dash 8 utilisé pour surveiller les eaux des côtes Est et Ouest. | ||
Évaluation du risque lié à la navigation maritime internationale dans l'Arctique | 550,0 | 50,0 | Évaluation des activités prévues de navigation maritime et des impacts et risques environnementaux, sociaux et économiques connexes, en raison de l'accroissement du transport maritime dans l'Arctique qui pourrait découler de la réduction de la glace de mer. | ||
Prévention de la pollution - Réduction des déchets produits par les navires | 800,0 | 200,0 | Installations adéquates de collecte des déchets; réglementation et normes adéquates | ||
Affaires indiennes et du Nord Canada | Ressources terrestres du Nord | Évaluation de la navigation maritime dans l'Arctique/Protection de l'environnement marin arctique contre les sources terrestres de pollution | 175,0 | 0,0 | Un élargissement du plan d'action régional de l'Arctique sur les sources terrestres de pollution; une meilleure connaissance de l'utilisation des ressources marines de l'Arctique par les Autochtones; une compréhension approfondie des répercussions sociales, économiques et environnementales des changements que les habitudes de navigation entraînent sur les populations autochtones et du Nord. |
Total | 61 449,0 | 12 480,5 |
Coordonnées de la personne-ressource
W. Moore
Pêches et Océans Canada
Le MPO joue un rôle de partenaire dans les initiatives horizontales suivantes dirigées par d'autres ministères du gouvernement :
Programme | Ministère responsable | Partenariat du MPO | Date de début | Date de fin de l'initiative horizontale |
---|---|---|---|---|
Rechercher la confiance du public dans la réglementation des pesticides et améliorer l'accès aux produits antiparasitaires à usage réduit incluant les pesticides à risque réduit | Santé Canada | Oui | 2002-03 | 2008-09 |
Stratégie canadienne de la biotechnologie | Industrie Canada | Oui | 1998 | 2010-11 |
Programme de partenariat sur les espèces exotiques envahissantes | Agriculture et Agroalimentaire Canada, MPO, Ressources naturelles Canada et EC dirigent tous le Programme de partenariat sur les espèces exotiques envahissantes, mais celui-ci est administré par EC. | Oui | 2005 | 2009-10 |
Année polaire internationale | Affaires indiennes et du Nord Canada | Oui | Le 1 avril 2007 | Le 31 mars 2012 |
Programme sur la santé des animaux aquatiques | Agence canadienne d'inspection des aliments | Oui | 2005 | En cours |
Projet de gazoduc Mackenzie (PGM) et activités induites d'exploration et de mise en valeur des ressources pétrolières et gazières dans les TN-O | Affaires indiennes et du Nord Canada | Oui | Budget 2004, Budget 2005, 2004-05 | 2008-09 |
Application de la Loi concernant la protection des espèces en péril au Canada | Environnement Canada | Oui | 2000 | En cours |
Allégement de 20 % du fardeau de la paperasserie | Industrie Canada | Oui | Le 19 mars 2007 | Novembre 2008 |
Groupe canadien des observations de la terre (GCOT) | Environnement Canada | Oui | July 2003 | En cours; aucun nouveau financement - contributions annuelles de plusieurs ministères |
Initiative sur l'écosystème du bassin des Grands Lacs | Environnement Canada | Oui | Le 1 avril 2005 | Le 31 mars 2010 |
Ministères responsables : Ressources humaines et Développement des compétences Canada
Activité de programme du ministère responsable : Compétences et emploi
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 3 octobre 2003
Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2012
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l'échéance) : 290 millions de dollars
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement) :
Le programme Partenariat pour les compétences et l'emploi des Autochtones était