Le graphique montre que plus des trois quarts des fonds alloués à la Commission sont consacrés aux décisions relatives à la mise en liberté sous condition, que 15 % est destiné à l’application transparente et responsable du processus de mise en liberté sous condition et que la portion la plus petite des fonds est affectée aux décisions relatives au pardon et aux recommandations concernant la clémence.