La productivité, la compétitivité et le mandat de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique.

Cet ordinogramme horizontal représente les étapes (de gauche à droite) par lesquelles les activités de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique et d’autres ministères fédéraux et provinciaux mènent à la prospérité.

L’ordinogramme comprend six sections ou cases. Il commence, dans le coin supérieur gauche, par deux cases reliées par une flèche. La deuxième rangée, également composée de deux cases, reliées par une flèche, commence dans le coin inférieur gauche. Ces deux rangées convergent par une flèche vers les deux dernières cases, reliées elles aussi par une flèche. La première de ces deux dernières cases est celle de la « compétitivité », alors que la dernière est celle de la « prospérité ».

Les deux cases de la première rangée montrent comment les activités de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique mènent à la prospérité, alors que les deux cases de la deuxième rangée montrent comment les activités d’autres ministères fédéraux et provinciaux mènent à la prospérité.

La case dans le coin supérieur gauche donne les trois activités de programme de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique : Développement des entreprises, Développement des collectivités et Politiques, défense des intérêts et coordination. Cette case est reliée à la deuxième case de la première rangée qui indique les trois grands secteurs, soit :
1. la productivité (qui comprend l’innovation, l’acquisition de technologies et d’équipement, le perfectionnement des compétences en affaires et l’accès aux capitaux pour les entreprises et les collectivités);
2. le soutien de l’infrastructure;
3. l’accès au commerce international.
Ces trois grands secteurs convergent vers la compétitivité et ensuite vers la prospérité.

La première case de la deuxième rangée indique les autres ministères fédéraux et provinciaux. Elle est reliée à la deuxième case de la même rangée qui indique le climat commercial, le cadre de réglementation, les taux de change et la politique budgétaire. Ces deux cases mènent à la compétitivité et ensuite à la prospérité.

La prospérité permet à l’APECA de réaliser son mandat au chapitre de l’accroissement des revenus gagnés et des possibilités d’emploi.