Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada
Symbole du gouvernement du Canada

ARCHIVÉ - Secrétariat des conférences intergouvernementales canadiennes

Avertissement Cette page a été archivée.

Information archivée dans le Web

Information archivée dans le Web à  des fins de consultation, de recherche ou de tenue de documents. Cette dernière n’a aucunement été modifiée ni mise à  jour depuis sa date de mise en archive. Les pages archivées dans le Web ne sont pas assujetties aux normes qui s’appliquent aux sites Web du gouvernement du Canada. Conformément à  la Politique de communication du gouvernement du Canada, vous pouvez demander de recevoir cette information dans tout autre format de rechange à  la page « Contactez-nous ».





2008-2009
Rapport ministériel sur le rendement



Secrétariat des conférences intergouvernementales canadiennes






La version originale a été signée par
L'honorable Josée Verner
Présidente du Conseil privé de la Reine pour le Canada Ministre des Affaires intergouvernementales et Ministre de la Francophonie






Table des mati�res



Message de la ministre

The Honourable Jos�e Verner

� titre de pr�sidente du Conseil priv� de la Reine pour le Canada, j'ai le plaisir de d�poser le Rapport minist�riel sur le rendement du Secr�tariat des conf�rences intergouvernementales canadiennes (SCIC) pour l'exercice 2008-2009.

Depuis plus de 30 ans, le SCIC est un pr�cieux instrument de facilitation des relations intergouvernementales gr�ce aux services administratifs qu'il fournit � l'�gard de la planification et du d�roulement des conf�rences f�d�rales-provinciales-territoriales et provinciales-territoriales de haut niveau. Pendant le dernier exercice financier, le Secr�tariat a fourni ses services � l'occasion de 70 de ces conf�rences organis�es un peu partout au Canada, et parmi lesquelles 45 �taient de cat�gorie f�d�rale-provinciale-territoriale et 25 de nature provinciale-territoriale.

Financ� en partenariat par les gouvernements f�d�ral et provinciaux, le Secr�tariat a le mandat de fournir des services techniques et administratifs aux minist�res f�d�raux, provinciaux et territoriaux charg�s d'organiser diverses r�unions de haut niveau.

En janvier dernier, j'ai particip� � la R�union des premiers ministres en compagnie du Premier ministre du Canada et j'ai pu constater par moi-m�me le grand d�vouement et le professionnalisme du personnel de cet organisme. Ann�e apr�s ann�e, le SCIC fait la preuve de sa capacit� d'assurer le succ�s de ces r�unions. Le rapport qui suit met en relief les progr�s et les r�alisations du Secr�tariat au cours du dernier exercice financier.

L'honorable Jos�e Verner
Pr�sidente du Conseil priv� de la Reine pour le Canada
Ministre des Affaires intergouvernementales et ministre
de la Francophonie


SECTION I – APER�U DE L'ORGANISME

Raison d'�tre

Le Secr�tariat des conf�rences intergouvernementales canadiennes (SCIC) a �t� cr�� suivant une entente intervenue � la Conf�rence f�d�rale-provinciale des premiers ministres qui a eu lieu en mai 1973. Il a �t� d�sign� minist�re f�d�ral par d�cret en conseil du 29 novembre 1973. Son mandat ne comporte qu'un seul secteur d'activit� consistant � assurer les services administratifs n�cessaires � la planification et au d�roulement de conf�rences f�d�rales-provinciales-territoriales et provinciales-territoriales de premiers ministres, de ministres et de sous-ministres.

Le SCIC est un organisme du gouvernement f�d�ral et des gouvernements provinciaux et, comme tel, il agit comme organisme intergouvernemental neutre. Les deux ordres de gouvernement contribuent � son budget et son personnel se compose � la fois de fonctionnaires f�d�raux,  provinciaux et territoriaux. Le Secr�taire soumet un rapport annuel � tous les gouvernements. Les activit�s font l'objet d'un examen par de hauts fonctionnaires f�d�raux et provinciaux d�sign�s par leurs premiers ministres respectifs. Le SCIC rend compte au Parlement par l'entremise de la Pr�sidente du Conseil priv� de la Reine pour le Canada.

Responsabilit�s

Le mandat du SCIC consiste � planifier et � organiser des conf�rences intergouvernementales de haut niveau, � la demande des gouvernements f�d�ral-provinciaux-territoriaux et des Canadiens. Son principal objectif vise � soulager les minist�res clients, dans pratiquement tous les secteurs d'activit� gouvernementale, des nombreuses t�ches techniques et administratives associ�es � la planification et � la tenue de telles conf�rences, et � leur permettre ainsi de se concentrer sur les questions fondamentales. Le SCIC fournit des services administratifs impartiaux, efficaces et continus aux conf�rences f�d�rales-provinciales-territoriales et provinciales-territoriales de haut niveau sur les principales questions intergouvernementales qui touchent de nombreux secteurs d'activit�s intergouvernementales.

R�sultats strat�giques et Architecture des activit�s du programme (AAP)

Le SCIC est un micro-organisme ayant un seul mandat. On trouvera ci-dessous son Architecture des activit�s du programme.


 

Niveau de l'AAP

Renseignements sur le rendement : r�sultats attendus

Minist�re / organisme

Secr�tariat des conf�rences intergouvernementales canadiennes

Secr�tariat des conf�rences intergouvernementales canadiennes

R�sultats strat�giques

L'organisation et le d�roulement sans faille des r�unions multilat�rales des Premiers ministres, des ministres et des sous-ministres.

 

Activit�s du programme
(m�me pr�sentation que celle du budget principal des d�penses)

Services aux con�rences.

Assurer la planification et le d�roulement sans faille des r�unions, ce qui comprend aussi faire preuve d'efficacit� devant les impr�vus.

 

 

Le SCIC comprend et r�pond aux besoins de toutes les parties prenantes aux conf�rences intergouvernementales qu'il dessert.


Ressources financi�res pour 2008-2009 (en millions de $)


D�penses pr�vues

Total autoris�

D�penses r�elles

6,5

7,0

5,4


Ressources humaines (ETP) pour 2008-2009


Pr�vues

R�elles

Diff�rence

36

30

6


Sommaire du rendement


R�sultat strat�gique 1 : L'organisation et le d�roulement sans faille des r�unions multilat�rales des Premiers ministres, des ministres et des sous-ministres.

Indicateurs de rendement

Objectifs

Rendement pour 2008-2009

Mesure dans laquelle les hauts fonctionnaires sont satisfaits des divers services du SCIC, particuli�rement en ce qui a trait � la neutralit� de ses services, de son mandat et de sa structure de gouvernance.

90 % - Degr� �lev� de confiance des intervenants dans le r�le institutionnel ind�pendant du SCIC. Par cons�quent, le degr� de satisfaction envers les services du SCIC est �lev�.

Divers r�sultats de sondage confirment le niveau tr�s �lev� de statisfaction � l'�gard de la qualit� et du type de services fournis par le SCIC, et les r�actions non sollicit�es transmises dans des lettres et des courriels � la suite de certaines r�unions tenues au cours de l'exercice 2008-2009 demeurent tr�s positives et louangeuses.


 


Activit� du programe

D�penses r�elles 2007-2008 (en millions de $)

Budget 2008-2009

D�penses pr�vues 2008-2009

Total autoris�
2008-2009

D�penses r�elles
2008-2009

Concordance avec les r�sultats du gouvernement du Canada

Services aux conf�rences intergouvernementales

5,4

6,5

6,5

7,0

5,4

Contribuer � la r�alisation des affaires intergouvernementales : soutenir les synergies, dialogue, interaction efficace entre les divers secteurs gouvernementaux dans un contexte intergouvernemental, gr�ce � la prestation de services de soutien impartiaux en mati�re de conf�rences et de gestion de l'information.

Total

5,4

6,5

6,5

7,0

5,4

 

Les d�penses ont �t� moins �lev�es que pr�vu et que les d�penses autoris�es en raison d'un ralentissement important des activit�s li�es aux conf�rences par rapport aux pr�visions et au financement re�u. �tant donn� que l'exercice vis� a �t� loin d'�tre typique pour les gouvernements – �lection f�d�rale pr�cipit�e, d�clenchement d'�lections provonciales, crise �conomique � l'�chelle mondiale, contexte politique � Ottawa – le nombre de conf�rences intergouvernementales de haut niveau a chut� consid�rablement en comparaison de la moyenne de 100 r�unions maintenue au cours des cinq ann�es pr�c�dentes. Il faut se rappeler que le SCIC n'a pas d'influence sur le nombre de conf�rences qu'on lui demande d'organiser au cours d'une ann�e donn�e.

Contribution des priorit�s au r�sultat strat�gique


Priorit�s op�rationnelles

Type

�tat d'avancement

Lien avec le r�sultat strat�gique

Examen des normes et des pratiques en mati�re de planification et d'organisation de conf�rences.

En cours

Atteint avec succ�s.

Progr�s r�alis�s :

  • r�unions r�guli�res de grappes de groupes de travail internes dans le but de mettre en commun les pratiques et proc�dures exemplaires;
  • cr�ation de divers mod�les de mise en commun de l'information;
  • examen des services offerts et validation de leur pertinence aupr�s des clients;
  • cueillette de donn�es sur la planification et l'organisation des conf�rences;
  • identification des secteurs n�cessitant de l'attention;
  • transfert du savoir collectif au moyen d'entrevues au d�part des employ�s; et
  • encouragement � l'�gard d'une culture du travail valorisant l'apprentissage et l'am�lioration constante.

Directement li�es au r�sultat strat�gique touchant l'organisation et le d�roulement sans faille des r�unions.

L'analyse et l'examen permanents des pratiques de planification et d'organisation des conf�rences contribuent � assurer que notre programme demeure efficace et r�pond aux besoins des clients.

Priorit�s de la direction

Type

�tat d'avancement

Lien avec le r�sultat strat�gique

Le renforcement du cadre de planification et de reddition de comptes, de m�me qu'une plus grande capacit� d'�valuation du programme.

Nouveau

Atteint avec succ�s.

Il est essentiel de pouvoir mesurer et �valuer le  rendement du SCIC en ce qui a trait � l'atteinte de son r�sultat strat�gique si l'on veut que son programme demeure ax� sur les r�sultats, qu'il utilise les ressources de fa�on optimale et qu'il r�ponde aux attentes et aux priorit�s intergouvernementales. De plus, l'�valuation fournit de pr�cieux renseignements qui aideront � �tablir les rajustements qu'il faudra effectuer pour am�liorer l'efficacit� du programme.

� l'automne 2008, apr�s avoir pass� en revue son AAP et approuv� un projet de cadre de mesure du rendement, le SCIC a �largi son �valuation du programme afin d'y inclure deux nouveaux sondages effectu�s aupr�s de ses clients : l'un destin� aux planificateurs de conf�rences et l'autre aux d�l�gu�s. La conception et la mise en œuvre de ces nouveaux outils d'�valuation  ont �t� faits par une tierce partie neutre. Les r�sultats ont r�v�l� un taux de statisfaction tr�s �lev� des clients � l'�gard des divers services du Secr�tariat. Les r�sultats du sondage ont �galement permis au SCIC d'�tablir les points forts du programme, de reconfirmer les besoins et les priorit�s, et de mettre en applicaiton les suggestions visant � rehausser le niveau de ses services offerts � ses clients.

Examen strat�gique : examen et int�gration d'autres m�thodes efficaces dans le fonctionnement et les pratiques de l'organisme.

Nouveau

Atteint avec succ�s.

La direction du SCIC a � cœur d'adopter une d�marche proactive � l'�gard du changement et de sa pr�paration pour l'avenir en vue de continuer d'atteindre son r�sultat strat�gique. Lanc� en mai 2008, le Projet de modernisation combine de fa�on unique l'�valuation des besoins organisationnels et des consultations visant � inciter activement les employ�s � d�terminer l'orientation des changements. Un certain nombre d'initiatives ont �t� d�termin�es. La direction a accept� le plan propos� et sa mise en œuvre est bien amorc�e; elle se poursuivra pendant tout le prochain exercice financier.


Analyse des risques

Le Secr�tariat re�oit chaque ann�e un niveau de financement suffisamment �lev� pour financer de 110 � 120 conf�rences. Les demandes de services formul�es aupr�s du Secr�tariat avaient augment� de fa�on importante au cours des derni�res ann�es et ce dernier desservait en moyenne plus de 100 conf�rences par an. Toutefois, l'instabilit� du contexte politique des deux derni�res ann�es a occasionn� ce qui semble �tre un ralentissement temporaire des activit�s.

�tant donn� que le SCIC rend des comptes � tous les gouvernements, il doit s'assurer d'offrir des services qui non seulement doivent rester impartiaux, confidentiels et �quitables pour tous, mais qui �galement doivent �tre per�us comme tels dans un environnement pouvant parfois �tre tr�s politique. C'est pourquoi le SCIC a toujours �t� conscient de l'importance de la gestion des risques, et il continue de progresser dans la mise en œuvre efficace de la gestion int�gr�e des risques. Les trois risques les plus �lev�s du SCIC demeurent encore les suivants :

  1. le maintien de la cr�dibilit� du SCIC en tant que fournisseur neutre de services aux conf�rences;
  2. le maintien de la capacit� de services aux conf�rences du SCIC et de l'infrastructure qui la soutient;
  3. le maintien de la diligence requise et d'une reddition de comptes appropri�e, compte tenu de l'emphase accrue sur la responsabilisation.

Environnement de travail

Les priorit�s du SCIC d�pendent en grande partie de celles des gouvernements f�d�ral, provinciaux et territoriaux et sont soumises � divers facteurs internes et externes.

Les facteurs externes ayant influ� sur les activit�s de l'organisme en 2008-2009 ont �t�, par exemple, le nombre moins �lev� de conf�rences intergouvernementales tenues dans toutes les r�gions du Canada. � titre d'organisation offrant des services aux activit�s de conf�rences intergouvernementales de haut niveau entreprises par 14 administrations et leurs minist�res respectifs, le SCIC n'exerce aucun contr�le sur la date, le lieu et les co�ts de pareilles r�unions. En p�riode de volatilit� � la t�te des gouvernements, comme au cours des deux derni�res ann�es, les activit�s peuvent ralentir, alors que les minist�res attendent un mandat et une orientation plus fermes. En d'autres p�riodes, la demande de service peut augmenter radicalement et faire l'objet de fluctuations saisonni�res.

Comme il a d�j� �t� mentionn�, le SCIC ne convoque pas de r�unions intergouvernementales. Il doit plut�t r�pondre aux besoins cr��s par les d�cisions des gouvernements de se r�unir pour traiter de questions nationales capitales ou d'autres points pr�cis. Le Secr�tariat n'exerce aucun contr�le sur les d�cisions relatives au lieu de ces r�unions, � leur nombre au cours d'un exercice donn�, � leur date et � leur dur�e. Le niveau des d�penses du SCIC pour chaque exercice est cependant directement touch� par ces divers facteurs. C'est pourquoi l'organisme, dans sa planification strat�gique, doit r�agir non seulement aux changements survenant dans l'environnement externe, mais �galement aux priorit�s, aux possibilit�s et aux contraintes des gouvernements dans leurs propres contextes.

De plus, le SCIC a toujours �t� caract�ris� par la nature cyclique de son travail, alors que les demandes de soutien aux conf�rences atteignent un sommet pendant les mois de mai et juin, et un autre en septembre et octobre. Les investissements dans les ressources financi�res et humaines n�cessaires � la prestation efficace de services en temps opportun �tant plut�t fixes, une p�riode prolong�e d'activit�s de conf�rences plus faibles ou plus �lev�es qu'� l'ordinaire pr�sente une s�rie de d�fis op�rationnels exigeant de la souplesse dans la d�marche d'optimisation des r�sultats et d'utilisation des ressources au sein du Secr�tariat. Le transfert d'apprentissage vers le personnel d'autres secteurs du SCIC (Services d'information et Services int�gr�s) a �t� entrepris il y a plusieurs ann�es � titre de mesure pr�ventive pour assurer le service aux conf�rences pendant les p�riodes les plus occup�es de l'ann�e.

Le fait de travailler dans un pays qui, en tout et partout, borde trois oc�ans et s'�tend sur six fuseaux horaires pr�sente aux organismes comme le SCIC des d�fis uniques. Ce dernier fournit les services administratifs qu'on lui demande pour la pr�paration et la tenue de conf�rences de haut niveau sur des questions de grande importance pour le bien-�tre et la prosp�rit� de tous les Canadiens. Ainsi, la valeur unique que le SCIC apporte � ces r�unions intergouvernementales essentielles, sur les plans de l'exp�rience, du professionnalisme, de l'impartialit� politique et de la constance, est un facteur cl� contribuant � leur r�ussite globale.

Les risques li�s � l'orientation strat�gique du Secr�tariat et � la gestion efficace de son programme de conf�rences demeurent relativement inchang�s au fil du temps : l'acc�s � du personnel qualifi�, la conservation de la m�moire et des pratiques collectives, la modification de la structure de co�ts li�e aux principales d�penses du Secr�tariat, et la capacit� de r�agir et de s'adapter aux expansions et aux contractions de la demande de services du SCIC.

La prestation sans faille de services de grande qualit� aux clients n'est possible que gr�ce au d�vouement et � l'engagement total du personnel de l'organisme, un personnel qui poss�de les aptitudes, le caract�re et l'abn�gation n�cessaires au fonctionnement du SCIC. En tant qu'organisme des gouvernements f�d�ral et provinciaux, le Secr�tariat est compos� d'un m�lange d'employ�s f�d�raux, provinciaux et territoriaux. Les employ�s provinciaux et territoriaux sont d�tach�s au Secr�tariat pour une affectation de trois � quatre ans. Dans ce contexte, le recrutement s'effectue dans le cadre de divers processus, et la disponibilit� de candidats comp�tents rel�ve partiellement des forces du march� et de tendances sur lesquelles le SCIC n'exerce aucun contr�le.

Des d�marches cr�atrices et diligentes de recherche d'employ�s de qualit� ont donn� d'excellents r�sultats sur le plan de la dotation au fil des ans. Le SCIC poursuivra sa recherche de talents � l'aide de diverses initiatives et strat�gies faisant partie int�grante de sa strat�gie de ressources humaines.

La conservation de la m�moire collective et la consignation des pratiques et proc�dures touchant les conf�rences sont essentielles � la r�ussite du Secr�tariat dans l'ex�cution de son mandat. L'ex�cution efficace de la planification et du soutien des conf�rences d�coule de la prestation r�ussie de services de haute qualit� � divers clients de plus de 30 secteurs d'activit� intergouvernementale. Le roulement du personnel affect� � la planification des conf�rences au sein des clients minist�riels du Secr�tariat est �galement tr�s �lev�. Le personnel du SCIC joue donc une part importante lorsqu'il s'agit de transmettre aux nouveaux contacts des renseignements pertinents sur le protocole et le fonctionnement de l'appareil intergouvernemental.
 
La majorit� des r�unions intergouvernementales de haut niveau se d�roulent � l'ext�rieur des installations des gouvernements et en dehors de la r�gion de la Capitale nationale, o� se trouvent les bureaux du SCIC. Par cons�quent, une partie importante du budget de fonctionnement du SCIC est consacr�e aux d�placements, � l'h�bergement, au transport de mat�riel et aux locations. Ces co�ts sont dict�s par le march� et font donc l'objet d'importantes fluctuations (habituellement des augmentations) o� entrent en ligne de compte les facteurs de concurrence et de prix des carburants. Dans la mesure o� l'augmentation des prix n'entra�ne pas de diminution des activit�s li�es aux conf�rences, les co�ts de fonctionnement et la capacit� de respecter les limites budg�taires sont, jusqu'� un certain degr�, hors du contr�le du SCIC. Il n'y a heureusement pas eu de conflit entre le niveau d'activit� du SCIC et les budgets accord�s au cours des derni�res ann�es, ce qui a entra�n� une stabilit� relative des structures de co�ts.

Gestion int�gr�e du risque (GIR) – D�marche

Les organismes comme le SCIC sont dot�s de structures de gouvernance uniques qui d�finissent le contexte et les pratiques dans le cadre desquels les risques organisationnels et strat�giques peuvent �tre g�r�s de mani�re proactive. La structure de gouvernance elle‑m�me �tablit des freins et des contrepoids en mati�re de confidentialit� et de neutralit�. De par sa port�e et sa nature, elle cr�e un environnement d'activit� qui doit fonctionner de mani�re int�gr�e.

En raison de l'ind�pendance unique que conf�re le mandat du SCIC, et de la petite taille de ce dernier, il est essentiel que la haute direction des organismes comme le Secr�tariat participe � fond aux processus de planification des activit�s et des ressources humaines afin de fournir orientation et conseils et de tracer les grandes lignes de ses attentes. Par exemple, les demandes de services aux conf�rences, la gestion de l'information et les besoins en technologie de l'information, les finances et les besoins en dotation ont toujours fait partie de l'ordre du jour des r�unions mensuelles de la haute direction du SCIC. Ces r�unions d�montrent de quelle fa�on les priorit�s et les orientations doivent �tre �tablies, comment les d�cisions concernant les affectations et les r�affectations de fonds doivent �tre prises, et comment les programmes doivent �tre coordonn�s et g�r�s pour obtenir le(s) r�sultat(s) strat�gique(s) attendu(s).

Les d�bats plus strat�giques touchant les risques organisationnels � l'�chelle du Secr�tariat, la planification strat�gique et l'affectation des ressources ont souvent lieu au niveau du Comit� de gestion et dans le cadre d'autres r�unions de comit�s internes. Le Plan int�gr� d'activit�s et des ressources humaines (PIARH) du SCIC, par exemple, touche l'ensemble de l'organisation. Il comprend une analyse de l'environnement op�rationnel du SCIC, les pressions internes et externes, de m�me que les r�centes tendances de sa dotation et de ses activit�s. Il sert �galement � �tablir les principaux domaines � risque et leur incidence �ventuelle sur l'organisation. Ainsi, le PIARH permet � la direction de mieux surveiller ces risques, de mettre au point des strat�gies pour les att�nuer et de d�terminer o� les priorit�s devront mettre l'accent en fonction des besoins des activit�s, d'une analyse de l'effectif et des normes de service � la client�le.

Plus importante officialisation de la d�marche int�gr�e de planification et de gestion des risques

La r�putation et la cr�dibilit� reposent sur l'efficacit�. La haute direction reconna�t qu'il est n�cessaire de trouver un meilleur �quilibre entre les priorit�s � court et � long termes du SCIC tout en maximisant les possibilit�s et en relevant les d�fis comme la planification de la rel�ve, un contexte intergouvernemental plus complexe et de nouvelles technologies, ainsi que de nouvelles pr�occupations. Pour continuer de bien ex�cuter son mandat, le SCIC doit aussi continuer de renforcer sa capacit� de gestion des risques, d'anticiper l'�volution du contexte intergouvernemental et des besoins de ses clients et de s'y pr�parer et de bien y r�pondre.

Dans ce contexte de d�fis et de risques, le SCIC a profit� de la r�duction r�cente des activit�s de conf�rences pour proc�der � une consolidation et � une restructuration pour l'avenir. Parmi ces initiatives, on compte la mise en œuvre d'une Strat�gie int�gr�e des ressources humaines, une normalisation des politiques et proc�dures, la formulation et l'ex�cution d'un plan en plusieurs �tapes de d�penses d'immobilisation, et des investissements strat�giques dans la planification de la formation et du perfectionnement. Par cons�quent, le Secr�tariat est plus pr�t que jamais � offrir des services professionnels de la plus haute qualit� pour soutenir ses clients gouvernementaux et, par extension, � l'avantage des citoyens de tout le pays.

Le but vis� par cette d�marche int�gr�e de planification et de gestion des risques est d'aider le SCIC � cerner les risques de fa�on proactive � l'�tape de l'�laboration des politiques plut�t qu'au moment de leur mise en œuvre, et � faire de la gestion des risques et des strat�gies d'att�nuation, ainsi que des le�ons apprises une partie int�grante de ses op�rations.

�tant un micro-organisme, le SCIC n'a pas de comit� de v�rification, mais il continue de respecter la politique du Conseil du tr�sor en mati�re de v�rification en participant au programme de v�rification horizontale du controleur g�n�ral et en ayant recours aux services du Comit� de v�rification des petits minist�res et organismes (PMO). Le SCIC est �galement membre du Groupe consultatif des PMO.

Profil de d�penses

Le Secr�tariat se fixe des objectifs de rendement de mani�re � �tre toujours pr�t � disposer d'une organisation capable de desservir annuellement jusqu'� 120 conf�rences. Le contexte ayant entra�n� un ralentissement des activit�s au cours des derniers exercices, les d�penses du Secr�tariat ont �t� moindres que celles qui sont habituellement �taient pr�vues et budg�t�es chaque ann�e. Le tableau suivant fait �tat des d�penses r�elles et des d�penses pr�vues, ces derni�res ayant �t� �tablies en fonction d'un niveau d'activit� tournant autour des 120 conf�rences.

Tendances au chapitre des d�penses

Cr�dits vot�s et postes l�gislatifs dans le budget principal des d�penses
(en millions de dollars)


Poste vot� ou l�gislatif (L)

Libell� tronqu� du poste vot� ou l�gislatif

D�penses r�elles
en 2006-2007

D�penses r�elles
en 2007-2008

Budget principal des d�penses
2008-2009

D�penses r�elles
en 2008-2009

5

D�penses du programme

5,0

4,6

6,1

5,0

(S)

Contributions aux r�gimes d'avantages sociaux des employ�s

0,3

0,4

0,4

0,4

Total

 

5,3

5,0

6,5

5,4


L'augmentation des d�penses en 2008-2009 par rapport � l'exercice 2007-2008 est le r�sultat des co�ts du r�glement des conventions collectives en mati�re salariale, de m�me que de certains investissements strat�giques en vue de la modernisation des processus et du mat�riel.



SECTION II – ANALYSE DES ACTIVIT�S DU PROGRAMME EN FONCTION DU R�SULTAT STRAT�GIQUE

Analyse d�taill�e du rendement

R�sultat strat�gique

L'organisation et le d�roulement sans faille des r�unions multilat�rales des premiers ministres, des ministres et des sous-ministres.

Nom de l'activit� du programme

Services aux conf�rences

Description de l'activit� du programme

Prestation de services de soutien impartiaux et sp�cialis�s n�cessaires � la planification et � l'organisation des conf�rences f�d�rales-provinciales-territoriales et provinciales-territoriales de premiers ministres, de ministres et de sous-ministres.

Ressources financi�res totales de l'organisme (en millions de dollars)


2008-2009

Ressources financi�res (en millions de dollars)

Ressources humaines (ETP)

D�penses pr�vues

Autorisations totales

D�penses r�elles

Pr�vues

R�elles

�cart

6,5

7,0

5,4

36

30

61


 


R�sultats attendus

Indicateurs de rendement

Objectifs

Rendement obtenu

Sommaire du rendement

Assurer la planification et le d�roulement sans faille des r�unions, ce qui comprend aussi faire preuve d'efficacit� devant les impr�vus.

Satisfaction des int�ress�s � l'�gard des divers aspects de la planification et de l'organisation des conf�rences.

Taux de satisfaction de 90 % ou plus.

D�pass�

95% des planificateurs sond�s ont indiqu� �tre satisfaits ou tr�s satisfaits des services du SCIC en g�n�ral. Chacune des particularit�s des services �valu�s ont obtenu un taux de satisfaction de 89 � 97 %. Un seul indicateur �tait sous l'objectif vis�. On pr�voit apporter des correctifs � cet �l�ment dans la mesure ou il nous est possible de le faire.
De leur c�t�, 91 % des d�l�gu�s aux conf�rences ont indiqu� �tre satisfaits ou tr�s satisfaits des services du SCIC en g�n�ral. Chacune des particularit�s des services offets sur les lieux ont re�u une �valuation oscillant entre 90  et 100 % en ce qui a trait au taux de satisfaction.

Le SCIC comprend et r�pond aux besoins de toutes les parties prenantes aux conf�rences intergouver-nementales qu'il dessert.

Mesure dans laquelle les parties prenantes aux conf�rences intergouver-nementales que le SCIC comprend et r�pond � leurs besoins.

Taux de satisfaction de 90 % ou plus.

D�pass�

Dans un sondage, on demandait aux personnes charg�es de planifier les conf�rences � quel point elles �taient satisfaites du SCIC � cet �gard. Elles ont idiqu� que le SCIC comprenait et r�pondait � leurs besoins dans 94 % des cas.
De plus, 97,4 % des personnes charg�es de la planification avaient fait appel au SCIC pour toutes leurs conf�rences au cours de l'exercice. Ce la permet de croire que le SCIC est consid�r� comme le fournisseur de choix pour les services aux conf�rences intergouvernementales de haut niveau.


Avantages pour les Canadiens

L'organisation et le d�roulement des r�unions multilat�rales de premiers ministres, de ministres et de sous-ministres est un service mettant en relief l'un des principes fondamentaux d'une soci�t� d�mocratique, soit la communication, et il constitue l'un des �l�ments essentiels du fonctionnement de la f�d�ration canadienne.

En assurant avec doigt� et professionnalisme l'organisation et le bon d�roulement de ces r�unions, le SCIC permet aux gouvernements f�d�ral, provinciaux et territoriaux de se pencher sur des dossiers pertinents sans avoir � se soucier du processus ou des risques importants d'erreur ou d'omission, car elles peuvent compter sur l'exp�rience et la neutralit� du Secr�tariat qui, gr�ce � son expertise technique et � sa compr�hension de ce qui doit �tre fait et du moment o� cela doit �tre fait, ajoutera � l'efficacit� de ces rencontres.

Les int�r�ts de chaque Canadien sont repr�sent�s par plusieurs ordres de gouvernement dans sa propre province ou son territoire. Le succ�s de chacun de ces ordres � r�aliser son mandat d�pend de la r�ussite de l'ensemble � d�terminer les orientations � prendre en ce qui a trait aux politiques nationales et provinciales et/ou territoriales, et � r�pondre aux besoins gr�ce � la collaboration et � la n�gociation.

En tant qu'organisme multilat�ral ayant pour but d'appuyer des activit�s contribuant � susciter et � soutenir l'esprit de collaboration et de n�gociation entre les gouvernements, le SCIC tente de donner le plus d'effets possibles � ces processus en �tablissant un climat des plus propices � un discours rationnel et � des prises de d�cisions optimales � l'avantage de tous les gouvernements et les Canadiens.

Analyse du rendement

Au d�but de l'automne 2008, le SCIC a approuv� son cadre de mesure du rendement (CMR), lequel est fond� sur son AAP. Dans le CMR, on souligne que la strat�gie de mesure du Secr�tariat devrait comprendre des donn�es et des documents internes, de m�me que deux sondages, l'un men� aupr�s des personnes charg�es de la planification des conf�rences et l'autre aupr�s des d�l�gu�s � ces conf�rences. Il a �t� d�cid� mettre la strat�gie � l'�preuve dans le cadre d'un projet pilote au cours de l'exercice 2008-2009. Les r�sultats du projet pilote seraient utilis�s pour mettre la derni�re main au CMR, et notamment pour �tablir les objectifs pour les indicateurs de r�sultats.

R�sultat attendu : Assurer la planification et le d�roulement sans faille des r�unions, ce qui comprend aussi faire preuve d'efficacit� devant les impr�vus

Le sondage men� aupr�s des planificateurs de conf�rences indique que ceux qui ont recours aux services de planification de conf�rences du SCIC sont tr�s satisfaits de presque tous les aspects de ces services. Sur une �chelle de 1 (pas du tout satisfait) � 5 (tr�s satisfait), les taux sont tous en moyenne sup�rieurs � 4,5, sauf en ce qui a trait � la continuit� du personnel du SCIC, �l�ment pour lequel le taux de satisfaction atteint tout de m�me 4,3. Le CMR indique que l'objectif de rendement du SCIC doit �tre 90 % de r�ponses positives chaque ann�e. On en conclut donc que l'objectif de rendement a �t� atteint dans la plupart des cas.

R�sultats attendus : Le SCIC comprend et r�pond aux besoins de toutes les parties prenantes aux conf�rences intergouvernementales

Le sondage effectu� aupr�s des planificateurs de conf�rences a abord� cet �l�ment en leur demandant � quel point il �tait important pour eux et s'ils �taient satisfaits du SCIC � cet �gard. Dans l'ensemble, il est tr�s important pour eux et ils sont tr�s satisfaits du SCIC � l'�gard de cet objectif dans une proportion de 4,7 sur 5, en moyenne.

Rendement g�n�ral de l'organisme

Encore une fois en 2008-2009, la demande de services aupr�s du SCIC a diminu� par rapport aux exercices pr�c�dents, en raison du ralentissement de l'�conomie, de la tenue de plusieurs �lections provinciales ayant eu une incidence sur les possibilit�s de r�union, et de l'attitude attentiste des secteurs face � un gouvernement f�d�ral minoritaire, alors m�me que les relations f�d�rales-provinciales-territoriales entraient dans une p�riode o� l'�laboration d'importantes nouvelles initiatives n�cessitait dans de nombreux cas l'appui d'une majorit� avant de pouvoir proc�der � leur planification, leur financement et leur ex�cution.

Le SCIC a profit� du ralentissement des activit�s intergouvernementales pour mettre en œuvre les nouvelles politiques et directives des organismes centraux, pour �tudier l'utilisation de ses ressources et des moyens d'optimiser les co�ts, pour revoir ses m�thodes de fonctionnement et mettre en oeuvre et documenter ses saines pratiques, et enfin pour poursuivre le transfert d'apprentissage de ses employ�s afin d'att�nuer le risque.

Compte non tenu des progr�s r�alis�s dans l'ensemble de la gestion de l'organisme, le SCIC poursuivra son programme de modernisation, particuli�rement en ce qui concerne ses activit�s de gestion afin de renforcer sa reddition de comptes et de favoriser l'efficacit� et la transparence de ses processus.

Faits saillants des conf�rences

Le SCIC a offert ses services � l'occasion de 70 conf�rences intergouvernementales de haut niveau en 2008-2009. Trois de ces rencontres ont eu lieu au niveau des premiers ministres et trois autres au niveau des premiers ministres provinciaux et des leaders des territoires. Ces derni�res exigent des efforts beaucoup plus importants que les autres, en ce qui a trait � la planification et � l'ex�cution :

  •  Conf�rence des Premiers ministres de l'Ouest 2008
    du 28 au 30 mai 2008, Prince Albert (Saskatchewan)
  • Sommet national des femmes autochtones 2008
    les 30 et 31 juillet 2008, Yellowknife (Territoires du Nord-Ouest)
  • 32e Conf�rence annuelle des gouverneurs de la Nouvelle-Angleterre et des premiers ministres de l'Est du Canada (GN-A/PMEC)
    les 15 et 16 septembre 2008, Bar Harbor (Maine)
  • Conf�rence des premiers ministres
    le 10 novembre 2008, Ottawa (Ontario)
  • R�union des Premiers ministres et des dirigeants autochtones nationaux
    le 15 janvier 2009, Ottawa (Ontario)
  • Conf�rence des premiers ministres
    le 16 janvier 2009, Ottawa (Ontario)

Nombre de conf�rences desservies

Si le nombre total de conf�rences desservies a diminu� en 2008-2009, celui des conf�rences au niveau des premiers ministres, des premiers ministres provinciaux et des leaders des territoires a par contre augment�.  Parmi les nombreuses conf�rences desservies, 37 �taient de niveau minist�riel et 54 se sont d�roul�es au niveau des sous-ministres.

Le�ons apprises

L'�valuation am�lior�e du programme des services aux conf�rences, qui a �t� effectu�e pendant l'exercice en cours, permet non seulement de confirmer l'importance des divers services qu'offre le SCIC � ses clients, mais aussi de d�montrer le niveau de satisfaction tr�s �lev� de ces derniers, aussi bien chez les personnes charg�es de planifier les conf�rences que chez les d�l�gu�s. Il en ressort aussi qu'aucun �l�ment ne n�cessite de correctifs majeurs, mais que les donn�es recueillies montrent clairement qu'il est important de maintenir une constance dans la qualit� des services que nous fournissons � chacune des conf�rences. Les priorit�s de la gestion, notamment diverses initiatives men�es dans le cadre du Projet de modernisation, de m�me que les priorit�s op�rationnelles visant une am�lioration et la documentation constantes des pratiques et des proc�dures de planification et d'ex�cution des conf�rences permettront sans doute d'assurer la constance de la qualit� des services du SCIC ann�e apr�s ann�e et de secteur en secteur, malgr� le roulement du personnel.

Un autre �l�ment est ressorti l'�valuation du programme cette ann�e : nos clients accordent � la continuit� du personnel du SCIC d'une r�union � l'autre dans un m�me secteur une importance que nous ne soup�onnions pas. Le SCIC a certes mis en place des pratiques visant � assurer cette continuit� dans les plus gros secteurs du gouvernement, mais il lui a fallu, au fil des ans, faire preuve d'une certaine souplesse pour �quilibrer la charge de travail entre les employ�s.  � la lumi�re de cette nouvelle information, le SCIC s'efforcera d'assurer la plus grande continuit� possible pour chaque secteur au moment d'�tablir le calendrier des conf�rences.

Lettres de remerciement

Bien qu'il n'y ait pas encore d'objectifs officiels de rendement pour �valuer ce genre d'information anecdotique, nous savons que des lettres de remerciements sont souvent envoy�es par nos clients et peuvent servir � confirmer les r�sultats positifs obtenus dans les sondages men�s aupr�s de nos clients. en voici quelques extraits :

� Je d�sire vous remercier tous les cinq pour le service de haute gamme que vous nous avez offert. Vous avez su trouver la fa�on de r�pondre aux attentes de tous les d�l�gu�s (…) �

Joanne Marceau
Conseill�re
Minist�re de la Justice, Qu�bec

� (…) le professionalisme et le d�vouement de votre personnel ont �t� essentiels au succ�s de ces r�unions,surtout que nous ne disposions que de peu de temps pour coordonner la logistique (...) �

Natasha Rascanin
Sous-ministre adjointe
Op�rations intergouvernementales
Bureau du Conseil priv�

� Merci pour tout ce que vous avez fait pour que la Conf�rence des Premiers ministres connaisse pareil succ�s. Ces deux jours se sont d�roul�s de mani�re tr�s efficace. Merci de votre grande souplesse (...) �

Aaron Campbell
Gestionnaire, �claireur du Premier ministre
Cabinet du Premier ministre

� Je tiens encore une fois � vous remercier, ainsi que votre �quipe, pour le fantastique soutien que vous avez fourni lors de la r�union du Conseil (...). Je vous remercie de votre professionalisme, votre sens de l'organisation et votre efficacit�; ils m'impressionneront toujours (...) �.

John Pearson
Directeur des programmes
Conseil des sous-ministres responsables des transports et de la s�curit� routi�re



SECTION III –INFORMATION SUPPL�MENTAIRE

Finances – Points saillants

Exercice termin� le 31 mars 2009
�tat condens� de la situation financi�re


 

(en milliers de $)

Variation en pourcentage

2009

2008

Actif

Actif total

-22%

374

478

Passif

Passif total

28%

989

778

Avoir

Avoir total

105%

(615)

(300)

Total

 

-22%

747

956


Exercice termin� le 31 mars 2009
�tat condens� du fonctionnement


 

(en milliers de $)

Variation en pourcentage

2009

2008

D�penses

D�penses totales

5%

6,019

5,731

Revenus

Revenus totaux

-3%

1,082

1,114

Co�t net de fonctionnement

 

7%

4,937

4,616


�tats financiers

On peut trouver les �tats financiers de l'exercice termin� le 31 mars 2009 � www.scics.gc.ca.

Liste des tableaux d'information suppl�mentaire

Tous les tableaux d'information suppl�mentaires pr�sent�s sous forme �lectronique dans le Rapport sur le rendement se trouvent sur le site Web du Conseil du Tr�sor du Canada � l'adresse suivante :

http://www.tbs-sct.gc.ca/dpr-rmr/2008-2009/index-fra.asp.

Tableau 1 : Sources de revenus non disponibles

Tableau 2 : V�rification interne (p�riode de rapport actuelle)

Autres points � souligner

Le SCIC est un organisme du gouvernement f�d�ral et des gouvernements provinciaux et, � ce titre, agit en tant qu'organisme intergouvernemental neutre.  Le Secr�tariat produit annuellement un rapport aux gouvernements d�taillants les activit�s de l'agence.  On trouvera ce rapport sur le site Web du SCIC � l'adresse suivante : www.scics.gc.ca.


1 En raison des postes vacants et de la retraite de M. Carol Bourgeois et de Mme Danielle S�guin