Cette image présente l’Architecture des activités de programmes (AAP) de Sécurité publique Canada. L’AAP montre les liens entre les activités de programme et le résultat stratégique « un Canada sécuritaire et résilient ». Il y a huit activités de programme, à savoir la sécurité nationale, la gestion des mesures d’urgence, l’application de la loi, le régime correctionnel, la prévention du crime; la gestion frontalière, l’interopérabilité et les services internes. Plusieurs sous-activités appuient chacune des activités de programme. Les sous-activités liées à la politique de sécurité nationale et au bureau de l’inspecteur général du SCRS viennent appuyer l’activité de programme portant sur la sécurité nationale. La gestion des mesures d’urgence est soutenue par des sous-activités liées à la politique en matière de gestion des urgences, à la protection des infrastructures essentielles, à la politique de cybersécurité, à la sécurité civile, aux interventions en cas d’urgence et à la sensibilisation à la gestion des urgences. L’application de la loi prévoit trois sous-activités, à savoir les stratégies d’application de la loi, les politiques en matière de police et la police des Autochtones. Le régime correctionnel compte deux sous-activités : les politiques correctionnelles et la recherche. Deux sous-activités appuient la prévention du crime : la politique, la recherche et l’évaluation relatives à la prévention du crime; et le financement et le soutien de la prévention du crime. L’activité de programme portant sur la gestion frontalière inclut les stratégies d’application de la loi aux frontières et la gestion stratégique du programme de la politique frontalière. Le programme d’interopérabilité ne comporte qu’une seule sous-activité : les services d’échange d’information. Les services internes comptent trois sous-activités, à savoir le soutien à la gouvernance et à la gestion, les services de gestion des ressources, et les services de gestion des biens.